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En Albanie, un prêtre rescapé de la terreur créé cardinal par le pape François
Samuel Lieven
C’est le coup de cœur du pape François.
Lors du prochain consistoire qui doit entériner la création de 17 nouveaux cardinaux, le franciscain albanais Ernest Simoni, âgé de bientôt 88 ans, sera l’un des rares prêtres à revêtir directement la pourpre sans passer par la case « évêque ». C’est que son parcours, marqué par dix-huit ans de prison et de travaux forcés sous l’un des régimes communistes les plus féroces de la planète, a bouleversé le pape, lors de sa visite dans ce petit pays des Balkans en 2014
Né en 1928 à Troshani, un village situé à quelques kilomètres de Scutari dans le nord de l’Albanie où se concentre la minorité catholique du pays (deux tiers des Albanais sont musulmans, 15 % orthodoxes, 11 % catholiques), le P. Simoni entre très tôt chez les franciscains. Mais leur couvent, dès 1948, est transformé en un lieu de torture par le régime communiste d’Enver Hoxha. La terreur bat alors son plein. Les religieux sont tous fusillés et les novices expulsés. Âgé d’à peine 20 ans, le futur prêtre est envoyé par le régime comme enseignant dans de petits villages isolés de la montagne, où il fait secrètement œuvre de mission et d’évangélisation.
Samuel Lieven
C’est le coup de cœur du pape François.
Lors du prochain consistoire qui doit entériner la création de 17 nouveaux cardinaux, le franciscain albanais Ernest Simoni, âgé de bientôt 88 ans, sera l’un des rares prêtres à revêtir directement la pourpre sans passer par la case « évêque ». C’est que son parcours, marqué par dix-huit ans de prison et de travaux forcés sous l’un des régimes communistes les plus féroces de la planète, a bouleversé le pape, lors de sa visite dans ce petit pays des Balkans en 2014
Né en 1928 à Troshani, un village situé à quelques kilomètres de Scutari dans le nord de l’Albanie où se concentre la minorité catholique du pays (deux tiers des Albanais sont musulmans, 15 % orthodoxes, 11 % catholiques), le P. Simoni entre très tôt chez les franciscains. Mais leur couvent, dès 1948, est transformé en un lieu de torture par le régime communiste d’Enver Hoxha. La terreur bat alors son plein. Les religieux sont tous fusillés et les novices expulsés. Âgé d’à peine 20 ans, le futur prêtre est envoyé par le régime comme enseignant dans de petits villages isolés de la montagne, où il fait secrètement œuvre de mission et d’évangélisation.
Rédigé par Parlons D'orthodoxie le 12 Octobre 2016 à 16:00
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Le Père A. Eltchaninoff prit une part active au mouvement de retour à l’Église qui marque la vie intellectuelle russe à cette époque, et se lia d’amitié avec les principaux représentants de l’élite culturelle à Saint-Pétersbourg. Émigré à Nice, devenu prêtre en 1928 sur le conseil du Père S. Boulgakov, il fut nommé à la cathédrale de Paris en 1934.
Dans sa brève carrière pastorale, il trouva la pleine mesure de ses dons spirituels, intellectuels et pédagogiques. Ce livre, composé après sa mort, rassemble des notes personnelles, des extraits de lettres, des plans de sermons, etc. retrouvés dans ses papiers; lucidité, culture dominée, sobriété n’excluant pas la poésie en font l’intérêt.
Se confesser
Nous devons sans cesse apprendre à nous repentir. Il est indispensable de tendre une sorte de fil d'une confession à l'autre, afin que les intervalles entre les périodes de retraite soient comblés par le combat spirituel et par des efforts que nourrissent les impressions de la retraite précédente et que provoque l'attente d'une nouvelle confession imminente.
Il arrive, c'est vrai, qu'après une confession réussie auprès d'un prêtre, les confessions suivantes, entendues par le même prêtre, apparaissent quelque peu molles et produisent une faible impression ; c'est alors que l'on envisage de changer de confesseur.
Dans sa brève carrière pastorale, il trouva la pleine mesure de ses dons spirituels, intellectuels et pédagogiques. Ce livre, composé après sa mort, rassemble des notes personnelles, des extraits de lettres, des plans de sermons, etc. retrouvés dans ses papiers; lucidité, culture dominée, sobriété n’excluant pas la poésie en font l’intérêt.
Se confesser
Nous devons sans cesse apprendre à nous repentir. Il est indispensable de tendre une sorte de fil d'une confession à l'autre, afin que les intervalles entre les périodes de retraite soient comblés par le combat spirituel et par des efforts que nourrissent les impressions de la retraite précédente et que provoque l'attente d'une nouvelle confession imminente.
Il arrive, c'est vrai, qu'après une confession réussie auprès d'un prêtre, les confessions suivantes, entendues par le même prêtre, apparaissent quelque peu molles et produisent une faible impression ; c'est alors que l'on envisage de changer de confesseur.
En PDF très intéressant programme des rencontres. Les rencontres auront lieu au Centre culturel Branly dès que celui-ci sera inauguré.
Il avait été annoncé que le métropolite Stephanos (Eglise orthodoxe d’Estonie, patriarcat de Constantinople) a proposé la fusion des deux branches de l’Eglise en Estonie sous l’omophore de Constantinople.
Le métropolite Cornelius a précisé que qu’il s’agit là d’une initiative purement politique : « Il est suggéré de placer les paroisses du patriarcat de Moscou sous la tutelle de Constantinople. Il ne saurait être question d’une telle union. Nous n’avons rien en commun et, d’ailleurs, je ne vois pas avec qui nous pourrions nous unir.
Le métropolite Cornelius a précisé que qu’il s’agit là d’une initiative purement politique : « Il est suggéré de placer les paroisses du patriarcat de Moscou sous la tutelle de Constantinople. Il ne saurait être question d’une telle union. Nous n’avons rien en commun et, d’ailleurs, je ne vois pas avec qui nous pourrions nous unir.
Notre paroisse, dédiée à Notre Dame de Toute Protection, est la première église orthodoxe russe créée à Lyon dès 1924 par la première vague de l’émigration russe. Appartenant depuis 2007 au Diocèse de Chersonèse (Patriarcat de Moscou) En janvier 2016 Monseigneur Nestor a consacré les nouveaux locaux de la communauté.
1 LES FONDEMENTS DE L'ORTHODOXIE RUSSE
Définir l'Orthodoxie en quelques lignes est une gageure, car "L'Orthodoxie n'est pas une connaissance intellectuelle savante, mais un mode de vie basé sur l'expérience d'un être transcendant (Dieu), avec lequel il est possible d'entretenir une relation vivante."
(Archimandrite Elie "L'orthodoxie qu'est-ce que c'est ? La voie, La Vérité, La Vie";Monastère de la Transfiguration (2014))
Nous allons donc seulement essayer d'en éclairer quelques points de base caractéristiques.
Les dogmes Orthodoxes sont proches des Catholiques: Crédo de Nicée Constantinople, vénération de la Vierge Marie, Mère de Dieu, et des saints, célébration des sacrements (baptême, confession, communion, confirmation, ordination…), hiérarchie ecclésiale et succession apostolique des ordinations…
Mais l'Église orthodoxe ne reconnait pas de validité totale aux sacrements catholiques et n'accepte pas l'intercommunion. De fait au premier millénaire il n'y avait qu'une Église: la séparation (Grand Schisme) entre Orthodoxes et Catholiques n'intervint qu'au XIe siècle (1054), ce qui explique ce bagage commun entre les deux confessions. Le Protestantisme est apparu tardivement (1517, thèses de Martin Luther) et se différencie par contre nettement plus…
1 LES FONDEMENTS DE L'ORTHODOXIE RUSSE
Définir l'Orthodoxie en quelques lignes est une gageure, car "L'Orthodoxie n'est pas une connaissance intellectuelle savante, mais un mode de vie basé sur l'expérience d'un être transcendant (Dieu), avec lequel il est possible d'entretenir une relation vivante."
(Archimandrite Elie "L'orthodoxie qu'est-ce que c'est ? La voie, La Vérité, La Vie";Monastère de la Transfiguration (2014))
Nous allons donc seulement essayer d'en éclairer quelques points de base caractéristiques.
Les dogmes Orthodoxes sont proches des Catholiques: Crédo de Nicée Constantinople, vénération de la Vierge Marie, Mère de Dieu, et des saints, célébration des sacrements (baptême, confession, communion, confirmation, ordination…), hiérarchie ecclésiale et succession apostolique des ordinations…
Mais l'Église orthodoxe ne reconnait pas de validité totale aux sacrements catholiques et n'accepte pas l'intercommunion. De fait au premier millénaire il n'y avait qu'une Église: la séparation (Grand Schisme) entre Orthodoxes et Catholiques n'intervint qu'au XIe siècle (1054), ce qui explique ce bagage commun entre les deux confessions. Le Protestantisme est apparu tardivement (1517, thèses de Martin Luther) et se différencie par contre nettement plus…
Avec la bénédiction de Monseigneur Nestor et après concertation avec le recteur de la cathédrale de Chartres une liturgie orthodoxe sera célébrée dans la crypte, lieu où se trouve une parcelle du voile de la Mère de Dieu.
Prière de vous inscrire au plus tôt.
Le car quitte l'église des Trois Saints Docteurs à 7 heures. Informations détaillées sur l'affiche
Prière de vous inscrire au plus tôt.
Le car quitte l'église des Trois Saints Docteurs à 7 heures. Informations détaillées sur l'affiche
La cathédrale orthodoxe va encore se faire désirer
Le centre cultuel et culturel orthodoxe est fini. Seule la cathédrale, le cœur même du site, nouveau monument dans le paysage de Paris avec ses cinq bulbes, va encore se faire attendre. Et cela, même si l’extérieur se laisse déjà admirer, avec ses larges portes de chêne dont chacun des deux ventaux pèse 400 kg. Les Parisiens qui circulent s’arrêtent. Et se laissent surprendre…
« Regardez comme les quatre bâtiments s’intègrent au quartier. Rien n’a été laissé au hasard. La cathédrale est dans l’axe même du palais de l’Alma que l’on redécouvre », se réjouit Jean-Michel Wilmotte, l’architecte des lieux.
Il fait ses dernières visites accompagné des techniciens de Bouygues Construction. La librairie du centre culturel s’ouvrira directement sur le quai Branly. A l’étage, une cafétéria permettra d’avoir une vue sur les bulbes. Elle sera aussi aux premières loges quand les 10 cloches en alliage de bronze et d’argent sonneront.
Le centre cultuel et culturel orthodoxe est fini. Seule la cathédrale, le cœur même du site, nouveau monument dans le paysage de Paris avec ses cinq bulbes, va encore se faire attendre. Et cela, même si l’extérieur se laisse déjà admirer, avec ses larges portes de chêne dont chacun des deux ventaux pèse 400 kg. Les Parisiens qui circulent s’arrêtent. Et se laissent surprendre…
« Regardez comme les quatre bâtiments s’intègrent au quartier. Rien n’a été laissé au hasard. La cathédrale est dans l’axe même du palais de l’Alma que l’on redécouvre », se réjouit Jean-Michel Wilmotte, l’architecte des lieux.
Il fait ses dernières visites accompagné des techniciens de Bouygues Construction. La librairie du centre culturel s’ouvrira directement sur le quai Branly. A l’étage, une cafétéria permettra d’avoir une vue sur les bulbes. Elle sera aussi aux premières loges quand les 10 cloches en alliage de bronze et d’argent sonneront.
Au monastère de la Sainte Rencontre à Moscou aura lieu une réunion avec le théologien français contemporain Jean-Claude Larchet.
Lors de cette réunion, l'auteur parlera de lui-même et de ses livres, édités et en cours de préparation pour leur édition en Russie, et il répondra également aux questions des lecteurs sur la vie spirituelle, sur l'Eglise et l'enseignement orthodoxe.
Jean-Claude Larchet (né en 1949) est un éminent chercheur français orthodoxe sur l'héritage patristique, théologien et écrivain.
Professeur, auteur de 23 livres traduits en 15 langues, de plus de 100 articles et 400 critiques.
Né dans une famille catholique, sous l'influence du starets russe, père Serge (Chevitch), qui vivait à Paris, il est devenu orthodoxe en 1971.
Lors de cette réunion, l'auteur parlera de lui-même et de ses livres, édités et en cours de préparation pour leur édition en Russie, et il répondra également aux questions des lecteurs sur la vie spirituelle, sur l'Eglise et l'enseignement orthodoxe.
Jean-Claude Larchet (né en 1949) est un éminent chercheur français orthodoxe sur l'héritage patristique, théologien et écrivain.
Professeur, auteur de 23 livres traduits en 15 langues, de plus de 100 articles et 400 critiques.
Né dans une famille catholique, sous l'influence du starets russe, père Serge (Chevitch), qui vivait à Paris, il est devenu orthodoxe en 1971.
Les dix cloches venues de Russie et bénies le par Monseigneur Nestor ont été mise en place dans le clocher. Elles ont été coulées par l'entreprise "Italmaz" , dans la ville de Toutaev, région de Yaroslav.
Leurs poids va de 8 à 880 kilos.
Désormais les parisiens et les touristes se promenant sur les quais peuvent écouter le carillon de ces cloches. Chaque jour de la semaine c'est une mélodie nouvelle qu'elles font entendre.
Leurs poids va de 8 à 880 kilos.
Désormais les parisiens et les touristes se promenant sur les quais peuvent écouter le carillon de ces cloches. Chaque jour de la semaine c'est une mélodie nouvelle qu'elles font entendre.
La XIVe session plénière de la Commission mixte pour le dialogue théologique entre l’Eglise orthodoxe et l’Eglise catholique romaine vient de se terminer à Chieti. Cette Commission a, pendant une semaine, débattu de questions relatives à la primauté et à la synodalité. Le métropolite Hilarion a souligné « qu’il serait nécessaire de poursuivre la discussion sur l’uniatisme en tant que phénomène apparu après le schisme de 1054 et demeurant jusqu’à aujourd’hui une pierre d’achoppement dans les relations orthodoxes-catholiques ».
A propos de la situation actuelle en Ukraine, les attaques contre le Vatican suscitent l’indignation chez les greco-catholiques car le prétendu patriarche Philarète souhaiterait adjoindre au soit disant patriarcat de Kiev les paroisses de l’Eglise greco-catholique d’Ukraine.
A propos de la situation actuelle en Ukraine, les attaques contre le Vatican suscitent l’indignation chez les greco-catholiques car le prétendu patriarche Philarète souhaiterait adjoindre au soit disant patriarcat de Kiev les paroisses de l’Eglise greco-catholique d’Ukraine.
Une nouvelle icône d’Alexandre Schmorell est venue compléter la collection du Musée régional d’Orenbourg.
Cette icône représentant le martyr anti -nazi a été peinte en Grèce. Elle a été offerte au musée par l’éditeur orthodoxe allemand Gregor Fernbach.
Mgr Benjamin, métropolite d’Orenbourg a commenté : « Les icônes représentant Saint Alexandre deviendront bientôt accessibles à Orenbourg. Une église portant le nom de Saint Alexandre de Münich y sera bientôt érigée ».
A la veille du 100e anniversaire de la naissance du saint, l’un des fondateurs de la "Rose blanche", organisation antinazie opérant à Munich, une plaque commémorative sera inaugurée. Le projet de cette plaque est validé.
Cette icône représentant le martyr anti -nazi a été peinte en Grèce. Elle a été offerte au musée par l’éditeur orthodoxe allemand Gregor Fernbach.
Mgr Benjamin, métropolite d’Orenbourg a commenté : « Les icônes représentant Saint Alexandre deviendront bientôt accessibles à Orenbourg. Une église portant le nom de Saint Alexandre de Münich y sera bientôt érigée ».
A la veille du 100e anniversaire de la naissance du saint, l’un des fondateurs de la "Rose blanche", organisation antinazie opérant à Munich, une plaque commémorative sera inaugurée. Le projet de cette plaque est validé.
Le 9 septembre 2016, sur le site de construction de l'église de Tous les Saints à Strasbourg a eu lieu un événement d'une part ordinaire mais d'autre-part unique. L'entreprise de construction "Bringolf" a installé sur le portail principal menant sur le territoire de la future église de Tous les Saints une coupole surmontée d'une croix.
C'est un événement ordinaire, puisqu'il ne s'agit que d'une étape de la construction. Il a cependant une importante signification expérimentale. La présence d'une petite coupole sur le portail permettra de tester la qualité et la fiabilité dans les conditions locales des productions de la société russe "Predslava" qui fabrique la flèche et les coupoles pour l'église elle-même. Cependant, cet événement, bien sûr, est remarquable, car il précède un important événement spirituel, le "couronnement", qui consiste à installer les coupoles avec des croix sur l'église de Tous les Saints. L'installation de la flèche et des coupoles sur l'église est prévue pour le début de l'année prochaine.
C'est un événement ordinaire, puisqu'il ne s'agit que d'une étape de la construction. Il a cependant une importante signification expérimentale. La présence d'une petite coupole sur le portail permettra de tester la qualité et la fiabilité dans les conditions locales des productions de la société russe "Predslava" qui fabrique la flèche et les coupoles pour l'église elle-même. Cependant, cet événement, bien sûr, est remarquable, car il précède un important événement spirituel, le "couronnement", qui consiste à installer les coupoles avec des croix sur l'église de Tous les Saints. L'installation de la flèche et des coupoles sur l'église est prévue pour le début de l'année prochaine.
Samuel Lieven
Traversé par de graves dissensions internes l’année dernière, ce fleuron de la tradition orthodoxe ouvre ses portes aux étudiants jeudi 22 septembre. Il entend rester un pont entre l’Orient et l’Occident.
Après une année 2015 éprouvante, marquée par un long conflit avec son évêque de tutelle, Mgr Job de Telmessos, finalement écarté en novembre par le Patriarcat œcuménique de Constantinople, l’Institut de théologie orthodoxe Saint-Serge à Paris rouvre ses portes jeudi 22 septembre aux étudiants.
Traversé par de graves dissensions internes l’année dernière, ce fleuron de la tradition orthodoxe ouvre ses portes aux étudiants jeudi 22 septembre. Il entend rester un pont entre l’Orient et l’Occident.
Après une année 2015 éprouvante, marquée par un long conflit avec son évêque de tutelle, Mgr Job de Telmessos, finalement écarté en novembre par le Patriarcat œcuménique de Constantinople, l’Institut de théologie orthodoxe Saint-Serge à Paris rouvre ses portes jeudi 22 septembre aux étudiants.
Une iconostase témoin des relations franco-russes durant la Grande Guerre
Irina Doubova
L’exposition "Le corps expéditionnaire russe en France durant la Première Guerre mondiale" se déroulera du 19 au 23 septembre à la résidence de l’ambassadeur russe à Paris.Cette exposition propose de découvrir des reproductions et des photographies de l’époque, divers documents et décorations, des objets du quotidien, ainsi que des correspondances épistolaires des soldats. Les photos d’une iconostase dont l’histoire est étroitement liée au destin des militaires russes dépêchés en France il y a exactement 100 ans suscitent une attention particulière.
Irina Doubova
L’exposition "Le corps expéditionnaire russe en France durant la Première Guerre mondiale" se déroulera du 19 au 23 septembre à la résidence de l’ambassadeur russe à Paris.Cette exposition propose de découvrir des reproductions et des photographies de l’époque, divers documents et décorations, des objets du quotidien, ainsi que des correspondances épistolaires des soldats. Les photos d’une iconostase dont l’histoire est étroitement liée au destin des militaires russes dépêchés en France il y a exactement 100 ans suscitent une attention particulière.
Homélie du Père GEORGES KOTCHETKOV lors de l’office des défunts célébré à la mémoire des victimes des répressions soviétiques le 29 octobre 2010.
Au nom du Père, du Fils et de l’Esprit saint,
Chers frères et sœurs, chrétiens,
Demain notre peuple commémorera — devrait commémorer — les victimes des répressions soviétiques, bien que vous et moi sachions que tous ne le feront pas. Certains n’ont rien à commémorer, parce qu’ils vivent seulement au jour le jour ou de rêves d’un futur chimérique. Et notre devoir à nous devant Dieu et les hommes, du fait de notre responsabilité devant notre patrie, notre peuple, et l’histoire présente et future, notre devoir est de le rappeler, pour purifier notre mémoire. L’inconscience est un péché. Si l’homme parfois doit oublier quelque chose — car Dieu a donné à l’homme le don de l’oubli — ce n’est absolument pas ce dont il faut se souvenir.
Nous venons de prier pour que Dieu la mémoire éternelle à tous ceux qui ont souffert et été exécutés par près d’un siècle de répressions sans précédent dans l’histoire de l’humanité, de répressions contre son propre peuple. Durant un siècle entier de notre histoire, notre terre a été couverte de sang, de larmes, de sueur et d’os humains.
Au nom du Père, du Fils et de l’Esprit saint,
Chers frères et sœurs, chrétiens,
Demain notre peuple commémorera — devrait commémorer — les victimes des répressions soviétiques, bien que vous et moi sachions que tous ne le feront pas. Certains n’ont rien à commémorer, parce qu’ils vivent seulement au jour le jour ou de rêves d’un futur chimérique. Et notre devoir à nous devant Dieu et les hommes, du fait de notre responsabilité devant notre patrie, notre peuple, et l’histoire présente et future, notre devoir est de le rappeler, pour purifier notre mémoire. L’inconscience est un péché. Si l’homme parfois doit oublier quelque chose — car Dieu a donné à l’homme le don de l’oubli — ce n’est absolument pas ce dont il faut se souvenir.
Nous venons de prier pour que Dieu la mémoire éternelle à tous ceux qui ont souffert et été exécutés par près d’un siècle de répressions sans précédent dans l’histoire de l’humanité, de répressions contre son propre peuple. Durant un siècle entier de notre histoire, notre terre a été couverte de sang, de larmes, de sueur et d’os humains.
Le métropolite Hilarion de Volokolamsk, président du Département des relations ecclésiastiques extérieures du Patriarcat de Moscou, a été reçu par le Pape François de Rome le 15 septembre 2016 au Palais apostolique du Vatican.
Le métropolite Hilarion s’est rendu en Italie avec la bénédiction de Sa Sainteté le Patriarche Cyrille de Moscou et de toute la Russie, conformément à une décision du Saint Synode, en tant que chef de la délégation de l’Église orthodoxe russe à la XIV session plénière de la Commission mixte pour le dialogue théologique entre l’Église orthodoxe et l’Église catholique romaine.
La session aura lieu à Chieti du 15 au 22 septembre.
Le Président du DREE a remis au chef de l’Église catholique romaine, de la part de Sa Sainteté le Patriarche Cyrille, une parcelle de reliques de saint Séraphin de Sarov, incrustée dans un coffret en forme d’œuf de Pâques. Le Pape de Rome a été profondément touché de ce précieux don et a demandé de transmettre à Sa Sainteté le Patriarche sa gratitude et ses salutations fraternelles.
Le métropolite Hilarion s’est rendu en Italie avec la bénédiction de Sa Sainteté le Patriarche Cyrille de Moscou et de toute la Russie, conformément à une décision du Saint Synode, en tant que chef de la délégation de l’Église orthodoxe russe à la XIV session plénière de la Commission mixte pour le dialogue théologique entre l’Église orthodoxe et l’Église catholique romaine.
La session aura lieu à Chieti du 15 au 22 septembre.
Le Président du DREE a remis au chef de l’Église catholique romaine, de la part de Sa Sainteté le Patriarche Cyrille, une parcelle de reliques de saint Séraphin de Sarov, incrustée dans un coffret en forme d’œuf de Pâques. Le Pape de Rome a été profondément touché de ce précieux don et a demandé de transmettre à Sa Sainteté le Patriarche sa gratitude et ses salutations fraternelles.
Le 9 septembre 2016 la société de construction "Bringolf" a installé sur le portail de l'église de Tous les Saints une petite coupole couronnée d'une croix .
Le chantier de l'église est financé exclusivement par des donateurs privés. Il manque deux millions d'euros pour mener les travaux à bien. L’église orthodoxe russe de Strasbourg Tous-les-Saints devrait ouvrir aux fidèles en 2017, dans le quartier du Conseil des Quinze.
Le chantier de l'église est financé exclusivement par des donateurs privés. Il manque deux millions d'euros pour mener les travaux à bien. L’église orthodoxe russe de Strasbourg Tous-les-Saints devrait ouvrir aux fidèles en 2017, dans le quartier du Conseil des Quinze.
Le miraculé de Mère Teresa assiste à sa canonisation
Son portrait géant trône sur la façade de la basilique Saint-Pierre, à Rome, devant laquelle quelque 120 000 fidèles se sont réunis. Mère Teresa de Calcutta, la religieuse au sari blanc bordé de bleu devenue une icône mondiale, et controversée, de l’engagement en faveur des plus pauvres, a été canonisée par le pape François, dimanche 4 septembre, dix-neuf ans après sa mort. A l’issue de la cérémonie, le pape a offert un déjeuner de pizzas à 1 500 personnes sans ressources.
Qui mieux que cette religieuse – née Agnes Gonxha Bojaxhiu dans une famille albanaise, le 26 août 1910 à Skopje, et décédée le 5 septembre 1997 après avoir contribué à attirer le regard du monde sur les plus démunis – pouvait incarner l’Eglise rêvée par le pape argentin ? Ralenti sous Benoît XVI, le dossier de sa canonisation avait été relancé sous François, qui voit dans Mère Teresa une incarnation de son idéal d’une « Eglise pauvre pour les pauvres ».
Son portrait géant trône sur la façade de la basilique Saint-Pierre, à Rome, devant laquelle quelque 120 000 fidèles se sont réunis. Mère Teresa de Calcutta, la religieuse au sari blanc bordé de bleu devenue une icône mondiale, et controversée, de l’engagement en faveur des plus pauvres, a été canonisée par le pape François, dimanche 4 septembre, dix-neuf ans après sa mort. A l’issue de la cérémonie, le pape a offert un déjeuner de pizzas à 1 500 personnes sans ressources.
Qui mieux que cette religieuse – née Agnes Gonxha Bojaxhiu dans une famille albanaise, le 26 août 1910 à Skopje, et décédée le 5 septembre 1997 après avoir contribué à attirer le regard du monde sur les plus démunis – pouvait incarner l’Eglise rêvée par le pape argentin ? Ralenti sous Benoît XVI, le dossier de sa canonisation avait été relancé sous François, qui voit dans Mère Teresa une incarnation de son idéal d’une « Eglise pauvre pour les pauvres ».
La découverte, faite par des archéologues israéliens et allemands dans l'antique village de Tel Tsaf dans la vallée de Beit Shéan, peut changer radicalement notre connaissance non seulement du régime alimentaire des personnes qui ont vécu dans le pays d'Israël il y a plusieurs millénaires, mais aussi de la vitesse de développement de la civilisation.
Les scientifiques ont découvert lors des fouilles des centaines de noyaux d'olives datant d'il y a 7000 ans. Selon la conception traditionnelle, à cette époque l'alimentation se composait de céréales et de légumineuses et c'est seulement les jours de fête qu'on y ajoutait de la viande.
Les hommes de cette époque cultivaient le blé, l'avoine, le sarrasin, les haricots, les pois ; ils élevaient du bétail : chèvres, moutons, vaches, cochons, poussins. Une telle économie exigeait un mode de vie sédentaire, mais on pouvait se passer d'une infrastructure agricole importante.
Les scientifiques ont découvert lors des fouilles des centaines de noyaux d'olives datant d'il y a 7000 ans. Selon la conception traditionnelle, à cette époque l'alimentation se composait de céréales et de légumineuses et c'est seulement les jours de fête qu'on y ajoutait de la viande.
Les hommes de cette époque cultivaient le blé, l'avoine, le sarrasin, les haricots, les pois ; ils élevaient du bétail : chèvres, moutons, vaches, cochons, poussins. Une telle économie exigeait un mode de vie sédentaire, mais on pouvait se passer d'une infrastructure agricole importante.
Ce projet est mis en œuvre par le centre de soutenance de thèses de doctorat Saints Cyrille et Méthode ainsi que par le DREE et le Conseil pontifical pour l’unité des chrétiens. Ces cours s’achèveront le 4 septembre.
Y participent des clercs et des laïques catholiques venus d’Italie, d’Espagne, de France et de Roumanie qui étudient dans les universités pontificales de Rome ainsi que des collaborateurs des services du Vatican.
Ils apprendront le russe, visiteront diverses institutions du patriarcat, des séminaires et des académies de théologie, les monuments historiques et culturels de Moscou et de Saint Pétersbourg.
Y participent des clercs et des laïques catholiques venus d’Italie, d’Espagne, de France et de Roumanie qui étudient dans les universités pontificales de Rome ainsi que des collaborateurs des services du Vatican.
Ils apprendront le russe, visiteront diverses institutions du patriarcat, des séminaires et des académies de théologie, les monuments historiques et culturels de Moscou et de Saint Pétersbourg.
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