Plateforme libre de discussion
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V. Golovanow
"Ces instruments de la grâce de Dieu * et cithares de l’Esprit, * ces trompettes sonores de la prédication divine * qui firent entendre d’en haut l’admirable son de leur voix * pour révéler au monde entier la gloire de Dieu, * ces trois hérauts de la suprême Trinité, * Basile, Grégoire et Jean, * vénérons-les dignement. (2 fois)
Ces champions de la Trinité, * ces remparts de la foi, * ces trois Apôtres après les douze du Christ, * ces fleuves faisant jaillir l’eau vive de l’Éden * pour abreuver la face de la terre et la vivifier * sous leur divin ruissellement, * ces éléments composant non la création mais la foi * soient honorés dignement! (2 fois)
Ce ne sont ni paroles ni récits, * ainsi qu’il est dit, * dont la voix ne puisse être entendue; * par toute la terre et la mer, en effet, * a retenti le message de ces Docteurs divins et universels; * alors, ce qu’il y a de meilleur * se rassemble sous leurs lois divines * et les confins de la terre se rejoignent dans l’unique orthodoxie. (2 fois)
"Ces instruments de la grâce de Dieu * et cithares de l’Esprit, * ces trompettes sonores de la prédication divine * qui firent entendre d’en haut l’admirable son de leur voix * pour révéler au monde entier la gloire de Dieu, * ces trois hérauts de la suprême Trinité, * Basile, Grégoire et Jean, * vénérons-les dignement. (2 fois)
Ces champions de la Trinité, * ces remparts de la foi, * ces trois Apôtres après les douze du Christ, * ces fleuves faisant jaillir l’eau vive de l’Éden * pour abreuver la face de la terre et la vivifier * sous leur divin ruissellement, * ces éléments composant non la création mais la foi * soient honorés dignement! (2 fois)
Ce ne sont ni paroles ni récits, * ainsi qu’il est dit, * dont la voix ne puisse être entendue; * par toute la terre et la mer, en effet, * a retenti le message de ces Docteurs divins et universels; * alors, ce qu’il y a de meilleur * se rassemble sous leurs lois divines * et les confins de la terre se rejoignent dans l’unique orthodoxie. (2 fois)
Rédigé par Vladimir Golovanow le 11 Février 2015 à 17:13
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L’assemblée générale de la "Conférence interconciliaire de l’Église orthodoxe russe", qui s'est tenue les 29-30 janvier 2015 a décidé de transmettre le document «De la participation des fidèles à l’Eucharistie» (sur la préparation à la Sainte Communion) à la conférence épiscopale qui réunira la majorité des évêques à Moscou les 2-3 février 2015.
Ce document apparaît comme particulièrement utile pour unifier la pratique de la préparation des fidèles à la communion et il a fait l'objet d'un large débat depuis plus d'un an dans les diocèses et sur Internet. En attendant la publication du texte définitif et sa traduction, je propose ci-après les grandes lignes du dernier texte disponible, celui qui a été transmis aux diocèses le 11 septembre 2013 (Les sous titres sont ceux du document, les passages entre "" sont traduits in extenso.)
Ce document apparaît comme particulièrement utile pour unifier la pratique de la préparation des fidèles à la communion et il a fait l'objet d'un large débat depuis plus d'un an dans les diocèses et sur Internet. En attendant la publication du texte définitif et sa traduction, je propose ci-après les grandes lignes du dernier texte disponible, celui qui a été transmis aux diocèses le 11 septembre 2013 (Les sous titres sont ceux du document, les passages entre "" sont traduits in extenso.)
Message de Noël de Sa Sainteté le Patriarche Cyrille de Moscou et de toute la Russie aux archipasteurs, pasteurs, moines et à tous les fidèles enfants de l’Église orthodoxe russe.
Éminences, révérends pères, vénérables moines et moniales, chers frères et sœurs
A vous tous qui vivez dans des pays, des villes et des villages différents mais faites partie de l’Église orthodoxe russe, je m’adresse en cette sainte nuit et vous souhaite de tout cœur une bonne fête de la Nativité du Christ, par laquelle le monde est sauvé. Je vous salue tous, très chers, et je prie pour que nous soyons tous emplis de joie spirituelle en participant ensemble à cette grande solennité, et pour que nous nous délections du festin de la foi, en fils et filles de Dieu et amis du Christ que nous sommes (Jn 15, 15).
Contemplant aujourd’hui le mystère de l’Incarnation divine, nous aspirons à comprendre le sens de cet évènement qui s’est déroulé il y a 2000 ans à Bethléem, à comprendre sa signification pour nous et pour nos contemporains.
Le saint apôtre Paul écrit : « Quand vint la plénitude du temps, Dieu envoya son Fils, né d’une femme, né sujet de la Loi, afin de racheter les sujets de la Loi, afin de nous conférer l’adoption filiale » (Gal 4, 4-5). Qu’y avait-il avant cette plénitude des temps ?
Éminences, révérends pères, vénérables moines et moniales, chers frères et sœurs
A vous tous qui vivez dans des pays, des villes et des villages différents mais faites partie de l’Église orthodoxe russe, je m’adresse en cette sainte nuit et vous souhaite de tout cœur une bonne fête de la Nativité du Christ, par laquelle le monde est sauvé. Je vous salue tous, très chers, et je prie pour que nous soyons tous emplis de joie spirituelle en participant ensemble à cette grande solennité, et pour que nous nous délections du festin de la foi, en fils et filles de Dieu et amis du Christ que nous sommes (Jn 15, 15).
Contemplant aujourd’hui le mystère de l’Incarnation divine, nous aspirons à comprendre le sens de cet évènement qui s’est déroulé il y a 2000 ans à Bethléem, à comprendre sa signification pour nous et pour nos contemporains.
Le saint apôtre Paul écrit : « Quand vint la plénitude du temps, Dieu envoya son Fils, né d’une femme, né sujet de la Loi, afin de racheter les sujets de la Loi, afin de nous conférer l’adoption filiale » (Gal 4, 4-5). Qu’y avait-il avant cette plénitude des temps ?
Saint Théophane le Reclus est un évêque russe du XIXe siècle. Il est l’une des grandes figures du renouveau de la spiritualité orthodoxe russe au XIXe siècle. Son nom, le Reclus, vient de ce que les 22 dernières années de sa vie, il a vécu en isolement, à sa demande.
Hébreux 4:1-13 et Luc 21:12-19
Et vous serez haïs de tous, à cause de Mon Nom. Celui qui respire ne serait-ce qu'un peu de l'esprit du monde en lui-même devient froid envers le christianisme et ses exigences. Cette indifférence se transforme en dégoût quand on y reste longtemps sans reprendre ses sens, et surtout après avoir ramassé quelque part une parcelle de certaines fausses doctrines.
L'esprit du monde avec ses faux enseignements, c'est un esprit qui déteste le Christ: c'est celui de l'Antéchrist. Il est la propagation d'attitudes hostiles envers la confession chrétienne et les traditions chrétiennes. Apparemment, quelque chose comme cela se passe chez nous. Jusques à présent, seulement de creux rugissements retentissent partout, mais il ne faudra pas s'étonner si bientôt la prophétie du Seigneur commence, ils poseront leurs mains sur vous... et ils vous persécuteront... vous serez trahi... et ils vous ferons mettre à mort.
Hébreux 4:1-13 et Luc 21:12-19
Et vous serez haïs de tous, à cause de Mon Nom. Celui qui respire ne serait-ce qu'un peu de l'esprit du monde en lui-même devient froid envers le christianisme et ses exigences. Cette indifférence se transforme en dégoût quand on y reste longtemps sans reprendre ses sens, et surtout après avoir ramassé quelque part une parcelle de certaines fausses doctrines.
L'esprit du monde avec ses faux enseignements, c'est un esprit qui déteste le Christ: c'est celui de l'Antéchrist. Il est la propagation d'attitudes hostiles envers la confession chrétienne et les traditions chrétiennes. Apparemment, quelque chose comme cela se passe chez nous. Jusques à présent, seulement de creux rugissements retentissent partout, mais il ne faudra pas s'étonner si bientôt la prophétie du Seigneur commence, ils poseront leurs mains sur vous... et ils vous persécuteront... vous serez trahi... et ils vous ferons mettre à mort.
In Saint Jean de Shanghai et de San Francisco
(1896-1966), Thaumaturge.
Chers enfants !
À partir d'aujourd'hui, dans les offices nous chantons déjà : « Le Christ est né, glorifions-le. » Cela annonce l'Avent de la Nativité du Seigneur : nous sommes appelés à nous préparer à sa rencontre.
Nous préparer comment ? Il s'agit de mettre notre âme en état de crèche, de mangeoire qui reçoit le Christ Enfant. La fête nous aide dans ce sens. À la clôture de la Nativité, l'Église célèbre les trois Enfants et le prophète Daniel qui nous servent de modèles pour progresser. Pourquoi nous en parle-t-on tellement ? Vous savez que ces jeunes enfants étaient élevés dans la cour du roi Nabuchodonosor. Un jour, pour ne pas rompre la Loi de « l'Église » de l'Ancien Testament, ils refusèrent de toucher aux plats compliqués de la table royale et ne mangèrent que des légumes.
Pour cette abstinence, cette obéissance à la Loi de l'Église, Dieu leur octroya une sagesse plus vaste qu'à leurs égaux. A travers l'expérience du jeûne, leur âme s'affermit : c'est ainsi qu'ils purent refuser au roi de se prosterner devant ses idoles. Et comme ils ne se soumettaient toujours pas au décret impie, les trois jeunes gens furent précipités dans un fourneau brûlant et Daniel dans la fosse aux lions, mais le Seigneur les préserva de tout mal.
(1896-1966), Thaumaturge.
Chers enfants !
À partir d'aujourd'hui, dans les offices nous chantons déjà : « Le Christ est né, glorifions-le. » Cela annonce l'Avent de la Nativité du Seigneur : nous sommes appelés à nous préparer à sa rencontre.
Nous préparer comment ? Il s'agit de mettre notre âme en état de crèche, de mangeoire qui reçoit le Christ Enfant. La fête nous aide dans ce sens. À la clôture de la Nativité, l'Église célèbre les trois Enfants et le prophète Daniel qui nous servent de modèles pour progresser. Pourquoi nous en parle-t-on tellement ? Vous savez que ces jeunes enfants étaient élevés dans la cour du roi Nabuchodonosor. Un jour, pour ne pas rompre la Loi de « l'Église » de l'Ancien Testament, ils refusèrent de toucher aux plats compliqués de la table royale et ne mangèrent que des légumes.
Pour cette abstinence, cette obéissance à la Loi de l'Église, Dieu leur octroya une sagesse plus vaste qu'à leurs égaux. A travers l'expérience du jeûne, leur âme s'affermit : c'est ainsi qu'ils purent refuser au roi de se prosterner devant ses idoles. Et comme ils ne se soumettaient toujours pas au décret impie, les trois jeunes gens furent précipités dans un fourneau brûlant et Daniel dans la fosse aux lions, mais le Seigneur les préserva de tout mal.
Mgr Benjamin (Toupeko), évêque de Borissov
Traduction Dimitri Garmonov
Le temps est venu de discuter des règles du monachisme contemporain qui, lors des décennies de persécutions, ont subi des altérations significatives sur le plan spirituel, canonique et pratique. L’initiative du Concile des évêques et celle de Sa Sainteté Patriarche Cyrille d’organiser une discussion interconciliaire de tel ou tel projet sont donc plus qu’opportunes. Surtout s’il s’agit de débattre du projet des « Règles des monastères et des moines ». Cette discussion à laquelle participent des nombreux frères ne peut que réjouir parce qu’elle montre à quel point est grand l’intérêt du monachisme contemporain à résoudre les problèmes qui ont surgi. L’unité des pasteurs et des fidèles s’en trouve renforcée, crée un esprit de compréhension mutuelle conciliaire, d’ouverture, d’honnêteté et de responsabilité. Ces discussions suscitent inévitablement des déclarations émotionnelles, voire brutales. Elles témoignent de l’actualité des problèmes discutés.
Ce n’est pas par hasard que la plupart des réactions des moines et des moniales sont anonymes : cela montre l’existence de problèmes dans les relations entre eux et leurs supérieurs ainsi qu’entre ces derniers et les évêques, l’incompréhension mutuelle et le manque de confiance. Surmonter de tels problèmes n’est pas facile, ce sont les moines et les pasteurs qui doivent y tendre.
Traduction Dimitri Garmonov
Le temps est venu de discuter des règles du monachisme contemporain qui, lors des décennies de persécutions, ont subi des altérations significatives sur le plan spirituel, canonique et pratique. L’initiative du Concile des évêques et celle de Sa Sainteté Patriarche Cyrille d’organiser une discussion interconciliaire de tel ou tel projet sont donc plus qu’opportunes. Surtout s’il s’agit de débattre du projet des « Règles des monastères et des moines ». Cette discussion à laquelle participent des nombreux frères ne peut que réjouir parce qu’elle montre à quel point est grand l’intérêt du monachisme contemporain à résoudre les problèmes qui ont surgi. L’unité des pasteurs et des fidèles s’en trouve renforcée, crée un esprit de compréhension mutuelle conciliaire, d’ouverture, d’honnêteté et de responsabilité. Ces discussions suscitent inévitablement des déclarations émotionnelles, voire brutales. Elles témoignent de l’actualité des problèmes discutés.
Ce n’est pas par hasard que la plupart des réactions des moines et des moniales sont anonymes : cela montre l’existence de problèmes dans les relations entre eux et leurs supérieurs ainsi qu’entre ces derniers et les évêques, l’incompréhension mutuelle et le manque de confiance. Surmonter de tels problèmes n’est pas facile, ce sont les moines et les pasteurs qui doivent y tendre.
Mgr Benjamin (Toupeko), évêque de Borissov
Traduction Dimitri Garmonov
Le temps est venu de discuter des règles du monachisme contemporain qui, lors des décennies de persécutions, ont subi des altérations significatives sur le plan spirituel, canonique et pratique. L’initiative du Concile des évêques et celle de Sa Sainteté Patriarche Cyrille d’organiser une discussion interconciliaire de tel ou tel projet sont donc plus qu’opportunes. Surtout s’il s’agit de débattre du projet des « Règles des monastères et des moines ». Partie1
12. La transformation du monastère en « une institution sociale », « une organisation missionnaire », « un centre de pèlerinage » etc. transgressant l’idée principale de la vie monastique comme une vie dans la solitude, profondément différente d’une vie dans le monde.
Ce n’est qu’une partie des problèmes dont la solution doit être trouvée le plus rapidement possible. Sinon cette situation provoquera l’appauvrissement total du monachisme et l’abandon de nos monastères. Dans certains cas, les confesseurs se montrent prudents à l’égard des jeunes gens qui ont décidé d’apporter leurs vœux. La situation morale actuelle dans le monachisme risque même de faire du tort à une âme immature et inexpérimentée. Ainsi, c’est « le Règlement des monastères et des moines » qui doit permettre de résoudre ces problèmes essentiels.
Traduction Dimitri Garmonov
Le temps est venu de discuter des règles du monachisme contemporain qui, lors des décennies de persécutions, ont subi des altérations significatives sur le plan spirituel, canonique et pratique. L’initiative du Concile des évêques et celle de Sa Sainteté Patriarche Cyrille d’organiser une discussion interconciliaire de tel ou tel projet sont donc plus qu’opportunes. Surtout s’il s’agit de débattre du projet des « Règles des monastères et des moines ». Partie1
12. La transformation du monastère en « une institution sociale », « une organisation missionnaire », « un centre de pèlerinage » etc. transgressant l’idée principale de la vie monastique comme une vie dans la solitude, profondément différente d’une vie dans le monde.
Ce n’est qu’une partie des problèmes dont la solution doit être trouvée le plus rapidement possible. Sinon cette situation provoquera l’appauvrissement total du monachisme et l’abandon de nos monastères. Dans certains cas, les confesseurs se montrent prudents à l’égard des jeunes gens qui ont décidé d’apporter leurs vœux. La situation morale actuelle dans le monachisme risque même de faire du tort à une âme immature et inexpérimentée. Ainsi, c’est « le Règlement des monastères et des moines » qui doit permettre de résoudre ces problèmes essentiels.
"Les réunions officielles des Primats des Eglises ont toujours été des événements ecclésiastiques de grande importance pour le renforcement et, espérons-le, la restauration de l'unité de la foi dans l'union de l'amour. Ces visites sont conformes à l'ordre du divin fondateur de l'Eglise, notre Seigneur Jésus-Christ." Communiqué du patriarcat œcuménique
Pour mettre dans une perspective historique la prochaine venue du pape François, le 30 novembre au Phanar, le site Patriarchate.org a mis en ligne une intéressante infographie de l'historique des rencontres du pape et du patriarche œcuménique depuis 536. Le détail des visites est donné ICI.
Au premier millénaire il y eut 4 visites papales à Constantinople: Agapetus en 536, Vigilius en 547 et 552, Constantin en 711.
Pour le Concile de Florence ce fut le patriarche de Constantinople qui accompagna l'empereur.
Pour mettre dans une perspective historique la prochaine venue du pape François, le 30 novembre au Phanar, le site Patriarchate.org a mis en ligne une intéressante infographie de l'historique des rencontres du pape et du patriarche œcuménique depuis 536. Le détail des visites est donné ICI.
Au premier millénaire il y eut 4 visites papales à Constantinople: Agapetus en 536, Vigilius en 547 et 552, Constantin en 711.
Pour le Concile de Florence ce fut le patriarche de Constantinople qui accompagna l'empereur.
Nés au Ille siècle en Arabie, d'une mère chrétienne, Côme et Damien sont jumeaux et ils ont trois frères cadets, qui subiront le martyre en même temps qu'eux. Après être allés en Syrie pour y étudier la médecine, les jumeaux reviennent dans leur ville natale pour exercer leur art; ils ne veulent pas recevoir d'honoraires, respectant en cela le précepte du Maître :«Vous avez reçu gratuitement, donnez gratuitement. » S'ils n'acceptaient pas d'argent, il leur arrivait parfois d'accepter des dons en nature, mais seulement si leur refus risquait de blesser le malade qu'ils avaient guéri.
Le Seigneur avait accordé à ses fidèles serviteurs le don des miracles et ils guérissaient toute sorte de maladies, rendant la vue aux aveugles, l'ouïe aux sourds, l'usage de leurs jambes aux paralysés, guérissant aussi les âmes et exorcisant les possédés. Les guérisons extraordinaires réalisées par les soins de Côme et Damien n'étaient pas passées inaperçues et leur renommée était parvenue aux oreilles du proconsul Lysias, qui désira les connaître.
Le Seigneur avait accordé à ses fidèles serviteurs le don des miracles et ils guérissaient toute sorte de maladies, rendant la vue aux aveugles, l'ouïe aux sourds, l'usage de leurs jambes aux paralysés, guérissant aussi les âmes et exorcisant les possédés. Les guérisons extraordinaires réalisées par les soins de Côme et Damien n'étaient pas passées inaperçues et leur renommée était parvenue aux oreilles du proconsul Lysias, qui désira les connaître.
Saint Nestor de Thessalonique martyrisé en même temps que Saint
Dimitri de Thessalonique (sous le règne de Dioclétien et Maximien, 284-306)
Le martyr de Saint Nestor († 306)
Comme il était de coutume en de telles circonstances, Maximien avait organisé dans l'amphithéâtre de Thessalonique des jeux et des combats de gladiateurs. Il avait emmené avec lui une sorte de géant, à la force herculéenne, nommé Lyaios, de la tribu des Vandales. Celui-ci était si fort et si habile dans le combat singulier, que personne ne pouvait lui résister. Un jeune garçon Chrétien de la ville nommé Nestor, voyant le vain orgueil que tirait l'empereur à la vue des victoires de son protégé, décida de lui montrer que c'est au Christ seul qu'appartient la vraie puissance. Il courut vers le bain où était enfermé Dimitri et lui demanda la protection de sa prière pour aller affronter le géant. Le martyr fit le signe de Croix sur le front et le cœur du jeune garçon et l'envoya, tel David au-devant de Goliath
Dimitri de Thessalonique (sous le règne de Dioclétien et Maximien, 284-306)
Le martyr de Saint Nestor († 306)
Comme il était de coutume en de telles circonstances, Maximien avait organisé dans l'amphithéâtre de Thessalonique des jeux et des combats de gladiateurs. Il avait emmené avec lui une sorte de géant, à la force herculéenne, nommé Lyaios, de la tribu des Vandales. Celui-ci était si fort et si habile dans le combat singulier, que personne ne pouvait lui résister. Un jeune garçon Chrétien de la ville nommé Nestor, voyant le vain orgueil que tirait l'empereur à la vue des victoires de son protégé, décida de lui montrer que c'est au Christ seul qu'appartient la vraie puissance. Il courut vers le bain où était enfermé Dimitri et lui demanda la protection de sa prière pour aller affronter le géant. Le martyr fit le signe de Croix sur le front et le cœur du jeune garçon et l'envoya, tel David au-devant de Goliath
Le 27 septembre 2014, en la fête de l’Élévation de la Vénérable et Vivifiante Croix du Seigneur, Sa Sainteté le Patriarche Cyrille de Moscou et de toute la Russie a célébré le rite de consécration de l’église Saint-Clément, dans le quartier Zamoskvoretchie, rite suivi de la Divine liturgie dans l’église nouvellement consacrée.
Communiqué
La paroisse stavropygiale (patriarcale) de Tous les Saints de Strasbourg invite les pèlerins orthodoxes à la célébration des journées de la mémoire des saintes martyres de Rome Foi (Véra), Espérance (Nadezhda), Charité (Lioubov) et de leur mère Sophie, qui se déroulera le 27 et 28 septembre 2014 à Eschau (France). C'est dans l'abbatiale Saint-Trophime à Eschau qu'étaient conservées pendant des siècles les reliques des Martyres. La châsse dans laquelle étaient conservés pendant plusieurs siècles les reliques des Saintes a été conservée jusqu'à nos jours. L'abbatiale d'Eschau renferme aussi une partie des reliques de la Sainte Martyre Sophie. C'est aussi là que demeure un fragment de la Sainte Croix du Seigneur.
La fête des saintes tombant en 2014 sur un mardi, les célébrations traditionnelles à Eschau sont reportées au week-end le plus proche – les 27-28 septembre – afin que toutes les personnes intéressées puissent y assister.
La paroisse stavropygiale (patriarcale) de Tous les Saints de Strasbourg invite les pèlerins orthodoxes à la célébration des journées de la mémoire des saintes martyres de Rome Foi (Véra), Espérance (Nadezhda), Charité (Lioubov) et de leur mère Sophie, qui se déroulera le 27 et 28 septembre 2014 à Eschau (France). C'est dans l'abbatiale Saint-Trophime à Eschau qu'étaient conservées pendant des siècles les reliques des Martyres. La châsse dans laquelle étaient conservés pendant plusieurs siècles les reliques des Saintes a été conservée jusqu'à nos jours. L'abbatiale d'Eschau renferme aussi une partie des reliques de la Sainte Martyre Sophie. C'est aussi là que demeure un fragment de la Sainte Croix du Seigneur.
La fête des saintes tombant en 2014 sur un mardi, les célébrations traditionnelles à Eschau sont reportées au week-end le plus proche – les 27-28 septembre – afin que toutes les personnes intéressées puissent y assister.
L'église en bois dans le parc du Séminaire orthodoxe russe (4, rue Sainte-Geneviève - 91860 Épinay-sous-Sénart, arrêt "Brunoy" de la ligne D du RER) sera consacrée le dimanche 21 septembre 2014, le jour de la fête de la Nativité de la Mère de Dieu (8 septembre du calendrier julien, en usage dans l'Église russe), à laquelle elle est dédiée.
L'office de consécration de l'autel commencera à 9 h. La première liturgie dans l'église sera célébrée à 10 h. La célébration est ouverte à tous!
Pour les Journées européennes du patrimoine, le 20 et 21 septembre, le Séminaire sera ouvert de 9 h à 19 h. Un programme spécial est prévu:
L'office de consécration de l'autel commencera à 9 h. La première liturgie dans l'église sera célébrée à 10 h. La célébration est ouverte à tous!
Pour les Journées européennes du patrimoine, le 20 et 21 septembre, le Séminaire sera ouvert de 9 h à 19 h. Un programme spécial est prévu:
Ce week-end, la communauté orthodoxe reçoit sa première visite épiscopale de archevêque de Job de Telmessos, ( Archevêché des Églises Orthodoxes Russes en Europe Occidentale)
Émilie CHASSEVANT: Comment la religion orthodoxe s'est implantée en Bretagne ?
Père Jean-Michel Sonnier, recteur de la paroisse orthodoxe Saint-Brieuc, Dinan, Saint-Malo:L'Église orthodoxe a ses racines en Orient. Au rythme des conquêtes, les chrétiens se sont expatriés sur les cinq continents. En France, les orthodoxes sont surtout arrivés au moment des révolutions russes. On estime à 600 000 le nombre d'orthodoxes en France. En Bretagne, l'orthodoxie était peu présente jusqu'à il y a une quarantaine d'années. De petits foyers se sont implantés surtout à Rennes. Grâce au père Pierre Tchesnakoff, les bases des paroisses et communautés ont été posées.
Émilie CHASSEVANT: Comment la religion orthodoxe s'est implantée en Bretagne ?
Père Jean-Michel Sonnier, recteur de la paroisse orthodoxe Saint-Brieuc, Dinan, Saint-Malo:L'Église orthodoxe a ses racines en Orient. Au rythme des conquêtes, les chrétiens se sont expatriés sur les cinq continents. En France, les orthodoxes sont surtout arrivés au moment des révolutions russes. On estime à 600 000 le nombre d'orthodoxes en France. En Bretagne, l'orthodoxie était peu présente jusqu'à il y a une quarantaine d'années. De petits foyers se sont implantés surtout à Rennes. Grâce au père Pierre Tchesnakoff, les bases des paroisses et communautés ont été posées.
Les 11 et 12 septembre 2014, Son Eminence l’Archevêque Job de Telmessos a présidé la vigile et la Divine Liturgie en la cathédrale Saint-Alexandre-Nevsky à l’occasion de la fête patronale.
A ces offices ont concélébré le clergé de la cathédrale, l’Archiprêtre Nicolas Ozoline qui représentait l’Institut de Théologie Orthodoxe Saint-Serge, ainsi que d’autres clercs de l’archevêché venus à cette occasion. Etaient également présentes l’higoumène Colomba accompagnée de ses sœurs du Monastère de la Protection de la Mère de Dieu à Bussy-en-Othe.
Le dimanche suivant, 14 septembre, l’évêque Nestor de Chersonèse (Église orthodoxe Russe PM) est venu présenter ses vœux à l’archevêque à l’occasion de la fête patronale, et a concélébré avec lui la Divine Liturgie, avec le clergé de la cathédrale et des clercs venus du doyenné de Grande-Bretagne et d’Écosse.
A ces offices ont concélébré le clergé de la cathédrale, l’Archiprêtre Nicolas Ozoline qui représentait l’Institut de Théologie Orthodoxe Saint-Serge, ainsi que d’autres clercs de l’archevêché venus à cette occasion. Etaient également présentes l’higoumène Colomba accompagnée de ses sœurs du Monastère de la Protection de la Mère de Dieu à Bussy-en-Othe.
Le dimanche suivant, 14 septembre, l’évêque Nestor de Chersonèse (Église orthodoxe Russe PM) est venu présenter ses vœux à l’archevêque à l’occasion de la fête patronale, et a concélébré avec lui la Divine Liturgie, avec le clergé de la cathédrale et des clercs venus du doyenné de Grande-Bretagne et d’Écosse.
Héros national, Alexandre Nevski a été canonisé après sa mort par l'Église orthodoxe.
Le 5 avril 1242, Alexandre Nevski massacre les chevaliers Teutoniques et les chevaliers Porte-Glaives sur les glaces du lac Peïpous, à la frontière de l'Estonie actuelle. De cette victoire, aussi appelée «bataille de la Glace», va sortir la nation russe, au terme d'un douloureux processus.
A dix ans, il était prince de Novgorod une cité où les "petites gens" jouissaient d'un degré de liberté et de liberté d'expression (car toutes les couches sociales étaient lettrées) plutôt exceptionnel pour l'époque.. Il sut se faire aimer d'eux et de tous.
Quelques années plus tard, en 1237, les Tatares déferlèrent sur la Russie contrôlant pour deux cents ans l'ensemble des principautés russes par de lourdes impositions financières. Mais à la même époque, Novgorod eut à affronter le royaume de Suède, le royaume de Lituanie et les chevaliers teutoniques qui voulaient convertir au catholicisme romain les peuples orthodoxes.
Le 5 avril 1242, Alexandre Nevski massacre les chevaliers Teutoniques et les chevaliers Porte-Glaives sur les glaces du lac Peïpous, à la frontière de l'Estonie actuelle. De cette victoire, aussi appelée «bataille de la Glace», va sortir la nation russe, au terme d'un douloureux processus.
A dix ans, il était prince de Novgorod une cité où les "petites gens" jouissaient d'un degré de liberté et de liberté d'expression (car toutes les couches sociales étaient lettrées) plutôt exceptionnel pour l'époque.. Il sut se faire aimer d'eux et de tous.
Quelques années plus tard, en 1237, les Tatares déferlèrent sur la Russie contrôlant pour deux cents ans l'ensemble des principautés russes par de lourdes impositions financières. Mais à la même époque, Novgorod eut à affronter le royaume de Suède, le royaume de Lituanie et les chevaliers teutoniques qui voulaient convertir au catholicisme romain les peuples orthodoxes.
Liturgie solennelle le samedi 6 septembre à Ugine à l’occasion des 80 ans du trépas de St Alexis d’Ugine
Le bureau de l’association « La Communauté russe et Ugine » communique ce qui suit : « Nous vous informons ou nous vous rappelons que le samedi 6 septembre à 10 heures à Ugine, une divine liturgie exceptionnelle aura lieu dans l’église Saint-Nicolas et Saint-Alexis-d’Ugine.
Nous fêterons les 80 ans de la mort d’Alexis Medvedkoff, canonisé en 2014 sous le nom de Saint et Juste Alexis d’Ugine. Nous fêterons aussi les dix ans de la restauration de l’église.
La liturgie sera concélébrée par trois juridictions (PC, PM et EORHF) :
- Monseigneur Job de Telmessos, archevêque des paroisses de tradition russe en Europe occidentale et exarque du Patriarche Œcuménique,
- Monseigneur Nestor, évêque de Chersonèse, en charge des communautés du patriarcat de Moscou en France, Suisse, Espagne et Portugal,
- Monseigneur Michel, évêque du diocèse de l’Église russe hors frontières de Genève et d’Europe occidentale.
Le bureau de l’association « La Communauté russe et Ugine » communique ce qui suit : « Nous vous informons ou nous vous rappelons que le samedi 6 septembre à 10 heures à Ugine, une divine liturgie exceptionnelle aura lieu dans l’église Saint-Nicolas et Saint-Alexis-d’Ugine.
Nous fêterons les 80 ans de la mort d’Alexis Medvedkoff, canonisé en 2014 sous le nom de Saint et Juste Alexis d’Ugine. Nous fêterons aussi les dix ans de la restauration de l’église.
La liturgie sera concélébrée par trois juridictions (PC, PM et EORHF) :
- Monseigneur Job de Telmessos, archevêque des paroisses de tradition russe en Europe occidentale et exarque du Patriarche Œcuménique,
- Monseigneur Nestor, évêque de Chersonèse, en charge des communautés du patriarcat de Moscou en France, Suisse, Espagne et Portugal,
- Monseigneur Michel, évêque du diocèse de l’Église russe hors frontières de Genève et d’Europe occidentale.
Les 10 ans de la canonisation du Saint et Juste Alexis d'Ugine seront concélébrée en grande pompe le 6 septembre prochain dans l'église Saint Nicolas et St Alexis d'Ugine.
La sainte Liturgie sera concélébrée par Mgr Nestor de Chersonèse son représentant, Mgr Michel de Genève et Mgr Job de Telmessos avec des moines du Mt Athos et de St Laurent en Royan, le Père Silouane de Milan et une délégation du Monastère Notre Dame de Toute Protection de Bussy où se trouvent les reliques de saint Alexis.
Cette célébrations marquera aussi les 80 ans de la naissance au ciel du saint père Alexis, et les 10 ans de la fin de la restauration de l'église.
La sainte Liturgie sera concélébrée par Mgr Nestor de Chersonèse son représentant, Mgr Michel de Genève et Mgr Job de Telmessos avec des moines du Mt Athos et de St Laurent en Royan, le Père Silouane de Milan et une délégation du Monastère Notre Dame de Toute Protection de Bussy où se trouvent les reliques de saint Alexis.
Cette célébrations marquera aussi les 80 ans de la naissance au ciel du saint père Alexis, et les 10 ans de la fin de la restauration de l'église.
L’administration des paroisses orthodoxes du Patriarcat de Moscou en Italie a préparé et publié la traduction en italien des liturgies de saint Jean Chrysostome et de saint Basile le Grand. Cette publication est le résultat de nombreuses années de travail accompli par les membres de la commission de traduction de l'administration. La commission comprend le clergé des paroisses du Patriarcat de Moscou en Italie et ainsi que des linguistes professionnels, qui sont des paroissiens de l'Eglise orthodoxe russe dans les Apennins.
Intitulé « Libro del Celebrante – Sluzhebnik », le livre a été publié, avec la bénédiction Mgr Marc de Yegorovsk, dans une grande maison d'édition italienne « EDB – Edizioni Dehoniane Bologne » et imprimé à Ferrare.
Ce livre est le premier projet d'édition, mis en œuvre par l'administration de l'Eglise orthodoxe russe en Italie. Cette édition comprend une introduction par Mgr Marc, un article expliquant la méthodologie et les principes de la traduction utilisés par la commission.
Outre les textes des liturgies, le livre contient également les renvois de fêtes et de dimanche, ainsi que les prokimena et alleluia du dimanche. Les trois onglet de couleur facilite aussi son utilisation pendant le service.
Intitulé « Libro del Celebrante – Sluzhebnik », le livre a été publié, avec la bénédiction Mgr Marc de Yegorovsk, dans une grande maison d'édition italienne « EDB – Edizioni Dehoniane Bologne » et imprimé à Ferrare.
Ce livre est le premier projet d'édition, mis en œuvre par l'administration de l'Eglise orthodoxe russe en Italie. Cette édition comprend une introduction par Mgr Marc, un article expliquant la méthodologie et les principes de la traduction utilisés par la commission.
Outre les textes des liturgies, le livre contient également les renvois de fêtes et de dimanche, ainsi que les prokimena et alleluia du dimanche. Les trois onglet de couleur facilite aussi son utilisation pendant le service.
Le 5 juillet 2014, à la veille de la Nativité de saint Jean-Baptiste (Ndlr : selon l'ancien calendrier 24 juin / 7 juillet), le diocèse de Chersonèse a célébré à Amiens le saint Prophète et Précurseur, où la partie avant de la tête est conservée depuis plus de huit siècles (1206) dans la capitale de la Picardie.
A cette occasion, sont venus à Amiens Mgr Nestor de Chersonèse, et une délégation du diocèse de Kherson dirigée par l'archevêque Jean de Kherson et de Tauride (Ndlr : diocèse de l'Eglise orthodoxe d'Ukraine / Patriarcat de Moscou).
En ce jour sur l'autel central de la cathédrale Notre-Dame d'Amiens - église cathédrale du diocèse catholique de Picardie - était le plat contenant la tête de saint Jean-Baptiste, dont les hiérarques célébraient la fête en cette Divine Liturgie.
A cette occasion, sont venus à Amiens Mgr Nestor de Chersonèse, et une délégation du diocèse de Kherson dirigée par l'archevêque Jean de Kherson et de Tauride (Ndlr : diocèse de l'Eglise orthodoxe d'Ukraine / Patriarcat de Moscou).
En ce jour sur l'autel central de la cathédrale Notre-Dame d'Amiens - église cathédrale du diocèse catholique de Picardie - était le plat contenant la tête de saint Jean-Baptiste, dont les hiérarques célébraient la fête en cette Divine Liturgie.
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