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A l'issue de la rencontre le 28 avril avec le patriarche Cyrille de Moscou, le premier ministre bulgare Sergueï Stanichev a remercié l'Église russe pour le soutien à l'Église orthodoxe de Bulgarie, confrontée à un schisme. Récemment, la Cour européenne des droits de l'homme a reconnu les prétentions de "l'Église" dissidente bulgare à un certains nombre de lieux du culte. "Le côté bulgare a fait appel à la Cour européenne des droits de l'homme et je remercie les experts de l'Église orthodoxe russe pour leur aide", a déclaré S. Stanichev.
Le premier ministre a rappelé que le schisme au sein de l'orthodoxie bulgare, survenu dans les années 1990, avait un caractère politique et qu'actuellement "il n'y a qu'une Église orthodoxe sous la direction du patriarche Maxime". Il s'étonne d'ailleurs que cette question soit soulevée par le tribunal de Strasbourg: "La question de l'unité de l'Église orthodoxe de Bulgarie ne peut pas être soulevée. Il y a eu un schisme dans les années 1990 qui était politique... Il a été résolu par les moyens canoniques, c'est-à-dire par un concile, soutenu ouvertement par toutes les autres Églises orthodoxes". Ce n'est donc pas aux tribunaux internationaux d'y revenir.
Le premier ministre a rappelé que le schisme au sein de l'orthodoxie bulgare, survenu dans les années 1990, avait un caractère politique et qu'actuellement "il n'y a qu'une Église orthodoxe sous la direction du patriarche Maxime". Il s'étonne d'ailleurs que cette question soit soulevée par le tribunal de Strasbourg: "La question de l'unité de l'Église orthodoxe de Bulgarie ne peut pas être soulevée. Il y a eu un schisme dans les années 1990 qui était politique... Il a été résolu par les moyens canoniques, c'est-à-dire par un concile, soutenu ouvertement par toutes les autres Églises orthodoxes". Ce n'est donc pas aux tribunaux internationaux d'y revenir.
Rédigé par l'équipe de rédaction le 28 Avril 2009 à 18:45
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Le dimanche 26 avril, le patriarche Cyrille de Moscou, en concélébration avec le métropolite Jonas, primat de l'Église orthodoxe autocéphale en Amérique, a présidé la première ordination épiscopale depuis son élection. Ils ont ordonné Mgr Tikhon (Zaïtsev), ancien chef de la Mission russe à Jérusalem, nommé le 30 mars dernier auxiliaire du diocèse de Moscou et président de la commission financière et économique du patriarcat.
En remettant au nouvel évêque la crosse pastorale, le patriarche Cyrille a rappelé que "l'évêque est avant tout le gardien de la pureté de la foi et de l'unité de l'Église". "La parole de l'évêque doit aujourd'hui être particulièrement convaincante, a ajouté le patriarche, et son exemple moral fort et irréprochable". Il a appelé également le nouvel évêque à "servir les faibles et les pauvres et à porter secours aux groupes les plus démunis de la société".
Le patriarche a dénoncé "la corruption largement répandue aujourd'hui" et exhorté Mgr Tikhon dans son activité financière à "donner l'exemple de l'acquisition et de la dépense honnête des moyens à sa disposition." "Les biens matériels de l'Église, a conclu le patriarche Cyrille, doivent servir aux fidèles, contribuant à leur croissance spirituelle".
En remettant au nouvel évêque la crosse pastorale, le patriarche Cyrille a rappelé que "l'évêque est avant tout le gardien de la pureté de la foi et de l'unité de l'Église". "La parole de l'évêque doit aujourd'hui être particulièrement convaincante, a ajouté le patriarche, et son exemple moral fort et irréprochable". Il a appelé également le nouvel évêque à "servir les faibles et les pauvres et à porter secours aux groupes les plus démunis de la société".
Le patriarche a dénoncé "la corruption largement répandue aujourd'hui" et exhorté Mgr Tikhon dans son activité financière à "donner l'exemple de l'acquisition et de la dépense honnête des moyens à sa disposition." "Les biens matériels de l'Église, a conclu le patriarche Cyrille, doivent servir aux fidèles, contribuant à leur croissance spirituelle".
Dépêche de l'Agence France Presse:
Le président du Bélarus Alexandre Loukachenko a été reçu lundi par le pape Benoît XVI au Vatican, dans le cadre de sa première visite en Europe occidentale depuis 1996, a annoncé le Saint-Siège dans un communiqué.
"Nous nous verrons au Bélarus si Dieu le veut", a déclaré le président Loukachenko, à l'issue de la rencontre qui a duré une vingtaine de minutes.
Le Vatican n'a pas donné d'indication sur le contenu des discussions.
Le président Loukachenko avait indiqué samedi qu'il avait l'intention de transmettre une série de questions préparées avec le patriarche Cyrille de Moscou au pape Benoît XVI.
Il s'agit de la première rencontre entre M. Loukachenko et Benoît XVI. Le président bélarusse s'était entretenu à Minsk en juin 2008 avec le numéro deux du Vatican le cardinal Tarcisio Bertone.
Le président du Bélarus Alexandre Loukachenko a été reçu lundi par le pape Benoît XVI au Vatican, dans le cadre de sa première visite en Europe occidentale depuis 1996, a annoncé le Saint-Siège dans un communiqué.
"Nous nous verrons au Bélarus si Dieu le veut", a déclaré le président Loukachenko, à l'issue de la rencontre qui a duré une vingtaine de minutes.
Le Vatican n'a pas donné d'indication sur le contenu des discussions.
Le président Loukachenko avait indiqué samedi qu'il avait l'intention de transmettre une série de questions préparées avec le patriarche Cyrille de Moscou au pape Benoît XVI.
Il s'agit de la première rencontre entre M. Loukachenko et Benoît XVI. Le président bélarusse s'était entretenu à Minsk en juin 2008 avec le numéro deux du Vatican le cardinal Tarcisio Bertone.
BERLIN, 26 avr 2009 (Agence France Presse)
Les Berlinois ont rejeté dimanche lors d'un référendum local une revalorisation des cours de religion dans les écoles de la capitale allemande, qui continueront donc à organiser des leçons d'"éthique" obligatoires pour tous les élèves, quelles que soient leurs origines. 51,3% des votants ont rejeté une réforme qui prévoyait que les élèves aient le choix entre ce cours d'éthique et un cours portant sur la religion de leur choix, selon des résultats définitifs communiqués à 19h00 GMT. Ces résultats montrent un très net clivage entre l'ancien Berlin-Est communiste, très peu religieux, et les quartiers plus bourgeois et conservateurs de l'ancien Berlin-Ouest.
Ainsi, le "oui" a recueilli 66,3% des voix dans le quartier de Steglitz-Zehlendorf ou 69,2% à Spandau, dans l'ouest de la capitale. A l'inverse, le "non" s'est imposé à plus de 77% à Marzahn ou à Lichtenberg, dans l'ancien Berlin-Est. Du fait d'une participation très faible (29,2%), les partisans de la réforme auraient de toute façon échoué, même si le "oui" l'avait emporté de justesse, car le texte devait être approuvé par au moins 25% des 2,4 millions d'électeurs inscrits. Or, seuls 14,2% des inscrits ont finalement voté "oui". Soutenue par des partis politiques de droite, par les Eglises catholiques et protestantes, par la communauté juive et par une partie de la communauté musulmane, l'association "Pro Reli", à l'origine de ce scrutin, espérait imposer cette réforme à la municipalité de gauche, qui n'en voulait pas.
Les Berlinois ont rejeté dimanche lors d'un référendum local une revalorisation des cours de religion dans les écoles de la capitale allemande, qui continueront donc à organiser des leçons d'"éthique" obligatoires pour tous les élèves, quelles que soient leurs origines. 51,3% des votants ont rejeté une réforme qui prévoyait que les élèves aient le choix entre ce cours d'éthique et un cours portant sur la religion de leur choix, selon des résultats définitifs communiqués à 19h00 GMT. Ces résultats montrent un très net clivage entre l'ancien Berlin-Est communiste, très peu religieux, et les quartiers plus bourgeois et conservateurs de l'ancien Berlin-Ouest.
Ainsi, le "oui" a recueilli 66,3% des voix dans le quartier de Steglitz-Zehlendorf ou 69,2% à Spandau, dans l'ouest de la capitale. A l'inverse, le "non" s'est imposé à plus de 77% à Marzahn ou à Lichtenberg, dans l'ancien Berlin-Est. Du fait d'une participation très faible (29,2%), les partisans de la réforme auraient de toute façon échoué, même si le "oui" l'avait emporté de justesse, car le texte devait être approuvé par au moins 25% des 2,4 millions d'électeurs inscrits. Or, seuls 14,2% des inscrits ont finalement voté "oui". Soutenue par des partis politiques de droite, par les Eglises catholiques et protestantes, par la communauté juive et par une partie de la communauté musulmane, l'association "Pro Reli", à l'origine de ce scrutin, espérait imposer cette réforme à la municipalité de gauche, qui n'en voulait pas.
L'agence d'information religieuse Blagovest-info; fait part de la premère conférence de l'archidiocèse catholique de la Mère de Dieu à Moscou (1) qui s'est tenue dans la banlieue de Moscou les 21-23 avril.
L'objectif était de permettre aux catholiques du diocèse, dispersés sur une grande partie ouest de la Russie européenne, de se rencontrerez et faire connaissance. Citant le pape Benoît XVI, le nonce apostolique Antonio Menini a émis le vœu que cette conférence soit un premier pas vers la réunion d'un futur synode de toute l'Église catholique en Russie (2). Au nom de l'Église orthodoxe russe, le père Igor Vyjanov, secrétaire aux relations interchrétiennes du département des relations extérieures, a exprimé le souhait que la coopération entre les Église allait se développer à Moscou, comme elle se développe concrètement dans les organisation internationales de Strasbourg et New York: "J'espère que les problèmes existant entre nos Églises dans le domaine pastoral vont disparaître et que nos relations atteindront un tel niveau de respect et de compréhension mutuelle, qu'elles deviendront un extraordinaire témoignage conjoint des valeurs du christianisme", a-t-il ajouté.
Dans son discours introductif, Mgr Paolo Pezzi a évoqué les exigences que les circonstances actuelles présentent aux catholiques de Russie, en insistant sur le témoignage personnel et communautaire comme unique voie de la mission chrétienne. "Ce n'est qu'en Christ que tout ce que nous faisons acquiert une valeur nouvelle et s'emplit d'une lumière qu'on ne peut pas ne pas remarquer" a-t-il dit avant d'ajouter que l'Église catholique en Russie témoigne du Christ sur un territoire où l'Église orthodoxe porte le même témoignage. C'est pour cela que nous ne dons pas nous désespérer de nos incompréhensions mais, évitant toute concurrence, chercher les voies d'un témoignage en commun. "Il faut éviter la tentation de voir l'Église catholique comme un groupe confessionnel isolé mais, par la compassion, l'ouverture et, surtout, par le pardon, devenir "tout pour tous" a-t-il conclu.
L'objectif était de permettre aux catholiques du diocèse, dispersés sur une grande partie ouest de la Russie européenne, de se rencontrerez et faire connaissance. Citant le pape Benoît XVI, le nonce apostolique Antonio Menini a émis le vœu que cette conférence soit un premier pas vers la réunion d'un futur synode de toute l'Église catholique en Russie (2). Au nom de l'Église orthodoxe russe, le père Igor Vyjanov, secrétaire aux relations interchrétiennes du département des relations extérieures, a exprimé le souhait que la coopération entre les Église allait se développer à Moscou, comme elle se développe concrètement dans les organisation internationales de Strasbourg et New York: "J'espère que les problèmes existant entre nos Églises dans le domaine pastoral vont disparaître et que nos relations atteindront un tel niveau de respect et de compréhension mutuelle, qu'elles deviendront un extraordinaire témoignage conjoint des valeurs du christianisme", a-t-il ajouté.
Dans son discours introductif, Mgr Paolo Pezzi a évoqué les exigences que les circonstances actuelles présentent aux catholiques de Russie, en insistant sur le témoignage personnel et communautaire comme unique voie de la mission chrétienne. "Ce n'est qu'en Christ que tout ce que nous faisons acquiert une valeur nouvelle et s'emplit d'une lumière qu'on ne peut pas ne pas remarquer" a-t-il dit avant d'ajouter que l'Église catholique en Russie témoigne du Christ sur un territoire où l'Église orthodoxe porte le même témoignage. C'est pour cela que nous ne dons pas nous désespérer de nos incompréhensions mais, évitant toute concurrence, chercher les voies d'un témoignage en commun. "Il faut éviter la tentation de voir l'Église catholique comme un groupe confessionnel isolé mais, par la compassion, l'ouverture et, surtout, par le pardon, devenir "tout pour tous" a-t-il conclu.
Avec la bénédiction de l'archevêque Innocent de Chersonèse et le soutien du Consulat de Russie,
le père Alexis Dumond et les paroisses orthodoxes de Marseille et de Paris, organisent une célébration dans la grotte de la Sainte-Baume. Cet endroit est reconnu comme étant la dernière demeure de Marie Madeleine où elle a vécu les trente dernières années de sa vie.
On procèdera par la suite à une vénération de ses reliques .
Nous vous convions chaleureusement à partager avec nous ces grands instants
le 2 mai à 7h00
Massif de La Sainte-Baume 83640 Plan-d'Aups
le père Alexis Dumond et les paroisses orthodoxes de Marseille et de Paris, organisent une célébration dans la grotte de la Sainte-Baume. Cet endroit est reconnu comme étant la dernière demeure de Marie Madeleine où elle a vécu les trente dernières années de sa vie.
On procèdera par la suite à une vénération de ses reliques .
Nous vous convions chaleureusement à partager avec nous ces grands instants
le 2 mai à 7h00
Massif de La Sainte-Baume 83640 Plan-d'Aups
Nous avions mentionné dans plusieurs billets les protestations de MMgr Innocent de Chersonèse et Hilarion (patriarcat de Moscou) et Jonas, primat de l'Eglise orthodoxe en Amérique, contre les "tentatives hégémoniques" du patriarcat de Constantinople. Cette stratégie avait aussi été bien expliquée par le pseudo-patriarche Philarète de Kiev (Eglise dissidente ukrainienne). Je vous propose maintenant un texte émanant du patriarcat de Constantinople lui-même(1):
P. Elpidophoros Lambrianidis, secrétaire du Synode de Constantinople, déclare tout bonnement que toute la "diaspora orthodoxe", qu'il définit bien comme "toute population orthodoxe habitant en dehors des frontières traditionnelles de son Eglise d'origine" (en supprimant donc "" et "soi-disant" utilisés par les primats lors de la Synaxe de 2008) DOIT ETRE SOUMISE à Constantinople (sic: "the submission of the diaspora to the Ecumenical Patriarchate"). Après cela il s’en est pris avec virulence à MMgr Jonas (Eglise orthodoxe en Amérique) et Philippe (patriarcat d'Antioche) qui, dans des article récents, contestaient cette approche; pour justifier cette position il a exposé sa vision de la primauté:
"Permettez-moi d’ajouter que le refus de reconnaître la primauté au sein de l’Eglise orthodoxe, une primauté qui ne peut être incarnée que par un primat (c'est-à-dire un évêque qui a la prérogative d’être le premier parmi ses confrères les évêques) constitue bel et bien une hérésie. On ne peut accepter l’idée souvent avancée que l’unité au sein des Eglises Orthodoxes est garantie par une règle de foi et de prière commune ou par le Concile œcuménique en tant qu’institution. Ces deux facteurs sont impersonnels tandis que dans notre théologie orthodoxe le principe d’unité est toujours une personne. Et en vérité au niveau de la Sainte Trinité, le principe d’unité n’est pas l’essence divine, mais la Personne du Père (« Monarchie » du Père) ; au niveau ecclésiologique de l’Eglise locale le principe d’unité n’est pas le presbyterium [le collège des presbytes] ou la prière commune des chrétiens, mais la personne de l’Evêque. De même au niveau Pan-Orthodoxe le principe de l’unité ne peut être une idée ou une institution, mais cela doit être nécessairement, si nous voulons être cohérents dans notre théologie, une personne." (excellente traduction DS sur le site ACER)
P. Elpidophoros Lambrianidis, secrétaire du Synode de Constantinople, déclare tout bonnement que toute la "diaspora orthodoxe", qu'il définit bien comme "toute population orthodoxe habitant en dehors des frontières traditionnelles de son Eglise d'origine" (en supprimant donc "" et "soi-disant" utilisés par les primats lors de la Synaxe de 2008) DOIT ETRE SOUMISE à Constantinople (sic: "the submission of the diaspora to the Ecumenical Patriarchate"). Après cela il s’en est pris avec virulence à MMgr Jonas (Eglise orthodoxe en Amérique) et Philippe (patriarcat d'Antioche) qui, dans des article récents, contestaient cette approche; pour justifier cette position il a exposé sa vision de la primauté:
"Permettez-moi d’ajouter que le refus de reconnaître la primauté au sein de l’Eglise orthodoxe, une primauté qui ne peut être incarnée que par un primat (c'est-à-dire un évêque qui a la prérogative d’être le premier parmi ses confrères les évêques) constitue bel et bien une hérésie. On ne peut accepter l’idée souvent avancée que l’unité au sein des Eglises Orthodoxes est garantie par une règle de foi et de prière commune ou par le Concile œcuménique en tant qu’institution. Ces deux facteurs sont impersonnels tandis que dans notre théologie orthodoxe le principe d’unité est toujours une personne. Et en vérité au niveau de la Sainte Trinité, le principe d’unité n’est pas l’essence divine, mais la Personne du Père (« Monarchie » du Père) ; au niveau ecclésiologique de l’Eglise locale le principe d’unité n’est pas le presbyterium [le collège des presbytes] ou la prière commune des chrétiens, mais la personne de l’Evêque. De même au niveau Pan-Orthodoxe le principe de l’unité ne peut être une idée ou une institution, mais cela doit être nécessairement, si nous voulons être cohérents dans notre théologie, une personne." (excellente traduction DS sur le site ACER)
Commentent le débat qui s'est instauré à l'occasion de l'anniversaire de la naissance de Lénine, le père Vsévolod Tchapline, président du département synodal Église et Société du patriarcat de Moscou, a tenu à rappeler "qu'on ne doit pas ignorer le fait que sur ordre d'Oulianov de nombreuses actions criminelles et amorales furent perpétrées, y compris les massacres d'un grand nombre d'innocents qui n'avaient d'autre faute que leur origine sociale. C'est un fait historique démontré".
"Je pense personnellement qu'il faut enfin en débattre sérieusement et honnêtement", a ajouté le père en soulignant "la nécessité de prendre en compte l'avis des différentes générations et de ne rien faire qui puisse introduire l'esprit de division dans la société."
Il a dit aussi que l'exposition de sa dépouille, de fait transformée en attraction touristique, est contraire aux traditions culturelles russes et que, s'il avait été à la place de la famille de Lénine, cela ne lui aurait pas fait plaisir. Cf. le site de l'Église orthodoxe russe en France.
Au début du mois, Vladimir Kozhin, chef de départent au Kremlin, avait dit qu'il ne voyait aucune raison de déplacer le corps de Lénine actuellement, car cela risquait de provoquer des troubles. Il a ajouté que la question pourra se résoudre sereinement lorsque la génération de ceux pour qui Lénine est une part de leur vie sera partie (cf. RIA-Novosti).
"Je pense personnellement qu'il faut enfin en débattre sérieusement et honnêtement", a ajouté le père en soulignant "la nécessité de prendre en compte l'avis des différentes générations et de ne rien faire qui puisse introduire l'esprit de division dans la société."
Il a dit aussi que l'exposition de sa dépouille, de fait transformée en attraction touristique, est contraire aux traditions culturelles russes et que, s'il avait été à la place de la famille de Lénine, cela ne lui aurait pas fait plaisir. Cf. le site de l'Église orthodoxe russe en France.
Au début du mois, Vladimir Kozhin, chef de départent au Kremlin, avait dit qu'il ne voyait aucune raison de déplacer le corps de Lénine actuellement, car cela risquait de provoquer des troubles. Il a ajouté que la question pourra se résoudre sereinement lorsque la génération de ceux pour qui Lénine est une part de leur vie sera partie (cf. RIA-Novosti).
According to Interfax, the head of the Catholic Archdiocese of Mother of God in Moscow Archbishop Paolo Pezzi urged priests not to compete with Orthodox pastors, but to look for new ways to develop inter-confessional dialogue.
“We should avoid the temptation of considering Catholic Church an isolated confessional community,” Pezzi said at the diocesan conference in the Moscow Region.
The Archbishop stressed that in Russia the Catholic Church witnesses to Christ together with the Orthodox Church, and thus the clergy “shouldn’t be disappointed with misunderstanding, but avoiding the spirit of competition, should find all possible ways to develop common witness.”
Pezzi also pointed out to the personal and communal witness as the only way of Christian mission saying that for the last years “the Catholic Church in Russia has grown up, got back a lot of churches, educated first priests and its charitable work spiritually enriches the society.”
“We should avoid the temptation of considering Catholic Church an isolated confessional community,” Pezzi said at the diocesan conference in the Moscow Region.
The Archbishop stressed that in Russia the Catholic Church witnesses to Christ together with the Orthodox Church, and thus the clergy “shouldn’t be disappointed with misunderstanding, but avoiding the spirit of competition, should find all possible ways to develop common witness.”
Pezzi also pointed out to the personal and communal witness as the only way of Christian mission saying that for the last years “the Catholic Church in Russia has grown up, got back a lot of churches, educated first priests and its charitable work spiritually enriches the society.”
Au siège de l'UNESCO à Paris, après la réunion du conseil exécutif de cette institution internationale, le ministre des affaires étrangères de Serbie, Vuk Jeremic, a déploré la tentative du Comité du patrimoine mondial de l'UNESCO de présenter les églises et les monastères orthodoxes serbes au Kosovo comme un héritage médiéval du Kosovo, pays qui s'est auto-proclamé indépendant.
"C'est une tentative scandaleuse et irrespectueuse de substitution de l'identité culturelle" a déclaré Vuk Jeremic. Plusieurs pays, dont l'Albanie, ont proposé de considérer les églises et les monastères orthodoxes comme un héritage médiéval du Kosovo. "Ce n'est pas un héritage sacré du Kosovo, a affirmé V. Jeremic, mais un héritage serbe, celui de l'Église orthodoxe serbe".
"Nous avons employé tous les moyens, a-t-il ajouté, pour exprimer notre profond désaccord avec cette tentative absolument inadmissible de remplacer une identité culturelle par une autre".
"C'est une tentative scandaleuse et irrespectueuse de substitution de l'identité culturelle" a déclaré Vuk Jeremic. Plusieurs pays, dont l'Albanie, ont proposé de considérer les églises et les monastères orthodoxes comme un héritage médiéval du Kosovo. "Ce n'est pas un héritage sacré du Kosovo, a affirmé V. Jeremic, mais un héritage serbe, celui de l'Église orthodoxe serbe".
"Nous avons employé tous les moyens, a-t-il ajouté, pour exprimer notre profond désaccord avec cette tentative absolument inadmissible de remplacer une identité culturelle par une autre".
ROME, 23 avr 2009 (AFP) - Le pape reçoit le président bélarusse Alexandre Loukachenko lundi
Le pape Benoît XVI recevra lundi le président bélarusse Alexandre Loukachenko, a indiqué jeudi à l'AFP le porte-parole du Vatican, le père Federico Lombardi.
Alexandre Loukachenko sera reçu à 11H00 (09H00 GMT), a précisé le père Lombardi.
En juin 2008, lors d'une visite officielle au Bélarus du secrétaire d'État du Saint-Siège, le cardinal Tarcisio Bertone, Alexandre Loukachenko avait officiellement invité le pape à se rendre dans ce pays.
Le président bélarusse, souvent qualifié de "dernier dictateur d'Europe" et qui, jusqu'en octobre, était sous le coup de sanctions et persona non grata dans l'UE, se voit peu à peu ouvrir des portes jusqu'ici fermées.
Le 17 avril, après bien des hésitations, l'Union européenne l'a ainsi invité à son sommet sur le "partenariat oriental" le 7 mai à Prague, au nom de la stabilisation de cette région et malgré les entorses aux droits de l'Homme de son gouvernement.
Le pape Benoît XVI recevra lundi le président bélarusse Alexandre Loukachenko, a indiqué jeudi à l'AFP le porte-parole du Vatican, le père Federico Lombardi.
Alexandre Loukachenko sera reçu à 11H00 (09H00 GMT), a précisé le père Lombardi.
En juin 2008, lors d'une visite officielle au Bélarus du secrétaire d'État du Saint-Siège, le cardinal Tarcisio Bertone, Alexandre Loukachenko avait officiellement invité le pape à se rendre dans ce pays.
Le président bélarusse, souvent qualifié de "dernier dictateur d'Europe" et qui, jusqu'en octobre, était sous le coup de sanctions et persona non grata dans l'UE, se voit peu à peu ouvrir des portes jusqu'ici fermées.
Le 17 avril, après bien des hésitations, l'Union européenne l'a ainsi invité à son sommet sur le "partenariat oriental" le 7 mai à Prague, au nom de la stabilisation de cette région et malgré les entorses aux droits de l'Homme de son gouvernement.
L'agence RIA fait savoir qu'une réception à l'occasion de la fête de Pâques a eu lieu le 22 avril dans les salons d'honneur du Ministère des Affaires Étrangères de la Fédération de Russie. Y ont assisté le patriarche Cyrille de Moscou ainsi que les représentants d'autres religions. M. Serge Lavrov, ministre des affaires étrangères, a félicité le patriarche de sa récente élection. "Nous espérons, a-t-il dit, que l'Église orthodoxe russe continuera à renforcer le dialogue interreligieux, à combattre l'intolérance et la xénophobie. Nous avons besoins de son soutien. Nous sommes convaincus que votre énergie intarissable contribuera à renforcer le prestige de l'Église aux yeux de la société en cette période difficile pour tous".
Il paraît regrettable que ce soit la Ligue des droits de l'homme, association super laïque, voire athée, qui a induit une action en justice afin d'obtenir l'interdiction de cette "exposition" blasphématoire!
Les corps qui y sont exposés après "traitement artistique" ont été exportés par la Chine communiste, ce sont des fusillés. La Chine détient les records mondiaux de l'application de la peine de mort.
L'Église catholique au territoire canonique de laquelle appartient la France, ne s'est pas, à ma connaissance, officiellement manifestée. Autant des Églises protestantes et orthodoxes...
Critère et mesure de la laïcisation à laquelle est voué notre siècle? Combien avait raison il y a quelques jours le patriarche Cyrille en déplorant les méfaits de la société de consommation.
Les corps qui y sont exposés après "traitement artistique" ont été exportés par la Chine communiste, ce sont des fusillés. La Chine détient les records mondiaux de l'application de la peine de mort.
L'Église catholique au territoire canonique de laquelle appartient la France, ne s'est pas, à ma connaissance, officiellement manifestée. Autant des Églises protestantes et orthodoxes...
Critère et mesure de la laïcisation à laquelle est voué notre siècle? Combien avait raison il y a quelques jours le patriarche Cyrille en déplorant les méfaits de la société de consommation.
Les journaux russes annoncent qu'un cortège aura lieu le 22 avril, date anniversaire de la naissance de Lénine, pour exiger que sa dépouille soit évacuée du mausolée sur la Place Rouge. Des acteurs, des groupes de rock, des militants orthodoxes prendront part à ce cortège. Vladimir Jirinovsky, vice-président de la Douma (Parlement) a l'intention de se joindre. "Les idoles hors du Kremlin" sera la revendication des manifestants qui entonneront le chant "Je te rejette, Satan!". Des membres de la Douma, des porteurs d'oriflammes orthodoxes feront partie de cette manifestation. L'architecte Shscussev a conçu le mausolée à l'image de l'autel de Pergame que le livre de l'Apocalypse mentionne comme une représentation de Satan : "A l'Ange de l'Église de Pergame, écris: Ainsi parle celui qui possède l'épée acérée à double tranchant. Je sais où tu demeures: là est le trône de Satan mais tu tiens ferme à mon nom et tu n'as pas renié ma foi même au jour d'Antipas, mon témoin fidèle, qui fut mis à mort chez vous, là où demeure Satan"(Ap, 2, 12-13).
L'autel de Pergame a été reconstitué au cœur , de notre pays pour abriter la dépouille de Lénine, persécuteur du christianisme dont l'athéisme était proche du satanisme, affirment les organisateurs du cortège.
L'autel de Pergame a été reconstitué au cœur , de notre pays pour abriter la dépouille de Lénine, persécuteur du christianisme dont l'athéisme était proche du satanisme, affirment les organisateurs du cortège.
"Interfax" annonce que l'archiprêtre Georges Riabykh, vice-président du département des relations extérieures du patriarcat de Moscou, souhaite que la Conférence "Durban-2" qui s'est ouverte hier à Genève introduise la notion de 'christianophobie" dans le droit international. L'antisémitisme et l'islamophobie sont déjà officiellement reconnus. Le Secrétaire Général de l'ONU s'est référé à ces notions dans son discours d'ouverture. L'Église russe regrette l'omission de la christianophobie. Il existe de très nombreux exemples d'altération publique de la doctrine chrétienne, d'offenses aux sentiments des croyants. Le père Georges a évoqué les films "Da Vinci code" et "La dernière tentation du Christ" ainsi que la récente exposition "Attention, religion!" organisée par le Centre Sakharov à Moscou. A plusieurs reprises des représentants de l'Église russe ont insisté, dans le cadre de conférences internationales, sur la nécessité de garantir le respect des croyances religieuses.
Il faut espérer que la Conférence de Genève permette d'éviter les humiliations infligées aux chrétiens partout dans le monde. cela contribuerait à réduire les tensions religieuses.
Il faut espérer que la Conférence de Genève permette d'éviter les humiliations infligées aux chrétiens partout dans le monde. cela contribuerait à réduire les tensions religieuses.
Le samedi 11 avril (samedi de Lazare selon le calendrier liturgique orthodoxe), à Mons, s’est ouverte une nouvelle paroisse de l’Eglise orthodoxe russe, qui est dédiée au saint Archange Michel. Le rite de la petite consécration de l’église et la Divine Liturgie fut célébrée, ce jour-là, par l’archevêque Simon de Bruxelles et de Belgique, entouré de plusieurs prêtres et diacres de son diocèse.
A l’issue de la célébration, Mgr Simon s’est adressé au clergé et aux fidèles, en soulignant notamment que la ville de Mons est la dernière ville importante de Belgique dans laquelle il n’y avait pas, jusqu’ici, de paroisse orthodoxe russe. « En beaucoup de villes où des paroisses orthodoxes russes avaient été créées par la diaspora du XXe siècle, là où les locaux n’appartenaient pas à la paroisse, avec les changements de génération, les communautés se voyaient privées de lieux de culte et cessaient leur existence. Ce n’est que là où les locaux appartenaient à la paroisse que les communautés subsisté jusqu’aujourd’hui » a souligné l’archevêque.
A l’issue de la célébration, Mgr Simon s’est adressé au clergé et aux fidèles, en soulignant notamment que la ville de Mons est la dernière ville importante de Belgique dans laquelle il n’y avait pas, jusqu’ici, de paroisse orthodoxe russe. « En beaucoup de villes où des paroisses orthodoxes russes avaient été créées par la diaspora du XXe siècle, là où les locaux n’appartenaient pas à la paroisse, avec les changements de génération, les communautés se voyaient privées de lieux de culte et cessaient leur existence. Ce n’est que là où les locaux appartenaient à la paroisse que les communautés subsisté jusqu’aujourd’hui » a souligné l’archevêque.
Le site du diocèse de Chersonèse propose un résumé de la conférence du métropolite Jonas, primat de l'Église orthodoxe en Amérique, consacrée à l'avenir de la diaspora orthodoxe. Le texte anglais intégral de cette homélie est publié à cette page.
L'Église orthodoxe en Amérique a reçu le statut d'autocéphalie (indépendance canonique) de la part du patriarcat de Moscou en 1970. Cette autocéphalie n'est pas reconnue par le patriarcat de Constantinople qui entretient en Amérique son propre archevêché grec.
Mgr Jonas a souligné que la diversité de l'orthodoxie "que nous saluons, n'est pas une diversité de modes de vie, mais une diversité qui reflète le caractère pluriel de notre communauté, un peuple de races différentes, de couleurs différentes et d'origines ethniques différentes".
"Nous sommes tous Américains, nous sommes une seule communauté de chrétiens orthodoxes et, de ce fait, une Église locale... Peu importe que nous relevions de juridictions administratives différentes, parce que nous sommes un seul corps, nous prions d'un seul cœur et d'un seul esprit, nous célébrons la même Eucharistie et nous communions au même Calice. Peu importe que nous soyons du rite oriental ou du rite occidental, peu importe la langue dans laquelle nous célébrons, parce que nous sommes une seule Église, une Église locale et, j'oserai dire, une Église indigène".
Parlant de la multiplicité des juridictions orthodoxes, Mgr Jonas a déclaré "que certains nous proposent une solution - c'est de nous soumettre tous à Constantinople. Nous soumettre à un patriarcat étranger qui seul prendra toutes les décisions, où nous n'aurons aucun mot à dire dans la prise des décisions. Nous ne serons plus maîtres de notre propre destin. Allons-nous renoncer à la liberté que nous avons reçue en tant que chrétiens orthodoxes américain, au profit d'un patriarcat qui est encore sous la domination de l'islam? Je pense qu'il y a une meilleure solution que celle-ci".
L'Église orthodoxe en Amérique a reçu le statut d'autocéphalie (indépendance canonique) de la part du patriarcat de Moscou en 1970. Cette autocéphalie n'est pas reconnue par le patriarcat de Constantinople qui entretient en Amérique son propre archevêché grec.
Mgr Jonas a souligné que la diversité de l'orthodoxie "que nous saluons, n'est pas une diversité de modes de vie, mais une diversité qui reflète le caractère pluriel de notre communauté, un peuple de races différentes, de couleurs différentes et d'origines ethniques différentes".
"Nous sommes tous Américains, nous sommes une seule communauté de chrétiens orthodoxes et, de ce fait, une Église locale... Peu importe que nous relevions de juridictions administratives différentes, parce que nous sommes un seul corps, nous prions d'un seul cœur et d'un seul esprit, nous célébrons la même Eucharistie et nous communions au même Calice. Peu importe que nous soyons du rite oriental ou du rite occidental, peu importe la langue dans laquelle nous célébrons, parce que nous sommes une seule Église, une Église locale et, j'oserai dire, une Église indigène".
Parlant de la multiplicité des juridictions orthodoxes, Mgr Jonas a déclaré "que certains nous proposent une solution - c'est de nous soumettre tous à Constantinople. Nous soumettre à un patriarcat étranger qui seul prendra toutes les décisions, où nous n'aurons aucun mot à dire dans la prise des décisions. Nous ne serons plus maîtres de notre propre destin. Allons-nous renoncer à la liberté que nous avons reçue en tant que chrétiens orthodoxes américain, au profit d'un patriarcat qui est encore sous la domination de l'islam? Je pense qu'il y a une meilleure solution que celle-ci".
Selon le protodiacre André Kouraev, professeur à l'académie de théologie de Moscou, les femmes sont, dans l'orthodoxie, les principaux missionnaires. "Aussi bien dans l'antiquité qu'aujourd'hui, la foi était diffusée principalement par des gens simples, surtout les femmes", a déclaré A. Kouraev à la présentation de son nouveau livre Pérestroïka dans l'Église. C'est ainsi que, selon lui, s'explique le fait que souvent l'histoire ne conserve même pas le nom de ceux grâce à qui de peuples entiers sont devenus chrétiens.
"Des centaines de peuples de la Terre sont devenus chrétiens... Et voilà le paradoxe: les peuples sont là, les fruits de la mission sont évidents, mais nous n'en connaissons pas les auteurs".
Le diacre a proposé également qu'on introduise dans la liturgie orthodoxe la prière suivante: "Seigneur, envoie-nous de nouveaux prédicateurs de ton saint Évangile".
"Des centaines de peuples de la Terre sont devenus chrétiens... Et voilà le paradoxe: les peuples sont là, les fruits de la mission sont évidents, mais nous n'en connaissons pas les auteurs".
Le diacre a proposé également qu'on introduise dans la liturgie orthodoxe la prière suivante: "Seigneur, envoie-nous de nouveaux prédicateurs de ton saint Évangile".
Mgr Nicodème, nommé par le Saint-Synode du patriarcat de Moscou le 31 mars dernier nouvel évêque d'Anadyr et de Tchoukotka, est arrivé dans son diocèse qui est le plus oriental et le plus septentrional de Russie. Cet article de Wikipedia et la carte géographique qui l'accompagne expliquent où cette région se trouve.
Mgr Nicodème (en photo), jusque lors auxiliaire du diocèse de Moscou, succède à Tchoukotka à l'ex-évêque Diomède qui fut réduit au rang de laïc par le concile épiscopal de juin 2008. Il avait en effet excommunié le patriarche Alexis II, le métropolite Cyrille (l'actuel patriarche) et le métropolite Philarète de Minsk pour les "hérésies" du soutien à la démocratie (et refus de la monarchie !), de l'œcuménisme et du dialogue interreligieux.
Une succession difficile. D'autant que l'ex-évêque Diomède n'a pas obtempéré aux décisions du concile épiscopal et a "ordonné évêque" son propre frère de sang, créant une sorte de synode propre. Puisse Dieu prendre pitié de nous et nous pardonner nos dissensions !
Mgr Nicodème (en photo), jusque lors auxiliaire du diocèse de Moscou, succède à Tchoukotka à l'ex-évêque Diomède qui fut réduit au rang de laïc par le concile épiscopal de juin 2008. Il avait en effet excommunié le patriarche Alexis II, le métropolite Cyrille (l'actuel patriarche) et le métropolite Philarète de Minsk pour les "hérésies" du soutien à la démocratie (et refus de la monarchie !), de l'œcuménisme et du dialogue interreligieux.
Une succession difficile. D'autant que l'ex-évêque Diomède n'a pas obtempéré aux décisions du concile épiscopal et a "ordonné évêque" son propre frère de sang, créant une sorte de synode propre. Puisse Dieu prendre pitié de nous et nous pardonner nos dissensions !
CONFERENCE DU PERE SERGE MODEL*, "Une nouvelle ère pour l'Orthodoxie ? Le patriarche Cyrille 1er et l'Eglise orthodoxe russe".
Vendredi 24 Avril 2009 – 18 h. Crypte de l’église Royale Sainte-Marie à Schaerbeek.
*Le père Serge MODEL est prêtre du diocèse orthodoxe russe de Bruxelles et de Belgique dont il est le secrétaire. Il est affecté à l’église-cathédrale Saint-Nicolas à Ixelles (Bruxelles). Il est l’auteur de plusieurs articles sur l’Église orthodoxe russe.
Vendredi 24 Avril 2009 – 18 h. Crypte de l’église Royale Sainte-Marie à Schaerbeek.
*Le père Serge MODEL est prêtre du diocèse orthodoxe russe de Bruxelles et de Belgique dont il est le secrétaire. Il est affecté à l’église-cathédrale Saint-Nicolas à Ixelles (Bruxelles). Il est l’auteur de plusieurs articles sur l’Église orthodoxe russe.
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