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V! Golovanow
Chroniques d'Abitibi 6 :En attendant de poursuivre son autobiographie, le père Georges propose cette réflexion sur cette forme bien peu reconnue de l'engagement orthodoxe.
«Saint Séraphin de Sarov disait qu'aucun coup de torchon fait pour l'amour de Dieu, dans une église, ne sera oublié ! »
Aujourd'hui, la grande difficulté est de trouver des personnes qui veulent bien s'engager. On veut bien parler de l'Orthodoxie, mais de là à faire concrètement quelque chose, il y a un pas… De plus en plus, chacun passe du temps à « chatter » sur Internet, enfermé dans sa bulle. Le risque, c'est de préférer un écran, aux véritables relations humaines, tellement plus riches pourtant. Nous parlons d'engagement : mais de quel engagement s'agit-il au juste ? Un jour, lisant le Synaxaire, je suis tombé sur la vie de saint Érasme de Kiev (+ vers 1160, commémoré le 24 février).
Son exemple m'a frappé. Saint Érasme passa sa vie à embellir les églises de Dieu, à couvrir les icônes de rizas, à offrir aux sanctuaires des vases sacrés et des accessoires du culte. Mais, comme le dit le Synaxaire, vers la fin de sa vie, « il fut assailli par des pensées qui lui reprochaient d'avoir dilapidé en vain ses richesses pour les églises, au lieu d'en faire profiter les pauvres ». Le Synaxaire précise qu’il prêta attention à ces idées négatives, car il était « insuffisamment exercé à la lutte contre les pensées ». Le discernement appliqué aux pensées est effectivement une science subtile et profonde. En proie au doute, Saint Érasme tomba dans ce que l'on appelle aujourd'hui une dépression nerveuse.
Chroniques d'Abitibi 6 :En attendant de poursuivre son autobiographie, le père Georges propose cette réflexion sur cette forme bien peu reconnue de l'engagement orthodoxe.
«Saint Séraphin de Sarov disait qu'aucun coup de torchon fait pour l'amour de Dieu, dans une église, ne sera oublié ! »
Aujourd'hui, la grande difficulté est de trouver des personnes qui veulent bien s'engager. On veut bien parler de l'Orthodoxie, mais de là à faire concrètement quelque chose, il y a un pas… De plus en plus, chacun passe du temps à « chatter » sur Internet, enfermé dans sa bulle. Le risque, c'est de préférer un écran, aux véritables relations humaines, tellement plus riches pourtant. Nous parlons d'engagement : mais de quel engagement s'agit-il au juste ? Un jour, lisant le Synaxaire, je suis tombé sur la vie de saint Érasme de Kiev (+ vers 1160, commémoré le 24 février).
Son exemple m'a frappé. Saint Érasme passa sa vie à embellir les églises de Dieu, à couvrir les icônes de rizas, à offrir aux sanctuaires des vases sacrés et des accessoires du culte. Mais, comme le dit le Synaxaire, vers la fin de sa vie, « il fut assailli par des pensées qui lui reprochaient d'avoir dilapidé en vain ses richesses pour les églises, au lieu d'en faire profiter les pauvres ». Le Synaxaire précise qu’il prêta attention à ces idées négatives, car il était « insuffisamment exercé à la lutte contre les pensées ». Le discernement appliqué aux pensées est effectivement une science subtile et profonde. En proie au doute, Saint Érasme tomba dans ce que l'on appelle aujourd'hui une dépression nerveuse.
Rédigé par Vladimir GOLOVANOW le 17 Mai 2013 à 10:49
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Par Lidia Orlova
« A l’ombre de la Loubianka » est le titre d’un livre consacré à la vie des prêtres de la paroisse catholique Saint Louis des Français à Moscou. Le livre comprend les souvenirs du père Léopold Brown ainsi que des extraits de dossiers d’investigation de la NKVD.
«En Russie nous ferons de vous un bon communiste », c’est par ces paroles qu’un garde-frontières soviétique a accueilli le prêtre à son passage de la frontière polonaise. Les mémoires du père Brown avaient déjà été éditées sous le titre « Ne pas oublier ces douze années en Russie ». Citoyen des Etats-Unis, le père Léopold est arrivé en URSS en 1934, affecté aumônier auprès de l’ambassade de son pays. De 1935 à 1945 le père Brown est resté l’unique prêtre catholique « enregistré » en République socialiste soviétique de Russie. Cela s’explique en grande partie par le statut qui était celui de la paroisse Saint Louis des Français, rue Malaya Loubianka, dont le père Brown a été le recteur pendant dix ans. Les personnels des ambassades à Moscou fréquentaient cette paroisse. A Leningrad les fonctions « d’église pour diplomates et de preuve de la liberté de conscience dans le pays » étaient attribuées à l’église Notre-Dame-de-Lourdes
« Les autorités du pays me considéraient comme un appendice du corps diplomatique et se disaient qu’en fonction du principe de la rotation je serai relevé au plus tard dans trois ou quatre ans », dit le père Léopold (p.97).
« A l’ombre de la Loubianka » est le titre d’un livre consacré à la vie des prêtres de la paroisse catholique Saint Louis des Français à Moscou. Le livre comprend les souvenirs du père Léopold Brown ainsi que des extraits de dossiers d’investigation de la NKVD.
«En Russie nous ferons de vous un bon communiste », c’est par ces paroles qu’un garde-frontières soviétique a accueilli le prêtre à son passage de la frontière polonaise. Les mémoires du père Brown avaient déjà été éditées sous le titre « Ne pas oublier ces douze années en Russie ». Citoyen des Etats-Unis, le père Léopold est arrivé en URSS en 1934, affecté aumônier auprès de l’ambassade de son pays. De 1935 à 1945 le père Brown est resté l’unique prêtre catholique « enregistré » en République socialiste soviétique de Russie. Cela s’explique en grande partie par le statut qui était celui de la paroisse Saint Louis des Français, rue Malaya Loubianka, dont le père Brown a été le recteur pendant dix ans. Les personnels des ambassades à Moscou fréquentaient cette paroisse. A Leningrad les fonctions « d’église pour diplomates et de preuve de la liberté de conscience dans le pays » étaient attribuées à l’église Notre-Dame-de-Lourdes
« Les autorités du pays me considéraient comme un appendice du corps diplomatique et se disaient qu’en fonction du principe de la rotation je serai relevé au plus tard dans trois ou quatre ans », dit le père Léopold (p.97).
Il a fallu six mois environ à une équipe de trois iconographes venus de Moscou pour décorer de fresques le grand réfectoire de notre Séminaire, dans la Maison Sainte-Geneviève à Épinay-sous-Sénart. La même équipe a peint les fresques dans la nef de la chapelle. Le résultat est d'une grande beauté.
Vous pouvez visiter le réfectoire et admirer ces fresques, en vous rendant au séminaire aux heures habituelles d'ouverture. Un de nos séminaristes, de service à l'accueil, vous le fera visiter.
Vous pouvez visiter le réfectoire et admirer ces fresques, en vous rendant au séminaire aux heures habituelles d'ouverture. Un de nos séminaristes, de service à l'accueil, vous le fera visiter.
L'auteur, artiste peintre et écrivain - X.Krivocheine, parle de la France orthodoxe, des saintes reliques qui s'y trouvent, de la vie des Russes blancs, de leurs efforts pour maintenir leurs traditions et leur culture. De la vénération des saints russes en Europe. Est-ce que les Français sont heureux de vivre dans les conditions d'une laïcité et d'une permissivité triomphantes? L'art devenu un refuge pour les croyants en ex-URSS....
"C'est un livre inspiré par des ouvrages historiques et spirituels, par mon vécu et mes observations. L'émigration ne peut exister que dans la mesure où ses repères se situent dans la patrie qu'elle a du quitter. Si le centre de gravité de son existence se déplace vers le pays d'accueil il nous faut parler d'immigration. Il s'en suit rapidement assimilation et intégration" Site "Prichod.ru"
Ксения Кривошеина "Пути Господни" Editions SATIS, 2012- Saint Pétersbourg
En vente à la librairie "Les Editeurs Réunis"- Paris
"C'est un livre inspiré par des ouvrages historiques et spirituels, par mon vécu et mes observations. L'émigration ne peut exister que dans la mesure où ses repères se situent dans la patrie qu'elle a du quitter. Si le centre de gravité de son existence se déplace vers le pays d'accueil il nous faut parler d'immigration. Il s'en suit rapidement assimilation et intégration" Site "Prichod.ru"
Ксения Кривошеина "Пути Господни" Editions SATIS, 2012- Saint Pétersbourg
En vente à la librairie "Les Editeurs Réunis"- Paris
Chers amis,
Nous avons le plaisir de vous faire part de la naissance d’une nouvelle Association sur Marseille et région dénommée Anne de Kiev Reine de France destinée à mieux connaître les profondes racines culturelles communes aux peuples européens de l’est et de l’ouest, c’est-à-dire principalement la Russie et la France
Nous voudrions vous inviter à la première conférence de l’Association qui portera sur les dernières recherches scientifiques du LINCEUL de TURIN, patrimoine culturel de l’humanité et qui aura lieu le vendredi 26 avril 2013 à 19 heures dans l’Amphi Grisoli de la Faculté de Médecine à Marseille
Ce sera une occasion exceptionnelle de méditation sur la Sainte Résurrection de notre Seigneur Jésus Christ à l’orée de la Semaine Sainte. Veuillez voir dans les fichiers ci-joints l’affiche de la conférence, la biographie d'Anne de Kiev et les formulaires d'adhésion à l’Association. Infos et réservations sont sur le SITE
Président de l’Association
Père Jean Gautier
Nous avons le plaisir de vous faire part de la naissance d’une nouvelle Association sur Marseille et région dénommée Anne de Kiev Reine de France destinée à mieux connaître les profondes racines culturelles communes aux peuples européens de l’est et de l’ouest, c’est-à-dire principalement la Russie et la France
Nous voudrions vous inviter à la première conférence de l’Association qui portera sur les dernières recherches scientifiques du LINCEUL de TURIN, patrimoine culturel de l’humanité et qui aura lieu le vendredi 26 avril 2013 à 19 heures dans l’Amphi Grisoli de la Faculté de Médecine à Marseille
Ce sera une occasion exceptionnelle de méditation sur la Sainte Résurrection de notre Seigneur Jésus Christ à l’orée de la Semaine Sainte. Veuillez voir dans les fichiers ci-joints l’affiche de la conférence, la biographie d'Anne de Kiev et les formulaires d'adhésion à l’Association. Infos et réservations sont sur le SITE
Président de l’Association
Père Jean Gautier
La présentation du livre « Notre foi et la vie de quelques nouveaux martyrs et confesseurs russes » a eu lieu le 15 avril dans le centre de presse du quotidien « Vetchenija Moskva ».
Dans son allocution Mgr Clément, métropolite de Kaluga, président du Conseil de l’édition de l’Eglise Orthodoxe Russe, a souligné que le livre sera distribué gratuitement pour que le plus grand nombre puisse connaître les exploits de nos compatriotes qui ont souffert pour la foi. Il a rappelé les dures conditions dans lesquelles l’Eglise avait vécu ainsi que l’exploit accompli par le clergé et les fidèles.
« Nous devons connaître le prix qui a dû être payé pour préserver notre foi et la culture orthodoxes ». Le métropolite Clément a exprimé l’espoir que le livre renforcerait les fidèles dans leur foi. Selon Irina Kovaleva, de la chaire d’histoire de l’Eglise Orthodoxe Russe du XXème siècle auprès de l’Université Orthodoxe Saint Tikhon, la vénération commence grâce au savoir. Elle a remercié le métropolite Clément pour avoir édité le livre, fruit de longues années de travail devenu accessible au public.
Dans son allocution Mgr Clément, métropolite de Kaluga, président du Conseil de l’édition de l’Eglise Orthodoxe Russe, a souligné que le livre sera distribué gratuitement pour que le plus grand nombre puisse connaître les exploits de nos compatriotes qui ont souffert pour la foi. Il a rappelé les dures conditions dans lesquelles l’Eglise avait vécu ainsi que l’exploit accompli par le clergé et les fidèles.
« Nous devons connaître le prix qui a dû être payé pour préserver notre foi et la culture orthodoxes ». Le métropolite Clément a exprimé l’espoir que le livre renforcerait les fidèles dans leur foi. Selon Irina Kovaleva, de la chaire d’histoire de l’Eglise Orthodoxe Russe du XXème siècle auprès de l’Université Orthodoxe Saint Tikhon, la vénération commence grâce au savoir. Elle a remercié le métropolite Clément pour avoir édité le livre, fruit de longues années de travail devenu accessible au public.
V.GOLOVANOW
Chroniques d'Abitibi 4
Nous avons laissé le père Georges, jeune hiéromoine avec "des trous béants dans sa formation théologique et connaissant fort peu de choses concernant la Tradition orthodoxe " cf. Chroniques d'Abitibi 2" résolu à commencer les études à l'Institut Saint Serge. Dans la chronique suivante il nous raconte ses études et sa découverte des paroisses de l'émigration vues par un jeune hiéromoine venu du catholicisme; une perception inversée de celle que pouvait donner dans son interview le père David Shevchenko prédécesseur du père Georges en Abitibi…Je passe la plume au père Georges.
L'Institut Saint Serge
Situons-nous dans le temps: nous sommes dans les années 80 du XXe siècle. Après mon service militaire, je me présente à l'Institut Saint Serge pour y accomplir le cycle d'études théologiques. Le Père Dimitri Hvostoff - le prêtre qui m'avait accueilli dans l'Orthodoxie Cf. "Un-changement-d'époque" - m'avait décrit l'Institut sous les traits les plus noirs. Il est vrai qu'il avait lui-même fait ses études en cet Institut, juste après la deuxième guerre mondiale.
Chroniques d'Abitibi 4
Nous avons laissé le père Georges, jeune hiéromoine avec "des trous béants dans sa formation théologique et connaissant fort peu de choses concernant la Tradition orthodoxe " cf. Chroniques d'Abitibi 2" résolu à commencer les études à l'Institut Saint Serge. Dans la chronique suivante il nous raconte ses études et sa découverte des paroisses de l'émigration vues par un jeune hiéromoine venu du catholicisme; une perception inversée de celle que pouvait donner dans son interview le père David Shevchenko prédécesseur du père Georges en Abitibi…Je passe la plume au père Georges.
L'Institut Saint Serge
Situons-nous dans le temps: nous sommes dans les années 80 du XXe siècle. Après mon service militaire, je me présente à l'Institut Saint Serge pour y accomplir le cycle d'études théologiques. Le Père Dimitri Hvostoff - le prêtre qui m'avait accueilli dans l'Orthodoxie Cf. "Un-changement-d'époque" - m'avait décrit l'Institut sous les traits les plus noirs. Il est vrai qu'il avait lui-même fait ses études en cet Institut, juste après la deuxième guerre mondiale.
V.GOLOVANOW - Chroniques d'Abitibi 3
Comme je l'écrivais dans "Chroniques d'Abitibi 1", j'avais demandé au père George de retracer le parcours qui l'a amené de Belgique au fin fond du Canada. J'en ai posté le début dans "Chroniques d'Abitibi 2", où il raconte le "Changement d'époque" (sic) qu'il a vécu entre la fin de la guerre et les années 1980 en Europe occidental.
Dans son courriel suivant il m'écrit:
"Oui, j'écris la suite, qui traite de mes études à Saint-Serge, de mes expériences dans les paroisses de l'émigration à l'époque, et ensuite de mon départ au Canada. Malgré tout, il me faudra un peu de temps pour mettre tout cela sur «papier virtuel»… En attendant, c'est une excellente idée que de publier, un extrait de "une Interview du Père David Shevchenko". Peut-être cela intéressera-t-il quelques personnes, car il s'agit d'un prêtre russe, dont la trajectoire fut remarquable." Le père David précéda le père George en Abitibi et cette interview se trouve sur le site que le père George a réalisé.
" Il nous a paru intéressant de mettre à la disposition de chacun ce texte qui nous présente la personnalité du père David Shevchenko, est-il écrit en introduction. Le journaliste qui a fait l'entrevue nous donne un point de vue très enthousiaste : sans nul doute, il a été frappé par la personnalité marquante du père David. Les opinions exprimées dans cet article ne reflètent pas nécessairement celle de l'auteur du site ; les opinions politiques du père David doivent bien sûr être replacées dans le contexte socioculturel de l'époque /1972, en pleine Guerre froide/. Depuis ce temps, le monde a considérablement changé !" Voici un extrait du texte :
Comme je l'écrivais dans "Chroniques d'Abitibi 1", j'avais demandé au père George de retracer le parcours qui l'a amené de Belgique au fin fond du Canada. J'en ai posté le début dans "Chroniques d'Abitibi 2", où il raconte le "Changement d'époque" (sic) qu'il a vécu entre la fin de la guerre et les années 1980 en Europe occidental.
Dans son courriel suivant il m'écrit:
"Oui, j'écris la suite, qui traite de mes études à Saint-Serge, de mes expériences dans les paroisses de l'émigration à l'époque, et ensuite de mon départ au Canada. Malgré tout, il me faudra un peu de temps pour mettre tout cela sur «papier virtuel»… En attendant, c'est une excellente idée que de publier, un extrait de "une Interview du Père David Shevchenko". Peut-être cela intéressera-t-il quelques personnes, car il s'agit d'un prêtre russe, dont la trajectoire fut remarquable." Le père David précéda le père George en Abitibi et cette interview se trouve sur le site que le père George a réalisé.
" Il nous a paru intéressant de mettre à la disposition de chacun ce texte qui nous présente la personnalité du père David Shevchenko, est-il écrit en introduction. Le journaliste qui a fait l'entrevue nous donne un point de vue très enthousiaste : sans nul doute, il a été frappé par la personnalité marquante du père David. Les opinions exprimées dans cet article ne reflètent pas nécessairement celle de l'auteur du site ; les opinions politiques du père David doivent bien sûr être replacées dans le contexte socioculturel de l'époque /1972, en pleine Guerre froide/. Depuis ce temps, le monde a considérablement changé !" Voici un extrait du texte :
Révérend Père, Madame, Monsieur,
A l’occasion de la parution de son livre en français, “Père RafaÏl et autres saints de tous les jours" publié aux éditions des Syrthes, la librairie "LA PROCURE" a le plaisir d’accueillir le mercredi 3 avril 2013 de 20 h 00 à 21 h 30 pour une soirée exceptionnelle l’Archimandrite TIKHON, supérieur du monastère Sretensky de Moscou.
Pour information, l’entrée est libre mais sur inscription obligatoire.
Tel. 01 45 48 20 25
Vous trouverez ci-joint l’invitation et l’affiche.
A l’occasion de la parution de son livre en français, “Père RafaÏl et autres saints de tous les jours" publié aux éditions des Syrthes, la librairie "LA PROCURE" a le plaisir d’accueillir le mercredi 3 avril 2013 de 20 h 00 à 21 h 30 pour une soirée exceptionnelle l’Archimandrite TIKHON, supérieur du monastère Sretensky de Moscou.
Pour information, l’entrée est libre mais sur inscription obligatoire.
Tel. 01 45 48 20 25
Vous trouverez ci-joint l’invitation et l’affiche.
invit Procure Syrtes père Tikhon HD-1.pdf
(443.3 Ko)
Affiche GS Archimandrite Tikhon 3 avril 2013.pdf (567.14 Ko)
Affiche GS Archimandrite Tikhon 3 avril 2013.pdf (567.14 Ko)
Semion Kvacha
Ils ont fui la Russie au XVIIème siècle, ont été persécutés par le pouvoir, se sont interdits le mariage et les sacrements de l’Église, ont créé plusieurs courants, ont constitué un moteur du capitalisme russe au début du XXème siècle et ont malgré tout conservé leurs traditions jusqu’à nos jours. Ces gens n’ont pas accepté les nouvelles coutumes de l’Église introduites au XVIIème siècle. Il s’agit des « staroobriadtsy » (« vieux croyants »).
En Bouriatie, région russe proche du lac Baïkal, la majorité de la population parle une langue proche du mongole et est bouddhiste. Mais elle abrite également des villages russophones et, si vous vous y rendez un jour de fête, vous verrez des femmes habillées de robes ornées de broderies et dont les vêtements ont parfois jusqu’à 200 ans. Le paysage change même avant d’entrer dans le village : de vastes champs de blé remplacent en effet les pâturages et terrains vagues
Ils ont fui la Russie au XVIIème siècle, ont été persécutés par le pouvoir, se sont interdits le mariage et les sacrements de l’Église, ont créé plusieurs courants, ont constitué un moteur du capitalisme russe au début du XXème siècle et ont malgré tout conservé leurs traditions jusqu’à nos jours. Ces gens n’ont pas accepté les nouvelles coutumes de l’Église introduites au XVIIème siècle. Il s’agit des « staroobriadtsy » (« vieux croyants »).
En Bouriatie, région russe proche du lac Baïkal, la majorité de la population parle une langue proche du mongole et est bouddhiste. Mais elle abrite également des villages russophones et, si vous vous y rendez un jour de fête, vous verrez des femmes habillées de robes ornées de broderies et dont les vêtements ont parfois jusqu’à 200 ans. Le paysage change même avant d’entrer dans le village : de vastes champs de blé remplacent en effet les pâturages et terrains vagues
Mardi 19 mars, s’est tenue dans la Maison Pachkov, sur l’air de la 40ème symphonie de Mozart et en présence de l’ambassadeur de Belgique en Russie et des membres de l’Union de la noblesse russe de Moscou, l’inauguration de la collection de lettres et de pièces autographes signées de la famille Romanov.
Plus de 60 pièces provenant de la collection privée de Monsieur Christophe de Fierlant Dormer ainsi que de celle du département des manuscrits de la Bibliothèque nationale de Russie. Ceux qui pensent que les manuscrits sont d’un ennuyeux auraient été surpris de voir les visiteurs absobés par la lecture des certificats de noblesse rédigés de la main même de Nicolas II ou s’efforçant de déchiffrer l’écriture alambiquée de Maria Feodorovna dans une lettre à son amie la princesse Gagarine. La lettre de la fille du tsar de 11 ans, Anastasia Nikolaevna, adressée à son amie Choura, illustrée d’un dessin amusant, avait de quoi faire sourire, tandis que la carte de voeux faite par le jeune prince Michel, de quoi toucher les coeurs sensibles.
Plus de 60 pièces provenant de la collection privée de Monsieur Christophe de Fierlant Dormer ainsi que de celle du département des manuscrits de la Bibliothèque nationale de Russie. Ceux qui pensent que les manuscrits sont d’un ennuyeux auraient été surpris de voir les visiteurs absobés par la lecture des certificats de noblesse rédigés de la main même de Nicolas II ou s’efforçant de déchiffrer l’écriture alambiquée de Maria Feodorovna dans une lettre à son amie la princesse Gagarine. La lettre de la fille du tsar de 11 ans, Anastasia Nikolaevna, adressée à son amie Choura, illustrée d’un dessin amusant, avait de quoi faire sourire, tandis que la carte de voeux faite par le jeune prince Michel, de quoi toucher les coeurs sensibles.
Le monastère Novospassky conjointement avec les éditions de la métropole de Saratov ont publié un recueil « Le procès de 1918 – 1919 contre le clergé de Saratov ».
Les recherches ont été effectuées par A. Mramornov, secrétaire du Conseil scientifique de l’Ecole supérieure de théologie Saint Cyrille et Méthode. Les Archives d’Etat de la région de Saratov ont également contribué à l’élaboration du recueil.
L’ouvrage est préfacé par le métropolite Hilarion, recteur de l’école supérieure de théologie, Président du département des relations ecclésiastiques extérieures ainsi que par le professeur Serge Mironenko, directeur des Archives d’Etat de la Fédération de Russie.
Le livre contient des documents relatifs à l’enquête, au jugement,à la révision de la sentence et à la réhabilitation des religieux. Le procès devait juger des « crimes » contre-révolutionnaires qu’auraient commis le prêtre Michel Platonov recteur de l’une des cathédrales de Saratov , célèbre prédicateur et saint martyr, par Monseigneur Germain (Kosolapov) récemment canonisé et les membres du conseil diocésain.
Les recherches ont été effectuées par A. Mramornov, secrétaire du Conseil scientifique de l’Ecole supérieure de théologie Saint Cyrille et Méthode. Les Archives d’Etat de la région de Saratov ont également contribué à l’élaboration du recueil.
L’ouvrage est préfacé par le métropolite Hilarion, recteur de l’école supérieure de théologie, Président du département des relations ecclésiastiques extérieures ainsi que par le professeur Serge Mironenko, directeur des Archives d’Etat de la Fédération de Russie.
Le livre contient des documents relatifs à l’enquête, au jugement,à la révision de la sentence et à la réhabilitation des religieux. Le procès devait juger des « crimes » contre-révolutionnaires qu’auraient commis le prêtre Michel Platonov recteur de l’une des cathédrales de Saratov , célèbre prédicateur et saint martyr, par Monseigneur Germain (Kosolapov) récemment canonisé et les membres du conseil diocésain.
La Russie et la France ont formé un groupe de travail conjoint chargé d'examiner le projet de construction d'un centre spirituel et culturel russe sur le quai Branly, à Paris, a annoncé lundi le ministère français des Affaires étrangères.
"Un groupe de travail conjoint franco-russe a été créé pour assurer le suivi du projet de centre spirituel et culturel orthodoxe russe à toutes les étapes clés de son processus afin de pouvoir vérifier s'il respecte à la fois les attentes de la Fédération de Russie et de l'Église orthodoxe russe, d'une part, mais aussi les exigences du droit français dans le domaine de l'urbanisme et de la protection du patrimoine, d'autre part. La première réunion du groupe de travail a eu lieu le 5 mars dernier à Paris", a indiqué le ministère dans un communiqué. SUITE Ria novosti
"Un groupe de travail conjoint franco-russe a été créé pour assurer le suivi du projet de centre spirituel et culturel orthodoxe russe à toutes les étapes clés de son processus afin de pouvoir vérifier s'il respecte à la fois les attentes de la Fédération de Russie et de l'Église orthodoxe russe, d'une part, mais aussi les exigences du droit français dans le domaine de l'urbanisme et de la protection du patrimoine, d'autre part. La première réunion du groupe de travail a eu lieu le 5 mars dernier à Paris", a indiqué le ministère dans un communiqué. SUITE Ria novosti
Jeudi à Moscou, François Hollande confirmera à Vladimir Poutine que l'église verra bien le jour. L'architecte français Jean-Michel Wilmotte va présenter un nouveau projet .
Depuis, les Russes - Vladimir Poutine tiendrait particulièrement à cet ensemble, dont il souhaite qu'il marque l'époque - se sont remis au travail et ont demandé à l'architecte français Jean-Michel Wilmotte de revoir entièrement l'église. «Il avait été envisagé de retravailler l'ancien projet, mais c'était trop compliqué ; et nous sommes repartis de zéro», explique ce dernier. Il sera épaulé par deux confrères russes, qui veilleront à respecter l'orthodoxie du projet à l'intérieur du bâtiment, sous la haute surveillance des popes.
Depuis, les Russes - Vladimir Poutine tiendrait particulièrement à cet ensemble, dont il souhaite qu'il marque l'époque - se sont remis au travail et ont demandé à l'architecte français Jean-Michel Wilmotte de revoir entièrement l'église. «Il avait été envisagé de retravailler l'ancien projet, mais c'était trop compliqué ; et nous sommes repartis de zéro», explique ce dernier. Il sera épaulé par deux confrères russes, qui veilleront à respecter l'orthodoxie du projet à l'intérieur du bâtiment, sous la haute surveillance des popes.
« Mémoire des deux mondes. De la Révolution à l’Église captive »
Avant de commencer mon intervention, permettez-moi de vous faire part d’une anecdote qui m’a été racontée à Oxford au sujet de Mgr Basile Krivochéine. Comme vous le savez, ce dernier fut recteur de la paroisse orthodoxe russe d’Oxford de 1951 à 1959.
On raconte que Mgr Basile commettait régulièrement une faute en anglais lorsqu’il célébrait la panychide, l’office des défunts. Lorsque le prêtre demande dans la prière de faire reposer l’âme du défunt « dans un lieu de lumière, dans un lieu de verdure, dans un lieu de fraîcheur », Mgr Basile disait « dans un lieu de rafraîchissements » ! En anglais, il suffit d’ajouter un « s » pour changer le sens de ce dernier terme.
Si je me permets de vous raconter cette anecdote, c’est d’une part pour vous dire que si le Royaume de Dieu est bel est bien « un lieu de rafraîchissements », alors Mgr Basile n’a rien à nous envier pour la réunion d’aujourd’hui.Par ailleurs, c’est pour faire un clin d’œil aux canapés de caviar servis pour accompagner la vodka qui coulait à flot chez Mgr Nicodème Rotov, de qui il est abondamment question dans le livre qui est l’objet de notre savante assemblée d’aujourd’hui
Avant de commencer mon intervention, permettez-moi de vous faire part d’une anecdote qui m’a été racontée à Oxford au sujet de Mgr Basile Krivochéine. Comme vous le savez, ce dernier fut recteur de la paroisse orthodoxe russe d’Oxford de 1951 à 1959.
On raconte que Mgr Basile commettait régulièrement une faute en anglais lorsqu’il célébrait la panychide, l’office des défunts. Lorsque le prêtre demande dans la prière de faire reposer l’âme du défunt « dans un lieu de lumière, dans un lieu de verdure, dans un lieu de fraîcheur », Mgr Basile disait « dans un lieu de rafraîchissements » ! En anglais, il suffit d’ajouter un « s » pour changer le sens de ce dernier terme.
Si je me permets de vous raconter cette anecdote, c’est d’une part pour vous dire que si le Royaume de Dieu est bel est bien « un lieu de rafraîchissements », alors Mgr Basile n’a rien à nous envier pour la réunion d’aujourd’hui.Par ailleurs, c’est pour faire un clin d’œil aux canapés de caviar servis pour accompagner la vodka qui coulait à flot chez Mgr Nicodème Rotov, de qui il est abondamment question dans le livre qui est l’objet de notre savante assemblée d’aujourd’hui
En vente à la librairie "Les Editeurs Réunis"
Mgr Basile (Krivochéine) des « Œuvres théologiques » "Богословские Труды"
Xenia Krivochéine "Les voies du Seigneur", Ксения Кривошеина "Пути Господни" Editions SATIS, Saint Pétersbourg
Mgr Basile (Krivochéine) des « Œuvres théologiques » "Богословские Труды"
Xenia Krivochéine "Les voies du Seigneur", Ксения Кривошеина "Пути Господни" Editions SATIS, Saint Pétersbourg
Dimanche 17 février 2013 à France 2, à partir de 9 H 30, sera diffusée une émission de la série “Orthodoxie” ICI (producteur : p. Nicolas Ozoline ; réalisateur : Jean-Pierre Bonneau), consacrée à l’église Saint-Serge à Paris.
Cyril Semenoff-Tian-Chansky intervient pour parler de la décoration de l’église, réalisée en 1925-1927 par l’artiste et peintre d’icône D. S. Stelletsky 1875-1947
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" PO" "IZVESTIA" - une interview avec le père Nicolas Ozoline à propos de la destruction des fresques à Saint Serge
Cyril Semenoff-Tian-Chansky intervient pour parler de la décoration de l’église, réalisée en 1925-1927 par l’artiste et peintre d’icône D. S. Stelletsky 1875-1947
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" PO" "IZVESTIA" - une interview avec le père Nicolas Ozoline à propos de la destruction des fresques à Saint Serge
"FOMA"
Vladimlr Gourbolikov
La paroisse Saint Jean de Cronstadt à Hambourg est l’une des communautés les plus jeunes et les plus actives de l’Eglise orthodoxe russe en Allemagne. Par l’embellissement de son église, qui allie différents styles de l’architecture religieuse, la paroisse aspire à trouver une alliance fidèle des traditions de fresque et décoration orientale et occidentale, tout en utilisant les technologie les plus anciennes et contemporaines.
L’église Saint Jean de Cronstadt a été construite au début du XX siècle dans le style néo roman, qui dominait dans l’architecture chrétienne avant la séparation des églises, avec quelques éléments issus de l’architecture géorgienne et arménienne.
Il y a ici beaucoup de lumière : l’édifice est abondamment éclairé par une immense fenêtre. Une iconostase russe classique, avec des icônes peintes sur fonds d'or, ne serait pas ici à sa place : on ne distinguerait que de sombres silhouettes sur un fond brillant.
Alexandre Nicolaïevitch Soldatov auteur du projet de l’iconostase de l’église, a choisi de privilégier la peinture de fresque.
Vladimlr Gourbolikov
La paroisse Saint Jean de Cronstadt à Hambourg est l’une des communautés les plus jeunes et les plus actives de l’Eglise orthodoxe russe en Allemagne. Par l’embellissement de son église, qui allie différents styles de l’architecture religieuse, la paroisse aspire à trouver une alliance fidèle des traditions de fresque et décoration orientale et occidentale, tout en utilisant les technologie les plus anciennes et contemporaines.
L’église Saint Jean de Cronstadt a été construite au début du XX siècle dans le style néo roman, qui dominait dans l’architecture chrétienne avant la séparation des églises, avec quelques éléments issus de l’architecture géorgienne et arménienne.
Il y a ici beaucoup de lumière : l’édifice est abondamment éclairé par une immense fenêtre. Une iconostase russe classique, avec des icônes peintes sur fonds d'or, ne serait pas ici à sa place : on ne distinguerait que de sombres silhouettes sur un fond brillant.
Alexandre Nicolaïevitch Soldatov auteur du projet de l’iconostase de l’église, a choisi de privilégier la peinture de fresque.
Originaire d’un petit village du sud de la Belgique, situé à quelques mètres de la frontière française, Jean-François Thiry est entré en Russie par la grande porte : celle de la langue et de la chrétienté. Rencontre avec un homme pas comme les autres – si tant est que les Belges puissent être comme tout le monde –, directeur du Centre culturel Prokrovskye Vorota et qui vit à Moscou dans un appartement communautaire.
Le Courrier de Russie : Pourquoi le russe ?
Jean-François Thiry : J’ai étudié à l’institut libre Marie Haps de Bruxelles la traduction russe-anglais. Le choix du russe fut le fruit du hasard, il ne s’inscrivait pas dans un parcours professionnel – je voulais simplement étudier les langues, je pensais que c’était un bon moyen de rencontrer des cultures, de connaître les gens en profondeur. J’étais plutôt parti pour faire de l’espagnol : on était en 1985 et personne n’imaginait que la Russie s’ouvrirait. Mais un ami m’a dit : « On ne sait jamais ! », et j’ai suivi son conseil. Finalement, j’ai été tellement lent à étudier – j’ai mis six ans au lieu de quatre – que quand j’ai eu terminé en 1991, il était devenu tout à fait possible de vivre en Russie.
Le Courrier de Russie : Pourquoi le russe ?
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... Fondra-t-elle cette neige,
Quand la mort viendra nous prendre ?
Connaîtrons-nous d’autres neiges,
D’autres roses plus parfaites ?
Sur nous la paix viendra-t-elle
Comme Jésus nous l’enseigne ?
Ou bien n’aurons-nous jamais
La solution du problème ?
Garcia Lorca, «Chanson d'automne»
Le 7 février, la veille de la fête de la Sainte Rencontre, un concert a eu lieu dans la Grande salle du Conservatoire de Moscou.
Sa deuxième partie comporte deux œuvres du métropolite Hilarion (Alfeev) interprétées pour la première fois, « La Fugue sur le motif B.A.C.H. » et le cycle « Les Chants de la mort ». Le futur métropolite avait mis en musique quelques poèmes de son auteur favori Garcia Lorca, mais ces créations de jeunesse ont vite été oubliées. Quelques années plus tard il écrivit d’importantes œuvres comme : « La Passion selon Saint Matthieu », « L’Oratorio de Noël », « La Veillée Nocturne », « Le Chant de l’Ascension ».
Quand la mort viendra nous prendre ?
Connaîtrons-nous d’autres neiges,
D’autres roses plus parfaites ?
Sur nous la paix viendra-t-elle
Comme Jésus nous l’enseigne ?
Ou bien n’aurons-nous jamais
La solution du problème ?
Garcia Lorca, «Chanson d'automne»
Le 7 février, la veille de la fête de la Sainte Rencontre, un concert a eu lieu dans la Grande salle du Conservatoire de Moscou.
Sa deuxième partie comporte deux œuvres du métropolite Hilarion (Alfeev) interprétées pour la première fois, « La Fugue sur le motif B.A.C.H. » et le cycle « Les Chants de la mort ». Le futur métropolite avait mis en musique quelques poèmes de son auteur favori Garcia Lorca, mais ces créations de jeunesse ont vite été oubliées. Quelques années plus tard il écrivit d’importantes œuvres comme : « La Passion selon Saint Matthieu », « L’Oratorio de Noël », « La Veillée Nocturne », « Le Chant de l’Ascension ».
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