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Le Département de l’information de l’Église orthodoxe ukrainienne (patriarcat de Moscou) déclare qu’on s’efforce d’empêcher les fidèles de l’Église orthodoxe ukrainienne de prendre part à l’office d’actions de grâce et à la procession dans Kiev le 27 juillet en interdisant à tous transporteurs de l’arrondissement Ovruchskiy ( région de Jitomir) tout déplacement vers Kiev ce jour-là.
En revanche les déplacements des fidèles de l’église schismatique du « patriarcat de Kiev » sont organisés par les administrations locales qui mettent des cars à leur disposition. Pour le 28 juillet, on a donné aux administrations locales des instructions comminatoires pour qu’elles recueillent des fonds auprès des chefs d’entreprise et transportent dans les cars tous leurs fonctionnaires jusqu’à Philarète. Tout cela pour montrer à la télévision que le « patriarcat de Kiev » est soutenu par la majorité des Ukrainiens.
En revanche les déplacements des fidèles de l’église schismatique du « patriarcat de Kiev » sont organisés par les administrations locales qui mettent des cars à leur disposition. Pour le 28 juillet, on a donné aux administrations locales des instructions comminatoires pour qu’elles recueillent des fonds auprès des chefs d’entreprise et transportent dans les cars tous leurs fonctionnaires jusqu’à Philarète. Tout cela pour montrer à la télévision que le « patriarcat de Kiev » est soutenu par la majorité des Ukrainiens.
Rédigé par Parlons D'orthodoxie le 24 Juillet 2018 à 13:25
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La légende veut que l’apôtre André le Premier nommé aie été crucifié sur une croix en X dans la ville grecque de Patras. Saint André est le protecteur céleste de Kiev. C’est de là qu’il a atteint les îles de Valaam.
L’icône miraculeuse contenant une particule des reliques du saint ainsi qu’une parcelle de la croix sur laquelle il a subi le martyre provenant du monastère de Patras viendra de Grèce à Kiev empruntant l’itinéraire naguère parcouru par l’apôtre. La plus grande partie de ce chemin passe par le Dniepr.
L’icône a été peinte par les moniales du cloître Saint André à Patras
Из Греции в Киев по Днепру привезут икону апостола Андрея Trad "PO"
2013 - La croix sur laquelle l'apôtre Saint-André avait été crucifié est arrivée en Russie
L’icône miraculeuse contenant une particule des reliques du saint ainsi qu’une parcelle de la croix sur laquelle il a subi le martyre provenant du monastère de Patras viendra de Grèce à Kiev empruntant l’itinéraire naguère parcouru par l’apôtre. La plus grande partie de ce chemin passe par le Dniepr.
L’icône a été peinte par les moniales du cloître Saint André à Patras
Из Греции в Киев по Днепру привезут икону апостола Андрея Trad "PO"
2013 - La croix sur laquelle l'apôtre Saint-André avait été crucifié est arrivée en Russie
Un monument à Saint Séraphin de Sarov, l’un des saints les plus vénérés de Russie a été érigé au monastère de Novo-Divéevo (EORHF), Etat de New York. C’est là que se trouve l’icône de la Mère de Dieu de Vladimir apportée du monastère d’Optino ainsi qu’un crucifix en provenance de la maison Ipatiev à Ekaterinbourg où la famille impériale avait été assassinée par les bolcheviks.
Le plus grand cimetière orthodoxe des Etats-Unis se trouve auprès de ce monastère. On y compte près de huit mille tombes, de nombreux émigrés russes célèbres y sont inhumés. Le cloître a été fondé dans les années 1950, les pèlerins y affluent chaque dimanche. Le monument a été érigé grâce à des dons privés, le sculpteur a représenté le saint assis, plongé dans la prière.
Le plus grand cimetière orthodoxe des Etats-Unis se trouve auprès de ce monastère. On y compte près de huit mille tombes, de nombreux émigrés russes célèbres y sont inhumés. Le cloître a été fondé dans les années 1950, les pèlerins y affluent chaque dimanche. Le monument a été érigé grâce à des dons privés, le sculpteur a représenté le saint assis, plongé dans la prière.
Selon Evstrate Zorya, porte-parole du prétendu « patriarcat de Kiev », Philarète Denisenko, chef de ce prétendu « patriarcat », a demandé au patriarche œcuménique Bartholomée de déclarer la nullité de l’anathème qu’a proclamé à son encontre le patriarcat de Moscou.
« Selon les règles canoniques, personne ne conteste que le patriarche œcuménique est l’instance suprême d’appel dans les conflits juridiques quand ceux-ci ne peuvent être résolus au niveau d’une Église locale, alors que le conflit en question dépasse le cadre local » écrit Evraste Zorya sur sa page Facebook.
Selon lui, Philarète considère que le patriarche de Moscou n’a pas respecté le droit canon lors de la procédure de l’anathème lancé à son encontre.
2015 - Lors d'une rencontre du métropolite Mitrophane, responsable du DREE de l’Église orthodoxe d'Ukraine, avec une délégation du Conseil oecuménique des églises le métropolite Guennadi de Sasym, membre du Saint Synode du patriarcat de Constantinople a déclaré: "Notre Eglise ne considère pas que "le patriarcat de Kiev" est canonique. Nous estimons qu'il s'agit d'une entité schismatique. Il n'est pas question pour nous de les reconnaître. Ils peuvent se donner toutes les dénominations qu'ils veulent, ils ne sont reconnus par aucune Église".
« Selon les règles canoniques, personne ne conteste que le patriarche œcuménique est l’instance suprême d’appel dans les conflits juridiques quand ceux-ci ne peuvent être résolus au niveau d’une Église locale, alors que le conflit en question dépasse le cadre local » écrit Evraste Zorya sur sa page Facebook.
Selon lui, Philarète considère que le patriarche de Moscou n’a pas respecté le droit canon lors de la procédure de l’anathème lancé à son encontre.
2015 - Lors d'une rencontre du métropolite Mitrophane, responsable du DREE de l’Église orthodoxe d'Ukraine, avec une délégation du Conseil oecuménique des églises le métropolite Guennadi de Sasym, membre du Saint Synode du patriarcat de Constantinople a déclaré: "Notre Eglise ne considère pas que "le patriarcat de Kiev" est canonique. Nous estimons qu'il s'agit d'une entité schismatique. Il n'est pas question pour nous de les reconnaître. Ils peuvent se donner toutes les dénominations qu'ils veulent, ils ne sont reconnus par aucune Église".
Selon Svetlana Petrenko, représentante officielle de la Commission nationale d’enquête de Russie, l’expertise pluridisciplinaire de vérification a définitivement établi l’authenticité des restes de Nicolas II et sa famille fusillés il y a 100 ans à Ekaterinbourg.
Lundi, Svetlana Petrenko a déclaré à Interfax : « À ce jour, les conclusions des commissions pluridisciplinaires d’expertises moléculaires génétiques ont confirmé que les restes découverts sont bien ceux de l’ancien empereur Nicolas II, des membres de sa famille et de personnes de leur entourage, » et elle a ajouté que sept des onze corps retrouvés correspondent à une même famille : la mère, le père, quatre filles et un garçon.
« Les résultats des comparaisons des tests génétiques pratiqués sur les ossements et sur des prélèvements effectués sur des membres encore vivants de la famille Romanov, lignes paternelle et maternelle, ont confirmé que les restes sont bien ceux de Nicolas II et sa famille. »
Toujours selon Svetlana Petrenko, les conclusions des expertises moléculaires génétiques pour établir la parenté génétique avec Alexandre III (exhumé de la cathédrale Saints-Pierre-et-Paul à Saint-Pétersbourg) avec les restes de la personne identifiée comme étant Nicolas II ont démontré que ce sont des liens de père à fils.
Lundi, Svetlana Petrenko a déclaré à Interfax : « À ce jour, les conclusions des commissions pluridisciplinaires d’expertises moléculaires génétiques ont confirmé que les restes découverts sont bien ceux de l’ancien empereur Nicolas II, des membres de sa famille et de personnes de leur entourage, » et elle a ajouté que sept des onze corps retrouvés correspondent à une même famille : la mère, le père, quatre filles et un garçon.
« Les résultats des comparaisons des tests génétiques pratiqués sur les ossements et sur des prélèvements effectués sur des membres encore vivants de la famille Romanov, lignes paternelle et maternelle, ont confirmé que les restes sont bien ceux de Nicolas II et sa famille. »
Toujours selon Svetlana Petrenko, les conclusions des expertises moléculaires génétiques pour établir la parenté génétique avec Alexandre III (exhumé de la cathédrale Saints-Pierre-et-Paul à Saint-Pétersbourg) avec les restes de la personne identifiée comme étant Nicolas II ont démontré que ce sont des liens de père à fils.
Chers amis, pères, frères et soeurs,
À l'occasion des 100 ans depuis l'assassinat du saint martyr le Tsar Nicolas et de sa famille, un office en leur honneur sera célébré le 17 juillet. à 19 h dans la Cathédrale orthodoxe de la Sainte-Trinité a Paris
Venez nombreux
À l'occasion des 100 ans depuis l'assassinat du saint martyr le Tsar Nicolas et de sa famille, un office en leur honneur sera célébré le 17 juillet. à 19 h dans la Cathédrale orthodoxe de la Sainte-Trinité a Paris
Venez nombreux
Le Patriarche a souligné que cette date importante pour l’Oural et pour toute l’Église russe, pour le peuple et l’histoire et souligné : « J’ai depuis longtemps envie de me rendre justement en ces jours à Ekaterinbourg pour organiser une procession et prier avec le peuple. »
Une procession nocturne marchera sur une distance de 21 kilomètres à Ekaterinbourg . Les fidèles iront de la cathédrale sur le Sang Versé jusqu’au fossé Ganine où avaient été précipitées les dépouilles des membres de la famille impériale. Les Romanov avaient été assassinés sans autre forme de procès en 1918 dans la maison Ipatiev. Les corps avaient été jetés dans le fossé Ganine, à 2 kilomètres du lieu du crime. Les criminels bolcheviks les avaient incinérés et arrosés d’acide sulfurique. En 2000 le Saint Synode de l’Eglise orthodoxe russe a décidé de fonder un monastère là où avait eu lieu l’incinération.
Une procession nocturne marchera sur une distance de 21 kilomètres à Ekaterinbourg . Les fidèles iront de la cathédrale sur le Sang Versé jusqu’au fossé Ganine où avaient été précipitées les dépouilles des membres de la famille impériale. Les Romanov avaient été assassinés sans autre forme de procès en 1918 dans la maison Ipatiev. Les corps avaient été jetés dans le fossé Ganine, à 2 kilomètres du lieu du crime. Les criminels bolcheviks les avaient incinérés et arrosés d’acide sulfurique. En 2000 le Saint Synode de l’Eglise orthodoxe russe a décidé de fonder un monastère là où avait eu lieu l’incinération.
Fondateur et recteur de la paroisse orthodoxe de Tous les Saints de Russie, qui s'établit successivement à Lasne, Ottignies, puis Louvain-la-Neuve, le Père Paul Pellemans, né le 23 juillet 1937, est décédé le 7 novembre 2015.
Belge d'origine hollandaise, il était également professeur d'université. Il représenta le courant d'inculturation de l'orthodoxie dans la société et la culture de l'Europe occidentale, tout en demeurant fidèle à l'Eglise de Russie et au patriarcat de Moscou.
Belge d'origine hollandaise, il était également professeur d'université. Il représenta le courant d'inculturation de l'orthodoxie dans la société et la culture de l'Europe occidentale, tout en demeurant fidèle à l'Eglise de Russie et au patriarcat de Moscou.
Le 9 juillet le patriarche Cyrille a reçu des représentants du patriarcat de Constantinople. L'entretien a essentiellement porté sur le maintien de l'unité orthodoxe. L'archiprêtre Nicolas Balachov, vice-président du DREE, à déclaré:
"Faisaient partie de la délégation le métropolites Emmanuel de France et Bartholomé de Smyrne. L'Eglise de Russie était représentée par le métropolite Hilarion et moi-même.
Les deux délégations ont exposé d'une manière franche et circonstanciée les positions qui sont les leurs quant à de nombreuses questions présentant un intérêt réciproque. Il s'est en particulier agi de la situation en Ukraine. Les deux parties estiment que cette rencontre a été utile.
Les positions de l'Eglise russe seront portées à la connaissance du patriarche Bartholomé et du Saint Synode de Constantinople »
La rencontre a eu lieu dans les locaux du patriarcat de Moscou, ruelle Tchisty. Lien et "PO"
Патриарх Московский и всея Руси Кирилл обсудил тему сохранения межправославного единства с представителями Константинопольского патриархата.
"Faisaient partie de la délégation le métropolites Emmanuel de France et Bartholomé de Smyrne. L'Eglise de Russie était représentée par le métropolite Hilarion et moi-même.
Les deux délégations ont exposé d'une manière franche et circonstanciée les positions qui sont les leurs quant à de nombreuses questions présentant un intérêt réciproque. Il s'est en particulier agi de la situation en Ukraine. Les deux parties estiment que cette rencontre a été utile.
Les positions de l'Eglise russe seront portées à la connaissance du patriarche Bartholomé et du Saint Synode de Constantinople »
La rencontre a eu lieu dans les locaux du patriarcat de Moscou, ruelle Tchisty. Lien et "PO"
Патриарх Московский и всея Руси Кирилл обсудил тему сохранения межправославного единства с представителями Константинопольского патриархата.
Le titre de «plus beau village de Russie» vient d’être attribué à une petite localité, village de Bolchoï Kounaleï, en Bouriatie, peuplée par des descendants des orthodoxes «vieux-croyants», installés près du lac Baïkal en Sibérie après le schisme du XVIIe siècle.
Le village, fondé à la fin des années 1730, compte actuellement un millier d'habitants. Il s'agit essentiellement de descendants des vieux-croyants, ce groupe qui s'est séparé de l'Église orthodoxe russe suite à son refus d'adopter les réformes introduites par le patriarche Nikon en 1666-1667. Fuyant les persécutions, nombre d'entre eux se retirent ainsi aux frontières de l'Empire et particulièrement en Sibérie.
Le village, fondé à la fin des années 1730, compte actuellement un millier d'habitants. Il s'agit essentiellement de descendants des vieux-croyants, ce groupe qui s'est séparé de l'Église orthodoxe russe suite à son refus d'adopter les réformes introduites par le patriarche Nikon en 1666-1667. Fuyant les persécutions, nombre d'entre eux se retirent ainsi aux frontières de l'Empire et particulièrement en Sibérie.
Le 29 juin 2018 à la bibliothèque orthodoxe auprès de l'église de Tous les Saints à Strasbourg, a eu lieu la troisième rencontre consacrée aux nouveaux martyrs de l'Eglise russe qui a souffert au XXe siècle du pouvoir athée soviétique.
Cette fois , les paroissiens et les invités ont regardé un extrait d'une série documentaire «L'Église dans l'histoire », écrite par le métropolite Hilarion de Volokolamsk, ainsi que des courts métrages sur les Saints confesseurs Sergey Pravdolyubov et Seraphin Zvezdinsky.
Après la projection, l'higoumène Philip (Ryabykh) a proposé au public de réfléchir sur les raisons de la persécution de l'Eglise depuis 1917, ainsi que de songer aux leçons que nous pouvons tous apprendre de cette terrible période dans l'histoire du pays et de l'Église.
Cette fois , les paroissiens et les invités ont regardé un extrait d'une série documentaire «L'Église dans l'histoire », écrite par le métropolite Hilarion de Volokolamsk, ainsi que des courts métrages sur les Saints confesseurs Sergey Pravdolyubov et Seraphin Zvezdinsky.
Après la projection, l'higoumène Philip (Ryabykh) a proposé au public de réfléchir sur les raisons de la persécution de l'Eglise depuis 1917, ainsi que de songer aux leçons que nous pouvons tous apprendre de cette terrible période dans l'histoire du pays et de l'Église.
Le métropolite Hilarion, président du DREE du patriarcat de Moscou, a démenti les assertions selon lesquelles la transsection de la métropole de Kiev sous l’omophore du patriarcat de Moscou, il y a quelques siècles, avait un caractère provisoire.
Une délégation de ‘Eglise orthodoxe d’Ukraine s’est rendue récemment à Istanbul Elle y a été reçue par le patriarche Bartholomé, le métropolite Jean de Pergame, le métropolite Emmanuel de Gaule et le métropolite de Smyrne monseigneur Bartholomé.
« Le métropolite de Pergame a évoqué des événements remontant à trois siècles en affirmant que cette transition avait dès les départ un caractère provisoire.
Une décision du patriarche de Constantinople voulait que ce soit Moscou qui désigne le métropolite de Kiev mais que celui-ci dépendrait du patriarche de Constantinople » a dit le métropolite Hilarion dans le cadre d’un entretien avec l’agence grecque Romfea. Il a précisé que l’études archives existantes ne corrobore pas la théorie préconisée par le représentant du patriarche Constantinople.
Une délégation de ‘Eglise orthodoxe d’Ukraine s’est rendue récemment à Istanbul Elle y a été reçue par le patriarche Bartholomé, le métropolite Jean de Pergame, le métropolite Emmanuel de Gaule et le métropolite de Smyrne monseigneur Bartholomé.
« Le métropolite de Pergame a évoqué des événements remontant à trois siècles en affirmant que cette transition avait dès les départ un caractère provisoire.
Une décision du patriarche de Constantinople voulait que ce soit Moscou qui désigne le métropolite de Kiev mais que celui-ci dépendrait du patriarche de Constantinople » a dit le métropolite Hilarion dans le cadre d’un entretien avec l’agence grecque Romfea. Il a précisé que l’études archives existantes ne corrobore pas la théorie préconisée par le représentant du patriarche Constantinople.
Le Vatican avait annoncé le 25 avril dernier que le pape François se rendra le 7 juillet prochain à Bari (sud de l’Italie) pour une «journée de réflexion et de prière sur la situation dramatique du Moyen-Orient qui afflige tant de frères et sœurs dans la foi» et a publié le programme de la journée le 7 juin.
Le programme du sommet >>> ICI
Le pape accueillera un à un chacun des patriarches ayant répondu à son invitation sur le parvis de la basilique Saint-Nicolas.
Ils descendront ensuite ensemble dans la crypte de la basilique pour y vénérer les reliques de saint Nicolas et allumer une lampe puis rejoindront la Rotonde du front de mer de Bari pour une rencontre œcuménique de prière.
Un « dialogue » d’une heure et demie se déroulera ensuite à huis clos dans la basilique Saint-Nicolas, à l’issue duquel le pape et les patriarches déjeuneront ensemble à l’archevêché de Bari
Le programme du sommet >>> ICI
Le pape accueillera un à un chacun des patriarches ayant répondu à son invitation sur le parvis de la basilique Saint-Nicolas.
Ils descendront ensuite ensemble dans la crypte de la basilique pour y vénérer les reliques de saint Nicolas et allumer une lampe puis rejoindront la Rotonde du front de mer de Bari pour une rencontre œcuménique de prière.
Un « dialogue » d’une heure et demie se déroulera ensuite à huis clos dans la basilique Saint-Nicolas, à l’issue duquel le pape et les patriarches déjeuneront ensemble à l’archevêché de Bari
Le samedi 23 juin une délégation du Saint Synode de l'Eglise orthodoxe d'Ukraine s'est rendue à Istanbul, à l'invitation du patriarche Bartholomé et avec la bénédiction du métropolite Onuphre.
Elle est dirigée par Monseigneur Agafangel, métropolite d'Odessa (PM). La délégation souhaite suggérer des solutions à la diffcile situation qui est celle de l'Eglise d'Ukraine après 1992.
C'est alors que s'est produit le schisme qui l'a divisée. Elle voudrait connaître l'attitude du patriarcat œcuménique à l'égard de cette situation. La date de la réunion du Synode du patriarcat œcuménique qui devait fixer la date de l'octroi de l'autocéphalie a été repoussée.
Elle est dirigée par Monseigneur Agafangel, métropolite d'Odessa (PM). La délégation souhaite suggérer des solutions à la diffcile situation qui est celle de l'Eglise d'Ukraine après 1992.
C'est alors que s'est produit le schisme qui l'a divisée. Elle voudrait connaître l'attitude du patriarcat œcuménique à l'égard de cette situation. La date de la réunion du Synode du patriarcat œcuménique qui devait fixer la date de l'octroi de l'autocéphalie a été repoussée.
Le patriarche Cyrille se rendra dans la métropole d’Ekaterinbourg pour y commémorer le premier centenaire de l’assassinat de la famille impériale.
Selon le père Alexandre Volkov, porte-parole du patriarcat de Moscou « Le patriarche Cyrille sera à Ekaterinbourg du 14 au 17 juillet. Il y célèbrera plusieurs offices solennels. Le Saint Synode se réunira dans la ville pour une session ordinaire.
Cette session du Synode souligne la gravité des évènements de 1918 : assassinat de la famille impériale, début des persécutions de l’Eglise. Le père Volkov n’a pas précisé si le Synode allait examiner la question de l’authenticité des reliques. L’ordre du jour de la session est confidentiel, un communiqué sera publié après la session.
Selon le père Alexandre Volkov, porte-parole du patriarcat de Moscou « Le patriarche Cyrille sera à Ekaterinbourg du 14 au 17 juillet. Il y célèbrera plusieurs offices solennels. Le Saint Synode se réunira dans la ville pour une session ordinaire.
Cette session du Synode souligne la gravité des évènements de 1918 : assassinat de la famille impériale, début des persécutions de l’Eglise. Le père Volkov n’a pas précisé si le Synode allait examiner la question de l’authenticité des reliques. L’ordre du jour de la session est confidentiel, un communiqué sera publié après la session.
Lors de la deuxième Conférence internationale consacrée à l'impact des technologies numériques sur la prise en charge pastorale orthodoxe, qui s'est déroulée du 18 au 21 Juin 2018 à l'Académie orthodoxe de Crète de Kolimvari (Grèce), le père Jyvko Panev, un prêtre d'origine bulgare qui exerce son ministère à Paris, a décrit la situation actuelle de l'Orthodoxie en France, ainsi que l'indique le site Orthodoxie.com
Selon le père Jyvko, la présence des orthodoxes en France est principalement due à plusieurs vagues d'émigration venant de pays traditionnellement orthodoxes comme la Russie, la Grèce, la Serbie, la Roumanie, la Bulgarie et des pays du Proche-Orient. Aujourd'hui, selon diverses estimations, le nombre de chrétiens orthodoxes en France varie de 500 à 700 000.
L'orthodoxie en France est organisée comme suit :
- 273 paroisses ;
- 27 monastères ;
- 3 instituts de théologie.
Les orthodoxes en France disposent de :
Selon le père Jyvko, la présence des orthodoxes en France est principalement due à plusieurs vagues d'émigration venant de pays traditionnellement orthodoxes comme la Russie, la Grèce, la Serbie, la Roumanie, la Bulgarie et des pays du Proche-Orient. Aujourd'hui, selon diverses estimations, le nombre de chrétiens orthodoxes en France varie de 500 à 700 000.
L'orthodoxie en France est organisée comme suit :
- 273 paroisses ;
- 27 monastères ;
- 3 instituts de théologie.
Les orthodoxes en France disposent de :
Mgr Corneille est retourné à Dieu le 19 avril dans sa 94 e année Les funérailles du métropolite Corneille de Tallinn et de toute l’Estonie ont été célébrées le 22 avril 2018 à la cathédrale Saint-Alexandre-Nevski de Tallinn.
Le 29 mai l'archevêque Eugène de Vereisk a été élu dans le cadre d'un scrutin secret Primat de l'Eglise orthodoxe d'Estonie
Le métropolite Eugène de Tallinn et de toute l’Estonie a célébré à la cathédrale Saint-Alexandre-Nevski de Tallinn ses premiers offices en tant que primat de l’Église orthodoxe estonienne du Patriarcat de Moscou.
Le soir du 16 juin, le métropolite Eugène a célébré les vigiles. Son Éminence concélébrait avec l’archevêque Jacques de Białystok et de Gdansk (Église orthodoxe polonaise), l’évêque Lazare de Narva et de Pritchoudié, l’évêque Jean d’Elgavsk, l’évêque Serge de Maardu, ainsi que des représentants du clergé d’Estonie, de Pologne et de Lituanie.
Le 29 mai l'archevêque Eugène de Vereisk a été élu dans le cadre d'un scrutin secret Primat de l'Eglise orthodoxe d'Estonie
Le métropolite Eugène de Tallinn et de toute l’Estonie a célébré à la cathédrale Saint-Alexandre-Nevski de Tallinn ses premiers offices en tant que primat de l’Église orthodoxe estonienne du Patriarcat de Moscou.
Le soir du 16 juin, le métropolite Eugène a célébré les vigiles. Son Éminence concélébrait avec l’archevêque Jacques de Białystok et de Gdansk (Église orthodoxe polonaise), l’évêque Lazare de Narva et de Pritchoudié, l’évêque Jean d’Elgavsk, l’évêque Serge de Maardu, ainsi que des représentants du clergé d’Estonie, de Pologne et de Lituanie.
Aux yeux de ceux qui sont allé vers le schisme et se sont mis en dehors de l'Eglise, son unité ne signifie plus rien
Le métropolite Hilarion a dit: "Les accords inter-orthodoxes quant à l'octroi de l'autocéphalie sont bien réels. Un texte reconnaissant et octroyant l'autocéphalie a été élaboré et signé par l'ensemble des Eglises locales, y compris celles de Constantinople et de Russie, ceci en 1993 à Chambésy. Ce texte a été mis au point et validé en 2009. Le document définit d'une manière claire et circonstanciée les principales conditions de l'octroi de l'autocéphalie.
Le métropolite Hilarion a dit: "Les accords inter-orthodoxes quant à l'octroi de l'autocéphalie sont bien réels. Un texte reconnaissant et octroyant l'autocéphalie a été élaboré et signé par l'ensemble des Eglises locales, y compris celles de Constantinople et de Russie, ceci en 1993 à Chambésy. Ce texte a été mis au point et validé en 2009. Le document définit d'une manière claire et circonstanciée les principales conditions de l'octroi de l'autocéphalie.
Le symbole le plus important de ce dynamisme est sans doute l’inauguration du « centre spirituel et culturel orthodoxe russe »le 19 octobre 2016 à Paris, entre Tour Eiffel et Invalides, au pied du pont de l’Alma.
Au début des années 2000, on comptait environ 160 paroisses et lieux monastiques. Selon l’Annuaire de l’Église orthodoxe publié en 2017, on recense actuellement 278 lieux de culte, monastères inclus (une vingtaine), ils étaient 238 en 2010. Le nombre des évêques (10), ainsi que des prêtres et des diacres (330 pour les deux) a lui aussi augmenté.
Par orthodoxe, il faut entendre les Églises orthodoxes chalcédoniennes (qui ont accepté les décisions du IVe concile œcuménique de Chalcédoine en 451), qui sont quatorze à être autocéphales, c’est-à-dire pleinement indépendantes tout en étant en communion, dans le monde.
On y adjoint parfois, à tort, les Églises dites orthodoxes orientales, ou préchalcédoniennes, comme les Églises arménienne, copte, éthiopienne et syriaque, qui ne sont pas en communion avec les Églises orthodoxes chalcédoniennes.
Au début des années 2000, on comptait environ 160 paroisses et lieux monastiques. Selon l’Annuaire de l’Église orthodoxe publié en 2017, on recense actuellement 278 lieux de culte, monastères inclus (une vingtaine), ils étaient 238 en 2010. Le nombre des évêques (10), ainsi que des prêtres et des diacres (330 pour les deux) a lui aussi augmenté.
Par orthodoxe, il faut entendre les Églises orthodoxes chalcédoniennes (qui ont accepté les décisions du IVe concile œcuménique de Chalcédoine en 451), qui sont quatorze à être autocéphales, c’est-à-dire pleinement indépendantes tout en étant en communion, dans le monde.
On y adjoint parfois, à tort, les Églises dites orthodoxes orientales, ou préchalcédoniennes, comme les Églises arménienne, copte, éthiopienne et syriaque, qui ne sont pas en communion avec les Églises orthodoxes chalcédoniennes.
Les reliques ont été transportées de la Sainte Trinité-Saint Seraphin monastère de Diveevo à Londres, puis à l'église Saint Nicolas à Oxford. Cette paroisse appartient au diocèse de Souroje. Un moleben a été officié devant les reliques en présence d'un très grand nombre de fidèles.
La délégation venue de Russie a prié à la tombe de l'archimandrite Nicolas Gibbs, fondateur de la paroisse.
L'archimandrite Nicolas (dans le monde Charles Sydney Gibbs), était le professeur d'anglais des enfants de Nicolas II, en particulier du tsarévitch Alexis. Au cours de dix années de service à la cour de l'empereur de Russie, il était devenu l'homme de confiance de la famille impériale et la suivit même en exil en Sibérie.
En 1934, il se convertit à l'orthodoxie sous le nom d'Alexis (en l'honneur du tsarévitch Alexis), et l'année suivante il reçut la tonsure monastique sous le nom de Nicolas (en l'honneur de Nicolas II). Il fonda une paroisse à Londres, puis à Oxford. Toute sa vie, il resta fidèle à la mémoire de la famille impériale et parvint à conserver un grand nombre de ses reliques
La délégation venue de Russie a prié à la tombe de l'archimandrite Nicolas Gibbs, fondateur de la paroisse.
L'archimandrite Nicolas (dans le monde Charles Sydney Gibbs), était le professeur d'anglais des enfants de Nicolas II, en particulier du tsarévitch Alexis. Au cours de dix années de service à la cour de l'empereur de Russie, il était devenu l'homme de confiance de la famille impériale et la suivit même en exil en Sibérie.
En 1934, il se convertit à l'orthodoxie sous le nom d'Alexis (en l'honneur du tsarévitch Alexis), et l'année suivante il reçut la tonsure monastique sous le nom de Nicolas (en l'honneur de Nicolas II). Il fonda une paroisse à Londres, puis à Oxford. Toute sa vie, il resta fidèle à la mémoire de la famille impériale et parvint à conserver un grand nombre de ses reliques
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