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Le choeur du Séminaire orthodoxe russe en France donnera un concert le dimanche 1er avril 2012 à 17 h à Sainte-Geneviève-des-Bois, salle Gérard Philippe. Au programme: les chants liturgiques du Carême dans la tradition orthodoxe russe.
Le concert est organisé dans le cadre du Salon des artistes du Hurepoix, avec le soutien de la municipalité de Sainte-Geneviève.
Le concert est organisé dans le cadre du Salon des artistes du Hurepoix, avec le soutien de la municipalité de Sainte-Geneviève.
Rédigé par Séminaire orthodoxe russe le 27 Mars 2012 à 20:31
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Moscou : Kolomenskoïe, l’icône rouge et un lieu à signification politique
En février 1917, juste avant les apparitions de Fatima et le commencement des 70 années d'oppression du communisme athée, la Mère de Dieu apparaît aux portes de Moscou,le jour de l'abdication de l'empereur Nicolas II, 2/15 mars,( nouveau calendrier), et demande d'installer une l'icône rouge... c'est à dire l'icône où la Reine du Ciel trône avec un manteau de pourpre, un sceptre et un globe terrestre, l'Enfant sur ses genoux.
Kolomenskoïe domine la Rivière Moskva, à 10 kilomètres au Sud-est du Kremlin. Les édifices sont situés dans un parc naturel de 390 hectares, avec des sources, des rochers, des chênes dont certains ont 400 ou 600 ans.
Le premier document mentionnant le village de Kolomenskoe est daté de 1339, pendant le règne d'Ivan Kalita. Au quinzième siècle, la propriété est devenue une résidence royale d'été.
En février 1917, juste avant les apparitions de Fatima et le commencement des 70 années d'oppression du communisme athée, la Mère de Dieu apparaît aux portes de Moscou,le jour de l'abdication de l'empereur Nicolas II, 2/15 mars,( nouveau calendrier), et demande d'installer une l'icône rouge... c'est à dire l'icône où la Reine du Ciel trône avec un manteau de pourpre, un sceptre et un globe terrestre, l'Enfant sur ses genoux.
Kolomenskoïe domine la Rivière Moskva, à 10 kilomètres au Sud-est du Kremlin. Les édifices sont situés dans un parc naturel de 390 hectares, avec des sources, des rochers, des chênes dont certains ont 400 ou 600 ans.
Le premier document mentionnant le village de Kolomenskoe est daté de 1339, pendant le règne d'Ivan Kalita. Au quinzième siècle, la propriété est devenue une résidence royale d'été.
Au cœur de la capitale russe se dresse un monument d'Ivan Fedorov, le premier imprimeur russe. Certains doutent de ce que c'est Ivan Fedorov qui a imprimé le premier livre russe.
Pourtant c'est à proximité de l'endroit où se trouve aujourd'hui le monument qu'était située la première typographie publique russe. C'est d'ici que sont sortis les « Actes des Apôtres » tirés du Nouveau Testament. L'ouvrage comportant le nom d'Ivan Fedorov, est le premier livre imprimé en Russie.
Daté de 1564 les « Actes des Apôtres » est richement orné. Le frontispice gravé sur bois représente Saint Luc l’Évangéliste. Vingt planches de bois ont été utilisées pour imprimer le texte avec 22 lettrines et autres ornements typographiques. Une cinquantaine d'exemplaires des « Actes des Apôtres » existent à ce jour.
Pourtant c'est à proximité de l'endroit où se trouve aujourd'hui le monument qu'était située la première typographie publique russe. C'est d'ici que sont sortis les « Actes des Apôtres » tirés du Nouveau Testament. L'ouvrage comportant le nom d'Ivan Fedorov, est le premier livre imprimé en Russie.
Daté de 1564 les « Actes des Apôtres » est richement orné. Le frontispice gravé sur bois représente Saint Luc l’Évangéliste. Vingt planches de bois ont été utilisées pour imprimer le texte avec 22 lettrines et autres ornements typographiques. Une cinquantaine d'exemplaires des « Actes des Apôtres » existent à ce jour.
Du 16 au 19 mars 2012 aura lieu le 32ème Salon du Livre de Paris.
Moscou, ville invitée
Comme l’année dernière, le Salon du Livre mettra à l’honneur une ville. Après Buenos Aires, on parlera beaucoup de Moscou en 2012, avec une trentaine d’auteurs moscovites invités pour des rencontres et des séances de dédicace. On espère quant à nous un beau débat sur l'état de la liberté d'expression en Russie. Forumculture
Moscou, ville invitée
Comme l’année dernière, le Salon du Livre mettra à l’honneur une ville. Après Buenos Aires, on parlera beaucoup de Moscou en 2012, avec une trentaine d’auteurs moscovites invités pour des rencontres et des séances de dédicace. On espère quant à nous un beau débat sur l'état de la liberté d'expression en Russie. Forumculture
V.Golovanow
Le père Jean Meyendorff est, avec son ami et collègue, le père Alexandre Schmemann, l'un des représentants les plus connus de cette "Ecole de Paris" si souvent accusée de "modernisme". Mais c'est oublier ses grand apports à la connaissance de la théologie byzantine dont son "Initiation à la théologie byzantine", publiée en 1975, constitue la première véritable synthèse. Son actualité a été démontrée par le colloque international qui a eu lieu à l’Institut de théologie orthodoxe Saint-Serge en février dernier et je vous en propose ci-dessous un compte-rendu de lecture publié sur le site "Graecia orthodoxa"
Compte-rendu de lecture de l’Initiation à la théologie byzantine de Jean Meyendorff Sophie Tyser, EPHE(*)
INTRODUCTION
Jusqu’à la parution de l’Essai sur la théologie mystique de l’Eglise d’Orient de Vladimir Lossky (1903-1958) en 1944, la théologie orthodoxe était peu connue en Occident. En effet, la théologie orthodoxe était alors essentiellement connue à travers l’œuvre du Père Irénée Hausherr (1891-1978), mais surtout par les études, critiques vis-à-vis de la dogmatique des auteurs byzantins, réalisées par Martin Jugie (1878-1954).
Le père Jean Meyendorff est, avec son ami et collègue, le père Alexandre Schmemann, l'un des représentants les plus connus de cette "Ecole de Paris" si souvent accusée de "modernisme". Mais c'est oublier ses grand apports à la connaissance de la théologie byzantine dont son "Initiation à la théologie byzantine", publiée en 1975, constitue la première véritable synthèse. Son actualité a été démontrée par le colloque international qui a eu lieu à l’Institut de théologie orthodoxe Saint-Serge en février dernier et je vous en propose ci-dessous un compte-rendu de lecture publié sur le site "Graecia orthodoxa"
Compte-rendu de lecture de l’Initiation à la théologie byzantine de Jean Meyendorff Sophie Tyser, EPHE(*)
INTRODUCTION
Jusqu’à la parution de l’Essai sur la théologie mystique de l’Eglise d’Orient de Vladimir Lossky (1903-1958) en 1944, la théologie orthodoxe était peu connue en Occident. En effet, la théologie orthodoxe était alors essentiellement connue à travers l’œuvre du Père Irénée Hausherr (1891-1978), mais surtout par les études, critiques vis-à-vis de la dogmatique des auteurs byzantins, réalisées par Martin Jugie (1878-1954).
Vladimir GOLOVANOW
La Sophiologie est au cœur de la réflexion théologique du père Serge Boulgakov dans les années 1930, fait toujours débat: elle a été condamnée des deux cotés opposés à l'époque, par Mgr Serge, locus tenens du trône patriarcal de Moscou, et par le Synode Hors Frontières, mais unanimement défendue par la commission éparchiale, créée par le métropolite Euloge pour répondre aux accusations de l'Eglise rouge et de l'Eglise blanche, et par l'ensemble des professeurs de l'Institut Saint Serge (1). Cette réflexion devient ainsi la pierre de touche des orientations théologique de "l'Ecole de Paris" et le débat ressurgit périodiquement (2). Pourtant bien peu de fidèles savent de quoi il s'agit et j'ai pensé intéressant d'en tenter une présentation synthétique en me fondant sur une présentation générale faite par P. Jean-Paul Maisonneuve dont j'abrège légèrement le texte.
La Sagesse divine (en latin Sapientia, en grec Sophia, en hébreu Hokma) tient une grande place dans la Bible et les sophiologues russes ont trouvé matière à nourrir leur réflexion, leur piété, leur dévotion envers le Saint-Esprit et envers la Mère de Dieu, leur foi en l’Église dans une méditation contemplative du mystère de la Sagesse.
La Sophiologie est au cœur de la réflexion théologique du père Serge Boulgakov dans les années 1930, fait toujours débat: elle a été condamnée des deux cotés opposés à l'époque, par Mgr Serge, locus tenens du trône patriarcal de Moscou, et par le Synode Hors Frontières, mais unanimement défendue par la commission éparchiale, créée par le métropolite Euloge pour répondre aux accusations de l'Eglise rouge et de l'Eglise blanche, et par l'ensemble des professeurs de l'Institut Saint Serge (1). Cette réflexion devient ainsi la pierre de touche des orientations théologique de "l'Ecole de Paris" et le débat ressurgit périodiquement (2). Pourtant bien peu de fidèles savent de quoi il s'agit et j'ai pensé intéressant d'en tenter une présentation synthétique en me fondant sur une présentation générale faite par P. Jean-Paul Maisonneuve dont j'abrège légèrement le texte.
La Sagesse divine (en latin Sapientia, en grec Sophia, en hébreu Hokma) tient une grande place dans la Bible et les sophiologues russes ont trouvé matière à nourrir leur réflexion, leur piété, leur dévotion envers le Saint-Esprit et envers la Mère de Dieu, leur foi en l’Église dans une méditation contemplative du mystère de la Sagesse.
Le cinéaste Pavel Lounguine a réalisé un nouveau film, « Le chef d’orchestre », il s’est inspiré de l’œuvre musicale du métropolite Hilarion de Volokolamsk « La Passion selon Mathieu ». L’action du film se situe à Jérusalem. Un orchestre vient dans cette ville afin d’y interpréter « La Passion ». Des évènements tragiques induisent chez les personnages une véritable renaissance spirituelle.
Le film sortira en avril, à la fin du grand carême. Le 26 février la télévision a programmé une émission intitulée « Le dimanche du Pardon ». Le métropolite Hilarion s’y entretiendra avec Pavel Lounguine. Ils parleront de la repentance, du pardon, de l’amour, de l’art ainsi que du « Chef d’orchestre ». Interfax religion
Traduction "PO"
Parlons d'orthodoxie «Tzar», un film de Pavel Lounguine
"TSAR" : Un interview avec Pavel Lounguine
Le film sortira en avril, à la fin du grand carême. Le 26 février la télévision a programmé une émission intitulée « Le dimanche du Pardon ». Le métropolite Hilarion s’y entretiendra avec Pavel Lounguine. Ils parleront de la repentance, du pardon, de l’amour, de l’art ainsi que du « Chef d’orchestre ». Interfax religion
Traduction "PO"
Parlons d'orthodoxie «Tzar», un film de Pavel Lounguine
"TSAR" : Un interview avec Pavel Lounguine
PRAVOSLAVIE i MIR et RELIGARE
Yulia Zaitsteva
Traduction p.Serge Model
L'ouvrage a été présenté par ses éditeurs M.M.André Staritchenkov et Vadim Matissov. Sont intervenus le professeur André Zoubov, ainsi qu'Anna Danilova, rédacteur du site "Pravoslavie i mir", les designers du livre ainsi que Xenia et Nikita Krivochéine. Il y avait dans la salle de nombreux enseignants et journalistes.
L'interprète et écrivain russe, personnalité reconnue de l'émigration russe Nikita Krivochéine s'est exprimé catégoriquement en faveur du retrait de la Place rouge des restes de Lénine et des tombes de ses compagnons. N. Krivochéine a déclaré cela le 20 février à Moscou, lors de la présentation du recueil des œuvres théologiques de son oncle — l'archevêque Basile (Krivochéine, 1900-1985) de Bruxelles et de Belgique.
Yulia Zaitsteva
Traduction p.Serge Model
L'ouvrage a été présenté par ses éditeurs M.M.André Staritchenkov et Vadim Matissov. Sont intervenus le professeur André Zoubov, ainsi qu'Anna Danilova, rédacteur du site "Pravoslavie i mir", les designers du livre ainsi que Xenia et Nikita Krivochéine. Il y avait dans la salle de nombreux enseignants et journalistes.
L'interprète et écrivain russe, personnalité reconnue de l'émigration russe Nikita Krivochéine s'est exprimé catégoriquement en faveur du retrait de la Place rouge des restes de Lénine et des tombes de ses compagnons. N. Krivochéine a déclaré cela le 20 février à Moscou, lors de la présentation du recueil des œuvres théologiques de son oncle — l'archevêque Basile (Krivochéine, 1900-1985) de Bruxelles et de Belgique.
Joost van Rossum
Du 9 au11 février 2012, un colloque international a eu lieu à l’Institut de théologie orthodoxe Saint-Serge, pour honorer le vingtième anniversaire du décès du Protopresbytre Jean Meyendorff, théologien et historien de l’Église. Les quatre séances sur l’œuvre de l’un des théologiens orthodoxes les plus renommés du siècle dernier, avec 24 conférenciers, avaient retenu l’attention d’une centaine de participants.
Le colloque avait commencé par des mots d’introduction prononcés par le Recteur de l’Institut, S.E. l’Archevêque Gabriel et par le Doyen, l’Archiprêtre Nicolas Cernokrak. Puis, Mgr Kallistos, Métropolite de Diokleia, a transmis un message de S.S. le Patriarche Œcuménique Bartholomée. Ensuite, M. Joost van Rossum, professeur d’histoire et de théologie byzantines à l’Institut, a prononcé la conférence inaugurale, « Père Jean Meyendorff : une vie dédiée à la science et à l’Église ».
Du 9 au11 février 2012, un colloque international a eu lieu à l’Institut de théologie orthodoxe Saint-Serge, pour honorer le vingtième anniversaire du décès du Protopresbytre Jean Meyendorff, théologien et historien de l’Église. Les quatre séances sur l’œuvre de l’un des théologiens orthodoxes les plus renommés du siècle dernier, avec 24 conférenciers, avaient retenu l’attention d’une centaine de participants.
Le colloque avait commencé par des mots d’introduction prononcés par le Recteur de l’Institut, S.E. l’Archevêque Gabriel et par le Doyen, l’Archiprêtre Nicolas Cernokrak. Puis, Mgr Kallistos, Métropolite de Diokleia, a transmis un message de S.S. le Patriarche Œcuménique Bartholomée. Ensuite, M. Joost van Rossum, professeur d’histoire et de théologie byzantines à l’Institut, a prononcé la conférence inaugurale, « Père Jean Meyendorff : une vie dédiée à la science et à l’Église ».
Le Musée Bible+Orient présente une exposition consacrée aux vêtements des diverses époques de la Bible, du 1er mars au 31 juillet 2012, à l’Université de Miséricorde, à Fribourg.
L’exposition présente les types de vêtements existants aux temps bibliques, les matériaux avec lesquels ils étaient confectionnés, et les usages particuliers auxquels ils étaient destinés. Le Musée Bible+Orient a reconstruit des vêtements sur des figurines, en se basant sur des études de représentations vestimentaires, sur des sceaux-cylindres (cylindres ornés de motifs représentant des dieux ou des symboles du pouvoir et servant la plupart du temps à les imprimer sur de l’argile, ndlr) et sur d’autres d’objets de ses riches collections du Proche-Orient ancien. Ces figurines mobiles ont spécialement été conçues pour représenter des scènes bibliques. Le but est de faire de nombreux liens entre l’époque biblique et l’époque actuelle.
L’exposition présente les types de vêtements existants aux temps bibliques, les matériaux avec lesquels ils étaient confectionnés, et les usages particuliers auxquels ils étaient destinés. Le Musée Bible+Orient a reconstruit des vêtements sur des figurines, en se basant sur des études de représentations vestimentaires, sur des sceaux-cylindres (cylindres ornés de motifs représentant des dieux ou des symboles du pouvoir et servant la plupart du temps à les imprimer sur de l’argile, ndlr) et sur d’autres d’objets de ses riches collections du Proche-Orient ancien. Ces figurines mobiles ont spécialement été conçues pour représenter des scènes bibliques. Le but est de faire de nombreux liens entre l’époque biblique et l’époque actuelle.
Concert exceptionnel
"Festival de musique sacrée"
Eglise Saint Lambert de Vaugirard, 2 rue Gerbert, 75015, Paris, Métro Vaugirard
Entrée libre
Chorale de la cathédrale
Chœur d’hommes de la cathédrale
Elèves de l’école paroissiale
Chœur du Séminaire orthodoxe russe en France
Ensemble de musique ancienne « Chersonèse »
Chœur «Slava», musique sacrée de J.S. Bach
"Festival de musique sacrée"
Eglise Saint Lambert de Vaugirard, 2 rue Gerbert, 75015, Paris, Métro Vaugirard
Entrée libre
Chorale de la cathédrale
Chœur d’hommes de la cathédrale
Elèves de l’école paroissiale
Chœur du Séminaire orthodoxe russe en France
Ensemble de musique ancienne « Chersonèse »
Chœur «Slava», musique sacrée de J.S. Bach
Journées du livre orthodoxe Sous le haut patronage de l’Assemblée des évêques orthodoxes de France
Vendredi 17 février 2012, de16 h. à 20 h.
et Samedi 18 février 2012 de 11 h. à 19 h.
à la Mutuelle Saint-Christophe
277, rue Saint-Jacques - 75005 Paris
Invités d’honneur au grand auditorium Jean XXIII : Le Métropolite Hilarion (Alfeyev) de Volokolamsk
* Conférence pour l’inauguration, vendredi 17 février à 18 h.
Le Hiéromoine Macaire du monastère Simonos Petras au Mont-Athos
* Conférence, samedi 18 février à 12 h.
Auteurs qui dédicaceront
Bertrand VERGELY - Jean-François COLOSIMO - P. Placide DESEILLE - P. Michel EVDOKIMOV - Nathalie BEAUX-GRIMAL - Alain DUREL - Hiéromoine MACAIRE de Simonos-Petras (Mont-Athos) - Jean-Claude LARCHET - Christine CHAILLOT - Bernard LE CARO - Nicolas ROSS - P. Marc-Antoine COSTA DE BEAUREGARD - Antoine ARJAKOVSKY - Marina COPSIDAS - Hiéromoine Nicolas MOLINIER - Michel STAVROU - P. Jean BOBOC - Jean-Paul LEFEBVRE-FILLEAU - Moniale NECTARIA du monastère de Bussy-en-Othe - Emilie VAN TAACK - Claude LAPORTE - P. Philippe DAUTAIS - P.Serge MODEL - Marc ANDRONIKOFF - Jacqueline DAUXOIS - P. Stéphane HEADLEY - Anne KHOUDOKORMOFF-KOTSCHOUBEY - Bojko BOJOVIC – Anca VASILIU.....suite
Vendredi 17 février 2012, de16 h. à 20 h.
et Samedi 18 février 2012 de 11 h. à 19 h.
à la Mutuelle Saint-Christophe
277, rue Saint-Jacques - 75005 Paris
Invités d’honneur au grand auditorium Jean XXIII : Le Métropolite Hilarion (Alfeyev) de Volokolamsk
* Conférence pour l’inauguration, vendredi 17 février à 18 h.
Le Hiéromoine Macaire du monastère Simonos Petras au Mont-Athos
* Conférence, samedi 18 février à 12 h.
Auteurs qui dédicaceront
Bertrand VERGELY - Jean-François COLOSIMO - P. Placide DESEILLE - P. Michel EVDOKIMOV - Nathalie BEAUX-GRIMAL - Alain DUREL - Hiéromoine MACAIRE de Simonos-Petras (Mont-Athos) - Jean-Claude LARCHET - Christine CHAILLOT - Bernard LE CARO - Nicolas ROSS - P. Marc-Antoine COSTA DE BEAUREGARD - Antoine ARJAKOVSKY - Marina COPSIDAS - Hiéromoine Nicolas MOLINIER - Michel STAVROU - P. Jean BOBOC - Jean-Paul LEFEBVRE-FILLEAU - Moniale NECTARIA du monastère de Bussy-en-Othe - Emilie VAN TAACK - Claude LAPORTE - P. Philippe DAUTAIS - P.Serge MODEL - Marc ANDRONIKOFF - Jacqueline DAUXOIS - P. Stéphane HEADLEY - Anne KHOUDOKORMOFF-KOTSCHOUBEY - Bojko BOJOVIC – Anca VASILIU.....suite
Marie Genko
Le 30 juillet 1904 l’empereur Nicolas II écrivit dans son journal :
« C’est un grand jour inoubliable pour nous, la miséricorde divine a bien voulu s’étendre sur nous. Alix a mis au monde un fils, nous l’avons appelé Alexis, en l’accompagnant de nos prières.»
Le monde entier connaît la richesse du musée des marionnettes du grand théâtre académique d’Etat, portant le nom de Serge Obraztsov. Ce fut une surprise d’y découvrir les marionnettes du tsarévitch Alexis. Le 30 juillet 2007 fut retrouvé le paravent d’un guignol français et quelques marionnettes : Arlequin, Caporal et la Fiancée. Sur chacune des marionnettes, une étiquette en papier avec quatre lignes écrites à l’encre : « Palais Alexandre, étagère de l’héritier du trône Alexis, jeu N° 333 » L’étiquette figurant sur le paravent, mentionne que ce jeu est une exclusivité, vendue à Paris dans le magasin de jouets « Le monde des enfants ».
Ces marionnettes n’avaient pas fini de nous étonner : elles avaient une grande ressemblance avec l’empereur Nicolas, son épouse l’impératrice Alexandra Fédorovna, ce qui amena à rechercher d’autres similitudes. L’une des figurines s’avéra ressembler à l’impératrice douairière, Marie Fédorovna, une autre, « Polichinelle » au sérénissime prince Gortchakoff. « Arlequin » coquin et goinfre, mélange de grossièreté, de sottise et de grâce, avec son immense nez et sa barbe, cachés sous un masque noir, rappelait Grégory Raspoutine, l’ami de la famille impériale. Et la marionnette la moins attrayante, habillée en servante (Madelon, femme de Polichinelle) ressemblait indubitablement à M.I. Vechniakova, la nurse du tsarévitch.
Le 30 juillet 1904 l’empereur Nicolas II écrivit dans son journal :
« C’est un grand jour inoubliable pour nous, la miséricorde divine a bien voulu s’étendre sur nous. Alix a mis au monde un fils, nous l’avons appelé Alexis, en l’accompagnant de nos prières.»
Le monde entier connaît la richesse du musée des marionnettes du grand théâtre académique d’Etat, portant le nom de Serge Obraztsov. Ce fut une surprise d’y découvrir les marionnettes du tsarévitch Alexis. Le 30 juillet 2007 fut retrouvé le paravent d’un guignol français et quelques marionnettes : Arlequin, Caporal et la Fiancée. Sur chacune des marionnettes, une étiquette en papier avec quatre lignes écrites à l’encre : « Palais Alexandre, étagère de l’héritier du trône Alexis, jeu N° 333 » L’étiquette figurant sur le paravent, mentionne que ce jeu est une exclusivité, vendue à Paris dans le magasin de jouets « Le monde des enfants ».
Ces marionnettes n’avaient pas fini de nous étonner : elles avaient une grande ressemblance avec l’empereur Nicolas, son épouse l’impératrice Alexandra Fédorovna, ce qui amena à rechercher d’autres similitudes. L’une des figurines s’avéra ressembler à l’impératrice douairière, Marie Fédorovna, une autre, « Polichinelle » au sérénissime prince Gortchakoff. « Arlequin » coquin et goinfre, mélange de grossièreté, de sottise et de grâce, avec son immense nez et sa barbe, cachés sous un masque noir, rappelait Grégory Raspoutine, l’ami de la famille impériale. Et la marionnette la moins attrayante, habillée en servante (Madelon, femme de Polichinelle) ressemblait indubitablement à M.I. Vechniakova, la nurse du tsarévitch.
V. Golovanow
Mgr Théophylacte, évêques de Piatigorsk et Cherkessk, a donné sa bénédiction pour la célébration des offices de requiem dans les églises des « stanitza » (villages de Cosaques) et autres endroits où vivent des communautés cosaques en mémoire des victimes de la politique d’éradication des Cosaques (1)
En effet, le 24 janvier 1919 est la date d'une sinistre directive politique secrète prise au plus haut niveau du Parti, le Politburo, dirigé par Lénine. On peut y lire notamment : « Au vu de l’expérience de la guerre civile contre les Cosaques, reconnaître comme seule mesure politiquement correcte une terreur massive contre les Cosaques riches qui devront être exterminés et physiquement liquidés jusqu’au dernier et, en général, contre tous les Cosaques qui ont participé directement ou indirectement dans la lutte contre le pouvoir bolchevique. » (2)
Mgr Théophylacte, évêques de Piatigorsk et Cherkessk, a donné sa bénédiction pour la célébration des offices de requiem dans les églises des « stanitza » (villages de Cosaques) et autres endroits où vivent des communautés cosaques en mémoire des victimes de la politique d’éradication des Cosaques (1)
En effet, le 24 janvier 1919 est la date d'une sinistre directive politique secrète prise au plus haut niveau du Parti, le Politburo, dirigé par Lénine. On peut y lire notamment : « Au vu de l’expérience de la guerre civile contre les Cosaques, reconnaître comme seule mesure politiquement correcte une terreur massive contre les Cosaques riches qui devront être exterminés et physiquement liquidés jusqu’au dernier et, en général, contre tous les Cosaques qui ont participé directement ou indirectement dans la lutte contre le pouvoir bolchevique. » (2)
Voici quelle serait cette fresque si l’église était restaurée !
Sans vous, elle risque de disparaître ! Contribuez à conserver ce trésor de l’Emigration Russe en France
Contact, père Ambroise : anicoviotis@aol.com
Envoyez vos dons sur le compte : Skite Notre Dame de Kazan, Moisenay, France.
Skite Notre Dame de Kazan
CREDIT AGRICOLE NORMANDIE
IBAN : FR76 1660 6000 4300 1555 2985 036
SWIFT : AGRIFRPP866
Site Skite Notre Dame de Kazan
Sans vous, elle risque de disparaître ! Contribuez à conserver ce trésor de l’Emigration Russe en France
Contact, père Ambroise : anicoviotis@aol.com
Envoyez vos dons sur le compte : Skite Notre Dame de Kazan, Moisenay, France.
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"P.O." recommande vivement cette exposition qui reflète d'une manière très intéressante et complète la période récente de l'histoire russe lors de laquelle l’Église russe a recouvré la liberté. Alors que le régime communiste d'une manière providentielle sombrait, sans effusion de sang.L'exposition entend montrer cette histoire de l'intérieur, du point de vue des Soviétiques.
"URSS fin de parti(e)" commémore le 20e anniversaire du démantèlement de l'URSS et raconte l'histoire de la Perestroïka (1985-1991), qui a fait le lit de cette désintégration. Exposition visible au musée d'histoire contemporaine, à l'Hôtel National des Invalides à Paris.
Le 8 décembre 1991 les présidents des trois Républiques slaves - Boris Eltsine pour la Russie, Stanislav Chouchkevitch pour la Biélorussie et Léonide Kravtchouk pour l'Ukraine – signent dans la forêt Beloveja l'accord dénonçant l'union des républiques socialistes soviétiques. L'Union Soviétique a cessé d'exister. Pendant les années qui ont précédé, d'abord avec la Perestroïka instaurée par le régime, puis avec les mutations de la société, le système se trouve peu à peu fissuré. Un mouvement s'est mis en marche, que rien ni personne ne pourra ensuite arrêter.
"URSS fin de parti(e)" commémore le 20e anniversaire du démantèlement de l'URSS et raconte l'histoire de la Perestroïka (1985-1991), qui a fait le lit de cette désintégration. Exposition visible au musée d'histoire contemporaine, à l'Hôtel National des Invalides à Paris.
Le 8 décembre 1991 les présidents des trois Républiques slaves - Boris Eltsine pour la Russie, Stanislav Chouchkevitch pour la Biélorussie et Léonide Kravtchouk pour l'Ukraine – signent dans la forêt Beloveja l'accord dénonçant l'union des républiques socialistes soviétiques. L'Union Soviétique a cessé d'exister. Pendant les années qui ont précédé, d'abord avec la Perestroïka instaurée par le régime, puis avec les mutations de la société, le système se trouve peu à peu fissuré. Un mouvement s'est mis en marche, que rien ni personne ne pourra ensuite arrêter.
"P.O." tient à reprendre l’excellente nécrologie de Vladimir Dimitrijevic par Jean Besse, parue dans le N° 151 du « Messager orthodoxe ».
Notre dette à tous à l’égard du défunt est immense.
Jean Besse
La nouvelle de la mort accidentelle de l’éditeur Vladimir Dimitrijevic, fondateur de « L’Age d’Homme », près de Clamecy en la fête nationale serbe du Vidovdan le 28 juin 2011, a consterné tous les orthodoxes de France.
C’est en 1934 qu’il était né à Skopje, l’ancien uskub ottomane citée par Loti et aujourd’hui capitale d’une macédoine assez lamentablement persécutée internationalement et ecclésialement par le phylétisme hellénique. Son camarade d’enfance, le poète et romancier Vlada Urosevic, né la même année que lui, définit ainsi leur cité natale dans son chef- d’œuvre Ma cousine Emilie : « Je ne sais pas si vous le savez. Skopje est une ville qu’on ne peut atteindre que par des routes passant à travers les montagnes.
Notre dette à tous à l’égard du défunt est immense.
Jean Besse
La nouvelle de la mort accidentelle de l’éditeur Vladimir Dimitrijevic, fondateur de « L’Age d’Homme », près de Clamecy en la fête nationale serbe du Vidovdan le 28 juin 2011, a consterné tous les orthodoxes de France.
C’est en 1934 qu’il était né à Skopje, l’ancien uskub ottomane citée par Loti et aujourd’hui capitale d’une macédoine assez lamentablement persécutée internationalement et ecclésialement par le phylétisme hellénique. Son camarade d’enfance, le poète et romancier Vlada Urosevic, né la même année que lui, définit ainsi leur cité natale dans son chef- d’œuvre Ma cousine Emilie : « Je ne sais pas si vous le savez. Skopje est une ville qu’on ne peut atteindre que par des routes passant à travers les montagnes.
Le site mère-marie.com a été élaboré et mis en ligne par Xenia Krivochéine en 2000. Il est rapidement devenu une référence.
Depuis de nombreux textes et illustrations sont venus l’enrichir. Entre-temps les possibilités offertes par l’Internet ont considérablement évolué, aussi une refonte radicale s’imposait, voilà qui est fait.
Fin octobre 2011 Anatoli Choustov, l’un des meilleurs connaisseurs de la vie et de l’œuvre de mère Marie est décédé à Saint Pétersbourg. Paix à son âme !
L’exploit de Mère Marie
Patriarche CYRILLE de Moscou et de toutes les Russies
"…Viendra le jour : dans l’étendue des mondes – Ayant vaincu en tout la force de destruction – Pour glorifier le Créateur, nous nous lèverons des tombes, Accomplissant le commandement d’amour et de résurrection."
Ainsi écrivait, peu avant sa fin tragique au camp de concentration de Ravensbrück, la moniale Marie (Skobtsov). Elle fut mise à mort le 31 mars 1945, durant le saint Carême, quand, dans l’espérance de la résurrection du Christ, le monde admirable créé par Dieu se renouvelle et revit.
À première vue, il peut sembler que le chemin qu’avait choisi Mère Marie n’était pas celui par lequel s’élevaient, en se « perfectionnant » graduellement, les grands maîtres de la vie monastique.
Depuis de nombreux textes et illustrations sont venus l’enrichir. Entre-temps les possibilités offertes par l’Internet ont considérablement évolué, aussi une refonte radicale s’imposait, voilà qui est fait.
Fin octobre 2011 Anatoli Choustov, l’un des meilleurs connaisseurs de la vie et de l’œuvre de mère Marie est décédé à Saint Pétersbourg. Paix à son âme !
L’exploit de Mère Marie
Patriarche CYRILLE de Moscou et de toutes les Russies
"…Viendra le jour : dans l’étendue des mondes – Ayant vaincu en tout la force de destruction – Pour glorifier le Créateur, nous nous lèverons des tombes, Accomplissant le commandement d’amour et de résurrection."
Ainsi écrivait, peu avant sa fin tragique au camp de concentration de Ravensbrück, la moniale Marie (Skobtsov). Elle fut mise à mort le 31 mars 1945, durant le saint Carême, quand, dans l’espérance de la résurrection du Christ, le monde admirable créé par Dieu se renouvelle et revit.
À première vue, il peut sembler que le chemin qu’avait choisi Mère Marie n’était pas celui par lequel s’élevaient, en se « perfectionnant » graduellement, les grands maîtres de la vie monastique.
Mikhaïl Aristov
( 1883 -1931-1997)
La construction de la cathédrale du Christ-Sauveur a duré presque 50 ans, et elle a été financée par des dons de Russes. Sur ces murs étaient inscrits les noms des héros morts pendant la Guerre de 1812.
Le lieu de culte fut détruit en un jour. En effet, il y a 80 ans, le 5 décembre 1931, les autorités soviétiques ont ordonné de faire sauter la cathédrale. Dans les années 1930 elles avaient l’intention d’ériger sur l’emplacement de l’église, une tour de Babel surmontée d’une statue de Lénine.
Mais elles n’ont pas réussi à réaliser ce projet insensé et elles ont fait construire à la place une gigantesque piscine à ciel ouvert.
La cathédrale restait cependant dans la mémoire des citadins. Un mouvement public pour sa reconstruction a commencé dans les années 1980. A côté de la piscine Moskva, les fidèles se réunissaient et on recueillait des signatures. En 1990, le Saint-Synode de l’Eglise Orthodoxe Russe a approuvé la reconstruction de la cathédrale et a demandé au gouvernement la permission de reconstruire la cathédrale sur le même lieu. Après plusieurs années de construction, le sanctuaire a ouvert ses portes.
( 1883 -1931-1997)
La construction de la cathédrale du Christ-Sauveur a duré presque 50 ans, et elle a été financée par des dons de Russes. Sur ces murs étaient inscrits les noms des héros morts pendant la Guerre de 1812.
Le lieu de culte fut détruit en un jour. En effet, il y a 80 ans, le 5 décembre 1931, les autorités soviétiques ont ordonné de faire sauter la cathédrale. Dans les années 1930 elles avaient l’intention d’ériger sur l’emplacement de l’église, une tour de Babel surmontée d’une statue de Lénine.
Mais elles n’ont pas réussi à réaliser ce projet insensé et elles ont fait construire à la place une gigantesque piscine à ciel ouvert.
La cathédrale restait cependant dans la mémoire des citadins. Un mouvement public pour sa reconstruction a commencé dans les années 1980. A côté de la piscine Moskva, les fidèles se réunissaient et on recueillait des signatures. En 1990, le Saint-Synode de l’Eglise Orthodoxe Russe a approuvé la reconstruction de la cathédrale et a demandé au gouvernement la permission de reconstruire la cathédrale sur le même lieu. Après plusieurs années de construction, le sanctuaire a ouvert ses portes.
La chapelle Saint Martin et Sainte Geneviève du Séminaire à Epinay-sous-Sénart
L'atelier iconographique du Séminaire, sous la direction de Madame Emilie van Taack, a réalisé 2011 des fresques dans le sanctuaire de la chapelle. Derrière l'autel se trouve une grande fresque de la Mère de Dieu du Signe.
Les fresques de la chapelle de saint Martin et sainte Geneviève, réalisées à l’œuf, représentent de gauche à droite : saint Basile le Grand, saint Maxime le Confesseur, saint Michel Archange, la Très sainte Mère de Dieu du Signe, des Chérubins et Séraphins, saint Grégoire le Théologien, et des saints Jean Chrysostome et Basile le Grand (les Trois Saints Docteurs)
Parmi les autres réalisations d'Emilie van Taack se trouvent les fresques du sanctuaire de l'église Notre-Dame Souveraine à Chaville (photographies)
L'atelier iconographique du Séminaire, sous la direction de Madame Emilie van Taack, a réalisé 2011 des fresques dans le sanctuaire de la chapelle. Derrière l'autel se trouve une grande fresque de la Mère de Dieu du Signe.
Les fresques de la chapelle de saint Martin et sainte Geneviève, réalisées à l’œuf, représentent de gauche à droite : saint Basile le Grand, saint Maxime le Confesseur, saint Michel Archange, la Très sainte Mère de Dieu du Signe, des Chérubins et Séraphins, saint Grégoire le Théologien, et des saints Jean Chrysostome et Basile le Grand (les Trois Saints Docteurs)
Parmi les autres réalisations d'Emilie van Taack se trouvent les fresques du sanctuaire de l'église Notre-Dame Souveraine à Chaville (photographies)
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