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Le 12 février 2013, fête des Trois-Saints-Docteurs (Basile le Grand, Grégoire le Théologien et Jean Chrysostome) selon le calendrier julien, M. Gilles-Marc Fougeron, membre du Conseil de formation du séminaire et ancien marguiller de l'église des Trois-Saints-Docteurs, a reçu du main de l'évêque Nestor de Chersonèse l'ordre de Saint-Serge de Radonège, décerné par le patriarche Cyrille de Moscou.
La cérémonie a eu lieu après la divine liturgie à l'église des Trois-Saints-Docteurs dont c'était, ce jour-là, la fête patronale.
Séminaire orthodoxe russe et "Parlons d'orthodoxie" félicitons M. Fougeron pour cette belle distinction qu'il a grandement mérité!
La cérémonie a eu lieu après la divine liturgie à l'église des Trois-Saints-Docteurs dont c'était, ce jour-là, la fête patronale.
Séminaire orthodoxe russe et "Parlons d'orthodoxie" félicitons M. Fougeron pour cette belle distinction qu'il a grandement mérité!
Rédigé par Parlons D'orthodoxie le 14 Février 2013 à 09:45
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Le métropolite Hilarion a présidé une réunion du groupe de travail de la Commission synodale biblique et théologique pour la préparation d’un catéchisme moderne de l’Église orthodoxe russe. La réunion a eu lieu le 12 février 2013 au Département des relations ecclésiastiques extérieures. La principale question à l’ordre du jour était l’application des délais de la préparation du Catéchisme adoptés au Concile épiscopal des 2-5 février 2013. La commission biblique et théologique a été chargée de terminer la préparation de ce catéchisme pour le prochain Concile épiscopal de l’Église orthodoxe russe.
... Fondra-t-elle cette neige,
Quand la mort viendra nous prendre ?
Connaîtrons-nous d’autres neiges,
D’autres roses plus parfaites ?
Sur nous la paix viendra-t-elle
Comme Jésus nous l’enseigne ?
Ou bien n’aurons-nous jamais
La solution du problème ?
Garcia Lorca, «Chanson d'automne»
Le 7 février, la veille de la fête de la Sainte Rencontre, un concert a eu lieu dans la Grande salle du Conservatoire de Moscou.
Sa deuxième partie comporte deux œuvres du métropolite Hilarion (Alfeev) interprétées pour la première fois, « La Fugue sur le motif B.A.C.H. » et le cycle « Les Chants de la mort ». Le futur métropolite avait mis en musique quelques poèmes de son auteur favori Garcia Lorca, mais ces créations de jeunesse ont vite été oubliées. Quelques années plus tard il écrivit d’importantes œuvres comme : « La Passion selon Saint Matthieu », « L’Oratorio de Noël », « La Veillée Nocturne », « Le Chant de l’Ascension ».
Quand la mort viendra nous prendre ?
Connaîtrons-nous d’autres neiges,
D’autres roses plus parfaites ?
Sur nous la paix viendra-t-elle
Comme Jésus nous l’enseigne ?
Ou bien n’aurons-nous jamais
La solution du problème ?
Garcia Lorca, «Chanson d'automne»
Le 7 février, la veille de la fête de la Sainte Rencontre, un concert a eu lieu dans la Grande salle du Conservatoire de Moscou.
Sa deuxième partie comporte deux œuvres du métropolite Hilarion (Alfeev) interprétées pour la première fois, « La Fugue sur le motif B.A.C.H. » et le cycle « Les Chants de la mort ». Le futur métropolite avait mis en musique quelques poèmes de son auteur favori Garcia Lorca, mais ces créations de jeunesse ont vite été oubliées. Quelques années plus tard il écrivit d’importantes œuvres comme : « La Passion selon Saint Matthieu », « L’Oratorio de Noël », « La Veillée Nocturne », « Le Chant de l’Ascension ».
Les évêques orthodoxes de France ont tenu leur réunion périodique ce mercredi 13 février 2013 au siège de l’Assemblée sous la présidence du Métropolite Emmanuel.
1. Les évêques orthodoxes saluent l’intronisation de Sa Béatitude le Patriarche JEAN X d’Antioche qui a eu lieu le dimanche 10 février 2013 au siège du Patriarcat grec-orthodoxe d’Antioche et de tout l’Orient à Damas. Ils adressent à Sa Béatitude leurs meilleurs voeux pour un long et fructueux pontificat à la tête de l’Eglise orthodoxe d’Antioche. Ils assurent Sa Béatitude de toute leur solidarité fraternelle et de leurs prières pour le succès de sa mission surtout en cette période difficile que traverse la région du Moyen Orient, berceau historique de l’Orthodoxie antiochienne. Des évêques de l’Assemblée participeront à cette occasion, à la liturgie patriarcale présidée par Sa Béatitude, qui aura lieu à la Cathédrale orthodoxe Saint Nicolas à Beyrouth le dimanche 17 février 2013.
1. Les évêques orthodoxes saluent l’intronisation de Sa Béatitude le Patriarche JEAN X d’Antioche qui a eu lieu le dimanche 10 février 2013 au siège du Patriarcat grec-orthodoxe d’Antioche et de tout l’Orient à Damas. Ils adressent à Sa Béatitude leurs meilleurs voeux pour un long et fructueux pontificat à la tête de l’Eglise orthodoxe d’Antioche. Ils assurent Sa Béatitude de toute leur solidarité fraternelle et de leurs prières pour le succès de sa mission surtout en cette période difficile que traverse la région du Moyen Orient, berceau historique de l’Orthodoxie antiochienne. Des évêques de l’Assemblée participeront à cette occasion, à la liturgie patriarcale présidée par Sa Béatitude, qui aura lieu à la Cathédrale orthodoxe Saint Nicolas à Beyrouth le dimanche 17 février 2013.
Traduction Elena Tastevin
Une interview avec Mgr Alexandre (Drabinko), archevêque de Pereïaslav-Khmelnytskï et vicaire du diocèse métropolitain de Kiev, secrétaire du primat de l’Eglise Orthodoxe d’Ukraine, patriarcat de Moscou (EOU-PM)
Monseigneur, les relations entre les orthodoxes en Ukraine sont déterminées par leurs visions de l’autocéphalie. Dans votre livre « L’orthodoxie dans l’Ukraine post-totalitaire » vous avez écrit que les régions de l’ouest sont plus favorables à l’autocéphalie que les régions de l’est. Est-ce que cette particularité reste d’actualité ?
Oui, parce que les relations interconfessionnelles se répercutent sur la situation politique. La division entre L’Est et l’Ouest persiste de même que les divergences des opinions sur l’autocéphalie, survenues au moment où l’Ukraine est devenue indépendante.
On a l’impression que l’EOU-PM n’est pas favorable à l’autocéphalie. Pourquoi?
– L’idée elle-même d’une église autocéphale n’a rien de mauvais. Les églises locales sont le résultat du développement logique des territoires byzantins une fois qu’ils se sont libérés du joug ottoman. A une époque, surtout aux Balkans l’Eglise contribuait à la formation de l’Etat. Le lien entre la nationalité et l’orthodoxie était important car il renforçait l’identité nationale. L’empire Ottoman était un ennemi extérieur. Les idées politiques et l’idéal orthodoxe convergeaient face aux envahisseurs turcs.
Une interview avec Mgr Alexandre (Drabinko), archevêque de Pereïaslav-Khmelnytskï et vicaire du diocèse métropolitain de Kiev, secrétaire du primat de l’Eglise Orthodoxe d’Ukraine, patriarcat de Moscou (EOU-PM)
Monseigneur, les relations entre les orthodoxes en Ukraine sont déterminées par leurs visions de l’autocéphalie. Dans votre livre « L’orthodoxie dans l’Ukraine post-totalitaire » vous avez écrit que les régions de l’ouest sont plus favorables à l’autocéphalie que les régions de l’est. Est-ce que cette particularité reste d’actualité ?
Oui, parce que les relations interconfessionnelles se répercutent sur la situation politique. La division entre L’Est et l’Ouest persiste de même que les divergences des opinions sur l’autocéphalie, survenues au moment où l’Ukraine est devenue indépendante.
On a l’impression que l’EOU-PM n’est pas favorable à l’autocéphalie. Pourquoi?
– L’idée elle-même d’une église autocéphale n’a rien de mauvais. Les églises locales sont le résultat du développement logique des territoires byzantins une fois qu’ils se sont libérés du joug ottoman. A une époque, surtout aux Balkans l’Eglise contribuait à la formation de l’Etat. Le lien entre la nationalité et l’orthodoxie était important car il renforçait l’identité nationale. L’empire Ottoman était un ennemi extérieur. Les idées politiques et l’idéal orthodoxe convergeaient face aux envahisseurs turcs.
La position face aux mariages mixtes varie fortement selon les Eglises et ce thème est à l'ordre du jour du Concile panorthodoxe; le métropolite Hilarion de Volokolamsk a fait un intéressant résumé de la situation en 2011dans sa "Conférence sur la préparation du saint et grand concile de l’Eglise orthodoxe" dont voici le passage qui en traite (texte in extenso, sous-titres et passages en gras du rédacteur):
Mariages avec les chrétiens hétérodoxes
La question des empêchements canoniques au mariage chrétien fut discutée à la commission préparatoire de 1971. Les conclusions de la commission furent fondées sur les rapports des Églises de Russie et d’Hellade, avec des remarques particulières émanant des Églises de Serbie, de Roumanie, de Bulgarie, de Chypre et de Tchécoslovaquie.
Mariages avec les chrétiens hétérodoxes
La question des empêchements canoniques au mariage chrétien fut discutée à la commission préparatoire de 1971. Les conclusions de la commission furent fondées sur les rapports des Églises de Russie et d’Hellade, avec des remarques particulières émanant des Églises de Serbie, de Roumanie, de Bulgarie, de Chypre et de Tchécoslovaquie.
Le 11 février 2013, le métropolite Hilarion de Volokolamsk, président du Département des relations ecclésiastiques extérieures du Patriarcat de Moscou a commenté pour l’agence ITAR-TASS la nouvelle de la démission du chef de l’Église catholique romaine, le pape Benoît XVI :
L’information sur la renonciation à ses fonctions du pape Benoît XVI était inattendue même pour son entourage le plus proche. Le cardinal Sodano a parlé d’un « coup de tonnerre dans un ciel clair ». Et de fait, il n’y a aucun précédent dans l’histoire récente de l’Église catholique romaine. Le pape Jean-Paul II était resté à son poste jusqu’à la fin, malgré de sérieux problèmes de santé.
Pourtant, la charge de pontife romain, comme les fonctions de n’importe quel Primat d’Église, exige beaucoup d’activité. Ce n’est pas un poste de cérémonie. Si l’âge ou la santé font obstacle à un exercice efficace de sa charge, le primat d’une Église peut prendre la décision de se retirer. Ces dernières années, l’Église catholique a été confrontée à de sérieux défis qui exigent de nouvelles impulsions initiées par le siège romain. Peut-être est-ce qui a poussé le pape à laisser la place à un prélat plus jeune et plus dynamique qui sera élu par le conclave des cardinaux. La décision du pape Benoît XVI de quitter son poste dans les circonstances actuelles peut être évaluée comme un acte de courage personnel et d’humilité.
L’information sur la renonciation à ses fonctions du pape Benoît XVI était inattendue même pour son entourage le plus proche. Le cardinal Sodano a parlé d’un « coup de tonnerre dans un ciel clair ». Et de fait, il n’y a aucun précédent dans l’histoire récente de l’Église catholique romaine. Le pape Jean-Paul II était resté à son poste jusqu’à la fin, malgré de sérieux problèmes de santé.
Pourtant, la charge de pontife romain, comme les fonctions de n’importe quel Primat d’Église, exige beaucoup d’activité. Ce n’est pas un poste de cérémonie. Si l’âge ou la santé font obstacle à un exercice efficace de sa charge, le primat d’une Église peut prendre la décision de se retirer. Ces dernières années, l’Église catholique a été confrontée à de sérieux défis qui exigent de nouvelles impulsions initiées par le siège romain. Peut-être est-ce qui a poussé le pape à laisser la place à un prélat plus jeune et plus dynamique qui sera élu par le conclave des cardinaux. La décision du pape Benoît XVI de quitter son poste dans les circonstances actuelles peut être évaluée comme un acte de courage personnel et d’humilité.
Le pape Benoît XVI va démissionner, invoquant son état physique, ont confirmé des sources du Vatican au Figaro. Il quittera ses fonctions le 28 février.
La démission du pape est envisagée par le Code de droit canonique. «S’il arrive que le Pontife Romain renonce à sa charge, il est requis pour la validité que la renonciation soit faite librement et qu’elle soit dûment manifestée, mais non pas qu’elle soit acceptée par qui que ce soit», est-il écrit. La dernière démission d’un pape remonte à Grégoire XII, en 1415. Avant lui, Benoît IX, en 1045, a également démissionné, car il souhaitait se marier. En 1294, Celestin V, ermite octogénaire élu contre son gré, a renoncé après seulement cinq mois de pontificat.
De nombreux observateurs avaient prêté à Jean-Paul II, gravement malade, la volonté de démissionner à la fin de son pontificat. Mais il était resté au Vatican jusqu'à sa mort, en avril 2005. Lien Le Figaro
La démission du pape est envisagée par le Code de droit canonique. «S’il arrive que le Pontife Romain renonce à sa charge, il est requis pour la validité que la renonciation soit faite librement et qu’elle soit dûment manifestée, mais non pas qu’elle soit acceptée par qui que ce soit», est-il écrit. La dernière démission d’un pape remonte à Grégoire XII, en 1415. Avant lui, Benoît IX, en 1045, a également démissionné, car il souhaitait se marier. En 1294, Celestin V, ermite octogénaire élu contre son gré, a renoncé après seulement cinq mois de pontificat.
De nombreux observateurs avaient prêté à Jean-Paul II, gravement malade, la volonté de démissionner à la fin de son pontificat. Mais il était resté au Vatican jusqu'à sa mort, en avril 2005. Lien Le Figaro
Les résolutions prises par le Concile épiscopal de l’Église orthodoxe russe le 5 février 2013 contiennent un certain nombre de points consacrés aux relations avec les Églises orthodoxes locales. Ces textes soulignent l’importance pour l’unité panorthodoxe des visites du Patriarche Cyrille de Moscou et de toute la Russie aux Patriarcats d’Antioche, de Jérusalem et de Bulgarie, aux Églises orthodoxes de Chypre et de Pologne, ainsi que les visites rendues à notre Église par les Primats des Églises d’Alexandrie, de Jérusalem, de Géorgie, de Grèce, de Pologne, des Terres tchèques et de Slovaquie. Suite Mospat
Message du concile des évêques de l'Eglise orthodoxe russe (2-5 février 2013)
Bien-aimés dans le Seigneur, révérends presbytres, vénérables diacres, moines et moniales, chers frères et sœurs, enfants fidèles de l’Église orthodoxe russe ! Le concile des évêques qui s’est tenu à Moscou, en la cathédrale Christ-Sauveur, du 2 au 5 février 2013, s’adresse à vous tous avec les paroles de la salutation apostolique : « Grâce et paix à vous de la part de Dieu, notre Père, et du Seigneur Jésus-Christ. Nous devons rendre grâce à Dieu à tout moment à votre sujet, frères, et ce n’est que juste, parce que votre foi est en grand progrès et que l’amour de chacun pour les autres s’accroît parmi vous tous » (2 Th 1, 1-2). SUITE
Message du concile des évêques de l'Eglise orthodoxe russe (2-5 février 2013)
Bien-aimés dans le Seigneur, révérends presbytres, vénérables diacres, moines et moniales, chers frères et sœurs, enfants fidèles de l’Église orthodoxe russe ! Le concile des évêques qui s’est tenu à Moscou, en la cathédrale Christ-Sauveur, du 2 au 5 février 2013, s’adresse à vous tous avec les paroles de la salutation apostolique : « Grâce et paix à vous de la part de Dieu, notre Père, et du Seigneur Jésus-Christ. Nous devons rendre grâce à Dieu à tout moment à votre sujet, frères, et ce n’est que juste, parce que votre foi est en grand progrès et que l’amour de chacun pour les autres s’accroît parmi vous tous » (2 Th 1, 1-2). SUITE
Andreï Zolotov
Restaurer une église n'est pas tâche facile- Cette situation presque hermétique rend difficile la tâche de l'Eglise orthodoxe russe, qui voudrait restaurer son célèbre monastère de Sarov et le faire revenir à sa gloire pré-soviétique. Fin XVIIIème-début XIXème, l'un des saints russes les plus vénérés vivait dans ce monastère : Saint Seraphim de Sarov (1759-1833)
La ville de Sarov entourée par une forêt dense fait partie des endroits les plus fermés et mystérieux en ex-URSS : berceau de la bombe nucléaire, elle demeure un centre nucléaire important en Russie. L'un des monastères les plus vénérés du pays y siège également et est désormais ouvert aux pèlerins. Quatre prêtres y officient aujourd’hui. Faut-il ouvrir ou maintenir la ville fermée ? Un puissant acteur a rejoint le débat ces dernières années : l'Eglise orthodoxe russe. "Ici les gens prient pour la paix dans le monde mais peuvent faire exploser la planète en mille morceaux", a déclaré le peintre d'icônes Pavel Boussalaev pendant une réunion des habitants et des membres du clergé venus de Moscou et de Saint-Pétersbourg pour aborder le dilemme de la double identité de la ville, en janvier.
Restaurer une église n'est pas tâche facile- Cette situation presque hermétique rend difficile la tâche de l'Eglise orthodoxe russe, qui voudrait restaurer son célèbre monastère de Sarov et le faire revenir à sa gloire pré-soviétique. Fin XVIIIème-début XIXème, l'un des saints russes les plus vénérés vivait dans ce monastère : Saint Seraphim de Sarov (1759-1833)
La ville de Sarov entourée par une forêt dense fait partie des endroits les plus fermés et mystérieux en ex-URSS : berceau de la bombe nucléaire, elle demeure un centre nucléaire important en Russie. L'un des monastères les plus vénérés du pays y siège également et est désormais ouvert aux pèlerins. Quatre prêtres y officient aujourd’hui. Faut-il ouvrir ou maintenir la ville fermée ? Un puissant acteur a rejoint le débat ces dernières années : l'Eglise orthodoxe russe. "Ici les gens prient pour la paix dans le monde mais peuvent faire exploser la planète en mille morceaux", a déclaré le peintre d'icônes Pavel Boussalaev pendant une réunion des habitants et des membres du clergé venus de Moscou et de Saint-Pétersbourg pour aborder le dilemme de la double identité de la ville, en janvier.
Le 16 février 2013, la présentation du film documentaire «Les Défroqués» s’est tenue dans la salle de réception de l’église Saint-Prophète-Elie à Tcherkizovo dans la banlieue de Moscou.
Les réalisateurs Erland Kelter, le prêtre Roman Bytchkov, Marat Chabibullin, Pierre Kaminsky ont essayé de révéler, avec la langue cinématographique, l’histoire de personnes qui ont abandonné le sacerdoce pour des raisons différentes. Peuvent-ils trouver une place dans leur nouvelle vie en dehors de l’Eglise ? sont-ils heureux ? se sentent-ils vraiment libres ? Il n’existe pas de réponses exhaustives à ces questions. Le film a suscité une vive discussion sur un problème actuel et douloureux de l’Eglise, celui d'une" usure pastorale » conduisant à quitter l’Eglise. Le problème des défroqués a existét tout au long de l’histoire de l’Eglise russe , mais ce phénomène était peu étudié en Russie
Les réalisateurs Erland Kelter, le prêtre Roman Bytchkov, Marat Chabibullin, Pierre Kaminsky ont essayé de révéler, avec la langue cinématographique, l’histoire de personnes qui ont abandonné le sacerdoce pour des raisons différentes. Peuvent-ils trouver une place dans leur nouvelle vie en dehors de l’Eglise ? sont-ils heureux ? se sentent-ils vraiment libres ? Il n’existe pas de réponses exhaustives à ces questions. Le film a suscité une vive discussion sur un problème actuel et douloureux de l’Eglise, celui d'une" usure pastorale » conduisant à quitter l’Eglise. Le problème des défroqués a existét tout au long de l’histoire de l’Eglise russe , mais ce phénomène était peu étudié en Russie
Selon les statuts révisés du Patriarcat de Moscou, la Chine et le Japon font désormais partie du territoire canonique de celui-ci. Le document a été adopté par l’assemblée des évêques qui a eu lieu du 2 au 5 février à Moscou et a été publié sur le site internet de l’Église orthodoxe russe mardi.
La Russie, l’Ukraine, la Biélorussie, la Moldavie et l’Azerbaïdjan, les États baltes et les États d’Asie Centrale font également partie des pays constituant son territoire canonique (tous ces pays, à l’exception de la Chine et du Japon, avaient été inclus dans la version précédente des statuts).
L’activité pastorale de l’Eglise russe en Chine a commencé au XVIIème siècle, lorsqu’un prêtre russe, le père Maxime Leontiev est arrivé à Pékin. La Mission russe en Chine a été établie en 1715. L’orthodoxie est venue en Chine grâce aux labeurs des missionnaires russes. SUITE Orthodoxie.com
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Le Patriarche Cyrille : Je prierai pour que saint Nicolas nous aide à ouvrir une nouvelle page dans les relations entre la Russie et le Japon
La Russie, l’Ukraine, la Biélorussie, la Moldavie et l’Azerbaïdjan, les États baltes et les États d’Asie Centrale font également partie des pays constituant son territoire canonique (tous ces pays, à l’exception de la Chine et du Japon, avaient été inclus dans la version précédente des statuts).
L’activité pastorale de l’Eglise russe en Chine a commencé au XVIIème siècle, lorsqu’un prêtre russe, le père Maxime Leontiev est arrivé à Pékin. La Mission russe en Chine a été établie en 1715. L’orthodoxie est venue en Chine grâce aux labeurs des missionnaires russes. SUITE Orthodoxie.com
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Le Patriarche Cyrille : Je prierai pour que saint Nicolas nous aide à ouvrir une nouvelle page dans les relations entre la Russie et le Japon
En 1916, le gouvernement Impérial russe a mis sur pied un corps expéditionnaire composé de quatre brigades. Deux brigades ont ensuite débarqué à Thessalonique. Les deux autres, fortes de plus de 20.000 soldats et officiers, luttaient sur le front franco-allemand, en Champagne, aux côtés de la France. Les combats acharnés ont coûté la vie de plus de 5.000 soldats du Corps expéditionnaire russe, morts pour la France, qui a gagné le nom de "Légion russe d'honneur"
Le monument visé par les tags, inauguré en juin 2011 par Vladimir Poutine, alors Premier ministre, célèbre la mémoire du corps Expéditionnaire russe venu en France soutenir les Alliés lors de la première guerre mondiale. Un vœu demandant à ce que les trois membres des Pussy Riot soient nommées «Citoyennes d’honneur de la Ville de Paris» doit être déposé lundi au conseil de Paris par les élus EELV.
Le monument visé par les tags, inauguré en juin 2011 par Vladimir Poutine, alors Premier ministre, célèbre la mémoire du corps Expéditionnaire russe venu en France soutenir les Alliés lors de la première guerre mondiale. Un vœu demandant à ce que les trois membres des Pussy Riot soient nommées «Citoyennes d’honneur de la Ville de Paris» doit être déposé lundi au conseil de Paris par les élus EELV.
Intervention à la Table Ronde de l’OLTR consacrée au dixième anniversaire du rappel à Dieu de Monseigneur Serge (Konovaloff)
Bonjour, pour ceux qui ne me connaissent pas je m’appelle Vladimir, je suis le fils cadet de Monseigneur Serge. On m’a téléphoné il y a quelques temps pour me demander de raconter un peu l’histoire que vous, probablement, ne connaissez pas. Je n’ai pas vraiment préparé, j’ai mis quelques dates sur une feuille, tout ce que je vais vous raconter c’est mon propre vécu, ce que mon père m’a raconté et ce que j’ai ressenti jusqu’en 1993, date de son départ pour Paris.
Serge KONOVALOFF est né en 1941, son père était Alexis Vassiliévitch KONOVALOFF, émigré russe et sa mère Lino van Staarvr, hollandaise pas belge, hollandaise. On dit qu’elle était belge mais pas du tout. Ils se sont retrouvés à Louvain. Louvain est une ville universitaire en Belgique côté néerlandophone. A cette époque là, juste après la première guerre mondiale, il y a une grande colonie russe qui s’est installée là pour justement trouver du travail dans l’université. Mon grand-père Alexis Vassiliévitch, donc le père de Monseigneur Serge, était de profession chimiste, il a trouvé comme ça un travail auprès de l’université.
Bonjour, pour ceux qui ne me connaissent pas je m’appelle Vladimir, je suis le fils cadet de Monseigneur Serge. On m’a téléphoné il y a quelques temps pour me demander de raconter un peu l’histoire que vous, probablement, ne connaissez pas. Je n’ai pas vraiment préparé, j’ai mis quelques dates sur une feuille, tout ce que je vais vous raconter c’est mon propre vécu, ce que mon père m’a raconté et ce que j’ai ressenti jusqu’en 1993, date de son départ pour Paris.
Serge KONOVALOFF est né en 1941, son père était Alexis Vassiliévitch KONOVALOFF, émigré russe et sa mère Lino van Staarvr, hollandaise pas belge, hollandaise. On dit qu’elle était belge mais pas du tout. Ils se sont retrouvés à Louvain. Louvain est une ville universitaire en Belgique côté néerlandophone. A cette époque là, juste après la première guerre mondiale, il y a une grande colonie russe qui s’est installée là pour justement trouver du travail dans l’université. Mon grand-père Alexis Vassiliévitch, donc le père de Monseigneur Serge, était de profession chimiste, il a trouvé comme ça un travail auprès de l’université.
Le plus vieil évêque de Chine, Mgr John Baptist Liu Jingshan, est décédé à l’âge de 100 ans. L’ancien évêque de Yinchuan, dans la région autonome de Ningxia au nord de la Chine, s’est éteint lundi 4 février dans sa cité épiscopale, annonce l’agence de presse catholique Ucanews. Il avait passé 28 ans de sa vie en camp de travail.
Mgr John Baptist Liu Jingshan était autant reconnu par l'Association patriotique des catholiques chinois, dépendante du gouvernement, que par le Vatican.Né en 1913 dans le diocèse de Bameng, en Mongolie intérieure, il a été ordonné prêtre en 1942. En 1951, il est emprisonné et passe 19 ans dans un camp de travail forcé, puis 9 ans dans une ferme. Sa peine se termine en 1979, après la révolution culturelle, au moment où le gouvernement chinois autorise la reprise des activités religieuses.
Mgr John Baptist Liu Jingshan était autant reconnu par l'Association patriotique des catholiques chinois, dépendante du gouvernement, que par le Vatican.Né en 1913 dans le diocèse de Bameng, en Mongolie intérieure, il a été ordonné prêtre en 1942. En 1951, il est emprisonné et passe 19 ans dans un camp de travail forcé, puis 9 ans dans une ferme. Sa peine se termine en 1979, après la révolution culturelle, au moment où le gouvernement chinois autorise la reprise des activités religieuses.
Le métropolite Hilarion, président du DREE du patriarcat de Moscou, vient de rappeler que l’Eglise orthodoxe d’Estonie n’a jusqu’à présent pas été entendue par les autorités estoniennes en ce qui concerne les biens immobiliers qui lui appartiennent.
"Alors que l’Eglise orthodoxe apostolique en Estonie, patriarcat de Constantinople , a obtenu la propriété de toutes les églises où elle officie l’Eglise orthodoxe d’Estonie, patriarcat de Moscou, ne peut que louer les églises qui en font partie. Cet état de chose demande à être changé. Ce problème sera discuté lors de la prochaine visite en Estonie du patriarche Cyrille qui est prévue pour l’été 2013.
Des initiatives ont déjà été prises afin que l’Eglise orthodoxe d’Estonie, patriarcat de Moscou, à laquelle appartient la majorité absolue des orthodoxes de ce pays, puisse librement officier dans les édifices religieux qui lui appartiennent ».
Interfax religion Traduction "PO"
"Alors que l’Eglise orthodoxe apostolique en Estonie, patriarcat de Constantinople , a obtenu la propriété de toutes les églises où elle officie l’Eglise orthodoxe d’Estonie, patriarcat de Moscou, ne peut que louer les églises qui en font partie. Cet état de chose demande à être changé. Ce problème sera discuté lors de la prochaine visite en Estonie du patriarche Cyrille qui est prévue pour l’été 2013.
Des initiatives ont déjà été prises afin que l’Eglise orthodoxe d’Estonie, patriarcat de Moscou, à laquelle appartient la majorité absolue des orthodoxes de ce pays, puisse librement officier dans les édifices religieux qui lui appartiennent ».
Interfax religion Traduction "PO"
SAINTE XENIA DE SAINT-PETERSBOURG - Elle s'endormit dans le Seigneur à l'âge de 71 ans et sa sépulture fut l'objet d'un véritable culte. Le tsar Alexandre III ayant été très gravement atteint lors d'un attentat au 19e siècle attribua sa guérison à sainte Xenia qu'il avait priée.Elle fut canonisée en 1987 par le patriarcat de Moscou.
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YOU Tube 1 et YOU Tube 2
Xénia Grigorievna Pétrova était mariée à un brillant colonel de l'armée impériale, également chantre à la cour, et menait une vie mondaine et aisée au sein de l'aristocratie de la capitale. Le décès subit de son époux, alors qu'elle n'avait que vingt-six ans, la plongea dans un profond désarroi et lui fit réaliser la vanité de tout attachement terrestre. Elle entreprit alors de se libérer de tout ce qui la retenait à la terre pour se mettre en marche vers le Royaume de Dieu par la voie la plus étroite et la plus difficile: la folie pour le Christ.
Elle se consacrait ainsi à la prière pour l'âme de son mari défunt qui est décédé sans les secours de l'Église. Elle avait reçu de Dieu le don de voyance et prédisait la fin des simples mortels. Son comportement changea complètement, et en la voyant distribuer ses biens en dons et en aumônes, ses proches crurent que son deuil lui avait fait perdre la tête. Elle avait revêtu le costume militaire de son mari et ne répondait que lorsqu'on s'adressait à elle avec le nom du défunt. Sans gîte, pieds nus et bientôt revêtue été comme hiver des mêmes haillons bariolés, elle allait par les rues des quartiers pauvres, en s'offrant avec douceur et résignation, à l'image du Christ en Sa Passion, aux moqueries et aux mauvaises farces des garnements.
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YOU Tube 1 et YOU Tube 2
Xénia Grigorievna Pétrova était mariée à un brillant colonel de l'armée impériale, également chantre à la cour, et menait une vie mondaine et aisée au sein de l'aristocratie de la capitale. Le décès subit de son époux, alors qu'elle n'avait que vingt-six ans, la plongea dans un profond désarroi et lui fit réaliser la vanité de tout attachement terrestre. Elle entreprit alors de se libérer de tout ce qui la retenait à la terre pour se mettre en marche vers le Royaume de Dieu par la voie la plus étroite et la plus difficile: la folie pour le Christ.
Elle se consacrait ainsi à la prière pour l'âme de son mari défunt qui est décédé sans les secours de l'Église. Elle avait reçu de Dieu le don de voyance et prédisait la fin des simples mortels. Son comportement changea complètement, et en la voyant distribuer ses biens en dons et en aumônes, ses proches crurent que son deuil lui avait fait perdre la tête. Elle avait revêtu le costume militaire de son mari et ne répondait que lorsqu'on s'adressait à elle avec le nom du défunt. Sans gîte, pieds nus et bientôt revêtue été comme hiver des mêmes haillons bariolés, elle allait par les rues des quartiers pauvres, en s'offrant avec douceur et résignation, à l'image du Christ en Sa Passion, aux moqueries et aux mauvaises farces des garnements.
Traduction Elena Tastevin
La Russie célèbre le 70ème anniversaire de la victoire de Stalingrad. La veille de la commémoration, les débats pour revenir au nom soviétique de la ville ont repris. Le vice-premier ministre de la Fédération de Russie Dmitri Rogozine a soutenu l’idée de changer le nom de Volgograd en Stalingrad. Le père Alexeï Ploujnikov, recteur de la cathédrale des Saints Apôtres Pierre et Paul de Volgograd est intervenu à ce propos.
Les déclarations faites par le vice premier ministre de Russie, par un protodiacre et missionnaire connu de Moscou ainsi que par certaines personnalités de Saint-Pétersbourg qui rassemblent des signatures pour renommer Volgograd en Stalingrad, me rendent perplexe. Pourquoi des moscovites et des saint-pétersbourgeois décident du sort de la ville où je suis né et où j’ai grandi.
Que ces amateurs qui se mêlent des affaires des autres quittent d’abord la capitale pour la province. Et si les tatares décident soudain de renommer la Volga en Itil ? Est-ce que notre sort est de hocher humblement la tête et payer nos impôts pour satisfaire les envies de certains ?
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L'Eglise gréco-catholique Ukrainienne (EGCU, "uniate" (1)) a décidé récemment de reconnaitre les baptêmes administrés par le pseudo-patriarcat de Kiev (2), déclaré schismatique et anathémisé par l'Eglise russe en 1997. Après une première réponse très retenue par la voix de son secrétaire du Département des Relation Ecclésiales extérieures (ibid 2), le métropolite Vladimir monte le ton et accuse l'EGCU de porter atteinte aux relations interchrétiennes dans le pays.
"L'EGCU devient ainsi la seule confession à soutenir concrètement les schismatiques ukrainiens", souligne Mgr Vladimir en rappelant que, dans le cadre du dialogue, les parties s'engagent à ne pas avoir de contacts avec les groupes ecclésiaux qui ne bénéficient pas de la reconnaissance canonique. "Ainsi l'Eglise orthodoxe n'entretient pas de contacts avec des groupes schismatiques à l'intérieur du Catholicisme (3) en comptant sur la réciprocité de la part des représentants officiels de la partie catholique." Et il rappelle que "le pseudo-patriarcat de Kiev avait écrit en 2012 aux primats des Églises orthodoxes, catholique, anglicane et à l'EGCU en demandant la reconnaissance de ses baptêmes. Mais seule cette dernière a répondu…
"L'EGCU devient ainsi la seule confession à soutenir concrètement les schismatiques ukrainiens", souligne Mgr Vladimir en rappelant que, dans le cadre du dialogue, les parties s'engagent à ne pas avoir de contacts avec les groupes ecclésiaux qui ne bénéficient pas de la reconnaissance canonique. "Ainsi l'Eglise orthodoxe n'entretient pas de contacts avec des groupes schismatiques à l'intérieur du Catholicisme (3) en comptant sur la réciprocité de la part des représentants officiels de la partie catholique." Et il rappelle que "le pseudo-patriarcat de Kiev avait écrit en 2012 aux primats des Églises orthodoxes, catholique, anglicane et à l'EGCU en demandant la reconnaissance de ses baptêmes. Mais seule cette dernière a répondu…
Le patriarche Cyrille intervenant le samedi 2 février à l’Assemblée des évêques qui se tient dans la cathédrale du Christ Sauveur a fourni des données quant au nombre d’orthodoxes russophones résidant en dehors de la Russie.
" Il y a des paroisses du patriarcat de Moscou dans 57 pays. Selon des évaluations qui ne sont pas tout à fait précises la diaspora orthodoxe russophone dans le monde compte près de 30 millions de personnes. La majeure partie de cette diaspora appartient à l’Eglise orthodoxe russe.
Le patriarcat de Moscou compte 829 paroisses et 52 monastères disséminés dans 57 pays. L’Eglise orthodoxe russe hors frontières compte de son coté 409 paroisses et 39 monastères. De nouvelles églises ont été bâties et consacrées en Thaïlande en 2011-2012, la communauté de Singapour est devenue bien plus nombreuse, des paroisses ont été construites au Cambodge ainsi qu’en Malaisie. La nécessité se fait sentir de créer des paroisses orthodoxes en Inde.
" Il y a des paroisses du patriarcat de Moscou dans 57 pays. Selon des évaluations qui ne sont pas tout à fait précises la diaspora orthodoxe russophone dans le monde compte près de 30 millions de personnes. La majeure partie de cette diaspora appartient à l’Eglise orthodoxe russe.
Le patriarcat de Moscou compte 829 paroisses et 52 monastères disséminés dans 57 pays. L’Eglise orthodoxe russe hors frontières compte de son coté 409 paroisses et 39 monastères. De nouvelles églises ont été bâties et consacrées en Thaïlande en 2011-2012, la communauté de Singapour est devenue bien plus nombreuse, des paroisses ont été construites au Cambodge ainsi qu’en Malaisie. La nécessité se fait sentir de créer des paroisses orthodoxes en Inde.
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