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Chers frères et sœurs vous pouvez assister aux offices devant les reliques de Ste Hélène à Paris!
Renseignements: CALENDRIER DES CELEBRATIONS ORTHODOXES Natalia tel 06 65 10 19 78
Le premier MOLEBEN (Action de Grace) dans l'Eglise St Leu St Gilles, où reposent les reliques de la Sainte Hélène égale aux Apôtres, a eu lieu le 28 Septembre 1997, le jour de l'après - fête de l'Exaltation de la Croix.
C'était le premier office orthodoxe devant les saints restes de l'impératrice Hélène, la mère de Constantin le Grand, depuis les derniers 900 ans.
Cette grande première fut célébrée par des représentants des différentes Eglises orthodoxes. Débutée sous le signe de l'unité, cette oeuvre reste miraculeusement fidèle à sa vocation, encore maintenant, 11 ans après, au moment où les relations entre certaines juridictions orthodoxes se sont nettement dégradées. Une petite communauté orthodoxe qui s'est formée entre temps autour des reliques de Ste Hélène est composée des croyants issus des paroisses orthodoxes russes des juridictions différentes.
Nous sommes très heureux aussi d'avoir parmi nous nos frères et sœurs serbes, grecs, français, moldaves, japonais(!), ukrainiens, biélorusses, géorgiens. Notre groupe, donc, est parfaitement international, ce qui est assez rare, il faut l'avouer, chez les orthodoxes. C'est ici, dans ce lieu saint, qu'ils peuvent se retrouver. Quel bonheur de voir tous ces gens, appartenant à des cultures tellement différentes, former un groupe où règne une ambiance de sympathie, d'amitié, de tolérance et une sorte de complicité et de joie de se retrouver ensemble.
Renseignements: CALENDRIER DES CELEBRATIONS ORTHODOXES Natalia tel 06 65 10 19 78
Le premier MOLEBEN (Action de Grace) dans l'Eglise St Leu St Gilles, où reposent les reliques de la Sainte Hélène égale aux Apôtres, a eu lieu le 28 Septembre 1997, le jour de l'après - fête de l'Exaltation de la Croix.
C'était le premier office orthodoxe devant les saints restes de l'impératrice Hélène, la mère de Constantin le Grand, depuis les derniers 900 ans.
Cette grande première fut célébrée par des représentants des différentes Eglises orthodoxes. Débutée sous le signe de l'unité, cette oeuvre reste miraculeusement fidèle à sa vocation, encore maintenant, 11 ans après, au moment où les relations entre certaines juridictions orthodoxes se sont nettement dégradées. Une petite communauté orthodoxe qui s'est formée entre temps autour des reliques de Ste Hélène est composée des croyants issus des paroisses orthodoxes russes des juridictions différentes.
Nous sommes très heureux aussi d'avoir parmi nous nos frères et sœurs serbes, grecs, français, moldaves, japonais(!), ukrainiens, biélorusses, géorgiens. Notre groupe, donc, est parfaitement international, ce qui est assez rare, il faut l'avouer, chez les orthodoxes. C'est ici, dans ce lieu saint, qu'ils peuvent se retrouver. Quel bonheur de voir tous ces gens, appartenant à des cultures tellement différentes, former un groupe où règne une ambiance de sympathie, d'amitié, de tolérance et une sorte de complicité et de joie de se retrouver ensemble.
Rédigé par Parlons D'orthodoxie le 3 Juin 2017 à 12:06
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5 commentaires
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Le samedi 3 juin, jour de la commémoration des saints Constantin et Hélène une liturgie solennelle a été célébrée à l’église de Clamart.
Elle était présidée par Monseigneur Nestor, évêque de Chersonèse. Lui concélébraient le hiéromoine Joseph (Pavlinciuc) ; recteur de la paroisse, l’archiprêtre Michel Goudkov (EORHF), recteur de l’église de la Résurrection à Meudon ; l’archiprêtre Georges Machtalère, église Saints Pierre et Paul (EORHF), à Luxembourg ; l’archiprêtre Serge Sollogoub (Archevêché des Églises Orthodoxes Russes en Europe Occidentale), recteur de l’église Saint Jean le Théologien à Meudon ainsi que le prêtre Alexandre Machtalère, clergé de l’église de Clamart et le diacre Marc Andronikof, église des Trois Saints Docteurs, Paris.
Elle était présidée par Monseigneur Nestor, évêque de Chersonèse. Lui concélébraient le hiéromoine Joseph (Pavlinciuc) ; recteur de la paroisse, l’archiprêtre Michel Goudkov (EORHF), recteur de l’église de la Résurrection à Meudon ; l’archiprêtre Georges Machtalère, église Saints Pierre et Paul (EORHF), à Luxembourg ; l’archiprêtre Serge Sollogoub (Archevêché des Églises Orthodoxes Russes en Europe Occidentale), recteur de l’église Saint Jean le Théologien à Meudon ainsi que le prêtre Alexandre Machtalère, clergé de l’église de Clamart et le diacre Marc Andronikof, église des Trois Saints Docteurs, Paris.
Christ est ressuscité!
Joyeuses Pâques au recteur le père Nicodème (Pavlinciouc), au clergé et aux très nombreux fidèles de la paroisse saint Séraphin à Montgeron!
Quel bonheur de regarder ces photos. Cela d'autant plus après tant d'années de difficultés, de dissensions juridictionnelles, de mauvais procès, de tentatives d'appropriation...
La nature s'y est mis: la crue de juin 2016 a causé bien des dégâts, on n'en voit plus les suites.
Joyeuses Pâques au recteur le père Nicodème (Pavlinciouc), au clergé et aux très nombreux fidèles de la paroisse saint Séraphin à Montgeron!
Quel bonheur de regarder ces photos. Cela d'autant plus après tant d'années de difficultés, de dissensions juridictionnelles, de mauvais procès, de tentatives d'appropriation...
La nature s'y est mis: la crue de juin 2016 a causé bien des dégâts, on n'en voit plus les suites.
Le 1 mai nous allons bientôt commémorer Sainte Tamara +1942 (Satsi), canonisée en octobre 2007 par le Saint Synode de l’Église orthodoxe russe.
Évoquons sa vie. Elle a été « jugée » au tout début de la guerre, en juillet 1941. Les combats faisaient rage, la Russie se trouvait au bord de sa perte. Cela n’a nullement empêché la nomenclature soviétique de trouver le temps, les moyens et l’impudence nécessaires pour martyriser une moniale septuagénaire arrêtée sur la dénonciation d’un indicateur patenté.
La néomartyre Tamara est née de parents protestants qui la nomment Marie, le 9 février 1876 dans le Gouvernement d’Estland (l’Estonie actuelle). Sa mère meurt lorsqu’elle avait sept ans, suivie de peu par son père. En 1886, une paroisse orthodoxe est créée dans le village voisin de nombreux habitants de la région embrassent la foi orthodoxe. Elle est éduquée dans un orphelinat auprès d’une communauté qui, en 1892, devient le monastère féminin de la Dormition. Marie Satsi entre au monastère en 1895 et y devient novice.
Un an plus tard la mère higoumène du monastère Barbe (Blokhine). Elle est affectée ainsi que six moniales au diocèse de Kazan. Le 19 juillet 1917 Marie apporte ses vœux prenant le nom de Tamara. C’est l’archimandrite saint martyr Serge (Zaitsev) qui procède à la tonsure. Un an plus tard il est fusillé.
Évoquons sa vie. Elle a été « jugée » au tout début de la guerre, en juillet 1941. Les combats faisaient rage, la Russie se trouvait au bord de sa perte. Cela n’a nullement empêché la nomenclature soviétique de trouver le temps, les moyens et l’impudence nécessaires pour martyriser une moniale septuagénaire arrêtée sur la dénonciation d’un indicateur patenté.
La néomartyre Tamara est née de parents protestants qui la nomment Marie, le 9 février 1876 dans le Gouvernement d’Estland (l’Estonie actuelle). Sa mère meurt lorsqu’elle avait sept ans, suivie de peu par son père. En 1886, une paroisse orthodoxe est créée dans le village voisin de nombreux habitants de la région embrassent la foi orthodoxe. Elle est éduquée dans un orphelinat auprès d’une communauté qui, en 1892, devient le monastère féminin de la Dormition. Marie Satsi entre au monastère en 1895 et y devient novice.
Un an plus tard la mère higoumène du monastère Barbe (Blokhine). Elle est affectée ainsi que six moniales au diocèse de Kazan. Le 19 juillet 1917 Marie apporte ses vœux prenant le nom de Tamara. C’est l’archimandrite saint martyr Serge (Zaitsev) qui procède à la tonsure. Un an plus tard il est fusillé.
Dimanche le 12 mars Monseigneur Nestor, évêque de Chersonèse, et Monseigneur Job, évêque de Telmessos ont célébré la divine liturgie à la cathédrale de la Sainte Trinité.
Il a donné le jour même au séminaire orthodoxe d'Epinay s/Senart une Conférence de Carême: "Tradition liturgique orthodoxe"
Dans le cadre des conférences de Carême organisées conjointement par le Séminaire et le secteur pastoral catholique de Brunoy-Val-d'Yerres, le dimanche 12 mars Mgr Job Getcha, archevêque de Telmessos, co-président de la Commission internationale mixte catholique-orthodoxe pour le dialogue théologique, a présenté la tradition liturgique orthodoxe du Carême, de Pâques et de la Pentecôte.
Il a donné le jour même au séminaire orthodoxe d'Epinay s/Senart une Conférence de Carême: "Tradition liturgique orthodoxe"
Dans le cadre des conférences de Carême organisées conjointement par le Séminaire et le secteur pastoral catholique de Brunoy-Val-d'Yerres, le dimanche 12 mars Mgr Job Getcha, archevêque de Telmessos, co-président de la Commission internationale mixte catholique-orthodoxe pour le dialogue théologique, a présenté la tradition liturgique orthodoxe du Carême, de Pâques et de la Pentecôte.
« Conformément aux dispositions qui s’appliquent à toute l’Église, le baptême d’un adulte ou d’un enfant de plus de 7 ans est précédé d’au moins deux entretiens préparatoires approfondis et d’une conversation avec un prêtre au cours duquel le catéchumène est appelé à se repentir des péchés qu’il a commis avant le baptême.
S’il est question du baptême d’un jeune enfant, alors ce sont avec les parents et les futurs marraine et parrain que sont menés ces entretiens. » Cyrille, patriarche de Moscou.
Dans son discours devant l’Assemblée diocésaine de la ville de Moscou, Sa Sainteté le patriarche de Moscou et de toute la Russie a abordé le thème de la préparation au saint sacrement du baptême.
Le primat de l’Église orthodoxe russe a souligné que la forte croissance de la vie ecclésiale à la fin des années 80 et au début des années 90 a permis « de former la génération unique des croyants du XXIe siècle qui se caractérise en partie par une auto-formation religieuse. »
S’il est question du baptême d’un jeune enfant, alors ce sont avec les parents et les futurs marraine et parrain que sont menés ces entretiens. » Cyrille, patriarche de Moscou.
Dans son discours devant l’Assemblée diocésaine de la ville de Moscou, Sa Sainteté le patriarche de Moscou et de toute la Russie a abordé le thème de la préparation au saint sacrement du baptême.
Le primat de l’Église orthodoxe russe a souligné que la forte croissance de la vie ecclésiale à la fin des années 80 et au début des années 90 a permis « de former la génération unique des croyants du XXIe siècle qui se caractérise en partie par une auto-formation religieuse. »
Archevêque Job de Telmessos
Le premier dimanche du Grand Carême, le Triode commémore le « Triomphe de l’Orthodoxie », c’est-à-dire la victoire finale sur l’iconoclasme qui rejetait tant les icônes que leur vénération. Cette victoire sous l’impératrice byzantine Théodora en 843 marqua la fin d’une deuxième vague de persécutions qu’avaient initié les empereurs byzantins suite à sa condamnation au septième concile œcuménique réuni à Nicée en 787.
La commémoration du triomphe de l’Orthodoxie fut ainsi introduite dans le Triode au premier dimanche du Carême en mars 843 pour commémorer la victoire finale sur l’iconoclasme. L’hymnographe s’exclame : « Maintenant l’Église se réjouit en Toi qui aimes l’homme, son Epoux et son Créateur qui as voulu en Dieu la délivrer de l’erreur des idoles et l’unir à Toi par ton sang précieux. Lumineuse d’accueillir le saint rétablissement des icônes, elle Te célèbre avec joie et Te glorifie dans la foi » (matines, laudes).
Le premier dimanche du Grand Carême, le Triode commémore le « Triomphe de l’Orthodoxie », c’est-à-dire la victoire finale sur l’iconoclasme qui rejetait tant les icônes que leur vénération. Cette victoire sous l’impératrice byzantine Théodora en 843 marqua la fin d’une deuxième vague de persécutions qu’avaient initié les empereurs byzantins suite à sa condamnation au septième concile œcuménique réuni à Nicée en 787.
La commémoration du triomphe de l’Orthodoxie fut ainsi introduite dans le Triode au premier dimanche du Carême en mars 843 pour commémorer la victoire finale sur l’iconoclasme. L’hymnographe s’exclame : « Maintenant l’Église se réjouit en Toi qui aimes l’homme, son Epoux et son Créateur qui as voulu en Dieu la délivrer de l’erreur des idoles et l’unir à Toi par ton sang précieux. Lumineuse d’accueillir le saint rétablissement des icônes, elle Te célèbre avec joie et Te glorifie dans la foi » (matines, laudes).
Il naquit en 1292. Son père était le gouverneur de la ville sous le premier prince moscovite Daniel Alexandrovitch (1261-1303), le fondateur du monastère Saint-Daniel qu'on est en train de rénover. Lorsqu'on baptisa le futur saint, on lui donna le nom d'Eleuphère, et son parrain fut le futur prince Ivan Danilovitch Kalita (? - l34O). Sa haute prédestination fut révélée à Eleuphère quand il était encore adolescent. En 1320, il entra au monastère de l'Epiphanie de Moscou, où il passa plus de vingt ans en menant une vie d'ascète.
La sagesse et la vie vertueuse d'Alexis incitèrent le Métropolite d'alors de toute la Russie, Théognoste, de le prendre à son service et de lui confier la direction des affaires judiciaires de l'Eglise. Et en 1353, encore de son vivant (un cas extraordinaire!), Théognoste le fit son successeur.
«Ta vie brille de rayons multicolores, père Alexis!», s'exclame l'auteur de l'acathiste. Parmi ces rayons, il y eut et le salut miraculeux du navire qui allait faire naufrage lors d'une tempête pendant le retour de Constantinople, où saint Alexis était allé chercher la charte du Patriarche Philothée, et la fondation du monastère Saint-Andronic à Moscou et l'amitié touchante avec saint Serge de Radonège.
La sagesse et la vie vertueuse d'Alexis incitèrent le Métropolite d'alors de toute la Russie, Théognoste, de le prendre à son service et de lui confier la direction des affaires judiciaires de l'Eglise. Et en 1353, encore de son vivant (un cas extraordinaire!), Théognoste le fit son successeur.
«Ta vie brille de rayons multicolores, père Alexis!», s'exclame l'auteur de l'acathiste. Parmi ces rayons, il y eut et le salut miraculeux du navire qui allait faire naufrage lors d'une tempête pendant le retour de Constantinople, où saint Alexis était allé chercher la charte du Patriarche Philothée, et la fondation du monastère Saint-Andronic à Moscou et l'amitié touchante avec saint Serge de Radonège.
Horaires des offices ICI
Notez qu'à partir du 11 février tous les samedis à 10 h le Séminaire orthodoxe russe en France assurera la célébration de la Liturgie en français.
En outre la cathédrale sera ouverte quotidiennement de 15 h. à 19 h.
Un prêtre y sera présent en permanence, il sera disponible pour célébrer des offices funèbres (panikhides), des actions de grâce (moleben), pour entendre les confessions et s’entretenir avec ceux qui le désirent. Les prêtres de permanence seront tous bilingues français-russe.
Notez qu'à partir du 11 février tous les samedis à 10 h le Séminaire orthodoxe russe en France assurera la célébration de la Liturgie en français.
En outre la cathédrale sera ouverte quotidiennement de 15 h. à 19 h.
Un prêtre y sera présent en permanence, il sera disponible pour célébrer des offices funèbres (panikhides), des actions de grâce (moleben), pour entendre les confessions et s’entretenir avec ceux qui le désirent. Les prêtres de permanence seront tous bilingues français-russe.
La légende veut qu'après le 25 janvier l'hiver s'adoucisse petit à petit. A chaque Sainte Tatiana, le nombre de Tatiana s'accroît considérablement dans le pays. C'est un fait sociologique.
Au temps jadis, la Sainte Tatiana était associée au Soleil : habituellement, ce jour, l'astre tantôt projette un rayon taquin dans le ciel froid, tantôt rosit la frange des nuages, tantôt se découvre tout entier dans le bleu du firmament.
La Sainte Tatiana est une fête pour le peuple tout entier. Dans l'ensemble du pays, les gens présentent leurs meilleurs vœux aux parentes et aux amies qui portent ce prénom et leur offrent des fleurs, des cadeaux. Et les Tatiana, à leur tour, les régalent d'un gâteau. C'est la coutume.
Les fêtes des saints sont nombreuses dans le calendrier orthodoxe.
Pourquoi alors les Russes ont-ils choisi de vénérer tout particulièrement Sainte Tatiana? Probablement parce que, fille d'un noble consul romain, elle-même belle et noble, elle partageait le malheur des pauvres, soignaient les malades, aidait les orphelins à voler de leurs propres ailes, ce qui lui a valu son surnom d'Assistante. Le besoin d'aider, d'assister les nécessiteux est une qualité de l'âme qui a toujours été appréciée sur le sol russe. On dit, par exemple, que Sainte Tatiana est la seule à savoir comment rendre confortable la vie de toute créature vivante pendant les rigoureux froids de janvier.
Au temps jadis, la Sainte Tatiana était associée au Soleil : habituellement, ce jour, l'astre tantôt projette un rayon taquin dans le ciel froid, tantôt rosit la frange des nuages, tantôt se découvre tout entier dans le bleu du firmament.
La Sainte Tatiana est une fête pour le peuple tout entier. Dans l'ensemble du pays, les gens présentent leurs meilleurs vœux aux parentes et aux amies qui portent ce prénom et leur offrent des fleurs, des cadeaux. Et les Tatiana, à leur tour, les régalent d'un gâteau. C'est la coutume.
Les fêtes des saints sont nombreuses dans le calendrier orthodoxe.
Pourquoi alors les Russes ont-ils choisi de vénérer tout particulièrement Sainte Tatiana? Probablement parce que, fille d'un noble consul romain, elle-même belle et noble, elle partageait le malheur des pauvres, soignaient les malades, aidait les orphelins à voler de leurs propres ailes, ce qui lui a valu son surnom d'Assistante. Le besoin d'aider, d'assister les nécessiteux est une qualité de l'âme qui a toujours été appréciée sur le sol russe. On dit, par exemple, que Sainte Tatiana est la seule à savoir comment rendre confortable la vie de toute créature vivante pendant les rigoureux froids de janvier.
Le cycle des fêtes de Noël s’est terminé pour les Eglises de Jérusalem (Israël, Jordanie, Territoires palestiniens) avec les festivités arméniennes le 19 janvier 2017. C’est traditionnellement avec un peu de retard par rapport aux Eglises dans le monde, que les communautés chrétiennes marque la Semaine de prière pour l’unité des chrétiens du 21 au 29 janvier 2017.
On hésite gravement entre un pessimisme que chacun peut repérer dans la société chrétienne de Terre Sainte et un optimisme du à des pistes d’ouverture novatrices, porteuses de voies nouvelles et inattendues. SUITE
On hésite gravement entre un pessimisme que chacun peut repérer dans la société chrétienne de Terre Sainte et un optimisme du à des pistes d’ouverture novatrices, porteuses de voies nouvelles et inattendues. SUITE
Joyeux Noël! Une petite vidéo des premières liturgie de Noël. Réactions de quelques personnes.... Réalisateur Alexey Vozniuk
Bien-aimés en Dieu pères, frères et sœurs !
Nous revoilà célébrant l’immense fête de la Nativité du Christ, à nouveau, comme chaque année, c’est dans l’émotion et la joie, retenant notre souffle que nous nous agenouillons et nous apportons notre cœur à l’entrée de l’indigente crèche de Bethléem.
En ces moments nous avons conscience de faire partie du monde « que Dieu a tant aimé qu’il a donné son Fils, l’Unique-Engendré » - réfléchissons à ces mots – « afin que quiconque croit en lui aie la vie éternelle » (Jn, 3, 16).
Quelles sont les raisons qui font que Dieu aime ce monde ? Nous ne le savons pas. Nous ne savons pas pourquoi ce monde consistant de myriades de visages et de voix, d’un infini de destinées humaines Lui est tellement cher. Il s’agit là de ce en quoi nous croyons.
Nous revoilà célébrant l’immense fête de la Nativité du Christ, à nouveau, comme chaque année, c’est dans l’émotion et la joie, retenant notre souffle que nous nous agenouillons et nous apportons notre cœur à l’entrée de l’indigente crèche de Bethléem.
En ces moments nous avons conscience de faire partie du monde « que Dieu a tant aimé qu’il a donné son Fils, l’Unique-Engendré » - réfléchissons à ces mots – « afin que quiconque croit en lui aie la vie éternelle » (Jn, 3, 16).
Quelles sont les raisons qui font que Dieu aime ce monde ? Nous ne le savons pas. Nous ne savons pas pourquoi ce monde consistant de myriades de visages et de voix, d’un infini de destinées humaines Lui est tellement cher. Il s’agit là de ce en quoi nous croyons.
La paroisse orthodoxe russe de Bucarest
Je garde des dix mois que j’ai passés dans la capitale roumaine de nombreux souvenirs, pour la plupart chaleureux, touchants et bienfaisants. Mon travail universitaire et ma participation au nouveau collège européen me laissaient des moments de loisirs, dont des promenades méditatives dans le parc Cişmigiu… Parmi ces perles rares quotidiennes brillent d’un éclat particulier ces jours où priais au cours d’offices dans des églises de Bucarest.
Les circonstances ont fait que trois des églises de la capitale roumaine me sont devenus familières. L’église de la Dormition-de-la-Vierge, rue du Dr Burghelea, est celle que fréquentais le plus, elle était tout à côté de mon domicile, à cinq minutes de marche.
En général, j’y assistais à la liturgie du dimanche. Les offices du soir y étaient rares (ce qui est ordinaire dans les paroisses roumaines), c’est pourquoi le samedi soir je me rendais parfois à l’église Saint-Nicolas, place de l’Université. Dans cette église, construite au XXe siècle sur des fonds de l’Empire russe pour les Russes habitant Bucarest, c’est pourquoi jusqu’à ce jour elle est appelée « biserica Rusă » (« église russe »), dans cette église s’est établie la tradition de célébrer les offices du soir, logs et splendides. Mais les plus joyeux étaient les jours où je priais et lisais les Livre des Apôtres durant la liturgie dans l’église Saint-Nicolas-Tabacu, piata Victoriei. Dans cette église, deux samedis par mois l’office est dit en slavon russe.
Je garde des dix mois que j’ai passés dans la capitale roumaine de nombreux souvenirs, pour la plupart chaleureux, touchants et bienfaisants. Mon travail universitaire et ma participation au nouveau collège européen me laissaient des moments de loisirs, dont des promenades méditatives dans le parc Cişmigiu… Parmi ces perles rares quotidiennes brillent d’un éclat particulier ces jours où priais au cours d’offices dans des églises de Bucarest.
Les circonstances ont fait que trois des églises de la capitale roumaine me sont devenus familières. L’église de la Dormition-de-la-Vierge, rue du Dr Burghelea, est celle que fréquentais le plus, elle était tout à côté de mon domicile, à cinq minutes de marche.
En général, j’y assistais à la liturgie du dimanche. Les offices du soir y étaient rares (ce qui est ordinaire dans les paroisses roumaines), c’est pourquoi le samedi soir je me rendais parfois à l’église Saint-Nicolas, place de l’Université. Dans cette église, construite au XXe siècle sur des fonds de l’Empire russe pour les Russes habitant Bucarest, c’est pourquoi jusqu’à ce jour elle est appelée « biserica Rusă » (« église russe »), dans cette église s’est établie la tradition de célébrer les offices du soir, logs et splendides. Mais les plus joyeux étaient les jours où je priais et lisais les Livre des Apôtres durant la liturgie dans l’église Saint-Nicolas-Tabacu, piata Victoriei. Dans cette église, deux samedis par mois l’office est dit en slavon russe.
Aujourd'hui , le 9 octobre, nous vénérons la mémoire du Saint Patriarche Tikhon
"Que de larmes je devrai avaler!" YOUTUBE
" En janvier 1918 le patriarche Tikhon écrivit: «La sainte Eglise orthodoxe du Christ vit actuellement un temps difficile en Russie: des ennemies manifestes ou latents de la vérité du Christ se sont dressés contre elle et tentent de faire périr l’œuvre du Christ... Nous vous exhortons tous, enfants fidèles de l’Eglise: défendez notre Sainte Mère humiliée et persécutée…
Et s’il faut souffrir pour l’œuvre du Christ nous vous appelons à ces souffrances avec nous par les paroles du saint apôtre: ‘Qui nous séparera de l’amour du Christ: chagrin, peine, persécution, famine, nudité, malheur ou glaive?’ (Rom. 8, 35)».
L’Eglise orthodoxe russe en a souffert particulièrement. La persécution contre elle a commencé dès l’accession des bolcheviques au pouvoir.
Pendant la guerre civile du début des années 20 un grand nombre de fidèles orthodoxes, dont les évêques, les prêtres et les moines, fut fusillé et incarcéré. Un de ceux qui a souffert pendant la campagne de la nationalisation des biens ecclésiaux fut le métropolite Benjamin de Petrograd. La veille de son exécution il écrivit dans sa prison: «Dans mon enfance et adolescence je me passionnais pour la lecture des vies des saints dont l’héroïsme m’impressionnait; je regrettais de toute mon âme que les temps avaient changé et qu’il n’y avait plus d’occasion de vivre ce qu’ils avaient vécu. Mais les temps ont changé de nouveau la possibilité se présente de souffrir pour le Christ de la part des siens et des étrangers. Il est difficile de souffrir, mais au fur et à mesure que nos peines augmentent, abondent aussi la grâce et la consolation de Dieu».
"Que de larmes je devrai avaler!" YOUTUBE
" En janvier 1918 le patriarche Tikhon écrivit: «La sainte Eglise orthodoxe du Christ vit actuellement un temps difficile en Russie: des ennemies manifestes ou latents de la vérité du Christ se sont dressés contre elle et tentent de faire périr l’œuvre du Christ... Nous vous exhortons tous, enfants fidèles de l’Eglise: défendez notre Sainte Mère humiliée et persécutée…
Et s’il faut souffrir pour l’œuvre du Christ nous vous appelons à ces souffrances avec nous par les paroles du saint apôtre: ‘Qui nous séparera de l’amour du Christ: chagrin, peine, persécution, famine, nudité, malheur ou glaive?’ (Rom. 8, 35)».
L’Eglise orthodoxe russe en a souffert particulièrement. La persécution contre elle a commencé dès l’accession des bolcheviques au pouvoir.
Pendant la guerre civile du début des années 20 un grand nombre de fidèles orthodoxes, dont les évêques, les prêtres et les moines, fut fusillé et incarcéré. Un de ceux qui a souffert pendant la campagne de la nationalisation des biens ecclésiaux fut le métropolite Benjamin de Petrograd. La veille de son exécution il écrivit dans sa prison: «Dans mon enfance et adolescence je me passionnais pour la lecture des vies des saints dont l’héroïsme m’impressionnait; je regrettais de toute mon âme que les temps avaient changé et qu’il n’y avait plus d’occasion de vivre ce qu’ils avaient vécu. Mais les temps ont changé de nouveau la possibilité se présente de souffrir pour le Christ de la part des siens et des étrangers. Il est difficile de souffrir, mais au fur et à mesure que nos peines augmentent, abondent aussi la grâce et la consolation de Dieu».
L’archevêque Marc a nommé la moniale Marie (Sidiropoulos) higoumène. Ce fut pour tous les présents un heureux et inattendu évènement. Mère Marie est l’une des fondatrices du monastère, c’est elle qui a trouvé le bâtiment, devenu depuis une belle demeure non seulement pour les moniales mais aussi pour les très nombreux pèlerins qui se rendent à Buchendorf. Par la force de sa personnalité, par son charisme elle a persuadé les sœurs de l’ordre catholique Mary Ward de mettre à disposition de l’EORHF ces excellents locaux.
Mère Marie (Sidiropoulos), higoumène du monastère, nous parle du camp et du couvent.
Le camp des Saintes-Marthe-et-Marie, qui se trouve dans le couvent de la Sainte Martyre Elisabeth Fiodorovna existe depuis six ans. Une cinquantaine de fillettes, âgées de 8 à 13 ans, viennent l’été chez nous, d’Allemagne et d’autres pays. L’objectif du camp – donner à des enfants orthodoxes, qui vivent en dehors de la Russie, dans un milieu avec une autre langue et une autre religion, une possibilité unique non seulement de se rencontrer et de faire connaissance, mais d’apprendre aussi les traditions de l’Eglise Orthodoxe Russe, de vivre dans un milieu monastique, de prendre des habitudes pieuses, qu’elles vont, en tant que futures mères, perpétuer dans leurs familles.
Mère Marie (Sidiropoulos), higoumène du monastère, nous parle du camp et du couvent.
Le camp des Saintes-Marthe-et-Marie, qui se trouve dans le couvent de la Sainte Martyre Elisabeth Fiodorovna existe depuis six ans. Une cinquantaine de fillettes, âgées de 8 à 13 ans, viennent l’été chez nous, d’Allemagne et d’autres pays. L’objectif du camp – donner à des enfants orthodoxes, qui vivent en dehors de la Russie, dans un milieu avec une autre langue et une autre religion, une possibilité unique non seulement de se rencontrer et de faire connaissance, mais d’apprendre aussi les traditions de l’Eglise Orthodoxe Russe, de vivre dans un milieu monastique, de prendre des habitudes pieuses, qu’elles vont, en tant que futures mères, perpétuer dans leurs familles.
PARIS: 92, rue St Denis (m. Etienne Marcel)
L’ACATHISTE AUX STS CONSTANTIN ET HELENE
est récité tous les vendredis à 16h à partir du 2 septembre 2016 jusqu’au 30 juin 2017
Il n’y aura pas d’office orthodoxe:
- le vendredi de la première semaine du Grand Carême
- le vendredi de la Passion du Christ (semaine sainte selon les calendriers catholiques et orthodoxes)
VENDREDI 18 NOVEMBRE la célébration solennelle en commémoration de la translation des reliques de Ste Hélène à Paris. 17h
L’ACATHISTE AUX STS CONSTANTIN ET HELENE
est récité tous les vendredis à 16h à partir du 2 septembre 2016 jusqu’au 30 juin 2017
Il n’y aura pas d’office orthodoxe:
- le vendredi de la première semaine du Grand Carême
- le vendredi de la Passion du Christ (semaine sainte selon les calendriers catholiques et orthodoxes)
VENDREDI 18 NOVEMBRE la célébration solennelle en commémoration de la translation des reliques de Ste Hélène à Paris. 17h
V.G.
Extrait d'une interview du père archiprêtre Alexandre Ponomarenko, recteur de l'église de la Sainte Trinité de Jovti Vody, diocèse de Krivoï Rog, Ukraine, par Oksana Golovko
Le mauvais Krishnaïte
J'ai entendu dire qu'un jeune adepte de Krishna est allé à l'église voisine pour regarder la célébration. Entrant dans l'église il a vu que tout le monde faisait la queue pour quelque chose. Les gens s'approchaient du Calice. Il se mit dans la queue et, bien que le matin il avait mangé et fumé (car il était mauvais Krishnaïte), il a communié.
Et le Seigneur lui donna une telle joie après la communion, comme il n'en avait jamais ressenti auparavant. Après, quand il revint à sa vie habituelle, il senti qu'il avait perdu cette joie. Alors il se mit à aller à l'église, il se fit baptiser en pleine conscience et, plus tard, il devint prêtre.
Extrait d'une interview du père archiprêtre Alexandre Ponomarenko, recteur de l'église de la Sainte Trinité de Jovti Vody, diocèse de Krivoï Rog, Ukraine, par Oksana Golovko
Le mauvais Krishnaïte
J'ai entendu dire qu'un jeune adepte de Krishna est allé à l'église voisine pour regarder la célébration. Entrant dans l'église il a vu que tout le monde faisait la queue pour quelque chose. Les gens s'approchaient du Calice. Il se mit dans la queue et, bien que le matin il avait mangé et fumé (car il était mauvais Krishnaïte), il a communié.
Et le Seigneur lui donna une telle joie après la communion, comme il n'en avait jamais ressenti auparavant. Après, quand il revint à sa vie habituelle, il senti qu'il avait perdu cette joie. Alors il se mit à aller à l'église, il se fit baptiser en pleine conscience et, plus tard, il devint prêtre.
Kira Pozdnyaeva
Traduction Élisabeth Toutounov
Émigration russe en Chine. Saint Jean de Shanghai au milieu des enfants de l’orphelinat de saint Tikhon de Zadonsk.
L’orphelinat était l’œuvre de Monseigneur Jean. Dès son arrivée à Shanghai, en 1934, Monseigneur avait commencé à recueillir les orphelins et les enfants de parents pauvres. Souvent il ramassait les enfants dans la rue, dans des bouges , des terrains vagues.
La directrice de l’orphelinat M.A. Chakhmatov se souvient que pendant la guerre l’orphelinat manquait de tout. Il n’y avait rien à donner à manger aux enfants ; mais Monseigneur en amenait encore et encore. Un jour, elle se mit en colère, et lui exprima son mécontentement dans les termes les plus vifs, disant que l’orphelinat avait besoin à tout le moins de gruau et que les enfants n’avaient pas de quoi déjeuner. Monseigneur s’enferma dans sa cellule, et durant de longs moments Maria Alexandrovna l’entendit prier et se prosterner. Le matin suivant, un étranger sonna à la porte ; c’était le représentant d’une compagnie céréalière. Il déclara qu’il souhaitait remettre à l’orphelinat leurs excédents - plusieurs sacs de semoule d’avoine.
Traduction Élisabeth Toutounov
Émigration russe en Chine. Saint Jean de Shanghai au milieu des enfants de l’orphelinat de saint Tikhon de Zadonsk.
L’orphelinat était l’œuvre de Monseigneur Jean. Dès son arrivée à Shanghai, en 1934, Monseigneur avait commencé à recueillir les orphelins et les enfants de parents pauvres. Souvent il ramassait les enfants dans la rue, dans des bouges , des terrains vagues.
La directrice de l’orphelinat M.A. Chakhmatov se souvient que pendant la guerre l’orphelinat manquait de tout. Il n’y avait rien à donner à manger aux enfants ; mais Monseigneur en amenait encore et encore. Un jour, elle se mit en colère, et lui exprima son mécontentement dans les termes les plus vifs, disant que l’orphelinat avait besoin à tout le moins de gruau et que les enfants n’avaient pas de quoi déjeuner. Monseigneur s’enferma dans sa cellule, et durant de longs moments Maria Alexandrovna l’entendit prier et se prosterner. Le matin suivant, un étranger sonna à la porte ; c’était le représentant d’une compagnie céréalière. Il déclara qu’il souhaitait remettre à l’orphelinat leurs excédents - plusieurs sacs de semoule d’avoine.
V. Golovanow
PARTIE 2: VERS L'ÉGLISE RUSSE
La première partie de notre interview avec l'hégoumène Ephrem Meziani se terminait à la fin des années 1970, quand le père Ephrem rejoignait «l’archevêché russe-orthodoxe en Europe occidentale» mais l'illustration finale, où on le voit célébrer avec Mgr. Nestor de Chersonèse à la Maison russe à Sainte-Geneviève-des-Bois annonçait la suite de son parcours.
Père Ephrem : En effet, et ce parcours fut aussi marqué par des rencontres remarquables. Mais avant cela je commençais par faire des remplacements dans les paroisses de l'Archevêché, en particulier pour les fêtes, et il faut noter que ma méconnaissance du slavon n'a jamais fait problème alors que c'était encore partout le règle à cette époque. Je me souviens en particulier d'une célébration de Pâques où je suis reçu par une délégation de paroissiens d'âge respectable qui m'annoncent: "surtout pas de français" ! J'ai fait de mon mieux, en utilisant tout le peu de slavon que je connaissais… et pendant les agapes j'ai eu les remerciements pour mon service "en grec"…
PARTIE 2: VERS L'ÉGLISE RUSSE
La première partie de notre interview avec l'hégoumène Ephrem Meziani se terminait à la fin des années 1970, quand le père Ephrem rejoignait «l’archevêché russe-orthodoxe en Europe occidentale» mais l'illustration finale, où on le voit célébrer avec Mgr. Nestor de Chersonèse à la Maison russe à Sainte-Geneviève-des-Bois annonçait la suite de son parcours.
Père Ephrem : En effet, et ce parcours fut aussi marqué par des rencontres remarquables. Mais avant cela je commençais par faire des remplacements dans les paroisses de l'Archevêché, en particulier pour les fêtes, et il faut noter que ma méconnaissance du slavon n'a jamais fait problème alors que c'était encore partout le règle à cette époque. Je me souviens en particulier d'une célébration de Pâques où je suis reçu par une délégation de paroissiens d'âge respectable qui m'annoncent: "surtout pas de français" ! J'ai fait de mon mieux, en utilisant tout le peu de slavon que je connaissais… et pendant les agapes j'ai eu les remerciements pour mon service "en grec"…
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