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La chapelle Palatine a été construite il y a 800 ans sous le règne du roi Roger II. Ses murs sont entièrement recouverts de mosaïques. La chapelle est une chapelle catholique édifiée à l'intérieur du palais des Normands, elle est dédiée aux saints Pierre et Paul.
Construite au XIIe siècle sur ordre et pour l'usage du premier roi normand de Sicile, Roger II, elle est emblématique du style arabo-normand qui combine des éléments d'architectures romane, byzantine et arabe ; elle se signale particulièrement par la splendeur de ses mosaïques sur fond doré.
Construite au XIIe siècle sur ordre et pour l'usage du premier roi normand de Sicile, Roger II, elle est emblématique du style arabo-normand qui combine des éléments d'architectures romane, byzantine et arabe ; elle se signale particulièrement par la splendeur de ses mosaïques sur fond doré.
Rédigé par Parlons D'orthodoxie le 12 Mars 2018 à 08:36
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Un tribunal de la capitale bulgare a estimé en août 2017 que le président d'un groupe d'études religieuses était coupable d'incitation à la discrimination contre un groupe spirituel centré sur le yoga et la méditation. La décision a fait l'objet d'un appel.
LES FAITS
Le Centre Sri Chinmoy est une association qui promeut le yoga, la méditation et un mode de vie en accord avec la philosophie de Sri Chinmoy (*), un guide spirituel américain. L'association organise des concerts, expositions et publie des livres.
Entre 2006 et 2008, Dessislava Panayotova, présidente du Centre d'études théologiques et des consultations (CETC) de l'église orthodoxe St. Cyril de Sofia, avait fait annuler des concerts de l'association à de nombreuses occasions, alors que des responsables de salles avaient déjà signé des contrats avec le Centre Sri Chinmoy.
LES FAITS
Le Centre Sri Chinmoy est une association qui promeut le yoga, la méditation et un mode de vie en accord avec la philosophie de Sri Chinmoy (*), un guide spirituel américain. L'association organise des concerts, expositions et publie des livres.
Entre 2006 et 2008, Dessislava Panayotova, présidente du Centre d'études théologiques et des consultations (CETC) de l'église orthodoxe St. Cyril de Sofia, avait fait annuler des concerts de l'association à de nombreuses occasions, alors que des responsables de salles avaient déjà signé des contrats avec le Centre Sri Chinmoy.
LE GRAND CARÊME EST UN DON!
Le Carême est un don que Dieu nous fait, un don qui est admirable, merveilleux, un don que nous désirons. Certes, mais un don de quoi? Je dirais que c'est un don de l'essentiel – ce qui est essentiel et qui cependant souffre le plus en notre vie parce que nous menons une vie de confusion et dispersée, une vie qui nous cache sans cesse l'éternel, le glorieux, la signification divine de la vie, et nous enlève ce qui devrait nous "pousser", et, dès lors, corriger et remplir notre vie de joie.
Et cet essentiel est l'action de grâce : accepter de Dieu cette merveilleuse vie, comme disait saint Pierre, "créée à partir du néant..", créée exclusivement par l'amour e Dieu, car il n'y a pas d'autre raison d'exister pour nous; aimé par Lui avant même que nous ne naissions, nous avons été emmenés en Sa merveilleuse Lumière. A présent nous vivons et nous oublions. Quand ai-je donc pensé à cela pour la dernière fois? Mais il y a bien tant de petites choses et affaires que je n'oublie pas, qui transforment toute ma vie en un vacarme vide, en une sorte de voyage sans but.
Le Carême est un don que Dieu nous fait, un don qui est admirable, merveilleux, un don que nous désirons. Certes, mais un don de quoi? Je dirais que c'est un don de l'essentiel – ce qui est essentiel et qui cependant souffre le plus en notre vie parce que nous menons une vie de confusion et dispersée, une vie qui nous cache sans cesse l'éternel, le glorieux, la signification divine de la vie, et nous enlève ce qui devrait nous "pousser", et, dès lors, corriger et remplir notre vie de joie.
Et cet essentiel est l'action de grâce : accepter de Dieu cette merveilleuse vie, comme disait saint Pierre, "créée à partir du néant..", créée exclusivement par l'amour e Dieu, car il n'y a pas d'autre raison d'exister pour nous; aimé par Lui avant même que nous ne naissions, nous avons été emmenés en Sa merveilleuse Lumière. A présent nous vivons et nous oublions. Quand ai-je donc pensé à cela pour la dernière fois? Mais il y a bien tant de petites choses et affaires que je n'oublie pas, qui transforment toute ma vie en un vacarme vide, en une sorte de voyage sans but.
Pour le 100e anniversaire de la «Campagne de Glace » (22 février - 13 mai 1918)
V. Golovanow
CAMPAGNE DE GLACE IL Y A 100 ANS
Formée fin décembre 1917 à Novotcherkassk à l’appel du général Alekseïev, rapidement rejoint par Kornilov, l’Armée des volontaires comptait approximativement 4 000 hommes début janvier 1918.
Après plusieurs combats avec des unités bolchéviques elle dut se retirer du Don devant la pression des Rouges qui profitaient du refus des cosaques du Don de soutenir l’Armée.
Elle fit route vers le Kouban dans l’espoir de s’unir avec les cosaques du Kouban. Les conditions très difficiles valurent à cette épopée le nom de « campagne de glace ».
3 000 cosaques du Kouban placés sous le commandement du général Pokrovski rejoignirent effectivement l’Armée des Volontaires, ce qui porta l’effectif total à 6 000 hommes.
V. Golovanow
CAMPAGNE DE GLACE IL Y A 100 ANS
Formée fin décembre 1917 à Novotcherkassk à l’appel du général Alekseïev, rapidement rejoint par Kornilov, l’Armée des volontaires comptait approximativement 4 000 hommes début janvier 1918.
Après plusieurs combats avec des unités bolchéviques elle dut se retirer du Don devant la pression des Rouges qui profitaient du refus des cosaques du Don de soutenir l’Armée.
Elle fit route vers le Kouban dans l’espoir de s’unir avec les cosaques du Kouban. Les conditions très difficiles valurent à cette épopée le nom de « campagne de glace ».
3 000 cosaques du Kouban placés sous le commandement du général Pokrovski rejoignirent effectivement l’Armée des Volontaires, ce qui porta l’effectif total à 6 000 hommes.
Monseigneur Jacob est le coordinateur du projet « L’Arctique russe » piloté par le patriarcat de Moscou. Afin de commémorer le premier centenaire de l’assassinat de la famille impériale russe (juillet 1918) il propose de renommer « les îles communistes » de l’Arctique.
C’est en 1913 qu’une expédition commanditée par l’empereur Nicolas II a découvert ces îles. Elles ont été nommées Zemble Nicolas II. Les îles portent les noms de Marie, Alexandra, Olga , Tatiana et Alexis. A l’époque soviétique ces îles ont reçu de nouveau noms : Pionnier, Komsomol, Bolchevik, Révolution d’Octobre et Schmidt.
C’est en 1913 qu’une expédition commanditée par l’empereur Nicolas II a découvert ces îles. Elles ont été nommées Zemble Nicolas II. Les îles portent les noms de Marie, Alexandra, Olga , Tatiana et Alexis. A l’époque soviétique ces îles ont reçu de nouveau noms : Pionnier, Komsomol, Bolchevik, Révolution d’Octobre et Schmidt.
Av. Alexander Winogradsky Frenkel (1) a publié le 02 mars 2018 un long article (2) sur la situation à Jérusalem dont je vous propose le passage sur la célébration du Dimanche du Triomphe de l’Orthodoxie ou des Icônes dans la basilique du Saint Sépulcre (j'ai ajouté des sous-titres pour plus de clarté). V. Golovanow
av. Alexander
« LE RITE DES ANATHEMA »
Le 25 février, au matin, tous les offices eurent lieu selon la tradition au sein de l’Anastasis. Le jour est particulier pour chacune des juridictions en présence. Le patriarcat orthodoxe de Jérusalem célèbre le premier dimanche du Grand Jeûne ou Carême qui mène à la Pâque. Il est consacré au « triomphe de l’Orthodoxie » et rappelle que, par la décision du VIIème Concile œcuménique, les icônes sont légitimes et qu’il est licite de représenter Jésus, sa Mère et les saints car ils sont le reflet de l’incarnation et du salut tels qu’ils sont confessés par la foi reçues des apôtres. Ce dimanche rappelle les exigences de la foi « authentique = orthodoxe (foi droite, glorieuse, véritable) qui est aussi en tension sur la « plénitude de tout, le plérôme = elle est « kath’olon », catholique ».
Selon l’antique tradition orientale, un service particulier est ensuite célébré devant l’Edicule récemment restauré : « le rite des Anathema ». Une série longue et qui remonte le cours de l’histoire de vingt siècles de christianisme : les noms de ceux qui se sont fourvoyés dans l’erreur théologique sont « anathema » – maudits » et ceux qui ont été fidèles à la foi authentique sont rappelés « pour une mémoire éternelle ».
av. Alexander
« LE RITE DES ANATHEMA »
Le 25 février, au matin, tous les offices eurent lieu selon la tradition au sein de l’Anastasis. Le jour est particulier pour chacune des juridictions en présence. Le patriarcat orthodoxe de Jérusalem célèbre le premier dimanche du Grand Jeûne ou Carême qui mène à la Pâque. Il est consacré au « triomphe de l’Orthodoxie » et rappelle que, par la décision du VIIème Concile œcuménique, les icônes sont légitimes et qu’il est licite de représenter Jésus, sa Mère et les saints car ils sont le reflet de l’incarnation et du salut tels qu’ils sont confessés par la foi reçues des apôtres. Ce dimanche rappelle les exigences de la foi « authentique = orthodoxe (foi droite, glorieuse, véritable) qui est aussi en tension sur la « plénitude de tout, le plérôme = elle est « kath’olon », catholique ».
Selon l’antique tradition orientale, un service particulier est ensuite célébré devant l’Edicule récemment restauré : « le rite des Anathema ». Une série longue et qui remonte le cours de l’histoire de vingt siècles de christianisme : les noms de ceux qui se sont fourvoyés dans l’erreur théologique sont « anathema » – maudits » et ceux qui ont été fidèles à la foi authentique sont rappelés « pour une mémoire éternelle ».
Les reliques du prince Yaroslav se trouvent actuellement dans un édifice de l’Église orthodoxe ukrainienne (patriarcat de Constantinople) aux États-Unis
Il est triste que les reliques du saint pieux prince Yaroslav le Sage (978-1054) , qui est vénéré tant en Russie qu’en Ukraine deviennent l’occasion régulière d’un affrontement politique entre Moscou et Kiev. C’est bien ce qui semblerait à en croire les dernières déclarations de fonctionnaires ukrainiens qui, cette semaine, accusent les autorités russes de tenter d’acheter les saintes reliques aux représentants de l’Église orthodoxe ukrainienne aux USA (Patriarcat de Constantinople).
Tout le monde comprend que la place naturelle de ces reliques est dans un lieu de culte de l’Église orthodoxe ukrainienne, à Kiev on craint que si sa Sainteté Cyrille, Patriarche de Moscou et de toute la Russie, rapatrie solennellement en Ukraine les reliques de saint Iaroslav, il les remettra à sa Béatitude Onuphre, Métropolite de Kiev et de toute l’Ukraine. Or les fonctionnaires ukrainiens ne veulent surtout pas voir le patriarche Cyrille en Ukraine, ils soutiennent à fond le prétendu patriarche schismatique Philarète Denisenko.
Il est triste que les reliques du saint pieux prince Yaroslav le Sage (978-1054) , qui est vénéré tant en Russie qu’en Ukraine deviennent l’occasion régulière d’un affrontement politique entre Moscou et Kiev. C’est bien ce qui semblerait à en croire les dernières déclarations de fonctionnaires ukrainiens qui, cette semaine, accusent les autorités russes de tenter d’acheter les saintes reliques aux représentants de l’Église orthodoxe ukrainienne aux USA (Patriarcat de Constantinople).
Tout le monde comprend que la place naturelle de ces reliques est dans un lieu de culte de l’Église orthodoxe ukrainienne, à Kiev on craint que si sa Sainteté Cyrille, Patriarche de Moscou et de toute la Russie, rapatrie solennellement en Ukraine les reliques de saint Iaroslav, il les remettra à sa Béatitude Onuphre, Métropolite de Kiev et de toute l’Ukraine. Or les fonctionnaires ukrainiens ne veulent surtout pas voir le patriarche Cyrille en Ukraine, ils soutiennent à fond le prétendu patriarche schismatique Philarète Denisenko.
Ce 8 février s’est tenu à Washington le traditionnel Petit Déjeuner national de prières, un événement annuel auquel prennent part le président des USA, des hommes politiques connus et aussi des représentants des différentes communautés religieuses du pays.
Cette année, participait à l’événement l’archimandrite Cyrille (Govorunov), membre du clergé de l’Église orthodoxe ukrainienne (patriarcat de Moscou), docteur en théologie et en philosophie, journaliste, professeur de l’université Loyola Marymount de Los Angeles, directeur de l’institut Huffington.
Dans cette interview accordée à Rublev.com, le père Cyrille fait part de ses impressions sur cet événement marquant de la vie religieuse et politique des États Unis.
Cette année, participait à l’événement l’archimandrite Cyrille (Govorunov), membre du clergé de l’Église orthodoxe ukrainienne (patriarcat de Moscou), docteur en théologie et en philosophie, journaliste, professeur de l’université Loyola Marymount de Los Angeles, directeur de l’institut Huffington.
Dans cette interview accordée à Rublev.com, le père Cyrille fait part de ses impressions sur cet événement marquant de la vie religieuse et politique des États Unis.
Patrick le Carvese , un membre de la chorale de la Paroisse Notre-Dame-Joie-des-Affligés et Sainte-Geneviève (Paris), 4 rue Saint Victor - Diocèse de Chersonèse PM
Au cours d'une assemblée générale de ma paroisse en 2012, l'un des participants a morigéné ceux qui, sans y avoir été invités, chantent en même temps que le chœur au cours des offices, en ajoutant que cette attitude le gênait dans sa propre prière.
Cette remarque aurait été banale si elle avait été formulée par un chef de chœur épris d'ordre, ou même par un choriste déçu que sa belle voix soit polluée par un importun. En fait, elle venait d'un paroissien ne faisant pas partie du chœur et n'étant pas à ma connaissance intéressé par une telle perspective, ce qui finalement donnait beaucoup plus de poids à son intervention. Elle a pris encore plus de relief lorsque dès le lendemain, au cours d'un colloque de musique liturgique, ce fut au tour d'un fidèle – catholique, lui – de se plaindre de l'impossibilité, dans un office orthodoxe, de chanter lorsque l'on n'est pas membre du chœur !
Au cours d'une assemblée générale de ma paroisse en 2012, l'un des participants a morigéné ceux qui, sans y avoir été invités, chantent en même temps que le chœur au cours des offices, en ajoutant que cette attitude le gênait dans sa propre prière.
Cette remarque aurait été banale si elle avait été formulée par un chef de chœur épris d'ordre, ou même par un choriste déçu que sa belle voix soit polluée par un importun. En fait, elle venait d'un paroissien ne faisant pas partie du chœur et n'étant pas à ma connaissance intéressé par une telle perspective, ce qui finalement donnait beaucoup plus de poids à son intervention. Elle a pris encore plus de relief lorsque dès le lendemain, au cours d'un colloque de musique liturgique, ce fut au tour d'un fidèle – catholique, lui – de se plaindre de l'impossibilité, dans un office orthodoxe, de chanter lorsque l'on n'est pas membre du chœur !
Le départ
Elle les a fait appeler en quelques coups de fil. Toutes affaires cessantes, ils sont venus des quatre coins de la France pour se rassembler dans cette chambre d’hôpital envahie par le crépuscule. Elle les regarde tous les six qui font cercle autour du lit, les garçons barbus et larges d’épaules, les filles aux traits épanouis de mères. Même la petite dernière, qui hier encore courait partout avec ses nattes blondes, la voici devenue une femme.
Elle a tissé la chair de chacun au plus secret de son ventre, ce ventre qui à présent la fait tant souffrir. Elle les a maternés, choyés, nourris. Elle les a aidé à pousser droit autant que possible. À travers les milliers de couches nettoyées, les innombrables heures penchées au dessus d’un cahier d’école, les kilomètres de cheveux brossés, les parenthèses heureuses des vacances, elle a surtout tâché de les enfanter à la dimension véritable de l’existence. De cette transmission-là, elle n’a été que le relais, semeur ignorant la destinée de sa graine.
Elle les a fait appeler en quelques coups de fil. Toutes affaires cessantes, ils sont venus des quatre coins de la France pour se rassembler dans cette chambre d’hôpital envahie par le crépuscule. Elle les regarde tous les six qui font cercle autour du lit, les garçons barbus et larges d’épaules, les filles aux traits épanouis de mères. Même la petite dernière, qui hier encore courait partout avec ses nattes blondes, la voici devenue une femme.
Elle a tissé la chair de chacun au plus secret de son ventre, ce ventre qui à présent la fait tant souffrir. Elle les a maternés, choyés, nourris. Elle les a aidé à pousser droit autant que possible. À travers les milliers de couches nettoyées, les innombrables heures penchées au dessus d’un cahier d’école, les kilomètres de cheveux brossés, les parenthèses heureuses des vacances, elle a surtout tâché de les enfanter à la dimension véritable de l’existence. De cette transmission-là, elle n’a été que le relais, semeur ignorant la destinée de sa graine.
Chapelle orthodoxe St Séraphin de Sarov 91 rue Lecourbe, Paris 15ème
Nous avons le grand plaisir de vous proposer une rencontre avec le père Alexandre Siniakov, auteur de « Comme l’éclair part de l’Orient » récit d’un itinéraire exceptionnel.
SAMEDI 3 MARS 2018 à 14h30 précises.
Nous avons le grand plaisir de vous proposer une rencontre avec le père Alexandre Siniakov, auteur de « Comme l’éclair part de l’Orient » récit d’un itinéraire exceptionnel.
SAMEDI 3 MARS 2018 à 14h30 précises.
Le 23 février 2018 Sa Sainteté Bartholomé, patriarche de Constantinople, a adressé une lettre à Monseigneur Philarète, archevêque de Lvov et de Galice. Il y exprime ses condoléances à propos de la destruction par le feu dans le diocèse de Lvov d’une église relevant de l’Eglise orthodoxe d’Ukraine. Le patriarche se joint dans cette lettre à la position adoptée par les Eglises orthodoxes de Bulgarie, de Serbie, de Grèce, de Tchéquie et de Pologne.
Ces Eglises ont également condamné l’action des nationalistes ukrainiens., a adressé une lettre à Monseigneur Philarète, archevêque de Le patriarche de Constantinople a donc fait savoir aux autorités d’Ukraine ainsi qu’aux représentants du prétendu « patriarcat de Kiev » qu’il est inadmissible d’agresser les églises relevant de l’EOU : « C’est avec une profonde tristesse que nous avons appris la destruction par le feu d’une église du diocèse de Lvov.
Ces Eglises ont également condamné l’action des nationalistes ukrainiens., a adressé une lettre à Monseigneur Philarète, archevêque de Le patriarche de Constantinople a donc fait savoir aux autorités d’Ukraine ainsi qu’aux représentants du prétendu « patriarcat de Kiev » qu’il est inadmissible d’agresser les églises relevant de l’EOU : « C’est avec une profonde tristesse que nous avons appris la destruction par le feu d’une église du diocèse de Lvov.
ATTENTION!
La vente de billets sur internet touche à sa fin, car il n’y a presque plus de places disponibles. Si vous souhaitez assister à l’un des deux concerts tentez encore votre chance sur le portail chantres ou adressez-vous à la BOUTIQUE du Centre Culturel et Spirituel Russe (1, quai Branly) qui possède encore un quota de billets.
Les 8 et 9 mars, jours des concerts, la vente de billets à la boutique ne sera plus garantie.
DEUX CONCERTS EXCEPTIONNELS DU CHŒUR D’HOMMES « CHANTRES ORTHODOXES RUSSES »
8 MARS ET 9 MARS 2018 a 19H30
CATHÉDRALE DE LA SAINTE-TRINITÉ SUR LE QUAI BRANLY A PARIS
Contexte historique.
Jamais, dans l’histoire de l’Eglise Universelle, une persécution ne fut aussi importante, étendue dans l’espace et le temps et ininterrompue que celle qui sévit en URSS au XXe siècle. En 1917-18, pendant une période difficile pour la Russie (Première Guerre Mondiale, révolution russe), se réunit à Moscou le Concile de l’Eglise Orthodoxe russe, durant lequel le Patriarcat fut restauré après une période de trois cents ans.
Le métropolite Tikhon fut élu Patriarche de Moscou et de toute la Russie. A cette époque, on comptait en Russie environ 60 mille églises et 117 millions d’orthodoxes répartis en 73 diocèses.
La vente de billets sur internet touche à sa fin, car il n’y a presque plus de places disponibles. Si vous souhaitez assister à l’un des deux concerts tentez encore votre chance sur le portail chantres ou adressez-vous à la BOUTIQUE du Centre Culturel et Spirituel Russe (1, quai Branly) qui possède encore un quota de billets.
Les 8 et 9 mars, jours des concerts, la vente de billets à la boutique ne sera plus garantie.
DEUX CONCERTS EXCEPTIONNELS DU CHŒUR D’HOMMES « CHANTRES ORTHODOXES RUSSES »
8 MARS ET 9 MARS 2018 a 19H30
CATHÉDRALE DE LA SAINTE-TRINITÉ SUR LE QUAI BRANLY A PARIS
Contexte historique.
Jamais, dans l’histoire de l’Eglise Universelle, une persécution ne fut aussi importante, étendue dans l’espace et le temps et ininterrompue que celle qui sévit en URSS au XXe siècle. En 1917-18, pendant une période difficile pour la Russie (Première Guerre Mondiale, révolution russe), se réunit à Moscou le Concile de l’Eglise Orthodoxe russe, durant lequel le Patriarcat fut restauré après une période de trois cents ans.
Le métropolite Tikhon fut élu Patriarche de Moscou et de toute la Russie. A cette époque, on comptait en Russie environ 60 mille églises et 117 millions d’orthodoxes répartis en 73 diocèses.
Les chefs des églises de Jérusalem ont décidé, mardi soir, de rouvrir les portes de l'Église du Saint-Sépulcre dans la ville, à partir de 4h du matin (heure de Jérusalem, 2h GMT), mercredi, selon un communiqué.
"Suite à la décision du Premier ministre israélien, Benyamin Netanyahu, de geler la décision de la municipalité israélienne à Jérusalem d'imposer des impôts fonciers sur les institutions ecclésiastiques, il a été décidé de rouvrir les portes de l'église à partir de mercredi à l'aube", rapporte le texte dont Anadolu a eu copie.
"Suite à la décision du Premier ministre israélien, Benyamin Netanyahu, de geler la décision de la municipalité israélienne à Jérusalem d'imposer des impôts fonciers sur les institutions ecclésiastiques, il a été décidé de rouvrir les portes de l'église à partir de mercredi à l'aube", rapporte le texte dont Anadolu a eu copie.
Une panikhide sera dite le 27 février à 20 h à la mémoire de Sophie Rehbinder, église des Trois Saints Docteurs .
Matouchka Sophie Rehbinder, (née Lopoukhine, 1950-2017), est décédée le 27 février à la suite d’une grave maladie.
Matouchka Sophie Rehbinder, (née Lopoukhine, 1950-2017), est décédée le 27 février à la suite d’une grave maladie.
Les religions en Chine doivent être de nature chinoise et s'efforcer de s'adapter au mieux à une société socialiste !
C'est ce qu'a déclaré, dimanche 18 février, le vice-premier ministre de Chine populaire et membre du Comité permanent du Bureau politique du Comité central du Parti communiste chinois (PCC) Wang Yang, ainsi que le rapporte l'agence TASS en se référant à l'agence Xinhua.
Il s'est exprimé à Pékin, devant les chefs des confessions traditionnelles, lors d'un symposium prévu pour les prochaines fêtes de printemps, le Nouvel An dans le calendrier chinois.
Wang Yang a exhorté les personnalités religieuses à étudier plus profondément l'esprit du XIXème Congrès du PCC. Il a souligné qu'il convient de guider activement les groupes religieux, afin qu'ils soient mieux adaptés à une société socialiste. Il a noté cependant le rôle positif des confessions dans la promotion de l'unité nationale, l'amélioration religieuse et l'harmonie sociale.
C'est ce qu'a déclaré, dimanche 18 février, le vice-premier ministre de Chine populaire et membre du Comité permanent du Bureau politique du Comité central du Parti communiste chinois (PCC) Wang Yang, ainsi que le rapporte l'agence TASS en se référant à l'agence Xinhua.
Il s'est exprimé à Pékin, devant les chefs des confessions traditionnelles, lors d'un symposium prévu pour les prochaines fêtes de printemps, le Nouvel An dans le calendrier chinois.
Wang Yang a exhorté les personnalités religieuses à étudier plus profondément l'esprit du XIXème Congrès du PCC. Il a souligné qu'il convient de guider activement les groupes religieux, afin qu'ils soient mieux adaptés à une société socialiste. Il a noté cependant le rôle positif des confessions dans la promotion de l'unité nationale, l'amélioration religieuse et l'harmonie sociale.
Les responsables religieux dénoncent, en premier lieu, la récente décision de la Ville de Jérusalem d’appliquer la taxe municipale d’habitation (Arnona) sur les biens commerciaux des Eglises. Jusqu’alors, celles-ci bénéficiaient d’une exemption fiscale, instaurée depuis l’époque ottomane. La mairie entend désormais la réserver aux seuls lieux de culte.
Des responsables chrétiens ont pris dimanche la rare décision de fermer le site du tombeau du Christ. Ils dénoncent des mesures fiscales prises par l’exécutif.
La mesure est suffisamment rare pour être remarquée. Dimanche 25 février à midi, en vieille ville de Jérusalem, le Saint-Sépulcre a été fermé au public et le restera jusqu’alors nouvel ordre. Les responsables des trois Eglises chargées de la basilique, site du tombeau du Christ selon la tradition, entendent ainsi protester contre des mesures avancées par les autorités israéliennes, et qui affecteraient directement leur ministère dans la ville sainte.
Des responsables chrétiens ont pris dimanche la rare décision de fermer le site du tombeau du Christ. Ils dénoncent des mesures fiscales prises par l’exécutif.
La mesure est suffisamment rare pour être remarquée. Dimanche 25 février à midi, en vieille ville de Jérusalem, le Saint-Sépulcre a été fermé au public et le restera jusqu’alors nouvel ordre. Les responsables des trois Eglises chargées de la basilique, site du tombeau du Christ selon la tradition, entendent ainsi protester contre des mesures avancées par les autorités israéliennes, et qui affecteraient directement leur ministère dans la ville sainte.
Une décision de la municipalité de Jérusalem met fin à une exemption fiscale historique sur les biens appartenant aux Églises chrétiennes de la ville (hors lieux de cultes), réclamant à celles-ci 150 millions d’euros.
En 800 ans de présence à Jérusalem, les Églises chrétiennes n’avaient jamais été soumises aux taxes locales, selon frère David Grenier, un responsable de la Custodie de Terre sainte, gardienne des lieux saints au nom de l’Église catholique.
Cette exonération, mentionnée dans les accords de Mytilène et de Constantinople, conclus en 1901 et en 1913 avec l’Empire ottoman, avait été renouvelée sous le Mandat confié à l’Empire britannique par la Société des Nations après la première guerre mondiale, puis par les Nations unies dans le plan de partage de la Palestine adopté en 1947 (« Aucun impôt ne sera perçu sur les Lieux saints, édifices ou sites religieux qui étaient exemptés d’impôts lors de la création de l’État »).
En 800 ans de présence à Jérusalem, les Églises chrétiennes n’avaient jamais été soumises aux taxes locales, selon frère David Grenier, un responsable de la Custodie de Terre sainte, gardienne des lieux saints au nom de l’Église catholique.
Cette exonération, mentionnée dans les accords de Mytilène et de Constantinople, conclus en 1901 et en 1913 avec l’Empire ottoman, avait été renouvelée sous le Mandat confié à l’Empire britannique par la Société des Nations après la première guerre mondiale, puis par les Nations unies dans le plan de partage de la Palestine adopté en 1947 (« Aucun impôt ne sera perçu sur les Lieux saints, édifices ou sites religieux qui étaient exemptés d’impôts lors de la création de l’État »).
Les sauveteurs israéliens, selon la BBC, recherchent depuis deux mois Oliver McAfee, citoyen britannique, qui a entrepris un tour cycliste de la Terre sainte et a disparu dans le désert du Néguev au sud du pays.
Le « tour cycliste évangélique » d’un chrétien irlandais
Oliver McAfee, jardinier de 29 ans originaire de Chelmsford (Essex), chrétien très pratiquant, a décidé de refaire le chemin parcouru, d’après les Évangiles, par le Christ et d’aller à vélo de Galilée jusqu’au sud d’Israël. Il a été très impressionné par les paroles de saint Marc : « dans le désert, Il passa quarante jours, tenté par Satan. Il était avec les bêtes sauvages, et les anges le servaient. » (Mc 1 : 13).
Déjà en avril 2017, McAfee a abandonné son travail pour réaliser un tour cycliste de l’Europe où il a parcouru 14 000 km. C’est alors qu’il a eu l’idée d’un tour en Terre sainte. Il a soigneusement préparé son périple et en novembre 2017 est entré en Israël, muni d’un ordinateur portable et d’une Bible. Après quarante jours de jeûne et de prières, il devait rentrer en Irlande du nord pour la fin décembre. Mais comme à la date convenue il n’était pas de retour, ses amis ont prévenu la police.
Le « tour cycliste évangélique » d’un chrétien irlandais
Oliver McAfee, jardinier de 29 ans originaire de Chelmsford (Essex), chrétien très pratiquant, a décidé de refaire le chemin parcouru, d’après les Évangiles, par le Christ et d’aller à vélo de Galilée jusqu’au sud d’Israël. Il a été très impressionné par les paroles de saint Marc : « dans le désert, Il passa quarante jours, tenté par Satan. Il était avec les bêtes sauvages, et les anges le servaient. » (Mc 1 : 13).
Déjà en avril 2017, McAfee a abandonné son travail pour réaliser un tour cycliste de l’Europe où il a parcouru 14 000 km. C’est alors qu’il a eu l’idée d’un tour en Terre sainte. Il a soigneusement préparé son périple et en novembre 2017 est entré en Israël, muni d’un ordinateur portable et d’une Bible. Après quarante jours de jeûne et de prières, il devait rentrer en Irlande du nord pour la fin décembre. Mais comme à la date convenue il n’était pas de retour, ses amis ont prévenu la police.
Alexandre Siniakov est recteur du séminaire orthodoxe russe d'Épinay-sous-Sénart, en région parisienne. Amoureux de l'Evangile et de la France, il retrace son parcours, non sans une bonne dose de poésie. Entretien avec Jean-Luc Lefrançois.
Passionné d'astrophysique et de théologie
Sans doute conscient que la vérité d'observations spirituelles brille toujours mieux quand elle s'incarne dans une chair et une histoire, mais aussi, peut-être, qu'il pourrait sembler présomptueux de proposer à seulement 36 ans le récit de sa vie, Alexandre Siniakov, recteur du séminaire orthodoxe russe d'Épinay-sous-Sénart, en région parisienne, a la bonne idée de livrer son expérience de façon éclatée.
Passionné d'astrophysique et de théologie
Sans doute conscient que la vérité d'observations spirituelles brille toujours mieux quand elle s'incarne dans une chair et une histoire, mais aussi, peut-être, qu'il pourrait sembler présomptueux de proposer à seulement 36 ans le récit de sa vie, Alexandre Siniakov, recteur du séminaire orthodoxe russe d'Épinay-sous-Sénart, en région parisienne, a la bonne idée de livrer son expérience de façon éclatée.
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OSCE demande à Russie ce cesser la destruction d'églises en Ukraine
10/05/2022 03:22 - pere jean -
Communiqué des Evêques Orthodoxes de France au sujet de la guerre en Ukraine
14/04/2022 19:15 - Hai Lin -
Deux hiérarques russes s’expriment à titre personnel à propos de la guerre et de la paix, de la situation en Russie
14/04/2022 10:39 - Marie Genko -
Communiqué des Evêques Orthodoxes de France au sujet de la guerre en Ukraine
14/04/2022 10:26 - Marie Genko -
Le Parlement Européen a condamné le patriarche Cyrille et a félicité le clergé orthodoxe qui s'est opposé à la guerre en Ukraine
13/04/2022 21:21 - Gilles -
Communiqué des Evêques Orthodoxes de France au sujet de la guerre en Ukraine
12/04/2022 23:05 - Théophile -
Communiqué des Evêques Orthodoxes de France au sujet de la guerre en Ukraine
12/04/2022 22:00 - Nadejda na Mir
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