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Le 26 décembre 2019, pendant sa réunion, le Saint-Synode de l’Église orthodoxe russe a étudié les conséquences de la reconnaissance de la structure schismatique fonctionnant en Ukraine par le primat du Patriarcat d’Alexandrie. Le 8 novembre, au cours d’une Divine liturgie célébrée au Caire le 8 novembre, le patriarche Théodore avait fait mémoire du chef du groupe schismatique ukrainien au moment de la commémoration des primats des Églises orthodoxes autocéphales, à la Grande entrée, avant d’annoncer officiellement qu’il reconnaissait cette structure non-canonique.
Le Synode de l’Église russe a exprimé « sa profonde affliction des actes anticanoniques du patriarche Théodore d’Alexandrie, entré en communion avec les schismatiques ».
Le Synode de l’Église russe a exprimé « sa profonde affliction des actes anticanoniques du patriarche Théodore d’Alexandrie, entré en communion avec les schismatiques ».
Rédigé par Parlons D'orthodoxie le 28 Décembre 2019 à 10:27
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2 commentaires
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Le patriarche appelle le clergé à faire preuve de tact et de modestie à l'égard de ceux qui viennent se confesser:
"La confession a un seul but, celui de réconcilier le pêcheur avec le Seigneur. Il est inadmissible d'en faire un moyen d’investigation ou de contrôle, de la considérer comme une sorte de psychothérapie.
En recevant une confession le prêtre doit mettre entre parenthèses ses fonctions de moniteur, de guide, d'ami et d'interlocuteur. Il ne doit être que le témoin de la repentance. La confession ne doit pas devenir l'objet de la curiosité du prêtre à l'égard de la vie d'autrui. Certains estiment qu'il ne devrait y avoir aucun tabou lors de la confession.
Or, ces interdits existent, cela concerne surtout l'union conjugale, la vie intime du couple. Personne ne peut s'immiscer brutalement dans ce domaine. Une telle ingérence ne pourrait être que dommageable et n'est d'aucune utilité".
"La confession a un seul but, celui de réconcilier le pêcheur avec le Seigneur. Il est inadmissible d'en faire un moyen d’investigation ou de contrôle, de la considérer comme une sorte de psychothérapie.
En recevant une confession le prêtre doit mettre entre parenthèses ses fonctions de moniteur, de guide, d'ami et d'interlocuteur. Il ne doit être que le témoin de la repentance. La confession ne doit pas devenir l'objet de la curiosité du prêtre à l'égard de la vie d'autrui. Certains estiment qu'il ne devrait y avoir aucun tabou lors de la confession.
Or, ces interdits existent, cela concerne surtout l'union conjugale, la vie intime du couple. Personne ne peut s'immiscer brutalement dans ce domaine. Une telle ingérence ne pourrait être que dommageable et n'est d'aucune utilité".
Donné à l’occasion du troisième anniversaire de la consécration de la cathédrale orthodoxe russe de la Sainte-Trinité, le présent concert est consacré à la fête de la Nativité ou fête de Noël. Dans la tradition liturgique Orthodoxe, cette fête est rattachée au groupe des douze grandes célébrations festives inclues dans le cycle liturgique annuel fixe, étant célébrée par la communauté de l’Eglise de Jérusalem dès la période primitive de son existence.
Souvent dénommée en Russie ‘’Pâques d’Hiver’’, la fête de la Nativité est précédée d’une période préparatoire de carême et la dimension festive de sa célébration se poursuit durant une période s’étendant bien au-delà de la journée du 25 décembre,ce temps de réjouissances étant usuellement dénommé en langue russe ‘’Svyatkis’’,temps de réjouissances auquel au demeurant est également rattachée la fête de la Théophanie.
Souvent dénommée en Russie ‘’Pâques d’Hiver’’, la fête de la Nativité est précédée d’une période préparatoire de carême et la dimension festive de sa célébration se poursuit durant une période s’étendant bien au-delà de la journée du 25 décembre,ce temps de réjouissances étant usuellement dénommé en langue russe ‘’Svyatkis’’,temps de réjouissances auquel au demeurant est également rattachée la fête de la Théophanie.
En septembre 2019, le Saint-Synode a accepté au sein de l’Église orthodoxe russe le chef de l’Archevêché des paroisses de tradition russe d’Europe occidentale, ainsi que le clergé et les paroisses qui l’ont suivi. L’auteur de la publication offre son opinion personnelle sur l’importance historique de cet événement.
Comparé avec la réunification solennelle de l’Église orthodoxe russe Hors Frontières et de l’Église orthodoxe russe du patriarcat de Moscou en 2007, le passage récent de la majorité du clergé et des paroisses de l’Archevêché des églises orthodoxes de tradition russe en Europe occidentale dans la juridiction du patriarcat de Moscou a été relaté plus modestement dans la presse. Il y a des raisons à cela. Premièrement, un premier tel passage avait déjà eu lieu en 1945, puis été annulée par l’assemblée diocésaine après la mort du métropolite Euloge.
Deuxièmement, la transition de 2019 n’a pas recueilli la majorité nécessaire (2/3 des voix) lors de l’assemblée diocésaine, ce qui pourrait encore donner lieu à de douloureux litiges concernant la propriété des églises. Troisièmement, l’archevêché n’a jamais possédé son propre primat ni synode et n’a jamais rompu la communion eucharistique avec l’Église orthodoxe russe. Enfin, cette transition n’avait été initiée ni par l’Archevêché, ni par le Patriarcat de Moscou, mais par le patriarcat de Constantinople, en abolissant l’Archevêché de manière inattendue en novembre 2018.
Comparé avec la réunification solennelle de l’Église orthodoxe russe Hors Frontières et de l’Église orthodoxe russe du patriarcat de Moscou en 2007, le passage récent de la majorité du clergé et des paroisses de l’Archevêché des églises orthodoxes de tradition russe en Europe occidentale dans la juridiction du patriarcat de Moscou a été relaté plus modestement dans la presse. Il y a des raisons à cela. Premièrement, un premier tel passage avait déjà eu lieu en 1945, puis été annulée par l’assemblée diocésaine après la mort du métropolite Euloge.
Deuxièmement, la transition de 2019 n’a pas recueilli la majorité nécessaire (2/3 des voix) lors de l’assemblée diocésaine, ce qui pourrait encore donner lieu à de douloureux litiges concernant la propriété des églises. Troisièmement, l’archevêché n’a jamais possédé son propre primat ni synode et n’a jamais rompu la communion eucharistique avec l’Église orthodoxe russe. Enfin, cette transition n’avait été initiée ni par l’Archevêché, ni par le Patriarcat de Moscou, mais par le patriarcat de Constantinople, en abolissant l’Archevêché de manière inattendue en novembre 2018.
Nous regrettons la décision inattendue du Patriarche d'Alexandrie et nous aimerions qu'elle soit révisée.
Un certain nombre de prêtres africains du Patriarcat d'Alexandrie ont publié une lettre ouverte concernant la récente décision de leur patriarche, Théodore II d'Alexandrie, de reconnaître l'"Eglise orthodoxe d'Ukraine" schismatique et de commémorer son primat, Epiphane Doumenko, dans les offices divins. <...>
La lettre est signée par 27 prêtres du Kenya, de Tanzanie, d'Ouganda et de Zambie qui sont attristés par la décision de leur patriarche et prient pour qu'elle soit reconsidérée.
***
C'est avec beaucoup de surprise et d'embarras que nous, prêtres orthodoxes africains, avons appris la décision du Patriarche Théodore II d'Alexandrie de reconnaître la soi-disant " Église orthodoxe d'Ukraine. "
Cette décision soudaine va à l'encontre de la position antérieure de notre Patriarche et met en péril les bonnes relations de notre Église avec l'Église orthodoxe russe qui se sont développées au cours des dernières décennies. En outre, la reconnaissance des schismatiques ukrainiens d'hier est critiquée dans de nombreuses Églises locales et signifie une rupture avec l'Église orthodoxe ukrainienne canonique, à laquelle appartiennent la plupart des Ukrainiens orthodoxes.
Un certain nombre de prêtres africains du Patriarcat d'Alexandrie ont publié une lettre ouverte concernant la récente décision de leur patriarche, Théodore II d'Alexandrie, de reconnaître l'"Eglise orthodoxe d'Ukraine" schismatique et de commémorer son primat, Epiphane Doumenko, dans les offices divins. <...>
La lettre est signée par 27 prêtres du Kenya, de Tanzanie, d'Ouganda et de Zambie qui sont attristés par la décision de leur patriarche et prient pour qu'elle soit reconsidérée.
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C'est avec beaucoup de surprise et d'embarras que nous, prêtres orthodoxes africains, avons appris la décision du Patriarche Théodore II d'Alexandrie de reconnaître la soi-disant " Église orthodoxe d'Ukraine. "
Cette décision soudaine va à l'encontre de la position antérieure de notre Patriarche et met en péril les bonnes relations de notre Église avec l'Église orthodoxe russe qui se sont développées au cours des dernières décennies. En outre, la reconnaissance des schismatiques ukrainiens d'hier est critiquée dans de nombreuses Églises locales et signifie une rupture avec l'Église orthodoxe ukrainienne canonique, à laquelle appartiennent la plupart des Ukrainiens orthodoxes.
Il a été permis à l'Eglise canonique orthodoxe d'Ukraine de garder sa dénomination. La Cour Suprême n'a pas donné satisfaction à la requête en cassation déposée par le Ministère de la culture d'Ukraine qui souhaitait un changement de dénomination. Cette décision est définitive.
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Aujourd'hui, 15 décembre 2019, la paroisse d'Asnières a voté. Voici les résultats du scrutin, Axios!
Paroisse d'Asnières
Moscou : 19
Constantinople : 18
Paroisse d'Asnières
Moscou : 19
Constantinople : 18
La paroisse de la Mère de Dieu du Signe a célébré le 10 décembre 2019 la fête de l'icône de la Mère de Dieu de la Racine.
A la fin de la divine liturgie Monseigneur Hilarion, métropolite de New York (EORHF), a élevé l'archevêque de Berlin et d'Allemagne Marc (Arndt) au rang de métropolite, ceci à l'occasion du quarantième anniversaire de son ordination et pour récompenser ses mérites au service de l'Eglise du Christ. Le Synode des évêque de l'Eglise Hors Frontières avait débattu de cette décision en juin dernier.
A la fin de la divine liturgie Monseigneur Hilarion, métropolite de New York (EORHF), a élevé l'archevêque de Berlin et d'Allemagne Marc (Arndt) au rang de métropolite, ceci à l'occasion du quarantième anniversaire de son ordination et pour récompenser ses mérites au service de l'Eglise du Christ. Le Synode des évêque de l'Eglise Hors Frontières avait débattu de cette décision en juin dernier.
Texte inédit traduit pour PO par Marie Genko
Aperçu de la situation de l’Exarchat russe dans la juridiction œcuménique Holy Trinity monastery Jordanville USA
Le diocèse russe en Europe occidentale, à présent exarchat du patriarcat œcuménique de Constantinople, est composé des anciennes et des nouvelles paroisses et églises des exilés russes et il faisait partie du corps de l’Eglise de Russie jusqu’en 1931 lorsqu’il se soumit au patriarcat œcuménique.
L’archevêque Eloge fut nommé le 2 octobre 1920 à la tête des églises russes d’Europe occidentale de façon provisoire. Cela fut une décision de la Haute administration ecclésiale, formée en 1919 et qui se trouvait au sud de la Russie en raison de la guerre civile et à cause de la séparation d’une partie des diocèses du centre de l’Eglise.
Aperçu de la situation de l’Exarchat russe dans la juridiction œcuménique Holy Trinity monastery Jordanville USA
Le diocèse russe en Europe occidentale, à présent exarchat du patriarcat œcuménique de Constantinople, est composé des anciennes et des nouvelles paroisses et églises des exilés russes et il faisait partie du corps de l’Eglise de Russie jusqu’en 1931 lorsqu’il se soumit au patriarcat œcuménique.
L’archevêque Eloge fut nommé le 2 octobre 1920 à la tête des églises russes d’Europe occidentale de façon provisoire. Cela fut une décision de la Haute administration ecclésiale, formée en 1919 et qui se trouvait au sud de la Russie en raison de la guerre civile et à cause de la séparation d’une partie des diocèses du centre de l’Eglise.
Commentaires du Secrétariat de la Commission synodale biblique et théologique de l’Église orthodoxe russe.
Les démarches unilatérales du Patriarcat de Constantinople en Ukraine, qui se sont achevées en janvier 2019 par la signature d’un prétendu « tomos d’autocéphalie », malgré la volonté de l’épiscopat, du clergé, des moines et des laïcs de l’Église orthodoxe d’Ukraine, ont suscité un vif débat dans les milieux ecclésiastiques. L’analyse des publications consacrées à ce thème montre que beaucoup de ceux qui participent à ces débats relient étroitement la question ukrainienne à des notions clés de l’ecclésiologie orthodoxe, comme la succession apostolique, l’économie et ses limites, le fonctionnement de l’Église orthodoxe au niveau universel, la conciliarité et la primauté.
Dans leurs ouvrages, de nombreux auteurs, notamment des auteurs de langue grecque, se montrent, avec raison, inquiets de savoir comment sera préservée intacte la succession apostolique, après la décision du Synode du Patriarcat de Constantinople d’admettre à la communion eucharistique des individus n’ayant pas été ordonnés légalement.
Les démarches unilatérales du Patriarcat de Constantinople en Ukraine, qui se sont achevées en janvier 2019 par la signature d’un prétendu « tomos d’autocéphalie », malgré la volonté de l’épiscopat, du clergé, des moines et des laïcs de l’Église orthodoxe d’Ukraine, ont suscité un vif débat dans les milieux ecclésiastiques. L’analyse des publications consacrées à ce thème montre que beaucoup de ceux qui participent à ces débats relient étroitement la question ukrainienne à des notions clés de l’ecclésiologie orthodoxe, comme la succession apostolique, l’économie et ses limites, le fonctionnement de l’Église orthodoxe au niveau universel, la conciliarité et la primauté.
Dans leurs ouvrages, de nombreux auteurs, notamment des auteurs de langue grecque, se montrent, avec raison, inquiets de savoir comment sera préservée intacte la succession apostolique, après la décision du Synode du Patriarcat de Constantinople d’admettre à la communion eucharistique des individus n’ayant pas été ordonnés légalement.
Les églises désacralisées de Rouen ont trouvé preneur, à l’exception de Saint-Paul, « dont l’accessibilité pose problème », reconnaît Christine Rambaud, adjointe au maire chargée de l’urbanisme et membre du jury d’élus qui a sélectionné les projets pour la reprise de trois édifices. Sainte-Croix-des-Pelletiers, Saint-Pierre-du-Chatel et Saint-Nicaise vont ainsi reprendre vie d’ici les prochaines années, grâce aux ambitions d’entrepreneurs locaux, qui prévoient de les transformer en brasserie, en hôtel restaurant luxueux ou en espace de coworking.
« Notre premier objectif était de sauver ces quatre monuments historiques, pour qu’ils continuent à être des éléments de l’attractivité de Rouen, explique le maire Yvon Robert, en référence à l’appel à projets lancé en mai dernier. Même avec des subventions, nous n’aurions pas les moyens de les restaurer. »
« Notre premier objectif était de sauver ces quatre monuments historiques, pour qu’ils continuent à être des éléments de l’attractivité de Rouen, explique le maire Yvon Robert, en référence à l’appel à projets lancé en mai dernier. Même avec des subventions, nous n’aurions pas les moyens de les restaurer. »
Le vendredi 6 décembre 2019 ont eu lieu des solennités à l’occasion de la fête onomastique de la cathédrale Saint Alexandre de la Neva. C’était la première liturgie commune concélébrée par les métropolites Jean et Antoine.
Participait à la liturgie les clergés des deux diocèses : le protopresbytre Anatole Rakovitch, l’archiprêtre Jean Gueit, l’archiprêtre Eugène Chapiuk, le protodiacre Jean Drobot… Il y avait dans la cathédrale de nombreux membres du clergé qui accompagnaient le métropolite Antoine : le père Maxim Politov, secrétaire de l’administration diocésaine, l’archiprêtre Nicolas Rehbinder, recteur de l’église des Trois Saints Docteurs à Paris et le protodiacre Nicolas Rehbinder de la cathédrale de la Sainte Trinité.
La liturgie a été chantée conjointement par les chorales des cathédrales Saint Alexandre et Sainte Trinité.
Participait à la liturgie les clergés des deux diocèses : le protopresbytre Anatole Rakovitch, l’archiprêtre Jean Gueit, l’archiprêtre Eugène Chapiuk, le protodiacre Jean Drobot… Il y avait dans la cathédrale de nombreux membres du clergé qui accompagnaient le métropolite Antoine : le père Maxim Politov, secrétaire de l’administration diocésaine, l’archiprêtre Nicolas Rehbinder, recteur de l’église des Trois Saints Docteurs à Paris et le protodiacre Nicolas Rehbinder de la cathédrale de la Sainte Trinité.
La liturgie a été chantée conjointement par les chorales des cathédrales Saint Alexandre et Sainte Trinité.
Les 3 et 4 décembre 2019, fête de la Présentation de la Sainte Vierge Marie au Temple, nous commémorerons le troisième anniversaire de la consécration de la Cathédrale de la Sainte Trinité, quai de Branly.
Il y exactement trois ans le patriarche de Moscou Sa Sainteté Cyrille a, en présence de nombreux évêques et membres du clergé représentant les Eglises orthodoxes locales, présidé la consécration de la nouvelle cathédrale du diocèse de Chersonèse.
Des vêpres solennelles seront célébrées le 3 décembre à la cathédrale. L’office commencera à 18 heures.
Le lendemain, 4 décembre, fête de la Présentation de la Sainte Vierge au Temple, Monseigneur Antoine, métropolite de Chersonèse et d’Europe occidentale, Exarque du Patriarche, présidera la célébration de la Divine liturgie. Lui concélèbreront tous les évêques de l’Exarchat : Monseigneur Simon, archevêque de Bruxelles et de Belgique ; Monseigneur Elisée, archevêque de La Haye et des Pays-Bas ; Monseigneur Nestor, archevêque de Madrid et de Lisbonne ; Monseigneur Mathieu, évêque de Sourozh ainsi que Monseigneur Ambroise de Bogorodsk.
L’office commence à 9 heures.
Il y exactement trois ans le patriarche de Moscou Sa Sainteté Cyrille a, en présence de nombreux évêques et membres du clergé représentant les Eglises orthodoxes locales, présidé la consécration de la nouvelle cathédrale du diocèse de Chersonèse.
Des vêpres solennelles seront célébrées le 3 décembre à la cathédrale. L’office commencera à 18 heures.
Le lendemain, 4 décembre, fête de la Présentation de la Sainte Vierge au Temple, Monseigneur Antoine, métropolite de Chersonèse et d’Europe occidentale, Exarque du Patriarche, présidera la célébration de la Divine liturgie. Lui concélèbreront tous les évêques de l’Exarchat : Monseigneur Simon, archevêque de Bruxelles et de Belgique ; Monseigneur Elisée, archevêque de La Haye et des Pays-Bas ; Monseigneur Nestor, archevêque de Madrid et de Lisbonne ; Monseigneur Mathieu, évêque de Sourozh ainsi que Monseigneur Ambroise de Bogorodsk.
L’office commence à 9 heures.
La paroisse Saint-Serge à Paris a voté aujourd’hui le 30 novembre 2019, lors de son assemblée générale ordinaire pour choisir sa juridiction ecclésiastique !
Voici les résultats : 31 voix pour le rattachement de la paroisse à l’Archevêché tel qu’il a été reçu par le Patriarcat de Moscou (Mgr Jean de Doubna) et 27 voix pour le rattachement de la paroisse à une structure issue de l’Archevêché dans le cadre de la Métropole grecque de France.
Orthodoxie. com
Voici les résultats : 31 voix pour le rattachement de la paroisse à l’Archevêché tel qu’il a été reçu par le Patriarcat de Moscou (Mgr Jean de Doubna) et 27 voix pour le rattachement de la paroisse à une structure issue de l’Archevêché dans le cadre de la Métropole grecque de France.
Orthodoxie. com
Quoi qu'on dise de la Fédération de Russie, la séparation de l'Eglise et de l'Etat y est bien réelle. Même l'état civil est en Grèce géré par les entités confessionnelles. Ce qui a été critiqué par le Conseil de l'Europe. Constantinople y a mis en place, avec Porochenko, une église nationaliste en Ukraine.
"PO"
Le parlement grec a rejeté les amendements à la constitution, prévoyant la séparation de l’Église et de l’État. Lors du vote, le 25 novembre 2019, les différents amendements visant à la « neutralité religieuse » n’ont reçu que de 83 à 124 suffrages sur les 300 que compte le parlement hellénique. En Grèce, l’Église n’est pas séparée de l’État, et le président, le premier-ministre et les membres du gouvernement prêtent habituellement serment sur l’Évangile devant l’archevêque d’Athènes, au nom « de la Sainte, Consubstantielle et indivisible Trinité ».
"PO"
Le parlement grec a rejeté les amendements à la constitution, prévoyant la séparation de l’Église et de l’État. Lors du vote, le 25 novembre 2019, les différents amendements visant à la « neutralité religieuse » n’ont reçu que de 83 à 124 suffrages sur les 300 que compte le parlement hellénique. En Grèce, l’Église n’est pas séparée de l’État, et le président, le premier-ministre et les membres du gouvernement prêtent habituellement serment sur l’Évangile devant l’archevêque d’Athènes, au nom « de la Sainte, Consubstantielle et indivisible Trinité ».
Père Zenon - dans le monde Vladimir Theodore - est né dans le sud de l'Ukraine en 1953, de sorte que les trente-huit premières années de sa vie se sont passées sous le communisme athée. Lui et sa famille vivait dans la région de Mykolaïv près d'Odessa, dans la petite ville de Pervomaïsk. Dans les interviews, il a souvent souligné que cette région était autrefois une très grande colonie Grecque. Ce fait pourrait bien avoir influencé sa convictions que l'iconographie russe doit retourner à ses racines byzantines si elle souhaite atteindre à nouveau les sommets qu'elle a obtenu au XVe siècle. Suite
Sa Béatitude Théophile III, Patriarche de Jérusalem, propose une rencontre des responsables des Eglises locales à Amman, ceci afin de maintenir l'unité panorthodoxe:
"Me trouvant à Moscou je déclare que nous ouvrons les portes de notre maison dans le Royaume de Jordanie afin d'y tenir une rencontre fraternelle pour renforcer l'unité de l'Eglise orthodoxe dans le monde". Le patriarche s'est dit inquiet de la situation en Ukraine. Il se refuse à reconnaître l’entité non canonique instituée en 2018 par le patriarche Bartholomé. Le patriarche ne reconnaît que l'Eglise dirigée par le métropolite Onuphre.
"Me trouvant à Moscou je déclare que nous ouvrons les portes de notre maison dans le Royaume de Jordanie afin d'y tenir une rencontre fraternelle pour renforcer l'unité de l'Eglise orthodoxe dans le monde". Le patriarche s'est dit inquiet de la situation en Ukraine. Il se refuse à reconnaître l’entité non canonique instituée en 2018 par le patriarche Bartholomé. Le patriarche ne reconnaît que l'Eglise dirigée par le métropolite Onuphre.
L'exposition "Le monde des enfants de la famille de l'empereur Nicolas II, Olga, Tatiana, Marie, Anastasie et Alexis” est un projet conjoint du musée de l'Ermitage, du musée-conservatoire "de Kolomna" à Moscou et des archives d'État de la Fédération de Russie.
Le thème principal de l'exposition est l'histoire de la vie quotidienne de la famille du dernier empereur de Russie Nicolas II. Tout d'abord, l'exposition est dédiée à ses enfants : les grandes duchesses Olga, Tatiana, Marie, Anastasie et leur frère, le tsarévitch Alexis. Le cadre chronologique englobe la période allant de leur naissance à l'adolescence. Une grande attention est accordée à leur éducation familiale et à leur instruction. Les derniers mois du séjour de la famille impériale à Ekaterinbourg et sa fin tragique ne sont pas évoqués.
Le thème principal de l'exposition est l'histoire de la vie quotidienne de la famille du dernier empereur de Russie Nicolas II. Tout d'abord, l'exposition est dédiée à ses enfants : les grandes duchesses Olga, Tatiana, Marie, Anastasie et leur frère, le tsarévitch Alexis. Le cadre chronologique englobe la période allant de leur naissance à l'adolescence. Une grande attention est accordée à leur éducation familiale et à leur instruction. Les derniers mois du séjour de la famille impériale à Ekaterinbourg et sa fin tragique ne sont pas évoqués.
Annonce
Une conférence intitulée : « L’avenir de l’Archevêché et de ses paroisses » aura lieu dans les locaux de St.Serge au 93, rue de Crimée, Paris 19ème à 19h00 le vendredi 22 novembre 2019.
Les intervenants seront la métropolite Jean de Doubna, Archevêché des églises orthodoxes russes en Europe occidentale ; p.Nicolas Cernokrak, doyen de l’ITO-Saint-Serge de Paris ; p.Jivko Panev, maître de conférence de droit canon à l’ITO-Saint-Serge de Paris ; Daniel Struve, rédacteur en chef de la maison d’édition YMCA-Press et membre du comité de rédaction des revues « Messager de l’ACER » et « Le Messager Orthodoxe ».
L’entrée est libre et la conférence sera suivie d’un buffet.
Une conférence intitulée : « L’avenir de l’Archevêché et de ses paroisses » aura lieu dans les locaux de St.Serge au 93, rue de Crimée, Paris 19ème à 19h00 le vendredi 22 novembre 2019.
Les intervenants seront la métropolite Jean de Doubna, Archevêché des églises orthodoxes russes en Europe occidentale ; p.Nicolas Cernokrak, doyen de l’ITO-Saint-Serge de Paris ; p.Jivko Panev, maître de conférence de droit canon à l’ITO-Saint-Serge de Paris ; Daniel Struve, rédacteur en chef de la maison d’édition YMCA-Press et membre du comité de rédaction des revues « Messager de l’ACER » et « Le Messager Orthodoxe ».
L’entrée est libre et la conférence sera suivie d’un buffet.
Le 25 mai 2016, Sa Sainteté le Patriarche Cyrille a envoyé un ecclésiastique de l'Eglise métropolitaine de Belgorod, le prêtre George Ivanchoglo, en République de Turquie pour les besoins spirituels des fidèles orthodoxes vivant dans la province turque d'Antalya.
Auparavant, un groupe de citoyens orthodoxes de la République de Turquie dirigé par Oksana Vladimirovna Alykan a commencé à recueillir des documents pour l'enregistrement officiel de la première Société des croyants orthodoxes russes dans la province d'Antalya dans l'histoire du pays (Antalyadaki Rusça Konuşan OrtodoksİnançlılılarDerneği) à Antalya.
Auparavant, un groupe de citoyens orthodoxes de la République de Turquie dirigé par Oksana Vladimirovna Alykan a commencé à recueillir des documents pour l'enregistrement officiel de la première Société des croyants orthodoxes russes dans la province d'Antalya dans l'histoire du pays (Antalyadaki Rusça Konuşan OrtodoksİnançlılılarDerneği) à Antalya.
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Communiqué des Evêques Orthodoxes de France au sujet de la guerre en Ukraine
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Communiqué des Evêques Orthodoxes de France au sujet de la guerre en Ukraine
12/04/2022 22:00 - Nadejda na Mir
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