Plateforme libre de discussion
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La première Divine Liturgie depuis plus de 30 ans a été célébrée le 3 novembre 2013 par l'archiprêtre Emilien Pocinoc à Annecy dans la Haute Savoie, auprès de la communauté de Tous les Saints, reconstituée dans cette ville.
Les offices y seront désormais célébrés chaque premier dimanche de mois par un prêtre venu de Genève. A cette occasion, nous proposons à votre attention les souvenirs de l'archiprêtre Paul Tzvetkoff sur la paroisse de notre Diocèse qui a existé dans cette même ville jusqu'à 1981. Lien
Les offices y seront désormais célébrés chaque premier dimanche de mois par un prêtre venu de Genève. A cette occasion, nous proposons à votre attention les souvenirs de l'archiprêtre Paul Tzvetkoff sur la paroisse de notre Diocèse qui a existé dans cette même ville jusqu'à 1981. Lien
Rédigé par Parlons D'orthodoxie le 22 Novembre 2013 à 19:25
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18 commentaires
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Le conseil municipal du 15e arrondissement de Paris, le 4 novembre, et le Conseil de Paris, le 12 novembre, ont voté à l'unanimité pour attribuer le nom de rue Marie Skobtsov - Mère Marie à une nouvelle voie du 15e arrondissement qui débouche entre les n°84 et 88 de la rue de Lourmel cliquez ici pour voir le plan et là pour les motifs de la proposition présentée au Conseil de Paris.
Cet évènement a été rendu possible grâce à l'engagement et à la persévérance d'une élue du 15e arrondissement, Ghislène Fonlladosa, adjointe au maire du 15e pour la culture, le patrimoine et les nouvelles technologies, conseillère de Paris.
La date de la pose officielle de la plaque n'est pas encore connue.
Cet évènement a été rendu possible grâce à l'engagement et à la persévérance d'une élue du 15e arrondissement, Ghislène Fonlladosa, adjointe au maire du 15e pour la culture, le patrimoine et les nouvelles technologies, conseillère de Paris.
La date de la pose officielle de la plaque n'est pas encore connue.
Le film de l’acteur et réalisateur Guillaume Gallienne "Les Garçons et Guillaume, à table !" est sorti le 20 novembre 2013. Le réalisateur a donné une interview à "La Vie" dans laquelle, entre autres, il dit quelques mots de sa conversion à l’Orthodoxie.
Citation : Vous vous êtes converti il y a quelques années à l’orthodoxie, pourquoi ?
"Pour le rite, pour le spectacle ! Plus sérieusement, pour la confession. Un prêtre catholique à qui je ne voulais pas confesser le péché de chair m’a refusé l’absolution. C’était après la mort de ma cousine, j’avais alors 18 ou 19 ans et cela m’a dévasté. J’aime au contraire dans le rite orthodoxe ce face-à-face avec un homme qui est engagé, marié à l’Église ou à une femme. Un jour, après m’être engueulé avec mon épouse, je me suis confessé. Le père Eugène m’a dit : « La colère, cela fait des dégâts », et entendant ces mots de compassion, j’ai fondu en larmes. Lui, il sait ce que c’est d’avoir envie de foutre sa femme par la fenêtre ! Il a déjà ressenti cette colère.
Citation : Vous vous êtes converti il y a quelques années à l’orthodoxie, pourquoi ?
"Pour le rite, pour le spectacle ! Plus sérieusement, pour la confession. Un prêtre catholique à qui je ne voulais pas confesser le péché de chair m’a refusé l’absolution. C’était après la mort de ma cousine, j’avais alors 18 ou 19 ans et cela m’a dévasté. J’aime au contraire dans le rite orthodoxe ce face-à-face avec un homme qui est engagé, marié à l’Église ou à une femme. Un jour, après m’être engueulé avec mon épouse, je me suis confessé. Le père Eugène m’a dit : « La colère, cela fait des dégâts », et entendant ces mots de compassion, j’ai fondu en larmes. Lui, il sait ce que c’est d’avoir envie de foutre sa femme par la fenêtre ! Il a déjà ressenti cette colère.
Dimanche prochain, le 24 novembre, sous le nom d’ « Exode » auront lieu des manifestations civiles et religieuses pour commémorer l’évacuation au départ des ports de Crimée, de l’Armée Blanche et des réfugiés en 1920 au cours de la guerre civile. Information communiquée par les organisateurs au correspondant d’ « Interfax-Religia ».
Tout d’abord, une liturgie sera célébrée dans la cathédrale Saint-Vladimir de Kherson, puis une procession partira de la cathédrale (sépulture des amiraux) jusqu’au quai des Comtes (Grafskaya Pristan).
A la mi-journée, une panikhide sera célébrée sur le quai, à la mémoire de tous les russes tués durant la guerre civile et de tous ceux qui sont partis en exil. Puis les représentants des associations de cosaques à l’étranger, descendants des cosaques exilés, se verront remettre des icônes : l’Union des Cosaques de France, la Stanitza de tous les Cosaques d’Australie et le bureau à l’Ambassade australienne de la Société militaire cosaque transbaikalienne, ainsi que l’Union de tous les cosaques des terres tchèques et slovaques.
Tout d’abord, une liturgie sera célébrée dans la cathédrale Saint-Vladimir de Kherson, puis une procession partira de la cathédrale (sépulture des amiraux) jusqu’au quai des Comtes (Grafskaya Pristan).
A la mi-journée, une panikhide sera célébrée sur le quai, à la mémoire de tous les russes tués durant la guerre civile et de tous ceux qui sont partis en exil. Puis les représentants des associations de cosaques à l’étranger, descendants des cosaques exilés, se verront remettre des icônes : l’Union des Cosaques de France, la Stanitza de tous les Cosaques d’Australie et le bureau à l’Ambassade australienne de la Société militaire cosaque transbaikalienne, ainsi que l’Union de tous les cosaques des terres tchèques et slovaques.
Les médias russes ont relayé une information, selon laquelle « l’Église orthodoxe russe propose de refuser de baptiser les enfants nés de mères porteuses avant l’âge de raison », « le métropolite Hilarion annonçant l’impossibilité de baptiser les nourrissons nés de mères porteuses ». Suite à ces informations, la Commission synodale biblique et théologique donne les éclaircissements suivants.
Le 15 novembre 2013, le métropolite Hilarion de Volokolamsk a présidé une réunion du présidium élargi de la Commission synodale biblique et théologique. Au cours de cette séance, les membres de la Commission ont réfléchi à la position de l’Église sur la gestation pour autrui. A la fin de la réunion, le site officiel du Département des relations ecclésiastiques extérieures a publié un communiqué de presse citant l’intervention du métropolite Hilarion sur ce thème.
Dans son exposé, le métropolite Hilarion de Volokolamsk souligne que « la question de la pratique pastorale à adopter envers les « parents biologiques » et celle du baptême des nourrissons nés de mères porteuses étaient particulièrement complexe ».
Le 15 novembre 2013, le métropolite Hilarion de Volokolamsk a présidé une réunion du présidium élargi de la Commission synodale biblique et théologique. Au cours de cette séance, les membres de la Commission ont réfléchi à la position de l’Église sur la gestation pour autrui. A la fin de la réunion, le site officiel du Département des relations ecclésiastiques extérieures a publié un communiqué de presse citant l’intervention du métropolite Hilarion sur ce thème.
Dans son exposé, le métropolite Hilarion de Volokolamsk souligne que « la question de la pratique pastorale à adopter envers les « parents biologiques » et celle du baptême des nourrissons nés de mères porteuses étaient particulièrement complexe ».
L'Eglise russe continue son offensive contre ce haut lieu de la terreur bolchévique au centre de Moscou où il est question de remettre en place le monument au premier bourreau du peuple russe, Felix Dzerjinski, projet qui rencontre l'opposition déterminée de l'Eglise. cf. "Commémoration des victimes de la terreur rouge place de la Loubianka le 7 novembre ; je suggère vivement aux lecteurs de revoir ce post, où ont été insérées les photographies des fresques mutilées
L'Eglise a en effet décidé de construire à côté, sur le territoire du monastère de la Rencontre, une monumentale "église sur le sang" consacrée au Néomartyrs et Confesseurs russes et la commission au développement urbain du Gouvernement de Moscou a accepté ce projet le 13 novembre 2013. La consécration de l'église est prévue pour février 2017, sinistre jubilé du début de la révolution…
L'Eglise a en effet décidé de construire à côté, sur le territoire du monastère de la Rencontre, une monumentale "église sur le sang" consacrée au Néomartyrs et Confesseurs russes et la commission au développement urbain du Gouvernement de Moscou a accepté ce projet le 13 novembre 2013. La consécration de l'église est prévue pour février 2017, sinistre jubilé du début de la révolution…
Les évêques orthodoxes de France ont tenu leur réunion périodique ce vendredi 15 novembre 2013 à 10h30 au siège de l’Assemblée sous la présidence du Métropolite EMMANUEL.
Extrait du Communiqué de l'AEOF
Les évêques orthodoxes de France saluent de même l’élection le 1er novembre dernier de l’Archimandrite Job (GETCHA) à la tête de l’Archevêché des Eglises orthodoxes russes en Europe Occidentale (Exarchat du Patriarcat Œcuménique), qui vient ainsi succéder au regretté, Son Eminence l'Archevêque Gabriel de Comane. L’ordination épiscopale du Père Job aura lieu au siège du Patriarcat Œcuménique de Constantinople, le 30 novembre. Il sera intronisé au siège de l’Archevêché à la rue Daru le 5 décembre.
Extrait du Communiqué de l'AEOF
Les évêques orthodoxes de France saluent de même l’élection le 1er novembre dernier de l’Archimandrite Job (GETCHA) à la tête de l’Archevêché des Eglises orthodoxes russes en Europe Occidentale (Exarchat du Patriarcat Œcuménique), qui vient ainsi succéder au regretté, Son Eminence l'Archevêque Gabriel de Comane. L’ordination épiscopale du Père Job aura lieu au siège du Patriarcat Œcuménique de Constantinople, le 30 novembre. Il sera intronisé au siège de l’Archevêché à la rue Daru le 5 décembre.
Le Général Vrangel a fondé l’Union des combattants de Gallipoli le 22 novembre 1921, un an après l’arrivée à Gallipoli des premiers régiments de l’Armée Blanche.
Selon le site de l’Eglise Orthodoxe Russe Hors-Frontières, les dirigeants de l’Union des descendants des combattants de Gallipoli ont pris la décision de célébrer une panikhide annuelle le 22 novembre dans les villes où résident des descendants des combattants de Gallipoli.
« Nous nous adressons à vous, descendants des combattants de Gallipoli, dispersés dans le monde entier, pour réunir tous les russes orthodoxes, vivant dans votre ville et célébrer une oraison funèbre en mémoire de nos ancêtres, combattants de Gallipoli et tous les combattants de l’Armée Blanche ».
Selon le site de l’Eglise Orthodoxe Russe Hors-Frontières, les dirigeants de l’Union des descendants des combattants de Gallipoli ont pris la décision de célébrer une panikhide annuelle le 22 novembre dans les villes où résident des descendants des combattants de Gallipoli.
« Nous nous adressons à vous, descendants des combattants de Gallipoli, dispersés dans le monde entier, pour réunir tous les russes orthodoxes, vivant dans votre ville et célébrer une oraison funèbre en mémoire de nos ancêtres, combattants de Gallipoli et tous les combattants de l’Armée Blanche ».
Exécutés pour avoir visionné «Desperate Housewives» ou pour avoir possédé une bible
Selon certains médias sud-coréens, près d’une centaine de personnes auraient été fusillées récemment en Corée du Nord. Et, dans au moins un des cas, rapporte le 13 novembre le Christian Science Monitor, cela s’est produit devant une foule d’environ 10 000 personnes.
Les exécutions auraient eu lieu au début du mois de novembre dans sept villes du pays, probablement le 3 novembre. La reprise des exécutions publiques, dans des stades comme le veut la « tradition » du régime totalitaire, inquiète fortement en Corée du Sud, ce type de « spectacle collectif et obligatoire » signifiant toujours un durcissement du régime considéré déjà comme le plus répressif de la planète.
Selon certains médias sud-coréens, près d’une centaine de personnes auraient été fusillées récemment en Corée du Nord. Et, dans au moins un des cas, rapporte le 13 novembre le Christian Science Monitor, cela s’est produit devant une foule d’environ 10 000 personnes.
Les exécutions auraient eu lieu au début du mois de novembre dans sept villes du pays, probablement le 3 novembre. La reprise des exécutions publiques, dans des stades comme le veut la « tradition » du régime totalitaire, inquiète fortement en Corée du Sud, ce type de « spectacle collectif et obligatoire » signifiant toujours un durcissement du régime considéré déjà comme le plus répressif de la planète.
Ces derniers jours le matériel informatique de "Parlons" a été la cible d'une attaque numérique qui a failli le paralyser. Grâce au savoir-faire et à la cohésion de l'équipe de rédaction cette offensive hackers a pu être neutralisée.
V.G.
L'an prochain marquera le 70ème anniversaire du décès du patriarche Serge Starogorodsky (1867–1944), qui est l’une des personnalités les plus controversées de l’Eglise russe. Rappelons qu’il fut "locum tenens" du trône patriarcal (1925-1943) puis patriarche de Moscou (1943-1944) pendant la pire période des persécutions antireligieuses. Sa "Déclaration" de 1927, reconnaissant le pouvoir soviétique comme légitime, a permis une légalisation de l’Église et a mis pratiquement fin à la prétendue Église vivante, suscitée par les Soviets pour détruire l’Église canonique; son appel à la défense de la patrie le jour de l'attaque allemande contre la Russie (22 juin 1941) permit une timide régularisation de la situation de l’Église qui ouvrit en particulier la voie à son élection comme patriarche deux ans plus tard.
Une position officielle ?
Cette année a déjà marqué les 70 ans de son élection au trône patriarcal et ce jubilé, considéré comme le point de départ de la renaissance de l’Église, fut célébré dans tous les diocèses du patriarcat, y compris à la cathédrale des Trois-Saints-Docteurs à Paris… (Communiqué du diocèse de Chersonèse, 11/09/2013). Le patriarche Cyrille s'adressa aux fidèles orthodoxes avec un message particulier, soulignant le rôle joué par Serge dans la survie de l'Église orthodoxe pendant les persécutions:
L'an prochain marquera le 70ème anniversaire du décès du patriarche Serge Starogorodsky (1867–1944), qui est l’une des personnalités les plus controversées de l’Eglise russe. Rappelons qu’il fut "locum tenens" du trône patriarcal (1925-1943) puis patriarche de Moscou (1943-1944) pendant la pire période des persécutions antireligieuses. Sa "Déclaration" de 1927, reconnaissant le pouvoir soviétique comme légitime, a permis une légalisation de l’Église et a mis pratiquement fin à la prétendue Église vivante, suscitée par les Soviets pour détruire l’Église canonique; son appel à la défense de la patrie le jour de l'attaque allemande contre la Russie (22 juin 1941) permit une timide régularisation de la situation de l’Église qui ouvrit en particulier la voie à son élection comme patriarche deux ans plus tard.
Une position officielle ?
Cette année a déjà marqué les 70 ans de son élection au trône patriarcal et ce jubilé, considéré comme le point de départ de la renaissance de l’Église, fut célébré dans tous les diocèses du patriarcat, y compris à la cathédrale des Trois-Saints-Docteurs à Paris… (Communiqué du diocèse de Chersonèse, 11/09/2013). Le patriarche Cyrille s'adressa aux fidèles orthodoxes avec un message particulier, soulignant le rôle joué par Serge dans la survie de l'Église orthodoxe pendant les persécutions:
Bruxelles - La Conférence Épiscopale Orthodoxe du Benelux (CEOB) s’est réunie à Bruxelles au siège de l’Archevêché Orthodoxe, Avenue Charbo 71, le jeudi 14 novembre 2013 sous la présidence de Son Éminence le Métropolite Panteleimon de Belgique (Patriarcat Œcuménique). À part le président, étaient présents l’Archevêque Simon, vice-président (Patriarcat de Moscou), l’Evêque Luka (Patriarcat de Serbie), le Métropolite Joseph, trésorier (Patriarcat de Roumanie), l’Archevêque Michel (Eglise russe Hors Frontières - Patriarcat de Moscou), l’Évêque Maximos d’Evmenia (Patriarcat Œcuménique) et l’Évêque Athénagoras de Sinope, secrétaire (Patriarcat Œcuménique).
C’est la sixième réunion de la CEOB après sa création en juin 2010. Au début de cette réunion les hiérarques ont exprimé leur profonde tristesse de la mort de l’Archevêque Gabriel de Comane , d’éternelle mémoire, et ont uni leurs prières pour le repos de son âme.Suite
C’est la sixième réunion de la CEOB après sa création en juin 2010. Au début de cette réunion les hiérarques ont exprimé leur profonde tristesse de la mort de l’Archevêque Gabriel de Comane , d’éternelle mémoire, et ont uni leurs prières pour le repos de son âme.Suite
« Et c’est à Antioche que, pour la première fois, le nom de « chrétiens » fut donné aux disciples » (Actes, 11,26).
Ce passage des Actes des Apôtres atteste de la fondation et des racines apostoliques de l’Eglise d’Antioche. Le Patriarcat grec-orthodoxe d’Antioche et de tout l’Orient est en réalité la plus ancienne Eglise d’Orient, et la première en nombre de fidèles dans le Proche Orient. Sa Béatitude le Patriarche JEAN X (YAZIGI) est le 158ème Patriarche d’Antioche depuis saint Pierre, le premier évêque de ce Trône apostolique. Le Patriarcat d'Antioche a pour saints patrons les deux Coryphées des Apôtres, Saints Pierre et Paul. Son emblème est la fameuse icône "Concordia Apostolorum" (Concorde des Apôtres).
Le Patriarche JEAN X a été élu le 17 décembre 2012 au Trône de l’Eglise orthodoxe d’Antioche par le Saint Synode pour succéder à feu Sa Béatitude le Patriarche IGNACE IV (HAZIM) (+1920-2012)
Ce passage des Actes des Apôtres atteste de la fondation et des racines apostoliques de l’Eglise d’Antioche. Le Patriarcat grec-orthodoxe d’Antioche et de tout l’Orient est en réalité la plus ancienne Eglise d’Orient, et la première en nombre de fidèles dans le Proche Orient. Sa Béatitude le Patriarche JEAN X (YAZIGI) est le 158ème Patriarche d’Antioche depuis saint Pierre, le premier évêque de ce Trône apostolique. Le Patriarcat d'Antioche a pour saints patrons les deux Coryphées des Apôtres, Saints Pierre et Paul. Son emblème est la fameuse icône "Concordia Apostolorum" (Concorde des Apôtres).
Le Patriarche JEAN X a été élu le 17 décembre 2012 au Trône de l’Eglise orthodoxe d’Antioche par le Saint Synode pour succéder à feu Sa Béatitude le Patriarche IGNACE IV (HAZIM) (+1920-2012)
Au cours de son récent séjour à Rome, Mgr Hilarion de Volokolamsk, véritable ministre des affaires étrangères et bras droit du patriarche de Moscou, a fait avancer le dialogue de l'Eglise russe et de l'Eglise catholiques sur le dialogue théologique et sur la défense de la famille. Il a aussi rencontré le cardinal Roger Etchegaray, vice-doyen du Collège cardinalice.
Difficultés et progrès du dialogue théologique
Rencontrant le 12 novembre 2013 le cardinal Kurt Koch, président du Conseil pontifical pour la promotion de l’unité des chrétiens, Mgr Hilarion s'est attardé sur les difficultés du dialogue théologique orthodoxe-catholique dans le cadre de la Commission mixte internationale (rappelons que Mgr Kurt Koch en est le co-président).
Difficultés et progrès du dialogue théologique
Rencontrant le 12 novembre 2013 le cardinal Kurt Koch, président du Conseil pontifical pour la promotion de l’unité des chrétiens, Mgr Hilarion s'est attardé sur les difficultés du dialogue théologique orthodoxe-catholique dans le cadre de la Commission mixte internationale (rappelons que Mgr Kurt Koch en est le co-président).
Amersfoort, Pays-Bas
Réuni en séance plénière le 13 novembre, le Conseil des Eglises aux Pays-Bas a ratifié à l’unanimité le statut de membre de l’Eglise Orthodoxe.
L’ensemble des juridictions orthodoxes des Pays-Bas sont représentées par le truchement de la conférence des évêques du Benelux. A cette fin, celle-ci s’est dotée d’une représentation aux Pays-Bas – la fondation « Eglise orthodoxe aux Pays-Bas – représentation de la conférence épiscopale du Benelux ».
Cette fondation est présidée par l’évêque de Sinope Mgr Athénagoras, d’origine flamande, vicaire de la métropole belge du patriarcat de Constantinople.
Réuni en séance plénière le 13 novembre, le Conseil des Eglises aux Pays-Bas a ratifié à l’unanimité le statut de membre de l’Eglise Orthodoxe.
L’ensemble des juridictions orthodoxes des Pays-Bas sont représentées par le truchement de la conférence des évêques du Benelux. A cette fin, celle-ci s’est dotée d’une représentation aux Pays-Bas – la fondation « Eglise orthodoxe aux Pays-Bas – représentation de la conférence épiscopale du Benelux ».
Cette fondation est présidée par l’évêque de Sinope Mgr Athénagoras, d’origine flamande, vicaire de la métropole belge du patriarcat de Constantinople.
« Jamais dans nos deux Églises n’ont eu autant de raisons de travailler ensemble », a déclaré le patriarche Kirill de Moscou
Au lendemain d’une audience avec le pape François, le métropolite Hilarion de Volokolamsk, directeur du Département des relations extérieures du Patriarcat de Moscou, a confié mercredi 13 novembre que l’Église orthodoxe russe est prête à travailler à une rencontre entre le pape et le patriarche orthodoxe russe Kirill.
« Nous ne sommes pas encore prêts à dire quand et où aura lieu cette rencontre mais nous sommes prêts à préparer et à travailler à cette rencontre », a-t-il déclaré à l’agence italienne Ansa, insistant sur le travail principal portant sur "le contenu".
Au lendemain d’une audience avec le pape François, le métropolite Hilarion de Volokolamsk, directeur du Département des relations extérieures du Patriarcat de Moscou, a confié mercredi 13 novembre que l’Église orthodoxe russe est prête à travailler à une rencontre entre le pape et le patriarche orthodoxe russe Kirill.
« Nous ne sommes pas encore prêts à dire quand et où aura lieu cette rencontre mais nous sommes prêts à préparer et à travailler à cette rencontre », a-t-il déclaré à l’agence italienne Ansa, insistant sur le travail principal portant sur "le contenu".
Pour la clôture de l’Année de la foi, le dimanche 24 novembre, un évènement exceptionnel aura lieu en présence du pape François: l’exposition des ossements du premier apôtre Pierre.
Ce sera une première: des ossements, vénérés comme étant ceux de Saint-Pierre, le fondateur de l’Eglise, vont être sortis des Grottes, situées sous la basilique vaticane, pour être exposés au public. Cette exposition des reliques de Saint-Pierre sera visible le 24 novembre, jour de la clôture de l’Année de la foi.
Lancée en octobre 2012 par Benoît XVI, l’Année de la foi a donné lieu à de multiples célébrations sur la place Saint-Pierre. De nombreux pèlerins sont allés alors se recueillir dans les Grottes vaticanes, sous la basilique, devant le tombeau censé abriter les reliques du premier apôtre. D’autres tombeaux occupent également cet endroit, notamment celui de Jean Paul II.
Ce sera une première: des ossements, vénérés comme étant ceux de Saint-Pierre, le fondateur de l’Eglise, vont être sortis des Grottes, situées sous la basilique vaticane, pour être exposés au public. Cette exposition des reliques de Saint-Pierre sera visible le 24 novembre, jour de la clôture de l’Année de la foi.
Lancée en octobre 2012 par Benoît XVI, l’Année de la foi a donné lieu à de multiples célébrations sur la place Saint-Pierre. De nombreux pèlerins sont allés alors se recueillir dans les Grottes vaticanes, sous la basilique, devant le tombeau censé abriter les reliques du premier apôtre. D’autres tombeaux occupent également cet endroit, notamment celui de Jean Paul II.
Il est de tradition de commémorer la mémoire des combattants de la Première guerre mondiale, le 11 novembre. Madame le maire de Saint-Hilaire a d'abord prononcé un discours au cimetière russe de Saint-Hilaire-le-Grand. Père André a célébré la liturgie dans la chapelle commémorative, où tous les soldats orthodoxes du Corps expéditionnaire ont été commémoré. Lien
La Russie a délaissé durant toute la période soviétique la mémoire de ses quelque trois millions de morts dans l'effroyable guerre de 1914-18. Oubli qui a commencé à être réparé avec la participation d'ambassadeurs de la Russie, après la Perestroïka, aux cérémonies annuelles à Mourmelon.
Cette année, l'ambassadeur de Russie en France, Alexandre Orlov, a rappelé que dorénavant le 1er août serait en Russie jour de mémoire des victimes de la Ière guerre mondiale et qu'une collecte auprès des Russes du monde est lancée pour édifier un monument aux morts à Moscou. Les morts russes sur le front français de 1914 - 1918 commémorés à Mourmelon
La Russie a délaissé durant toute la période soviétique la mémoire de ses quelque trois millions de morts dans l'effroyable guerre de 1914-18. Oubli qui a commencé à être réparé avec la participation d'ambassadeurs de la Russie, après la Perestroïka, aux cérémonies annuelles à Mourmelon.
Cette année, l'ambassadeur de Russie en France, Alexandre Orlov, a rappelé que dorénavant le 1er août serait en Russie jour de mémoire des victimes de la Ière guerre mondiale et qu'une collecte auprès des Russes du monde est lancée pour édifier un monument aux morts à Moscou. Les morts russes sur le front français de 1914 - 1918 commémorés à Mourmelon
1/ Situation actuelle
La crémation des corps ne fait pas partie des traditions des trois religions du Livre et elle n'a fait son apparition dans nos pays que récemment: en France elle n'est autorisée que depuis la fin du XIX (loi du 15 novembre 1887 sur la liberté des funérailles) et, en Russie, elle a fait son apparition après la révolution bolchévique (remarquer le style stalinien du premier crématorium sur la photo). Mais cette pratique est de plus en plus usitée:
- En France le taux de crémation approche 28% en 2007 selon l'Association française d'information funéraire (AFIF), alors qu'il était 1% en 1979, et 51 % des personnes interrogées désirent des obsèques avec crémation (19 % en 1977-1978).
- En Russie, après la période soviétique qui en a fait un moyen de lutte contre la religion, les chiffres sont encore plus importants: d'après le site d'information sur les obsèques de Moscou, cette pratique représenterait prés de 60% des obsèques à Moscou, et ce chiffre croitrait principalement du fait de manque de place dans les cimetières et du coût élevé des enterrements.
Un article d'Intefax d'août dernier indique que le nombre de crémations croit aussi à Minsk (il représente 1/3 des enterrements), et donne des informations sur l'accompagnement religieux: les adeptes des religions orientales accompagnent le défunt avec des cierges et des rites jusqu'à la mise à la flamme, en regardant l'incinération par le hublot. Des prêtres orthodoxes acceptent aussi d'accomplir l'office funéraire (отпевание), même si l'Église réprouve la crémation et parle de "rite païen".
La crémation des corps ne fait pas partie des traditions des trois religions du Livre et elle n'a fait son apparition dans nos pays que récemment: en France elle n'est autorisée que depuis la fin du XIX (loi du 15 novembre 1887 sur la liberté des funérailles) et, en Russie, elle a fait son apparition après la révolution bolchévique (remarquer le style stalinien du premier crématorium sur la photo). Mais cette pratique est de plus en plus usitée:
- En France le taux de crémation approche 28% en 2007 selon l'Association française d'information funéraire (AFIF), alors qu'il était 1% en 1979, et 51 % des personnes interrogées désirent des obsèques avec crémation (19 % en 1977-1978).
- En Russie, après la période soviétique qui en a fait un moyen de lutte contre la religion, les chiffres sont encore plus importants: d'après le site d'information sur les obsèques de Moscou, cette pratique représenterait prés de 60% des obsèques à Moscou, et ce chiffre croitrait principalement du fait de manque de place dans les cimetières et du coût élevé des enterrements.
Un article d'Intefax d'août dernier indique que le nombre de crémations croit aussi à Minsk (il représente 1/3 des enterrements), et donne des informations sur l'accompagnement religieux: les adeptes des religions orientales accompagnent le défunt avec des cierges et des rites jusqu'à la mise à la flamme, en regardant l'incinération par le hublot. Des prêtres orthodoxes acceptent aussi d'accomplir l'office funéraire (отпевание), même si l'Église réprouve la crémation et parle de "rite païen".
Ce samedi 9 novembre 2013, la paroisse orthodoxe du St Apôtre Matthieu à Louvain (Belgique) célebrera, en plus de sa fête patronale, le 10e anniversaire de sa (re) fondation (en 2003), ainsi que le 90e anniversaire de la création (1923) de la première communauté orthodoxe dans l’ancienne ville universitaire belge.
La première communauté orthodoxe à Louvain fut, en effet, créée dès 1923 par les étudiants russes émigrés qui avaient été admis à l’Université catholique de la ville grâce au concours du primat catholique de Belgique de l’époque – un homme véritablement « œcuménique » avant la lettre – le cardinal Mercier. Parmi les premiers desservants de cette petite communauté, placée sous le patronage des SS. Georges & Tatiana, on notera les PP. Georges Tsebrikov et Georges Tarassov. Ayant vu sa composition fortement diminuer après la Seconde guerre mondiale, cette première paroisse subsistera, avec des destins divers, jusqu’aux années 1980, où elle cessera d’exister, malgré plusieurs tentatives de la « ranimer ».
La première communauté orthodoxe à Louvain fut, en effet, créée dès 1923 par les étudiants russes émigrés qui avaient été admis à l’Université catholique de la ville grâce au concours du primat catholique de Belgique de l’époque – un homme véritablement « œcuménique » avant la lettre – le cardinal Mercier. Parmi les premiers desservants de cette petite communauté, placée sous le patronage des SS. Georges & Tatiana, on notera les PP. Georges Tsebrikov et Georges Tarassov. Ayant vu sa composition fortement diminuer après la Seconde guerre mondiale, cette première paroisse subsistera, avec des destins divers, jusqu’aux années 1980, où elle cessera d’exister, malgré plusieurs tentatives de la « ranimer ».
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14/04/2022 10:26 - Marie Genko -
Le Parlement Européen a condamné le patriarche Cyrille et a félicité le clergé orthodoxe qui s'est opposé à la guerre en Ukraine
13/04/2022 21:21 - Gilles -
Communiqué des Evêques Orthodoxes de France au sujet de la guerre en Ukraine
12/04/2022 23:05 - Théophile -
Communiqué des Evêques Orthodoxes de France au sujet de la guerre en Ukraine
12/04/2022 22:00 - Nadejda na Mir
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