Plateforme libre de discussion
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Le président de la République a reçu mercredi 25 janvier les autorités religieuses pour leur adresser ses vœux
/À l’issue de la rencontre, le cardinal Vingt-Trois a jugé ces déclarations « bienvenues », dans la mesure où elles incitent les religions « à prendre part à des travaux qui peuvent aider les fidèles à réfléchir à leur vote ». Quant à la polémique lancée par François Hollande, ce n’est, dit-il, qu’une « proposition de campagne » : « Je me méfie de croire qu’il faut tout inscrire dans la Constitution ; dès lors, ce n’est plus la peine de faire des lois ! ». Porte-parole des évêques orthodoxes de France, Carol Saba refuse, lui aussi, toute « sanctuarisation » de la laïcité. Réserves que partage Claude Baty, président de la Fédération protestante de France : « Il est inutile de rallumer des querelles anciennes »./
Nicolas Sarkozy critique la proposition du candidat socialiste d’inscrire la loi de 1905 dans la Constitution
Devant les représentants religieux à qui il adressait ses vœux, mercredi 25 janvier, à l’Élysée, Nicolas Sarkozy a une nouvelle fois prôné cette « laïcité positive » dont il se fait le promoteur depuis le début de son quinquennat. C’était aussi une réponse ferme à la proposition, dimanche, de François Hollande, d’inscrire la loi de 1905 dans la Constitution.
/À l’issue de la rencontre, le cardinal Vingt-Trois a jugé ces déclarations « bienvenues », dans la mesure où elles incitent les religions « à prendre part à des travaux qui peuvent aider les fidèles à réfléchir à leur vote ». Quant à la polémique lancée par François Hollande, ce n’est, dit-il, qu’une « proposition de campagne » : « Je me méfie de croire qu’il faut tout inscrire dans la Constitution ; dès lors, ce n’est plus la peine de faire des lois ! ». Porte-parole des évêques orthodoxes de France, Carol Saba refuse, lui aussi, toute « sanctuarisation » de la laïcité. Réserves que partage Claude Baty, président de la Fédération protestante de France : « Il est inutile de rallumer des querelles anciennes »./
Nicolas Sarkozy critique la proposition du candidat socialiste d’inscrire la loi de 1905 dans la Constitution
Devant les représentants religieux à qui il adressait ses vœux, mercredi 25 janvier, à l’Élysée, Nicolas Sarkozy a une nouvelle fois prôné cette « laïcité positive » dont il se fait le promoteur depuis le début de son quinquennat. C’était aussi une réponse ferme à la proposition, dimanche, de François Hollande, d’inscrire la loi de 1905 dans la Constitution.
Rédigé par Parlons d'orthodoxie le 27 Janvier 2012 à 23:53
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A l'occasion de la Semaine de prière pour l'unité des chrétiens, KTO vous propose de découvrir les diverses communautés chrétiennes à travers des méditations bibliques. Le Père Alexandre Siniakov, recteur du séminaire orthodoxe russe en France, parle du christianisme en tant qu'attente du Christ ressuscité - une attente qui transforme déjà les communautés chrétiennes. Cette année, le thème de la Semaine de prière est : " Tous, nous serons transformés ... par la victoire de notre Seigneur Jésus-Christ " (2 Co 15, 51-58).
Diffusé le 19/01/2012 / Durée 3 mn ICI
Diffusé le 19/01/2012 / Durée 3 mn ICI
Le Saint Synode de l'Eglise orthodoxe d'Ukraine – patriarcat de Moscou a confié provisoirement la direction de l'éparchie de Kiev à Mgr Paul, métropolite de Vychgorod et Tchernobyl, supérieur de la Laure de la Sainte Dormition des Grottes de Kiev.
La décision a été prise lors d'une réunion du Saint Synode de l'EOU ( PM ) , le 26 Janvier, à la Laure des Grottes de Kiev, au cours de laquelle la question de la direction de l'éparchie de Kiev a été discutée. Cette décision annule et remplace la décision précédente du Saint Synode qui avait décidé le 23 décembre 2011 de créer une commission de trois évêques pour assurer collectivement la gestion financière et administrative de l'éparchie de Kiev pendent la maladie de Mgr Vladimir, métropolite de Kiev et de toute l'Ukraine. Tous bénis pour constituer une commission composée de l'archevêque Alexandre de Pereyaslav-Khmelnitsky , Seraphim évêque de Yagoty et Panteleimon, évêque de Vasilky.
Sources: Pravoslavie i Mir
La décision a été prise lors d'une réunion du Saint Synode de l'EOU ( PM ) , le 26 Janvier, à la Laure des Grottes de Kiev, au cours de laquelle la question de la direction de l'éparchie de Kiev a été discutée. Cette décision annule et remplace la décision précédente du Saint Synode qui avait décidé le 23 décembre 2011 de créer une commission de trois évêques pour assurer collectivement la gestion financière et administrative de l'éparchie de Kiev pendent la maladie de Mgr Vladimir, métropolite de Kiev et de toute l'Ukraine. Tous bénis pour constituer une commission composée de l'archevêque Alexandre de Pereyaslav-Khmelnitsky , Seraphim évêque de Yagoty et Panteleimon, évêque de Vasilky.
Sources: Pravoslavie i Mir
V.G.
"Prions encore pour que les serviteurs de Dieu qui luttent contre le mal qu'est l'avortement obtiennent miséricorde, vie, paix, santé, Salut, et le pardon et la rémission de leurs péchés. Lave-moi de toute iniquité et purifie-moi de ma faute, car je reconnais mes transgressions, et ma faute est constamment devant moi. J'ai péché contre toi seul, j'ai fait ce qui est mal à tes yeux...."
Une manifestation largement occultée par les média: à Paris, plusieurs milliers de personnes ont participé dimanche 22 janvier après-midi à la 8e «Marche pour la vie» organisée par une quinzaine d'associations opposées à l'avortement, qui souhaitaient interpeller les élus, à trois mois de l'élection présidentielle.
Les manifestants (6 850 selon la police, 30 000 selon les organisateurs) ont marché entre la place de la République et l'Opéra derrière une banderole demandant «Des élus pour le respect de la vie».
"Prions encore pour que les serviteurs de Dieu qui luttent contre le mal qu'est l'avortement obtiennent miséricorde, vie, paix, santé, Salut, et le pardon et la rémission de leurs péchés. Lave-moi de toute iniquité et purifie-moi de ma faute, car je reconnais mes transgressions, et ma faute est constamment devant moi. J'ai péché contre toi seul, j'ai fait ce qui est mal à tes yeux...."
Une manifestation largement occultée par les média: à Paris, plusieurs milliers de personnes ont participé dimanche 22 janvier après-midi à la 8e «Marche pour la vie» organisée par une quinzaine d'associations opposées à l'avortement, qui souhaitaient interpeller les élus, à trois mois de l'élection présidentielle.
Les manifestants (6 850 selon la police, 30 000 selon les organisateurs) ont marché entre la place de la République et l'Opéra derrière une banderole demandant «Des élus pour le respect de la vie».
La dernière livraison du Messager de l’Archevêché (1 ) contient le texte de l’allocution lue à la réception de l’Archevêché à l’occasion de la fête de la Nativité et de la Théophanie. Ce texte est bouleversant. Certes, dans le passé, les membres du conseil de l’Archevêché ont parfois manqué de tout le sens critique souhaitable sur les résultats de leur action. Mais en l’occurrence, ils paraissent prendre conscience de l’impasse dans laquelle s’est engagé l’Archevêché et des contradictions dans lesquelles il s’est enfermé.
A cet égard, Il est particulièrement regrettable que les membres de son conseil aient considéré ceux qui n’avaient pas la même opinion qu’eux comme des ennemis à éliminer. Le jugement de ces « dissidents », eut pourtant été très utile pour la vie de l’Archevêché. Ce dernier voit souvent l’OLTR comme son détracteur, alors même que cette association, créée par des membres éminents de l’Archevêché, n’a eu de cesse que d’essayer d’aider l’Archevêché à éviter ces impasses.
A cet égard, Il est particulièrement regrettable que les membres de son conseil aient considéré ceux qui n’avaient pas la même opinion qu’eux comme des ennemis à éliminer. Le jugement de ces « dissidents », eut pourtant été très utile pour la vie de l’Archevêché. Ce dernier voit souvent l’OLTR comme son détracteur, alors même que cette association, créée par des membres éminents de l’Archevêché, n’a eu de cesse que d’essayer d’aider l’Archevêché à éviter ces impasses.
Le 23 janvier, l'église Saint-Nicolas et le centre de pèlerinage situés dans la ville italienne de Bari et construits avant la révolution d'octobre 1917 grâce aux dons des Russes, ont été officiellement remis au patriarcat de Moscou, lit-on mardi sur le site officiel de l'Eglise orthodoxe russe.
La cérémonie a eu lieu en présence du maire de Bari Michele Emiliano, de l'archevêque Marc d'Egorievsk, responsable des établissements à l'étranger du patriarcat de Moscou et d'Alexeï Mechkov, ambassadeur russe en Italie.
La cérémonie a eu lieu en présence du maire de Bari Michele Emiliano, de l'archevêque Marc d'Egorievsk, responsable des établissements à l'étranger du patriarcat de Moscou et d'Alexeï Mechkov, ambassadeur russe en Italie.
Un entretien avec Alexandre Rahr, directeur du Centre Berthold Beitz (Conseil allemand de politique étrangère)
Q. - Récemment le patriarche Cyrille a évoqué lors d’une interview les récents évènements politiques en Russie. Que pensez-vous de cette interview ?
A.R. - C’est une interview empreinte de sagesse et de modération. Le patriarche a préféré intervenir dès maintenant, sans attendre que la situation ne devienne encore plus tendue comme cela s’était passé en 1993 lors du conflit entre le Kremlin et le parlement. A l’époque le patriarche Alexis II a grandement contribué à ce qu’une solution soit trouvée à ce conflit. L’histoire ne se répète pas. Mais il est indispensable de calmer les passions. En effet, tous ceux qui sont sorties dans la rue ne sont pas des agents d’influence ou des révolutionnaires voulant déstabiliser le pays. Une classe moyenne s’est constituée. Elle est formée de gens qui se considèrent comme des patriotes et qui aspirent à ce que le pays soit dirigé d’une manière efficace et compétente. Bien des choses leur déplaisent dans la politique qui est menée ces dernières années. Il s’agit d’un mouvement de protestation initié par les classes moyennes. L’Eglise se montre vigilante à ce qui se passe et dit espérer une évolution constructive.
Q. - Récemment le patriarche Cyrille a évoqué lors d’une interview les récents évènements politiques en Russie. Que pensez-vous de cette interview ?
A.R. - C’est une interview empreinte de sagesse et de modération. Le patriarche a préféré intervenir dès maintenant, sans attendre que la situation ne devienne encore plus tendue comme cela s’était passé en 1993 lors du conflit entre le Kremlin et le parlement. A l’époque le patriarche Alexis II a grandement contribué à ce qu’une solution soit trouvée à ce conflit. L’histoire ne se répète pas. Mais il est indispensable de calmer les passions. En effet, tous ceux qui sont sorties dans la rue ne sont pas des agents d’influence ou des révolutionnaires voulant déstabiliser le pays. Une classe moyenne s’est constituée. Elle est formée de gens qui se considèrent comme des patriotes et qui aspirent à ce que le pays soit dirigé d’une manière efficace et compétente. Bien des choses leur déplaisent dans la politique qui est menée ces dernières années. Il s’agit d’un mouvement de protestation initié par les classes moyennes. L’Eglise se montre vigilante à ce qui se passe et dit espérer une évolution constructive.
Le père Vsevolod Tchapline indique dans son blog que l'Eglise approuverait la constitution de partis chrétiens ou orthodoxes ou bien de groupes au sein des formations politiques mais ne les soutiendrait pas et ne les bénirait pas. Arguomenti ru
L'idée de créer en Russie des partis religieux selon le principe confessionnel est sans perspective, estiment les politologues, signalant la dévotion par trop exagérée de la société russe et un risque d'animosités.
"Je ne pense pas qu'avec toute la mode actuelle à la religion, la société russe vote sérieusement selon le principe religieux. Qui plus est, cela ne serait pas bon, car pourrait semer la discorde", a déclaré vendredi à RIA Novosti le docteur en sciences politiques Sergueï Tcherniakhovski.
Et d'expliquer que si les uns créaient un parti chrétien et d'autres un parti musulman, ils lutteraient soit les uns contre les autres, soit contre les athéistes. "Dans le premier cas, ils attiseraient des animosités religieuses, dans l'autre, ils s'opposeraient à la laïcité de notre Etat", a relevé l'expert.
L'idée de créer en Russie des partis religieux selon le principe confessionnel est sans perspective, estiment les politologues, signalant la dévotion par trop exagérée de la société russe et un risque d'animosités.
"Je ne pense pas qu'avec toute la mode actuelle à la religion, la société russe vote sérieusement selon le principe religieux. Qui plus est, cela ne serait pas bon, car pourrait semer la discorde", a déclaré vendredi à RIA Novosti le docteur en sciences politiques Sergueï Tcherniakhovski.
Et d'expliquer que si les uns créaient un parti chrétien et d'autres un parti musulman, ils lutteraient soit les uns contre les autres, soit contre les athéistes. "Dans le premier cas, ils attiseraient des animosités religieuses, dans l'autre, ils s'opposeraient à la laïcité de notre Etat", a relevé l'expert.
Paris, le 13 décembre 2011
Votre Excellence, Monsieur le Président!
Le Président de l’Union des Descendants des combattants de Gallipoli fait appel à vous, au nom des descendants de ceux qui ont conservé la Russie à l'étranger, depuis l’année 1920, et qui sont restés, jusqu'à leur mort, fidèles à leur Russie natale.
Les descendants de la deuxième, troisième et même quatrième générations vous prient de donner des instructions pour que soient établies les véritables circonstances de la mort du général Alexandre Pavlovitch Koutiépov et au lieu de son inhumation .
Le corps du défunt, conformément à nos traditions anciennes, doit être inhumé.
Un monument funéraire avec une croix orthodoxe à huit branches et une inscription doit être érigé sur le lieu de la sépulture. Nous croyons en l'immortalité de l'âme et, pour cette raison, près des restes enfouis d’un chrétien nous prions pour le repos de son âme. En l’occurrence nous sommes privés d’une telle possibilité.
Votre Excellence, Monsieur le Président!
Le Président de l’Union des Descendants des combattants de Gallipoli fait appel à vous, au nom des descendants de ceux qui ont conservé la Russie à l'étranger, depuis l’année 1920, et qui sont restés, jusqu'à leur mort, fidèles à leur Russie natale.
Les descendants de la deuxième, troisième et même quatrième générations vous prient de donner des instructions pour que soient établies les véritables circonstances de la mort du général Alexandre Pavlovitch Koutiépov et au lieu de son inhumation .
Le corps du défunt, conformément à nos traditions anciennes, doit être inhumé.
Un monument funéraire avec une croix orthodoxe à huit branches et une inscription doit être érigé sur le lieu de la sépulture. Nous croyons en l'immortalité de l'âme et, pour cette raison, près des restes enfouis d’un chrétien nous prions pour le repos de son âme. En l’occurrence nous sommes privés d’une telle possibilité.
V.G.
Le Patriarche de Moscou a remis le prix « Alexis II » « pour une action remarquable en faveur du renforcement de l’unité des peuples orthodoxes ; pour la consolidation et la promotion des valeurs chrétiennes dans la société ».de la Fondation publique internationale pour l’Unité des nations orthodoxes au Patriarche Théodore II d’Alexandrie et de toute l’Afrique, à Mahmoud Abbas, président de l’Autorité palestinienne et au joueur de tennis serbe Novak Djokovic.
Le Patriarche Théodore a souligné dans son discours l’importance de la remise du prix «Pour son action remarquable en faveur du renforcement de l’unité des peuples orthodoxes» «à l’antique et glorieuse chaire d’Alexandrie en la personne de son Pape et Patriarche», exprimant l’espoir que cette distinction reflétait «les relations cordiales d’amour dans le Christ et de collaboration dans la concorde pour la gloire de notre Dieu qui existent entre nous».
Le Patriarche de Moscou a remis le prix « Alexis II » « pour une action remarquable en faveur du renforcement de l’unité des peuples orthodoxes ; pour la consolidation et la promotion des valeurs chrétiennes dans la société ».de la Fondation publique internationale pour l’Unité des nations orthodoxes au Patriarche Théodore II d’Alexandrie et de toute l’Afrique, à Mahmoud Abbas, président de l’Autorité palestinienne et au joueur de tennis serbe Novak Djokovic.
Le Patriarche Théodore a souligné dans son discours l’importance de la remise du prix «Pour son action remarquable en faveur du renforcement de l’unité des peuples orthodoxes» «à l’antique et glorieuse chaire d’Alexandrie en la personne de son Pape et Patriarche», exprimant l’espoir que cette distinction reflétait «les relations cordiales d’amour dans le Christ et de collaboration dans la concorde pour la gloire de notre Dieu qui existent entre nous».
V.G.
Il ne faudrait pas que les importantes difficultés financières du Synode de l'EORHF cachent le dynamisme que montre cette Eglise autonome du patriarcat de Moscou depuis sa réunification avec l'Eglise-mère, qui lui a ouvert les portes de relations de plus en plus fraternelles avec les autres Eglises orthodoxes. Ainsi l'archidiocèse de San Francisco et d'Amérique occidentale vient d'ouvrir "l’Institut de théologie Saints-Cyrille-et-Athanase d’Alexandrie" qui a pour but de "devenir un centre d’études théologiques orthodoxes sur la rive occidentale des États-Unis" et aussi de "favoriser l'unité orthodoxe par l'éducation". Notons que Mgr Kallistos (Ware) de Diokleia vient de rejoindre le Conseil Scientifique de l'Institut qui comprend aussi Mgr Hilarion de New York, primat de l'EORHF, Mgr Jonas de New York, primat de l'OCA (Orthodox Church in America), l'archiprêtre Josiah Trenham de l'Archidiocèse du patriarcat d'Antioche en Amériques etc.
Il ne faudrait pas que les importantes difficultés financières du Synode de l'EORHF cachent le dynamisme que montre cette Eglise autonome du patriarcat de Moscou depuis sa réunification avec l'Eglise-mère, qui lui a ouvert les portes de relations de plus en plus fraternelles avec les autres Eglises orthodoxes. Ainsi l'archidiocèse de San Francisco et d'Amérique occidentale vient d'ouvrir "l’Institut de théologie Saints-Cyrille-et-Athanase d’Alexandrie" qui a pour but de "devenir un centre d’études théologiques orthodoxes sur la rive occidentale des États-Unis" et aussi de "favoriser l'unité orthodoxe par l'éducation". Notons que Mgr Kallistos (Ware) de Diokleia vient de rejoindre le Conseil Scientifique de l'Institut qui comprend aussi Mgr Hilarion de New York, primat de l'EORHF, Mgr Jonas de New York, primat de l'OCA (Orthodox Church in America), l'archiprêtre Josiah Trenham de l'Archidiocèse du patriarcat d'Antioche en Amériques etc.
Dans le cadre de sa visite pastorale dans le Midi de la France Mgr Nestor s’est rendu le 20 janvier à Marseille où il s’est entretenu avec M. Youri Gribkov, Consul général de la Fédération de la Russie. M. Gribkov quitte bientôt ses fonctions en France. Monsieur V.N. Pozdniakov, le prochain Consul général, a été présenté à l’évêque Nestor.
Le responsable du diocèse de Chersonèse s’est entretenu avec ces hauts fonctionnaires du Ministère des affaires étrangères russe des modalités du soutien susceptible d’être accordé à l’Eglise orthodoxe russe afin qu’elle puisse renforcer sa présence sur le littoral méditerranéen. Il a été particulièrement question des projets de coopération culturelle et de la défense des valeurs traditionnelles chrétiennes dans le Midi de la France.
Le responsable du diocèse de Chersonèse s’est entretenu avec ces hauts fonctionnaires du Ministère des affaires étrangères russe des modalités du soutien susceptible d’être accordé à l’Eglise orthodoxe russe afin qu’elle puisse renforcer sa présence sur le littoral méditerranéen. Il a été particulièrement question des projets de coopération culturelle et de la défense des valeurs traditionnelles chrétiennes dans le Midi de la France.
A Montpellier, (Hérault), une deuxième divine liturgie sera dite le samedi 21 janvier 2012 à 10 heures par le père Georges Egorov (06 07 97 61 66) , membre du clergé de l'église cathédrale des Trois-Saints-Docteurs à Paris.
Une grande bénédiction des eaux aura lieu!
Il convient d’exprimer notre profonde gratitude à la sœur Directrice Marie-Louise du foyer Thérésianum qui a gracieusement mis ses locaux à notre disposition. Nous sommes également reconnaissants à Madame Alevtina Lucas, qui avait organisé l’office précédent,le 8 janvier.
Près de 70 fidèles s’y étaient réunis.
L’office du 21 janvier se tiendra au 45 de la rue des Carmélites.Renseignements auprès de sœur Marie Luz Hernandez de la Congrégation Sainte Thérèse de Lisieux (06 33 45 68 46 ou 04 67 63 55 49).
"PO" Noël orthodoxe de tradition russe à Montpellier
Une grande bénédiction des eaux aura lieu!
Il convient d’exprimer notre profonde gratitude à la sœur Directrice Marie-Louise du foyer Thérésianum qui a gracieusement mis ses locaux à notre disposition. Nous sommes également reconnaissants à Madame Alevtina Lucas, qui avait organisé l’office précédent,le 8 janvier.
Près de 70 fidèles s’y étaient réunis.
L’office du 21 janvier se tiendra au 45 de la rue des Carmélites.Renseignements auprès de sœur Marie Luz Hernandez de la Congrégation Sainte Thérèse de Lisieux (06 33 45 68 46 ou 04 67 63 55 49).
"PO" Noël orthodoxe de tradition russe à Montpellier
V.G.
Selon un communiqué publié sur le site de l'Église orthodoxe russe Hors de la Russie (*) de graves difficultés financières mettent en question la propriété de son siège historique (depuis 1928), bel immeuble sur Park Avenue à New York. L'immeuble a en effet besoin de travaux de rénovation importants, son cout d'entretien est élevé et le budget annuel Synode des Evêques, organe supérieur de l'Église orthodoxe russe Hors de la Russie, est déficitaire de 450 – 500 000 $/an depuis plusieurs années, soit prés de 30% du budget total.
Le problème essentiel vient du manque de ressources des paroisses. En effet, celles-ci versent normalement 10% de leurs revenus à leur diocèse qui en reverse la moitié au Synode. Or beaucoup de paroisses, "sont à peine capables de subvenir comme il faut aux besoins de leurs propres prêtres ou d'entretenir leurs propres bâtiments ecclésiaux. De même, les administrations diocésaines ont besoin de revenus pour fonctionner correctement…" dit le communiqué. On ne peut donc continuer ainsi et il faut trouver des revenus spécifiques pour la rénovation et l'entretien du siège, qui ne doit plus peser sur les paroisses.
Selon un communiqué publié sur le site de l'Église orthodoxe russe Hors de la Russie (*) de graves difficultés financières mettent en question la propriété de son siège historique (depuis 1928), bel immeuble sur Park Avenue à New York. L'immeuble a en effet besoin de travaux de rénovation importants, son cout d'entretien est élevé et le budget annuel Synode des Evêques, organe supérieur de l'Église orthodoxe russe Hors de la Russie, est déficitaire de 450 – 500 000 $/an depuis plusieurs années, soit prés de 30% du budget total.
Le problème essentiel vient du manque de ressources des paroisses. En effet, celles-ci versent normalement 10% de leurs revenus à leur diocèse qui en reverse la moitié au Synode. Or beaucoup de paroisses, "sont à peine capables de subvenir comme il faut aux besoins de leurs propres prêtres ou d'entretenir leurs propres bâtiments ecclésiaux. De même, les administrations diocésaines ont besoin de revenus pour fonctionner correctement…" dit le communiqué. On ne peut donc continuer ainsi et il faut trouver des revenus spécifiques pour la rénovation et l'entretien du siège, qui ne doit plus peser sur les paroisses.
Le chef de l'Autorité palestinienne Mahmoud Abbas et le Patriarche Théodore II d'Alexandrie et de Toute l'Afrique recevront samedi le prix "Patriarche Alexis II" 2011 de la Fondation internationale de l'unité des peuples chrétiens orthodoxes, a annoncé mercredi le service de presse du patriarche russe.
La 12e édition de la cérémonie de remise du prix se déroulera le 21 janvier, dans la salle des Conciles de la cathédrale du Christ-Sauveur de Moscou. Le chef de l'Eglise orthodoxe russe Cyrille accueillera le Patriarche Théodore II le 20 janvier et le chef de l'Autorité palestinienne Mahmoud Abbas le 21 janvier dans sa résidence au monastère Saint-Daniel de Moscou.
La 12e édition de la cérémonie de remise du prix se déroulera le 21 janvier, dans la salle des Conciles de la cathédrale du Christ-Sauveur de Moscou. Le chef de l'Eglise orthodoxe russe Cyrille accueillera le Patriarche Théodore II le 20 janvier et le chef de l'Autorité palestinienne Mahmoud Abbas le 21 janvier dans sa résidence au monastère Saint-Daniel de Moscou.
Le lundi 16 janvier 2012, mémoire de sainte Geneviève de Paris selon le calendrier julien, le Séminaire orthodoxe russe à Epinay-sous-Sénart a célébré sa fête patronale. La divine liturgie était présidée ce jour-là par l'évêque Nestor de Chersonèse.
Elle a réuni de nombreux fidèles et amis du séminaire. L'archiprêtre Nicolas Cernokrak, doyen de l'Institut de théologie orthodoxe Saint-Serge, l'archiprêtre Jivko Panev, recteur de la paroisse Notre-Dame Souveraine à Chaville, le hiéromoine Antony Sevruk, recteur de l'église russe Sainte-Catherine à Rome, l'archiprêtre Gérard de Lagarde, recteur de la paroisse Notre-Dame-Joie-des-Affligés-Sainte-Geneviève à Paris, le hiéromoine Joseph Pavlinciuc, aumônier de la communauté moldave du diocèse de Chersonèse, ont participé à la liturgie aux côtés des responsables, des formateurs et des étudiants du séminaire.
Elle a réuni de nombreux fidèles et amis du séminaire. L'archiprêtre Nicolas Cernokrak, doyen de l'Institut de théologie orthodoxe Saint-Serge, l'archiprêtre Jivko Panev, recteur de la paroisse Notre-Dame Souveraine à Chaville, le hiéromoine Antony Sevruk, recteur de l'église russe Sainte-Catherine à Rome, l'archiprêtre Gérard de Lagarde, recteur de la paroisse Notre-Dame-Joie-des-Affligés-Sainte-Geneviève à Paris, le hiéromoine Joseph Pavlinciuc, aumônier de la communauté moldave du diocèse de Chersonèse, ont participé à la liturgie aux côtés des responsables, des formateurs et des étudiants du séminaire.
Le dimanche 22 janvier 2012, jour anniversaire du décès de l’archevêque Serge d’Eucarpie de bienheureuse mémoire, après la Divine Liturgie et la bénédiction des eaux célébrées en l’église de la Dormition de la Mère de Dieu à Sainte Geneviève-des-Bois, un office des défunts (pannychide) sera célébré sur le tombeau de Mgr Serge. La Divine Liturgie commencera à 10h00 et l’office des défunts, vers 12h30.
Le même jour, un office des défunts à la mémoire de l’archevêque Serge sera également célébré à la cathédrale Saint Alexandre Nevsky après la Divine Liturgie. Lien
Le même jour, un office des défunts à la mémoire de l’archevêque Serge sera également célébré à la cathédrale Saint Alexandre Nevsky après la Divine Liturgie. Lien
Vladimir GOLOVANOW
Une analyse ecclésiologique
Malgré l'absence d'explications officielles, les différentes déclarations des représentants autorisés de l'Archevêché au sujet de Nice nous amènent à poser la question de son statut canonique. En effet, le père Jean, recteur en titre, a dit et répété qu'il ne donnerait les clés que sur instruction de son évêque. Les clés ont été données, donc il y a eu instruction… Mgr Gabriel avait annoncé, en particulier lors de sa rencontre avec Mgr Nestor (1) , "qu’il attendait la lettre du patriarcat de Constantinople à ce sujet. Avant d'avoir reçu celle-ci, il ne peut entreprendre aucune action." Une instruction de Constantinople est donc bien arrivée et, dans son message de vœux, Mgr Gabriel (2) a qualifié cela de "passivité du Patriarcat Œcuménique". Nous pouvons donc en conclure que le Saint Trône avait donné instruction de transmettre les clés au représentant de l'Eglise russe, ce qui revient à transférer la paroisse, ce qui allait bien évidement à l'encontre des vœux de Mgr Gabriel. (3)
Comment cela se peut-il alors que les canons, souvent rappelés, précisent bien que seul l'évêque titulaire peut prendre ce genre de décision puisque aucun évêque, fut-il le premier, ne peut interférer dans les affaires d'un autre diocèse que le sien? Pour moi cela revient à poser le statut canonique de cet "Archevêché" et de son évêque.
Une analyse ecclésiologique
Malgré l'absence d'explications officielles, les différentes déclarations des représentants autorisés de l'Archevêché au sujet de Nice nous amènent à poser la question de son statut canonique. En effet, le père Jean, recteur en titre, a dit et répété qu'il ne donnerait les clés que sur instruction de son évêque. Les clés ont été données, donc il y a eu instruction… Mgr Gabriel avait annoncé, en particulier lors de sa rencontre avec Mgr Nestor (1) , "qu’il attendait la lettre du patriarcat de Constantinople à ce sujet. Avant d'avoir reçu celle-ci, il ne peut entreprendre aucune action." Une instruction de Constantinople est donc bien arrivée et, dans son message de vœux, Mgr Gabriel (2) a qualifié cela de "passivité du Patriarcat Œcuménique". Nous pouvons donc en conclure que le Saint Trône avait donné instruction de transmettre les clés au représentant de l'Eglise russe, ce qui revient à transférer la paroisse, ce qui allait bien évidement à l'encontre des vœux de Mgr Gabriel. (3)
Comment cela se peut-il alors que les canons, souvent rappelés, précisent bien que seul l'évêque titulaire peut prendre ce genre de décision puisque aucun évêque, fut-il le premier, ne peut interférer dans les affaires d'un autre diocèse que le sien? Pour moi cela revient à poser le statut canonique de cet "Archevêché" et de son évêque.
Une centaine de passionnés réunis à Fribourg
En mai 1971, l’Eglise catholique s’ouvrait totalement à l’ère de la communication avec la sortie de l’instruction pastorale "Communio et Progressio". Le vent du Concile, libéré 6 ans plus tôt hors des fenêtres du Vatican, soufflait enfin sur le monde des médias.
Une Eglise qui ne communique pas n’est pas l’Eglise. Sur le plan de la communication, "l’Eglise est encore souvent en retard", a lancé Mgr Claudio Maria Celli, président du Conseil pontifical pour les communications sociales à Rome. L’hôte du Vatican s’exprimait jeudi 12 janvier à l’Université de Fribourg à l’occasion de la commémoration des 40 ans du document "Communion et Progrès", devant une centaine de professionnels et passionnés des médias venant de toute la Suisse.
En mai 1971, l’Eglise catholique s’ouvrait totalement à l’ère de la communication avec la sortie de l’instruction pastorale "Communio et Progressio". Le vent du Concile, libéré 6 ans plus tôt hors des fenêtres du Vatican, soufflait enfin sur le monde des médias.
Une Eglise qui ne communique pas n’est pas l’Eglise. Sur le plan de la communication, "l’Eglise est encore souvent en retard", a lancé Mgr Claudio Maria Celli, président du Conseil pontifical pour les communications sociales à Rome. L’hôte du Vatican s’exprimait jeudi 12 janvier à l’Université de Fribourg à l’occasion de la commémoration des 40 ans du document "Communion et Progrès", devant une centaine de professionnels et passionnés des médias venant de toute la Suisse.
Vladimir GOLOVANOW
Un échange récent a montré que bon nombre de lecteurs de ce forum, et plus généralement d'Orthodoxes et de croyants s'intéressants à l'Orthodoxie, ne perçoivent pas de différence fondamentale entre la Sainte messe catholique et la Divine Liturgie orthodoxe. Mes connaissances théologiques étant trop limitées pour faire le tour de la question, je voudrais lancer quelques pistes de réflexions en comptant sur des compléments d'apports de ceux qui sont plus compétents que moi.
La “Sainte Messe” des Latins et la «Divine Liturgie» des Orthodoxes trouvent leur origine dans la "Sainte Cène", le «Repas du Seigneur» (1 Co 11, 20.33), la «Fraction du pain» (Ac 2, 42.46 ; 20, 7), «l'Eucharistie». Mais les deux concepts divergent par leur définition:
LITURGIE (1) : De l'adjectif grec lèitos : « public », et du nom commun ergon : « service », « oeuvre », « travail ». La liturgie est donc, étymologiquement, un « service public », une œuvre faite au bénéfice du peuple.
Un échange récent a montré que bon nombre de lecteurs de ce forum, et plus généralement d'Orthodoxes et de croyants s'intéressants à l'Orthodoxie, ne perçoivent pas de différence fondamentale entre la Sainte messe catholique et la Divine Liturgie orthodoxe. Mes connaissances théologiques étant trop limitées pour faire le tour de la question, je voudrais lancer quelques pistes de réflexions en comptant sur des compléments d'apports de ceux qui sont plus compétents que moi.
La “Sainte Messe” des Latins et la «Divine Liturgie» des Orthodoxes trouvent leur origine dans la "Sainte Cène", le «Repas du Seigneur» (1 Co 11, 20.33), la «Fraction du pain» (Ac 2, 42.46 ; 20, 7), «l'Eucharistie». Mais les deux concepts divergent par leur définition:
LITURGIE (1) : De l'adjectif grec lèitos : « public », et du nom commun ergon : « service », « oeuvre », « travail ». La liturgie est donc, étymologiquement, un « service public », une œuvre faite au bénéfice du peuple.
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