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Le 7 novembre 2012 le VI festival de cinéma "La Russie à l’Etranger" a été inauguré dans la Maison de la Russie à l’Etranger portant le nom d’Alexandre Soljenitsyne. Voici le texte de l’allocution du métropolite Hilarion, président du DREE
Mesdames et Messieurs, chers frères et sœurs !
Je salue cordialement tous les participants et les invités du VI festival international du cinéma « La Russie à l’Etranger », événement important de notre vie culturelle, appelé à contribuer à l’unité des communautés russes dans le monde entier.
Le thème du festival qui est la dispersion du peuple russe au début du XX siècle, nous appelle à prendre conscience des événements dramatiques de la révolution de 1917 ainsi que de la guerre civile fratricide qui l’a suivie pour tirer des conclusions du terrible destin qui a été celui de nos ancêtres. Aujourd’hui plus que jamais notre société a besoin de cohésion et du renforcement des fondements spirituels de son existence.
Mesdames et Messieurs, chers frères et sœurs !
Je salue cordialement tous les participants et les invités du VI festival international du cinéma « La Russie à l’Etranger », événement important de notre vie culturelle, appelé à contribuer à l’unité des communautés russes dans le monde entier.
Le thème du festival qui est la dispersion du peuple russe au début du XX siècle, nous appelle à prendre conscience des événements dramatiques de la révolution de 1917 ainsi que de la guerre civile fratricide qui l’a suivie pour tirer des conclusions du terrible destin qui a été celui de nos ancêtres. Aujourd’hui plus que jamais notre société a besoin de cohésion et du renforcement des fondements spirituels de son existence.
La foi, l’amour sacrificiel pour la Patrie, l’immuabilité des valeurs familiales perçus comme une vérité intangible par nos ancêtres, ne vont plus paradoxalement de soi pour nos contemporains. D’une part, nous récoltons les fruits de décennies d’athéisme et de l’autre notre société se trouve sous l’influence toujours plus forte de la philosophie postmoderne qui met en doute et critique tout axiome éthique. Dans ces conditions la préservation de l’union de tous ceux qui appartiennent à la culture russe, au-delà des frontières et de tout ce qui peut les différencier, devient une tâche très difficile. L’histoire a maintes fois prouvé que les peuples qui ont perdu la dimension spirituelle de leur existence étaient voués à la perte de leur identité nationale, à la disparition et à la dispersion indépendamment de leur bien-être matériel.
La société contemporaine traverse une crise spirituelle : la charité, la chasteté, le sacrifice sont considérés comme des vestiges du passé alors que l’égoïsme, la cupidité et la cruauté prévalent. Cette situation en dit long sur les maux de notre civilisation et nous devons la prendre très au sérieux.
Ceux qui disposent de moyens puissants d’influence sur le cœur et la raison de l’homme, les artistes, les metteurs en scènes, les auteurs et les acteurs sont responsables pour le futur du peuple russe. Le Seigneur vous a donné des talents, il ne tient qu’à vous à vous en servir faire le bien. Je vous souhaite sincèrement que votre créativité, pareillement au grain de moutarde évangélique tombé sur la terre assoiffée de l’âme humaine s’y enracine et apporte de bons fruits.
Je souhaite de grands succès au festival « La Russie à l’étranger » et j’appelle l’aide de Dieu, l’inspiration et les forces spirituelles pour tous les participants dans leur mission difficile.
Traduction Elena Tastevin
Mospat
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La société contemporaine traverse une crise spirituelle : la charité, la chasteté, le sacrifice sont considérés comme des vestiges du passé alors que l’égoïsme, la cupidité et la cruauté prévalent. Cette situation en dit long sur les maux de notre civilisation et nous devons la prendre très au sérieux.
Ceux qui disposent de moyens puissants d’influence sur le cœur et la raison de l’homme, les artistes, les metteurs en scènes, les auteurs et les acteurs sont responsables pour le futur du peuple russe. Le Seigneur vous a donné des talents, il ne tient qu’à vous à vous en servir faire le bien. Je vous souhaite sincèrement que votre créativité, pareillement au grain de moutarde évangélique tombé sur la terre assoiffée de l’âme humaine s’y enracine et apporte de bons fruits.
Je souhaite de grands succès au festival « La Russie à l’étranger » et j’appelle l’aide de Dieu, l’inspiration et les forces spirituelles pour tous les participants dans leur mission difficile.
Traduction Elena Tastevin
Mospat
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Rédigé par Parlons D'orthodoxie le 13 Novembre 2012 à 10:01
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Cette année, le conifère des Ardennes sera remplacé par une installation électronique. Pour motif religieux ? L’échevin du Tourisme à la Ville de Bruxelles dément.
Cette année, le conifère des Ardennes sera remplacé par une installation électronique. Après le commentaire d’une élue estimant que le motif religieux en était la raison, la polémique enfle sur les réseaux sociaux. Va-t-on « bientôt mettre sur la Grand-Place du sable et des chameaux ? » pouvait-on lire hier sur le mur Facebook de « Je boycotte les plaisirs d’hiver », une des initiatives qui ont vu le jour récemment.
Après la réaction du bourgmestre de Bruxelles, Freddy Thielemans – « une audace » –, c’est au tour de l’échevin du Tourisme à la Ville de Bruxelles, Philippe Close, de soutenir ce choix. Dans un communiqué au titre symbolique « Lettre ouverte d’un défenseur des traditions de Noël », Philippe Close tient à rappeler que dans le cadre des fêtes de fin d’année, la Grand-Place de Bruxelles aura bel et bien sa crèche de Noël traditionnelle et son sapin mais qu’ils ont « voulu innover ».
Cette année, le conifère des Ardennes sera remplacé par une installation électronique. Après le commentaire d’une élue estimant que le motif religieux en était la raison, la polémique enfle sur les réseaux sociaux. Va-t-on « bientôt mettre sur la Grand-Place du sable et des chameaux ? » pouvait-on lire hier sur le mur Facebook de « Je boycotte les plaisirs d’hiver », une des initiatives qui ont vu le jour récemment.
Après la réaction du bourgmestre de Bruxelles, Freddy Thielemans – « une audace » –, c’est au tour de l’échevin du Tourisme à la Ville de Bruxelles, Philippe Close, de soutenir ce choix. Dans un communiqué au titre symbolique « Lettre ouverte d’un défenseur des traditions de Noël », Philippe Close tient à rappeler que dans le cadre des fêtes de fin d’année, la Grand-Place de Bruxelles aura bel et bien sa crèche de Noël traditionnelle et son sapin mais qu’ils ont « voulu innover ».
« Bruxelles, ville avant-gardiste »
« Nous avons voulu montrer notre modernité, nous démarquer des autres grandes capitales », écrit-il, assumant ainsi le « caractère avant-gardiste de Bruxelles (qui propose) un spectacle son et lumière au départ d’un sapin d’un autre genre, moderne ». SUITE Le Soir
Lettre ouverte d’un défenseur des traditions de Noël
Madame, Monsieur,
Mettons tout de suite fin à la polémique : dans le cadre des fêtes de fin d’année, la Grand-Place de Bruxelles aura sa crèche de Noël traditionnelle, et son sapin.Cependant, cette année, nous avons voulu innover, montrer notre modernité, nous démarquer des autres grandes capitales. Nous assumons ainsi le caractère avant-gardiste de Bruxelles en proposant un spectacle son et lumières au départ d’un sapin d’un autre genre, moderne.
Comme chaque année, Plaisirs d’Hiver crée une belle ambiance de Noël dans la Capitale de l’Europe. Plus qu’un marché de noël, l’événement bruxellois est un parcours féerique de 2 km de long, avec des animations culturelles et des attractions telles que les manèges, la patinoire, la Grand roue etc.
Ceci sera encore renforcé cette année avec 5 nouvelles installations lumineuses, et deux parades lumineuses qui ajouteront à l’ambiance et la féerie du centre ville. L’offre culturelle de Balkan Trafic, célèbre festival proposé à BOZAR rehaussera encore cet événement familial. Suite ICI
« Nous avons voulu montrer notre modernité, nous démarquer des autres grandes capitales », écrit-il, assumant ainsi le « caractère avant-gardiste de Bruxelles (qui propose) un spectacle son et lumière au départ d’un sapin d’un autre genre, moderne ». SUITE Le Soir
Lettre ouverte d’un défenseur des traditions de Noël
Madame, Monsieur,
Mettons tout de suite fin à la polémique : dans le cadre des fêtes de fin d’année, la Grand-Place de Bruxelles aura sa crèche de Noël traditionnelle, et son sapin.Cependant, cette année, nous avons voulu innover, montrer notre modernité, nous démarquer des autres grandes capitales. Nous assumons ainsi le caractère avant-gardiste de Bruxelles en proposant un spectacle son et lumières au départ d’un sapin d’un autre genre, moderne.
Comme chaque année, Plaisirs d’Hiver crée une belle ambiance de Noël dans la Capitale de l’Europe. Plus qu’un marché de noël, l’événement bruxellois est un parcours féerique de 2 km de long, avec des animations culturelles et des attractions telles que les manèges, la patinoire, la Grand roue etc.
Ceci sera encore renforcé cette année avec 5 nouvelles installations lumineuses, et deux parades lumineuses qui ajouteront à l’ambiance et la féerie du centre ville. L’offre culturelle de Balkan Trafic, célèbre festival proposé à BOZAR rehaussera encore cet événement familial. Suite ICI
La consécration solennelle de la chapelle intérieure du Séminaire orthodoxe russe à Fontenay-sous-Bois, dédiée à saint Martin et sainte Geneviève, aura lieu le 14 novembre 2012. Cette célébration intervient après deux années de travaux dans la chapelle, désormais décorée de fresques sur les murs et le plafond, ainsi que d'une grande et belle iconostase. Ce jour-là le séminaire célébréra également trois ans depuis son inauguration.
A cette occasion, l'archevêque Marc d'Egorievsk, auxiliaire du patriarche de Moscou, responsable des établissements du patriarcat de Moscou à l'étranger, présidera la consécration de la chapelle refaite. La célébration commencera à 10 h et sera suivie d'une divine liturgie.Mgr Marc sera entouré de plusieurs évêques, notamment des récteurs de trois academies théologique de l'Eglise orthodoxe russe : Mgr Eugène, archevêque de Véréia, recteur de l'académie de théologie de Moscou, Mgr Antoine, archevêque de Borispol, recteur de l'académie de théologie de Kiev, et Mgr Ambroise, évêque de Gatchina, recteur de l'académie de théologie de Saint-Pétersbourg, ainsi que de Mgr Nestor, êveque de Chersonèse, chancelier du séminaire.
A cette occasion, l'archevêque Marc d'Egorievsk, auxiliaire du patriarche de Moscou, responsable des établissements du patriarcat de Moscou à l'étranger, présidera la consécration de la chapelle refaite. La célébration commencera à 10 h et sera suivie d'une divine liturgie.Mgr Marc sera entouré de plusieurs évêques, notamment des récteurs de trois academies théologique de l'Eglise orthodoxe russe : Mgr Eugène, archevêque de Véréia, recteur de l'académie de théologie de Moscou, Mgr Antoine, archevêque de Borispol, recteur de l'académie de théologie de Kiev, et Mgr Ambroise, évêque de Gatchina, recteur de l'académie de théologie de Saint-Pétersbourg, ainsi que de Mgr Nestor, êveque de Chersonèse, chancelier du séminaire.
Après la liturgie, dans la salle de conférence (sous la chapelle) une réception réunira tous les invités, les séminaristes et les fidèles venus prier ce jour-là. Lors de cette réception, un reportage et une exposition consacrés aux trois années d'existence du séminaire seront présentés.
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В среду 14 ноября в 10:00 состоится Великое освящение домового храма Русской духовной семинарии в честь свят. Мартина Исповедника и прп. Женевьевы Парижской. В этот день семинария также отметит трехлетие со дня своего открытия.
Торжества возглавит архиепископ Егорьевский Марк, руководитель Управления Московской Патриархии по зарубежным учреждениям. Архиепископу Марку будут сослужить архиепископ Верейский Евгений, ректор Московской духовной академии, архиепископ Бориспольский Антоний, ректор Киевской духовной академии, епископ Гатчинский Амвросий, ректор Санкт-Петербургской духовной академии, епископ Корсунский Нестор, канцлер Русской духовной семинарии во Франции, а также архиереи русских епархий в Западной Европе и приглашенные клирики.
После Божественной литургии состоится прием в конференц-зале семинарии. Во время приема гостям будет представлен фильм и выставка о жизни Русской духовной семинарии во Франции.
Семинария расположена по адресу: 4, rue Sainte-Geneviève - Maison Sainte-Geneviève, 91860 Épinay-sous-Sénart
Séminaire orthodoxe russe à Fontenay-sous-Bois
.........................................
" PO" Emilie van Taack, une iconographe française. Les fresques du séminaire russe d'Epinay sous Sénart L'atelier iconographique du Séminaire, sous la direction de Madame Emilie van Taack, a réalisé 2011 des fresques dans le sanctuaire de la chapelle. Derrière l'autel se trouve une grande fresque de la Mère de Dieu du Signe.
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В среду 14 ноября в 10:00 состоится Великое освящение домового храма Русской духовной семинарии в честь свят. Мартина Исповедника и прп. Женевьевы Парижской. В этот день семинария также отметит трехлетие со дня своего открытия.
Торжества возглавит архиепископ Егорьевский Марк, руководитель Управления Московской Патриархии по зарубежным учреждениям. Архиепископу Марку будут сослужить архиепископ Верейский Евгений, ректор Московской духовной академии, архиепископ Бориспольский Антоний, ректор Киевской духовной академии, епископ Гатчинский Амвросий, ректор Санкт-Петербургской духовной академии, епископ Корсунский Нестор, канцлер Русской духовной семинарии во Франции, а также архиереи русских епархий в Западной Европе и приглашенные клирики.
После Божественной литургии состоится прием в конференц-зале семинарии. Во время приема гостям будет представлен фильм и выставка о жизни Русской духовной семинарии во Франции.
Семинария расположена по адресу: 4, rue Sainte-Geneviève - Maison Sainte-Geneviève, 91860 Épinay-sous-Sénart
Séminaire orthodoxe russe à Fontenay-sous-Bois
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" PO" Emilie van Taack, une iconographe française. Les fresques du séminaire russe d'Epinay sous Sénart L'atelier iconographique du Séminaire, sous la direction de Madame Emilie van Taack, a réalisé 2011 des fresques dans le sanctuaire de la chapelle. Derrière l'autel se trouve une grande fresque de la Mère de Dieu du Signe.
Le permis de construire une église orthodoxe au pied de la tour Eiffel doit être signé ou refusé le 29 novembre. La Mairie de Paris est contre. L’Élysée hésite.
C’est un cadeau empoisonné, qui embarrasse l’Élysée, le gouvernement et la Mairie de Paris. Un dossier "hypersensible", hérité de Nicolas Sarkozy. L’idée d’ériger une cathédrale orthodoxe au pied de la tour Eiffel émane directement de Vladimir Poutine. Le président russe tient à ce projet "comme à la prunelle de ses yeux", souligne un observateur averti. Mais Bertrand Delanoë y est hostile. Le président Hollande, qui se serait bien passé de cette épine, va devoir trancher, d’ici à la fin du mois : désavouer le maire socialiste de la capitale ou s’exposer à un incident diplomatique....SUITE JDD
C’est un cadeau empoisonné, qui embarrasse l’Élysée, le gouvernement et la Mairie de Paris. Un dossier "hypersensible", hérité de Nicolas Sarkozy. L’idée d’ériger une cathédrale orthodoxe au pied de la tour Eiffel émane directement de Vladimir Poutine. Le président russe tient à ce projet "comme à la prunelle de ses yeux", souligne un observateur averti. Mais Bertrand Delanoë y est hostile. Le président Hollande, qui se serait bien passé de cette épine, va devoir trancher, d’ici à la fin du mois : désavouer le maire socialiste de la capitale ou s’exposer à un incident diplomatique....SUITE JDD
Bonjour,
Je vous invite à notre prochain concert de "l'Ensemble Chersonèse" :dimanche 25 Novembre à 17 heures à l'Église du Mesnil-Saint-Denis 14 rue Raymond Berrurier 78320 Le Mesnil-Saint-Denis
Ce sont des Chants orthodoxes sacrés du Moyen Age au XVIII siécle. Le Concert est précédé par une visite guidée au Skit du Saint Esprit, un endroit magnifique où les fresques et les icônes ont été peintes par le Père Grégoire Krug 7, avenue des Bruyères.Renseignements S.I. au 01.34.61.49.79
A bientôt, Marina Pervychine-Poulet
* * *
"Ensemble Chersonèse" a été fondé en 2010, qui était l'année France - Russie. Le but de la création de l’Ensemble Chersonèse est de faire découvrir à un public large la musique liturgique russe ancienne et baroque, qui est peu connue même en Russie. Le répertoire de l'ensemble est large et couvre tout les genres du chant liturgique russe à partir du moment de la christianisation et du baptême de la Russie au 10ème siècle jusqu’à nos jours.
Je vous invite à notre prochain concert de "l'Ensemble Chersonèse" :dimanche 25 Novembre à 17 heures à l'Église du Mesnil-Saint-Denis 14 rue Raymond Berrurier 78320 Le Mesnil-Saint-Denis
Ce sont des Chants orthodoxes sacrés du Moyen Age au XVIII siécle. Le Concert est précédé par une visite guidée au Skit du Saint Esprit, un endroit magnifique où les fresques et les icônes ont été peintes par le Père Grégoire Krug 7, avenue des Bruyères.Renseignements S.I. au 01.34.61.49.79
A bientôt, Marina Pervychine-Poulet
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"Ensemble Chersonèse" a été fondé en 2010, qui était l'année France - Russie. Le but de la création de l’Ensemble Chersonèse est de faire découvrir à un public large la musique liturgique russe ancienne et baroque, qui est peu connue même en Russie. Le répertoire de l'ensemble est large et couvre tout les genres du chant liturgique russe à partir du moment de la christianisation et du baptême de la Russie au 10ème siècle jusqu’à nos jours.
Les styles représentés dans le répertoire sont le znamenny raspev – chant ancienne monodique, écrit par Znamia, qui veut dire «neume», «signe» ; troestrochie – chant znamenny à trois voix, première polyphonie russe ; et partes – chant polyphonique à plusieurs voix qui a été formé au 17ème siècle sous l'influence de la musique de l'Ouest. Pour accomplir le rétrospectif historique des styles l’ensemble interprète les œuvres des compositeurs russes des 19ème et 20ème siècles tels que Liadov, Rimsky-Korsakov, V.Martynov, B.Ledkovsky.
Mais avant tout, "l’Ensemble Chersonèse" se spécialise sur la musique baroque russe. Ce sont des chants polyphoniques (partessiens) des 17èmes et 18èmes siècles, la plupart desquels sont anonymes. Mais il y a également des œuvres des grands compositeurs de l'époque - Vasily Titov Mikola Diletsky. L’Ensemble collabore avec les musicologues russe telles que Lada Kondrashkova, Natalia Plotnikova, qui déchiffrent et restaurent les manuscrits anciens. Plusieurs chants sont interprétés par ensemble Chersonèse pour la première fois depuis trois siècles. ...SUITE ICI
Mais avant tout, "l’Ensemble Chersonèse" se spécialise sur la musique baroque russe. Ce sont des chants polyphoniques (partessiens) des 17èmes et 18èmes siècles, la plupart desquels sont anonymes. Mais il y a également des œuvres des grands compositeurs de l'époque - Vasily Titov Mikola Diletsky. L’Ensemble collabore avec les musicologues russe telles que Lada Kondrashkova, Natalia Plotnikova, qui déchiffrent et restaurent les manuscrits anciens. Plusieurs chants sont interprétés par ensemble Chersonèse pour la première fois depuis trois siècles. ...SUITE ICI
La lettre de Sviatoslav (Chevtchuk), primat de l’Eglise ukrainienne gréco-catholique (uniate) où il a exprimé la position de son Eglise par rapport au sacrement du Baptême célébré dans l’Eglise orthodoxe d’Ukraine (Patriarcat de Kiev, non-canonique), a été perçue de manière détachée par l’Eglise orthodoxe d’Ukraine (Patriarcat de Moscou, canonique), a annoncé l’archiprêtre Nicolas Danilevitch, secrétaire du DREE de l’EOU (PM). D’après lui, la déclaration des gréco-catholiques n’influencera aucunement la situation en Ukraine. « Auparavant, Philarète n’écrivait pas qu’aux gréco-catholiques, mais également aux primats des Églises orthodoxes et même au Pape, ses lettres sont restées sans réponse », a-t-il précisé.
L’archiprêtre a également annoncé que l’EOU (Patriarcat de Moscou) continuerait de baptiser les fidèles venant de l’EOU (Patriarcat de Kiev).
L’archiprêtre a également annoncé que l’EOU (Patriarcat de Moscou) continuerait de baptiser les fidèles venant de l’EOU (Patriarcat de Kiev).
« Nous ne reconnaissons pas le sacerdoce du Patriarcat de Kiev, nous ne reconnaissons donc pas le baptême célébré par ces prêtres », a expliqué le père Nicolas. Il a remarqué qu’il n’existait pas de pratique unique d'admission dans une Eglise de fidèles venant d'une autre Eglise. En outre, il estime qu’ « en s’adressant aux hétérodoxes, l’EOU (PK) ne fait que nuire à sa propre réputation ».
En revanche, les représentants du Patriarcat de Kiev sont satisfaits de la réponse du responsable de l’Eglise gréco-catholique. D’après l’archevêque Eustrate (Zorya), secrétaire de presse de l’EOU (PK), la position des gréco-catholiques est argumentée par la Tradition de l’Eglise ainsi que par des documents du Vatican. Les décisions susceptibles d'être prises par la suite contribueront à la fin de l’isolement artificiel du Patriarcat de Kiev.
« Nous n’avions et n’avons pas de doutes quant à la validité de nos sacrements. Nous n’avons donc pas demandé à l’Eglise gréco-catholique de reconnaître nos sacrements, mais de témoigner de leur position à propos du sacrement du Baptême, a souligné l’archevêque Eustrate. Et nous avons obtenu cette reconnaissance qui reflète la position non seulement de cette Eglise. Il sera difficile pour nos opposants de l’ignorer comme ils ignorent nos appels », a dit l’archevêque.
Les représentants du Patriarcat ont également communiqué que la lettre du chef de l’Eglise gréco-catholique a été lue au patriarche Philarète par le téléphone car il est se trouve actuellement aux Etats-Unis. Le patriarche de l’EOU (Patriarcat de Kiev) l’a apprécié comme positive et autorisé à la publication.
Bogoslov.ru
Traduction Dimitri Garmonov
En revanche, les représentants du Patriarcat de Kiev sont satisfaits de la réponse du responsable de l’Eglise gréco-catholique. D’après l’archevêque Eustrate (Zorya), secrétaire de presse de l’EOU (PK), la position des gréco-catholiques est argumentée par la Tradition de l’Eglise ainsi que par des documents du Vatican. Les décisions susceptibles d'être prises par la suite contribueront à la fin de l’isolement artificiel du Patriarcat de Kiev.
« Nous n’avions et n’avons pas de doutes quant à la validité de nos sacrements. Nous n’avons donc pas demandé à l’Eglise gréco-catholique de reconnaître nos sacrements, mais de témoigner de leur position à propos du sacrement du Baptême, a souligné l’archevêque Eustrate. Et nous avons obtenu cette reconnaissance qui reflète la position non seulement de cette Eglise. Il sera difficile pour nos opposants de l’ignorer comme ils ignorent nos appels », a dit l’archevêque.
Les représentants du Patriarcat ont également communiqué que la lettre du chef de l’Eglise gréco-catholique a été lue au patriarche Philarète par le téléphone car il est se trouve actuellement aux Etats-Unis. Le patriarche de l’EOU (Patriarcat de Kiev) l’a apprécié comme positive et autorisé à la publication.
Bogoslov.ru
Traduction Dimitri Garmonov
Une visite historique en Israël et dans les territoires palestiniens, « placée sous le signe de la paix »
Le patriarche de l’Église russe Kirill s’est rendu samedi 10 novembre à la basilique de la Nativité à Bethléem, en Cisjordanie, au deuxième jour de sa visite en Terre sainte. Après cette visite, le patriarche devait rencontrer le président palestinien Mahmoud Abbas.
Le patriarche Kirill de Moscou, 65 ans, a commencé vendredi à Jérusalem une visite historique de six jours en Terre sainte, la première depuis qu’il a été intronisé comme chef de l’Église orthodoxe russe en 2009. Au cours de son séjour, il doit visiter les principaux sites chrétiens et se rendre au mémorial de la Shoah de Yad Vashem à Jérusalem. Il sera aussi reçu par le président israélien Shimon Pérès.
Le patriarche de l’Église russe Kirill s’est rendu samedi 10 novembre à la basilique de la Nativité à Bethléem, en Cisjordanie, au deuxième jour de sa visite en Terre sainte. Après cette visite, le patriarche devait rencontrer le président palestinien Mahmoud Abbas.
Le patriarche Kirill de Moscou, 65 ans, a commencé vendredi à Jérusalem une visite historique de six jours en Terre sainte, la première depuis qu’il a été intronisé comme chef de l’Église orthodoxe russe en 2009. Au cours de son séjour, il doit visiter les principaux sites chrétiens et se rendre au mémorial de la Shoah de Yad Vashem à Jérusalem. Il sera aussi reçu par le président israélien Shimon Pérès.
Une visite qui ne veut pas être « politique »
Le patriarche Kirill traversera le Jourdain, pour se rendre le 13 novembre en Jordanie, où il rencontrera le roi Abdallah II. Suite LA CROIX
Предстоятель Русской Православной Церкви посетил базилику Рождества Христова в Вифлееме
Visite historique du patriarche russe Kirill en Terre Sainte !
Le patriarche Kirill traversera le Jourdain, pour se rendre le 13 novembre en Jordanie, où il rencontrera le roi Abdallah II. Suite LA CROIX
Предстоятель Русской Православной Церкви посетил базилику Рождества Христова в Вифлееме
Visite historique du patriarche russe Kirill en Terre Sainte !
Nous continuons à traduire les conseils de Mgr Panteleimon de Smolensk et de Viazma pour la première confession.
Traduction V. GOLOVANOW
4. Avant la confession
Dites simplement au prêtre: «Père, je ne me suis jamais confessé" ou, " je ne me suis pas confessé depuis très longtemps", ou «je voudrais parler sérieusement de la confession; je ne comprends pas tout. Pourriez-vous m'accorder un moment? Dites-moi quand venir? Je vais m'arranger au travail, je viendrais tard le soir s'il le faut, ou le dimanche. Accordez-moi simplement une demi-heure. Et je ne voudrais pas que d'autre nous entendent. Je voudrais parler avec vous seul." Il faudra alors faire ce que le Père vous dira. S'il répond qu'il est très occupé et ne peut pas trouver de temps pour vous – il faut aller en chercher un autre.
Si vous n'êtes pas prêt pour la confession et voulez juste en parler – dites le clairement au prêtre. Au cours de l'entretien, n'ayez pas honte et dites simplement ce que vous pensez. Ne craignez pas d'offenser le prêtre par votre incrédulité, n'ayez pas peur de lui ouvrir des pensées qui vous paraissent mauvaises, mais qui sont prégnantes et vous tourmentent.
Traduction V. GOLOVANOW
4. Avant la confession
Dites simplement au prêtre: «Père, je ne me suis jamais confessé" ou, " je ne me suis pas confessé depuis très longtemps", ou «je voudrais parler sérieusement de la confession; je ne comprends pas tout. Pourriez-vous m'accorder un moment? Dites-moi quand venir? Je vais m'arranger au travail, je viendrais tard le soir s'il le faut, ou le dimanche. Accordez-moi simplement une demi-heure. Et je ne voudrais pas que d'autre nous entendent. Je voudrais parler avec vous seul." Il faudra alors faire ce que le Père vous dira. S'il répond qu'il est très occupé et ne peut pas trouver de temps pour vous – il faut aller en chercher un autre.
Si vous n'êtes pas prêt pour la confession et voulez juste en parler – dites le clairement au prêtre. Au cours de l'entretien, n'ayez pas honte et dites simplement ce que vous pensez. Ne craignez pas d'offenser le prêtre par votre incrédulité, n'ayez pas peur de lui ouvrir des pensées qui vous paraissent mauvaises, mais qui sont prégnantes et vous tourmentent.
. Vous devez être sincère et honnête. Si vous ne comprenez pas quelque chose, dites-le: «Je ne comprends pas pourquoi je ne peux pas vivre avec la femme que j'aime sans m'engager dans le mariage?" Ou "Pourquoi faut il laisser naître chaque enfant, pourquoi ne peut-on se prémunir contre cela?" ou "Pourquoi faut-il jeûner?" ou "Pourquoi Dieu, s'Il existe, permet-il tant de souffrances?" ou "Comment peuvent être sauvés les gens qui ne connaissent pas le Christ?".
Comme cela, carrément, sans fausse honte il faut poser au Père toutes les questions que vous avez à poser. Demandez-lui d'expliquer pourquoi certaines actions sont considérées comme un péché dans l'Église. Vous pouvez même poser des questions concernant le prêtre lui-même s'il veut bien vous répondre: : comment êtes-vous devenu croyant? Pourquoi croyez-vous que Dieu existe? Comment jeunez-vous? Est ce difficile? Comment récitez-vous les prières? Surtout racontez bien tout sur vous-même: votre cheminement, votre façon de croire en Dieu, de prier Dieu. Il faut parler franchement, ouvertement.
Il peut arriver que le prêtre ne vous comprenne pas… Alors il faut en chercher un autre: mêmes si tous les prêtres sont habillés de la même façon et se ressemblent, ils sont en fait tous différents. Comme des médecins de différentes spécialités, chacun a son talent, ses particularités, ses dons spécifiques. Et il faut trouver SON prêtre. Celui à qui vous pourrez vous confier, confier votre vie, vos proches, vos secrets les plus intimes et vos projets. Celui que vous écouterez comme si c'était la voix de Dieu.
Supposons que vous avez décidé de vous repentir de vos péchés pendant la confession. Il faudrait alors se remémorer votre vie et faire une liste pour ne rien oublier. Seulement il faut faire attention pour que cette liste ne tombe pas entre les mains de votre femme ou mari, que vos enfants ou vos collègues ne la voient pas. Cette liste peut être détaillée, ou ce peut être un bref résumé, un compte rendu sténographique.
Il n'est pas nécessaire de jeûner avant la confession, mais il est bon de lire l'Evangile, au moins l'un des quatre, et de comparer sa vie avec ce qui y est écrit.
Pendent la confession il ne faut pas se contenter de parler de ce que votre conscience vous reproche, il faut aussi aborder ce que l'Eglise considère comme péché: lisez quelque chose sur ce sujet, mais sans excès; méfiez vous surtout de ces listes de péchés douteuses qui énumèrent n'importe quoi comme «tuer les moustiques pendant la prière», ou «se prélasser dans son bain», etc. Prenez plutôt le livre de l'archimandrite Jean (Krestyankin*) sur la façon de se préparer à la confession, et parlez-en avec le prêtre au cours de votre entretien.
Cf. Commentaire 2
A suivre (Traduction VG)
Parlons d'orthodoxie
Sept questions sur la première confession I et II
Comme cela, carrément, sans fausse honte il faut poser au Père toutes les questions que vous avez à poser. Demandez-lui d'expliquer pourquoi certaines actions sont considérées comme un péché dans l'Église. Vous pouvez même poser des questions concernant le prêtre lui-même s'il veut bien vous répondre: : comment êtes-vous devenu croyant? Pourquoi croyez-vous que Dieu existe? Comment jeunez-vous? Est ce difficile? Comment récitez-vous les prières? Surtout racontez bien tout sur vous-même: votre cheminement, votre façon de croire en Dieu, de prier Dieu. Il faut parler franchement, ouvertement.
Il peut arriver que le prêtre ne vous comprenne pas… Alors il faut en chercher un autre: mêmes si tous les prêtres sont habillés de la même façon et se ressemblent, ils sont en fait tous différents. Comme des médecins de différentes spécialités, chacun a son talent, ses particularités, ses dons spécifiques. Et il faut trouver SON prêtre. Celui à qui vous pourrez vous confier, confier votre vie, vos proches, vos secrets les plus intimes et vos projets. Celui que vous écouterez comme si c'était la voix de Dieu.
Supposons que vous avez décidé de vous repentir de vos péchés pendant la confession. Il faudrait alors se remémorer votre vie et faire une liste pour ne rien oublier. Seulement il faut faire attention pour que cette liste ne tombe pas entre les mains de votre femme ou mari, que vos enfants ou vos collègues ne la voient pas. Cette liste peut être détaillée, ou ce peut être un bref résumé, un compte rendu sténographique.
Il n'est pas nécessaire de jeûner avant la confession, mais il est bon de lire l'Evangile, au moins l'un des quatre, et de comparer sa vie avec ce qui y est écrit.
Pendent la confession il ne faut pas se contenter de parler de ce que votre conscience vous reproche, il faut aussi aborder ce que l'Eglise considère comme péché: lisez quelque chose sur ce sujet, mais sans excès; méfiez vous surtout de ces listes de péchés douteuses qui énumèrent n'importe quoi comme «tuer les moustiques pendant la prière», ou «se prélasser dans son bain», etc. Prenez plutôt le livre de l'archimandrite Jean (Krestyankin*) sur la façon de se préparer à la confession, et parlez-en avec le prêtre au cours de votre entretien.
Cf. Commentaire 2
A suivre (Traduction VG)
Parlons d'orthodoxie
Sept questions sur la première confession I et II
Le chef de l'Église orthodoxe russe va rencontrer les dirigeants israéliens et palestiniens et célébrer une messe avec le patriarche grec orthodoxe de Jérusalem.Correspondant à Moscou
Tout comme le Vatican, l'Église orthodoxe russe s'inquiète du sort des chrétiens d'Orient. Le patriarche de Moscou, Kirill, fera part de cette préoccupation lors du séjour symbolique de près d'une semaine en Terre Sainte, qu'il entreprend ce vendredi. De Jérusalem à Amman en Jordanie, en passant par les actuels territoires occupés, Kirill, qui est à la tête de la plus importante des Églises orthodoxes orientales (150 millions de fidèles), mettra l'accent sur un principe sacré: le «respect des droits de l'homme», qu'il assimile intentionnellement aux «droits des chrétiens». «Il s'agit d'une visite pastorale et de paix qui n'a aucun but politique», insiste le père Philaret, vice-président du département des relations extérieures du patriarcat. «Même si en Israël et en Palestine, les chrétiens ne sont pas la cible d'attaques, la situation, comme on le voit en Syrie et en Libye, peut changer, et ce phénomène nous inquiète», ajoute le prélat interrogé par Le Figaro. Israël compte aujourd'hui quelques 120.000 chrétiens arabes, toutes confessions confondues, et 250.000 chrétiens orthodoxes. SUITE Le Figaro
Tout comme le Vatican, l'Église orthodoxe russe s'inquiète du sort des chrétiens d'Orient. Le patriarche de Moscou, Kirill, fera part de cette préoccupation lors du séjour symbolique de près d'une semaine en Terre Sainte, qu'il entreprend ce vendredi. De Jérusalem à Amman en Jordanie, en passant par les actuels territoires occupés, Kirill, qui est à la tête de la plus importante des Églises orthodoxes orientales (150 millions de fidèles), mettra l'accent sur un principe sacré: le «respect des droits de l'homme», qu'il assimile intentionnellement aux «droits des chrétiens». «Il s'agit d'une visite pastorale et de paix qui n'a aucun but politique», insiste le père Philaret, vice-président du département des relations extérieures du patriarcat. «Même si en Israël et en Palestine, les chrétiens ne sont pas la cible d'attaques, la situation, comme on le voit en Syrie et en Libye, peut changer, et ce phénomène nous inquiète», ajoute le prélat interrogé par Le Figaro. Israël compte aujourd'hui quelques 120.000 chrétiens arabes, toutes confessions confondues, et 250.000 chrétiens orthodoxes. SUITE Le Figaro
Est-ce que la mentalité de l’homme postsoviétique a changé en vingt ans? Pourquoi les institutions sociales ne remplissent pas leur vocation ? Est-ce que l’on peut placer nos espoirs en les nouvelles générations ? Le protopresbytre Lev Semenov, docteur ès sciences historiques, donne ses réponses.
Le passé n’est pas, hélas, parti. On en finira avec lorsque les villes et les rues retrouveront leurs noms historiques. Certaines d’entre elles portent toujours les noms odieux des terroristes, des criminels d’Etat et des responsables de la catastrophe nationale de 1917.
L’héritage soviétique disparaîtra lorsque la momie de Lénine sera retirée de la place centrale de notre capitale et le mausolée deviendra un musée.
On pourrait y organiser une exposition électronique présentant des témoignages ainsi que les conséquences du coup d’état d’octobre 1917. Ce serait le livre de la mémoire de toutes les victimes de la révolution, de la guerre civile et de la terreur.Pour moi l’héritage soviétique est un matérialisme vulgaire imposé ainsi qu’une critique primitive de la religion sous prétexte qu’elle contredirait la science émanant de certains professeurs à l’esprit soviétique. C’est une manifestation de mentalité athée narguant l’histoire millénaire ainsi que la tradition culturelle de la Russie.
Le passé n’est pas, hélas, parti. On en finira avec lorsque les villes et les rues retrouveront leurs noms historiques. Certaines d’entre elles portent toujours les noms odieux des terroristes, des criminels d’Etat et des responsables de la catastrophe nationale de 1917.
L’héritage soviétique disparaîtra lorsque la momie de Lénine sera retirée de la place centrale de notre capitale et le mausolée deviendra un musée.
On pourrait y organiser une exposition électronique présentant des témoignages ainsi que les conséquences du coup d’état d’octobre 1917. Ce serait le livre de la mémoire de toutes les victimes de la révolution, de la guerre civile et de la terreur.Pour moi l’héritage soviétique est un matérialisme vulgaire imposé ainsi qu’une critique primitive de la religion sous prétexte qu’elle contredirait la science émanant de certains professeurs à l’esprit soviétique. C’est une manifestation de mentalité athée narguant l’histoire millénaire ainsi que la tradition culturelle de la Russie.
L’héritage soviétique est un manque de liberté intérieure et l’asservissement à une idéologie.
C’est une sorte de dédoublement lorsque la personne pense une chose, en dit une autre chose et agit tout à fait autrement. Aussi les institutions sociales ne peuvent pas fonctionner. La communauté se dépérit, les hommes deviennent égoïstes.
Les mariages ratés, les divorces ainsi que la pratique courante du concubinage sont une conséquence de l’oubli de la tradition orthodoxe. Faut-il s’étonner des problèmes démographiques de notre société et de la baisse de la natalité ?
Par exemple, pour certains milieux libéraux la notion même de patriotisme est presque une injure. Je suis persuadé que les racines des maux dans les relations internationales remontent au manque d’éducation patriotique. La foi unissait nos pères aux moments des dures épreuves, face aux invasions étrangères. Il n’est pas fortuit que pendant la deuxième Guerre Mondiale 1941 – 1945 le pouvoir athée s’est rappelé des traditions orthodoxes et a rétabli des décorations militaires en l’honneur des grands capitaines du passé.
La renaissance de la vie paroissiale peut contribuer à la reconstitution de la société russe. L’activité missionnaire et sociale, le travail avec les jeunes dans le cadre des paroisses exercés avec la bénédiction du patriarche Cyrille revêt beaucoup d’importance.
Il faut cependant, prendre en compte le fait que l’Eglise en tant que communauté accueille beaucoup de néophytes, de personnes qui ne sont pas enracinées dans la culture ecclésiastique. A la recherche de la nourriture spirituelle ces personnes véhiculent beaucoup de préjugés et de superstitions. Il faut du temps pour que ces personnes puissent s’ecclésialiser.
Je place mes espoirs en les nouvelles générations, les moins de 20 ans parce que tous ceux qui ont grandi sous le régime soviétique, même s’ils répudient l’idéologie d’antan demeurent soviétiques de par leur mentalité et leur comportement. Ils restent souvent porteurs de ce qui leur a été inculqué.
Pourquoi rien n’a changé en vingt ans ?
Parce que la jeune génération est éduquée par des parents et des grands parents à l’esprit soviétique.Ce n’est pas de leur faute mais c’est un fait auquel nous faisons face au quotidien. Parfois on me demande si tout a été si négatif et souvent on se souvient de l’idéal du collectivisme et de l’entraide. Les côtés positifs se manifestaient à l’époque plutôt en dépit du régime soviétique. Ainsi, l’humanité, le sens de l’entraide, l’affection s’exprimaient dans la chanson d’auteur qui était une alternative à la culture officieuse. Beaucoup de phénomènes positifs avaient été préservés de l’époque d’avant la révolution. Ils étaient fondés plutôt sur les valeurs traditionnelles que sur l’idéologie soviétique.
Du 8 novembre au 9 décembre le musée d’histoire moderne de Russie (Moscou, 21, rue Tverskaya) abritera l’exposition « L’Eglise Russe : se maintenir face au pouvoir soviétique »
L’exposition est organisée conjointement par le musée et l’université orthodoxe Saint Tikhon dans le cadre de l’Année de l’histoire russe. Elle marque les 20 ans d’existence de l’université Saint-Tikhon.
L’exposition est le résultat de 20 ans de recherches. Des centaines de documents ont été étudiés. Le musée d’Etat d’histoire moderne de la Russie y présente des documents importants appartenant à ses archives.
Traduction pour "PO" Elena Tastevin
" Нескучный сад" "Советское наследие – двуличие и внутренняя несвобода"
C’est une sorte de dédoublement lorsque la personne pense une chose, en dit une autre chose et agit tout à fait autrement. Aussi les institutions sociales ne peuvent pas fonctionner. La communauté se dépérit, les hommes deviennent égoïstes.
Les mariages ratés, les divorces ainsi que la pratique courante du concubinage sont une conséquence de l’oubli de la tradition orthodoxe. Faut-il s’étonner des problèmes démographiques de notre société et de la baisse de la natalité ?
Par exemple, pour certains milieux libéraux la notion même de patriotisme est presque une injure. Je suis persuadé que les racines des maux dans les relations internationales remontent au manque d’éducation patriotique. La foi unissait nos pères aux moments des dures épreuves, face aux invasions étrangères. Il n’est pas fortuit que pendant la deuxième Guerre Mondiale 1941 – 1945 le pouvoir athée s’est rappelé des traditions orthodoxes et a rétabli des décorations militaires en l’honneur des grands capitaines du passé.
La renaissance de la vie paroissiale peut contribuer à la reconstitution de la société russe. L’activité missionnaire et sociale, le travail avec les jeunes dans le cadre des paroisses exercés avec la bénédiction du patriarche Cyrille revêt beaucoup d’importance.
Il faut cependant, prendre en compte le fait que l’Eglise en tant que communauté accueille beaucoup de néophytes, de personnes qui ne sont pas enracinées dans la culture ecclésiastique. A la recherche de la nourriture spirituelle ces personnes véhiculent beaucoup de préjugés et de superstitions. Il faut du temps pour que ces personnes puissent s’ecclésialiser.
Je place mes espoirs en les nouvelles générations, les moins de 20 ans parce que tous ceux qui ont grandi sous le régime soviétique, même s’ils répudient l’idéologie d’antan demeurent soviétiques de par leur mentalité et leur comportement. Ils restent souvent porteurs de ce qui leur a été inculqué.
Pourquoi rien n’a changé en vingt ans ?
Parce que la jeune génération est éduquée par des parents et des grands parents à l’esprit soviétique.Ce n’est pas de leur faute mais c’est un fait auquel nous faisons face au quotidien. Parfois on me demande si tout a été si négatif et souvent on se souvient de l’idéal du collectivisme et de l’entraide. Les côtés positifs se manifestaient à l’époque plutôt en dépit du régime soviétique. Ainsi, l’humanité, le sens de l’entraide, l’affection s’exprimaient dans la chanson d’auteur qui était une alternative à la culture officieuse. Beaucoup de phénomènes positifs avaient été préservés de l’époque d’avant la révolution. Ils étaient fondés plutôt sur les valeurs traditionnelles que sur l’idéologie soviétique.
Du 8 novembre au 9 décembre le musée d’histoire moderne de Russie (Moscou, 21, rue Tverskaya) abritera l’exposition « L’Eglise Russe : se maintenir face au pouvoir soviétique »
L’exposition est organisée conjointement par le musée et l’université orthodoxe Saint Tikhon dans le cadre de l’Année de l’histoire russe. Elle marque les 20 ans d’existence de l’université Saint-Tikhon.
L’exposition est le résultat de 20 ans de recherches. Des centaines de documents ont été étudiés. Le musée d’Etat d’histoire moderne de la Russie y présente des documents importants appartenant à ses archives.
Traduction pour "PO" Elena Tastevin
" Нескучный сад" "Советское наследие – двуличие и внутренняя несвобода"
V.G.
D'après le père Alexandre Schmemann, "La vénération de la Vierge Marie"."Сauseries sur Radio Liberté"; édition de l'université orthodoxe St Tikhon, Moscou 2009, p.426-427
Ce n'est pas un hasard si de nos jours tout est devenu si "problématique" dans tous les domaines: "problème du bonheur", "problème de l'emploi", "problème sexuel", "problème des femmes"… Cela vient d'abord du fait que les réponses standardisées de la Pensée Unique ont cessé de fonctionner, et ensuite parce qu'il n'y a pas d'autres réponses et où aller les chercher… mystère. Alors s'installent en nous ce vide et ce cynisme que nous voulons étouffer, que nous cherchons à fuir.
Beaucoup commencent alors à comprendre qu'il ne peut y avoir de vraie réponse si l'homme ne se tourne pas vers une connaissance supérieure, s'il ne trouve pas la foi. Mais il y a différentes façon de croire en Dieu: la foi peut n'être qu'une façon de fuir, une espèce d'ivresse psychologique et donc une pseudo-foi. Hélas, même au nom de la foi et au nom de Dieu on peut haïr et faire le mal, détruire et non construire…
D'après le père Alexandre Schmemann, "La vénération de la Vierge Marie"."Сauseries sur Radio Liberté"; édition de l'université orthodoxe St Tikhon, Moscou 2009, p.426-427
Ce n'est pas un hasard si de nos jours tout est devenu si "problématique" dans tous les domaines: "problème du bonheur", "problème de l'emploi", "problème sexuel", "problème des femmes"… Cela vient d'abord du fait que les réponses standardisées de la Pensée Unique ont cessé de fonctionner, et ensuite parce qu'il n'y a pas d'autres réponses et où aller les chercher… mystère. Alors s'installent en nous ce vide et ce cynisme que nous voulons étouffer, que nous cherchons à fuir.
Beaucoup commencent alors à comprendre qu'il ne peut y avoir de vraie réponse si l'homme ne se tourne pas vers une connaissance supérieure, s'il ne trouve pas la foi. Mais il y a différentes façon de croire en Dieu: la foi peut n'être qu'une façon de fuir, une espèce d'ivresse psychologique et donc une pseudo-foi. Hélas, même au nom de la foi et au nom de Dieu on peut haïr et faire le mal, détruire et non construire…
Le Christ Lui-même n'a-t-il pas dit "il en viendra beaucoup sous mon nom, …, et ils abuseront bien des gens" (Mt 24-5)? Et n'a-t-il pas ajouté "Ceux qui me disent "Seigneur, Seigneur!" n'entreront pas tous dans le royaume des cieux" (Mt 7-21)? C'est pour cela que, dès les premiers temps, le Christianisme ne se contentait pas de poser la question "Crois-tu?", car il savait que même ceux qui crucifiaient et trahissaient le Christ croyaient en quelque chose. Non, le Christianisme demandait: "Comment crois-tu et en quoi crois-tu?" Et là, quand nous essayons de répondre à cette question, devant notre regard intérieur apparait la figure de la Vierge Marie, la très sainte Mère.
Oh, cela ne signifie aucunement que son image va cacher de quelque façon que ce soit l'image du Christ, ou proposer un autre objet à notre foi qui se distinguerait de Lui. Non, car c'est du Christ et de lui seul que nous tenons cette figure comme une sorte de don, une explication de tout ce qu'enseigne, vers quoi appelle le Christ. Alors voilà, demandons-nous d'où provient sa force, d'où provient son secours aujourd'hui, là, maintenant.
Tout d'abord (et cette réponse va étonner certains) cela vient de ce qu'il s'agit d'une figure féminine. Et de fait; le premier don que nous fait le Christ, la première et la plus profonde explication de son enseignement et de son appel, nous est donné à travers l'icône de la Femme. Pourquoi est-ce si important, si consolant, si ontologique? Mais parce que notre monde est devenu totalement et désespérément "masculin". C'est l'orgueil, l'agressivité, l'antagonisme, la domination qui y règnent. Personne n'est prêt à céder quoi que ce soit, à accepter, à se taire, à se plonger dans les calmes profondeurs de la vie… Et voilà, en face de tout cela, le condamnant par sa seule présence, il y a cette figure de la Vierge Marie, la très sainte Mère, icône d'un absolu abandon, d'une absolue pureté, mais aussi de la beauté et de la force de cet abandon; de la beauté et de la force de cette pureté, icône de l'amour et de sa victoire.
La Vierge Marie, très sainte Mère, n'exige rien – mais reçoit tout, ne lutte pas – mais possède tout. Dans cette figure il y a tout ce dont il ne reste presque plus rien dans notre monde "masculin" orgueilleux et agressif: la compassion, la pitié, la charité, la confiance. Elle se qualifie elle-même: "Je suis la servante du Seigneur" (Lc 1-38), mais nous l'appelons Reine du ciel et de la terre, Souveraine et Notre Dame. La vierge Marie n'enseigne pas, ne prouve pas, mais Sa seule présence, la lumière, la joie de cette présence, enlèvent toutes nos problèmes inventés, extravagués. C'est comme si après une longue journée, terriblement pénible, nous rentrons à la maison et tout est à nouveau clair, tout est plein de ce bonheur qu'aucun mot ne peut définir et qui est, justement, le vrai bonheur.
Le Christ disait: "Cherchez d'abord le Royaume de Dieu" (cf. Mt 6-33). Et bien c'est dans cette Vierge, Mère, dans son intercession que nous découvrons dans notre cœur, et non par notre intelligence, ce que signifie rechercher et trouver ce Royaume, ce que signifie vivre de ce Royaume.
....................................
"PO" Père Alexandre Schmemann : par Georges Nivat, père Andrew Phillips, Marie Genko, Vladimir Golovanow, etc.
...........................................
"LA JOIE DU ROYAUME",
Actes du Colloque international Alexandre Schmemann (11-14 décembre 2008), Paris, YMCA-Press, 2012, 321 p.
Les Editeurs Réunis
Dans ce livre ont été réunies et le cas échéant traduites en français une trentaine de contributions présentées au colloque international qui s’est déroulé en décembre 2008 à l’Institut de Théologie Saint Serge à Paris à l’occasion du 25e anniversaire du décès du père Alexandre Schmemann (1921-1983). Les articles ont été répartis en cinq parties, qui abordent successivement les divers aspects de l’activité multiforme du théologien, liturgiste, homme d’église, pasteur et homme de lettres que fut le père Alexandre. L’ensemble permet de faire le point sur la réception de cette œuvre et l’influence qu’elle exerce aujourd’hui dans les différentes régions du monde orthodoxe (Europe Occidentale, États-Unis, Grèce, Russie, Roumanie…), et au-delà. Héritier du grand renouveau théologique et spirituel russe, élevé dans la culture occidentale, notamment française, le père Alexandre Schmemann a très tôt perçu la crise que traversait l’Église orthodoxe, qui au fil des siècles s’était laissé exclure de l’histoire. Il n’avait dès lors cessé, dans ses œuvres et par sa parole, d’appeler de ses vœux un renouveau, qui permettrait à l’Église orthodoxe de renouer avec son temps, mais aussi avec sa dimension eschatologique, afin de porter au monde non seulement l’héritage de son passé, aussi prestigieux fût-il, mais l’annonce, toujours actuelle et vivante du Royaume.
Oh, cela ne signifie aucunement que son image va cacher de quelque façon que ce soit l'image du Christ, ou proposer un autre objet à notre foi qui se distinguerait de Lui. Non, car c'est du Christ et de lui seul que nous tenons cette figure comme une sorte de don, une explication de tout ce qu'enseigne, vers quoi appelle le Christ. Alors voilà, demandons-nous d'où provient sa force, d'où provient son secours aujourd'hui, là, maintenant.
Tout d'abord (et cette réponse va étonner certains) cela vient de ce qu'il s'agit d'une figure féminine. Et de fait; le premier don que nous fait le Christ, la première et la plus profonde explication de son enseignement et de son appel, nous est donné à travers l'icône de la Femme. Pourquoi est-ce si important, si consolant, si ontologique? Mais parce que notre monde est devenu totalement et désespérément "masculin". C'est l'orgueil, l'agressivité, l'antagonisme, la domination qui y règnent. Personne n'est prêt à céder quoi que ce soit, à accepter, à se taire, à se plonger dans les calmes profondeurs de la vie… Et voilà, en face de tout cela, le condamnant par sa seule présence, il y a cette figure de la Vierge Marie, la très sainte Mère, icône d'un absolu abandon, d'une absolue pureté, mais aussi de la beauté et de la force de cet abandon; de la beauté et de la force de cette pureté, icône de l'amour et de sa victoire.
La Vierge Marie, très sainte Mère, n'exige rien – mais reçoit tout, ne lutte pas – mais possède tout. Dans cette figure il y a tout ce dont il ne reste presque plus rien dans notre monde "masculin" orgueilleux et agressif: la compassion, la pitié, la charité, la confiance. Elle se qualifie elle-même: "Je suis la servante du Seigneur" (Lc 1-38), mais nous l'appelons Reine du ciel et de la terre, Souveraine et Notre Dame. La vierge Marie n'enseigne pas, ne prouve pas, mais Sa seule présence, la lumière, la joie de cette présence, enlèvent toutes nos problèmes inventés, extravagués. C'est comme si après une longue journée, terriblement pénible, nous rentrons à la maison et tout est à nouveau clair, tout est plein de ce bonheur qu'aucun mot ne peut définir et qui est, justement, le vrai bonheur.
Le Christ disait: "Cherchez d'abord le Royaume de Dieu" (cf. Mt 6-33). Et bien c'est dans cette Vierge, Mère, dans son intercession que nous découvrons dans notre cœur, et non par notre intelligence, ce que signifie rechercher et trouver ce Royaume, ce que signifie vivre de ce Royaume.
....................................
"PO" Père Alexandre Schmemann : par Georges Nivat, père Andrew Phillips, Marie Genko, Vladimir Golovanow, etc.
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"LA JOIE DU ROYAUME",
Actes du Colloque international Alexandre Schmemann (11-14 décembre 2008), Paris, YMCA-Press, 2012, 321 p.
Les Editeurs Réunis
Dans ce livre ont été réunies et le cas échéant traduites en français une trentaine de contributions présentées au colloque international qui s’est déroulé en décembre 2008 à l’Institut de Théologie Saint Serge à Paris à l’occasion du 25e anniversaire du décès du père Alexandre Schmemann (1921-1983). Les articles ont été répartis en cinq parties, qui abordent successivement les divers aspects de l’activité multiforme du théologien, liturgiste, homme d’église, pasteur et homme de lettres que fut le père Alexandre. L’ensemble permet de faire le point sur la réception de cette œuvre et l’influence qu’elle exerce aujourd’hui dans les différentes régions du monde orthodoxe (Europe Occidentale, États-Unis, Grèce, Russie, Roumanie…), et au-delà. Héritier du grand renouveau théologique et spirituel russe, élevé dans la culture occidentale, notamment française, le père Alexandre Schmemann a très tôt perçu la crise que traversait l’Église orthodoxe, qui au fil des siècles s’était laissé exclure de l’histoire. Il n’avait dès lors cessé, dans ses œuvres et par sa parole, d’appeler de ses vœux un renouveau, qui permettrait à l’Église orthodoxe de renouer avec son temps, mais aussi avec sa dimension eschatologique, afin de porter au monde non seulement l’héritage de son passé, aussi prestigieux fût-il, mais l’annonce, toujours actuelle et vivante du Royaume.
Le greffe de la Cour de cassation annonce, qu’une nouvelle audience est fixée pour le 15 janvier pour examiner le pourvoi de l’ACOR Nice.
Il n’y aura donc pas publication de l’arrêt le 12 décembre comme cela avait été dit
Il n’y aura donc pas publication de l’arrêt le 12 décembre comme cela avait été dit
V. GOLOVANOW
Pourquoi tant de gens qui se disent chrétiens orthodoxes, savent si peu au sujet de la vie spirituelle? Pourquoi le nombre de chrétiens orthodoxes dans notre pays est en croissance, mais il n'y a pas plus d'amour? C'est qu'en fait les gens ne savent pas ou ont oublié ces paroles que le Seigneur a dites une seule fois, mais qu'Il a dites pour tous ceux qui vivent et qui vont vivre, «... Repentez-vous car le royaume des cieux est proche» (Matthieu 4: 17). Qu'est-ce que la repentance? Comment lutter contre le péché en vous-même?
Mgr Panteleimon de Smolensk et de Viazma nous parle de la première confession.
1. Que signifie la confession?
Dieu est Amour: La plupart des gens ne savent pas comment se repentir de leurs péchés, ne savent pas ce qu'est le péché. Ils ne connaissent pas l'amour de Dieu, qui peut purifier leurs âmes de tous les pires péchés et les plus terribles. Croyant en Dieu, ils ne croient pas en l'Amour. Ils connaissent le calendrier des fêtes et des carêmes, mais ils ne savent pas l'essentiel: que Dieu est Amour. Qu'Il est venu sur terre pour nous purifier du mal et du péché.
Pourquoi tant de gens qui se disent chrétiens orthodoxes, savent si peu au sujet de la vie spirituelle? Pourquoi le nombre de chrétiens orthodoxes dans notre pays est en croissance, mais il n'y a pas plus d'amour? C'est qu'en fait les gens ne savent pas ou ont oublié ces paroles que le Seigneur a dites une seule fois, mais qu'Il a dites pour tous ceux qui vivent et qui vont vivre, «... Repentez-vous car le royaume des cieux est proche» (Matthieu 4: 17). Qu'est-ce que la repentance? Comment lutter contre le péché en vous-même?
Mgr Panteleimon de Smolensk et de Viazma nous parle de la première confession.
1. Que signifie la confession?
Dieu est Amour: La plupart des gens ne savent pas comment se repentir de leurs péchés, ne savent pas ce qu'est le péché. Ils ne connaissent pas l'amour de Dieu, qui peut purifier leurs âmes de tous les pires péchés et les plus terribles. Croyant en Dieu, ils ne croient pas en l'Amour. Ils connaissent le calendrier des fêtes et des carêmes, mais ils ne savent pas l'essentiel: que Dieu est Amour. Qu'Il est venu sur terre pour nous purifier du mal et du péché.
Ils ne savent pas qu'il a pris sur Lui nos péchés et détruit leur pouvoir. Le péché ne prend force que si nous l'acceptons. Mais il est impuissant si nous lui résistons. Et chacun a la possibilité d'éviter le péché, de se débarrasser de la puissance du diable et de vivre ici, sur terre, comme dans le Royaume des Cieux, rempli de joie, de lumière et de grâce. Cette force, cette connaissance, cette possibilité chacun les reçoit en faisant un pas décisif: en allant se confesser.
Les racines du péché sont profondes: Beaucoup pensent: «Mais qu'est ce que j'ai comme péchés? Je ne suis pas avide, je ne bois pas, je n'ai tué personne. Je ne suis pas aussi méchant que mon chef. Pas aussi fruste que le concierge. Je vais de temps en temps à l'église. En fait je ne pèche pas vraiment. De quoi devrai-je me repentir? Bien sur, j'ai eu quelques péchés de jeunesse, mais qui ne n'a pas péché dans ma jeunesse? Et maintenant je ne ressens pas le besoin de me confesser,... " A tous ces gens je veux dire: chers amis, malheureusement, vous ne pouvez même pas imaginer à quel point le péché vous a envahi, combien le mal tient votre âme en son pouvoir. Vous ne voyez que de petites feuilles sur ce que vous pensez être un germe de péché dans votre âme, mais ses racines sont en fait terriblement profondes! Et pour détruire le péché en soi, pour qu'il n'enserre plus votre âme de ses rets, il vous faut impérativement y réfléchir, vous rappeler tout ce que vous avez fait un jour, vous repentir.
La guérison par le Christ: Je vous suggèrerais de lire le merveilleux livre de l'archimandrite Jean (Krestyankin) «L'expérience d'une confession», où il explique ce que signifient pour l'homme moderne les commandements de l'Ancien Testament, ceux que vous connaissez tous: tu ne tueras, tu ne voleras pas, etc., et comment comprendre les commandements donné par le Christ pour notre bonheur. Je pense que les yeux s'ouvriront pour nombre d'entre vous et vous vous rendrez compte que votre vie est bel et bien remplie de graves péchés. Mais ce n'est pas une raison de se laisser aller au désespoir, savoir cela ne doit pas vous écraser. Cette connaissance doit vous ramener à Dieu, vous conduire au Christ. Si nous reconnaissons nos péchés, ce n'est pas pour pleurer et nous désoler, bien que cela soit parfois nécessaire, mais pour qu'ayant diagnostiqué notre maladie de pécheur, nous allions chez le médecin, le Christ, et recevions la guérison. Le Seigneur peut vous libérer de la puissance du diable; vous soulager de ce qui vous fait souffrir; de ce qui fait peser votre âme ce fardeau invisible mais tellement lourd.
" Neskoutchny sad "
Traduction V.G.
Les racines du péché sont profondes: Beaucoup pensent: «Mais qu'est ce que j'ai comme péchés? Je ne suis pas avide, je ne bois pas, je n'ai tué personne. Je ne suis pas aussi méchant que mon chef. Pas aussi fruste que le concierge. Je vais de temps en temps à l'église. En fait je ne pèche pas vraiment. De quoi devrai-je me repentir? Bien sur, j'ai eu quelques péchés de jeunesse, mais qui ne n'a pas péché dans ma jeunesse? Et maintenant je ne ressens pas le besoin de me confesser,... " A tous ces gens je veux dire: chers amis, malheureusement, vous ne pouvez même pas imaginer à quel point le péché vous a envahi, combien le mal tient votre âme en son pouvoir. Vous ne voyez que de petites feuilles sur ce que vous pensez être un germe de péché dans votre âme, mais ses racines sont en fait terriblement profondes! Et pour détruire le péché en soi, pour qu'il n'enserre plus votre âme de ses rets, il vous faut impérativement y réfléchir, vous rappeler tout ce que vous avez fait un jour, vous repentir.
La guérison par le Christ: Je vous suggèrerais de lire le merveilleux livre de l'archimandrite Jean (Krestyankin) «L'expérience d'une confession», où il explique ce que signifient pour l'homme moderne les commandements de l'Ancien Testament, ceux que vous connaissez tous: tu ne tueras, tu ne voleras pas, etc., et comment comprendre les commandements donné par le Christ pour notre bonheur. Je pense que les yeux s'ouvriront pour nombre d'entre vous et vous vous rendrez compte que votre vie est bel et bien remplie de graves péchés. Mais ce n'est pas une raison de se laisser aller au désespoir, savoir cela ne doit pas vous écraser. Cette connaissance doit vous ramener à Dieu, vous conduire au Christ. Si nous reconnaissons nos péchés, ce n'est pas pour pleurer et nous désoler, bien que cela soit parfois nécessaire, mais pour qu'ayant diagnostiqué notre maladie de pécheur, nous allions chez le médecin, le Christ, et recevions la guérison. Le Seigneur peut vous libérer de la puissance du diable; vous soulager de ce qui vous fait souffrir; de ce qui fait peser votre âme ce fardeau invisible mais tellement lourd.
" Neskoutchny sad "
Traduction V.G.
Mgr Panteleimon de Smolensk et de Viazma nous parle de la première confession: dans " Que signifie la confession?" il suggère "de lire le merveilleux livre de l'archimandrite Jean (Krestyankine) «L'expérience d'une confession», où il explique ce que signifient pour l'homme moderne les commandements de l'Ancien Testament… et conclut "Le Seigneur peut vous libérer de la puissance du diable; vous soulager de ce qui vous fait souffrir; de ce qui fait peser sur votre âme ce fardeau invisible mais tellement lourd."
Voici la suite (traduction VG)
2. Pourquoi se confesser?
Il ne suffit pas, après avoir lu le livre, de se repentir devant Dieu par la prière. Certains me demandent: "Pourquoi devrais-je me confesser? Je me remémore déjà tous mes péchés chaque jour et j'en demande pardon à Dieu." Alors je leur pose question: mais comment savez-vous que vos péchés sont pardonnés? Après tout, nos sens peuvent nous tromper. Il arrive parfois que, assis dans le train, il nous semble que le train part, mais en fait notre train ne bouge pas et c'est le train voisin qui part et que nous voyons bouger par la fenêtre. Les impressions sont trompeuses dans cette vie.
Voici la suite (traduction VG)
2. Pourquoi se confesser?
Il ne suffit pas, après avoir lu le livre, de se repentir devant Dieu par la prière. Certains me demandent: "Pourquoi devrais-je me confesser? Je me remémore déjà tous mes péchés chaque jour et j'en demande pardon à Dieu." Alors je leur pose question: mais comment savez-vous que vos péchés sont pardonnés? Après tout, nos sens peuvent nous tromper. Il arrive parfois que, assis dans le train, il nous semble que le train part, mais en fait notre train ne bouge pas et c'est le train voisin qui part et que nous voyons bouger par la fenêtre. Les impressions sont trompeuses dans cette vie.
. Et ici aussi: il y a sur terre des gens qui ont reçu le pouvoir de pardonner les péchés et c'est à eux qu'il faut s'adresser: ce sont les prêtres; ils ont chacun un pouvoir donné par Dieu pour guérir les âmes. Par le prêtre, quel qu'il fût, quand quelqu'un vient à lui avec foi en Dieu, Dieu lui-même agit. Ce n'est pas le prêtre qui pardonne les péchés - Dieu pardonne les péchés. Le prêtre est seulement un médiateur entre Dieu et vous.Et sans le médiateur qui dit: «Dieu t'a pardonné," qui en témoigne le jour de la confession et aussi le Jour du Jugement, il est impossible de recevoir le pardon des péchés; il est impossible de savoir exactement ce qu'il en est. Bien entendu, si quelqu'un vit dans le désert, et il qu'il n'y a pas de prêtre à proximité, Dieu peut le pardonner directement. Mais si il y a une église, si il ya une personne spéciale que Dieu a mise là, et vous le dédaignez - comment pouvez-vous obtenir le pardon des péchés?
3. A qui se confesser?
Pour organiser une rencontre avec le prêtre, mieux vaut ne pas demander à ceux qui travaillent dans l'église car ils ne vous aideront pas objectivement: ils protègent généralement "leur" prêtre, considérant qu'il a beaucoup à faire; il vaut mieux s'adresser directement au prêtre lui-même. Mais avant cela, voyez donc comment il agit avec les autres: s'il est plein de bonté, s'il sourit, s'il parle à quelqu'un avec gentillesse, alors vous pouvez vous approcher franchement. Il est très important de trouver un bon prêtre pour la première confession; ensuite vous choisirez peut-être comme père spirituel un vieux starets strict, qui va faire votre éducation…. et ce sera bénéfique. Mais pour la première fois, pour la première confession, il faut un prêtre qui se tient à la porte, comme un portier, et laisse chacun entrer dans l'église.
Si vous habitez une grande ville, où il y a beaucoup d'églises, vous pouvez aussi choisir un prêtre qui vous soit proche: une personne éduquée a besoin d'un prêtre intellectuel, quelqu'un de simple – un prêtre plus simple, et un autre pourrait encore vouloir que le prêtre ait le sens de l'humour. Mais il vaut mieux choisir un prêtre d'âge mûr, expérimenté, qui a entendu beaucoup de confessions: ce que vous direz ne va probablement pas l'étonner et il réagira calmement à ce que vous lui révélerez. Un prêtre bon et expérimenté - voilà ce qu'il vous faut. Et pour le trouver il faut absolument en faire la prière à Dieu.
A suivre…
" Neskoutchny sad "
3. A qui se confesser?
Pour organiser une rencontre avec le prêtre, mieux vaut ne pas demander à ceux qui travaillent dans l'église car ils ne vous aideront pas objectivement: ils protègent généralement "leur" prêtre, considérant qu'il a beaucoup à faire; il vaut mieux s'adresser directement au prêtre lui-même. Mais avant cela, voyez donc comment il agit avec les autres: s'il est plein de bonté, s'il sourit, s'il parle à quelqu'un avec gentillesse, alors vous pouvez vous approcher franchement. Il est très important de trouver un bon prêtre pour la première confession; ensuite vous choisirez peut-être comme père spirituel un vieux starets strict, qui va faire votre éducation…. et ce sera bénéfique. Mais pour la première fois, pour la première confession, il faut un prêtre qui se tient à la porte, comme un portier, et laisse chacun entrer dans l'église.
Si vous habitez une grande ville, où il y a beaucoup d'églises, vous pouvez aussi choisir un prêtre qui vous soit proche: une personne éduquée a besoin d'un prêtre intellectuel, quelqu'un de simple – un prêtre plus simple, et un autre pourrait encore vouloir que le prêtre ait le sens de l'humour. Mais il vaut mieux choisir un prêtre d'âge mûr, expérimenté, qui a entendu beaucoup de confessions: ce que vous direz ne va probablement pas l'étonner et il réagira calmement à ce que vous lui révélerez. Un prêtre bon et expérimenté - voilà ce qu'il vous faut. Et pour le trouver il faut absolument en faire la prière à Dieu.
A suivre…
" Neskoutchny sad "
Nice: Le pourvoi en cassation introduit par l'ACOR Nice a été examiné le 6 novembre 2012. La Cour de cassation rendra son arrêt le 12 décembre 2012
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"PO" Nice : une déclaration de l’administration du Président russe
Le litige sur la propriété de la cathédrale russe de Nice (39 Résultats pour votre recherche )
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"PO" Nice : une déclaration de l’administration du Président russe
Le litige sur la propriété de la cathédrale russe de Nice (39 Résultats pour votre recherche )
Le hiéromoine Joseph (Pavlinciuc), secrétaire du diocèse de Chersonèse pour la diaspora moldave et recteur de la communauté en l’honneur de Saint Païssios de Neamt, a officié une première divine liturgie dans un nouveau sanctuaire attribué à la communauté par l’archevêché de Paris. Il s’agit de la chapelle Notre Dame de Liesse de la Nicolaïte situés rue du Bouquet de Longchamp, dans le XVI arrondissement de la capitale.
Une semaine auparavant la communauté moldave a signé avec le Père François d’Antin, recteur de la paroisse saint Pierre de Chaillot, un accord lui permettant d’avoir gratuitement usage de la chapelle. Les clés en ont été remises à la communauté. Le père Joseph a concélébré cette première liturgie avec l’archiprêtre Igor Trophim appartenant au diocèse de Edenetz (Moldavie).
Une agape fraternelle a eu lieu après la fin de l’office. Adresse de la nouvelle paroisse moldave : 9bis, rue du Bouquet de Longchamp, 75016, Metro Boissière.
Lien
Eparhia Corsunului regrupează parohiile Patriarhiei Moscovei din Franţa, Spania, Elveţia, Portugalia, Italia. Actualmente ea reuneşte şi parohiile din eparhia Bogorodsc, creată în 2006, pentru Italia. Din 24 decembrie 2010 cârmuitorul eparhiei Corsunului, și celei de Bogorodsc, este PS episcop Nestor (Sirotenko).
Une semaine auparavant la communauté moldave a signé avec le Père François d’Antin, recteur de la paroisse saint Pierre de Chaillot, un accord lui permettant d’avoir gratuitement usage de la chapelle. Les clés en ont été remises à la communauté. Le père Joseph a concélébré cette première liturgie avec l’archiprêtre Igor Trophim appartenant au diocèse de Edenetz (Moldavie).
Une agape fraternelle a eu lieu après la fin de l’office. Adresse de la nouvelle paroisse moldave : 9bis, rue du Bouquet de Longchamp, 75016, Metro Boissière.
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Eparhia Corsunului regrupează parohiile Patriarhiei Moscovei din Franţa, Spania, Elveţia, Portugalia, Italia. Actualmente ea reuneşte şi parohiile din eparhia Bogorodsc, creată în 2006, pentru Italia. Din 24 decembrie 2010 cârmuitorul eparhiei Corsunului, și celei de Bogorodsc, este PS episcop Nestor (Sirotenko).
Le patriarche Maxime, qui venait de fêter ses 98 ans, c’est endormi dans le Seigneur aujourd’hui à 3h50 heures dans l'hôpital « Lozinetz » à Sofia où il se trouvait depuis plusieurs semaines. Les membres du Saint-Synode de l’Église bulgare feront aujourd’hui une annonce officielle de la disparition du patriarche bulgare. Le patriarche Maxime était le plus ancien, tant par l’âge que par la durée de son ministère patriarcal, parmi les primats des Églises orthodoxes autocéphales. Orthodoxie.com
Le patriarche de Moscou et de toutes les Russies Kirill va se rendre en Terre sainte pour une visite fraternelle, a déclaré à l'AFP le père Alexandre Volkov, porte-parole de l'Eglise orthodoxe russe.Il s'agit de la première visite officielle de Kirill en Israël et dans les territoires palestiniens en tant que chef de l'Eglise orthodoxe russe, a-t-il précisé. Au cours de cette visite de six jours, le patriarche Kirill va notamment célébrer un office avec le patriarche grec orthodoxe de Jérusalem, Théophilos III, et rencontrer les dirigeants israéliens et palestiniens, selon la même source. SUITE AFP
Le 1 novembre 2012, dans le cadre de la célébration du 20e anniversaire de l’Université orthodoxe Saint-Tikhon, présentation des monographies de la série « Réformes ecclésiales : Concile local 1917-1918 » .
Ont pris part à la présentation les auteurs et les éditeurs de la série : l’archiprêtre Nicolas Balachov, rédacteur scientifique de la série, vice-président du DREE du Patriarcat de Moscou ; l’archimandrite Sabba (Toutounov), responsable adjoint des services administratifs du Patriarcat de Moscou; Giovanna Parravicini, attaché culturel à l’ambassade du Vatican. L’animateur de la soirée, le prêtre Georges Orekhanov, vice-recteur aux relations internationales de l’Université, a remarqué dans son discours l' importance particulière de la série pour la vie de l’Eglise contemporaine. Les auteurs ont ensuite raconté l’histoire de leurs recherches et les ont brièvement présentées.
Ont pris part à la présentation les auteurs et les éditeurs de la série : l’archiprêtre Nicolas Balachov, rédacteur scientifique de la série, vice-président du DREE du Patriarcat de Moscou ; l’archimandrite Sabba (Toutounov), responsable adjoint des services administratifs du Patriarcat de Moscou; Giovanna Parravicini, attaché culturel à l’ambassade du Vatican. L’animateur de la soirée, le prêtre Georges Orekhanov, vice-recteur aux relations internationales de l’Université, a remarqué dans son discours l' importance particulière de la série pour la vie de l’Eglise contemporaine. Les auteurs ont ensuite raconté l’histoire de leurs recherches et les ont brièvement présentées.
Les livres sont édités par le « Table ronde de l’enseignement religieux et la diaconie » conjointement avec la maison « Bibliothèque spirituelle » et le soutien de l’association italienne « Russie chrétienne ». Ont paru à ce jour les monographies : archiprêtre Nicolas Balachov « Sur le chemin vers la renaissance liturgique », Sergei Firsov « L’Eglise russe au seuil des changements (fin 1890 - 1918) », Elena Belyakov « Justice ecclésiale et problèmes de la vie d’Eglise », l’higoumène (maintenant l’archimandrite) Sabba (Toutounov) « Réformes diocésains », Alexandre Kravetsky « La mission de l’Eglise à l’époque des changements ».
Un récit détaillé de la soirée de l’archiprêtre Léon Semenov avec de nombreuses photos est disponible sur le site Pravmir.
D’après le site Patriarchia.ru
Traduction Dimitri Garmonov
Un récit détaillé de la soirée de l’archiprêtre Léon Semenov avec de nombreuses photos est disponible sur le site Pravmir.
D’après le site Patriarchia.ru
Traduction Dimitri Garmonov
V.G.
La question de la religion n'est pas taboue dans les recensements en République d'Irlande(1) et, sans surprise, le pays se déclare majoritairement catholique (84% soit 3,86 millions). Mais ce sont les Orthodoxes qui connaissent la croissance la plus forte: avec plus de 45 000 personnes en 2011 ils sont deux fois plus qu'en 2006, quatre fois plus qu'en 2002 et sont en passe de rattraper les Musulmans (49 000). Les Protestants représentent la deuxième religion du pays avec plus de 134 000 adeptes (majoritairement l'Église d'Irlande, province autonome de la communion anglicane), qui arrivent après les "sans religion", réponse donnée par prés de 270 000 Irlandais…
Parmi les Orthodoxes, les citoyens roumains représentent la majorité relative (26%) devant les citoyens irlandais (20%) и et les Lettons (12,5%). 7 paroisses appartiennent au patriarcat de Moscou (2).
La question de la religion n'est pas taboue dans les recensements en République d'Irlande(1) et, sans surprise, le pays se déclare majoritairement catholique (84% soit 3,86 millions). Mais ce sont les Orthodoxes qui connaissent la croissance la plus forte: avec plus de 45 000 personnes en 2011 ils sont deux fois plus qu'en 2006, quatre fois plus qu'en 2002 et sont en passe de rattraper les Musulmans (49 000). Les Protestants représentent la deuxième religion du pays avec plus de 134 000 adeptes (majoritairement l'Église d'Irlande, province autonome de la communion anglicane), qui arrivent après les "sans religion", réponse donnée par prés de 270 000 Irlandais…
Parmi les Orthodoxes, les citoyens roumains représentent la majorité relative (26%) devant les citoyens irlandais (20%) и et les Lettons (12,5%). 7 paroisses appartiennent au patriarcat de Moscou (2).
On constate donc que ce sont les immigrés qui, là aussi, assurent le dynamisme de la croissance orthodoxe, d'autant que parmi les citoyens irlandais il doit aussi y avoir des naturalisés et des enfants de l'immigration. Toutefois la crise que connaissent le catholicisme et l'anglicanisme y contribue probablement aussi. Les Catholiques irlandais sont en effet en pointe dans le mouvement de "libéralisation" de l'Eglise catholique: ainsi, le mouvement "We Are Church Irlande", qui regroupe les catholiques les plus progressistes, a annoncé le 20 avril dernier que des femmes avaient été ordonnées dans le mouvement, de manière illicite mais valide, et qu'elles célébraient désormais la messe…(3) Du coté anglican, l'ordination de femmes prêtres, voire évêques, et d'homosexuels est en débat depuis plusieurs années (4) et provoque de nombreuses défections.
Sources: (1) (2) (3) (4)
Sources: (1) (2) (3) (4)
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Communiqué des Evêques Orthodoxes de France au sujet de la guerre en Ukraine
12/04/2022 22:00 - Nadejda na Mir
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