Plateforme libre de discussion
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L’Association des habitants de Moscou a annoncé que du 25 février au 5 mars, les Moscovites pourront voter pour choisir l'un des deux monuments candidats à être installés place Loubianka ...
Du 25 février au 5 mars 2021, sur la plateforme Active Citizen, les Moscovites pourront voter pour l'un des deux monuments candidats à être installés place Loubianka : Felix Dzerjinsky , fondateur de la Tcheka ou le Saint prince Alexandre de la Neva, a déclaré Constantin Remchukov, président de l’Association des habitants de Moscou,
« Le Conseil de l’association, a été décidé de tenir un vote dans le cadre du site « Citoyen actif » du 25 février au 5 mars sur la question de l'installation d'un monument place de la Loubianka . Nous sommes arrivés à la conclusion qu'il y aura deux possibilités - un monument à Felix Dzerjinsky ou à Alexandre de la Neva ", a précisé Remchukov.
Répondant à la question de savoir pourquoi il n'y avait pas d'options «contre tous» ou «fontaine», Remchukov a déclaré: « Nous avons reçu deux propositions, nous avons mis ces deux propositions aux voix ".
Du 25 février au 5 mars 2021, sur la plateforme Active Citizen, les Moscovites pourront voter pour l'un des deux monuments candidats à être installés place Loubianka : Felix Dzerjinsky , fondateur de la Tcheka ou le Saint prince Alexandre de la Neva, a déclaré Constantin Remchukov, président de l’Association des habitants de Moscou,
« Le Conseil de l’association, a été décidé de tenir un vote dans le cadre du site « Citoyen actif » du 25 février au 5 mars sur la question de l'installation d'un monument place de la Loubianka . Nous sommes arrivés à la conclusion qu'il y aura deux possibilités - un monument à Felix Dzerjinsky ou à Alexandre de la Neva ", a précisé Remchukov.
Répondant à la question de savoir pourquoi il n'y avait pas d'options «contre tous» ou «fontaine», Remchukov a déclaré: « Nous avons reçu deux propositions, nous avons mis ces deux propositions aux voix ".
Rédigé par Parlons D'orthodoxie le 21 Février 2021 à 10:54
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3 commentaires
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"Le monde les a hais, parce qu’ils ne sont pas du monde, comme moi je ne suis pas du monde" (Jean 17, 14) : selon la parole du disciple préféré du Seigneur, s’ils vivent dans le monde, les chrétiens ne font pas complètement partie de ce monde. Ils devraient ainsi normalement être à l’écart de toute activité politique, mais vivant dans le monde ils en subissent les effets.
A la question "comment répondre aux défis du monde en tant que chrétien? " on peut sans risque affirmer qu’un chrétien n’a absolument pas à répondre à un quelconque défi posé par le monde mais que c’est plutôt l’inverse: c’est le chrétien, par ce qu’il est, qui défie le monde. (je conseille cette excellente conférence donnée à ce sujet en 2018 dans le cadre du salon du livre orthodoxe: "Les défis de l'orthodoxie, par l'archiprêtre Marc-Antoine Costa de Beauregard")
Le métropolite Porphyre de Zagreb et Ljubljana a été élu le 18 février, patriarche de l’Église orthodoxe serbe.
Le cardinal Koch, président du Conseil pontifical pour l'unité des chrétiens lui a adressé ses féliciations au nom du Saint-Siège.
L'Église orthodoxe serbe a un nouveau patriarche. Le métropolite Porphyre, a été élu le 18 février à la tête de cette Église. Agé de 59 ans, celui qui était jusqu'ici métropolite de Zagreb (en Croatie) et Ljubljana (en Slovénie) est le plus jeune chef de l'Église orthodoxe de Serbie depuis 1937 et succède au patriarche Irénée décédé au mois de décembre dernier des suites du Covid-19.
Le nouveau patriarche a été intronisé lors d'une messe ce vendredi dans la basilique Saint Sava de Belgrade. Théologien réputé, Porphyre est connu pour son engagement dans le dialogue œcuméniqu
Le cardinal Koch, président du Conseil pontifical pour l'unité des chrétiens lui a adressé ses féliciations au nom du Saint-Siège.
L'Église orthodoxe serbe a un nouveau patriarche. Le métropolite Porphyre, a été élu le 18 février à la tête de cette Église. Agé de 59 ans, celui qui était jusqu'ici métropolite de Zagreb (en Croatie) et Ljubljana (en Slovénie) est le plus jeune chef de l'Église orthodoxe de Serbie depuis 1937 et succède au patriarche Irénée décédé au mois de décembre dernier des suites du Covid-19.
Le nouveau patriarche a été intronisé lors d'une messe ce vendredi dans la basilique Saint Sava de Belgrade. Théologien réputé, Porphyre est connu pour son engagement dans le dialogue œcuméniqu
L'Eglise orthodoxe russe n'exclut pas la possibilité de canonisation de l'archiprêtre Alexandre Men, qui a été de son vivant appelé "l'apôtre de l'intelligentsia".
Le responsable du Département synodal des relations extérieures , le métropolite Hilarion, à l'antenne de l'émission L'Église et le monde sur la chaîne de télévision Russia-24, a qualifié le père Alexandre de missionnaire exceptionnel de son temps. Il a dû prêcher dans les conditions difficile de la période soviétique.
"Sa mort a été tragique, et je pense qu’ il peut être canonisé comme martyr", a déclaré le métropolite.
Le responsable du Département synodal des relations extérieures , le métropolite Hilarion, à l'antenne de l'émission L'Église et le monde sur la chaîne de télévision Russia-24, a qualifié le père Alexandre de missionnaire exceptionnel de son temps. Il a dû prêcher dans les conditions difficile de la période soviétique.
"Sa mort a été tragique, et je pense qu’ il peut être canonisé comme martyr", a déclaré le métropolite.
Le baptême se donne par immersion aux petits enfants dès leur 8ème jour, voir avant en cas de péril mortel. Ce sacrement primordial est normalement administré par un évêque ou un prêtre, mais il peut aussi l'être par tout Chrétien en cas de péril mortel ; dans ce cas, si le baptême a été fait dans les règles, c'est-à-dire par triple immersion (ou aspersion générale en cas d'impossibilité – j'ai vu un baptême en couveuse fermée à l'aide d'une seringue…) et au nom du Père, du Fils du Saint Esprit, il n'est pas renouvelé mais le baptisé doit ensuite être confirmé dans les règles.
En fin de texte une vidéo d'un baptême conforme à la tradition de l'Eglise orthodoxe russe
***
Un baptême mortel secoue la Roumanie
L’Église orthodoxe est mise en cause après le décès d’un bébé, qui n’a pas survécu au rituel de l’immersion.
Les Roumains ne décolèrent pas depuis le décès d’un bébé de six semaines, lundi 1er février, après son baptême. Immergé à trois reprises dans l’eau bénite, selon le rituel orthodoxe, l’enfant a fait un arrêt cardiaque auquel il a succombé quelques heures plus tard, à l’hôpital de Suceava (nord-est).
Poursuivi pour homicide involontaire, le prêtre n’a pas attendu l’enquête pour se retirer de ses fonctions. Il s’est dit « dévasté » par ce drame, qui a provoqué l’émoi dans tout le pays, à majorité orthodoxe (85 % de la population).
En fin de texte une vidéo d'un baptême conforme à la tradition de l'Eglise orthodoxe russe
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Un baptême mortel secoue la Roumanie
L’Église orthodoxe est mise en cause après le décès d’un bébé, qui n’a pas survécu au rituel de l’immersion.
Les Roumains ne décolèrent pas depuis le décès d’un bébé de six semaines, lundi 1er février, après son baptême. Immergé à trois reprises dans l’eau bénite, selon le rituel orthodoxe, l’enfant a fait un arrêt cardiaque auquel il a succombé quelques heures plus tard, à l’hôpital de Suceava (nord-est).
Poursuivi pour homicide involontaire, le prêtre n’a pas attendu l’enquête pour se retirer de ses fonctions. Il s’est dit « dévasté » par ce drame, qui a provoqué l’émoi dans tout le pays, à majorité orthodoxe (85 % de la population).
BORIS EGOROV
De banales colonies de vacances d'été dans l'Oural pour les écoliers soviétiques se sont soudainement transformées en odyssée de trois ans à l'autre bout du monde.
Le 18 mai 1918, près de huit cents enfants ont quitté Petrograd (aujourd'hui Saint-Pétersbourg) pour passer leurs vacances d'été dans l'Oural. Personne n'aurait pu imaginer qu'ils se retrouveraient bientôt en danger de mort, traverseraient la moitié du monde et rentreraient chez eux seulement deux ans et demi plus tard.
En novembre 1917, Petrograd est secouée par une révolution organisée par les bolcheviks, qui a été bientôt suivie d'un hiver marqué par la faim. Au printemps, les établissements d'enseignement et les parents d’élèves ont décidé d'envoyer onze mille écoliers de manière coordonnée dans les « colonies de nutrition d'été » réparties à travers le pays, où ils pourraient reprendre des forces et améliorer leur santé défaillante. Environ huit cents d'entre eux n’ont pas eu de chance. Accompagnés de plusieurs centaines d'éducateurs, ils sont partis pour un voyage sans fin dans les montagnes de l'Oural.
Il était difficile d’imaginer pire moment pour un tel voyage. Alors que des trains transportant des enfants avançaient vers l'est du pays, un soulèvement antibolchevique a éclaté dans cette région. En quelques semaines à peine, la vaste région de la Sibérie et de l'Oural a été plongée dans la guerre civile.
De banales colonies de vacances d'été dans l'Oural pour les écoliers soviétiques se sont soudainement transformées en odyssée de trois ans à l'autre bout du monde.
Le 18 mai 1918, près de huit cents enfants ont quitté Petrograd (aujourd'hui Saint-Pétersbourg) pour passer leurs vacances d'été dans l'Oural. Personne n'aurait pu imaginer qu'ils se retrouveraient bientôt en danger de mort, traverseraient la moitié du monde et rentreraient chez eux seulement deux ans et demi plus tard.
En novembre 1917, Petrograd est secouée par une révolution organisée par les bolcheviks, qui a été bientôt suivie d'un hiver marqué par la faim. Au printemps, les établissements d'enseignement et les parents d’élèves ont décidé d'envoyer onze mille écoliers de manière coordonnée dans les « colonies de nutrition d'été » réparties à travers le pays, où ils pourraient reprendre des forces et améliorer leur santé défaillante. Environ huit cents d'entre eux n’ont pas eu de chance. Accompagnés de plusieurs centaines d'éducateurs, ils sont partis pour un voyage sans fin dans les montagnes de l'Oural.
Il était difficile d’imaginer pire moment pour un tel voyage. Alors que des trains transportant des enfants avançaient vers l'est du pays, un soulèvement antibolchevique a éclaté dans cette région. En quelques semaines à peine, la vaste région de la Sibérie et de l'Oural a été plongée dans la guerre civile.
p. Nikolaï Tikhonchuk
Que-ce que c’est le talent dont nous parle cette parabole ?
Chers frères et sœurs !
Tout à l’heure nous avons entendu la parabole des talents : « Un homme qui, partant en voyage, confia ses biens à ses serviteurs » sous la forme de pièces en argent – des talents, – « à chacun selon ses capacités ».
C’est une parabole dont l’interprétation peut paraître évidente : l’homme qui part en voyage, c’est Dieu, le Maître de tous les biens ; les serviteurs, c’est nous tous ; les pièces en argent, ce sont les différents dons de Dieu.
Cet Evangile est toujours lu le dimanche qui précède le dimanche de Zachée. Ces deux épisodes se succèdent, dans le sens inverse, chez saint Luc, et ils ont probablement eu lieu le même jour. Qui sait, peut-être que cette parabole a été prononcée dans la maison de Zachée – le chef des collecteurs d’impôts qui était prêt à distribuer sa fortune aux pauvres.
Le mot « talent » signifie à la base une unité de compte, de poids, dans la Grèce ancienne. Par la suite, ce mot a obtenu un nouveau sens qui est très proche du sens de l’Evangile : une capacité ou une aptitude particulière à faire quelque chose, un don. Ainsi les talents de cette parabole ne sont pas que de l’argent, mais des dons divers que nous pouvons « placer chez les banquiers », comme dit Jésus.
Que-ce que c’est le talent dont nous parle cette parabole ?
Chers frères et sœurs !
Tout à l’heure nous avons entendu la parabole des talents : « Un homme qui, partant en voyage, confia ses biens à ses serviteurs » sous la forme de pièces en argent – des talents, – « à chacun selon ses capacités ».
C’est une parabole dont l’interprétation peut paraître évidente : l’homme qui part en voyage, c’est Dieu, le Maître de tous les biens ; les serviteurs, c’est nous tous ; les pièces en argent, ce sont les différents dons de Dieu.
Cet Evangile est toujours lu le dimanche qui précède le dimanche de Zachée. Ces deux épisodes se succèdent, dans le sens inverse, chez saint Luc, et ils ont probablement eu lieu le même jour. Qui sait, peut-être que cette parabole a été prononcée dans la maison de Zachée – le chef des collecteurs d’impôts qui était prêt à distribuer sa fortune aux pauvres.
Le mot « talent » signifie à la base une unité de compte, de poids, dans la Grèce ancienne. Par la suite, ce mot a obtenu un nouveau sens qui est très proche du sens de l’Evangile : une capacité ou une aptitude particulière à faire quelque chose, un don. Ainsi les talents de cette parabole ne sont pas que de l’argent, mais des dons divers que nous pouvons « placer chez les banquiers », comme dit Jésus.
Plus de 4000 clercs ont été malades du COVID-19
Plus de 4000 membres du clergé de l'Église orthodoxe russe (PM) ont contracté une infection à coronavirus, 145 sont décédées, selon le message du groupe de travail du patriarcat de Moscou.
"Un total de 4 001 membres du clergé et des moines de l'Église orthodoxe russe ont eu une infection à coronavirus. Y compris 381 ecclésiastiques des paroisses de Moscou, 2 728 ecclésiastiques des diocèses de Russie et 892 clercs et moines de la stavropégie" précise le message.
Il est également à noter qu'au 3 février, 145 décès dus à une infection à coronavirus ont été enregistrés en Russie parmi les religieux de Moscou , le clergé et les habitants de la stavropégie. Sur les 145 défunts, il y a 14 ecclésiastiques des paroisses de Moscou, 107 clercs des diocèses de Russie et 24 ecclésiastiques et moines de stavropégie.
Plus de 4000 membres du clergé de l'Église orthodoxe russe (PM) ont contracté une infection à coronavirus, 145 sont décédées, selon le message du groupe de travail du patriarcat de Moscou.
"Un total de 4 001 membres du clergé et des moines de l'Église orthodoxe russe ont eu une infection à coronavirus. Y compris 381 ecclésiastiques des paroisses de Moscou, 2 728 ecclésiastiques des diocèses de Russie et 892 clercs et moines de la stavropégie" précise le message.
Il est également à noter qu'au 3 février, 145 décès dus à une infection à coronavirus ont été enregistrés en Russie parmi les religieux de Moscou , le clergé et les habitants de la stavropégie. Sur les 145 défunts, il y a 14 ecclésiastiques des paroisses de Moscou, 107 clercs des diocèses de Russie et 24 ecclésiastiques et moines de stavropégie.
Le Rassemblement national français dirigé par Marine Le Pen a présenté sa version du projet de loi à l'occasion du débat parlementaire sur le séparatisme, qui propose d'exclure l'idéologie islamiste de France, notamment d'interdire aux femmes de porter le hijab dans les lieux publics .
Comme l'a rapporté le journal Ouest-France Marine Le Pen a présenté vendredi son projet de censure, qui devrait être débattu à l'Assemblée nationale à partir de lundi.
Dans son premier article, le projet de loi interdit «la pratique, la démonstration et la diffusion publique de l'idéologie islamiste» dans les films, la presse, les bibliothèques et les écoles ».
Comme l'a rapporté le journal Ouest-France Marine Le Pen a présenté vendredi son projet de censure, qui devrait être débattu à l'Assemblée nationale à partir de lundi.
Dans son premier article, le projet de loi interdit «la pratique, la démonstration et la diffusion publique de l'idéologie islamiste» dans les films, la presse, les bibliothèques et les écoles ».
La Mission orthodoxe russe à Jérusalem, qui fait partie de l’Église orthodoxe russe hors frontières (EORHF) a célébré pendant 100 ans dans l’église Saint Alexandre de la Néva, dans les fouilles archéologiques russes (Alexandrovskoye Podvorie) à Jérusalem
L’église Saint-Alexandre a été consacrée en 1896, quand elle a été transférée à Mission russe à Jérusalem.
Après la Révolution de 1917, l’Église est devenue une partie de l’Église russe à l’étranger (EORHF), et l’administration du métochion était assumée par la Société de Palestine orthodoxe.
Lien de rappel La justice israélienne décide que le métochion Saint Alexandre à Jérusalem appartient à la Russie
Заявление Верховного совета Православного Палестинского Общества в связи с недавними событиями на Александровском подворье в Иерусалиме
Русская Духовная Миссия (РДМ) в Иерусалиме в составе Русской Православной Церкви Заграницей (РПЦЗ) уже на протяжение 100 лет совершает богослужения в храме Александра Невского на русских раскопках (Александровское подворье) в Иерусалиме. Храм Александра Невского был освящен в 1896 году, когда он был передан в ведение Русской Духовной Миссии в Иерусалиме.
После революции 1917 года храм перешел в ведение Русской Зарубежной Церкви, а управление подворьем – в ведение Православного Палестинского Общества (ППО).
L’église Saint-Alexandre a été consacrée en 1896, quand elle a été transférée à Mission russe à Jérusalem.
Après la Révolution de 1917, l’Église est devenue une partie de l’Église russe à l’étranger (EORHF), et l’administration du métochion était assumée par la Société de Palestine orthodoxe.
Lien de rappel La justice israélienne décide que le métochion Saint Alexandre à Jérusalem appartient à la Russie
Заявление Верховного совета Православного Палестинского Общества в связи с недавними событиями на Александровском подворье в Иерусалиме
Русская Духовная Миссия (РДМ) в Иерусалиме в составе Русской Православной Церкви Заграницей (РПЦЗ) уже на протяжение 100 лет совершает богослужения в храме Александра Невского на русских раскопках (Александровское подворье) в Иерусалиме. Храм Александра Невского был освящен в 1896 году, когда он был передан в ведение Русской Духовной Миссии в Иерусалиме.
После революции 1917 года храм перешел в ведение Русской Зарубежной Церкви, а управление подворьем – в ведение Православного Палестинского Общества (ППО).
À la mémoire des défenseurs de la Russie traditionnelle
Un monument en l'honneur des cosaques qui ont combattu les bolcheviks et ont été soumis à la décossackisation va être installé par les autorités locales dans la ville de Krasny Souline de la région de Rostov, rapporte service de presse du gouvernement du Don.
La maquette du monument "Gloire au cosaque Souline!" est déjà prête, un habitant de la ville de Shakhty, l'artiste et sculpteur Zurab Machitadze est l’auteur de ce travail. Le monument est financé par des fonds extrabudgétaires.
«Le monument est une composition sculpturale, où les cosaques les plus âgés sont au premier plan, suivis par les plus jeunes . Derrière eux se trouve la croix de Saint-Georges avec le tracé de l’église Saint Alexandre de la Néva, qui se trouvait autrefois sur la terre des Souli », a expliqué Galina Lyubovina du département de l'information du gouvernement de la région de Rostov.
Un monument en l'honneur des cosaques qui ont combattu les bolcheviks et ont été soumis à la décossackisation va être installé par les autorités locales dans la ville de Krasny Souline de la région de Rostov, rapporte service de presse du gouvernement du Don.
La maquette du monument "Gloire au cosaque Souline!" est déjà prête, un habitant de la ville de Shakhty, l'artiste et sculpteur Zurab Machitadze est l’auteur de ce travail. Le monument est financé par des fonds extrabudgétaires.
«Le monument est une composition sculpturale, où les cosaques les plus âgés sont au premier plan, suivis par les plus jeunes . Derrière eux se trouve la croix de Saint-Georges avec le tracé de l’église Saint Alexandre de la Néva, qui se trouvait autrefois sur la terre des Souli », a expliqué Galina Lyubovina du département de l'information du gouvernement de la région de Rostov.
Le chef de l'Union mondiale des vieux croyants, Leonid Sevastyanov, s'est prononcé en faveur de la maternité de substitution en tant que telle, alors qu'il estime que les femmes russes ne devraient avoir que des enfants russes.
"Tout ce qui contribue à l'émergence d'une nouvelle vie est bon. Tout ce qui l'empêche est mauvais. En empêchant la gestation pour autrui, nous empêchons l'apparition d'une nouvelle personne", a déclaré Sevastyanov à Interfax.
La raison de ce commentaire était la récente nouvelle que la Douma d’État a élaboré un projet de loi interdisant les services de mères porteuses pour les étrangers.
"Tout ce qui contribue à l'émergence d'une nouvelle vie est bon. Tout ce qui l'empêche est mauvais. En empêchant la gestation pour autrui, nous empêchons l'apparition d'une nouvelle personne", a déclaré Sevastyanov à Interfax.
La raison de ce commentaire était la récente nouvelle que la Douma d’État a élaboré un projet de loi interdisant les services de mères porteuses pour les étrangers.
Chers pères, chers frères et sœurs,
C’est avec joie que j’ai accepté de participer à la Table ronde consacrée à Mgr Serge (Konovaloff) de bienheureuse mémoire. La possibilité m’est offerte de contribuer, ne fût-ce que modestement, à cette heureuse initiative. Nous nous devons de maintenir le souvenir d’un homme remarquable, d’un bon pasteur qui a tant souffert pour « nos malheureuses paroisses», selon sa propre expression, qui se sentait grandement responsable pour son troupeau si divers, multiethnique et pluriculturel. Mgr Serge se sentait responsable de l’avenir du diocèse qui lui avait été confié.
Il nous incombe, et ceci jusqu’à présent, de continuer à réfléchir sur la personnalité de Monseigneur Serge, sur les orientations qui étaient les siennes, sur ses aspirations, ses souhaits pour son éparchie. Toutes ces questions restent aujourd’hui d’actualité.
Il faut commencer par préciser que c’est avec la bénédiction de Mgr Serge que je me suis retrouvé en France. Un groupe de prêtres parisiens avait pris l’initiative de demander aux écoles de théologie de Moscou d’envoyer à Paris deux jeunes hiéromoines pour assister l’archevêché.
Mgr Serge avait validé cette proposition. Au lieu de deux étudiants un seul fut choisi, c’était moi. Notre première rencontre avec Mgr Serge se situe fin 1999, dans les semaines qui suivaient mon arrivée à Paris. Peu après Noël je fus invité par Mgr Serge pour prendre le thé. A sa demande je m’étais déjà mis à officier à l’église du Christ Sauveur à Asnières. Le thé qu’il offrait, il le faisait infuser lui-même, était très bon et très fort.
C’est avec joie que j’ai accepté de participer à la Table ronde consacrée à Mgr Serge (Konovaloff) de bienheureuse mémoire. La possibilité m’est offerte de contribuer, ne fût-ce que modestement, à cette heureuse initiative. Nous nous devons de maintenir le souvenir d’un homme remarquable, d’un bon pasteur qui a tant souffert pour « nos malheureuses paroisses», selon sa propre expression, qui se sentait grandement responsable pour son troupeau si divers, multiethnique et pluriculturel. Mgr Serge se sentait responsable de l’avenir du diocèse qui lui avait été confié.
Il nous incombe, et ceci jusqu’à présent, de continuer à réfléchir sur la personnalité de Monseigneur Serge, sur les orientations qui étaient les siennes, sur ses aspirations, ses souhaits pour son éparchie. Toutes ces questions restent aujourd’hui d’actualité.
Il faut commencer par préciser que c’est avec la bénédiction de Mgr Serge que je me suis retrouvé en France. Un groupe de prêtres parisiens avait pris l’initiative de demander aux écoles de théologie de Moscou d’envoyer à Paris deux jeunes hiéromoines pour assister l’archevêché.
Mgr Serge avait validé cette proposition. Au lieu de deux étudiants un seul fut choisi, c’était moi. Notre première rencontre avec Mgr Serge se situe fin 1999, dans les semaines qui suivaient mon arrivée à Paris. Peu après Noël je fus invité par Mgr Serge pour prendre le thé. A sa demande je m’étais déjà mis à officier à l’église du Christ Sauveur à Asnières. Le thé qu’il offrait, il le faisait infuser lui-même, était très bon et très fort.
La cathédrale russe Sainte-Marie-Madeleine égale aux apôtres a été incluse dans la liste des six églises les plus impressionnantes de Madrid, compilée par le journal « El Mundo » (le média de langue espagnole le plus cité dans le monde).
«Il y a une centaine d'églises et de paroisses à Madrid, chacune étant remarquable à sa manière. Nous avons sélectionné six des plus beaux temples qui ornent vraiment la ville, qui doivent être visités », écrit El Mundo.
En plus d'une église orthodoxe de construction moderne, la liste comprend des églises et cathédrales catholiques: la basilique royale du XVIIIe siècle San Francisco El Grande, le monastère du XIVe siècle San Jeronimo El Real, l'église de San Jines, construite au XVIIe siècle, le temple du XVIIe siècle San Antonio de Los Alemanes et du XVIIIe siècle San Antonio de la Florida Temple Museum.
«Il y a une centaine d'églises et de paroisses à Madrid, chacune étant remarquable à sa manière. Nous avons sélectionné six des plus beaux temples qui ornent vraiment la ville, qui doivent être visités », écrit El Mundo.
En plus d'une église orthodoxe de construction moderne, la liste comprend des églises et cathédrales catholiques: la basilique royale du XVIIIe siècle San Francisco El Grande, le monastère du XIVe siècle San Jeronimo El Real, l'église de San Jines, construite au XVIIe siècle, le temple du XVIIe siècle San Antonio de Los Alemanes et du XVIIIe siècle San Antonio de la Florida Temple Museum.
Le 10 janvier 2021, dimanche de la Nativité, le métropolite Antoine de Chersonèse et d’Europe occidentale, exarque patriarcal en Europe de l’Ouest, a célébré la divine liturgie à l’église des Trois-Saints-Docteurs, à Paris.
Après l’office, le prêtre Nikolaï Tikhonchuk, soignant à l’hôpital Cochin de Paris, et le diacre Marc Andronikof, chef de service des urgences de l’hôpital Antoine Beclère de Clamart, ont été décorés de la médaille de l’Église orthodoxe russe « Gratitude patriarcale » pour leur contribution personnelle à la lutte contre l’épidémie de covid-19.
Après l’office, le prêtre Nikolaï Tikhonchuk, soignant à l’hôpital Cochin de Paris, et le diacre Marc Andronikof, chef de service des urgences de l’hôpital Antoine Beclère de Clamart, ont été décorés de la médaille de l’Église orthodoxe russe « Gratitude patriarcale » pour leur contribution personnelle à la lutte contre l’épidémie de covid-19.
prêtre Nikolaï Tikhonchuk
Dix lépreux sont guéris, mais un seul rend grâce à Dieu pour faire de sa guérison un acte de foi
Chers frères et sœurs,
Aujourd’hui nous faisons mémoire de l’un des fondateurs du monachisme chrétien : saint Antoine le Grand. Il a vécu au IV° siècle en Egypte, à l’époque où le christianisme devient une religion d’Etat, et petit à petit le mode de vie des communautés chrétiennes change : les chrétiens ne sont plus ni persécutés, ni ouvertement méprisés par les païens.
Il y a un épisode étonnant dans la vie de Saint Antoine qui est montré comme un point de départ, comme un appel de Dieu à agir. Un jour dans l’église il entend la parole de l’Evangile : « Si tu veux être parfait, va, vends tout ce que tu possèdes et donne-le aux pauvres, et viens, suis-moi, et tu auras un trésor dans les cieux » (Mt 19, 21) Saint Antoine abandonne tout et part dans le désert pour vivre seul avec Dieu …
Dix lépreux sont guéris, mais un seul rend grâce à Dieu pour faire de sa guérison un acte de foi
Chers frères et sœurs,
Aujourd’hui nous faisons mémoire de l’un des fondateurs du monachisme chrétien : saint Antoine le Grand. Il a vécu au IV° siècle en Egypte, à l’époque où le christianisme devient une religion d’Etat, et petit à petit le mode de vie des communautés chrétiennes change : les chrétiens ne sont plus ni persécutés, ni ouvertement méprisés par les païens.
Il y a un épisode étonnant dans la vie de Saint Antoine qui est montré comme un point de départ, comme un appel de Dieu à agir. Un jour dans l’église il entend la parole de l’Evangile : « Si tu veux être parfait, va, vends tout ce que tu possèdes et donne-le aux pauvres, et viens, suis-moi, et tu auras un trésor dans les cieux » (Mt 19, 21) Saint Antoine abandonne tout et part dans le désert pour vivre seul avec Dieu …
Mgr Andrei de Covasna de l'Église orthodoxe roumaine, a effectué une visite de pèlerinage dans plusieurs diocèses de l'EOU.
Les 11 et 13 janvier 2021, l’évêque Andrew de Covasna , en visite de pèlerinage en Ukraine, s'est incliné devant les sanctuaires de divers diocèses de l'Église orthodoxe ukrainienne et a célébré la Divine Liturgie dans la Laure des grottes, selon le Département de l'information et de l'éducation de l'UOC.
Le 11 janvier, Sa Grâce a rencontré à Tchernovtsy le métropolite Meletius de Tchernovtsy et de Bucovine et a prié dans les sanctuaires du diocèse de Tchernivtsi-Bucovine.
Plus tard, l'évêque a visité Ternopil. Là, Mgr Andrey Kovasnensky a eu une réunion avec le métropolite Sergius de Ternopil et Kremenets et s'est incliné devant les sanctuaires du diocèse de Ternopil. En particulier, Mgr André a visité la laure de la Sainte Dormition.
Les 11 et 13 janvier 2021, l’évêque Andrew de Covasna , en visite de pèlerinage en Ukraine, s'est incliné devant les sanctuaires de divers diocèses de l'Église orthodoxe ukrainienne et a célébré la Divine Liturgie dans la Laure des grottes, selon le Département de l'information et de l'éducation de l'UOC.
Le 11 janvier, Sa Grâce a rencontré à Tchernovtsy le métropolite Meletius de Tchernovtsy et de Bucovine et a prié dans les sanctuaires du diocèse de Tchernivtsi-Bucovine.
Plus tard, l'évêque a visité Ternopil. Là, Mgr Andrey Kovasnensky a eu une réunion avec le métropolite Sergius de Ternopil et Kremenets et s'est incliné devant les sanctuaires du diocèse de Ternopil. En particulier, Mgr André a visité la laure de la Sainte Dormition.
Il a noté que la compréhension des textes liturgiques joue un rôle énorme dans l'église .
Le patriarche Cyrille de Moscou et de toute la Russie a chargé le diocèse de Moscou de créer un groupe de spécialistes pour évaluer la russification des textes utilisés lors des offices divins et des sacrements.
« Je demanderais au conseil diocésain d'y réfléchir et peut-être de créer un groupe de spécialistes qui pourraient travailler à la mise en œuvre de cette proposition [compiler un catalogue de traductions recommandées et déterminer le degré de russification des offices divins pour les paroisses qui veulent utiliser la langue russe]. Nous pourrions discuter de ces textes avec vous, les examiner et décider s'ils devraient ou non être introduits dans notre pratique », a déclaré jeudi le patriarche lors de la réunion diocésaine du diocèse de Moscou.
Le patriarche Cyrille de Moscou et de toute la Russie a chargé le diocèse de Moscou de créer un groupe de spécialistes pour évaluer la russification des textes utilisés lors des offices divins et des sacrements.
« Je demanderais au conseil diocésain d'y réfléchir et peut-être de créer un groupe de spécialistes qui pourraient travailler à la mise en œuvre de cette proposition [compiler un catalogue de traductions recommandées et déterminer le degré de russification des offices divins pour les paroisses qui veulent utiliser la langue russe]. Nous pourrions discuter de ces textes avec vous, les examiner et décider s'ils devraient ou non être introduits dans notre pratique », a déclaré jeudi le patriarche lors de la réunion diocésaine du diocèse de Moscou.
La Turquie moderne est incompréhensible sans l'Empire ottoman qui est lui-même incompréhensible sans l'Empire byzantin... ». La transformation récente, autocratique, de la Cathédrale Sainte Sophie de Constantinople en mosquée par le pouvoir turc n'a pas manqué de choquer le monde orthodoxe et bien au-delà. C'est en Turquie, à Istanbul, dans le célèbre quartier du Phanar, que siège le primat d'honneur de l'Orthodoxie, le Patriarche OEcuménique de Constantinople.
Pour parler des ambiguïtés et ambitions de la Turquie néo-ottomane, Carol Saba reçoit Jean François Colossimo, directeur des Editions CERF, qui vient de publier « Le sable et le turban, Jusqu'où ira la Turquie ? ». Ne manquez pas cette rétrospective qui plonge dans les cent ans de vertiges qu'a connus la République turque née des ruines de l'Empire ottoman et ce décryptage sans concession des ambivalences turques d'aujourd'hui.
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Un certain nombre de mouvements sociaux ont réagi négativement à l'appel des communistes de restaurer le monument à l'organisateur de la "terreur rouge"
Comme on le savait, l'organisation «Officiers de Russie» (et un certain nombre d'autres organisations et individus) ont appelé à la restauration d'un monument à F.E. Dzerzhinsky, l'un des proches associés de Lénine et à l'organisateur de la Terreur rouge.
Le Lieutenant-général de la Réserve Leonid Reshetnikov- président de la Société "Patrimoine de l'Empire", Yevgeny Nikiforov- Président de la Fraternité orthodoxe "Radonezh" , Alexandre Krutov- rédacteur en chef du magazine "Maison russe", Vladimir Lebedev - Président de l'Union des citoyens orthodoxes, le célèbre publiciste orthodoxe Sergei Khudiev et de nombreux autres croyants se sont élevés contre l'initiative des communistes de restaurer le monument à l'un des proches associés de Lénine et à l' organisateur de la Terreur rouge F.E. Dzerzhinsky à Moscou, place Lubyanskaya.
Comme on le savait, l'organisation «Officiers de Russie» (et un certain nombre d'autres organisations et individus) ont appelé à la restauration d'un monument à F.E. Dzerzhinsky, l'un des proches associés de Lénine et à l'organisateur de la Terreur rouge.
Le Lieutenant-général de la Réserve Leonid Reshetnikov- président de la Société "Patrimoine de l'Empire", Yevgeny Nikiforov- Président de la Fraternité orthodoxe "Radonezh" , Alexandre Krutov- rédacteur en chef du magazine "Maison russe", Vladimir Lebedev - Président de l'Union des citoyens orthodoxes, le célèbre publiciste orthodoxe Sergei Khudiev et de nombreux autres croyants se sont élevés contre l'initiative des communistes de restaurer le monument à l'un des proches associés de Lénine et à l' organisateur de la Terreur rouge F.E. Dzerzhinsky à Moscou, place Lubyanskaya.
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