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Le 20 janvier, dans le village de Sousval (province de Volyn), sous prétexte d’enterrement, des partisans de l’Église schismatique d’Ukraine ont tenté d’accaparer l’église de la Nativité-de-la-Mère-de-Dieu dont la paroisse relève de l’Église canonique orthodoxe ukrainienne. Ayant pénétré dans l’enclos de l’église les participants au convoi ont oublié le défunt et se sont rués sur les portes de l’église.
Le défunt Stéphane Panassevitch était membre de la paroisse de cette église, il s’y confessait et y communiait, c’est pourquoi le recteur, le père Bogdan Gnatiouk, a autorisé le convoi à pénétrer dans l’enclos paroissial. Sergueï, le fils du défunt, chef de l’unité territoriale de sûreté et activiste de l’« Église » schismatique, avait exigé la veille que l’on ouvre l’église pour qu’un représentant de ladite « Église » réalise le « rite d’enterrement ».
Un membre du clergé a déclaré : « Nous sommes convenus que le convoi pourrait pénétrer dans l’enclos paroissial, comme cela a été fait pour le jour de la Théophanie : leur communauté a pu, avec notre accord, se réunir dans la cour de l’église. Mais là, lorsque le corps a été porté dans l’enclos, il s’est produit quelque chose d’inattendu, le corps a été abandonné et les gens ont pris d’assaut les portes de l’église. » Dans la confusion, les partisans de l’« Église » schismatique ont tenté de jeter bas les paroissiens qui défendaient leur église. Une des participantes du convoi avait avec elle des cadenas neufs.
Le défunt Stéphane Panassevitch était membre de la paroisse de cette église, il s’y confessait et y communiait, c’est pourquoi le recteur, le père Bogdan Gnatiouk, a autorisé le convoi à pénétrer dans l’enclos paroissial. Sergueï, le fils du défunt, chef de l’unité territoriale de sûreté et activiste de l’« Église » schismatique, avait exigé la veille que l’on ouvre l’église pour qu’un représentant de ladite « Église » réalise le « rite d’enterrement ».
Un membre du clergé a déclaré : « Nous sommes convenus que le convoi pourrait pénétrer dans l’enclos paroissial, comme cela a été fait pour le jour de la Théophanie : leur communauté a pu, avec notre accord, se réunir dans la cour de l’église. Mais là, lorsque le corps a été porté dans l’enclos, il s’est produit quelque chose d’inattendu, le corps a été abandonné et les gens ont pris d’assaut les portes de l’église. » Dans la confusion, les partisans de l’« Église » schismatique ont tenté de jeter bas les paroissiens qui défendaient leur église. Une des participantes du convoi avait avec elle des cadenas neufs.
Rédigé par Parlons D'orthodoxie le 24 Janvier 2020 à 10:51
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Le métochion Saint Alexandre se situe dans la vieille ville de Jérusalem, à proximité immédiate du Saint Sépulcre. Le métochion comprend l'église Saint Alexandre de la Néva, des parcelles de fouilles archéologiques, plusieurs musées ainsi que d'autres sites. Le terrain où se trouvent ces monuments avait été acquis en 1859 par l'Empereur Alexandre III, les monuments ont été construits en 1896 sous les auspices de la Société impériale de la Palestine.
C'est immédiatement après la révolution de 1917 qu'a commencé le conflit à propos de la propriété de ces terrains. Il a fallu beaucoup de temps à Moscou et à Jérusalem pour décider conjointement du statut du métochion.
C'est immédiatement après la révolution de 1917 qu'a commencé le conflit à propos de la propriété de ces terrains. Il a fallu beaucoup de temps à Moscou et à Jérusalem pour décider conjointement du statut du métochion.
Bilan de l'année: l'octroi du tomos aux schismatiques. Une déclaration importante du responsable de administration de l'Eglise orthodoxe d'Ukraine, le métropolite Antoine /Pakanitch/ de Borispol
Au lieu de deux structures non canoniques: la soi-disant Église orthodoxe ukrainienne du Patriarcat de Kiev (UPC KP) et l'Église orthodoxe autocéphale ukrainienne (UAPC), une nouvelle organisation non canonique appelée l'Église orthodoxe d’Ukraine avec à sa tête le métropolite Epiphane (PCU) est apparue. Elle comprenait des schismatiques et des paroisses autonomes, qui de ce fait ne sont pas devenus canoniques. Cette structure est caractérisée par la politisation et la désunion. Mgr Philarète (l'ancien métropolite de Kiev), qui a effectivement fondé un nouveau schisme au sein du schisme existant, l’a en fait quitté. Et cela est logique, car un schisme ne peut donner lieu qu'à un nouveau schisme.
Les actions du Patriarche Bartholomée contredisent les canons de l’Église et les traditions de l’Église.
Il révise à titre personnel les problèmes de l'Eglise, annule les documents historiques adoptés par la Sainte Église.
En 2018, le Patriarche Bartholomé a pris une série de decisions violant le droit et les normes canoniques, ce qui a entraîné une crise dans les relations entre toutes les Eglises orthodoxes locales.
1ère violation: ingérence dans le territoire canonique d'une autre Église locale.
2e: la nomination d'exarques dans une autre Église sans coordination avec la hiérarchie de cette Église.
3ème: l'établissement de structures ecclésiales sur le territoire canonique d'une autre Église locale.
Au lieu de deux structures non canoniques: la soi-disant Église orthodoxe ukrainienne du Patriarcat de Kiev (UPC KP) et l'Église orthodoxe autocéphale ukrainienne (UAPC), une nouvelle organisation non canonique appelée l'Église orthodoxe d’Ukraine avec à sa tête le métropolite Epiphane (PCU) est apparue. Elle comprenait des schismatiques et des paroisses autonomes, qui de ce fait ne sont pas devenus canoniques. Cette structure est caractérisée par la politisation et la désunion. Mgr Philarète (l'ancien métropolite de Kiev), qui a effectivement fondé un nouveau schisme au sein du schisme existant, l’a en fait quitté. Et cela est logique, car un schisme ne peut donner lieu qu'à un nouveau schisme.
Les actions du Patriarche Bartholomée contredisent les canons de l’Église et les traditions de l’Église.
Il révise à titre personnel les problèmes de l'Eglise, annule les documents historiques adoptés par la Sainte Église.
En 2018, le Patriarche Bartholomé a pris une série de decisions violant le droit et les normes canoniques, ce qui a entraîné une crise dans les relations entre toutes les Eglises orthodoxes locales.
1ère violation: ingérence dans le territoire canonique d'une autre Église locale.
2e: la nomination d'exarques dans une autre Église sans coordination avec la hiérarchie de cette Église.
3ème: l'établissement de structures ecclésiales sur le territoire canonique d'une autre Église locale.
Les deux archevêques orthodoxes d’Alep, enlevés en Syrie en avril 2013 par un groupe djihadiste seraient morts. Mgr Boulos Yazigi, métropolite grec-orthodoxe et frère du patriarche grec-orthodoxe Jean X d’Antioche, et Mgr Youhanna Ibrahim, métropolite syriaque-orthodoxe, ont été assassinés en décembre 2016, rapporte l’agence d’information vaticane Fides.
Disparus le 22 avril 2013 sans laisser de traces dans la zone comprise entre Alep et la frontière turque, ils auraient été assassinés par le groupe djihadiste Nour al-Din al-Zenki, groupe salafiste financé et armé tant par l’Arabie Saoudite que par les Etats-Unis, selon Fides. L’agence fait référence à une enquête réalisée par une équipe conduite par Mansur Salib, chercheur syrien résidant aux Etats-Unis, et diffusée au travers de la plateforme numérique medium.com .
Piège tendu
Selon ce qu’indiquent les auteurs de l’enquête, le 22 avril 2013, les deux archevêques orthodoxes avaient quitté Alep à bord d’un pick-up Toyota conduit par le chauffeur Fatha’ Allah Kabboud dans le but d’aller traiter la libération de deux prêtres, le Père Michael Kayyal, de l’Eglise arménienne catholique et le grec orthodoxe Maher Mahfouz, enlevés précédemment par des groupes djihadistes qui contrôlaient alors les territoires se trouvant à l’est d’Alep.
Disparus le 22 avril 2013 sans laisser de traces dans la zone comprise entre Alep et la frontière turque, ils auraient été assassinés par le groupe djihadiste Nour al-Din al-Zenki, groupe salafiste financé et armé tant par l’Arabie Saoudite que par les Etats-Unis, selon Fides. L’agence fait référence à une enquête réalisée par une équipe conduite par Mansur Salib, chercheur syrien résidant aux Etats-Unis, et diffusée au travers de la plateforme numérique medium.com .
Piège tendu
Selon ce qu’indiquent les auteurs de l’enquête, le 22 avril 2013, les deux archevêques orthodoxes avaient quitté Alep à bord d’un pick-up Toyota conduit par le chauffeur Fatha’ Allah Kabboud dans le but d’aller traiter la libération de deux prêtres, le Père Michael Kayyal, de l’Eglise arménienne catholique et le grec orthodoxe Maher Mahfouz, enlevés précédemment par des groupes djihadistes qui contrôlaient alors les territoires se trouvant à l’est d’Alep.
A la cathédrale de Pinerolo , en Italie Mgr Derio Olivera a omis la lecture du symbole de la foi lors de la messe célébrée le jour du Baptême de Notre Seigneur.
Mgr Olivera a dit de cet office que c'était une messe destinée à tous. Y étaient invités des représentants des autorités locales ainsi que d'autres confessions. Au lieu d'une lecture commune à haute voix du symbole de la foi l'évêque a exprimé le souhait que les fidèles prient en silence. En effet, des athées se trouvent dans l'église.
"Après un silence honteux la messe s'est poursuivie. Mgr Olivera aurait peut-être du omettre l’eucharistie afin de ne pas attrister les représentants d'autres confessions" - observe Gloria TV.
Lien Епископ Дерио Оливьеро пропустил чтение символа веры во время мессы в честь праздника Крещения в кафедральном соборе итальянского города Пинероло.
Mgr Olivera a dit de cet office que c'était une messe destinée à tous. Y étaient invités des représentants des autorités locales ainsi que d'autres confessions. Au lieu d'une lecture commune à haute voix du symbole de la foi l'évêque a exprimé le souhait que les fidèles prient en silence. En effet, des athées se trouvent dans l'église.
"Après un silence honteux la messe s'est poursuivie. Mgr Olivera aurait peut-être du omettre l’eucharistie afin de ne pas attrister les représentants d'autres confessions" - observe Gloria TV.
Lien Епископ Дерио Оливьеро пропустил чтение символа веры во время мессы в честь праздника Крещения в кафедральном соборе итальянского города Пинероло.
Plusieurs statues de la Vierge-Marie des paroisses St Jacques, St Martin et Notre-Dame ont été brisées en fin de matinée, alors que dans l'après-midi à Lons, Artix et Mourenx d'autres statues de la Vierge ont connu le même sort. Une geste pour l'heure inexpliqué, qui a entraîné une plainte de l’évêché
Incompréhensible pour la communauté chrétienne de Pau et du Béarn
"Quand je suis arrivé, comme à chaque fois que je viens je suis allé voir la Vierge-Marie, et j'ai eu la surprise de voir la statue par terre" témoigne auprès de France Bleu Béarn André Dureysseix, c'est lui qui a ouvert l'église St Jacques ce jeudi après-midi et a découvert les actes de vandalisme. "On ne comprend pas, ça touche, poursuit André Dureysseix, avant on nous volait des cierges, maintenant on s'en prend aux statues et en particulier à la Vierge-Marie... La prochaine fois ça va être qui ?"
Incompréhensible pour la communauté chrétienne de Pau et du Béarn
"Quand je suis arrivé, comme à chaque fois que je viens je suis allé voir la Vierge-Marie, et j'ai eu la surprise de voir la statue par terre" témoigne auprès de France Bleu Béarn André Dureysseix, c'est lui qui a ouvert l'église St Jacques ce jeudi après-midi et a découvert les actes de vandalisme. "On ne comprend pas, ça touche, poursuit André Dureysseix, avant on nous volait des cierges, maintenant on s'en prend aux statues et en particulier à la Vierge-Marie... La prochaine fois ça va être qui ?"
La Russie se dit préoccupée par la loi adoptée au Monténégro en vertu de laquelle il est possible de confisquer les biens de l'Eglise orthodoxe serbe en faveur de l'Eglise locale qui aspire à obtenir l'autocéphalie. Le Ministère des affaires étrangères de la Fédération de Russie déclare à ce propos:
"Des mouvements de protestations auxquels ont participé des personnalités religieuses ont eu lieu au Monténégro. En effet, le parlement du Monténégro n'a pas voté les amendements présentés au projet de loi sur la liberté de conscience Nous constatons des pressions administratives exercées sur l'Eglise orthodoxe serbe. Le Président du Monténégro Milo Djukanovic avait voulu obtenir un statut d’autocéphalie pour l'Eglise orthodoxe du Monténégro, similaire à celui qui existe en Ukraine. Le gouvernement a fait adopter une loi sur "la liberté de conscience et les statut des communautés religieuses".
Cette loi permet la confiscation des biens et des objets sacrés appartenant à l'Eglise orthodoxe serbe en faveur de la nouvelle entité.
"Des mouvements de protestations auxquels ont participé des personnalités religieuses ont eu lieu au Monténégro. En effet, le parlement du Monténégro n'a pas voté les amendements présentés au projet de loi sur la liberté de conscience Nous constatons des pressions administratives exercées sur l'Eglise orthodoxe serbe. Le Président du Monténégro Milo Djukanovic avait voulu obtenir un statut d’autocéphalie pour l'Eglise orthodoxe du Monténégro, similaire à celui qui existe en Ukraine. Le gouvernement a fait adopter une loi sur "la liberté de conscience et les statut des communautés religieuses".
Cette loi permet la confiscation des biens et des objets sacrés appartenant à l'Eglise orthodoxe serbe en faveur de la nouvelle entité.
La loi sur la « liberté religieuse » nationalisant les églises et biens immobliers de l’Église orthodoxe au Monténégro a été adoptée par le parlement monténégrin le 27 décembre à 2h30 du matin, après que les députés de l’opposition aient été expulsés de l’hémicycle par la police.
Au cours du meeting de protestation qui a eu lieu durant la nuit sur le pont de Djudjervića Tara, dans le nord du Monténégro, l’évêque de Dioclée Méthode a été battu par la police.
De son côté l’évêque de Budimlja-Nikšić Joannice, qui se trouvait aux côtés des manifestants à Podgorica, a déclaré cette nuit : « Tout d’abord, je souhaite remercier notre honorable peuple qui a soutenu son Église, et qui non seulement fréquente régulièrement les offices et est venu vénérer les reliques de S. Basile, mais a persévéré jusqu’à la fin dans ce combat légitime contre l’injustice et ce dignement, exprimant chrétiennement jusqu’à la fin son désaccord.
Au cours du meeting de protestation qui a eu lieu durant la nuit sur le pont de Djudjervića Tara, dans le nord du Monténégro, l’évêque de Dioclée Méthode a été battu par la police.
De son côté l’évêque de Budimlja-Nikšić Joannice, qui se trouvait aux côtés des manifestants à Podgorica, a déclaré cette nuit : « Tout d’abord, je souhaite remercier notre honorable peuple qui a soutenu son Église, et qui non seulement fréquente régulièrement les offices et est venu vénérer les reliques de S. Basile, mais a persévéré jusqu’à la fin dans ce combat légitime contre l’injustice et ce dignement, exprimant chrétiennement jusqu’à la fin son désaccord.
Le Saint-Synode du Patriarcat œcuménique a publié le communiqué suivant au sujet des deux canonisations : « Le 27 novembre 2019 s’est réuni le Saint-Synode, sous la présidence de Sa Toute-Sainteté [le patriarche Bartholomée], afin d’examiner les travaux programmés pour sa session de trois jours. Après la lecture des procès-verbaux des séances précédentes a eu lieu l’examen des sujets portés à son ordre du jour.
En particulier, le Saint-Synode, acceptant le rapport de la Commission canonique, a inscrit au ménologe de l’Église orthodoxe le hiéromoine Jérôme de Simonos Petras, qui fut higoumène du monastère patriarcal et stavropégique de Simonos Petras, puis ensuite économe et père spirituel du metochion de l’Ascension de Vyronas dans l’Attique, et de l’archimandrite Sophrony Sakharov, higoumène et fondateur du monastère patriarcal et stavropégique Saint-Jean-Baptiste dans l’Essex, tous deux étant connus pour leur sainte vie ».
En particulier, le Saint-Synode, acceptant le rapport de la Commission canonique, a inscrit au ménologe de l’Église orthodoxe le hiéromoine Jérôme de Simonos Petras, qui fut higoumène du monastère patriarcal et stavropégique de Simonos Petras, puis ensuite économe et père spirituel du metochion de l’Ascension de Vyronas dans l’Attique, et de l’archimandrite Sophrony Sakharov, higoumène et fondateur du monastère patriarcal et stavropégique Saint-Jean-Baptiste dans l’Essex, tous deux étant connus pour leur sainte vie ».
Mi-septembre certains paroissiens ont pleuré de joie pendant les offices. Quelle blessure sur le corps de l’Église russe a-t-elle enfin commencé à cicatriser ces derniers temps ? Pourquoi cette souffrance a-t-elle mis tant de temps à être surmontée ? La revue « Foma » s’entretient de l’événement historique dont nous avons été témoins récemment, avec l’évêque de Zelenograd Savva /Toutounov/ , vice-chancelier du Patriarcat de Moscou.
Mgr Savva vit aujourd’hui en Russie et célèbre dans l’Église orthodoxe russe. Mais quand il était enfant, lui et sa famille fréquentaient l’une des églises de l’Archevêché en France. Il a été témoin de la vie des paroisses russes en Europe alors qu’elles étaient séparées de l’Église russe, et il comprend bien les raisons pour lesquelles leur retour à la maison a suscité une telle émotion chez le clergé et les fidèles.
• Le 4 septembre 2019, une nouvelle page de l’histoire de la Guerre civile a été tournée : le Saint Synode a accueilli au sein de l’Église orthodoxe russe le chef de l’Archevêché des paroisses de tradition russe en Europe occidentale, l’archevêque Jean (Renneteau), ainsi que toutes les paroisses et leur clergé qui le souhaitaient. Deux semaines plus tard, lors de la réunion pastorale de l’Archevêché, une majorité absolue des membres du clergé de celui-ci a décidé de rejoindre le Patriarcat de Moscou ; le 7 octobre le Saint Synode a statué de recevoir l’Archevêché dans les rangs de l’Église orthodoxe russe.
Mgr Savva vit aujourd’hui en Russie et célèbre dans l’Église orthodoxe russe. Mais quand il était enfant, lui et sa famille fréquentaient l’une des églises de l’Archevêché en France. Il a été témoin de la vie des paroisses russes en Europe alors qu’elles étaient séparées de l’Église russe, et il comprend bien les raisons pour lesquelles leur retour à la maison a suscité une telle émotion chez le clergé et les fidèles.
• Le 4 septembre 2019, une nouvelle page de l’histoire de la Guerre civile a été tournée : le Saint Synode a accueilli au sein de l’Église orthodoxe russe le chef de l’Archevêché des paroisses de tradition russe en Europe occidentale, l’archevêque Jean (Renneteau), ainsi que toutes les paroisses et leur clergé qui le souhaitaient. Deux semaines plus tard, lors de la réunion pastorale de l’Archevêché, une majorité absolue des membres du clergé de celui-ci a décidé de rejoindre le Patriarcat de Moscou ; le 7 octobre le Saint Synode a statué de recevoir l’Archevêché dans les rangs de l’Église orthodoxe russe.
L'UNESCO considère ces monuments comme « les plus parfaits et les mieux conservés de l'art médiéval d'Europe de l'Est », et ses fresques, réalisées en 1259, comme « l'une des plus importantes collections de peintures médiévales »
Elle se compose de trois bâtiments, dont le premier est l'église de l'Est, construite au Xe siècle. Cette première église a été agrandie au milieu du XIIIe siècle à la demande du sébastocrator Kalojan, le gouverneur de Sofia, qui fit construire le second bâtiment, haut de deux étages, à côté de l'ancien. La troisième église a été édifiée au début du XIXe siècle. C'est ici que fut enterrée la reine Éléonore de Bulgarie (1860-1917), dont les restes furent dispersés par les communistes, avant d'y retrouver leur place.
Elle se compose de trois bâtiments, dont le premier est l'église de l'Est, construite au Xe siècle. Cette première église a été agrandie au milieu du XIIIe siècle à la demande du sébastocrator Kalojan, le gouverneur de Sofia, qui fit construire le second bâtiment, haut de deux étages, à côté de l'ancien. La troisième église a été édifiée au début du XIXe siècle. C'est ici que fut enterrée la reine Éléonore de Bulgarie (1860-1917), dont les restes furent dispersés par les communistes, avant d'y retrouver leur place.
Moscou, le 6 novembre, Interfax - Les Etats-Unis ont joué un rôle dans l'octroi de l'autocéphalie à la nouvelle « église » d'Ukraine et cherchent à diviser encore plus le monde orthodoxe, a déclaré le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov.
"Je n'ai pas entendu dire que l'Église de Grèce reconnaissait officiellement l'église orthodoxe schismatique d'Ukraine. J'ai entendu dire qu'il y a une lettre de Jérôme II, archevêque d'Athènes et de toute la Grèce, adressée au chef des schismatiques, mais je n'ai pas vu de déclaration officielle de l'Eglise de Grèce", a déclaré M. Lavrov lors d'une conférence de presse suite aux négociations avec le ministre grec des Affaires étrangères, mercredi à Moscou.
"Je n'ai pas entendu dire que l'Église de Grèce reconnaissait officiellement l'église orthodoxe schismatique d'Ukraine. J'ai entendu dire qu'il y a une lettre de Jérôme II, archevêque d'Athènes et de toute la Grèce, adressée au chef des schismatiques, mais je n'ai pas vu de déclaration officielle de l'Eglise de Grèce", a déclaré M. Lavrov lors d'une conférence de presse suite aux négociations avec le ministre grec des Affaires étrangères, mercredi à Moscou.
Le patriarche œcuménique Bartholomée Ier a reçu un prix - la plaque commémorative de saint Eric - pour son engagement en faveur de la liberté religieuse, des droits de l'homme et de la sauvegarde de la création.
"Maseigneure" [1] Antje Jackelén a remis le prix le 1er octobre 2019 au patriarche Bartholomée lors de la visite du leader orthodoxe à l'église luthérienne pour son engagement en faveur de la liberté religieuse [2], des droits humains et de la sauvegarde de la création. Ceci est rapporté par la Fédération luthérienne mondiale.
Le patriarche œcuménique est le 25e récipiendaire de la plaque commémorative de saint Eric, honoré "pour ses efforts en faveur de la liberté religieuse et des droits de l'homme (voir plus haut [2]), pour avoir attiré l'attention du monde entier sur les besoins des réfugiés et pour avoir montré à travers le monde que le souci de la création est une responsabilité œcuménique et spirituelle". Les récipiendaires précédents comprennent des représentants des églises anglicane, luthérienne et catholique.
"Maseigneure" [1] Antje Jackelén a remis le prix le 1er octobre 2019 au patriarche Bartholomée lors de la visite du leader orthodoxe à l'église luthérienne pour son engagement en faveur de la liberté religieuse [2], des droits humains et de la sauvegarde de la création. Ceci est rapporté par la Fédération luthérienne mondiale.
Le patriarche œcuménique est le 25e récipiendaire de la plaque commémorative de saint Eric, honoré "pour ses efforts en faveur de la liberté religieuse et des droits de l'homme (voir plus haut [2]), pour avoir attiré l'attention du monde entier sur les besoins des réfugiés et pour avoir montré à travers le monde que le souci de la création est une responsabilité œcuménique et spirituelle". Les récipiendaires précédents comprennent des représentants des églises anglicane, luthérienne et catholique.
Des représentants de l'Eglise luthérienne d'Estonie ont l'intention de se rendre en novembre prochain à Moscou. Le 22 septembre Monseigneur Urmas Vilma, archevêque de l'Eglise luthérienne d'Estonie, a l'intention de se rendre à Moscou.
Intervenant à la télévision l'archevêque a dit: "Notre voyage à Moscou prévu pour novembre aura lieu en réponse à la visite effectuée en Estonie en 2013 par le patriarche Cyrille. Nous avons reçu cette invitation au printemps. Nous rencontrerons à Moscou la communauté estonienne et nous avons l'intention de célébrer un office dans les murs de notre ambassade.
Intervenant à la télévision l'archevêque a dit: "Notre voyage à Moscou prévu pour novembre aura lieu en réponse à la visite effectuée en Estonie en 2013 par le patriarche Cyrille. Nous avons reçu cette invitation au printemps. Nous rencontrerons à Moscou la communauté estonienne et nous avons l'intention de célébrer un office dans les murs de notre ambassade.
Un monument en bronze de trois mètres, représentant saint Jean de Cronstadt, a été inauguré devant l’entrée de l’église Saint-Jean-Baptiste, à Washington (États-Unis). Le pasteur est représenté en vêtements sacerdotaux, tenant dans la main gauche un calice, qu’il désigne de sa main droite bénissante.
Le dimanche 8 septembre, à Washington (États-Unis), une fête a été organisée pour le 70ème anniversaire de la paroisse orthodoxe russe Saint-Jean-Baptiste. Dans le cadre des célébrations de cette journée, un monument à Saint-Jean de Cronstadt a été inauguré.
La liturgie de fête, dans la paroisse fondée par Saint Jean de Shanghaï en 1949, était présidée par le Primat de l'Église Orthodoxe Russe Hors Frontières, le métropolite Hilarion d'Amérique de l'Est et de New York, rapporte l'agence IA TASS.
La vie liturgique de cette paroisse a commencé par une liturgie dans un petit appartement privé, puis s’est poursuivie dans la chapelle de la Résurrection, au sous-sol de la cathédrale épiscopale nationale, enfin, quelques temps plus tard, dans un oratoire. En 1958, une église a été construite, remaniée en profondeur et consacrée en 1988.
Le dimanche 8 septembre, à Washington (États-Unis), une fête a été organisée pour le 70ème anniversaire de la paroisse orthodoxe russe Saint-Jean-Baptiste. Dans le cadre des célébrations de cette journée, un monument à Saint-Jean de Cronstadt a été inauguré.
La liturgie de fête, dans la paroisse fondée par Saint Jean de Shanghaï en 1949, était présidée par le Primat de l'Église Orthodoxe Russe Hors Frontières, le métropolite Hilarion d'Amérique de l'Est et de New York, rapporte l'agence IA TASS.
La vie liturgique de cette paroisse a commencé par une liturgie dans un petit appartement privé, puis s’est poursuivie dans la chapelle de la Résurrection, au sous-sol de la cathédrale épiscopale nationale, enfin, quelques temps plus tard, dans un oratoire. En 1958, une église a été construite, remaniée en profondeur et consacrée en 1988.
Suite au départ du Président Porochenko le changement de pouvoir se fait fortement sentir partout en Ukraine. Une vague de mécontentement à l’égard du métropolite Epiphane s’est élevée à l’intérieur de l’Eglise, soutenue par Constantinople. Epiphane est perçu comme un gestionnaire inefficace.
A titre d’exemple, une organisation désordonnée de la procession qui a eu lieu à Kiev le 28 juillet lors des cérémonies de commémoration du baptême de la Rus. Des sommes très importantes avaient été attribuées à cette action afin de la rendre attractive. Cependant, l’assistance était de 15 fois inférieure au nombre de fidèles s’étant rassemblés à l’appel du métropolite Onuphre. Le clergé fidèle à Epiphane souhaite recevoir des explications quant à l’utilisation des sommes attribuées.
A titre d’exemple, une organisation désordonnée de la procession qui a eu lieu à Kiev le 28 juillet lors des cérémonies de commémoration du baptême de la Rus. Des sommes très importantes avaient été attribuées à cette action afin de la rendre attractive. Cependant, l’assistance était de 15 fois inférieure au nombre de fidèles s’étant rassemblés à l’appel du métropolite Onuphre. Le clergé fidèle à Epiphane souhaite recevoir des explications quant à l’utilisation des sommes attribuées.
Le Président ukrainien a refusé de signer une déclaration commune suite à des pourparlers menés en Turquie avec le patriarche Bartholomé.
De nombreux évêques de l'Eglise de Constantinople, en particulier le métropolite Emmanuel de France, ont assisté à la rencontre qui a eu lieu à la résidence du patriarche.
Les médias rappellent que le président Zelensky a souligné que l'Etat ukrainien ne s'ingère pas dans les affaires de l'Eglise. Il se dit que la partie écologique du projet de texte a paru inacceptable au Président ukrainien.
De nombreux évêques de l'Eglise de Constantinople, en particulier le métropolite Emmanuel de France, ont assisté à la rencontre qui a eu lieu à la résidence du patriarche.
Les médias rappellent que le président Zelensky a souligné que l'Etat ukrainien ne s'ingère pas dans les affaires de l'Eglise. Il se dit que la partie écologique du projet de texte a paru inacceptable au Président ukrainien.
JEAN-ARNAULT DÉRENS
Le tomos signé le 5 janvier 2019 par le patriarche œcuménique de Constantinople reconnaissant l’autocéphalie d’une Église orthodoxe d’Ukraine provoque autant d’espoirs que d’inquiétudes dans les Balkans, où l’Église serbe est confrontée à des dissidences au Monténégro et surtout en Macédoine du Nord. Une nouvelle carte de l’orthodoxie européenne est-elle en train de se dessiner ?
Dès le 11 octobre 2018, le Patriarcat œcuménique de Constantinople, qui jouit d’une « primauté d’honneur » sur toutes les Églises orthodoxes du monde, mais pas pour autant de pouvoirs hiérarchiques ou disciplinaires semblables à ceux du pape dans le catholicisme, annonçait qu’il allait annuler la décision de 1686 plaçant l’Église orthodoxe d’Ukraine sous la jurisprudence de celle de Moscou. Cette décision, finalement actée le 5 janvier suivant, a suscité une tempête de réactions dans les Balkans – faisant la joie des Églises autocéphales de Macédoine et du Monténégro, qui ne disposent d’aucune espèce de reconnaissance canonique. Ces deux Églises, considérées par la communion de l’orthodoxie mondiale comme des « schismes » de l’Église serbe, ont vu cette décision comme un précédent de bon augure pour leur propre cause.
Le tomos signé le 5 janvier 2019 par le patriarche œcuménique de Constantinople reconnaissant l’autocéphalie d’une Église orthodoxe d’Ukraine provoque autant d’espoirs que d’inquiétudes dans les Balkans, où l’Église serbe est confrontée à des dissidences au Monténégro et surtout en Macédoine du Nord. Une nouvelle carte de l’orthodoxie européenne est-elle en train de se dessiner ?
Dès le 11 octobre 2018, le Patriarcat œcuménique de Constantinople, qui jouit d’une « primauté d’honneur » sur toutes les Églises orthodoxes du monde, mais pas pour autant de pouvoirs hiérarchiques ou disciplinaires semblables à ceux du pape dans le catholicisme, annonçait qu’il allait annuler la décision de 1686 plaçant l’Église orthodoxe d’Ukraine sous la jurisprudence de celle de Moscou. Cette décision, finalement actée le 5 janvier suivant, a suscité une tempête de réactions dans les Balkans – faisant la joie des Églises autocéphales de Macédoine et du Monténégro, qui ne disposent d’aucune espèce de reconnaissance canonique. Ces deux Églises, considérées par la communion de l’orthodoxie mondiale comme des « schismes » de l’Église serbe, ont vu cette décision comme un précédent de bon augure pour leur propre cause.
D'année en année la procession qui se déroule en cette journée sous les auspices de l'Eglise orthodoxe d'Ukraine devient de plus en plus nombreuse.
Malgré la situation dramatique que connaît actuellement cette Eglise la procession a réuni en 2019 plus de 300.000 pèlerins. C'est ce qu'a précisé Mgr Antoine, responsable de l'Eglise orthodoxe canonique d'Ukraine. Y participaient non seulement des Ukrainiens mais aussi des fidèles venus d'autres pays, en particulier de Roumanie.
Le 28 juillet trois nouveaux Saints seront canonisés à la Laure des grottes de Kiev. Plusieurs chaînes de télévision ont suivi la cérémonie en direct.
Malgré la situation dramatique que connaît actuellement cette Eglise la procession a réuni en 2019 plus de 300.000 pèlerins. C'est ce qu'a précisé Mgr Antoine, responsable de l'Eglise orthodoxe canonique d'Ukraine. Y participaient non seulement des Ukrainiens mais aussi des fidèles venus d'autres pays, en particulier de Roumanie.
Le 28 juillet trois nouveaux Saints seront canonisés à la Laure des grottes de Kiev. Plusieurs chaînes de télévision ont suivi la cérémonie en direct.
Seuls 9 des 47 hiérarques de l’Église orthodoxe de Géorgie soutiennent, d’une manière ou d’une autre, la nouvelle Église orthodoxe autocéphale d’Ukraine. C’est ce que rapporte l’institut de recherche américain « Jamestown Foundation ». L’auteur du rapport mentionne que trois hiérarques seulement ont exprimé ouvertement leur soutien à la nouvelle Église.
Il s’agit des métropolites Joseph de Shemokmedi, Pierre de Tchkondidi et Grégoire de Poti et Khobi. Six évêques encore, Jacques de Bodbe, Zosime de Tsilkani et Dusheti, Vakhtang de Tsurtaveli, Dosithée de Belgique et des Pays-Bas, Savva d’Amérique du Nord et Zénon de Dmanisi et Agarak-Tashiri, administrateur des paroisses géorgiennes de Grande-Bretagne, ont exprimé d’une façon ou d’une autre leur soutien à l’octroi de l’autocéphalie à l’Ukraine.
Mais 38 évêques sont opposés à la reconnaissance de la nouvelle entité ukrainienne. Parmi eux se trouve le successeur potentiel à l’actuel patriarche de Géorgie, le locum tenens du trône patriarcal, le métropolite Shio de Senaki et Tchkhorotskhu.
Il s’agit des métropolites Joseph de Shemokmedi, Pierre de Tchkondidi et Grégoire de Poti et Khobi. Six évêques encore, Jacques de Bodbe, Zosime de Tsilkani et Dusheti, Vakhtang de Tsurtaveli, Dosithée de Belgique et des Pays-Bas, Savva d’Amérique du Nord et Zénon de Dmanisi et Agarak-Tashiri, administrateur des paroisses géorgiennes de Grande-Bretagne, ont exprimé d’une façon ou d’une autre leur soutien à l’octroi de l’autocéphalie à l’Ukraine.
Mais 38 évêques sont opposés à la reconnaissance de la nouvelle entité ukrainienne. Parmi eux se trouve le successeur potentiel à l’actuel patriarche de Géorgie, le locum tenens du trône patriarcal, le métropolite Shio de Senaki et Tchkhorotskhu.
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