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Traduction D.Garmonov
Que l’homme supporte-t-il le plus douloureusement ?
Plusieurs réponses à cette question existent parce que nous sommes tous différents. Mais il existe peu de choses qui peuvent provoquer une telle douleur que des trahisons de nos proches (ou de ceux que nous percevons comme tels). Oui, certainement les plus proches : tout le monde connait l’adage répandu : « Ce sont toujours les siens qui trahissent ». Sinon comment les étrangers peuvent-ils trahir ? On ne s’y attend pas, on ne les investit pas de notre confiance, on ne leur découvre pas nos secrets, on ne pense pas que nous faisons un tout avec eux.
Mais les siens… Il devient si difficile de supporter une tromperie de la part de celui à qui on faisait confiance. Soit quand tu apprends qu’un ami s’est lié contre toi à tes ennemis ou qu’il vise à prendre ta, ourdit des intrigues, calomnie, joue une partie louche et malhonnête…
Que l’homme supporte-t-il le plus douloureusement ?
Plusieurs réponses à cette question existent parce que nous sommes tous différents. Mais il existe peu de choses qui peuvent provoquer une telle douleur que des trahisons de nos proches (ou de ceux que nous percevons comme tels). Oui, certainement les plus proches : tout le monde connait l’adage répandu : « Ce sont toujours les siens qui trahissent ». Sinon comment les étrangers peuvent-ils trahir ? On ne s’y attend pas, on ne les investit pas de notre confiance, on ne leur découvre pas nos secrets, on ne pense pas que nous faisons un tout avec eux.
Mais les siens… Il devient si difficile de supporter une tromperie de la part de celui à qui on faisait confiance. Soit quand tu apprends qu’un ami s’est lié contre toi à tes ennemis ou qu’il vise à prendre ta, ourdit des intrigues, calomnie, joue une partie louche et malhonnête…
Rédigé par Parlons D'orthodoxie le 19 Septembre 2014 à 15:13
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Le 17 septembre 2014 les membres de la Commission mixte se sont rendus ensemble en pèlerinage au lieu du baptême du Christ sur le Jourdain, où ils ont prié pour demander la bénédiction de Dieu sur les travaux à venir. Sa Béatitude le Patriarche de Jérusalem et de toute la Palestine Théophile III, qui reçoit cette session plénière de la Commission mixte, les a accueillis dans le centre d'accueil du Patriarcat de Jérusalem installé dans ce lieu saint pour tous les chrétiens.
À l'occasion des Journées du patrimoine (20 et 21 septembre 2014) et de la consécration de l'église en bois de la Nativité de la Mère de Dieu / voir le programme détaillé à cette page / le Séminaire orthodoxe russe d'Épinay-sous-Sénart publie un livre-album de 120 pages avec les photos de chaque fresque et de chaque icône de son église intérieure dédiée à saint Martin le Confesseur et à sainte Geneviève. Les images sont accompagnées d'explications en français et en russe.
Le livre présente également l'histoire de la Maison Sainte-Geneviève et les étapes de l'installation du séminaire orthodoxe dans ce lieu.
L'éditorial, dont le texte intégral est publié ci-dessous, est rédigé ensemble par M. Georges Pujals, maire d'Épinay-sous-Sénart, et le P. Alexandre Siniakov, recteur du Séminaire.
Le livre présente également l'histoire de la Maison Sainte-Geneviève et les étapes de l'installation du séminaire orthodoxe dans ce lieu.
L'éditorial, dont le texte intégral est publié ci-dessous, est rédigé ensemble par M. Georges Pujals, maire d'Épinay-sous-Sénart, et le P. Alexandre Siniakov, recteur du Séminaire.
30 ans de travail de la Commission mixte
La Commission mixte pour le dialogue théologique entre les orthodoxes et les églises catholiques romaines a été créée en 1979 comme une plate-forme pour la discussion des questions théologiques importantes pour les deux Eglises. La Commission, qui se compose d'un nombre égal de représentants des Eglises orthodoxes et de l'Eglise catholique romaine a commencé ses travaux en 1980.
Au cours de ces plus de 30 ans de la Commission mixte a adopté un certain nombre de documents communs: «Le mystère de l'Église et de l'Eucharistie à la lumière du mystère de la Sainte Trinité», «foi, sacrements et unité de l'Eglise», «le sacrement du sacerdoce dans la structure sacramentelle de l'Eglise", qui ont révélé beaucoup de points communs dans la doctrine des deux Eglises sur les sacrements
La Commission mixte pour le dialogue théologique entre les orthodoxes et les églises catholiques romaines a été créée en 1979 comme une plate-forme pour la discussion des questions théologiques importantes pour les deux Eglises. La Commission, qui se compose d'un nombre égal de représentants des Eglises orthodoxes et de l'Eglise catholique romaine a commencé ses travaux en 1980.
Au cours de ces plus de 30 ans de la Commission mixte a adopté un certain nombre de documents communs: «Le mystère de l'Église et de l'Eucharistie à la lumière du mystère de la Sainte Trinité», «foi, sacrements et unité de l'Eglise», «le sacrement du sacerdoce dans la structure sacramentelle de l'Eglise", qui ont révélé beaucoup de points communs dans la doctrine des deux Eglises sur les sacrements
Le métropolite Cyrille voudrait que l’on restitue aux rues d’Iekaterinbourg leurs noms historiques.
La « région de Sverdlovsk » devrait s’appeler « région d’Iekaterinbourg », l’église Sainte Catherine qui se dressait dans le centre-ville devrait être reconstruite. Il a formulé ces suggestions lors d’une réunion du Comité d’organisation des festivités du 300e anniversaire de la ville. Il a précisé : « Comment envisager ces festivités sans avoir reconstruit l’église Sainte Catherine ? (la cathédrale a été détruite en 1930) Sainte Catherine est la protectrice de notre ville. Jusqu’à présent notre région porte le nom de quelqu'un qui est responsable de la mort de plusieurs millions d’hommes ?
Yakov Sverdlov était l’un des principaux idéologues de la terreur rouge bolchevique. Il nous faut abjurer cette terrible appellation et faire de sorte que la région porte à nouveau le nom d’Iekaterinbourg.
La « région de Sverdlovsk » devrait s’appeler « région d’Iekaterinbourg », l’église Sainte Catherine qui se dressait dans le centre-ville devrait être reconstruite. Il a formulé ces suggestions lors d’une réunion du Comité d’organisation des festivités du 300e anniversaire de la ville. Il a précisé : « Comment envisager ces festivités sans avoir reconstruit l’église Sainte Catherine ? (la cathédrale a été détruite en 1930) Sainte Catherine est la protectrice de notre ville. Jusqu’à présent notre région porte le nom de quelqu'un qui est responsable de la mort de plusieurs millions d’hommes ?
Yakov Sverdlov était l’un des principaux idéologues de la terreur rouge bolchevique. Il nous faut abjurer cette terrible appellation et faire de sorte que la région porte à nouveau le nom d’Iekaterinbourg.
La XIIIe session plénière de la Commission internationale pour le dialogue entre les Eglises orthodoxe et catholique se déroulera à Amman (Jordanie) du 15 au 23 septembre, à l'invitation du Patriarche orthodoxe de Jérusalem SB Théophile III. Les travaux, auxquels prendront part des délégués des quatorze Eglises autocéphales orthodoxe, seront présidés par le Cardinal Kurt Koch, Président du Conseil pour l'unité, et par le Métropolite Jean de Pergame.
Les positions finlandaise et russe sur les droits des homosexuels sont aux antipodes, et cela a fait dérailler le dialogues doctrinal entre les deux principales religions des deux pays. L'archevêque Kari Mäkinen déclare qu'il a été obligé d'annuler les réunions œcuméniques prévues quand il a rencontré le patriarche Kiril Russie à Moscou. (1)
«La ligne de notre église, qui ne condamne pas directement l'homosexualité, est telle que, de leur point de vue, ils ne veulent pas poursuivre les discussions œcuméniques officielles», a déclaré Mäkinen.
Mäkinen explique que la partie russe voulait une déclaration préalable condamnant l'homosexualité car la réunion devait étudier des questions d'anthropologie - sujet où la sexualité devait être abordée
«La ligne de notre église, qui ne condamne pas directement l'homosexualité, est telle que, de leur point de vue, ils ne veulent pas poursuivre les discussions œcuméniques officielles», a déclaré Mäkinen.
Mäkinen explique que la partie russe voulait une déclaration préalable condamnant l'homosexualité car la réunion devait étudier des questions d'anthropologie - sujet où la sexualité devait être abordée
Le professeur Dimitri Vladimirovitch Pospelovskly est décédé le 12 septembre 2014 dans sa quatre-vingtième année. Il vivait au Canada, dans l’état d’Ontario. Le défunt était l’un des meilleurs spécialistes de l’histoire moderne de l’Eglise russe. Dimitri Pospelovsky était l’arrière petit-fils du célèbre pédagogue russe Constantin Ouchinsky.
Né dans la région de Rovno, appartenant à la Pologne à l’époque, il vient s’installer en 1945 en Allemagne.
Comme de nombreux autres émigrés de la « deuxième vague » Pospelovsky immigre au Canada dans les années 50. Il y fait ses études secondaires et supérieures, y soutient une thèse d’agrégation. En 1967, en Grande-Bretagne, il devient docteur ès-sciences.
Né dans la région de Rovno, appartenant à la Pologne à l’époque, il vient s’installer en 1945 en Allemagne.
Comme de nombreux autres émigrés de la « deuxième vague » Pospelovsky immigre au Canada dans les années 50. Il y fait ses études secondaires et supérieures, y soutient une thèse d’agrégation. En 1967, en Grande-Bretagne, il devient docteur ès-sciences.
Les 11 et 12 septembre 2014, Son Eminence l’Archevêque Job de Telmessos a présidé la vigile et la Divine Liturgie en la cathédrale Saint-Alexandre-Nevsky à l’occasion de la fête patronale.
A ces offices ont concélébré le clergé de la cathédrale, l’Archiprêtre Nicolas Ozoline qui représentait l’Institut de Théologie Orthodoxe Saint-Serge, ainsi que d’autres clercs de l’archevêché venus à cette occasion. Etaient également présentes l’higoumène Colomba accompagnée de ses sœurs du Monastère de la Protection de la Mère de Dieu à Bussy-en-Othe.
Le dimanche suivant, 14 septembre, l’évêque Nestor de Chersonèse (Église orthodoxe Russe PM) est venu présenter ses vœux à l’archevêque à l’occasion de la fête patronale, et a concélébré avec lui la Divine Liturgie, avec le clergé de la cathédrale et des clercs venus du doyenné de Grande-Bretagne et d’Écosse.
A ces offices ont concélébré le clergé de la cathédrale, l’Archiprêtre Nicolas Ozoline qui représentait l’Institut de Théologie Orthodoxe Saint-Serge, ainsi que d’autres clercs de l’archevêché venus à cette occasion. Etaient également présentes l’higoumène Colomba accompagnée de ses sœurs du Monastère de la Protection de la Mère de Dieu à Bussy-en-Othe.
Le dimanche suivant, 14 septembre, l’évêque Nestor de Chersonèse (Église orthodoxe Russe PM) est venu présenter ses vœux à l’archevêque à l’occasion de la fête patronale, et a concélébré avec lui la Divine Liturgie, avec le clergé de la cathédrale et des clercs venus du doyenné de Grande-Bretagne et d’Écosse.
Les obsèques auront lieu jeudi à 11H00 en l’église des Trois-Saints-Docteurs, 5 rue Pétel (XVe) à Paris. Le défunt était un fidèle paroissien de cette Eglise
Constantin Melnik, l’un des hommes clés des services secrets, notamment durant la guerre d’Algérie, est décédé dans la nuit de samedi à dimanche à Paris, à l’âge de 86 ans, a annoncé lundi sa famille.
Personnage hors du commun, ce spécialiste du renseignement a été l’éminence grise de l’ancien Premier ministre Michel Debré auprès duquel il était chargé de la coordination des services secrets de janvier 1959 à avril 1962.
Constantin Melnik, l’un des hommes clés des services secrets, notamment durant la guerre d’Algérie, est décédé dans la nuit de samedi à dimanche à Paris, à l’âge de 86 ans, a annoncé lundi sa famille.
Personnage hors du commun, ce spécialiste du renseignement a été l’éminence grise de l’ancien Premier ministre Michel Debré auprès duquel il était chargé de la coordination des services secrets de janvier 1959 à avril 1962.
Le prince Nicolas est décédé en Toscane à l’âge de 92 ans. Son décès a été annoncé par le prince Dimitri, son frère cadet.
Au décès du grand-duc Vladimir Kirillovitch de Russie survenu le 21 avril 1992, Nicolas Romanovitch de Russie fut élu nouveau prétendant au trône de Russie le 31 décembre 1992 par les membres de la fondation Association famille Romanov. Cette élection sera confirmée le 18 juillet 1998 à Saint-Pétersbourg lors des funérailles de Nicolas II de Russie et de sa famille.
En juin 1992, le prince se rendit pour la première fois en Russie, d'autres visites suivront. Depuis 1998, Nicolas Romanovitch de Russie se rend une fois par an en Russie.
Au décès du grand-duc Vladimir Kirillovitch de Russie survenu le 21 avril 1992, Nicolas Romanovitch de Russie fut élu nouveau prétendant au trône de Russie le 31 décembre 1992 par les membres de la fondation Association famille Romanov. Cette élection sera confirmée le 18 juillet 1998 à Saint-Pétersbourg lors des funérailles de Nicolas II de Russie et de sa famille.
En juin 1992, le prince se rendit pour la première fois en Russie, d'autres visites suivront. Depuis 1998, Nicolas Romanovitch de Russie se rend une fois par an en Russie.
Extraits du livre de Jean-Claude Larchet "Le Starets Serge"
Le découragement, l’abattement, la paresse et la léthargie spirituels (généralement regroupés par les Pères sous le terme unique d’ « acédie » - sont des passions sur lesquelles le starets Serge insiste beaucoup, car elles guettent tout homme dans sa vie ordinaire. Mais aussi d’une manière particulière, ceux qui entendent mener une vie spirituelle approfondie et à l’écart des « divertissements » (au sens pascalien) de ce monde.
1) Nous rencontrons dans la vie courante de nombreuses sources de découragement, de tristesse et d’abattement, de dégoût.
Il existe une forme de découragement commune, liée à des désagréments qui se répètent. Pour en sortir ou l’éviter, nous devons supporter ces désagréments avec patience, en sachant « que nous sommes en ce monde pour subir des désagréments », autrement dit que cela appartient inévitablement à notre condition.
Le découragement, l’abattement, la paresse et la léthargie spirituels (généralement regroupés par les Pères sous le terme unique d’ « acédie » - sont des passions sur lesquelles le starets Serge insiste beaucoup, car elles guettent tout homme dans sa vie ordinaire. Mais aussi d’une manière particulière, ceux qui entendent mener une vie spirituelle approfondie et à l’écart des « divertissements » (au sens pascalien) de ce monde.
1) Nous rencontrons dans la vie courante de nombreuses sources de découragement, de tristesse et d’abattement, de dégoût.
Il existe une forme de découragement commune, liée à des désagréments qui se répètent. Pour en sortir ou l’éviter, nous devons supporter ces désagréments avec patience, en sachant « que nous sommes en ce monde pour subir des désagréments », autrement dit que cela appartient inévitablement à notre condition.
Le premier septembre, l'Église orthodoxe fête un très grand saint syrien, Syméon le Stylite , dont les exploits ascétiques illuminèrent les coeurs non seulement au Proche-Orient, mais aussi en France, où sainte Geneviève, patronne de Paris, qui l'admirait, eut avec lui une correspondance spirituelle. À l'ermitage orthodoxe du Saint-Esprit, proche de Trappes, dont l'higoumène est un ami, j'aime à prier dans la chapelle dédicacée à sainte Geneviève et à saint Syméon. C'est un lieu béni d'où tous ceux qui ont eu le privilège d'y participer à un office liturgique sortent pacifiés, corroborés.
Ces liens entre sainte Geneviève et saint Syméon entre l'Église de France et l'Église de Syrie, cette vivifiante amitié, qui, depuis ces temps lointains, unissent la Syrie à la France, j'espère, je veux croire qu'ils sont au coeur des préoccupations de l'actuel chef de l'État, François Hollande, et de son gouvernement ; que la France est soucieuse de ne rien faire qui puisse nuire aux chrétiens syriens, à ce prestigieux patriarcat d'Antioche dont le patriarche réside à Damas, dont l'épiscopat est réparti dans les diocèses de Syrie et du Liban, dont tant de prélats ont fait leurs études théologiques en France, dont les fidèles appartiennent à l'élite de la société syro-libanaise.
Ces liens entre sainte Geneviève et saint Syméon entre l'Église de France et l'Église de Syrie, cette vivifiante amitié, qui, depuis ces temps lointains, unissent la Syrie à la France, j'espère, je veux croire qu'ils sont au coeur des préoccupations de l'actuel chef de l'État, François Hollande, et de son gouvernement ; que la France est soucieuse de ne rien faire qui puisse nuire aux chrétiens syriens, à ce prestigieux patriarcat d'Antioche dont le patriarche réside à Damas, dont l'épiscopat est réparti dans les diocèses de Syrie et du Liban, dont tant de prélats ont fait leurs études théologiques en France, dont les fidèles appartiennent à l'élite de la société syro-libanaise.
Le père Paul mourrait assassiné à Pskov il y a un an, le 5 août 2013
Une exposition consacrée à sa vie et à sa mission pastorale a été inaugurée dans les locaux de l’association « Memorial » à Moscou Elle est placée sous les auspices du Fond culturel « Preobrajenie (Transfiguration) » et de l’Institut orthodoxe Saint Philarète.
L’exposition présente des photos, des documents d’archive, des objets personnels du père Paul et de ses proches ainsi que des extraits de ses textes.
Le commissaire de l’exposition Svetlana Tchoukavina nous a dit : « La mise en place de cette exposition est une affaire d’honneur pour la Fraternité de la Transfiguration.
Une exposition consacrée à sa vie et à sa mission pastorale a été inaugurée dans les locaux de l’association « Memorial » à Moscou Elle est placée sous les auspices du Fond culturel « Preobrajenie (Transfiguration) » et de l’Institut orthodoxe Saint Philarète.
L’exposition présente des photos, des documents d’archive, des objets personnels du père Paul et de ses proches ainsi que des extraits de ses textes.
Le commissaire de l’exposition Svetlana Tchoukavina nous a dit : « La mise en place de cette exposition est une affaire d’honneur pour la Fraternité de la Transfiguration.
Avec la bénédiction de Son Eminence le métropolite Emmanuel, la cathédrale Saint Etienne (7 rue Georges Bizet, Paris) annonce la reprise à partir de ce samedi 13 septembre 2014, à 18h, des divines liturgies mensuelles célébrées et chantées entièrement en français selon la tradition byzantine. La prédication est également assurée en français. Ce samedi 13 septembre sera célébrée la fête universelle de l'Exaltation de la précieuse et vivifiante Croix. Pour tous contacts: Père Nicolas KAZARIAN, responsable des célébrations (0686422098) - Carol SABA, protochantre (0620184677). Pour trouver le calendrier sous forme PDF, cliquez ICI
Héros national, Alexandre Nevski a été canonisé après sa mort par l'Église orthodoxe.
Le 5 avril 1242, Alexandre Nevski massacre les chevaliers Teutoniques et les chevaliers Porte-Glaives sur les glaces du lac Peïpous, à la frontière de l'Estonie actuelle. De cette victoire, aussi appelée «bataille de la Glace», va sortir la nation russe, au terme d'un douloureux processus.
A dix ans, il était prince de Novgorod une cité où les "petites gens" jouissaient d'un degré de liberté et de liberté d'expression (car toutes les couches sociales étaient lettrées) plutôt exceptionnel pour l'époque.. Il sut se faire aimer d'eux et de tous.
Quelques années plus tard, en 1237, les Tatares déferlèrent sur la Russie contrôlant pour deux cents ans l'ensemble des principautés russes par de lourdes impositions financières. Mais à la même époque, Novgorod eut à affronter le royaume de Suède, le royaume de Lituanie et les chevaliers teutoniques qui voulaient convertir au catholicisme romain les peuples orthodoxes.
Le 5 avril 1242, Alexandre Nevski massacre les chevaliers Teutoniques et les chevaliers Porte-Glaives sur les glaces du lac Peïpous, à la frontière de l'Estonie actuelle. De cette victoire, aussi appelée «bataille de la Glace», va sortir la nation russe, au terme d'un douloureux processus.
A dix ans, il était prince de Novgorod une cité où les "petites gens" jouissaient d'un degré de liberté et de liberté d'expression (car toutes les couches sociales étaient lettrées) plutôt exceptionnel pour l'époque.. Il sut se faire aimer d'eux et de tous.
Quelques années plus tard, en 1237, les Tatares déferlèrent sur la Russie contrôlant pour deux cents ans l'ensemble des principautés russes par de lourdes impositions financières. Mais à la même époque, Novgorod eut à affronter le royaume de Suède, le royaume de Lituanie et les chevaliers teutoniques qui voulaient convertir au catholicisme romain les peuples orthodoxes.
Les partisans du « patriarcat de Kiev », non reconnu dans le monde orthodoxe, s’emparent des églises de l’Église orthodoxe d’Ukraine du Patriarcat de Moscou, a déclaré le métropolite de Rovno et Ostrog Bartholomée. « À nouveau, comme dans les années 1990 du siècle passé, une menace pèse sur nos églises orthodoxes, à savoir que les partisans du « Patriarcat de Kiev » s’en emparent. Ses leaders et partisans, transgressant grossièrement la législation en vigueur, et au mépris de l’opinion des chrétiens orthodoxes qui en sont les propriétaires légitimes s’emparent de nos églises ». Selon le métropolite, trois églises ont déjà été saisies à ce jour, et « des menaces pèsent sur d’autres églises ». SUITE Orthodoxie.com
Du 1er août au 30 septembre, retrouvez "Merci ! 100 photos pour un centenaire", une expo photo rendant hommage à ceux qui ont pris part aux combats sur le sol français, mais également à ceux qui étaient à l’arrière, loin du front mais touchés dans leur vie quotidienne par les conséquences de la guerre.
Jean-Claude Narcy, journaliste, président du comité des mécènes de la Mission du Centenaire, qui a réalisé et conçu l’exposition aux côtés de Jean-Pierre Verney, historien, spécialiste de la Première Guerre mondiale, explique sa démarche : « J’ai voulu rendre un modeste hommage et exprimer notre gratitude à ceux qui ont parfois traversé les mers et les continents pour venir se battre sur notre terre. » Parmi ces combattants étrangers, on retrouve notamment des Polonais, des Russes, des Britanniques, des Néo-Zélandais, des Sud-Africains, des Chinois, des Indiens... Suite Marine Picat et Photos ICI
Jean-Claude Narcy, journaliste, président du comité des mécènes de la Mission du Centenaire, qui a réalisé et conçu l’exposition aux côtés de Jean-Pierre Verney, historien, spécialiste de la Première Guerre mondiale, explique sa démarche : « J’ai voulu rendre un modeste hommage et exprimer notre gratitude à ceux qui ont parfois traversé les mers et les continents pour venir se battre sur notre terre. » Parmi ces combattants étrangers, on retrouve notamment des Polonais, des Russes, des Britanniques, des Néo-Zélandais, des Sud-Africains, des Chinois, des Indiens... Suite Marine Picat et Photos ICI
Un service religieux (1) exceptionnel, célébré dans une église historique de l'est de la Turquie, a réuni les chefs des Eglises orientales (2) dimanche dernier.
C'est dans l'église Sainte-Croix d'Akdamar située sur une île du lac Van qu'un service religieux a été célébré par le vicaire de l'Eglise arménienne orthodoxe de Turquie, Aram Atesyan, en présence du Patriarche orthodoxe de Constantinople Bartholomée Ier, du vicaire patriarcal de l'Eglise orthodoxe assyrienne Yusuf Çetin et de l'archevêque Barsamian Khajag de l'Eglise arménienne d'Amérique. C'est la première fois que les dirigeants des Eglises orientales de Turquie assistent ensemble à une célébration.
Une grande foule de fidèles venus de Turquie et de l'étranger participaient aussi à la célébration.
C'est dans l'église Sainte-Croix d'Akdamar située sur une île du lac Van qu'un service religieux a été célébré par le vicaire de l'Eglise arménienne orthodoxe de Turquie, Aram Atesyan, en présence du Patriarche orthodoxe de Constantinople Bartholomée Ier, du vicaire patriarcal de l'Eglise orthodoxe assyrienne Yusuf Çetin et de l'archevêque Barsamian Khajag de l'Eglise arménienne d'Amérique. C'est la première fois que les dirigeants des Eglises orientales de Turquie assistent ensemble à une célébration.
Une grande foule de fidèles venus de Turquie et de l'étranger participaient aussi à la célébration.
Le 5 septembre 2014, le métropolite Hilarion de Volokolamsk, président du Département des relations ecclésiastiques extérieures du Patriarcat de Moscou, a entamé un pèlerinage en Roumanie.
Il est accompagné dans ce voyage, qu’il effectue à la bénédiction de Sa Sainteté le Patriarche Cyrille de Moscou et de toute la Russie, par l’archiprêtre Igor Iakimtchouk, secrétaire du DREE aux relations interorthodoxes, et son assistant, A. Erchov.
A Bucarest, le Patriarche Daniel de Roumanie a reçu le président du DREE dans son cabinet à la résidence patriarcale.
Il est accompagné dans ce voyage, qu’il effectue à la bénédiction de Sa Sainteté le Patriarche Cyrille de Moscou et de toute la Russie, par l’archiprêtre Igor Iakimtchouk, secrétaire du DREE aux relations interorthodoxes, et son assistant, A. Erchov.
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Communiqué des Evêques Orthodoxes de France au sujet de la guerre en Ukraine
12/04/2022 22:00 - Nadejda na Mir
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