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Le 3 février 2019 a eu lieu à la cathédrale Sainte Sophie, à Kiev "l'intronisation" du nouveau responsable de l'Eglise d'Ukraine. Il s'agit du métropolite, et non du patriarche, Épiphane (Doumenko).
Le patriarche d'honneur Philarète Denissenko devait assister à la cérémonie mais en dernière minute les médecins le lui ont interdit. Le président du pays Piotr Porochenko était présent.
Le métropolite Épiphane a précisé: "Avant, comme après l'octroi du Tomos, voilà quelques mois que des délégations du Patriarcat œcuménique vont de par le monde pour rencontrer des représentants des Eglises locales. Ces délégations expliquent à leurs interlocuteurs le processus de la mise en place de la nouvelle Eglise autocéphale d'Ukraine. Aucune des Eglises locales n'a jusqu'à présent reconnu l'Eglise d'Ukraine. De nombreux hiérarques sont disposés à assister à l'intronisation. Il existe cependant une procédure bien établie de la reconnaissance d'une autocéphalie et cela fait obstacle à leur venue.
Le patriarche d'honneur Philarète Denissenko devait assister à la cérémonie mais en dernière minute les médecins le lui ont interdit. Le président du pays Piotr Porochenko était présent.
Le métropolite Épiphane a précisé: "Avant, comme après l'octroi du Tomos, voilà quelques mois que des délégations du Patriarcat œcuménique vont de par le monde pour rencontrer des représentants des Eglises locales. Ces délégations expliquent à leurs interlocuteurs le processus de la mise en place de la nouvelle Eglise autocéphale d'Ukraine. Aucune des Eglises locales n'a jusqu'à présent reconnu l'Eglise d'Ukraine. De nombreux hiérarques sont disposés à assister à l'intronisation. Il existe cependant une procédure bien établie de la reconnaissance d'une autocéphalie et cela fait obstacle à leur venue.
Rédigé par Parlons D'orthodoxie le 3 Février 2019 à 11:00
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Vladimir Golovanow Source VESTI
La cathédrale russe de la rue Daru était la paroisse de l'artiste de depuis 2012, quand il y avait épousé Macha Méril, née princesse Gagarine, après avoir adopté l'Orthodoxie. C'est donc là que ce sont déroulées ses obsèques le 1 février, en présence de nombreux invités.
Une commémoration civile a eu lieu dans l'après-midi au théâtre Marigny, puis l'artiste a été inhumé au cimetière du Père-Lachaise.
La cathédrale russe de la rue Daru était la paroisse de l'artiste de depuis 2012, quand il y avait épousé Macha Méril, née princesse Gagarine, après avoir adopté l'Orthodoxie. C'est donc là que ce sont déroulées ses obsèques le 1 février, en présence de nombreux invités.
Une commémoration civile a eu lieu dans l'après-midi au théâtre Marigny, puis l'artiste a été inhumé au cimetière du Père-Lachaise.
Pour les dernières dix années la quantité d'États, à qui fait le service l'Eglise orthodoxe Russe, a augmenté de dix.
"En dix ans le nombre des pays où l'Eglise orthodoxe Russe est présente a augmenté de 10 "annonce un article analytique préparé par le patriarcat de Moscou pour le 10ème anniversaire du Concile local qui avait élu le patriarche Cyrille.
Il y a é ce jour 19 diocèses de l'église Russe en fonctionnement dans " l'étranger lointain" (hors des frontières traditionnelles de l'Église russe), dit l'article. On y compte actuellement plus de mille institutions (977 paroisses et 40 monastères) contre 356 en 2009.
"En dix ans le nombre des pays où l'Eglise orthodoxe Russe est présente a augmenté de 10 "annonce un article analytique préparé par le patriarcat de Moscou pour le 10ème anniversaire du Concile local qui avait élu le patriarche Cyrille.
Il y a é ce jour 19 diocèses de l'église Russe en fonctionnement dans " l'étranger lointain" (hors des frontières traditionnelles de l'Église russe), dit l'article. On y compte actuellement plus de mille institutions (977 paroisses et 40 monastères) contre 356 en 2009.
Le CENTRE SPIRITUEL ET CULTUREL ORTHODOXE RUSSE ACCUEILLE la Première exposition rétrospective d'IVAN KULEFF
Иван Артёмович Кюлев / иногда пишут Кулев/ 1983-1987
Ivan Kuleff (né en 1893 à Rostov-sur-le-Don – mort à Montmorency en 1987) est un peintre mystique et mystérieux qui excellait aussi bien dans la peinture d’icônes que dans l’art profane.
Réfugié en France en 1927 après la révolution bolchévique et cinq ans de pérégrinations dans les Balkans, il a peint inlassablement malgré les vicissitudes de la vie.
A partir d’une centaine d’œuvres, pour la plupart intimes qui n’ont jamais été présentées, l’exposition qui embrasse 60 années de sa production, dévoile les différentes facettes de son art.
Иван Артёмович Кюлев / иногда пишут Кулев/ 1983-1987
Ivan Kuleff (né en 1893 à Rostov-sur-le-Don – mort à Montmorency en 1987) est un peintre mystique et mystérieux qui excellait aussi bien dans la peinture d’icônes que dans l’art profane.
Réfugié en France en 1927 après la révolution bolchévique et cinq ans de pérégrinations dans les Balkans, il a peint inlassablement malgré les vicissitudes de la vie.
A partir d’une centaine d’œuvres, pour la plupart intimes qui n’ont jamais été présentées, l’exposition qui embrasse 60 années de sa production, dévoile les différentes facettes de son art.
En présence de représentations de 9 Églises locales. 5 manquaient à l'appel
Une réception solennelle a été donnée dans le grand salon du Kremlin pour le 10e anniversaire du Concile local de l'Église russe et de l'intronisation du patriarche Cyrille, en présence du président Poutine et du patriarche Cyrille avec la participations très significatives de représentants de 9 Églises locales, dont trois primats:
- Le Patriarche d'Antioche et de tout l'Orient avec les délégués du Patriarcat d'Antioche Jean X et les délégués du Patriarcat d'Antioche
- Le Patriarche de Serbie Irinée avec les délégués du Patriarcat de Serbie
- Le Métropolite des terres Tchèques et de Slovaquie Rostislav avec la délégation de l'Eglise des terres Tchèques et de Slovaquie
- La délégation du patriarcat d'Alexandrie
- La délégation du patriarcat de Géorgie
Une réception solennelle a été donnée dans le grand salon du Kremlin pour le 10e anniversaire du Concile local de l'Église russe et de l'intronisation du patriarche Cyrille, en présence du président Poutine et du patriarche Cyrille avec la participations très significatives de représentants de 9 Églises locales, dont trois primats:
- Le Patriarche d'Antioche et de tout l'Orient avec les délégués du Patriarcat d'Antioche Jean X et les délégués du Patriarcat d'Antioche
- Le Patriarche de Serbie Irinée avec les délégués du Patriarcat de Serbie
- Le Métropolite des terres Tchèques et de Slovaquie Rostislav avec la délégation de l'Eglise des terres Tchèques et de Slovaquie
- La délégation du patriarcat d'Alexandrie
- La délégation du patriarcat de Géorgie
Le monde orthodoxe connaît actuellement une situation plus que compliquée en Ukraine; il s'agit, en particulier, de l'octroi par le Phanar d'un Tomos Les choses se répètent, l’Archevêché a connu une situation similaire en 1998-2000. Le texte qui suit reflète la stricte réalité. Il en existe des témoins.
Le 18 octobre 1999 une enveloppe froissée du Patriarcat arriva en courrier simple à l’Archevêché. Mais....le texte de Tomos, en grec exclusivement contenu dans l'enveloppe n’était pas celui proclamé, ni sur les dix points essentiels ni sur le préambule, mais à quelques détails près un nouveau texte très proche de celui qui avait été apporté de Constantinople, par le Métropolite Méliton, le 19 juin 1999.Des remarques sur ce texte furent rédigées avec Mgr Serge...... De nouveau il y eu des rencontres avec Mgr Jérémie, très gêné, des appels téléphoniques directs au Patriarche Bartholomée. Le 11 novembre 1999 Mgr Serge, Mgr Jérémie et le secrétaire de l’Archevêché se retrouvaient à Constantinople dans le bureau du Patriarche Œcuménique en sa présence et celle de Mgr Méliton. Entrevue orageuse....
Le « TOMOS »
Après les, laborieuses, discussions pour l’acceptation par Constantinople, des nouveaux statuts de l’Archevêché, l’accord final pour ces statuts fut fêté le 3 décembre 1997 dans le bureau même du Patriarche. C’est dans ce climat d’euphorie que fut soulevé par un des membres de la délégation de l’Archevêché le problème de la « dépendance » de fait de l’Archevêché vis-à-vis de la Métropole de France ( Mgr Jérémie était présent ). Le Patriarche accepta les remarques faites et dit même « je suis au courant » et il dit à Mgr Serge « proposez moi quelque chose . Je suis d’accord pour que vous soyez associés à la rédaction du texte qui définira votre large autonomie » Un compte rendu de ce voyage fut rédigé et un exemplaire remis à Mgr Jérémie.
C’est ainsi que le 16 décembre 1997 le Conseil de l’Archevêché créait un groupe de travail pour élaborer une proposition pour le Conseil. Furent désignés pour participer à ce Groupe de Travail : les pères Boris Bobrinskoy, Nicolas Ozoline, Nicolas Rehbinder et Michel Milkovitch, Antoine Nivière, Serge Obolensky, Vadim Tichonicky, Basile de Tiesenhausen.
Le 26 février 1998 le groupe présentait au Conseil un texte ayant obtenu le consensus de tous ses membres. Les points qui - de l’avis du groupe - devaient, d’après eux, figurer obligatoirement dans le texte final qui serait élaboré à Constantinople étaient :
Le 18 octobre 1999 une enveloppe froissée du Patriarcat arriva en courrier simple à l’Archevêché. Mais....le texte de Tomos, en grec exclusivement contenu dans l'enveloppe n’était pas celui proclamé, ni sur les dix points essentiels ni sur le préambule, mais à quelques détails près un nouveau texte très proche de celui qui avait été apporté de Constantinople, par le Métropolite Méliton, le 19 juin 1999.Des remarques sur ce texte furent rédigées avec Mgr Serge...... De nouveau il y eu des rencontres avec Mgr Jérémie, très gêné, des appels téléphoniques directs au Patriarche Bartholomée. Le 11 novembre 1999 Mgr Serge, Mgr Jérémie et le secrétaire de l’Archevêché se retrouvaient à Constantinople dans le bureau du Patriarche Œcuménique en sa présence et celle de Mgr Méliton. Entrevue orageuse....
Le « TOMOS »
Après les, laborieuses, discussions pour l’acceptation par Constantinople, des nouveaux statuts de l’Archevêché, l’accord final pour ces statuts fut fêté le 3 décembre 1997 dans le bureau même du Patriarche. C’est dans ce climat d’euphorie que fut soulevé par un des membres de la délégation de l’Archevêché le problème de la « dépendance » de fait de l’Archevêché vis-à-vis de la Métropole de France ( Mgr Jérémie était présent ). Le Patriarche accepta les remarques faites et dit même « je suis au courant » et il dit à Mgr Serge « proposez moi quelque chose . Je suis d’accord pour que vous soyez associés à la rédaction du texte qui définira votre large autonomie » Un compte rendu de ce voyage fut rédigé et un exemplaire remis à Mgr Jérémie.
C’est ainsi que le 16 décembre 1997 le Conseil de l’Archevêché créait un groupe de travail pour élaborer une proposition pour le Conseil. Furent désignés pour participer à ce Groupe de Travail : les pères Boris Bobrinskoy, Nicolas Ozoline, Nicolas Rehbinder et Michel Milkovitch, Antoine Nivière, Serge Obolensky, Vadim Tichonicky, Basile de Tiesenhausen.
Le 26 février 1998 le groupe présentait au Conseil un texte ayant obtenu le consensus de tous ses membres. Les points qui - de l’avis du groupe - devaient, d’après eux, figurer obligatoirement dans le texte final qui serait élaboré à Constantinople étaient :
Dimanche 27 janvier 2019, en la fête de la translation des reliques de saint Jean Chrysostome.
Cela fait maintenant plus d’un quart de siècle, depuis précisément l’automne 1990, que je consacre une part significative de ma vie à l’Institut Saint-Serge en tâchant de rendre aux jeunes générations un peu de l’enseignement théologique que j’ai reçu de mes aînés. Il y a trois ans de cela, en juin 2015, mes collègues m’ont demandé d’en assumer la présidence, estimant que mon existence publique et mon expérience professionnelle leur seraient utiles pour endiguer les difficultés et les hostilités que subissait notre école.
Moi-même, dans l’instant, j’y ai vu l’opportunité d’enfin procéder aux réformes indispensables que j’avais à plusieurs reprises prônées, mais que tous désormais, administrateurs, enseignants et personnels, ne pouvaient que savoir impératives à moins de faillir à maintenir et à poursuivre la vocation que nous avions devoir de transmettre.
Cette mission, je l’ai acceptée hier par esprit de solidarité et j’y renonce aujourd’hui par souci de vérité.
Cela fait maintenant plus d’un quart de siècle, depuis précisément l’automne 1990, que je consacre une part significative de ma vie à l’Institut Saint-Serge en tâchant de rendre aux jeunes générations un peu de l’enseignement théologique que j’ai reçu de mes aînés. Il y a trois ans de cela, en juin 2015, mes collègues m’ont demandé d’en assumer la présidence, estimant que mon existence publique et mon expérience professionnelle leur seraient utiles pour endiguer les difficultés et les hostilités que subissait notre école.
Moi-même, dans l’instant, j’y ai vu l’opportunité d’enfin procéder aux réformes indispensables que j’avais à plusieurs reprises prônées, mais que tous désormais, administrateurs, enseignants et personnels, ne pouvaient que savoir impératives à moins de faillir à maintenir et à poursuivre la vocation que nous avions devoir de transmettre.
Cette mission, je l’ai acceptée hier par esprit de solidarité et j’y renonce aujourd’hui par souci de vérité.
Mercredi, la paroisse de San Remo (église du Christ-Sauveur, de saint Séraphin de Sarov et de sainte Catherine, photographie ci-dessus), en Italie, a annoncé qu’elle quittait l’Archevêché des églises orthodoxes russes en Europe occidentale pour l’Église orthodoxe russe hors-frontières.
Son recteur, le père Dionisyos Baïkov, a expliqué : « En raison des actions inacceptables de l’archidiocèse d’Italie et de Malte du Patriarcat de Constantinople envers notre paroisse et le recteur, il nous est impossible de rester en communion avec le Patriarcat de Constantinople. L’Archevêché des églises orthodoxes russes en Europe occidentale continue d’être en communion avec le Patriarcat de Constantinople, nous sommes profondément attristés d’abandonner cette juridiction. Nous espérons que l’assemblée du 23 février à Paris choisira de revenir sous l’Église mère russe. »
Son recteur, le père Dionisyos Baïkov, a expliqué : « En raison des actions inacceptables de l’archidiocèse d’Italie et de Malte du Patriarcat de Constantinople envers notre paroisse et le recteur, il nous est impossible de rester en communion avec le Patriarcat de Constantinople. L’Archevêché des églises orthodoxes russes en Europe occidentale continue d’être en communion avec le Patriarcat de Constantinople, nous sommes profondément attristés d’abandonner cette juridiction. Nous espérons que l’assemblée du 23 février à Paris choisira de revenir sous l’Église mère russe. »
UKRAINE: bis repetita!
Le 23 janvier le père Dionysos Baïkov, recteur de la paroisse du Christ Sauveur à San Remo (Italie), a été interdit d’officier par le métropolite Guennadios, patriarcat de Constantinople. Il en a informé le quotidien Nezavissimaya Gazeta :
« Plusieurs clercs, dont moi, avions plusieurs jours durant reçu des lettres envoyées par le métropolite Guennadios Zervos. Il exigeait de nous de le commémorer lors des offices. C’est le 23 janvier que j’ai reçu ce message, je n’ai pas donné suite. Je continue à commémorer notre évêque ainsi que Monseigneur Jean de Charioupolis, notre exarque. En ayant été informé le métropolite Guennadios a décidé de m’interdire ».
La communauté orthodoxe de San Remo a déclaré qu’elle considère comme anti-canonique les décisions de l’évêque dépendant de Constantinople. Elle a l’intention de continuer jusqu’au 23 février, date de l’Assemblée générale à observer les statuts de l’Archevêché.
Le 23 janvier le père Dionysos Baïkov, recteur de la paroisse du Christ Sauveur à San Remo (Italie), a été interdit d’officier par le métropolite Guennadios, patriarcat de Constantinople. Il en a informé le quotidien Nezavissimaya Gazeta :
« Plusieurs clercs, dont moi, avions plusieurs jours durant reçu des lettres envoyées par le métropolite Guennadios Zervos. Il exigeait de nous de le commémorer lors des offices. C’est le 23 janvier que j’ai reçu ce message, je n’ai pas donné suite. Je continue à commémorer notre évêque ainsi que Monseigneur Jean de Charioupolis, notre exarque. En ayant été informé le métropolite Guennadios a décidé de m’interdire ».
La communauté orthodoxe de San Remo a déclaré qu’elle considère comme anti-canonique les décisions de l’évêque dépendant de Constantinople. Elle a l’intention de continuer jusqu’au 23 février, date de l’Assemblée générale à observer les statuts de l’Archevêché.
V.Golovanow
Comme nous somme dans l’après fête de la Théophanie, je vous propose ces photos historiques de la célébration au corps expéditionnaire russe sur le front de Champagne en janvier 1917.
L’explication que donne le journaliste sous les photos est particulièrement savoureuse !
"LE MIROIR" était un hebdomadaire illustré lancé en 1910 comme supplément du Petit Parisien, puis comme périodique autonome à partir de janvier 1912. Il contenant essentiellement des photographies d'actualité. Il devient "Le Miroir des sports » en juillet 1920.
Comme nous somme dans l’après fête de la Théophanie, je vous propose ces photos historiques de la célébration au corps expéditionnaire russe sur le front de Champagne en janvier 1917.
L’explication que donne le journaliste sous les photos est particulièrement savoureuse !
"LE MIROIR" était un hebdomadaire illustré lancé en 1910 comme supplément du Petit Parisien, puis comme périodique autonome à partir de janvier 1912. Il contenant essentiellement des photographies d'actualité. Il devient "Le Miroir des sports » en juillet 1920.
Le patriarcat de l'Eglise de Géorgie a déclaré: "Nous estimons inadmissibles les pressions exercées par certains politiques et ONG en ce qui concerne la reconnaissance de la nouvelle Eglise d'Ukraine.
Ils jouent sur les mots: "Ceux qui ne soutiennent pas la nouvelle entité ecclésiale en Ukraine /ayant récemment reçue un Tomos de Constantinople/ - sont des pro-russes".
Notre Eglise estime que cette question mérite un examen en profondeur, elle préoccupe les membres du Saint Synode. C'est exclusivement sur les bases du droit canon qu'une décision sera adoptée. Nous sommes en contact avec les Eglises locales et savons que l'Eglise grecque ainsi que les Eglises des pays orthodoxes n'ont pas une approche univoque de la situation". Source Патриархия Грузии считает недопустимым давление в вопросе признания новой украинской церкви
Ils jouent sur les mots: "Ceux qui ne soutiennent pas la nouvelle entité ecclésiale en Ukraine /ayant récemment reçue un Tomos de Constantinople/ - sont des pro-russes".
Notre Eglise estime que cette question mérite un examen en profondeur, elle préoccupe les membres du Saint Synode. C'est exclusivement sur les bases du droit canon qu'une décision sera adoptée. Nous sommes en contact avec les Eglises locales et savons que l'Eglise grecque ainsi que les Eglises des pays orthodoxes n'ont pas une approche univoque de la situation". Source Патриархия Грузии считает недопустимым давление в вопросе признания новой украинской церкви
Le président Porochenko s'est rendu en Israël, accompagné d'une nombreuse délégation comprenant des prêtres de l'église d'Ukraine nouvellement constituée avec à sa tête le métropolite Épiphane.
Le 21 janvier il a été reçu par le premier-ministre Benjamin Netaniyahu, ceci à l'occasion de la signature d'un accord de libre échange entre les deux pays.
Le programme du président ukrainien prévoyait une visite au Saint Sépulcre ainsi qu'une rencontre avec le patriarche Théophile III
Porochenko avait l'intention de s’entretenir avec le patriarche de la reconnaissance de l'église d'Ukraine, patriarcat de Constantinople. Nous apprenons que cette rencontre n'aura pas lieu le patriarche l'ayant annulée car souffrant. Source
Par contre aujourd'hui mardi 22 janvier, le patriarche Théophile a reçu des pèlerins de l'Eglise d'Ukraine canonique accompagnés par le métropolite d'Odesse Agathangel. Selon une dépêche d'Interfax, dans son adresse aux fideles ukrainiens auxquels il donna sa bénédiction, le patriarche a souligné qu'il priait spécialement pour la paix en Ukraine.
Le 21 janvier il a été reçu par le premier-ministre Benjamin Netaniyahu, ceci à l'occasion de la signature d'un accord de libre échange entre les deux pays.
Le programme du président ukrainien prévoyait une visite au Saint Sépulcre ainsi qu'une rencontre avec le patriarche Théophile III
Porochenko avait l'intention de s’entretenir avec le patriarche de la reconnaissance de l'église d'Ukraine, patriarcat de Constantinople. Nous apprenons que cette rencontre n'aura pas lieu le patriarche l'ayant annulée car souffrant. Source
Par contre aujourd'hui mardi 22 janvier, le patriarche Théophile a reçu des pèlerins de l'Eglise d'Ukraine canonique accompagnés par le métropolite d'Odesse Agathangel. Selon une dépêche d'Interfax, dans son adresse aux fideles ukrainiens auxquels il donna sa bénédiction, le patriarche a souligné qu'il priait spécialement pour la paix en Ukraine.
L'Eglise orthodoxe d'Ukraine avec à sa tête le métropolite Onuphre a procédé à une enquête pour conclure que les paroisses le prétendu "patriarche" Philarète persuade de transiter sous l'omophore de Constantinople ne peuvent le faire car cette entité n'est pas officiellement reconnue en Ukraine. Le pèle-mêle se perpétue dans le pays. Philaret affirme être toujours le Patriarche de Kiev!
Les responsables des soviets de district et de village organisent des réunions pour convaincre les fidèles de se placer sous l'autorité du métropolite Épiphane. En réalité il s'agit du prétendu patriarcat de Kiev dirigé par Philarète Denissenko. Source
Les responsables des soviets de district et de village organisent des réunions pour convaincre les fidèles de se placer sous l'autorité du métropolite Épiphane. En réalité il s'agit du prétendu patriarcat de Kiev dirigé par Philarète Denissenko. Source
Cette chorale, dirigée par Marina Politova, a participé au très populaire programme « Lumière dans la nuit du dimanche » animé par Edouard Baer, journaliste, acteur et auteur de films. L’émission comprenait des chants de Noël en russe et en français. Elle a eu lieu le soir du 13 janvier 2019.
En voici l’enregistrement >>> "France Inter"
En voici l’enregistrement >>> "France Inter"
Certains médias ukrainiens ont relevé que le Tomos octroyant l'autocéphalie à la nouvelle église n'a pas été signé par l'ensemble des membres du synode du patriarcat de Constantinople.
Il s'en est suivi une situation insolite: il a fallu faire revenir le document d'Ukraine à Istanbul La moitié des dignitaires de l'Eglise ayant apposé leurs signatures ne font pas partie du synode. De nombreux membres attitrés du synode ont refusé de signer.
Il s'en est suivi une situation insolite: il a fallu faire revenir le document d'Ukraine à Istanbul La moitié des dignitaires de l'Eglise ayant apposé leurs signatures ne font pas partie du synode. De nombreux membres attitrés du synode ont refusé de signer.
Le 8/20 décembre nous nous souvenons de la naissance de Sainte Mère Marie Skobtsov
Le Centre Culturel Mère Marie /Skobtsov 1891-1945 / a été créé cet été pour mettre en valeur l'héritage culturel, social, spirituel et caritatif de Mère Marie.
Le Centre propose, organise, ou participe à des actions, des rencontres, des échanges, permettant une réflexion élargie autour de la personne de Mère Marie, et de faire vivre son héritage et à le faire mieux connaître au-delà des milieux orthodoxes. Mère Marie a en effet su toucher des gens de milieux et de cercles très divers, croyants ou non croyants.
Les activités du centre pourront porter sur des expositions, conférences, publications, projections, activités théâtrales, traductions, et tout ce qui contribue à la transmission du message de Mère Marie et à sa connaissance. Mère Marie devient de plus en connue de par le monde. Des ouvrages, des conférences, des expositions lui sont consacrés.
Le Centre Culturel Mère Marie /Skobtsov 1891-1945 / a été créé cet été pour mettre en valeur l'héritage culturel, social, spirituel et caritatif de Mère Marie.
Le Centre propose, organise, ou participe à des actions, des rencontres, des échanges, permettant une réflexion élargie autour de la personne de Mère Marie, et de faire vivre son héritage et à le faire mieux connaître au-delà des milieux orthodoxes. Mère Marie a en effet su toucher des gens de milieux et de cercles très divers, croyants ou non croyants.
Les activités du centre pourront porter sur des expositions, conférences, publications, projections, activités théâtrales, traductions, et tout ce qui contribue à la transmission du message de Mère Marie et à sa connaissance. Mère Marie devient de plus en connue de par le monde. Des ouvrages, des conférences, des expositions lui sont consacrés.
Il convient de rappeler que le statut de la nouvelle Eglise a été élaboré par le Phanar. Ce texte n'a pas été validé ni par Philarète , ni par Macaire
L'archevêque Daniel de Pamphilon, exarque du Patriarcat de Constantinople , a déclaré dans le cadre d'une interview accordée à la BBC: "Tout amendement au statut, fut-il mineur, doit être porté à notre connaissance. En effet, le statut a été élaboré par le Phanar.
Pour ce qui est des changements de fond concernant, par exemple, le primat ou le président du synode, ils doivent être soumis au patriarche de Constantinople Bartholomée en personne. C'est Constantinople qui a proclamé le statut et qui a octroyé le Tomos. Kiev pourrait dire "nous ne souhaitons pas être une métropole, nous sommes un patriarcat". De telles déclarations se font déjà entendre. Or, ceci est impossible car un patriarcat ne saurait être autoproclamé".
L'archevêque Daniel de Pamphilon, exarque du Patriarcat de Constantinople , a déclaré dans le cadre d'une interview accordée à la BBC: "Tout amendement au statut, fut-il mineur, doit être porté à notre connaissance. En effet, le statut a été élaboré par le Phanar.
Pour ce qui est des changements de fond concernant, par exemple, le primat ou le président du synode, ils doivent être soumis au patriarche de Constantinople Bartholomée en personne. C'est Constantinople qui a proclamé le statut et qui a octroyé le Tomos. Kiev pourrait dire "nous ne souhaitons pas être une métropole, nous sommes un patriarcat". De telles déclarations se font déjà entendre. Or, ceci est impossible car un patriarcat ne saurait être autoproclamé".
Chers Amis, Une définition de la synodalité [1] au niveau paroissiale doit pas être formelle, mais le fruit des expériences partagées. Est-ce que d’ici Pâques grâce aux échanges par mail nous pourrions pas enrichir ce petit texte pour nous redonner confiance et espoir dans l’orthodoxie en France ?
La Synodalité en l’herbe
Jean 10 : 14-16 " Moi, je suis le bon pasteur ; je connais mes brebis, et mes brebis me connaissent, comme le Père me connaît, et que je connais le Père ; et je donne ma vie pour mes brebis. J’ai encore d’autres brebis, qui ne sont pas de cet enclos : celles-là aussi, il faut que je les conduise. Elles écouteront ma voix : il y aura un seul troupeau et un seul pasteur."
En remontant vers notre évêque on rejoint à travers lui l’église partout dans le monde, tous les paroisses et diocèses. Ce lien est garanti par le Christ ; cette dimension Christique se perpétue par nos relations, nos communions avec d’autres paroisses. Il est important que localement ses contacts soient réguliers et que nos amitiés construisent ensemble une foi plus solide. Cela demande une ouverture plus que fraternelle aussi théologique. Que chacun (re-)prend l’habitude d’aller prier avec les autres paroisses les plus proches sur le jour de leur saint patron. Ces échanges pour être informelles ne sont pas sans théologie car on se rend compte qu’ainsi le Christ nous réunit dans une seule foi. Il est le berger de tous et de toutes. Chaque évêque reçoit « le charisme de vérité » (déjà chez St. Irénée de Lyon) ; il est chez lui et libre et maitre dans son diocèse ; il ne doit pas intervenir dans le diocèse du voisin.
Chaque église par son eucharistie manifeste l’église universelle et c’est cette catholicité locale qui est affermé par les synodes des évêques. Le 4è canon du 1è Concile œcuménique de Nicée (325) insiste que l’évêque doit être choisi par ceux de son diocèse, mais par contre en Europe occidentale nos diocèse sont si mélangés, comme tout le monde le sait, que ce choix « interne » est souvent impossible faute de candidats. Il ne reste que l’eucharistie pour exprimer notre commun adoption et filiation en Christ que nous cherchant à suivre. Le réunion des communautés locales devrait être l’occasion comme dans les Actes des Apotres (15 :4) « …de rapporter tout ceux que Dieu avait fait avec eux » et donc de rendre grâce.
Pour approfondir notre conscience ecclésiale, on pourrait faire ressentir notre adoption comme fils de Dieu tout au long de notre vie en se rappelant, en remémorant les six faits suivants.
La Synodalité en l’herbe
Jean 10 : 14-16 " Moi, je suis le bon pasteur ; je connais mes brebis, et mes brebis me connaissent, comme le Père me connaît, et que je connais le Père ; et je donne ma vie pour mes brebis. J’ai encore d’autres brebis, qui ne sont pas de cet enclos : celles-là aussi, il faut que je les conduise. Elles écouteront ma voix : il y aura un seul troupeau et un seul pasteur."
En remontant vers notre évêque on rejoint à travers lui l’église partout dans le monde, tous les paroisses et diocèses. Ce lien est garanti par le Christ ; cette dimension Christique se perpétue par nos relations, nos communions avec d’autres paroisses. Il est important que localement ses contacts soient réguliers et que nos amitiés construisent ensemble une foi plus solide. Cela demande une ouverture plus que fraternelle aussi théologique. Que chacun (re-)prend l’habitude d’aller prier avec les autres paroisses les plus proches sur le jour de leur saint patron. Ces échanges pour être informelles ne sont pas sans théologie car on se rend compte qu’ainsi le Christ nous réunit dans une seule foi. Il est le berger de tous et de toutes. Chaque évêque reçoit « le charisme de vérité » (déjà chez St. Irénée de Lyon) ; il est chez lui et libre et maitre dans son diocèse ; il ne doit pas intervenir dans le diocèse du voisin.
Chaque église par son eucharistie manifeste l’église universelle et c’est cette catholicité locale qui est affermé par les synodes des évêques. Le 4è canon du 1è Concile œcuménique de Nicée (325) insiste que l’évêque doit être choisi par ceux de son diocèse, mais par contre en Europe occidentale nos diocèse sont si mélangés, comme tout le monde le sait, que ce choix « interne » est souvent impossible faute de candidats. Il ne reste que l’eucharistie pour exprimer notre commun adoption et filiation en Christ que nous cherchant à suivre. Le réunion des communautés locales devrait être l’occasion comme dans les Actes des Apotres (15 :4) « …de rapporter tout ceux que Dieu avait fait avec eux » et donc de rendre grâce.
Pour approfondir notre conscience ecclésiale, on pourrait faire ressentir notre adoption comme fils de Dieu tout au long de notre vie en se rappelant, en remémorant les six faits suivants.
Le 8 janvier, le président Porochenko a décerné le titre de « Héros de l’Ukraine » au « patriarche d’honneur » de la nouvelle Eglise d’Ukraine Philarète Denissenko. Lors de la remise de la décoration il a souligné que Philarète « est le leader spirituel » du peuple ukrainien ».
Philaret affirme être toujours le Patriarche de Kiev! Le vieux «patriarche» n’est pas prêt de prendre sa retraite. Au cours d’une liturgie célébrée le 8 janvier au monastère Saint-Michel-au-Dôme-d’or de Kiev, le «patriarche Philaret» a déclaré que l’élection du jeune métropolite Epiphane à la tête de la nouvelle Église orthodoxe d’Ukraine ne remettait pas en question sa position de patriarche de l’Église.
« Aujourd’hui, nous avons pour primat de l’Église orthodoxe d’Ukraine le bienheureux métropolite Epiphane, mais j’en demeure le patriarche », a-t-il affirmé au cours d’une cérémonie durant laquelle il a célébré la reconnaissance officielle par le patriarcat de Constantinople le 6 janvier de cette nouvelle Eglise née de la fusion de l’Église orthodoxe de Kiev et de l’Église ukrainienne autocéphale. La Croix
Le 9 janvier, des membres du synode de Constantinople ont validé un tomos octroyant l’autocéphalie à l’Eglise d’Ukraine. Porochenko s’est adressé à l’ensemble des Eglises locale souhaitant qu’elles reconnaissent l’autocéphalie.
Mike Pompeo, secrétaire d'Etat des USA estime que l'octroi de l'autocéphalie à la nouvelle église d'Ukraine est un événement historique pour l'avenir de ce pays! Les Etats-Unis expriment leur soutien indéfectible à la souveraineté et à l'indépendance de l'Ukraine.
Plusieurs Eglises locales /Pologne, Serbie, Hellade, Antioche… / ont d’ores et déjà déclaré ne pas reconnaître la nouvelle autocéphalie. L’archevêque de Chypre Chrysostome II au sujet de l’Ukraine dit : « Ce qui prime actuellement, ce n’est pas l’autocéphalie, mais que l’orthodoxie ne se divise pas »
Philaret affirme être toujours le Patriarche de Kiev! Le vieux «patriarche» n’est pas prêt de prendre sa retraite. Au cours d’une liturgie célébrée le 8 janvier au monastère Saint-Michel-au-Dôme-d’or de Kiev, le «patriarche Philaret» a déclaré que l’élection du jeune métropolite Epiphane à la tête de la nouvelle Église orthodoxe d’Ukraine ne remettait pas en question sa position de patriarche de l’Église.
« Aujourd’hui, nous avons pour primat de l’Église orthodoxe d’Ukraine le bienheureux métropolite Epiphane, mais j’en demeure le patriarche », a-t-il affirmé au cours d’une cérémonie durant laquelle il a célébré la reconnaissance officielle par le patriarcat de Constantinople le 6 janvier de cette nouvelle Eglise née de la fusion de l’Église orthodoxe de Kiev et de l’Église ukrainienne autocéphale. La Croix
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Le patriarche d’Antioche Jean X considère qu’il est irraisonnable de mettre fin au schisme ukrainien au prix de l’unité du monde orthodoxe
Les événements en Ukraine provoquent l’inquiétude non pas seulement en raison de la désunion qu’ils provoquent dans le monde orthodoxe, mais aussi parce que, dans cette situation, il n’a pas été prêté attention à l’opinion des Églises orthodoxes locales.
Lire: Le métropolite de Varsovie Sava, primat de l’Église orthodoxe de Pologne rejette la demande du patriarche de Bartholomée de reconnaître la nouvelle « Église autocéphale d’Ukraine »
C’est ce qu’a déclaré le patriarche d’Antioche Jean X en réponse à la lettre du patriarche de Constantinople Bartholomée dans laquelle celui-ci annonçait son intention d’octroyer l’autocéphalie à « l’Église orthodoxe d’Ukraine ».
Les événements en Ukraine provoquent l’inquiétude non pas seulement en raison de la désunion qu’ils provoquent dans le monde orthodoxe, mais aussi parce que, dans cette situation, il n’a pas été prêté attention à l’opinion des Églises orthodoxes locales.
Lire: Le métropolite de Varsovie Sava, primat de l’Église orthodoxe de Pologne rejette la demande du patriarche de Bartholomée de reconnaître la nouvelle « Église autocéphale d’Ukraine »
C’est ce qu’a déclaré le patriarche d’Antioche Jean X en réponse à la lettre du patriarche de Constantinople Bartholomée dans laquelle celui-ci annonçait son intention d’octroyer l’autocéphalie à « l’Église orthodoxe d’Ukraine ».
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