Plateforme libre de discussion
|
V, Golovanow le 7 juillet 2019 d'après Rachael Kennedy
Le pape François et Vladimir Poutine se sont rencontrés pour la troisième fois le 4 juillet alors que le président russe entamait sa visite d'État en Italie. La réunion a duré un peu moins d'une heure, conformément au protocole pontifical, et n'a pas donné lieu à un communiqué. D'après le service de presse du Saint Siège, elle a porté sur les situations en Syrie, en Ukraine et au Venezuela, thèmes déjà évoqués la veille par l'assistant du président russe Youri Ouchakov, qui a aussi déclaré que "les positions sont proches, quasi identiques" sur des questions telles que la lutte contre le terrorisme et l'extrémisme religieux, la prévention des catastrophes économiques et technologiques et la protection des chrétiens dans les zones de conflit."
Y. Ouchakov a aussi ajouté que, après LA RENCONTRE HISTORIQUE DU PAPE FRANÇOIS ET DU PATRIARCHE DE MOSCOU CYRILLE à La Havane en 2016, les relations entre les Églises orthodoxe russe et catholique "ont atteint un nouveau niveau"… (2) Ainsi, ces discussions marquent aussi un rapprochement des deux branches concurrentes du christianisme dont la rivalité, souvent tendue, remonte à près de 1000 ans. Et c'est là qu'il faut revenir à 1054
Le pape François et Vladimir Poutine se sont rencontrés pour la troisième fois le 4 juillet alors que le président russe entamait sa visite d'État en Italie. La réunion a duré un peu moins d'une heure, conformément au protocole pontifical, et n'a pas donné lieu à un communiqué. D'après le service de presse du Saint Siège, elle a porté sur les situations en Syrie, en Ukraine et au Venezuela, thèmes déjà évoqués la veille par l'assistant du président russe Youri Ouchakov, qui a aussi déclaré que "les positions sont proches, quasi identiques" sur des questions telles que la lutte contre le terrorisme et l'extrémisme religieux, la prévention des catastrophes économiques et technologiques et la protection des chrétiens dans les zones de conflit."
Y. Ouchakov a aussi ajouté que, après LA RENCONTRE HISTORIQUE DU PAPE FRANÇOIS ET DU PATRIARCHE DE MOSCOU CYRILLE à La Havane en 2016, les relations entre les Églises orthodoxe russe et catholique "ont atteint un nouveau niveau"… (2) Ainsi, ces discussions marquent aussi un rapprochement des deux branches concurrentes du christianisme dont la rivalité, souvent tendue, remonte à près de 1000 ans. Et c'est là qu'il faut revenir à 1054
Rédigé par Parlons D'orthodoxie le 10 Juillet 2019 à 12:19
|
23 commentaires
|
Permalien
Le Synode de l’Église russe hors-frontières confirme la fusion de ses diocèses de Grande-Bretagne et d’Europe occidentale et donne à l’évêque Irénée (Steenberg) le titre d’évêque de Londres et d’Europe occidentale
Une session régulière du Saint-Synode des évêques de l’Église orthodoxe russe hors-frontières s’est tenue à San Francisco du 27 au 28 juin 2019, à l’occasion du 25ème anniversaire de la canonisation de St Jean de Changhaï qui, de 1953 à 1962, était l’archevêque du diocèse d’Europe occidentale de cette Église. Les hiérarques suivants ont pris part à la séance du Synode, sous la présidence du métropolite Hilarion de New York et d’Amérique orientale : les archevêques Marc de Berlin et d’Allemagne, Cyrille de San Francisco et d’Amérique occidentale, Gabriel de Montréal et du Canada, les évêques Irénée de Richmond et d’Europe occidentale, (lequel est également secrétaire synodal pour les relations inter-orthodoxes de l’Église russe hors-frontières) et Nicolas de Manhattan. L’évêque Théodose de Seattle, bien que non-membre du Synode, a également participé à la session. Lors de sa séance du mercredi 29 juin, le Synode a confirmé sa décision de réunir les diocèses d’Europe occidentale et de Grande-Bretagne et Irlande en un seul diocèse de Grande-Bretagne et d’Europe occidentale, un processus déjà commencé lors de la session du Synode qui eut lieu à Londres en septembre 2018. SUITE
Une session régulière du Saint-Synode des évêques de l’Église orthodoxe russe hors-frontières s’est tenue à San Francisco du 27 au 28 juin 2019, à l’occasion du 25ème anniversaire de la canonisation de St Jean de Changhaï qui, de 1953 à 1962, était l’archevêque du diocèse d’Europe occidentale de cette Église. Les hiérarques suivants ont pris part à la séance du Synode, sous la présidence du métropolite Hilarion de New York et d’Amérique orientale : les archevêques Marc de Berlin et d’Allemagne, Cyrille de San Francisco et d’Amérique occidentale, Gabriel de Montréal et du Canada, les évêques Irénée de Richmond et d’Europe occidentale, (lequel est également secrétaire synodal pour les relations inter-orthodoxes de l’Église russe hors-frontières) et Nicolas de Manhattan. L’évêque Théodose de Seattle, bien que non-membre du Synode, a également participé à la session. Lors de sa séance du mercredi 29 juin, le Synode a confirmé sa décision de réunir les diocèses d’Europe occidentale et de Grande-Bretagne et Irlande en un seul diocèse de Grande-Bretagne et d’Europe occidentale, un processus déjà commencé lors de la session du Synode qui eut lieu à Londres en septembre 2018. SUITE
Une situation inédite
La raison pour laquelle la Sagrada Familia a mis tant de temps à obtenir ce permis de construire est finalement assez banale. Antoni Gaudí, l’architecte génie de Barcelone, avait bel et bien déposé en 1885 une demande de permis de construire à la mairie de Sant Martí Provençals, village absorbé désormais par Barcelone et quartier de la célèbre basilique. Mais jamais il n’obtiendra de réponse.
Depuis, le temple se construit donc dans la plus grande illégalité sans pour autant que cela pose problème aux maires qui se sont succédé. Une « anomalie historique » selon les termes de la conseillère municipale en charge du dossier, Janet Sanz, auquel le gouvernement municipal actuel a donc mis fin ce vendredi. La Sagrada Familia a célébré quant à elle pouvoir « continuer à construire le projet de Gaudí » et concluait : « aujourd’hui c’est une réalité, 137 ans plus tard la Sagrada Familia a régularisé son permis de construire ».
La raison pour laquelle la Sagrada Familia a mis tant de temps à obtenir ce permis de construire est finalement assez banale. Antoni Gaudí, l’architecte génie de Barcelone, avait bel et bien déposé en 1885 une demande de permis de construire à la mairie de Sant Martí Provençals, village absorbé désormais par Barcelone et quartier de la célèbre basilique. Mais jamais il n’obtiendra de réponse.
Depuis, le temple se construit donc dans la plus grande illégalité sans pour autant que cela pose problème aux maires qui se sont succédé. Une « anomalie historique » selon les termes de la conseillère municipale en charge du dossier, Janet Sanz, auquel le gouvernement municipal actuel a donc mis fin ce vendredi. La Sagrada Familia a célébré quant à elle pouvoir « continuer à construire le projet de Gaudí » et concluait : « aujourd’hui c’est une réalité, 137 ans plus tard la Sagrada Familia a régularisé son permis de construire ».
V. Golovanow
Ouvrant la Conférence internationale sur "les relations entre l’État et les confessions religieuses dans l’Union européenne", qui se déroulait au palais patriarcal de Bucarest, le 7 juin, le patriarche de Roumanie Daniel a prononcé un intéressant discours intitulé: « l’importance de la coopération Église-État dans le contexte européen ».
DES SITUATION TRES DIFFERENTES DANS DIFFERENTS ETATS DE L'UE
Rappelant que «L’Union Européenne respecte et ne préjuge pas du statut dont bénéficient, en vertu du droit national, les Églises et les associations ou communautés religieuses dans les États membres … et maintient un dialogue ouvert, transparent et régulier avec ces églises et organisations »(1), le patriarche Daniel indique que les relation entre les communautés religieuses et l’autorité politique varient dans les États membres de l’Union européenne depuis la séparation radicale jusqu’à une quasi-identification entre une communauté religieuse particulière et un État, et il souligne que l’Union européenne se propose d’engager un dialogue avec les confessions religieuses de telle façon à ce qu’elles puissent exprimer leur contribution spécifique à la construction européenne.
Ouvrant la Conférence internationale sur "les relations entre l’État et les confessions religieuses dans l’Union européenne", qui se déroulait au palais patriarcal de Bucarest, le 7 juin, le patriarche de Roumanie Daniel a prononcé un intéressant discours intitulé: « l’importance de la coopération Église-État dans le contexte européen ».
DES SITUATION TRES DIFFERENTES DANS DIFFERENTS ETATS DE L'UE
Rappelant que «L’Union Européenne respecte et ne préjuge pas du statut dont bénéficient, en vertu du droit national, les Églises et les associations ou communautés religieuses dans les États membres … et maintient un dialogue ouvert, transparent et régulier avec ces églises et organisations »(1), le patriarche Daniel indique que les relation entre les communautés religieuses et l’autorité politique varient dans les États membres de l’Union européenne depuis la séparation radicale jusqu’à une quasi-identification entre une communauté religieuse particulière et un État, et il souligne que l’Union européenne se propose d’engager un dialogue avec les confessions religieuses de telle façon à ce qu’elles puissent exprimer leur contribution spécifique à la construction européenne.
PHOTO DU JOUR DU "HAVANA TIME": L'ÉGLISE ORTHODOXE RUSSE DE LA HAVANE
La "photo du jour" du périodique anglophone "Havana Time" le 31 mai 2019 représente l'Église orthodoxe russe dédiée à l'icône de Notre-Dame de Kazan, dont les cinq coupoles dorées se dressent au bord de la mer, dans le quartier historique de la Vieille Havane.
Elle avait été inaugurée le 19 octobre 2008 par le président cubain Raul Castro et le métropolite Cyrille, actuel patriarche de Moscou. L'ambassadeur russe à Cuba avait souligné que l'église était destinée aux "milliers de Russes vivant à La Havane et de touristes russes visitant le pays"; il y aurait de fait environ 3 000 Russes résidant à Cuba, la plupart des femmes ayant épousé des Cubains à l'époque soviétique, auxquels s'ajoutent chaque année plus de 15 000 touristes.
À proximité se trouve l'église grecque de Saint Nicolas, première église orthodoxe construite sur l'île communiste qui avait été inaugurée en 2004 par le Patriarche de Constantinople Bartholomée en présence de Fidel Castro
La "photo du jour" du périodique anglophone "Havana Time" le 31 mai 2019 représente l'Église orthodoxe russe dédiée à l'icône de Notre-Dame de Kazan, dont les cinq coupoles dorées se dressent au bord de la mer, dans le quartier historique de la Vieille Havane.
Elle avait été inaugurée le 19 octobre 2008 par le président cubain Raul Castro et le métropolite Cyrille, actuel patriarche de Moscou. L'ambassadeur russe à Cuba avait souligné que l'église était destinée aux "milliers de Russes vivant à La Havane et de touristes russes visitant le pays"; il y aurait de fait environ 3 000 Russes résidant à Cuba, la plupart des femmes ayant épousé des Cubains à l'époque soviétique, auxquels s'ajoutent chaque année plus de 15 000 touristes.
À proximité se trouve l'église grecque de Saint Nicolas, première église orthodoxe construite sur l'île communiste qui avait été inaugurée en 2004 par le Patriarche de Constantinople Bartholomée en présence de Fidel Castro
par I.MEDIA
En Roumanie du 31 mai au 2 juin 2019, le pape François se rend de nouveau dans un pays à très large majorité orthodoxe. Ce 30e voyage apostolique du pontificat sera donc l’occasion de progresser sur le chemin œcuménique, même si des points de tension particuliers à ce pays viennent freiner le dialogue entre catholiques et orthodoxes.
Après un début d’année centré vers des pays musulmans – Maroc et Abou Dabi – le pontife semble désormais se tourner vers l’orthodoxie: après la Bulgarie et la Macédoine du Nord, il s’apprête désormais à visiter la Roumanie. Plus de 80% de la population y est orthodoxe, ce qui fait de l’Eglise orthodoxe roumaine autocéphale la seconde plus importante – en terme d’effectifs – au sein de l’orthodoxie derrière le patriarcat de Moscou.
En Roumanie du 31 mai au 2 juin 2019, le pape François se rend de nouveau dans un pays à très large majorité orthodoxe. Ce 30e voyage apostolique du pontificat sera donc l’occasion de progresser sur le chemin œcuménique, même si des points de tension particuliers à ce pays viennent freiner le dialogue entre catholiques et orthodoxes.
Après un début d’année centré vers des pays musulmans – Maroc et Abou Dabi – le pontife semble désormais se tourner vers l’orthodoxie: après la Bulgarie et la Macédoine du Nord, il s’apprête désormais à visiter la Roumanie. Plus de 80% de la population y est orthodoxe, ce qui fait de l’Eglise orthodoxe roumaine autocéphale la seconde plus importante – en terme d’effectifs – au sein de l’orthodoxie derrière le patriarcat de Moscou.
V. Colovanow
Il y aurait en France quelques 85 paroisses orthodoxes non canoniques (voir carte):
ECOF: 26
VCO et autres: 13
Communautés russes indépendantes: 9 (dont le Couvent russe de l'Icône de La mère de Dieu de Lesna
Église Orthodoxe celtique: 6
Autres: 35
Source
Très souvent ces communautés trompent les fidèles par une pseudo-reconnaissance pompeuse. En voici un exemple récent tout à fait remarquable.
L’HABIT NE FAIT PAS LE MOINE
Le 23 avril, nous publiions un article sur Mgr Jean-Baptiste, évêque orthodoxe qui donne des messes en la chapelle de Prailles (commune de Saint-Martin-de-Sanzay). Des lecteurs nous ont alertés : « En réalité, il n’est nullement reconnu », précise l’un. Un autre n’hésite pas à le qualifier de « pseudo-évêque ».
Il y aurait en France quelques 85 paroisses orthodoxes non canoniques (voir carte):
ECOF: 26
VCO et autres: 13
Communautés russes indépendantes: 9 (dont le Couvent russe de l'Icône de La mère de Dieu de Lesna
Église Orthodoxe celtique: 6
Autres: 35
Source
Très souvent ces communautés trompent les fidèles par une pseudo-reconnaissance pompeuse. En voici un exemple récent tout à fait remarquable.
L’HABIT NE FAIT PAS LE MOINE
Le 23 avril, nous publiions un article sur Mgr Jean-Baptiste, évêque orthodoxe qui donne des messes en la chapelle de Prailles (commune de Saint-Martin-de-Sanzay). Des lecteurs nous ont alertés : « En réalité, il n’est nullement reconnu », précise l’un. Un autre n’hésite pas à le qualifier de « pseudo-évêque ».
Jacques Berset
La joie et la ferveur étaient indéniables, les 5 et 6 mai 2019, dans les rangs de la petite minorité catholique de Bulgarie – quelque 44’000 fidèles, sur une population de 7 millions d’habitants à près de 80% orthodoxes. Il n’en était cependant pas de même du côté orthodoxe, dans une Eglise réticente à l’œcuménisme, et pas seulement envers les catholiques.
L’Eglise orthodoxe bulgare était certes entrée au Conseil œcuménique des Eglises (COE), mais s’en est finalement retirée en 1998. De même, elle a boycotté le Concile panorthodoxe qui s’est déroulé en juin 2016 en Crète, le qualifiant de “ni grand, ni saint, ni panorthodoxe”. Contrairement aux autres Eglises orthodoxes, l’Eglise bulgare ne participe pas à la commission théologique de dialogue catholico-orthodoxe.
La joie et la ferveur étaient indéniables, les 5 et 6 mai 2019, dans les rangs de la petite minorité catholique de Bulgarie – quelque 44’000 fidèles, sur une population de 7 millions d’habitants à près de 80% orthodoxes. Il n’en était cependant pas de même du côté orthodoxe, dans une Eglise réticente à l’œcuménisme, et pas seulement envers les catholiques.
L’Eglise orthodoxe bulgare était certes entrée au Conseil œcuménique des Eglises (COE), mais s’en est finalement retirée en 1998. De même, elle a boycotté le Concile panorthodoxe qui s’est déroulé en juin 2016 en Crète, le qualifiant de “ni grand, ni saint, ni panorthodoxe”. Contrairement aux autres Eglises orthodoxes, l’Eglise bulgare ne participe pas à la commission théologique de dialogue catholico-orthodoxe.
Depuis janvier 2019, un moine et trois religieuses orthodoxes se sont installés dans l’ancienne abbaye bénédictine de Beinwil, dans le canton de Soleure. Ils y ont fondé un monastère masculin, le “Saint monastère de Jean Capodistrias”, et un monastère féminin, le “Saint monastère de l’Entrée de la Mère de Dieu au Temple”.
Sur une colline, près de la route reliant Unterbeinwil et Oberbeinwil, dans le Schwarzbubenland soleurois, un petit monastère s’intègre idéalement dans le paysage. Du XIe au XVIIe siècle, le lieu abritait des religieux bénédictins. Ils ont cependant quitté l’endroit à cause de l’isolement de la vallée et ont fondé le monastère de Mariastein, dans le même canton de Soleure.
Sur une colline, près de la route reliant Unterbeinwil et Oberbeinwil, dans le Schwarzbubenland soleurois, un petit monastère s’intègre idéalement dans le paysage. Du XIe au XVIIe siècle, le lieu abritait des religieux bénédictins. Ils ont cependant quitté l’endroit à cause de l’isolement de la vallée et ont fondé le monastère de Mariastein, dans le même canton de Soleure.
Les autorités italiennes rétablissent les mentions « père » et « mère » dans les documents officiels, poursuivant ainsi, selon l’agence « Tsargrad », le retour aux valeurs traditionnelles.
Le vice-premier ministre et ministre des Affaires étrangères d’Italie a déclaré : « Je suis heureux d’annoncer qu’en Italie il n’y aura plus de parent-1 et parent-2, ce qui était en contradiction avec les traditions séculaires ; nous avons décidé d’en finir avec ça. »
Les mentions « parent-1 » et « parent-2 » avaient été introduites en 2016 au nom de la tolérance et de la défense des homosexuels. Le gouvernement libéral de l’époque avait pris cette décision qui a choqué de nombreux Italiens.
Le vice-premier ministre et ministre des Affaires étrangères d’Italie a déclaré : « Je suis heureux d’annoncer qu’en Italie il n’y aura plus de parent-1 et parent-2, ce qui était en contradiction avec les traditions séculaires ; nous avons décidé d’en finir avec ça. »
Les mentions « parent-1 » et « parent-2 » avaient été introduites en 2016 au nom de la tolérance et de la défense des homosexuels. Le gouvernement libéral de l’époque avait pris cette décision qui a choqué de nombreux Italiens.
En 1932, à la suite d’arrestations massives effectuées dans la région de Leningrad 900 religieuses et leurs amies laïques furent expédiées en direction d’Alma-Ata, en Asie centrale soviétique, pour être réparties en divers endroits.
Bientôt, il n’en restait plus que 70 en vie ! Le typhus, la dysenterie, la faim avaient touché toute les autres. Du matin au soir, on évacuait leurs cadavres des baraques en béton ou en argile, des prisons et des infirmeries.
Marie de Gatchina (Lidia Lelianova dans le monde), sainte martyre, est née à Saint Pétersbourg en 1874. A l’âge de 16 ans elle est atteinte par la maladie de Parkinson, puis d’une encéphalite.
C’est dans un fauteuil roulant qu’elle se présente à son lycée pour y passer les examens de fin d’études.De longs traitements, y compris à l’étranger, s’avèrent infructueux. Ses bras et ses jambes se dessèchent peu à peu. La position assise lui était impossible à cause des terribles douleurs qu’elle éprouvait. Elle était astreinte à rester couchée.
Photo: Sainte martyre Marie de Gatchina 1930
Bientôt, il n’en restait plus que 70 en vie ! Le typhus, la dysenterie, la faim avaient touché toute les autres. Du matin au soir, on évacuait leurs cadavres des baraques en béton ou en argile, des prisons et des infirmeries.
Marie de Gatchina (Lidia Lelianova dans le monde), sainte martyre, est née à Saint Pétersbourg en 1874. A l’âge de 16 ans elle est atteinte par la maladie de Parkinson, puis d’une encéphalite.
C’est dans un fauteuil roulant qu’elle se présente à son lycée pour y passer les examens de fin d’études.De longs traitements, y compris à l’étranger, s’avèrent infructueux. Ses bras et ses jambes se dessèchent peu à peu. La position assise lui était impossible à cause des terribles douleurs qu’elle éprouvait. Elle était astreinte à rester couchée.
Photo: Sainte martyre Marie de Gatchina 1930
Kourapaty est une zone forestière des environs de Minsk, en Biélorussie où de nombreuses exécutions furent perpétrées par le régime soviétique de 1937 à 1941. Le nombre de victimes est estimé entre 30 000 et 100 000
L’archevêque Tadeusz Kondrusiewicz, primat de l’Église catholique-romaine en Biélorussie, a appelé à cesser de détruire dans la forêt des Kourapaty les croix érigées, sans autorisation des autorités gouvernementales, par les parents des victimes des répressions staliniennes.
L’archevêque déclare dans le communiqué publié sur le site de l’Église catholique : « J’appelle les responsables de ces actes à cesser de détruire les croix et à entamer, par le dialogue avec les représentants des différentes forces politiques et des différentes religions, un processus de régularisation de la situation. » Il rappelle ensuite que le problème des Kourapaty existe depuis longtemps et a des racines profondes, mais qu’il est indispensable de régler cette situation et poursuit :
« Depuis que, à la fin des années 80 du siècle dernier, le monde a découvert le lieu des exécutions, il est apparu indispensable de mener les recherches fondamentales adéquates, comme cela se pratique avec tous les charniers comparables pour s’assurer de ce qui s’est passé.
L’archevêque Tadeusz Kondrusiewicz, primat de l’Église catholique-romaine en Biélorussie, a appelé à cesser de détruire dans la forêt des Kourapaty les croix érigées, sans autorisation des autorités gouvernementales, par les parents des victimes des répressions staliniennes.
L’archevêque déclare dans le communiqué publié sur le site de l’Église catholique : « J’appelle les responsables de ces actes à cesser de détruire les croix et à entamer, par le dialogue avec les représentants des différentes forces politiques et des différentes religions, un processus de régularisation de la situation. » Il rappelle ensuite que le problème des Kourapaty existe depuis longtemps et a des racines profondes, mais qu’il est indispensable de régler cette situation et poursuit :
« Depuis que, à la fin des années 80 du siècle dernier, le monde a découvert le lieu des exécutions, il est apparu indispensable de mener les recherches fondamentales adéquates, comme cela se pratique avec tous les charniers comparables pour s’assurer de ce qui s’est passé.
Vladimir Golovanow : Voici la conclusion de cet article particulièrement intéressant
Dans cette situation de désordre, tout le monde navigue à vue. Le monde orthodoxe est un acteur parmi d’autres, qui a lui aussi un patrimoine, une richesse. Et au-delà des prises de position parfois très conservatrices, il a même une culture du compromis et de la résilience qui peuvent être utiles : après tout (et cela leur a été reproché) les Églises orthodoxes ont su en leur temps composer avec les Mongols, les sultans ottomans ou avec le pouvoir athée soviétique. Elles sont habituées à évoluer dans un univers très sécularisé, avec un modèle particulier d’articulation entre le religieux et la politique. Elles peuvent participer dans toute leur diversité à la création de nouvelles convergences et de pôles de résistance face aux désordres, indispensables si l’on veut éviter les pires scénarios.
Or ces convergences, qui ne pourront uniquement se baser sur les alliances du passé, se devront d’être complexes. Elles pourront difficilement se limiter à un ordre américain, ou même, pour le monde orthodoxe, à un très improbable (pour le moment) ordre russo-américain. A vrai dire, les bouleversements actuels peuvent même créer des convergences encore impensables il y a peu. Après tout, tant que le catholicisme et l’orthodoxie étaient fortement territorialisés, adossés à deux espaces de civilisation clairement distincts, toutes les tentatives d’union voulues d’en haut, par les pouvoirs politiques et ecclésiastiques, ont échoué.
Dans cette situation de désordre, tout le monde navigue à vue. Le monde orthodoxe est un acteur parmi d’autres, qui a lui aussi un patrimoine, une richesse. Et au-delà des prises de position parfois très conservatrices, il a même une culture du compromis et de la résilience qui peuvent être utiles : après tout (et cela leur a été reproché) les Églises orthodoxes ont su en leur temps composer avec les Mongols, les sultans ottomans ou avec le pouvoir athée soviétique. Elles sont habituées à évoluer dans un univers très sécularisé, avec un modèle particulier d’articulation entre le religieux et la politique. Elles peuvent participer dans toute leur diversité à la création de nouvelles convergences et de pôles de résistance face aux désordres, indispensables si l’on veut éviter les pires scénarios.
Or ces convergences, qui ne pourront uniquement se baser sur les alliances du passé, se devront d’être complexes. Elles pourront difficilement se limiter à un ordre américain, ou même, pour le monde orthodoxe, à un très improbable (pour le moment) ordre russo-américain. A vrai dire, les bouleversements actuels peuvent même créer des convergences encore impensables il y a peu. Après tout, tant que le catholicisme et l’orthodoxie étaient fortement territorialisés, adossés à deux espaces de civilisation clairement distincts, toutes les tentatives d’union voulues d’en haut, par les pouvoirs politiques et ecclésiastiques, ont échoué.
Larissa pour "PO"
Le journal britannique « The Church Times » dit que des chercheurs ont établi que les tout petits voient souvent des Anges dans leurs songes mais n’en parlent pas craignant les moqueries des adultes.
Les experts de l’Association des pédagogues britanniques croient que dans la majorité des cas leurs parents penseront qu’ils mentent.
Keith Adam, professeur à l’université de Lincoln, a interrogé près d’une centaine d’enfants ayant vu des rêves à contenu d’ordre religieux.
Elle a conclu que près d’un tiers des petits sondés n’ont jamais fait part de leurs rêves à qui que ce soit. Les enfants ont raconté avoir vu dans leur sommeil des Anges tout à fait semblables à ceux qui sont représentés sur les tableaux et les peintures murales. Parfois ces anges avaient le visage de parents proches décédés.
Keith Adams estime que les instituteurs des petites classes doivent avec attention écouter leurs élèves raconter leurs idées et leurs rêves d’ordre religieux. Ces entretiens font partie de l’éducation spirituelle préscolaire.
Le journal britannique « The Church Times » dit que des chercheurs ont établi que les tout petits voient souvent des Anges dans leurs songes mais n’en parlent pas craignant les moqueries des adultes.
Les experts de l’Association des pédagogues britanniques croient que dans la majorité des cas leurs parents penseront qu’ils mentent.
Keith Adam, professeur à l’université de Lincoln, a interrogé près d’une centaine d’enfants ayant vu des rêves à contenu d’ordre religieux.
Elle a conclu que près d’un tiers des petits sondés n’ont jamais fait part de leurs rêves à qui que ce soit. Les enfants ont raconté avoir vu dans leur sommeil des Anges tout à fait semblables à ceux qui sont représentés sur les tableaux et les peintures murales. Parfois ces anges avaient le visage de parents proches décédés.
Keith Adams estime que les instituteurs des petites classes doivent avec attention écouter leurs élèves raconter leurs idées et leurs rêves d’ordre religieux. Ces entretiens font partie de l’éducation spirituelle préscolaire.
Vladimir Golovanow
UN VIEUX DÉBAT CHEZ LES CATHOLIQUES
L'apparition du célibat obligatoire des prêtres en Occident daterait du IVe siècle en Espagne (Concile d"Elvire, 305) et a été étendu à tout le clergé catholique au Moyen Age (conciles de Latran, XIIe siècle, concile de Trente, 1545: «Celui qui dit que l’état conjugal est préférable à l’état de virginité et de célibat, qu’il soit anathème».).
Plus tard les prêtres mariés furent acceptés dans les Églises catholiques orientales, du fait de traditions locales, ainsi qu'en République tchèque… Le débat avait rebondi au moment de la Réforme protestante, mais la Contre-confirma la règle du célibat en approfondissant sa signification.
La question fut timidement posée à la fin du XXe siècle et refermée ("Sacerdotalis Caelibatus", 1967) et les lignes ne commencent à bouger que récemment.
"Je pense que, tôt ou tard, le clergé marié sera introduit dans l'Eglise catholique parce que ce n'est pas une innovation" disait en 2010 le métropolite de Volokolamsk Hilarion, président du département des relations extérieurs de l’Église orthodoxe russe en répondant à la question toujours aussi actuelle du scandale des prêtres pédophiles.
Et il a rappelé que les prêtres et même les évêques étaient mariés dans l'Église antique. "la présence du clergé marié réduit au minimum les problèmes qui existent aujourd'hui et se posent d’une façon aiguë dans l'Église catholique" considérait le métropolite. (1).
UN VIEUX DÉBAT CHEZ LES CATHOLIQUES
L'apparition du célibat obligatoire des prêtres en Occident daterait du IVe siècle en Espagne (Concile d"Elvire, 305) et a été étendu à tout le clergé catholique au Moyen Age (conciles de Latran, XIIe siècle, concile de Trente, 1545: «Celui qui dit que l’état conjugal est préférable à l’état de virginité et de célibat, qu’il soit anathème».).
Plus tard les prêtres mariés furent acceptés dans les Églises catholiques orientales, du fait de traditions locales, ainsi qu'en République tchèque… Le débat avait rebondi au moment de la Réforme protestante, mais la Contre-confirma la règle du célibat en approfondissant sa signification.
La question fut timidement posée à la fin du XXe siècle et refermée ("Sacerdotalis Caelibatus", 1967) et les lignes ne commencent à bouger que récemment.
"Je pense que, tôt ou tard, le clergé marié sera introduit dans l'Eglise catholique parce que ce n'est pas une innovation" disait en 2010 le métropolite de Volokolamsk Hilarion, président du département des relations extérieurs de l’Église orthodoxe russe en répondant à la question toujours aussi actuelle du scandale des prêtres pédophiles.
Et il a rappelé que les prêtres et même les évêques étaient mariés dans l'Église antique. "la présence du clergé marié réduit au minimum les problèmes qui existent aujourd'hui et se posent d’une façon aiguë dans l'Église catholique" considérait le métropolite. (1).
Le journal du Monastère de Ste Elisabeth de Minsk nous présente un jeune Chinois, Martin Go, 25 ans, récemment converti à l'Orthodoxie
V. Golovanow
Il y a quatre ans j'avais écrit un article sur le "Nouveau départ pour l'Église orthodoxe de Chine" (1) et Hai Lin (Los Angeles) avait ajouté des commentaires particulièrement intéressants.
L’Eglise orthodoxe russe est présente dans ce pays depuis le XVII siècle: des Cosaques du Fort Albazin, construit par les Russes sur les bords du fleuve Amour, avaient été faits prisonniers par l’armée impériale chinoise en 1685 et sont devenus gardes de l’empereur; ils s’étaient mariés à des Chinoises tout en conservant leur foi orthodoxe. Une mission russe fut fondée en 1713, notamment pour répondre aux besoins pastoraux de cette population qui put croitre, et une communauté orthodoxe assez nombreuse existait au milieu du XIXe siècle.
La révolte des Boxers (1899 -1901) provoqua un grand nombre de destructions et massacres, 222 martyrs chinois furent canonisés par l'Église russe en 1902 sur une communauté estimée à 6000 croyants rassemblés autour de 32 églises. Cette communauté fut largement complétée par les Russes fuyant la révolution bolchévique, à l'instar du futur saint évêque Jean de Shanghai et San-Francisco...
Dans les années 1920 fut fondé le diocèse de Pékin de l'Église russe, qui comptait 103 paroisses en 1949. Mais la plupart des Russes quittèrent le pays après la prise de pouvoir des communistes et il n'y resta qu'envirent 10 000 orthodoxes. En 1956 le patriarcat de Moscou proclama l'autonomie de l’Eglise orthodoxe de Chine, mais cette Église ne put obtenir de statut officiel et se trouve privée toujours dans l'impossibilité d'avoir une vie liturgique complète. (ibid.)
V. Golovanow
Il y a quatre ans j'avais écrit un article sur le "Nouveau départ pour l'Église orthodoxe de Chine" (1) et Hai Lin (Los Angeles) avait ajouté des commentaires particulièrement intéressants.
L’Eglise orthodoxe russe est présente dans ce pays depuis le XVII siècle: des Cosaques du Fort Albazin, construit par les Russes sur les bords du fleuve Amour, avaient été faits prisonniers par l’armée impériale chinoise en 1685 et sont devenus gardes de l’empereur; ils s’étaient mariés à des Chinoises tout en conservant leur foi orthodoxe. Une mission russe fut fondée en 1713, notamment pour répondre aux besoins pastoraux de cette population qui put croitre, et une communauté orthodoxe assez nombreuse existait au milieu du XIXe siècle.
La révolte des Boxers (1899 -1901) provoqua un grand nombre de destructions et massacres, 222 martyrs chinois furent canonisés par l'Église russe en 1902 sur une communauté estimée à 6000 croyants rassemblés autour de 32 églises. Cette communauté fut largement complétée par les Russes fuyant la révolution bolchévique, à l'instar du futur saint évêque Jean de Shanghai et San-Francisco...
Dans les années 1920 fut fondé le diocèse de Pékin de l'Église russe, qui comptait 103 paroisses en 1949. Mais la plupart des Russes quittèrent le pays après la prise de pouvoir des communistes et il n'y resta qu'envirent 10 000 orthodoxes. En 1956 le patriarcat de Moscou proclama l'autonomie de l’Eglise orthodoxe de Chine, mais cette Église ne put obtenir de statut officiel et se trouve privée toujours dans l'impossibilité d'avoir une vie liturgique complète. (ibid.)
Sa Sainteté Théophile, patriarche de Jérusalem a, lors de sa rencontre à Jérusalem avec des représentants de l'Eglise orthodoxe d'Ukraine, dont Monseigneur Victor (Barychevsky), vicaire de la métropole de Kiev, exprimé son soutien à l'Eglise orthodoxe d'Ukraine avec à sa tête le métropolite Onuphre : "Le patriarche Théophile soutient l'Eglise orthodoxe canonique d'Ukraine.Il espère de tout cœur que l'orthodoxie universelle trouvera les forces indispensables pour surmonter la tentation et maintenir son unité".
Interfax religion Иерусалимский патриарх выразил поддержку Украинской православной церкви
Interfax religion Иерусалимский патриарх выразил поддержку Украинской православной церкви
Le Bureau de la presse et des médias de l’Église orthodoxe serbe a diffusé une déclaration dans laquelle il estsouligné, notamment, que la seule Église que le Patriarcat serbe connaisse et reconnaisse en Ukraine est l’Église orthodoxe ukrainienne, dont le chef est Sa Béatitude le métropolite Onuphre de Kiev et de toute l’Ukraine.
L’intrusion du Patriarcat de Constantinople sur le territoire de l’Église russe est caractérisée dans le document comme non-canonique, tandis que le « concile de réunification », convoqué avec la participation de Constantinople, est qualifié de « faux concile de désunion et de division », « ayant creusé encore plus profondément le gouffre de l’incompréhension et de la décomposition de la société de la malheureuse Ukraine ». Il est recommandé aux hiérarques et aux clercs serbes de s’abstenir de toute communion liturgique et canonique non seulement avec le « primat » de la nouvelle « EOd’U » et ses partisans, mais aussi avec tout hiérarque ou clerc ayant concélébré ou été en communion avec eux. L’Église orthodoxe serbe prie aussi le patriarche de Constantinople de revoir les décisions prises précédemment, afin de rétablir « la paix bénie et l’unité des saintes Églises locales. »
L’intrusion du Patriarcat de Constantinople sur le territoire de l’Église russe est caractérisée dans le document comme non-canonique, tandis que le « concile de réunification », convoqué avec la participation de Constantinople, est qualifié de « faux concile de désunion et de division », « ayant creusé encore plus profondément le gouffre de l’incompréhension et de la décomposition de la société de la malheureuse Ukraine ». Il est recommandé aux hiérarques et aux clercs serbes de s’abstenir de toute communion liturgique et canonique non seulement avec le « primat » de la nouvelle « EOd’U » et ses partisans, mais aussi avec tout hiérarque ou clerc ayant concélébré ou été en communion avec eux. L’Église orthodoxe serbe prie aussi le patriarche de Constantinople de revoir les décisions prises précédemment, afin de rétablir « la paix bénie et l’unité des saintes Églises locales. »
Dans la province du Hénan, les autorités communistes ont obligé l’église à renoncer au premier des dix Commandements donnés par Dieu à Moïse, elles le considèrent en effet comme injurieux.
La revue Bitter Winter, qui relate cette atteinte à la liberté religieuse en Chine, indique que l’incident a eu lieu en novembre quand trente fonctionnaires ont inspecté l’église « Three-Self » reconnue par le gouvernement dans le district de Luoyang de la province du Hénan. Ils ont vu, accrochés au mur, les dix Commandements et ont déclaré que le premier d’entre eux doit en être effacé et ont immédiatement procédé à sa destruction.
Les dix Commandements donnés par Dieu au peuple juif par le truchement de Moïse sont, depuis les temps de l’Ancien Testament, les fondements de la morale. Le premier commandement, cité dans la Genèse (20, 1) reprend les paroles de Dieu lui-même : « Je suis l’Éternel, ton Dieu, qui t’ai fait sortir d’Égypte, de la maison d’esclavage. Tu n’auras pas d’autres dieux devant moi. »
La revue Bitter Winter, qui relate cette atteinte à la liberté religieuse en Chine, indique que l’incident a eu lieu en novembre quand trente fonctionnaires ont inspecté l’église « Three-Self » reconnue par le gouvernement dans le district de Luoyang de la province du Hénan. Ils ont vu, accrochés au mur, les dix Commandements et ont déclaré que le premier d’entre eux doit en être effacé et ont immédiatement procédé à sa destruction.
Les dix Commandements donnés par Dieu au peuple juif par le truchement de Moïse sont, depuis les temps de l’Ancien Testament, les fondements de la morale. Le premier commandement, cité dans la Genèse (20, 1) reprend les paroles de Dieu lui-même : « Je suis l’Éternel, ton Dieu, qui t’ai fait sortir d’Égypte, de la maison d’esclavage. Tu n’auras pas d’autres dieux devant moi. »
Monique et Noël Ruffieux sont mariés depuis près de 60 ans.
Dans la petite maison de Courtaman, dans la campagne fribourgeoise, le sapin de Noël côtoie les icônes orthodoxes. Le couple Ruffieux vit sous ce toit depuis plus de 40 ans. La demeure est riche d’objets, de tableaux et de souvenirs en tous genres. Autant de témoins de la diversité des intérêts, expériences et croyances qui caractérisent leur union. Des différences, notamment sur le plan confessionnel, qui ne semblent pas constituer un obstacle à l’évidente complicité entre les époux
La catholique et l’orthodoxe ont fait de cette union mixte, au-delà des difficultés, un terreau d’enrichissement de leur foi. Rencontre dans le cadre de la Semaine de l’unité des chrétiens, du 18 au 25 janvier 2019
Splendeur orthodoxe
La longue barbe de patriarche de Noël dénote son appartenance à l’orthodoxie. Une confession que le catholique de naissance a choisi de rejoindre en 1981, après un long cheminement intellectuel et spirituel. Le Fribourgeois ne se considère pourtant pas comme un “converti”. Pour lui, il ne s’est agi que d’opter pour une autre branche du tronc commun de la chrétienté. Un choix auquel ni Monique, ni leurs enfants n’ont fait obstacle. Le couple était en fait depuis longtemps proche de la spiritualité orthodoxe. Mais seul Noël a franchi le pas. Des questionnements théologiques et un besoin de vivre sa foi en communauté ont été les principaux facteurs de cette décision.
Dans la petite maison de Courtaman, dans la campagne fribourgeoise, le sapin de Noël côtoie les icônes orthodoxes. Le couple Ruffieux vit sous ce toit depuis plus de 40 ans. La demeure est riche d’objets, de tableaux et de souvenirs en tous genres. Autant de témoins de la diversité des intérêts, expériences et croyances qui caractérisent leur union. Des différences, notamment sur le plan confessionnel, qui ne semblent pas constituer un obstacle à l’évidente complicité entre les époux
La catholique et l’orthodoxe ont fait de cette union mixte, au-delà des difficultés, un terreau d’enrichissement de leur foi. Rencontre dans le cadre de la Semaine de l’unité des chrétiens, du 18 au 25 janvier 2019
Splendeur orthodoxe
La longue barbe de patriarche de Noël dénote son appartenance à l’orthodoxie. Une confession que le catholique de naissance a choisi de rejoindre en 1981, après un long cheminement intellectuel et spirituel. Le Fribourgeois ne se considère pourtant pas comme un “converti”. Pour lui, il ne s’est agi que d’opter pour une autre branche du tronc commun de la chrétienté. Un choix auquel ni Monique, ni leurs enfants n’ont fait obstacle. Le couple était en fait depuis longtemps proche de la spiritualité orthodoxe. Mais seul Noël a franchi le pas. Des questionnements théologiques et un besoin de vivre sa foi en communauté ont été les principaux facteurs de cette décision.
Derniers commentaires
-
Surprenantes fresques dans un monastère en Serbie
19/09/2024 13:35 - Patrick -
"Il n'y a aucune excuse pour ceux qui déclenchent des guerres", - Mgr Onuphre, Primat de l'Eglise d’Ukraine, PM
14/04/2023 05:58 - Gilles -
Le père George Egorov, sa visite pastorale à la Légion étrangère
12/12/2022 12:55 - Baron André -
OSCE demande à Russie ce cesser la destruction d'églises en Ukraine
10/05/2022 03:22 - pere jean -
Communiqué des Evêques Orthodoxes de France au sujet de la guerre en Ukraine
14/04/2022 19:15 - Hai Lin -
Deux hiérarques russes s’expriment à titre personnel à propos de la guerre et de la paix, de la situation en Russie
14/04/2022 10:39 - Marie Genko -
Communiqué des Evêques Orthodoxes de France au sujet de la guerre en Ukraine
14/04/2022 10:26 - Marie Genko -
Le Parlement Européen a condamné le patriarche Cyrille et a félicité le clergé orthodoxe qui s'est opposé à la guerre en Ukraine
13/04/2022 21:21 - Gilles -
Communiqué des Evêques Orthodoxes de France au sujet de la guerre en Ukraine
12/04/2022 23:05 - Théophile -
Communiqué des Evêques Orthodoxes de France au sujet de la guerre en Ukraine
12/04/2022 22:00 - Nadejda na Mir
Liens francophones