Plateforme libre de discussion
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Aujourd'hui, cela fait dix jours que ce blog collectif "Parlons d'orthodoxie" s'est ouvert. Le nombre d'articles a atteint 65, tandis que celui des commentaires a dépassé la centaine. Le moment est venu de faire un premier bilan.
Vos réactions nous sont importantes pour savoir ce qui doit être amélioré. Quel genre d'information faut-il augmenter? Y a-t-il des choses qui n'ont pas d'intérêt ou de lieu d'être sur cette plateforme de discussion?
Il est heureux de voir que le site est lu dans des pays très différents. Par ordre de décroissance: France, Belgique, Allemagne, Italie, Canada, Suisse, Russie, États-Unis, Espagne, Luxembourg, Pays-Bas, Ukraine, Estonie, Japon, Grande-Bretagne, Liban, Roumanie, Grèce et Brésil.
Espérons que ce soit vraiment, comme on dit dans nos contrées, ad maiorem Dei gloriam.
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Espérons que ce soit vraiment, comme on dit dans nos contrées, ad maiorem Dei gloriam.
Rédigé par l'équipe de rédaction le 25 Mars 2009 à 17:03
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Le site de l'Église orthodoxe bulgare publie un compte rendu de la rencontre le 23 mars entre le patriarche Maxime de Bulgarie et le premier ministre Sergueï Stanichev, un socialiste.
Selon le site bulgare, cette rencontre "a démontré le soutien de l'État et du gouvernement bulgares à l'Église orthodoxe canonique après la décision de la Cour européenne à la défense des droits de l'homme Strasbourg, partiellement favorable aux schismatiques".
A l'issue de cette rencontre, le premier ministre a déclaré aux journalistes qu'il n'y a qu'une seule Église orthodoxe en Bulgarie. "C'est avec beaucoup d'inquiétude que j'ai perçu la décision du tribunal de Strasbourg", a-t-il avoué. S. Stanichev a rappelé également que l'Église orthodoxe est une partie inséparable de l'identité bulgare et que c'est grâce à elle que le peuple bulgare a préservé son unité.
Pouvons-nous rêver qu'un jour, les autorités françaises reconnaissent, elles aussi, le rôle de l'Église catholique et du christianisme en général dans le formation de l'identité française et européenne ?
Selon le site bulgare, cette rencontre "a démontré le soutien de l'État et du gouvernement bulgares à l'Église orthodoxe canonique après la décision de la Cour européenne à la défense des droits de l'homme Strasbourg, partiellement favorable aux schismatiques".
A l'issue de cette rencontre, le premier ministre a déclaré aux journalistes qu'il n'y a qu'une seule Église orthodoxe en Bulgarie. "C'est avec beaucoup d'inquiétude que j'ai perçu la décision du tribunal de Strasbourg", a-t-il avoué. S. Stanichev a rappelé également que l'Église orthodoxe est une partie inséparable de l'identité bulgare et que c'est grâce à elle que le peuple bulgare a préservé son unité.
Pouvons-nous rêver qu'un jour, les autorités françaises reconnaissent, elles aussi, le rôle de l'Église catholique et du christianisme en général dans le formation de l'identité française et européenne ?
A la conférence de presse à Kaliningrad, après la célébration de la liturgie le dimanche 22 mars, le patriarche Cyrille de Moscou a abordé plusieurs questions dont celle des conséquences de la crise économique pour l'activité de l'Église orthodoxe. Selon le patriarche, l'Église russe n'a pas encore subi toutes les conséquences de la crise, mais il reconnait qu'il faudra réduire le financement de certains projets. Cependant, dit-il, l'Église en Russie est habituée à supporter des difficultés et des privations bien plus importantes que l'actuelle crise.
"La crise n'est pas seulement un mal, c'est aussi une bénédiction, affirme le patriarche Cyrille. C'est une occasion de réexaminer nos valeurs, elle nous fait réfléchir." Le patriarche est convaincu que la crise aidera les hommes à accorder plus d'importance à leur travail: "Nous devons apprendre à bien travailler pour ne pas être licenciés". "Ce sont des paroles dures, a-t-il avoué, mais il faut le dire et l'Église en a le droit, parce que cela concerne aussi la vie spirituelle des gens".
"La crise n'est pas seulement un mal, c'est aussi une bénédiction, affirme le patriarche Cyrille. C'est une occasion de réexaminer nos valeurs, elle nous fait réfléchir." Le patriarche est convaincu que la crise aidera les hommes à accorder plus d'importance à leur travail: "Nous devons apprendre à bien travailler pour ne pas être licenciés". "Ce sont des paroles dures, a-t-il avoué, mais il faut le dire et l'Église en a le droit, parce que cela concerne aussi la vie spirituelle des gens".
Rédigé par l'équipe de rédaction le 24 Mars 2009 à 11:44
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Hier soir aux infos un jeune catholique qui venait d’être tabassé sur le parvis de Notre-Dame (rixe pro et contre préservatifs) par un militant communiste : « Je savais que le parti communiste existait encore mais je ne soupçonnais pas qu’il disposait d’une telle force de nuisance ! »
Rappelons que le texte fondateur qu’est « Le manifeste communiste » préconisait « la communauté des femmes et des enfants ». Il est vrai que le V.I.H. n’avait pas encore été détecté.
Voila quelqu’un qui n’a manifestement pas lu « Le sens et les racines du communisme russe » de Nicolas Berdiaev ainsi que « La nature du totalitarisme » d’Hanna Arendt. Ce jeune homme aurait compris grâces à ses ouvrages qu’il avait toutes les chances de se faire à nouveau tabasser dans encore mille ans. En effet, le communisme est éternel: le rêve d’installer le paradis sur terre, équitable, égalitaire, délivré du mal est vivace et renouvelable. Ses origines sont vétérotestamentaires.
N.K.
Rappelons que le texte fondateur qu’est « Le manifeste communiste » préconisait « la communauté des femmes et des enfants ». Il est vrai que le V.I.H. n’avait pas encore été détecté.
Voila quelqu’un qui n’a manifestement pas lu « Le sens et les racines du communisme russe » de Nicolas Berdiaev ainsi que « La nature du totalitarisme » d’Hanna Arendt. Ce jeune homme aurait compris grâces à ses ouvrages qu’il avait toutes les chances de se faire à nouveau tabasser dans encore mille ans. En effet, le communisme est éternel: le rêve d’installer le paradis sur terre, équitable, égalitaire, délivré du mal est vivace et renouvelable. Ses origines sont vétérotestamentaires.
N.K.
Dans l'interview récente accordée au Messager et au site de l'Église orthodoxe russe en France, l'archevêque Innocent de Chersonèse aborde l'élection du patriarche Cyrille de Moscou, les défis des communautés orthodoxes russes en France et le dialogue avec les autres juridictions orthodoxes, ainsi qu'avec l'Église catholique.
Selon l'archevêque, le diocèse de Chersonèse qui a la charge pastorale des communautés orthodoxes russes en France "a vocation à être un pont entre les chrétiens de France et ceux de Russie. Vivant en France, nous devons toujours avoir à l’esprit le rôle particulier qu’a l’Église catholique romaine dans ce pays. Nous sommes heureux d’entretenir de bonnes et fraternelles relations entre le diocèse de Chersonèse et l’Église catholique qui est en France. La visite du patriarche Alexis à Paris en 2007 et celle du cardinal André Vingt-Trois, archevêque de Paris, à Moscou en 2008, ont été des moments historiques qui ont renforcé nos liens."
"Je pense, ajoute Mgr Innocent, que toutes les Églises orthodoxes représentées en France seront d’accord avec moi pour dire qu’il faut déployer des efforts permanents afin que règne entre les chrétiens de France une plus grande confiance et une sincère bienveillance. Chaque Église orthodoxe, étant par définition indépendante et autonome, doit, me semble-t-il, travailler activement dans cette direction, parce que c’est important pour tous les chrétiens de France."
De même, l'archevêque insiste sur le fait qu' "aucune des Églises orthodoxes ne doit prétendre à un monopole ou à une suprématie dans les contacts et le dialogue avec l’Église catholique romaine, les autres Églises chrétiennes et les institutions publiques françaises. Il est tout à fait inacceptable qu’une Église orthodoxe, recherchant ce monopole, fasse pression, par l’intermédiaire de ses hauts représentants, sur les membres de l’Église catholique et de la société civile qui œuvrent au développement des contacts avec l’Église orthodoxe russe. Nous sommes profondément chagrinés par de tels agissements, car il n’est pas convenable d’instrumentaliser le dialogue entre les Églises au profit d’une seule juridiction orthodoxe. Il convient plutôt d’unir les efforts de tous les chrétiens face aux défis actuels communs et de se soutenir mutuellement."
Selon l'archevêque, le diocèse de Chersonèse qui a la charge pastorale des communautés orthodoxes russes en France "a vocation à être un pont entre les chrétiens de France et ceux de Russie. Vivant en France, nous devons toujours avoir à l’esprit le rôle particulier qu’a l’Église catholique romaine dans ce pays. Nous sommes heureux d’entretenir de bonnes et fraternelles relations entre le diocèse de Chersonèse et l’Église catholique qui est en France. La visite du patriarche Alexis à Paris en 2007 et celle du cardinal André Vingt-Trois, archevêque de Paris, à Moscou en 2008, ont été des moments historiques qui ont renforcé nos liens."
"Je pense, ajoute Mgr Innocent, que toutes les Églises orthodoxes représentées en France seront d’accord avec moi pour dire qu’il faut déployer des efforts permanents afin que règne entre les chrétiens de France une plus grande confiance et une sincère bienveillance. Chaque Église orthodoxe, étant par définition indépendante et autonome, doit, me semble-t-il, travailler activement dans cette direction, parce que c’est important pour tous les chrétiens de France."
De même, l'archevêque insiste sur le fait qu' "aucune des Églises orthodoxes ne doit prétendre à un monopole ou à une suprématie dans les contacts et le dialogue avec l’Église catholique romaine, les autres Églises chrétiennes et les institutions publiques françaises. Il est tout à fait inacceptable qu’une Église orthodoxe, recherchant ce monopole, fasse pression, par l’intermédiaire de ses hauts représentants, sur les membres de l’Église catholique et de la société civile qui œuvrent au développement des contacts avec l’Église orthodoxe russe. Nous sommes profondément chagrinés par de tels agissements, car il n’est pas convenable d’instrumentaliser le dialogue entre les Églises au profit d’une seule juridiction orthodoxe. Il convient plutôt d’unir les efforts de tous les chrétiens face aux défis actuels communs et de se soutenir mutuellement."
Rédigé par l'équipe de rédaction le 22 Mars 2009 à 21:20
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Je viens d’apprendre sur le site de l’Église catholique de France que la Conférence des évêques de France a approuvé la nomination pour trois ans de Frère Franck Lemaitre à la direction du Service pour l’unité des chrétiens.
Il remplacera dans cette mission le père Michel Mallèvre qui avait auparavant tenu ce poste pendant six ans. C’est vers la fin du mandat du père Mallèvre que se situe la visite en France du défunt patriarche Alexis II. Peut-on surestimer l’importance de cette visite pour toute l’Europe chrétienne ? Certes non, il s’agit d’un évènement qui, comme disent les Allemands, « a fait époque ». Or, le père Mallèvre ne s’est pas beaucoup impliqué pour faciliter et organiser le voyage du patriarche. Le souhaitait-il vraiment ?
N’oublions pas, toutefois, de nous réjouir de la visite de Mgr Maurice Gardès, président du Conseil pour l’unité des chrétiens, à Moscou, ceci pour préparer le voyage d’Alexis II en France.
Le séjour du défunt patriarche nous a laissé à tous des souvenirs inoubliables : allocution à l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe, prières communes devant la Couronne d’épines dans la cathédrale Notre Dame de Paris, office des défunts au cimetière orthodoxe de Sainte Geneviève des Bois, audience très constructive et amicale chez le Président de la République. A cette occasion le patriarche a pu fraternellement s’entretenir avec le cardinal Roger Etchegarray, son vieil ami.
Les relations entre les orthodoxes russes et les catholiques de France se sont resserrées, un tournant radical vers le mieux a été pris, bien des choses restent encore à accomplir.
Il remplacera dans cette mission le père Michel Mallèvre qui avait auparavant tenu ce poste pendant six ans. C’est vers la fin du mandat du père Mallèvre que se situe la visite en France du défunt patriarche Alexis II. Peut-on surestimer l’importance de cette visite pour toute l’Europe chrétienne ? Certes non, il s’agit d’un évènement qui, comme disent les Allemands, « a fait époque ». Or, le père Mallèvre ne s’est pas beaucoup impliqué pour faciliter et organiser le voyage du patriarche. Le souhaitait-il vraiment ?
N’oublions pas, toutefois, de nous réjouir de la visite de Mgr Maurice Gardès, président du Conseil pour l’unité des chrétiens, à Moscou, ceci pour préparer le voyage d’Alexis II en France.
Le séjour du défunt patriarche nous a laissé à tous des souvenirs inoubliables : allocution à l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe, prières communes devant la Couronne d’épines dans la cathédrale Notre Dame de Paris, office des défunts au cimetière orthodoxe de Sainte Geneviève des Bois, audience très constructive et amicale chez le Président de la République. A cette occasion le patriarche a pu fraternellement s’entretenir avec le cardinal Roger Etchegarray, son vieil ami.
Les relations entre les orthodoxes russes et les catholiques de France se sont resserrées, un tournant radical vers le mieux a été pris, bien des choses restent encore à accomplir.
L'agence de presse Zenit cite les propos du patriarche Barthélemy de Constantinople sur Chiara Lubich, la fondatrice du mouvement des Focolari. Selon le patriarche, elle fut un "don non seulement pour l'Église de Rome, dont elle fut une fille fidèle et active, mais aussi pour notre Église de Constantinople".
Le patriarche Barthélemy lui a dédié son homélie à la fin de l'office des vêpres le 22 mars, premier anniversaire de la mort de Chiara Lubich. L'office était célébré dans l'église de la Mère de Dieu à Belgrad Kapi à Istanbul. Une délégation catholique venue de Rome y participait. "Aujourd'hui, nous ne sommes pas en deuil, mais dans la joie, a déclaré le patriarche, se souvenant "de la force désarmante et persuasive du sourire" de Chiara Lubich.
Le patriarche Barthélemy lui a dédié son homélie à la fin de l'office des vêpres le 22 mars, premier anniversaire de la mort de Chiara Lubich. L'office était célébré dans l'église de la Mère de Dieu à Belgrad Kapi à Istanbul. Une délégation catholique venue de Rome y participait. "Aujourd'hui, nous ne sommes pas en deuil, mais dans la joie, a déclaré le patriarche, se souvenant "de la force désarmante et persuasive du sourire" de Chiara Lubich.
Rédigé par l'équipe de rédaction le 20 Mars 2009 à 16:31
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Le site du diocèse de Chersonèse publie le commentaire du père Vsévolod Tchapline, vice-président du département des relations extérieures du patriarcat de Moscou, sur les propos du pape Benoît XVI au sujet des moyens de lutte contre le SIDA:
"Il est faux de considérer les préservatifs comme un moyen d'enrayer la propagation du SIDA", a déclaré le 20 mars l'archiprêtre Vsévolod Tchapline, vice-président du département des relations extérieures du patriarcat de Moscou, commentant la polémique suscitée par les propos du pape de Rome en voyage en Afrique. Selon le père Tchapline, ce ne sont pas les moyens extérieurs de contraception qui peuvent diminuer la propagation du SIDA, mais une éducation juste et un mode de vie raisonnable.
"Si une personne mène une vie peccamineuse, débauchée, se drogue, n'a pas de sens ni de modération dans son existence, elle périra de toute façon d'une maladie ou d'une autre. Aucun préservatif et aucun médicament ne pourront l'en sauver". Selon le père Tchapline, "la propagation du SIDA ne peut être arrêtée que par une éducation éthique de la population concernée et non par le recours aux préservatifs".
"Il est faux de considérer les préservatifs comme un moyen d'enrayer la propagation du SIDA", a déclaré le 20 mars l'archiprêtre Vsévolod Tchapline, vice-président du département des relations extérieures du patriarcat de Moscou, commentant la polémique suscitée par les propos du pape de Rome en voyage en Afrique. Selon le père Tchapline, ce ne sont pas les moyens extérieurs de contraception qui peuvent diminuer la propagation du SIDA, mais une éducation juste et un mode de vie raisonnable.
"Si une personne mène une vie peccamineuse, débauchée, se drogue, n'a pas de sens ni de modération dans son existence, elle périra de toute façon d'une maladie ou d'une autre. Aucun préservatif et aucun médicament ne pourront l'en sauver". Selon le père Tchapline, "la propagation du SIDA ne peut être arrêtée que par une éducation éthique de la population concernée et non par le recours aux préservatifs".
Rédigé par l'équipe de rédaction le 20 Mars 2009 à 11:35
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L'archevêque Zosime d'Elista et de Kalmykie (république autonome faisant partie de la Fédération de Russie), préoccupé par "les sentiments anti-orthodoxes" qui règnent, selon lui, dans les communautés protestantes de sa région, a adressé un message aux pasteurs responsables de ces communautés.
"Pour aider les protestants de Kalmykie à dépasser les stéréotypes négatifs au sujet de la foi orthodoxe", l'archevêque les invite à s'associer à un cycle de conférences que le diocèse d'Elista organise ce printemps avec la participation de théologiens, historiens et missionnaires venus de différentes villes de Russie. "Si vous cherchez sincèrement la vérité, écrit Mgr Zosime, si vous voulez être honnêtes envers vous-mêmes, nous vous invitons à rencontrer les théologiens orthodoxes et à étudier en toute fraternité les questions de foi qui vous intéressent".
Selon Mgr Zosime, "après la chute de l'Union soviétique, des milliers de prédicateurs étrangers ont afflué en Russie, cherchant à y ériger leurs 'églises'. Le succès de leur mission était en grande partie dû à l'absence de connaissances religieuses positives chez la plupart des citoyens de l'Etat athée... La critique de la foi orthodoxe et non la proclamation du Christ fut le coeur du message de certains de ces missionnaires."
"Pour aider les protestants de Kalmykie à dépasser les stéréotypes négatifs au sujet de la foi orthodoxe", l'archevêque les invite à s'associer à un cycle de conférences que le diocèse d'Elista organise ce printemps avec la participation de théologiens, historiens et missionnaires venus de différentes villes de Russie. "Si vous cherchez sincèrement la vérité, écrit Mgr Zosime, si vous voulez être honnêtes envers vous-mêmes, nous vous invitons à rencontrer les théologiens orthodoxes et à étudier en toute fraternité les questions de foi qui vous intéressent".
Selon Mgr Zosime, "après la chute de l'Union soviétique, des milliers de prédicateurs étrangers ont afflué en Russie, cherchant à y ériger leurs 'églises'. Le succès de leur mission était en grande partie dû à l'absence de connaissances religieuses positives chez la plupart des citoyens de l'Etat athée... La critique de la foi orthodoxe et non la proclamation du Christ fut le coeur du message de certains de ces missionnaires."
Rédigé par l'équipe de rédaction le 19 Mars 2009 à 15:33
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C'est peut-être trop idéaliste et difficile à imaginer à notre époque, mais l'Eglise orthodoxe, elle aussi, considère que l'amour chaste et pur est le plus sûr moyen de mettre l'homme à l'abri de toute sorte de maladies sexuellement transmissibles. Ce n'est pas le préservatif qui nous délivre de la mort, mais la maîtrise de nos pulsions et une éducation sexuelle responsable. C'est du reste la leçon du Carême que nous vivons ces jours-ci.
Voilà ce que les Fondements de la doctrine sociale de l'Eglise orthodoxe russe au sujet de l'amour que l'Eglise professe (ch. X, 6):
"Le corps humain est une merveilleuse création de Dieu, appelée à devenir temple de l’Esprit Saint . En condamnant la pornographie et la fornication, l’Église est loin d’appeler au dédain du corps et de la proximité sexuelle en tant que tels, car les rapports charnels de l’homme et de la femme sont bénis par Dieu dans le mariage, où ils deviennent source de la continuité du genre humain et expression de l’amour chaste, de la communion totale, « de la communauté des âmes et des corps » des époux, ce pour quoi l’Église prie dans le rite du couronnement nuptial .
C’est, au contraire, la réduction de ces relations pures et dignes, selon le dessein du Seigneur, et du corps humain lui-même, à l’état d’objet d’exploitation humiliante et de commerce destiné à une satisfaction égoïste, impersonnelle, corrompue et dénuée de tout amour, qui mérite d’être condamnée. Pour cette même raison, l’Église condamne invariablement la prostitution et la propagande de l’amour prétendument « libre », qui séparent totalement la proximité physique de la communion spirituelle et personnelle, de l’offrande de soi et de la responsabilité de l’un pour l’autre, qui sont possibles seulement dans la fidélité conjugale tout au long de la vie."
Voilà ce que les Fondements de la doctrine sociale de l'Eglise orthodoxe russe au sujet de l'amour que l'Eglise professe (ch. X, 6):
"Le corps humain est une merveilleuse création de Dieu, appelée à devenir temple de l’Esprit Saint . En condamnant la pornographie et la fornication, l’Église est loin d’appeler au dédain du corps et de la proximité sexuelle en tant que tels, car les rapports charnels de l’homme et de la femme sont bénis par Dieu dans le mariage, où ils deviennent source de la continuité du genre humain et expression de l’amour chaste, de la communion totale, « de la communauté des âmes et des corps » des époux, ce pour quoi l’Église prie dans le rite du couronnement nuptial .
C’est, au contraire, la réduction de ces relations pures et dignes, selon le dessein du Seigneur, et du corps humain lui-même, à l’état d’objet d’exploitation humiliante et de commerce destiné à une satisfaction égoïste, impersonnelle, corrompue et dénuée de tout amour, qui mérite d’être condamnée. Pour cette même raison, l’Église condamne invariablement la prostitution et la propagande de l’amour prétendument « libre », qui séparent totalement la proximité physique de la communion spirituelle et personnelle, de l’offrande de soi et de la responsabilité de l’un pour l’autre, qui sont possibles seulement dans la fidélité conjugale tout au long de la vie."
Rédigé par l'équipe de rédaction le 19 Mars 2009 à 09:21
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Le Saint-Synode de l'Église orthodoxe de Bulgarie a annoncé que plusieurs prêtres dissidents ont décidé de revenir dans l'Église orthodoxe canonique. Le métropolite Néophite, membre du Saint-Synode, a affirmé que le dialogue s'est instauré au niveau de plusieurs diocèses au sujet de la réintégration de ces prêtres. Ils prévoient de faire leur amende honorable pendant la Semaine Sainte.
Le métropolite Néophite a souligné que l'Église orthodoxe bulgare "recevra tous ceux qui feront un repentir sincère et qui n'ont pas sur leur compte de violations graves du droit canonique, comme un second mariage ou des actes criminels. Les réticents seront réduits à l'état laïc".
Le métropolite Néophite a souligné que l'Église orthodoxe bulgare "recevra tous ceux qui feront un repentir sincère et qui n'ont pas sur leur compte de violations graves du droit canonique, comme un second mariage ou des actes criminels. Les réticents seront réduits à l'état laïc".
Rédigé par l'équipe de rédaction le 18 Mars 2009 à 16:18
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Le site du Comité pédagogique synodal de l'Église orthodoxe russe a publié en russe le texte de la conférence donnée par Mgr Carlo Ghidelli, archevêque de Lanciano-Ortona (Italie), au colloque international "La Parole de Dieu dans les Traditions orientale et occidentale". Mgr Ghidelli propose une brève analyse intéressante des causes et des conséquences de la division entre les chrétientés grecque et latine. Voici deux extraits significatifs de son intervention:
"Il est bien connu que les motivations de ce schisme étaient à la fois d'ordre doctrinal (la célèbre question du Filioque) et disciplinaire. De notre côté, il faut noter qu'il y a eu trois ruptures: celle de la communion à la table eucharistique, celle de la communion ecclésiale et celle de la communion à la table de la Parole de Dieu. Bien sûr, la rupture fut très lourde de conséquences et il ne fallut pas attendre longtemps pour en voir l'ampleur...
Sans aucun doute, après cette séparation douloureuse, l'Église catholique s'est appauvrie, en devenant moins sûre et, dans une certaine mesure, désemparée. La lumière que la Parole de Dieu répandait dans la communion fraternelle, in sinu Ecclesiae (au sein de l'Église), s'est affaiblie, si elle ne s'est éteinte dans certains endroits."
"Il est bien connu que les motivations de ce schisme étaient à la fois d'ordre doctrinal (la célèbre question du Filioque) et disciplinaire. De notre côté, il faut noter qu'il y a eu trois ruptures: celle de la communion à la table eucharistique, celle de la communion ecclésiale et celle de la communion à la table de la Parole de Dieu. Bien sûr, la rupture fut très lourde de conséquences et il ne fallut pas attendre longtemps pour en voir l'ampleur...
Sans aucun doute, après cette séparation douloureuse, l'Église catholique s'est appauvrie, en devenant moins sûre et, dans une certaine mesure, désemparée. La lumière que la Parole de Dieu répandait dans la communion fraternelle, in sinu Ecclesiae (au sein de l'Église), s'est affaiblie, si elle ne s'est éteinte dans certains endroits."
Rédigé par l'équipe de rédaction le 18 Mars 2009 à 12:19
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Le président de l'Union des écrivains chrétiens de l'Ukraine K. Chapovalov a annoncé que le prix "L'homme de l'année dans le christianisme ukrainien" est attribué en 2008 à Viktor Iouchtchenko, président de l'Ukraine. La deuxième place est occupée par l'archimandrite Longin Zhar, supérieur d'un monastère dans le diocèse de Cernovtsy, qui s'occupe des enfants atteints de SIDA.
En 2007, le même prix "le chrétien de l'année" avait été attribué à Madame Ekaterina Iouchtchenko, la femme du président ukrainien.
En 2007, le même prix "le chrétien de l'année" avait été attribué à Madame Ekaterina Iouchtchenko, la femme du président ukrainien.
Un groupe de fidèles catholiques de Russie a publié sur le forum A la lumière de l'Évangile une protestation contre le fait qu'aucun représentant de l'Église catholique n'ait été invité à la dernière réunion du Conseil à la coopération avec les organisations religieuses auprès du président de la Fédération de Russie. Cette réunion s'est tenue à Toula le 11 mars et a rassemblé les représentants des Églises orthodoxe, vieille-croyante, arménienne, évangéliques, baptistes, des musulmans, des juifs et des bouddhistes.
Cette absence de l'archevêque catholique, alors qu'aux réunions précédentes l'Église catholique avait toujours été invitée, a suscité des débats dans la presse russe. Le même forum catholique annonce aujourd'hui qu'en réponse à l'article paru dans le journal Kommersant, les autorités russes ont déclaré qu'il ne s'agissait pas là "d'un acte de malveillance envers les catholiques". Il semblerait que la coordination du Conseil n'ait pas encore eu le temps de prendre en compte le départ de Mgr Tadeusz Kondrusiewicz, nommé il y a un an archevêque catholique à Minsk, et remplacé à Moscou par Mgr Paolo Pezzi.
Cette absence de l'archevêque catholique, alors qu'aux réunions précédentes l'Église catholique avait toujours été invitée, a suscité des débats dans la presse russe. Le même forum catholique annonce aujourd'hui qu'en réponse à l'article paru dans le journal Kommersant, les autorités russes ont déclaré qu'il ne s'agissait pas là "d'un acte de malveillance envers les catholiques". Il semblerait que la coordination du Conseil n'ait pas encore eu le temps de prendre en compte le départ de Mgr Tadeusz Kondrusiewicz, nommé il y a un an archevêque catholique à Minsk, et remplacé à Moscou par Mgr Paolo Pezzi.
Rédigé par l'équipe de rédaction le 17 Mars 2009 à 17:29
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Le catholicos et patriarche Élie II de Géorgie a déclaré que désormais il rencontrerait des jeunes fidèles de son Église tous les mardis à 15 h. Il prononcera devant eux une conférence et répondra à leurs questions.
Ces rencontres hebdomadaires auront lieu dans le Centre du développement spirituel et intellectuel de la jeunesse, fondé par le patriarcat de Géorgie. L'accès à ces conférences du patriarches sera entièrement libre.
Source: Nouvelles de Géorgie.
Ces rencontres hebdomadaires auront lieu dans le Centre du développement spirituel et intellectuel de la jeunesse, fondé par le patriarcat de Géorgie. L'accès à ces conférences du patriarches sera entièrement libre.
Source: Nouvelles de Géorgie.
Dans une interview à la revue ukrainienne Ukrain'ski tyjden', publiée également sur son site officiel, le chef du "patriarcat de Kiev", structure qui n'est reconnue par aucune autre Église orthodoxe locale, déclare avoir mené des négociations avec le patriarcat de Constantinople pour être reçu dans sa juridiction. Cependant, le "patriarche" Philarète ajoute que les conditions avancées par Constantinople furent jugées irrecevables par les schismatiques ukrainiens. Le "patriarcat de Kiev" est aujourd'hui la deuxième organisation ecclésiale par le nombre de fidèles, après l'Église orthodoxe autonome d'Ukraine laquelle est en communion avec le patriarcat de Moscou.
"Nous avions avec le patriarcat œcuménique des objectifs différents, explique Philarète dans son interview. Nous voulions rejoindre le patriarcat de Constantinople pour une brève période afin d'en sortir en tant qu'Église autocéphale. En revanche, Constantinople cherchait à faire du patriarcat de Kiev une partie de son Église et la renforcer à nos frais et puis, un jour peut-être, nous accorder l'autocéphalie". Selon le "patriarche" Philarète, "les conditions proposées à notre Église dans le patriarcat de Constantinople étaient pires que dans le patriarcat de Moscou." Ainsi, "nous devions proposer trois candidats au siège primatial et c'est le patriarche de Constantinople qui devait décider. Pour les membres du Saint-Synode, nous devions soumettre également trois candidats pour un siège et lui en choisirait un".
"Mais s'il faut être soumis à une autre Église locale, ajoute Philarète, pour nous il n'y a aucune différence d'être dans le patriarcat de Moscou ou dans celui de Constantinople. En quittant un joug, nous serions tombés sous un autre".
"Nous avions avec le patriarcat œcuménique des objectifs différents, explique Philarète dans son interview. Nous voulions rejoindre le patriarcat de Constantinople pour une brève période afin d'en sortir en tant qu'Église autocéphale. En revanche, Constantinople cherchait à faire du patriarcat de Kiev une partie de son Église et la renforcer à nos frais et puis, un jour peut-être, nous accorder l'autocéphalie". Selon le "patriarche" Philarète, "les conditions proposées à notre Église dans le patriarcat de Constantinople étaient pires que dans le patriarcat de Moscou." Ainsi, "nous devions proposer trois candidats au siège primatial et c'est le patriarche de Constantinople qui devait décider. Pour les membres du Saint-Synode, nous devions soumettre également trois candidats pour un siège et lui en choisirait un".
"Mais s'il faut être soumis à une autre Église locale, ajoute Philarète, pour nous il n'y a aucune différence d'être dans le patriarcat de Moscou ou dans celui de Constantinople. En quittant un joug, nous serions tombés sous un autre".
Rédigé par l'équipe de rédaction le 17 Mars 2009 à 01:05
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Selon le site officiel de l'OCA, le métropolite Jonas, primat de l'Église orthodoxe en Amérique, a rencontré son prédécesseur démissionnaire, le métropolite Germain, pour lui annoncer la décision du Saint-Synode de restreindre sa participation aux liturgies à l'église Saints-Pierre-et-Paul à Uniondale, PA.
"Le ministère de Votre Béatitude dans l'Eglise orthodoxe en Amérique est bien reconnue, écrit le métropolite Jonas à Mgr Germain, vos œuvres au monastère Saint-Tikhon seront remémorées pendant de longues années. Cependant, il n'y a aucun doute que c'est pendant le pontificat de Votre Béatitude que s'est développée une activité financière douteuse. Ses conséquences ont mis en péril la stabilité du monastère Saint-Tikhon et causé de sérieux dommages à la réputation de l'Église orthodoxe en Amérique".
"Le ministère de Votre Béatitude dans l'Eglise orthodoxe en Amérique est bien reconnue, écrit le métropolite Jonas à Mgr Germain, vos œuvres au monastère Saint-Tikhon seront remémorées pendant de longues années. Cependant, il n'y a aucun doute que c'est pendant le pontificat de Votre Béatitude que s'est développée une activité financière douteuse. Ses conséquences ont mis en péril la stabilité du monastère Saint-Tikhon et causé de sérieux dommages à la réputation de l'Église orthodoxe en Amérique".
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Ce lieu de libre information, de réflexion et d'échanges sur l'actualité chrétienne n'exprime pas la position officielle de l'Église orthodoxe russe ni celle du diocèse de Chersonèse. C'est une initiative parmi tant d'autres visant à mettre au profit de la mission orthodoxe et de la communication entre chrétiens les moyens offerts par les technologies modernes.
Notre objectif consiste à partager des informations sur la vie des orthodoxes en France, en Russie et dans le monde, de proposer des sujets de réflexion, d'échanger des idées et des opinions sans polémique et dans le respect mutuel. Les modérateurs y veilleront. Nous espérons accueillir des auteurs de toute appartenance religieuse et juridictionnelle.
Le comité de rédaction
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Le comité de rédaction
Le patriarche Cyrille a annoncé qu'il ne souhaitait pas que pour la fête de son saint patron les évêques se déplacent à Moscou. Il préfère qu'ils restent dans leurs diocèses le jour des saints Cyrille et Méthode (11/24 mai). Il s'agit d'une rupture avec la tradition qui existait sous le patriarche Alexis II quand les évêques venaient célébrer solennellement la saint Alexis à Moscou autour du primat.
Le métropolite Juvénal, évêque de la région de Moscou, a rapporté les paroles suivantes du patriarche Cyrille: "Je ne vais pas inviter les évêques ce jour-là. Au contraire, je tâcherai de les dissuader de venir à Moscou pour la fête de mon saint patron. Je les inciterai à rester dans leur diocèse pour célébrer solennellement la Journée des lettres et de la culture slaves".
En effet, depuis plusieurs années, la mémoire des saints Cyrille et Méthode est devenue en même temps la fête de la culture slave.
Le métropolite Juvénal, évêque de la région de Moscou, a rapporté les paroles suivantes du patriarche Cyrille: "Je ne vais pas inviter les évêques ce jour-là. Au contraire, je tâcherai de les dissuader de venir à Moscou pour la fête de mon saint patron. Je les inciterai à rester dans leur diocèse pour célébrer solennellement la Journée des lettres et de la culture slaves".
En effet, depuis plusieurs années, la mémoire des saints Cyrille et Méthode est devenue en même temps la fête de la culture slave.
Selon les chiffres publiés cette semaine par le Centre russe des recherches sur l'opinion publique (VCIOM), la proportion de Russes croyant que l'univers est l'œuvre de Dieu s'élève à 23 %. De même, 37 % considèrent que la science contemporaine ne fournit pas de réponse adéquate à la question des origines du monde et de l'homme.
En revanche, 19 % de la population russe est attaché à la théorie de l'évolution des espèces. Cette catégorie a diminué de 5 % depuis 2006. 8 % de répondants affirment que la question de l'origine du monde ne les intéresse pas, tandis que 3 % croient que la vie est arrivée sur terre en provenance d'autres univers.
La Russie n'a pas échappé à la stérile polémique entre les tenants de la théorie de l'évolution et les "créationnistes". Il n'est pas rare d'y entendre, comme dans d'autres pays, certains croyants professer une totale incompatibilité entre ces deux visions qui pourraient, pourtant, se compléter. Selon le VCIOM, 20 % de Russes souhaiteraient que la théorie de Darwin ne soit pas enseignée dans les écoles...
En revanche, 19 % de la population russe est attaché à la théorie de l'évolution des espèces. Cette catégorie a diminué de 5 % depuis 2006. 8 % de répondants affirment que la question de l'origine du monde ne les intéresse pas, tandis que 3 % croient que la vie est arrivée sur terre en provenance d'autres univers.
La Russie n'a pas échappé à la stérile polémique entre les tenants de la théorie de l'évolution et les "créationnistes". Il n'est pas rare d'y entendre, comme dans d'autres pays, certains croyants professer une totale incompatibilité entre ces deux visions qui pourraient, pourtant, se compléter. Selon le VCIOM, 20 % de Russes souhaiteraient que la théorie de Darwin ne soit pas enseignée dans les écoles...
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