Plateforme libre de discussion
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Le numéro 20 (avril-juin 2010) du "Messager de l'Église orthodoxe russe" est consacré à la visite en mars dernier du patriarche Cyrille de Moscou en Arménie et, plus largement, aux relations entre l'Église orthodoxe et l'Église arménienne.
Dans la rubrique "Relations entre orthodoxes", la revue propose un compte-rendu de la visite en Russie du patriarche Barthélemy de Constantinople et la traduction française du message adressé en juillet par le Saint-Synode du patriarcat de Moscou aux orthodoxes ukrainiens qui ne sont pas en communion avec l'orthodoxie universelle Suite
Dans la rubrique "Relations entre orthodoxes", la revue propose un compte-rendu de la visite en Russie du patriarche Barthélemy de Constantinople et la traduction française du message adressé en juillet par le Saint-Synode du patriarcat de Moscou aux orthodoxes ukrainiens qui ne sont pas en communion avec l'orthodoxie universelle Suite
Rédigé par l'équipe rédaction le 15 Septembre 2010 à 14:16
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Voyage œcuménique des reliques de huit saints sur la Volga
Un navire transportant les reliques de huit saints du premier millénaire de l'Église a commencé en Russie un voyage œcuménique historique le long du fleuve Volga. Le bateau, dont le voyage œcuménique a reçu la bénédiction du patriarche orthodoxe russe Kirill, parcourra plus de 3.000 kilomètres, de l'embouchure de la Volga à Moscou.
Les reliques appartiennent à des saints importants pour les deux Églises : Jean-Baptiste, Anne, l'apôtre Bartholomée, les martyrs Etienne et Laurent, Georges, Jean Chrysostome et Cyrille, ce dernier missionnaire auprès des peuples slaves.
Le bateau, parti lundi, est le « FR. Werenfried » du nom du religieux prémontré, Werenfried van Straaten, fondateur de l'association internationale Aide à l'Eglise en détresse (AED).
Le fondateur de l'AED a été le promoteur de l'initiative visant à transformer les navires en chapelles pour permettre de célébrer des offices dans les lieux sans églises.
Les reliques sont un don de l'Église catholique à l'Église orthodoxe russe Suite ZENIT
Un navire transportant les reliques de huit saints du premier millénaire de l'Église a commencé en Russie un voyage œcuménique historique le long du fleuve Volga. Le bateau, dont le voyage œcuménique a reçu la bénédiction du patriarche orthodoxe russe Kirill, parcourra plus de 3.000 kilomètres, de l'embouchure de la Volga à Moscou.
Les reliques appartiennent à des saints importants pour les deux Églises : Jean-Baptiste, Anne, l'apôtre Bartholomée, les martyrs Etienne et Laurent, Georges, Jean Chrysostome et Cyrille, ce dernier missionnaire auprès des peuples slaves.
Le bateau, parti lundi, est le « FR. Werenfried » du nom du religieux prémontré, Werenfried van Straaten, fondateur de l'association internationale Aide à l'Eglise en détresse (AED).
Le fondateur de l'AED a été le promoteur de l'initiative visant à transformer les navires en chapelles pour permettre de célébrer des offices dans les lieux sans églises.
Les reliques sont un don de l'Église catholique à l'Église orthodoxe russe Suite ZENIT
L'association des Amis de la Cathédrale orthodoxe russe Saint-Nicolas de Nice (AACOR-SNN) est maintenant active
SITE L’AACOR-SNN et ICI
A qui appartient l'église Russe ?
C’est la question qui agite tous les esprits…
La réponse me semble pourtant simple : Elle est et restera la demeure intemporelle et symbolique de tous les fidèles qui viennent y prier, paroissiens ou gens de passage, - tous sans exception, membres ou non d’une association cultuelle qui est loin de rassembler tous les orthodoxes de Nice.
Car la cathédrale orthodoxe russe Saint-Nicolas est avant tout un lieu de prières....
SITE L’AACOR-SNN et ICI
A qui appartient l'église Russe ?
C’est la question qui agite tous les esprits…
La réponse me semble pourtant simple : Elle est et restera la demeure intemporelle et symbolique de tous les fidèles qui viennent y prier, paroissiens ou gens de passage, - tous sans exception, membres ou non d’une association cultuelle qui est loin de rassembler tous les orthodoxes de Nice.
Car la cathédrale orthodoxe russe Saint-Nicolas est avant tout un lieu de prières....
Vladimir GOLOVANOW
La démocratie occidentale est elle un model universel qui doit servir d'étalon pour l'organisation sociale dans tous les pays comme le pensent nos commentateurs? Le patriarche Cyrille met régulièrement en doute ce parti-pris: "… cela aboutit à la négation de l'originalité de la vie nationale, dont les nombreux aspes positifs ne sont plus mis en pratique", écrivait-il dans son livre publié avant sa désignation comme patriarche (1). "Il en découle que le modèle occidental est incapable d'assumer toute l'expérience nationale positive et d'y discerner ce qui est négatif", continue t-il en appelant ses concitoyens "à faire ressortir le principe propre de leur organisation sociopolitique." Il oppose au modèle occidental la recherche du consensus conciliaire (sobornost), qui "inclut tous les principes d'organisation sociale, les mécanismes de prise de décisions et les fondements spirituels de la société." (ibid).
En septembre dernier il appelait à se ressourcer au modèle démocratique de l'ancienne Novgorod en racontant: "Au cours d'une conversation avec Madame Merkel (…), je lui disais que la Russie avait ses propres racines de la conscience démocratique; mon honorable interlocutrice fut très étonnée en apprenant l'expérience démocratique de l'ancienne Novgorod, qui, en un sens, avait été ensuite transmise à la Moscovie, et que la Russie n'avait jamais connu, jusqu'à Pierre le Grand, cet absolutisme dont soufrait l'Europe occidentale.
La démocratie occidentale est elle un model universel qui doit servir d'étalon pour l'organisation sociale dans tous les pays comme le pensent nos commentateurs? Le patriarche Cyrille met régulièrement en doute ce parti-pris: "… cela aboutit à la négation de l'originalité de la vie nationale, dont les nombreux aspes positifs ne sont plus mis en pratique", écrivait-il dans son livre publié avant sa désignation comme patriarche (1). "Il en découle que le modèle occidental est incapable d'assumer toute l'expérience nationale positive et d'y discerner ce qui est négatif", continue t-il en appelant ses concitoyens "à faire ressortir le principe propre de leur organisation sociopolitique." Il oppose au modèle occidental la recherche du consensus conciliaire (sobornost), qui "inclut tous les principes d'organisation sociale, les mécanismes de prise de décisions et les fondements spirituels de la société." (ibid).
En septembre dernier il appelait à se ressourcer au modèle démocratique de l'ancienne Novgorod en racontant: "Au cours d'une conversation avec Madame Merkel (…), je lui disais que la Russie avait ses propres racines de la conscience démocratique; mon honorable interlocutrice fut très étonnée en apprenant l'expérience démocratique de l'ancienne Novgorod, qui, en un sens, avait été ensuite transmise à la Moscovie, et que la Russie n'avait jamais connu, jusqu'à Pierre le Grand, cet absolutisme dont soufrait l'Europe occidentale.
Le Patriarche orthodoxe de Moscou est solidaire du Pape dont les positions sont souvent critiquées par des théologiens et des médias occidentaux de tendance libérale. Cyrille Ier l’a déclaré devant les journalistes ukrainiens, à la veille d’un voyage en Ukraine. Sur de nombreuses questions publiques et morales – a-t-il indiqué - l’approche de Benoît XVI coïncide totalement avec celle de l’Eglise orthodoxe russe. Une convergence de vues que salue le Patriarche de Moscou. Selon lui, elle peut favoriser la défense commune des valeurs chrétiennes, notamment au sein des organisations et des forums internationaux. En revanche Cyrille I a qualifié de « phénomène très dangereux » le fait que, dans le protestantisme contemporain, des chrétiens aient adopté et justifié des éléments immoraux présents dans la société séculière. Le résultat, c’est que des expressions toutes faites – empruntées à la société - s’enracinent dans la pensée religieuse protestante, comme le sacerdoce des femmes et l’homosexualité. La parole de Dieu est déformée pour plaire à la culture séculière et libérale.
MONASTERO DI BOSE
Le père André Louf entre dans la Vie d'éternité
Hier matin, le père André Louf est passé de ce monde au Père.
En ce moment d'émotion, nous voulons faire mémoire, bien sûr du grand « spirituel », mais surtout aussi de l'ami et du frère qui, au cours des quinze dernières années, faisait au moins une fois l'an un séjour prolongé à Bose, non seulement pour donner voix à la spiritualité du monachisme occidental à l'occasion des Colloques internationaux de spiritualité orthodoxe (c'était un « ancien », un « kalògheros », un « staretz-pneumatikòs » très aimé des frères des Églises orthodoxes en raison de sa vaste doctrine, de son humble sagesse et de sa paix profonde qui dépassait toute division), mais également - et encore plus - pour vivre simplement la fraternité avec notre pauvre vie quotidienne et pour exercer un ministère de partage de la sagesse qui vient de l'Évangile.
Le père André Louf entre dans la Vie d'éternité
Hier matin, le père André Louf est passé de ce monde au Père.
En ce moment d'émotion, nous voulons faire mémoire, bien sûr du grand « spirituel », mais surtout aussi de l'ami et du frère qui, au cours des quinze dernières années, faisait au moins une fois l'an un séjour prolongé à Bose, non seulement pour donner voix à la spiritualité du monachisme occidental à l'occasion des Colloques internationaux de spiritualité orthodoxe (c'était un « ancien », un « kalògheros », un « staretz-pneumatikòs » très aimé des frères des Églises orthodoxes en raison de sa vaste doctrine, de son humble sagesse et de sa paix profonde qui dépassait toute division), mais également - et encore plus - pour vivre simplement la fraternité avec notre pauvre vie quotidienne et pour exercer un ministère de partage de la sagesse qui vient de l'Évangile.
L’hiéromoine Joseph ( Pavlinciuc), archevêché de Chesonèse
Durant toute cette période les relations entre l'Église et l'État ne furent pas simples.
L'Église ne pouvait pas prendre de décisions concernant sa politique intérieure et extérieure indépendamment de l'empereur. « A haut niveau (niveau du Saint Synode, direction centrale de l'Église) comme à un niveau plus moyen (niveau du diocèse), l’Eglise fut absorbée par l'État. Mais à l'échelle la plus basse, l'organisation structurelle de l'Eglise était laissée aux mains du peuple, lui-même asservi à l'Etat » . La seule chose qui la sauvait était l'attitude bienveillante de l'autocratie qui permettait à l'Église de « se blottir dans la machine étatique » .
Quelques changements sur le plan territorial et administratif du diocèse de Chisinau et de Hotine ainsi que dans les relations entre l'État et l'Église survinrent pendant la période 1918 - 1944, quand le diocèse de Chisinau fut incorporé dans l'Église Orthodoxe Roumain
Durant toute cette période les relations entre l'Église et l'État ne furent pas simples.
L'Église ne pouvait pas prendre de décisions concernant sa politique intérieure et extérieure indépendamment de l'empereur. « A haut niveau (niveau du Saint Synode, direction centrale de l'Église) comme à un niveau plus moyen (niveau du diocèse), l’Eglise fut absorbée par l'État. Mais à l'échelle la plus basse, l'organisation structurelle de l'Eglise était laissée aux mains du peuple, lui-même asservi à l'Etat » . La seule chose qui la sauvait était l'attitude bienveillante de l'autocratie qui permettait à l'Église de « se blottir dans la machine étatique » .
Quelques changements sur le plan territorial et administratif du diocèse de Chisinau et de Hotine ainsi que dans les relations entre l'État et l'Église survinrent pendant la période 1918 - 1944, quand le diocèse de Chisinau fut incorporé dans l'Église Orthodoxe Roumain
L’hiéromoine Joseph ( Pavlinciuc), archevêché de Chesonèse
Voici un quatrième extrait de :
L’URSS et la Moldavie roumaine : deux expériences de relations entre l'État et l'Église.
L’Église et l’État sont deux entités à la nature et à l’origine différentes. Cependant, elles coopèrent et sont en contact permanent, et ce depuis l’apparition de l’Église, à l’époque de Jésus. Diverses formes de relations « Église – État » ont existé à travers les époques (théocratique, démocratique, symphonique, église étatique et autre). On peut citer la « symphonie » comme modèle idéal de relations entre l’Église et l’État. Bien entendu l’idéal ne trouve jamais de réalisation pleine et entière dans la vie réelle. C’est pour cette raison que l’on ne peut parler que de l’expérience, à Byzance, en Russie ou dans les Principautés Roumaines, de construction de telles relations symphoniques entre l’Église et l’État. Dans la principauté de Moldavie, depuis sa création (1359) et jusqu’au XIX ème siècle, les relations entre l'Église et l'État se sont construites sur la base du modèle symphonique de Byzance. Il y a eu de collaboration entre le prince et le métropolite, ce qui a fonctionné pendant plusieurs siècles .
Voici un quatrième extrait de :
L’URSS et la Moldavie roumaine : deux expériences de relations entre l'État et l'Église.
L’Église et l’État sont deux entités à la nature et à l’origine différentes. Cependant, elles coopèrent et sont en contact permanent, et ce depuis l’apparition de l’Église, à l’époque de Jésus. Diverses formes de relations « Église – État » ont existé à travers les époques (théocratique, démocratique, symphonique, église étatique et autre). On peut citer la « symphonie » comme modèle idéal de relations entre l’Église et l’État. Bien entendu l’idéal ne trouve jamais de réalisation pleine et entière dans la vie réelle. C’est pour cette raison que l’on ne peut parler que de l’expérience, à Byzance, en Russie ou dans les Principautés Roumaines, de construction de telles relations symphoniques entre l’Église et l’État. Dans la principauté de Moldavie, depuis sa création (1359) et jusqu’au XIX ème siècle, les relations entre l'Église et l'État se sont construites sur la base du modèle symphonique de Byzance. Il y a eu de collaboration entre le prince et le métropolite, ce qui a fonctionné pendant plusieurs siècles .
François-Xavier MAIGRE
Fin de journée printanière, au bord de l’eau. C’est sans doute le meilleur moment pour goûter les charmes d’Ohrid, et de son lac – l’un des plus vieux au monde, et des plus riches sur le plan de la biodiversité. À cette heure-là, quand la lueur ambrée du couchant se reflète à la surface, le ciel paraît plus vaste qu’en tout autre lieu. Ce paysage possède naturellement quelque chose de sacré, d’envoûtant. On comprend mieux, en embrassant cet horizon où meurent au loin les cimes embrumées de l’Albanie voisine, qu’un endroit aussi fascinant ait pu servir d’écrin à l’essor de l’orthodoxie slave. Suite LA CROIX
Fin de journée printanière, au bord de l’eau. C’est sans doute le meilleur moment pour goûter les charmes d’Ohrid, et de son lac – l’un des plus vieux au monde, et des plus riches sur le plan de la biodiversité. À cette heure-là, quand la lueur ambrée du couchant se reflète à la surface, le ciel paraît plus vaste qu’en tout autre lieu. Ce paysage possède naturellement quelque chose de sacré, d’envoûtant. On comprend mieux, en embrassant cet horizon où meurent au loin les cimes embrumées de l’Albanie voisine, qu’un endroit aussi fascinant ait pu servir d’écrin à l’essor de l’orthodoxie slave. Suite LA CROIX
Voici un troisième extrait de la thèse de doctorat soutenue par
L’hiéromoine Joseph ( Pavlinciuc), archevêché de Chesonèse
LES RELATIONS ENTRE L’EGLISE ET L’ETAT A L’EPOQUE DE STALINE ET KHROUCHTCHEV : L’EXEMPLE DU DIOCESE DE CHISINAU, MOLDAVIE
………………………….
Les persécutions de la fin de la période Khrouchtchévienne (1959-1964)
et leurs conséquences pour le diocèse de Chisinau.
L’attitude du clergé en cette période critique fut, selon les termes mêmes des rapports officiels, une combinaison de persistance et d’adaptation. «En ce qui concerne les prêtres, remarque en 1963 le plénipotentiaire, ils sont par nature et en toute occasion intéressés non seulement à stopper le déclin de l’Église mais également à la renforcer, à avoir plus de croyants, à célébrer autant d’offices divins et de rituels religieux que possible. L’attitude la plus courante de la part des prêtres est l’adaptation, pour laquelle ils ont une grande capacité. De nombreux prêtres changent visiblement de conduite non seulement face aux croyants, mais également devant les travailleurs. Ils ne font pas de sermons à l’église, mais profitent largement de leurs rencontres avec des citoyens isolés ou en petits groupes dans les rues des villages» .
En 1961, un sérieux coup fut porté à la vie paroissiale. Le président du Conseil pour les Affaires de l’EOR au sein du Conseil des Ministres de l’URSS, V. A. Kouroyédov, proposa au Synode de l’Église Orthodoxe Russe, avec à sa tête le Patriarche, de mener une réforme totale de la gestion paroissiale.
L’hiéromoine Joseph ( Pavlinciuc), archevêché de Chesonèse
LES RELATIONS ENTRE L’EGLISE ET L’ETAT A L’EPOQUE DE STALINE ET KHROUCHTCHEV : L’EXEMPLE DU DIOCESE DE CHISINAU, MOLDAVIE
………………………….
Les persécutions de la fin de la période Khrouchtchévienne (1959-1964)
et leurs conséquences pour le diocèse de Chisinau.
L’attitude du clergé en cette période critique fut, selon les termes mêmes des rapports officiels, une combinaison de persistance et d’adaptation. «En ce qui concerne les prêtres, remarque en 1963 le plénipotentiaire, ils sont par nature et en toute occasion intéressés non seulement à stopper le déclin de l’Église mais également à la renforcer, à avoir plus de croyants, à célébrer autant d’offices divins et de rituels religieux que possible. L’attitude la plus courante de la part des prêtres est l’adaptation, pour laquelle ils ont une grande capacité. De nombreux prêtres changent visiblement de conduite non seulement face aux croyants, mais également devant les travailleurs. Ils ne font pas de sermons à l’église, mais profitent largement de leurs rencontres avec des citoyens isolés ou en petits groupes dans les rues des villages» .
En 1961, un sérieux coup fut porté à la vie paroissiale. Le président du Conseil pour les Affaires de l’EOR au sein du Conseil des Ministres de l’URSS, V. A. Kouroyédov, proposa au Synode de l’Église Orthodoxe Russe, avec à sa tête le Patriarche, de mener une réforme totale de la gestion paroissiale.
Les icônes les plus anciennes représentant les apôtres, datant de la fin du IVe siècle, ont été découvertes dans les catacombes de Santa Tecla à Rome, a révélé mardi le surintendant des fouilles archéologiques de ce site, Fabrizio Visconti.
Ces icônes de Pierre, Paul, André et Jean se trouvent au plafond d'une petite chambre funéraire dans les tons ocres et rouges située dans les catacombes de Santa Tecla, elles-mêmes situées à environ 500 mètres de la basilique Saint-Paul-hors-les-murs, l'une des quatre basiliques majeures de la capitale italienne, où se trouve la sépulture de Saint-Paul. Suite AFP
En russe Interfax
Ces icônes de Pierre, Paul, André et Jean se trouvent au plafond d'une petite chambre funéraire dans les tons ocres et rouges située dans les catacombes de Santa Tecla, elles-mêmes situées à environ 500 mètres de la basilique Saint-Paul-hors-les-murs, l'une des quatre basiliques majeures de la capitale italienne, où se trouve la sépulture de Saint-Paul. Suite AFP
En russe Interfax
Jean-Arnault Dérens
Autrefois république autonome rattachée à la Géorgie, l'Abkhazie a fait sécession après la sanglante guerre de 1992-1993. Après le conflit de l'été 2008 en Ossétie du Sud, l'Abkhazie a formellement proclamé son indépendance, aujourd'hui reconnue par la Russie, le Nicaragua, le Vénézuela et l'île Nauru, ainsi que d'autres «entités étatiques non reconnues», comme la République turque de Chypre du Nord.
Totalement dévastée par la guerre et l'embargo total appliqué par la Géorgie: Dans ce contexte délicat, l'Eglise orthodoxe essaie également de se reconstruire, valorisant ses origines anciennes et prestigieuses, et la présence du grand monastère de Novi Afon, le «Nouvel Athos», édifié par des moines russes au XIXe siècle sur un emplacement supposé du martyr de l'apôtre saint André...Suite "Religioscope"
Autrefois république autonome rattachée à la Géorgie, l'Abkhazie a fait sécession après la sanglante guerre de 1992-1993. Après le conflit de l'été 2008 en Ossétie du Sud, l'Abkhazie a formellement proclamé son indépendance, aujourd'hui reconnue par la Russie, le Nicaragua, le Vénézuela et l'île Nauru, ainsi que d'autres «entités étatiques non reconnues», comme la République turque de Chypre du Nord.
Totalement dévastée par la guerre et l'embargo total appliqué par la Géorgie: Dans ce contexte délicat, l'Eglise orthodoxe essaie également de se reconstruire, valorisant ses origines anciennes et prestigieuses, et la présence du grand monastère de Novi Afon, le «Nouvel Athos», édifié par des moines russes au XIXe siècle sur un emplacement supposé du martyr de l'apôtre saint André...Suite "Religioscope"
Le site Bogoslov.ru consacre une publication à la conférence internationale « La Cappadoce chrétienne et le Caucase ». Ce texte se fonde sur l’interview accordée par l’hiéromoine Joseph (Pavlincuk) et le diacre Augustin Sokolovsky à la chaîne de télévision de l’université de Tbilissi. Cette conférence s’est tenue du 2 au 4 juin dernier dans la capitale géorgienne. Parmi les intervenants ces deux représentants du diocèse de Chersonèse (PM).
Voici, en russe, le texte complet de cette interview
Voici, en russe, le texte complet de cette interview
Vladimir GOLOVANOW
Les informations se suivent et se contredisent: alors que mon article précédent montrait les progrès du dialogue avec les catholiques et ses avantages pour lutter ensemble contre le seul ennemi commun, l'Église de Chypre donne une vision caractéristique de la division de l'Orthodoxie sur ce sujet. Nous avions déjà publié une intéressante analyse des enjeux de la visite du Pape à Chypre et Irénée nous avait posté un extrait de la longue interview du métropolite Athanase de Limassol expliquant son opposition à cette visite.
Mgr Athanase est le fils spirituel de l'Ancien Joseph de Vatopaidi et l'une des personnalités les plus influentes de l'Église de Chypre, et cette interview constitue de fait un véritable réquisitoire, particulièrement bien argumenté, contre le dialogue avec les Catholiques; c'est d'autant plus frappant que ce dialogue fait la quasi unanimité des Églises orthodoxes et que la dernière réunion de la commission mixte pour le dialogue théologique s'est justement déroulée à Chypre les 16-23 octobre derniers… non sans incidents violents!
Les informations se suivent et se contredisent: alors que mon article précédent montrait les progrès du dialogue avec les catholiques et ses avantages pour lutter ensemble contre le seul ennemi commun, l'Église de Chypre donne une vision caractéristique de la division de l'Orthodoxie sur ce sujet. Nous avions déjà publié une intéressante analyse des enjeux de la visite du Pape à Chypre et Irénée nous avait posté un extrait de la longue interview du métropolite Athanase de Limassol expliquant son opposition à cette visite.
Mgr Athanase est le fils spirituel de l'Ancien Joseph de Vatopaidi et l'une des personnalités les plus influentes de l'Église de Chypre, et cette interview constitue de fait un véritable réquisitoire, particulièrement bien argumenté, contre le dialogue avec les Catholiques; c'est d'autant plus frappant que ce dialogue fait la quasi unanimité des Églises orthodoxes et que la dernière réunion de la commission mixte pour le dialogue théologique s'est justement déroulée à Chypre les 16-23 octobre derniers… non sans incidents violents!
Vladimir GOLOVANOW
La première réunion de cette Assemblée, crée conformément aux décisions de la Conférence de Chambézy IV, s'est tenue à New-York du 26 au 28 mai. 55 prélats des patriarcats de Constantinople, Moscou (y compris Église Hors Frontières), Serbie, Roumanie et Bulgarie et de l'Église Orthodoxe en Amérique (OCA) y ont pris part. Le Vice-président de l'Assemblée est Mgr Justinian de Naro-Fominsk, responsables des paroisses du patriarcat de Moscou aux USA. Dans son introduction il a souligné que "l'Orthodoxie est, actuellement, l'une des confessions chrétiennes qui se développent le plus… Il y a de plus en plus de gens qui viennent à l'Orthodoxie par choix, et non à cause de leur origine nationale… Mais chacune des Églises locales représentées ici possède son expérience unique dans les domainse de la mission, de la théologie, de l'éducation, etc."
"Nous sommes tous prêts à partager cette expérience, a-t-il continué, et en particulier l'Église russe, qui joue un rôle historiquement fondateur dans la propagation de l'Orthodoxie… Il suffit de rappeler que, jusqu'en 1920, il n'y avait en Amérique du Nord qu'une seule juridiction – celle de l'Église russe qui, comme on le sait bien, était ouverte aux représentants de différents groupes nationaux."
La première réunion de cette Assemblée, crée conformément aux décisions de la Conférence de Chambézy IV, s'est tenue à New-York du 26 au 28 mai. 55 prélats des patriarcats de Constantinople, Moscou (y compris Église Hors Frontières), Serbie, Roumanie et Bulgarie et de l'Église Orthodoxe en Amérique (OCA) y ont pris part. Le Vice-président de l'Assemblée est Mgr Justinian de Naro-Fominsk, responsables des paroisses du patriarcat de Moscou aux USA. Dans son introduction il a souligné que "l'Orthodoxie est, actuellement, l'une des confessions chrétiennes qui se développent le plus… Il y a de plus en plus de gens qui viennent à l'Orthodoxie par choix, et non à cause de leur origine nationale… Mais chacune des Églises locales représentées ici possède son expérience unique dans les domainse de la mission, de la théologie, de l'éducation, etc."
"Nous sommes tous prêts à partager cette expérience, a-t-il continué, et en particulier l'Église russe, qui joue un rôle historiquement fondateur dans la propagation de l'Orthodoxie… Il suffit de rappeler que, jusqu'en 1920, il n'y avait en Amérique du Nord qu'une seule juridiction – celle de l'Église russe qui, comme on le sait bien, était ouverte aux représentants de différents groupes nationaux."
Nikita KRIVOCHEINE
Saint Augustin se trouvait sur une plage, plongé dans la méditation. Il aperçut un adolescent qui à l’aide d’une conque transvasait l’eau de la mer dans un grande tranchée qu’il avait creusé dans le sable. « Que fais-tu ? » - Je veux mettre toute la mer dans cette tranchée. – C’est un projet fou ! – Pas moins fou que tes efforts de percer le mystère de la Sainte Trinité !
Et l’adolescent disparut. C’était un ange envoyé en aide à Saint Augustin.
Cette histoire m’a été racontée par le chanoine lituanien Stanislas Kiskis dans les camps de Mordovie. Notre « brigade » chargeait des camions de lourdes pierres. Le père Stanislav mettait à profit les intervalles entre l’arrivée des véhicules pour parler aux déportés. Il était très respecté et parvenait à être compris même des plus ignares de nos coéquipiers. Le père Stanislas avait passé toute sa jeunesse à Saint Pétersbourg, il était parfaitement russophone et russophile. Avant la guerre il avait étudié à Nancy et parlait un français parfait.
C’était son deuxième terme dans les camps. Le troisième jour après le début de l’offensive nazie il avait réussi à dissuader les habitants de Kaunas, pris de fureur contre l’occupant soviétique, d’achever les blessés que l’armée rouge avait abandonnés.
Saint Augustin se trouvait sur une plage, plongé dans la méditation. Il aperçut un adolescent qui à l’aide d’une conque transvasait l’eau de la mer dans un grande tranchée qu’il avait creusé dans le sable. « Que fais-tu ? » - Je veux mettre toute la mer dans cette tranchée. – C’est un projet fou ! – Pas moins fou que tes efforts de percer le mystère de la Sainte Trinité !
Et l’adolescent disparut. C’était un ange envoyé en aide à Saint Augustin.
Cette histoire m’a été racontée par le chanoine lituanien Stanislas Kiskis dans les camps de Mordovie. Notre « brigade » chargeait des camions de lourdes pierres. Le père Stanislav mettait à profit les intervalles entre l’arrivée des véhicules pour parler aux déportés. Il était très respecté et parvenait à être compris même des plus ignares de nos coéquipiers. Le père Stanislas avait passé toute sa jeunesse à Saint Pétersbourg, il était parfaitement russophone et russophile. Avant la guerre il avait étudié à Nancy et parlait un français parfait.
C’était son deuxième terme dans les camps. Le troisième jour après le début de l’offensive nazie il avait réussi à dissuader les habitants de Kaunas, pris de fureur contre l’occupant soviétique, d’achever les blessés que l’armée rouge avait abandonnés.
Mgr Marc d’Egorievsk : le rétablissement de l'unité canonique entre l'Eglise orthodoxe russe et l'Eglise russe hors frontières a conduit à des changements de mentalité chez les fidèles
L’acte rétablissant l’union canonique entre l’Eglise Orthodoxe Russe et l’Eglise Orthodoxe Russe Hors Frontières signé il y a exactement trois ans, le 17 mai 2007, a conduit à de profonds changements dans l’approche des fidèles. Les croyants de chacune des deux Églises ont réagi à l’union sans la moindre méfiance ou esprit de rivalité.
Le 17 mai 2007 une communion pleine et, dirais-je, une vie commune ont commencé pour les deux branches de l’Eglise russe, a dit Mgr Marc d’Egorievsk, secrétaire du patriarcat de Moscou pour les institutions à l’étranger.
« Ce sont la révolution de 1917, la guerre civile et les persécutions de la part de l’Etat soviétique qui ont conduit à la séparation. Il y a trois ans le patriarche de Moscou Alexis II et le métropolite de l’Est des Etats-Unis et de New-York Laure, tous deux décédés depuis, ont procédé à la signature de l’Acte sur l’union canonique (de fait de l’union) entre l’EOR et l’EORHF.
L’acte rétablissant l’union canonique entre l’Eglise Orthodoxe Russe et l’Eglise Orthodoxe Russe Hors Frontières signé il y a exactement trois ans, le 17 mai 2007, a conduit à de profonds changements dans l’approche des fidèles. Les croyants de chacune des deux Églises ont réagi à l’union sans la moindre méfiance ou esprit de rivalité.
Le 17 mai 2007 une communion pleine et, dirais-je, une vie commune ont commencé pour les deux branches de l’Eglise russe, a dit Mgr Marc d’Egorievsk, secrétaire du patriarcat de Moscou pour les institutions à l’étranger.
« Ce sont la révolution de 1917, la guerre civile et les persécutions de la part de l’Etat soviétique qui ont conduit à la séparation. Il y a trois ans le patriarche de Moscou Alexis II et le métropolite de l’Est des Etats-Unis et de New-York Laure, tous deux décédés depuis, ont procédé à la signature de l’Acte sur l’union canonique (de fait de l’union) entre l’EOR et l’EORHF.
Nicolas Ross
En ces jours où une discussion sur la situation présente et à venir de l’Archevêché des églises russes en Europe occidentale tente de se faire jour en son sein, la connaissance des textes fondateurs de sa plus importante paroisse, celle de la rue Daru à Paris, me paraît présenter un intérêt difficilement contestable. Le site « Parlons d’orthodoxie » a récemment eu la courtoisie de me permettre de publier un document très explicite précisant dans quelles conditions avait eu lieu en 1923 le transfert par l’ambassade de Russie à Paris de la propriété de l’église russe de la rue Daru et de ses biens à son association cultuelle, nouvellement fondée.
Les textes présentés plus bas viennent compléter, en amont et en aval, le compte-rendu de la séance du 17 mai 1923 du Conseil paroissial de l’église St Alexandre Nevski de Paris publié sur ce site en avril dernier. Après en avoir pris connaissance, chacun pourra en tirer les conclusions qu’il souhaite.
Le premier document est traduit du russe, les deux autres sont publiés dans leur langue originale.
En ces jours où une discussion sur la situation présente et à venir de l’Archevêché des églises russes en Europe occidentale tente de se faire jour en son sein, la connaissance des textes fondateurs de sa plus importante paroisse, celle de la rue Daru à Paris, me paraît présenter un intérêt difficilement contestable. Le site « Parlons d’orthodoxie » a récemment eu la courtoisie de me permettre de publier un document très explicite précisant dans quelles conditions avait eu lieu en 1923 le transfert par l’ambassade de Russie à Paris de la propriété de l’église russe de la rue Daru et de ses biens à son association cultuelle, nouvellement fondée.
Les textes présentés plus bas viennent compléter, en amont et en aval, le compte-rendu de la séance du 17 mai 1923 du Conseil paroissial de l’église St Alexandre Nevski de Paris publié sur ce site en avril dernier. Après en avoir pris connaissance, chacun pourra en tirer les conclusions qu’il souhaite.
Le premier document est traduit du russe, les deux autres sont publiés dans leur langue originale.
Lle site officiel de la Métropole orthodoxe roumaine d'Europe Occidentale et Méridionale dont le siège est à Paris, a diffusé un message en réponse aux critiques concernant le document intitulé Appel à l’unité et à la dignité roumaine et élaboré par le Saint Synode de l’Eglise orthodoxe roumaine le 11 février 2010. "Il a suscité, particulièrement en France, certaines réactions d’incompréhension dues autant au caractère assez général du texte lui-même qu’à une lecture sans doute hâtive de ce dernier".
"Devant le trouble causé chez quelques fidèles par ces réactions hors de propos – la situation réelle dans nos pays étant beaucoup plus complexe qu’ils ne veulent bien le suggérer et personne n’ayant du reste le monopole de la conscience orthodoxe - la Métropole Orthodoxe Roumaine d’Europe Occidentale et Méridionale estime nécessaire d’apporter les précisions suivantes : Cet appel s’adresse uniquement à « tous les clercs et fidèles orthodoxes roumains (vivant) hors des frontières de leur pays qui demeurent sans bénédiction (en italique et souligné par nous) dans d’autres Eglises orthodoxes sœurs ou dans des structures non canoniques ».
"Devant le trouble causé chez quelques fidèles par ces réactions hors de propos – la situation réelle dans nos pays étant beaucoup plus complexe qu’ils ne veulent bien le suggérer et personne n’ayant du reste le monopole de la conscience orthodoxe - la Métropole Orthodoxe Roumaine d’Europe Occidentale et Méridionale estime nécessaire d’apporter les précisions suivantes : Cet appel s’adresse uniquement à « tous les clercs et fidèles orthodoxes roumains (vivant) hors des frontières de leur pays qui demeurent sans bénédiction (en italique et souligné par nous) dans d’autres Eglises orthodoxes sœurs ou dans des structures non canoniques ».
Le patriarche Kirill Ier de Moscou et de toutes les Russies offre un concert à Benoît XVI à l'occasion de son anniversaire, le 20 mai à 18 h dans la salle Paul VI du Vatican. Le concert a lieu dans le cadre de la Journée de culture et de spiritualité russe organisée au Vatican et promue par le patriarche.
« C'est un cadeau de l'Eglise orthodoxe russe » au pape pour son anniversaire, a précisé l'higoumène Philipp Vassiltsev. Un message du patriarche Kirill Ier devrait être lu à cette occasion par le métropolite Hilarion. Le pape prononcera une allocution à la fin du concert.
L'orchestre national russe sera placé sous la direction de Carlo Ponti - fils de Sofia Loren et Carlo Ponti. Participeront aussi à ce concert le chœur du synode de Moscou, dirigé par Alexeï Puzakov, et la Chapelle des Cors de Russie, dirigé par Sergeï Pechanski....suite ROME, Lundi 10 mai 2010 (ZENIT.org)
« C'est un cadeau de l'Eglise orthodoxe russe » au pape pour son anniversaire, a précisé l'higoumène Philipp Vassiltsev. Un message du patriarche Kirill Ier devrait être lu à cette occasion par le métropolite Hilarion. Le pape prononcera une allocution à la fin du concert.
L'orchestre national russe sera placé sous la direction de Carlo Ponti - fils de Sofia Loren et Carlo Ponti. Participeront aussi à ce concert le chœur du synode de Moscou, dirigé par Alexeï Puzakov, et la Chapelle des Cors de Russie, dirigé par Sergeï Pechanski....suite ROME, Lundi 10 mai 2010 (ZENIT.org)
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