L'église du Saint Esprit a Moscou, qui fut bâtie en 1493 et détruite en 1933...
Anna Khoudokormoff-Kotschoubey

Eglise du Saint Esprit

A l'entrée du métro Kropotkinskaya se trouvait une plaque commémorative en l'honneur d'une église dédiée au Saint Esprit, qui fut bâtie en 1493 et détruite en 1933...

Beaucoup de personnes, comme moi d'ailleurs, la voyant, se signaient. On était heureux de se souvenir… On était heureux et reconnaissant que quelqu'un ait eu l'idée de l'apposer…

Quelle ne fut pas ma surprise et désolation, en juillet dernier, de voir que cette plaque commémorative ait bel et bien disparu, et qu'à la place on y apposa, une autre plaque banale comme on en voit par dizaines dans Moscou, et stipulant "exemple d'architecture"... voulant désigner les colonnades à l'intérieur du métro.
Rédigé par Parlons D'orthodoxie le 31 Juillet 2020 à 04:12 | 1 commentaire | Permalien

Les nouveaux livres de Grzegorz Ojcewicz « Les vérités simples. Les mystères de Sainte Mère Marie (Skobtsov) et autres œuvres » et  «Son esprit est froid, comme de glace, son coeur – dur comme une pierre…»
Pologne, "Szczytno", 2017

Professeur Grzegorz Ojcewicz : « Dans mon livre "Les vérités simples. Les mystères de Sainte Mère Marie (Skobtsov) et autres œuvres" je présente trois mystères de la moniale orthodoxe russe, écrits alors qu’elle se trouvait en exil en France entre 1939 et 1942.

L’intégralité des trois textes ont été inspirés par la réaction de Mère Marie à des problèmes à caractère spirituel, religieux et éthique, extrêmement importants pour elle .

Le mystère Anna est devenu une sorte de témoignage personnel littéraire . Elle avait sa propre définition du service du prochain, tout en plaidant pour l’exercice intensif du ministère religieux en dehors de l’église. Selon Mère Marie, la liturgie se réalisait à chaque instant, en forme du soutien prêté à toutes les personnes dans le besoin.
Rédigé par Parlons D'orthodoxie le 30 Juillet 2020 à 14:36 | -1 commentaire | Permalien

CRSC à Paris 100e anniversaire de « l’Exode russe »
À partir du 21 juillet, l’exposition sera présentée en deux langues sur les panneaux extérieurs, le site web et les pages des réseaux sociaux du CRSC à Paris et restera disponible jusqu’au 20 août.

Il est prévu que l’exposition se poursuive dans de nombreux autres pays, y compris francophones, le long de la route de l’Exode et de la résidence actuelle des descendants de nos compatriotes.

Les documents de l’exposition sont collectés dans les fonds de la Maison des Russes à l’étranger de différents pays. La géographie des archives est vraiment large : Australie, Belgique, États-Unis, France, Suisse, etc. De rares documents numérisés proviennent de la collection d’Alexandre Plotto (France), descendant d’officiers de marine russes, qui a quitté Sébastopol dans son enfance sur les navires de l’Escadron russe.

Auteurs de l’exposition : experts de la Maison des Russes à l’étranger I.V.Domnin, I.Y.Domnina, A.S.Kroutchinin, N.A.Kouznetsov, A.A.Petrov, A.V.Marynyak, N.D.Egorov et I.N.Balabanova.

La version française et la traduction de l’exposition ont été réalisées en interne dans leur intégralité par le CRSC à Paris.

Le Centre de Russie pour la science et la culture à Paris 61, rue Boissière 75116 Paris, France +33 1 44 34 79 79


L’exposition a été créée par la Maison des Russes à l’étranger Alexandre Soljénitsine en coopération avec le Département de la culture de la ville de Moscou à l’occasion d’une date spéciale et mémorable dans l’histoire de la Russie – le 100e anniversaire de l’exode de plusieurs millions de compatriotes vers une terre étrangère en 1920.
Rédigé par Parlons D'orthodoxie le 30 Juillet 2020 à 07:17 | 0 commentaire | Permalien

 Votez pour votre monument préféré!
Cette année, c'est le grand retour sur France 3 du "Monument préféré des Français", animée par Stéphane Bern.

Du 6 au 26 juillet, faites valoir votre voix et voter, dans la liste des 14 monuments sélectionnés ci-dessous, pour celui de votre choix. Le monument préféré des français sera révélé prochainement lors d'une grande émission spéciale sur France 3.

Votez pour votre Monument préféré :

1) En cliquant sur la photo de votre Monument préféré
2) En cliquant sur ’’Valider’’ (en bas de la page) pour enregistrer votre votе
Rédigé par Parlons D'orthodoxie le 26 Juillet 2020 à 10:32 | 1 commentaire | Permalien

Sur les traces d'Andreï Roublev  (1360 — 1428)
L’Eglise orthodoxe compte beaucoup de peintre d’icônes mais le plus connu est indéniablement Andreï Roublev. Célébré en Russie, et aussi, grâce au film de Tarkovski, au-delà des frontières. Mais que savons-nous au juste de ce mystérieux personnage ?

Il a été canonisé en 1988, date du millénaire de la foi chrétienne en Russie.

Un destin clément

Andreï Roublev a vécu une vie plutôt heureuse : il était reconnu de son vivant, est mentionné dans les chroniques, les Grand-Princes et les monastères lui passaient des commandes, il a travaillé à Moscou, Vladimir, Zvenigorod.Et après sa mort, son nom a traversé les siècles. Ses icônes ont été reconnues comme modèles pour les autres iconographes par le Synode Stoglav dès 1551.

Ses icônes étaient particulièrement adulées par les Vieux-croyants. Elles incarnaient le canon iconographique et l’image religieuse orthodoxe par excellence. Même au XIXè siècle, alors que les icônes ont perdu de leur popularité, les siennes sont restée un modèle de l’art religieux.

A l’ère soviétique, Andreï Roublev est devenu le symbole de la culture de la vieille Russie. En 1960, l’UNESCO a fêté solennellement l’anniversaire de ses 600 ans et Moscou a inauguré le Musée de la culture et de l’art de l’ancienne Russie Andreï Roublev, tandis que les chercheurs et scientifiques ont commencé à s’intéresser à ses œuvres, rassemblées en grande partie à la Galerie Tretiakov.

Lire aussi: Un nouveau projet hors du commun sous le nom de Rublev.com une base de données sur l’Orthodoxie, un guide et réseau social pour les fidèles et tous ceux qui s’intéressent au christianisme. Chacun peut se joindre au projet : devenir bénévole ou produire un apport à cette bonne œuvre
Rédigé par Parlons D'orthodoxie le 17 Juillet 2020 à 14:24 | 0 commentaire | Permalien

Sous l’URSS l’église Notre-Dame-de-la-Miséricorde a été transformée en école de plongée
Un cylindre en métal long de 40 mètres et une piscine sur le lieu qui accueillait jadis l’autel – c’est ce qu’est devenue une église saint-pétersbourgeoise sous les bolchéviques.

Sous l’URSS, des dizaines de milliers de lieux de culte ont été démolis dans le cadre de la campagne antireligieuse. En 1919-1922 on comptait à Moscou 53 lieux de détention dont 12 camps. Le pouvoir ne considérait pas, à l’époque, que les camps de concentration étaient appelés à durer. Aussi le budget qui leur était alloué était réduit.

Pour commencer ce furent les monastères orthodoxes qui ont été transformés en camps. Leur aménagement permettait d’isoler au mieux les détenus. Parmi les premiers monastères transformés en camps il faut nommer : les monastères Novospassky, Saint Jean Baptiste et Andronikov. En 1918 les bolchéviks transforment en camps les monastères de Moscou. Quant à ceux qui n’ont pas connu ce triste sort, ils ont été souvent affectés à des besoins tout à fait différents. Ainsi, les églises d’hier ont accueilli des quartiers généraux ou ont été réaménagées en entrepôts, maisons de culture, planétariums, prisons.

L'Église Notre-Dame-de-la-Miséricorde, sur l'île Vassilievski, à Saint-Pétersbourg, a été fondée en 1889 pour commémorer le couronnement de l’empereur Alexandre III. C’est d’ailleurs le souverain lui-même qui a partiellement financé le projet, le reste de la somme provenant des dons de marins, ce lieu de culte réalisé dans le style byzantin ayant été commandé par le ministère de la Marine impériale de Russie. Cette église était ainsi considérée comme l’une des principales de la Marine de la capitale qu’était à l’époque Saint-Pétersbourg et il semble que ce fait précis ait défini son destin ultérieur.
Rédigé par Parlons D'orthodoxie le 22 Juin 2020 à 11:34 | -1 commentaire | Permalien

L'archevêque Michel (Donskoff) : NOTRE TACHE – RESTER NOUS-MÊMES ORTHODOXES
Traduction Marie Genko

L’Orthodoxie n’est pas une idéologie. Elle est un témoignage !

Nous devons vivre en tant que croyant orthodoxe. Lorsque nous nous nourrissons d’Orthodoxie et que la Grâce du Seigneur est sur nous, elle se propage à tout notre entourage.

Alexis Khomiakoff a exprimé ce concept : « L’Unité de l’Eglise découle de façon absolue de l’unité de Dieu, car l’Eglise n’est pas une multitude d’individus avec leurs identités propres, mais elle est l’unité de la Grâce de Dieu, qui vit en une pluralité de créatures intelligentes, obéissantes à cette Grâce »

Nous n’avons jamais été missionnaires, à l’exemple de l’Occident, mais les Français ont toujours pu entrer dans une église orthodoxe. Nous ne les avons pas appelés depuis la rue, nous ne leur avons pas distribué des tracts, comme le font les Protestants. Nous avons toujours compris que notre tâche essentielle était de rester nous-mêmes Orthodoxes, pour le reste nous nous en remettons au Seigneur.
Rédigé par Parlons D'orthodoxie le 17 Mars 2020 à 20:31 | 58 commentaires | Permalien

"ECCLÉSIASTE", un livre illustré par Ivan Kuleff
Les Editions de la Présentation ont, pour l'exposition des œuvres d'Ivan Kuleff, publié en édition bilingue "L'Ecclésiaste" richement illustré par des dessins et gouaches inédits. L'ouvrage est préfacé par Marc ANDRONIKOF. Le livre est disponible à La librairie et la boutique du Centre spirituel de la Cathédrale orthodoxe russe à Paris et dans la boutique de l'église DES TROIS SAINTS DOCTEURS À PARIS
Rédigé par Parlons D'orthodoxie le 28 Février 2020 à 22:12 | 1 commentaire | Permalien

Exposition "Les églises de Pskov" : 18 mars au 19 avril 2020 au Centre spirituel et culturel orthodoxe russe à Paris
Centre spirituel et culturel orthodoxe russe à Paris accueillera l’exposition intitulée Le patrimoine mondial de l’UNESCO. Les églises de Pskov. Cette exposition fait partie du riche programme des Saisons Russes en France.

Elle est organisée par le Conseil patriarcal pour la culture, avec le soutien des Saisons russes et du Ministère russe de la Culture. L’exposition est dédiée à l’une des célèbres traditions de l’architecture religieuse russe, à savoir aux églises orthodoxes de Pskov. Les visiteurs auront l’occasion de découvrir cette tradition médiévale russe de construire des églises en pierre.

Dix anciennes églises faisant partie de la ville de Pskov, et inscrites depuis 2019 au patrimoine mondial de l’UNESCO, seront représentées à l’exposition. Cette dernière inclura également des monuments historiques pskovitains qui ne sont pas inscrits sur la liste de l’UNESCO.
Rédigé par Parlons D'orthodoxie le 21 Février 2020 à 20:10 | 0 commentaire | Permalien

Dimitri Stelletsky:" J'ai commencé à peindre l'église Saint Serge le vendredi 6 novembre 1925. J'ai terminé le jeudi 1 décembre 1927"
" Le 30 janvier 1947 selon l'ancien style s'éteignait à la Maison de retraite russe de Sainte-Geneviève des Bois le peintre russe Dimitri Semionovitch Stelletski âgé de 73 ans , après une brève maladie .

Il est mort entouré des soins et de l'amour de ses voisins et amis de la maison de retraite qui s'étaient réunis pour soulager ses souffrances. Une angine de poitrine l'a terrassé mais depuis quelques années il était devenu presque aveugle et c'était pour lui une grande souffrance. Tous les pensionnaires de la maison, les étudiants et la paroissiens de Saint-Serge l'accompagnèrent lors de ses funérailles célébrées par le père Basile Zenkovsky.

Le choeur de Saint Serge chantait l'office des funérailles. Des couronnes de lauriers furent déposées par l'Institut et la paroisse : "Mémoire reconnaissante" et "A l'illustre artiste".

Rédigé par Parlons d'orthodoxie le 4 Février 2020 à 05:32 | 0 commentaire | Permalien

Mgr Serge Konovaloff,  fils d’un Russe émigré en Belgique et d’une Hollandaise
p. Serge MODEL

La notice sur Mgr Serge Konovaloff, publiée dans le volume № 11 de la "Nouvelle Biographie Nationale"


KONOVALOFF, Serge, enseignant et ecclésiastique orthodoxe russe, né à Louvain le 8 juillet 1941, décédé à Paris (France) le 22 janvier 2003.

Rien ne prédestinait sans doute Serge Konovaloff, un Belge d’origine russe, marié et père de famille, professeur dans une école de la région bruxelloise, à devenir, dans la dernière partie de sa vie, archevêque des paroisses orthodoxes russes en Europe occidentale (dans l’obédience du patriarcat de Constantinople), c’est-à-dire primat d’une des plus importantes structures ecclésiastiques orthodoxes en Occident.

Fils d’un Russe émigré en Belgique (Alexis Konovaloff, chimiste) et d’une Hollandaise (Caroline Van Staveren), Serge Konovaloff avait obtenu en 1963 la licence et l’agrégation en philologie germanique à l’Université catholique de Louvain et était devenu, dès 1964, professeur de langues et d’histoire au Collège Saint-Joseph de Woluwe-Saint-Pierre, où il enseigna pendant près de trente ans. En 1968, il épousa Lydia Tchernenko, d’origine russe comme lui, qui lui donnera trois enfants.
Rédigé par Parlons d'orthodoxie le 30 Janvier 2020 à 09:25 | 1 commentaire | Permalien

La France veut conserver un rarissime chef-d'œuvre de Cimabue, vendu plus de 24 millions d'euros
Un tableau - icône , estimé entre 4 et 6 millions d'euros, s'est envolé à plus de 24 millions d'euros lors d'une vente fin octobre. Mais l'Etat ne veut pas le voir quitter le territoire.

C'est un petit panneau peint rarissime annonçant la Renaissance italienne et devenu le tableau primitif le plus cher vendu au monde: la France a interdit ce lundi l'exportation du "Christ moqué" de Cimabue et entend le conserver dans ses collections nationales.

La peinture à l'œuf et fond d'or sur panneau de peuplier, de 25,8 cm sur 20,3 cm, était accrochée entre le salon et la cuisine d'une vieille dame à Compiègne (Oise) et avait été expertisée à l'occasion d'un déménagement.

La famille avait toujours pensé qu'il s'agissait d'une simple icône, dont la vieille dame n'a pas su dire d'où elle provenait, mais l'expertise a révélé qu'il s'agissait d'une œuvre rarissime de Ceno Di Pepo, dit Cimabue (mort en 1302), l'une des plus grandes figures de la Pré-Renaissance. On lui connaît tout au plus onze œuvres exécutées sur bois dont aucune n'est signée.
Rédigé par Parlons D'orthodoxie le 18 Janvier 2020 à 10:09 | 0 commentaire | Permalien

Exposition d’icônes “ÉPIPHANIE en couleurs”  - 6 DÉCEMBRE AU 12 JANVIER 2020
Icônes du XVIe au XIXe siècle, au Centre culturel et spirituel orthodoxe russe.

Du mardi au dimanche de 14h à 19h. Centre culturel et spirituel orthodoxe russe 1 quai Branly 75007 Paris

Cette collection a été réunie par des antiquaires d’origine serbe durant une période de cinquante ans, elle est composée d’une centaine d’œuvres d’art sacré russe, datant du XVIe au XIXe siècle. Cette collection est unique, elle a été constituée avec beaucoup de passion et connaissances professionnelles. Les œuvres de différents styles, écoles et époques illustrent parfaitement le développement de l’iconographie russe durant cinq siècles. Les icônes proviennent de collections privées européennes et américaines, cédées par leurs propriétaires directement ou à travers les ventes publiques.

Un grand nombre de ces icônes peut être considéré comme de véritables chefs d’œuvre. La collection ne se définit pas uniquement par la diversité des styles, mais également par la richesse et l’étendue de son programme iconographique.
Rédigé par Parlons D'orthodoxie le 29 Décembre 2019 à 21:25 | -1 commentaire | Permalien

La présentation du livre de Xénia Krivochéine « Des bulbes d’or dans le ciel de Paris »
Le soir du lundi 2 décembre 2019 le livre de Xenia Krivochéine « Des bulbes d’or dans le ciel de Paris » a été présenté dans les locaux du Centre spirituel et culturel du Quai Branly à Paris.

Cet événement a marqué le début des solennités à l’occasion du troisième anniversaire de la dédicace par Sa Sainteté Cyrille de la cathédrale de la Sainte Trinité à Paris.

PHOTOS: Daniel Naberejny

Monseigneur Antoine, métropolite de Chersonèse et d’Europe occidentale, a dit dans son intervention : « Je remercie Xenia Krivochéine pour avoir écrit cet important ouvrage. Le souvenir de cet événement deviendra le patrimoine de nos descendants et enrichira l’histoire du diocèse de Chersonèse. Il s’agit d’une chronique qui a vocation à être complétée dans les éditions qui suivront ».

Monseigneur Nestor, archevêque de Madrid et de Lisbonne, est intervenu à la soirée. La cathédrale a été construite alors qu’il était à la tête de la chaire de Paris.
Rédigé par Parlons D'orthodoxie le 27 Décembre 2019 à 23:23 | 0 commentaire | Permalien

Décorer les sapins de Noël: une tradition venue de Turquie
La tradition d'orner des arbres en prévision de la Noël ou du Jour de l'An est née en Orient, affirme la femme écrivain turque Muazzez Ilmiye Cig, spécialisée entre autres dans l'étude de la culture sumérienne.

"Le monde chrétien s'attribue volontiers la coutume d'orner les sapins, mais en fait il doit cette tradition aux ancêtres des Turcs modernes", explique-t-elle dans un entretien accordé à RIA Novosti .

"Bien avant qu'elles ne s'installent en Anatolie, les tribus turques associaient déjà le sapin à l'Arbre de Vie. Pour l'orner, obligatoirement dans la nuit du 22 décembre, pendant la "fête de la renaissance", on choisissait un sapin blanc qui ne poussait qu'au Turkestan (Asie centrale)", a-t-elle poursuivi.

Apporté à la maison et orné de rubans multicolores, le sapin "recevait" des dons au Tout-Puissant, pour que le nouvel An apporte le bonheur. Des plats spéciaux étaient cuisinés à l'occasion de la fête de la Renaissance qui était célébrée en famille, précise la femme écrivain turque. Selon elle, l'Europe a emprunté cette tradition aux Huns, nomades turcophones, qui créèrent un immense Etat s'étendant de la Volga au Rhin.
Rédigé par l'équipe de rédaction le 27 Décembre 2019 à 08:30 | 2 commentaires | Permalien

Des bombes d’aérosols, un sweet à capuche, un masque pour camoufler son visage… L’attirail classique d’un street-artiste.

Mais ce qui est inhabituel ce sont les dessins tagués sous ce pont de Moscou. Un immense portrait de Jésus Christ apparaît.

Aleksandr Tsypkov est un peintre d’icônes religieuses. Il fait partie d’un collectif qui rend hommage à la beauté de l’art chrétien. Il se défend d'être un vandale. A travers son art, cet artiste dit simplement vouloir rapprocher les Russes de la religion orthodoxe.

" Si une personne est captivée, ressent quelque chose et que cela l’amène vers Dieu, dans un temple, alors ce sera ma victoire ", confie Aleksandr Tsypkov.
Rédigé par Parlons D'orthodoxie le 25 Décembre 2019 à 16:32 | 2 commentaires | Permalien

Xenia Krivochéine   "Des bulbes d’or dans le ciel de Paris"
Ce livre de Xenia Krivochéine peut être acheté à la librairie de la сathédrale

Traduction Gilles-Marc Fougeron, mise en page et couverture Daria Alexandrovskaya

" Editions Sainte-Geneviève", 2019. Nombreuses photos historiques

Prix 13 €. AMAZON

La majorité des Russes et des Français ne connaît pas l’histoire de l’érection de la cathédrale russe du diocèse de Chersonèse de l’Église orthodoxe russe en plein centre de Paris.

La consécration de la cathédrale de la Sainte-Trinité par le patriarche Cyrille fin 2016 a été l’accord final d’un long chemin semé d’embûches pour l’Église russe. Ses bulbes d’or embellissent la merveilleuse ville de Paris.

La cathédrale, telle l’invisible cité de Kitège , s’est comme par miracle dressée au bord de la Seine et, malgré les difficultés, les relations historiques, culturelles et religieuses entre nos deux pays, loin de se rompre, se sont renforcées.
Rédigé par Parlons D'orthodoxie le 14 Décembre 2019 à 11:20 | 7 commentaires | Permalien

Article du père Michel Polsky, écrit en 1952: Aperçu de la situation de l’Exarchat russe dans la juridiction œcuménique (2)
SUITE le texte inédit traduit pour PO par Marie Genko

Par la suite en démêlant cet écheveau d’erreurs, l’assemblée diocésaine de l’exarchat russe d’Europe occidentale, (17 octobre 1946) décida de prévenir une éventuelle répétition de la dernière faute, et elle alla plus loin dans la définition de sa position, en se tournant cette fois ci, sans aucune condition, vers la juridiction du patriarcat de Constantinople.

Enfin il exprima la dépendance directe du diocèse envers le patriarcat Constantinople dans l’accord écrit du 6 mars 1947, et en ne stipulant rien à propos de son caractère provisoire. La raison du silence à propos de la forme de la nouvelle soumission était évidente, mais elle était dissimulée vis-à-vis des fidèles par les instances dirigeantes du diocèse.

Ce n’est que récemment qu’une nouvelle assemblée diocésaine de l’exarchat (du 29 septembre au 5 octobre 1949) déclara avec précision qu’il rejette une position provisoire et confirme l’établissement permanent du diocèse dans la juridiction du patriarche œcuménique; et en essayant d’argumenter les principes de ses nouveaux droits, il appelle les autres églises et les autres juridictions de suivre son exemple.
Rédigé par Parlons D'orthodoxie le 11 Décembre 2019 à 14:27 | 0 commentaire | Permalien

L'Orthodoxie du bout du monde: Alaska orthodoxe
Le cimetière russe de Sitka, vieux de plus de deux siècles, a été vandalisé à plusieurs reprises par une bande de jeunes en septembre dernier. Il a pu être remis en état grâce au travail de Bob Sam, un bénévole de 65 ans qui s'en occupe depuis 1986 car sa famille y est enterrée. Le cimetière servait alors de décharge et Sam l'a entièrement déblayé et entretenu depuis. Cette fois il a été aidé par les recrues de l'école de police locale et les pompiers.

Rédigé par Parlons D'orthodoxie le 2 Décembre 2019 à 10:59 | 1 commentaire | Permalien

p. Georges Kotchetkov:" Après sa dissolution par Constantinople, l’archevêché des églises russes en Europe occidentale doit choisir"
Après sa dissolution par Constantinople, l’archevêché des églises russes en Europe occidentale doit choisir : ou se dissoudre ou se soumettre et… rejoindre l’Église orthodoxe russe ? Ou encore créer une nouvelle situation transitoire ?

Le père Georges Kotchetkov , recteur de l’institut Saint Philarète à Moscou, a pendant longtemps été proche du professeur Nikita Struve et du cercle que celui-ci animait. Il y a un certain temps il a changé d’attitude à l’égard des responsables de l’archevêché et de l’Institut Saint Serge: A propos de la situation au sein de l'Archevêché: "Ne pas répudier le patrimoine" Voici un texte qui montre à quel point il est préoccupé par la situation actuelle

Il est difficile de dire ce qui se passe à l’archevêché après sa dissolution par Constantinople le 27 novembre et, comme il est dit dans le communiqué, l’affectation des paroisses « à différentes métropoles du Patriarcat ». C’est difficile non seulement parc que la situation est dramatique et impossible à résoudre au mieux dans la concorde, mais aussi, pour parler vrai, c’est démasquer les uns et verse du sel sur les plaies des autres. Aucun ne s’est montré sous son meilleur jour, ni Moscou, ni Constantinople (Istamboul), ni l’Archevêché.

Grâce à leur amour pour l’Église russe, l’orthodoxie est devenue le thème principal de la chrétienté mondiale.
Rédigé par Parlons D'orthodoxie le 22 Novembre 2019 à 10:59 | 8 commentaires | Permalien

1 2 3 4 5 » ... 35


Recherche



Derniers commentaires


RSS ATOM RSS comment PODCAST Mobile