Plateforme libre de discussion
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L'exposition ouvre ses portes le mardi 26 septembre et dure jusqu'au 14 janvier 2018.
Inauguré en 1987, l’Institut du monde arabe s’est intéressé progressivement aux chrétiens de cette région.
Une exposition sur le pèlerinage à La Mecque, il y a trois ans, avait montré la curiosité du grand public pour la connaissance des religions. La CROIX
L'exposition « Chrétiens d'Orient. Deux mille ans d'histoire » éclaire l'histoire d'une communauté plurielle et son rôle majeur au Proche-Orient, aux plans tant politique et culturel que social et religieux. Au fil du parcours, des chefs-d'œuvre du patrimoine chrétien sont à découvrir, dont certains montrés en Europe pour la première fois.
Né à Jérusalem, le christianisme s’est rapidement diffusé à tout le Proche-Orient : il s'est implanté en Egypte et dans les actuels Liban, Syrie, Jordanie et Irak. Tout au long de l’Histoire, les chrétiens ont joué un rôle majeur dans le développement politique, culturel, social et religieux de cette région du monde.
Inauguré en 1987, l’Institut du monde arabe s’est intéressé progressivement aux chrétiens de cette région.
Une exposition sur le pèlerinage à La Mecque, il y a trois ans, avait montré la curiosité du grand public pour la connaissance des religions. La CROIX
L'exposition « Chrétiens d'Orient. Deux mille ans d'histoire » éclaire l'histoire d'une communauté plurielle et son rôle majeur au Proche-Orient, aux plans tant politique et culturel que social et religieux. Au fil du parcours, des chefs-d'œuvre du patrimoine chrétien sont à découvrir, dont certains montrés en Europe pour la première fois.
Né à Jérusalem, le christianisme s’est rapidement diffusé à tout le Proche-Orient : il s'est implanté en Egypte et dans les actuels Liban, Syrie, Jordanie et Irak. Tout au long de l’Histoire, les chrétiens ont joué un rôle majeur dans le développement politique, culturel, social et religieux de cette région du monde.
Rédigé par Parlons D'orthodoxie le 28 Décembre 2017 à 16:00
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Un jour du mois de Février 1965, un autobus rempli de voyageurs se rendait à la ville la plus proche. Le voisin immédiat du conducteur était un vieillard, grand et solide, d’environ soixante-quinze ans, à la barbe blanche. Il portait un chaud manteau à col de fourrure et un bonnet à oreillettes.
L’autobus avançait lentement car la neige tombait. Arrivé à un tournant de la route, ses chaînes arrière cassèrent. L’autobus freina et faillit s’écraser contre un autre autobus plein de monde, tout cela en l’espace d’un éclair. Notre conducteur perdit le contrôle de sa machine ; tous les cœurs frémirent. Les deux autobus s’arrêtèrent à un centimètre l’un de l’autre.
Le vieillard fît alors un signe de croix en s’écriant : «Gloire à Toi, Seigneur, gloire à Toi ! Que Ton nom soit béni, о sainte Mère de Dieu, Toi qui nous as sauvés !»...
L’autobus avançait lentement car la neige tombait. Arrivé à un tournant de la route, ses chaînes arrière cassèrent. L’autobus freina et faillit s’écraser contre un autre autobus plein de monde, tout cela en l’espace d’un éclair. Notre conducteur perdit le contrôle de sa machine ; tous les cœurs frémirent. Les deux autobus s’arrêtèrent à un centimètre l’un de l’autre.
Le vieillard fît alors un signe de croix en s’écriant : «Gloire à Toi, Seigneur, gloire à Toi ! Que Ton nom soit béni, о sainte Mère de Dieu, Toi qui nous as sauvés !»...
Mgr Hermogène (1858-1918), d’abord évêque de Saratov, était un homme cultivé, un ascète au cœur pur et à la charité sans faille. Il fut amené à lutter contre la fermentation grandissante des idées révolutionnaires et s’y consacra sans restriction.
Ayant compris le danger de Raspoutine, il tenta d’obtenir de lui, par serment, la promesse de ne plus franchit le seuil du palais impérial. Raspoutine refusa. Alors, Mgr Hermogène, revêtu de l’étole et la croix en main, lança contre lui l’anathème puis, par télégramme, il supplia l’empereur Nicolas II de ne plus l’admettre chez lui. Le résultat de cette initiative se traduisit pour lui par sa retraite forcée au monastère de Jirovitsky à coté de Grodno, d’où il ne sortit qu’au début de la révolution. Il fut alors nommé évêque de Tobolsk.
En 1918 le patriarche Tikhon invita les orthodoxes à organiser des processions. L’heure était grave. A Tobolsk Mgr Hermogène fit préparer une procession mais il fut averti par les autorités qu’il serait arrêté.
Ayant compris le danger de Raspoutine, il tenta d’obtenir de lui, par serment, la promesse de ne plus franchit le seuil du palais impérial. Raspoutine refusa. Alors, Mgr Hermogène, revêtu de l’étole et la croix en main, lança contre lui l’anathème puis, par télégramme, il supplia l’empereur Nicolas II de ne plus l’admettre chez lui. Le résultat de cette initiative se traduisit pour lui par sa retraite forcée au monastère de Jirovitsky à coté de Grodno, d’où il ne sortit qu’au début de la révolution. Il fut alors nommé évêque de Tobolsk.
En 1918 le patriarche Tikhon invita les orthodoxes à organiser des processions. L’heure était grave. A Tobolsk Mgr Hermogène fit préparer une procession mais il fut averti par les autorités qu’il serait arrêté.
Une exposition de photos intitulée "La charité en Russie" s'est ouverte à Rome. Les œuvres présentées, exécutées par des photographes d'art russes contemporains, reflètent la contribution de l'Eglise orthodoxe russe dans les actions de charité.
"L'exposition représente différents domaines de la charité, en commençant par l'aide aux enfants et aux invalides, aux personnes âgées, aux sourds, aux sans-abri, aux prisonniers et enfin aux efforts conjoints des Eglises orthodoxe russe et catholique romaine pour venir en aide aux réfugiés", a-t-on annoncé vendredi à Interfax à la Fondation "Grégoire le Théologien", l'un des organisateurs de l'exposition.
"L'exposition représente différents domaines de la charité, en commençant par l'aide aux enfants et aux invalides, aux personnes âgées, aux sourds, aux sans-abri, aux prisonniers et enfin aux efforts conjoints des Eglises orthodoxe russe et catholique romaine pour venir en aide aux réfugiés", a-t-on annoncé vendredi à Interfax à la Fondation "Grégoire le Théologien", l'un des organisateurs de l'exposition.
À l’approche des fêtes de fin d’année, le Centre spirituel et culturel russe à Paris a reçu un cadeau exceptionnel pour sa bibliothèque – une magnifique édition fac-similé du Recueil illustré des chroniques du XVIe siècle, un ouvrage créé en un seul exemplaire sur l’ordre du tsar Ivan le Terrible à des fins éducatives pour ses enfants, et jamais réédité par la suite.
Comme l’a noté l’ambassadeur de Russie en France Alexeï Mechkov, le Recueil illustré des chroniques est un monument de la littérature, de l’histoire et de l’art d’une portée mondiale. Il constitue une démonstration éloquente de l’existence et du développement sur le territoire de l’ancienne Russie, et plus tard de la principauté de Moscou, d’une culture originale, y compris d’une riche tradition littéraire des biographies historiques qui n’a rien à envier à la culture européenne, et ce bien avant Pierre le Grand et sa « fenêtre sur l’Europe ».
Comme l’a noté l’ambassadeur de Russie en France Alexeï Mechkov, le Recueil illustré des chroniques est un monument de la littérature, de l’histoire et de l’art d’une portée mondiale. Il constitue une démonstration éloquente de l’existence et du développement sur le territoire de l’ancienne Russie, et plus tard de la principauté de Moscou, d’une culture originale, y compris d’une riche tradition littéraire des biographies historiques qui n’a rien à envier à la culture européenne, et ce bien avant Pierre le Grand et sa « fenêtre sur l’Europe ».
L’archiprêtre Michel Tikhomirov 1869–1931
En 1924 la situation de l’Eglise orthodoxe était bien sombre dans la capitale de Saint Pétersbourg, devenue successivement Petrograd. L’église « vivante » (obnovlentcheskaya jyvaya tzerkovj)avait annexé presque tputes les paroisses de la ville et tous les prêtres non ralliés en avaient été exclus, à part deux, le père Xénophonte Vinogradov et le père Michel Tikhomirov. L’archiprêtre Vinogradov qui s’occupait de l’église grecque de Petrograd, jouissait de la protection de l’ambassade de Grèce. Il mourut en 1935.
L’archiprêtre Tikhomirov, l’ancien aumônier d’un régiment de la Garde, dirigeait l’église de la Transfiguration (Preobrajenky), ancienne cathédrale de la Garde. Privé de toute aide, il n’avait plus une minute de liberté. Pendant la période du Grands Carême 1924, il devait confesser chaque jour deux à trois cent personnes, car les vrais orthodoxes ne voulaient pas avoir affaire à l’église progressiste révolutionnaire. Les confessions étaient courtes, mais le fait de se présenter dans cette église qui leur avait été laissée, constituait un témoignage de loyauté chrétienne. L’année suivante, en 1925, le père se trouva un peu soulagé par le retour à Petrograd de deux vicaires.
En 1924 la situation de l’Eglise orthodoxe était bien sombre dans la capitale de Saint Pétersbourg, devenue successivement Petrograd. L’église « vivante » (obnovlentcheskaya jyvaya tzerkovj)avait annexé presque tputes les paroisses de la ville et tous les prêtres non ralliés en avaient été exclus, à part deux, le père Xénophonte Vinogradov et le père Michel Tikhomirov. L’archiprêtre Vinogradov qui s’occupait de l’église grecque de Petrograd, jouissait de la protection de l’ambassade de Grèce. Il mourut en 1935.
L’archiprêtre Tikhomirov, l’ancien aumônier d’un régiment de la Garde, dirigeait l’église de la Transfiguration (Preobrajenky), ancienne cathédrale de la Garde. Privé de toute aide, il n’avait plus une minute de liberté. Pendant la période du Grands Carême 1924, il devait confesser chaque jour deux à trois cent personnes, car les vrais orthodoxes ne voulaient pas avoir affaire à l’église progressiste révolutionnaire. Les confessions étaient courtes, mais le fait de se présenter dans cette église qui leur avait été laissée, constituait un témoignage de loyauté chrétienne. L’année suivante, en 1925, le père se trouva un peu soulagé par le retour à Petrograd de deux vicaires.
Ce weekend sur les ondes de France Culture est consacré au centième anniversaire de la révolution russe. Dans La Conversation scientifique, nous voudrions aborder plusieurs questions : Pour ce qui est des sciences, de la recherche, où en était la Russie du Tsar au tout début du XXe siècle ? En quoi la révolution bolchevique de 1917 a-t-elle changé la donne ?
Invités
Alexei Grinbaum, philosophe des sciences, auteur de La Mécanique des étreintes (Encre Marine, 2014)
Pierre Vanhove, physicien théoricien à l’Institut de Physique théorique de Saclay, traducteur du livre de Pavel Florensky, Les imaginaires en géométrie (Zones Sensibles, 2016)
Quand la révolution russe éclate, trois révolutions scientifiques sont accomplies ou en voie de l'être: la théorie de la relativité restreinte, formulée par Einstein en 1905 ; la théorie de la relativité générale du même Einstein et enfin, la toute neuve et balbutiante physique de l’atome.
Invités
Alexei Grinbaum, philosophe des sciences, auteur de La Mécanique des étreintes (Encre Marine, 2014)
Pierre Vanhove, physicien théoricien à l’Institut de Physique théorique de Saclay, traducteur du livre de Pavel Florensky, Les imaginaires en géométrie (Zones Sensibles, 2016)
Quand la révolution russe éclate, trois révolutions scientifiques sont accomplies ou en voie de l'être: la théorie de la relativité restreinte, formulée par Einstein en 1905 ; la théorie de la relativité générale du même Einstein et enfin, la toute neuve et balbutiante physique de l’atome.
Concert de Noël donné par la chorale de l'église Saint Séraphin de Sarov sous la direction d'Irène Fanina. L'année dernière le concert de Noël avait eu un grand succès.
Adresse: église Saint Jacques, Place de Rottembourg à Montgeron.
Adresse: église Saint Jacques, Place de Rottembourg à Montgeron.
31 mars 1945, date de la mort de mère Marie à Ravensbrück. "Radio Liberty" vient de diffuser, en russe, un long et très complet entretien d'Ivan Tolstoï avec Xenia Krivochéine.
YOU TUBE Carol Saba reçoit Xenia et Nikita Krivochéine à "Orthodoxie, ici et maintenant"
Les éditions « EXMO » « Эксмо » viennent de publier un livre de Xenia Krivochéine intitulé « Mère Marie (Skobtsov) - Une sainte qui appartient à notre temps » (696 pages, 3.000ex.)
En voici la prière d’insérer
« C’est la première fois que paraît en russe une biographie circonstanciée de cette femme dont le nom appartient au martyrologue du XXe siècle. Sa vie, en Russie, puis dans l’émigration, a été passionnante.
Mère Marie a initié la création en France de cantines pour les plus démunis ainsi que de maisons de retraite.
Pendant l’occupation elle a caché des prisonniers de guerre russes, délivré des actes de baptême à des juifs afin de les sauver. Elle adhéra à la Résistance et périt en 1945 à Ravensbrück. Nous commémorons en 2015 le 70e anniversaire de sa mort.
YOU TUBE Carol Saba reçoit Xenia et Nikita Krivochéine à "Orthodoxie, ici et maintenant"
Les éditions « EXMO » « Эксмо » viennent de publier un livre de Xenia Krivochéine intitulé « Mère Marie (Skobtsov) - Une sainte qui appartient à notre temps » (696 pages, 3.000ex.)
En voici la prière d’insérer
« C’est la première fois que paraît en russe une biographie circonstanciée de cette femme dont le nom appartient au martyrologue du XXe siècle. Sa vie, en Russie, puis dans l’émigration, a été passionnante.
Mère Marie a initié la création en France de cantines pour les plus démunis ainsi que de maisons de retraite.
Pendant l’occupation elle a caché des prisonniers de guerre russes, délivré des actes de baptême à des juifs afin de les sauver. Elle adhéra à la Résistance et périt en 1945 à Ravensbrück. Nous commémorons en 2015 le 70e anniversaire de sa mort.
Avec la bénédiction de Mgr Nestor, évêque de Chersonèse (patriarcat de Moscou)
Dans la basilique de Saint Nicolas à Saint Nicolas de Port ( à 12 km de Nancy)
Ce village est devenu un centre important pour la vénération de saint Nicolas par les chrétiens de l'Allemagne, de France et surtout de la Lorraine dont il est le Saint protecteur, après les transfert des reliques de ce Saint depuis Bari, en 1098
Programme et affiche >>>>
Dans la basilique de Saint Nicolas à Saint Nicolas de Port ( à 12 km de Nancy)
Ce village est devenu un centre important pour la vénération de saint Nicolas par les chrétiens de l'Allemagne, de France et surtout de la Lorraine dont il est le Saint protecteur, après les transfert des reliques de ce Saint depuis Bari, en 1098
Programme et affiche >>>>
Le collectionneur Victor Scherrer expose au Centre du quai Branly près de 70 œuvres, peintures, gravures, dessins signés par des artistes tels qu’Oscar Rabine, Vladimir Nemoukhine, Ernst Neizvestny, Vladimir Svechnikov, Dimitri Plavinslyy, Edouard Zelenine, etc.
Ce sont le diocèse de Chersonèse ainsi que les éditions « Terra Mare » qui sont aux origines de cette exposition.
L’exposition a été inaugurée par Monseigneur Nestor, évêque de Chersonèse et M. Léonid Kadychev, ministre-conseiller de l’ambassade de la Fédération de Russie en France.
Victor Scherrer a parlé de l’histoire de sa collection. Le peintre Vladimir Titov est également intervenu. Le directeur des éditions « Terra Mare » a présenté le catalogue de l’exposition qui est en vente à la librairie du Centre spirituel et culturel du quai Branly
Exposition ouverte du 16 au 30 novembre. >>>> 12.00h - 14.00h et 15.00 h - 19.00h
Ce sont le diocèse de Chersonèse ainsi que les éditions « Terra Mare » qui sont aux origines de cette exposition.
L’exposition a été inaugurée par Monseigneur Nestor, évêque de Chersonèse et M. Léonid Kadychev, ministre-conseiller de l’ambassade de la Fédération de Russie en France.
Victor Scherrer a parlé de l’histoire de sa collection. Le peintre Vladimir Titov est également intervenu. Le directeur des éditions « Terra Mare » a présenté le catalogue de l’exposition qui est en vente à la librairie du Centre spirituel et culturel du quai Branly
Exposition ouverte du 16 au 30 novembre. >>>> 12.00h - 14.00h et 15.00 h - 19.00h
Cette vidéo réalisée par Alexey Vozniuk à l'occasion du 30e anniversaire de la mort du grand iconographe Léonide Alexandrovitch Ouspensky est né le 8 août 1902 à Golaya Snova (aujourd'hui Golosnovka) dans la partie Nord du gouvernement de Voronej, à soixante-dix kilomètres de la ville de Zadonsk en Russie. On lui donna le nom d'un saint commémoré en Russie le jour de sa naissance. Son père appartenait à la petite noblesse provinciale ; sa mère, née Koutouzov, était d’une famille paysanne.
Liste des manifestations relatives à l'exposition Ouspensky >>>>
Centre spirituel de la Cathédrale orthodoxe russe à Paris - 1 quai Branly >>>>
Liste des manifestations relatives à l'exposition Ouspensky >>>>
Centre spirituel de la Cathédrale orthodoxe russe à Paris - 1 quai Branly >>>>
Le Centre culturel et spirituel russe 1 quai Branly, 75007, Paris accueille la chorale du célèbre monastère russe de Valaam connu pour son exceptionelle et harmonieuse tradition vocale.
Valaam, archipel d’une cinquantaine d’îles, figées six mois par an dans les glaces de l’immense lac Ladoga, abrite le plus ancien monastère de Russie. Reservation de billets ICI
Valaam, archipel d’une cinquantaine d’îles, figées six mois par an dans les glaces de l’immense lac Ladoga, abrite le plus ancien monastère de Russie. Reservation de billets ICI
Recteur du Séminaire orthodoxe russe à Épinay-sous-Sénart, il est aussi secrétaire du diocèse de Chersonèse aux relations avec les Églises, la presse et la société et secrétaire du Conseil d’administration de l’Association diocésaine, membre de la Représentation de l’Église orthodoxe russe près les institutions européennes à Bruxelles. Le p. Alexandre Siniakov est titulaire d’une maîtrise en théologie orthodoxe de l’Institut Saint-Serge et d’un doctorat en lettres classiques de l’École pratique des Hautes Études (Paris, France).
Il a bien voulu revenir pour les lecteurs de ZENIT sur les progrès des relations entre le pape François et le patriarche Kirill, au moment où le Secrétaire d’Etat du Saint-Siège, le cardinal Pietro Parolin, effectue un voyage inédit à Moscou (21-24 août 2017).
***
Les Éditions Salvator viennent de faire paraître un livre du P. Alexandre Siniakov, Comme l'éclair part de l'Orient. Voici sa présentation par l'éditeur: Dans un village cosaque de la Russie encore soviétique des années 1980, un jeune homme découvre l’Évangile et décide d’y consacrer sa vie. Le père Alexandre Siniakov raconte dans cet ouvrage son chemin atypique qui l’a conduit des steppes du Caucase à la France des écrivains qu’il lisait en secret.
Il a bien voulu revenir pour les lecteurs de ZENIT sur les progrès des relations entre le pape François et le patriarche Kirill, au moment où le Secrétaire d’Etat du Saint-Siège, le cardinal Pietro Parolin, effectue un voyage inédit à Moscou (21-24 août 2017).
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Les Éditions Salvator viennent de faire paraître un livre du P. Alexandre Siniakov, Comme l'éclair part de l'Orient. Voici sa présentation par l'éditeur: Dans un village cosaque de la Russie encore soviétique des années 1980, un jeune homme découvre l’Évangile et décide d’y consacrer sa vie. Le père Alexandre Siniakov raconte dans cet ouvrage son chemin atypique qui l’a conduit des steppes du Caucase à la France des écrivains qu’il lisait en secret.
Le président du Département des Relations Ecclésiastiques Extérieures du patriarcat de Moscou (DREE), généralement considéré comme le porte-parole et le bras droit du patriarche, se dit convaincu que la Russie aurait obtenu beaucoup plus de succès si elle s'était développée d'une manière évolutive et non révolutionnaire...
A la veille du 100 e anniversaire de la Révolution d'Octobre, métropolite de Volokolamskiy Hilarion a prononcé une sentence extrêmement sévère dans le cadre de l'émission «Eglise et Paix» sur la chaîne TV «Russie-24». Il a souligné que la révolution a profondément blessé la Russie, qui ne s'en est pas remise jusqu'à nos jours, et elle a rejeté le pays bon nombre d'années en arrière.
« Pour l'Eglise, cette date signifie, avant tout, la commémoration dans la prière des millions de victimes de la révolution. Nous parlons d'un événement extrêmement tragique dans l'histoire de notre pays et, même si on l'entend s'exprimer aujourd'hui les appréciations les plus diverses de ce qui s'est passé pendant la révolution, l'Eglise a clairement donné sa position sur ces événements en canonisant les néomartyrs et confesseurs de l'Eglise russe. C'était en l'années jubilaires 2000. L'Église a alors glorifié plus de mille saints nommément, et maintenant cette liste en compte déjà plus de deux mille noms. Et en plus de ceux dont les noms sont connus, ont aussi été glorifié tous ces nombreux croyants, moines, prêtres et évêques dont les noms ne sont connus que de Dieu. Et c'est là que l'Eglise a clairement signifié qui étaient les victimes et qui étaient les bourreaux."
A la veille du 100 e anniversaire de la Révolution d'Octobre, métropolite de Volokolamskiy Hilarion a prononcé une sentence extrêmement sévère dans le cadre de l'émission «Eglise et Paix» sur la chaîne TV «Russie-24». Il a souligné que la révolution a profondément blessé la Russie, qui ne s'en est pas remise jusqu'à nos jours, et elle a rejeté le pays bon nombre d'années en arrière.
« Pour l'Eglise, cette date signifie, avant tout, la commémoration dans la prière des millions de victimes de la révolution. Nous parlons d'un événement extrêmement tragique dans l'histoire de notre pays et, même si on l'entend s'exprimer aujourd'hui les appréciations les plus diverses de ce qui s'est passé pendant la révolution, l'Eglise a clairement donné sa position sur ces événements en canonisant les néomartyrs et confesseurs de l'Eglise russe. C'était en l'années jubilaires 2000. L'Église a alors glorifié plus de mille saints nommément, et maintenant cette liste en compte déjà plus de deux mille noms. Et en plus de ceux dont les noms sont connus, ont aussi été glorifié tous ces nombreux croyants, moines, prêtres et évêques dont les noms ne sont connus que de Dieu. Et c'est là que l'Eglise a clairement signifié qui étaient les victimes et qui étaient les bourreaux."
*** S. Kirienko : les qualités des protestants sont importantes pour réussir dans les pays au développement rapide.
Moscou, le 31 octobre. INTERFAX. Selon Sergueï Kirienko, adjoint du chef de l’administration présidentielle de la Fédération de Russie, les protestants de Russie sont une composante importante de la société russe, leurs qualités propres sont particulièrement importantes pour remporter des succès dans le monde contemporain :
« Nous savons tous que les protestants attachent une attention particulière à l’assiduité au travail, au patriotisme et la moralité des mœurs.
Les protestants en Russie occupent une place importante dans le service public, l’aide aux personnes en difficultés, quelle que soit leur confession. Toutes ces qualités sont absolument indispensables aujourd’hui dans notre pays et particulièrement importantes pour réussir dans notre monde en développement rapide, » a déclaré S. Kirienko lors de la célébration des cinq cents ans de la Réforme organisée à Moscou dans la Maison Pachkov.
Selon lui, « les autorités gouvernemen¬tales considèrent les protestants de Russie comme une part indissociable de la communauté religieuse traditionnelle de la Russie multi-ethnique. »
Moscou, le 31 octobre. INTERFAX. Selon Sergueï Kirienko, adjoint du chef de l’administration présidentielle de la Fédération de Russie, les protestants de Russie sont une composante importante de la société russe, leurs qualités propres sont particulièrement importantes pour remporter des succès dans le monde contemporain :
« Nous savons tous que les protestants attachent une attention particulière à l’assiduité au travail, au patriotisme et la moralité des mœurs.
Les protestants en Russie occupent une place importante dans le service public, l’aide aux personnes en difficultés, quelle que soit leur confession. Toutes ces qualités sont absolument indispensables aujourd’hui dans notre pays et particulièrement importantes pour réussir dans notre monde en développement rapide, » a déclaré S. Kirienko lors de la célébration des cinq cents ans de la Réforme organisée à Moscou dans la Maison Pachkov.
Selon lui, « les autorités gouvernemen¬tales considèrent les protestants de Russie comme une part indissociable de la communauté religieuse traditionnelle de la Russie multi-ethnique. »
Le site du Patriarcat de Moscou "патриархия.ru" annonce que le 6 ème anniversaire de la création du Fonds de bienfaisance Saint-Jean de Cronstadt, qui s'occupe de l'aide aux toxicomanes, a été fêté le 3 août 2017 au couvent Saintes Marthe et Marie.
Avec la bénédiction du Patriarche de Moscou et de toute la Russie Cyrille, la divine liturgie a été célébrée dans l'église de l'Intercession de la Sainte Vierge par le président du Département synodal pour les actions de bienfaisance et les affaires sociales de l'Eglise, l'évêque Panteleimon d'Orekhovo-Zuevo et par le directeur du Centre de coordination pour la lutte contre la toxicomanie de ce Département et président du conseil d'administration du Fonds Saint-Jean de Cronstadt, l'évêque Méthode de Kamensk et Alapaiev.
Après la divine liturgie dans l'église de l'Intercession de la Sainte Vierge, un Te Deum fut célébré devant l'icône de la sainte martyre et grande-duchesse Elizabeth Feodorovna, fondatrice du couvent Marthe et Marie.
« Dans votre diocèse, on honore pieusement la mémoire de la sainte martyre Elizabeth ; je pense que le couvent Marthe et Marie est particulièrement cher à votre cœur, a déclaré l'évêque Panteleimon à l'évêque Méthode. Nous sommes heureux d'avoir la possibilité de prier ici avec vous la sainte martyre, afin qu'elle nous renforce dans nos actions d'amour et de charité ».
Avec la bénédiction du Patriarche de Moscou et de toute la Russie Cyrille, la divine liturgie a été célébrée dans l'église de l'Intercession de la Sainte Vierge par le président du Département synodal pour les actions de bienfaisance et les affaires sociales de l'Eglise, l'évêque Panteleimon d'Orekhovo-Zuevo et par le directeur du Centre de coordination pour la lutte contre la toxicomanie de ce Département et président du conseil d'administration du Fonds Saint-Jean de Cronstadt, l'évêque Méthode de Kamensk et Alapaiev.
Après la divine liturgie dans l'église de l'Intercession de la Sainte Vierge, un Te Deum fut célébré devant l'icône de la sainte martyre et grande-duchesse Elizabeth Feodorovna, fondatrice du couvent Marthe et Marie.
« Dans votre diocèse, on honore pieusement la mémoire de la sainte martyre Elizabeth ; je pense que le couvent Marthe et Marie est particulièrement cher à votre cœur, a déclaré l'évêque Panteleimon à l'évêque Méthode. Nous sommes heureux d'avoir la possibilité de prier ici avec vous la sainte martyre, afin qu'elle nous renforce dans nos actions d'amour et de charité ».
Irina Yakousheva s’entretient avec l’Higoumène Pierre /Meshcherinov/ le 8 août 2017
« Qui sont ces „touristes de la spiritualité” ? Qu’est-ce qui pousse ces paroissiens laïques vers la spiritualité monacale ?
Les monastères peuvent-ils survivre sans pèlerins ? Qu’est-ce qu’un regard serein sur la vie monacale ? » Telles sont les interrogations de l’Higoumène Pierre.
Qu’est-ce qui pousse les gens à faire de si nombreux pèlerinages, comment se porte le « tourisme de la spiritualité » ?
— Pour ce qui est des gens extérieurs, des non pratiquants, c’est là une mode, une démonstration de réussite sociale. Les gens aisés aiment se rendre au Mont Athos, en Grèce, en Terre sainte. Pour ce qui est des monastères de notre pays, seuls quelques-uns, comme Valaam, suscitent un tel intérêt. Nos monastères de province n’attirent pas particulièrement ce genre de groupes de pèlerins. Il y a un type donné de sermons adressés aux gens aisés : on leur parle pèlerinages, dons, restaurations d’églises et de monastères, c’est une bonne action qui leur est accessible. Suivre les Commandements du Christ leur est plus difficile, mais faire un don manuel, ça, ils le peuvent.
« Qui sont ces „touristes de la spiritualité” ? Qu’est-ce qui pousse ces paroissiens laïques vers la spiritualité monacale ?
Les monastères peuvent-ils survivre sans pèlerins ? Qu’est-ce qu’un regard serein sur la vie monacale ? » Telles sont les interrogations de l’Higoumène Pierre.
Qu’est-ce qui pousse les gens à faire de si nombreux pèlerinages, comment se porte le « tourisme de la spiritualité » ?
— Pour ce qui est des gens extérieurs, des non pratiquants, c’est là une mode, une démonstration de réussite sociale. Les gens aisés aiment se rendre au Mont Athos, en Grèce, en Terre sainte. Pour ce qui est des monastères de notre pays, seuls quelques-uns, comme Valaam, suscitent un tel intérêt. Nos monastères de province n’attirent pas particulièrement ce genre de groupes de pèlerins. Il y a un type donné de sermons adressés aux gens aisés : on leur parle pèlerinages, dons, restaurations d’églises et de monastères, c’est une bonne action qui leur est accessible. Suivre les Commandements du Christ leur est plus difficile, mais faire un don manuel, ça, ils le peuvent.
Anastasie Gnedinskaya
Nous croyons que la religion secoure l’âme, tandis que la médecine répare le corps.
Le hiéromoine Théodorite (Sentchoukov) cumule depuis dix ans le métier de médecin urgentiste mobile avec la prêtrise. Pendant plus de trente ans il a été rattaché à "l’Institut Sklifassovky" (Moscou), centre spécialisé dans les urgences. Il y a neuf ans le docteur Sentchoukov a apporté ses vœux monastique, s’est revêtu d’une soutane sans pour autant abandonner sa blouse blanche de médecin.
Nous avons rencontré le père Théodorite au monastère Saint Pierre. La liturgie dominicale s’est terminée vers midi. Le prêtre vient à notre rencontre vêtu d’une soutane tenant dans ses mains un sac contenant sa blouse de médecin. Son travail commence dans deux heures.
-Votre physique est pour ainsi dire très marqué, vous arborez la barbe. Est-ce que vos patients devinent à votre aspect quel est votre deuxième, si l’on peut dire, métier ?
- La question que l’on me pose le plus souvent est de savoir si je suis un motard ou un hippy ? Ce n’est que très rarement que je suis reconnu en tant que prêtre. Souvent c’est ma barbe qui me trahit.
Nous croyons que la religion secoure l’âme, tandis que la médecine répare le corps.
Le hiéromoine Théodorite (Sentchoukov) cumule depuis dix ans le métier de médecin urgentiste mobile avec la prêtrise. Pendant plus de trente ans il a été rattaché à "l’Institut Sklifassovky" (Moscou), centre spécialisé dans les urgences. Il y a neuf ans le docteur Sentchoukov a apporté ses vœux monastique, s’est revêtu d’une soutane sans pour autant abandonner sa blouse blanche de médecin.
Nous avons rencontré le père Théodorite au monastère Saint Pierre. La liturgie dominicale s’est terminée vers midi. Le prêtre vient à notre rencontre vêtu d’une soutane tenant dans ses mains un sac contenant sa blouse de médecin. Son travail commence dans deux heures.
-Votre physique est pour ainsi dire très marqué, vous arborez la barbe. Est-ce que vos patients devinent à votre aspect quel est votre deuxième, si l’on peut dire, métier ?
- La question que l’on me pose le plus souvent est de savoir si je suis un motard ou un hippy ? Ce n’est que très rarement que je suis reconnu en tant que prêtre. Souvent c’est ma barbe qui me trahit.
Un rucher est installé sur les toits de la cathédrale Notre-Dame de Paris
Paris, comme toutes les autres grandes villes de la planète souffre des gaz d’échappement. Il n’a, pourtant, pas été difficile de décider d’installer un rucher sur le toit de la sacristie de Notre-Dame. L’apiculteur responsable, Nicolas Géant, nous en parle :
« L’apiculture urbaine depuis ces dernières dizaines d’années devient inéluctablement de plus en plus populaire dans le monde. Depuis longtemps, la ville leader en ce domaine est Paris.
Actuellement plus de 400 ruches sont installées sur les toits de capitale française. Mon entreprise en exploite environ 200.
Le premier abri pour une colonie d’abeilles sur la cathédrale Notre-Dame de Paris est apparu il y a trois ans. Depuis lors, il y en a trois aujourd’hui et plusieurs générations d’abeilles s’y sont succédé. Il faut trois semaines à une abeille pour devenir active, puis pendant un mois elle œuvre pour sa colonie.
Paris, comme toutes les autres grandes villes de la planète souffre des gaz d’échappement. Il n’a, pourtant, pas été difficile de décider d’installer un rucher sur le toit de la sacristie de Notre-Dame. L’apiculteur responsable, Nicolas Géant, nous en parle :
« L’apiculture urbaine depuis ces dernières dizaines d’années devient inéluctablement de plus en plus populaire dans le monde. Depuis longtemps, la ville leader en ce domaine est Paris.
Actuellement plus de 400 ruches sont installées sur les toits de capitale française. Mon entreprise en exploite environ 200.
Le premier abri pour une colonie d’abeilles sur la cathédrale Notre-Dame de Paris est apparu il y a trois ans. Depuis lors, il y en a trois aujourd’hui et plusieurs générations d’abeilles s’y sont succédé. Il faut trois semaines à une abeille pour devenir active, puis pendant un mois elle œuvre pour sa colonie.
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