Plateforme libre de discussion
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FEDELE MENDICINO
Genève -Le propriétaire du lieu de prière tire la sonnette d’alarme: au moins trois millions de francs de travaux sont nécessaires. - Toitures, peintures intérieures, tuyauterie sont à refaire. L’Etat et la Ville se disent prêts à participer aux frais.
Elles ont beau toujours briller au soleil, les coupoles d’or de l’église russe ont perdu de leur éclat. La toiture fait grise mine et les murs de pierre s’effritent et se fendillent avec le temps et les intempéries. Quant aux décorations intérieures, dorures et icônes, elles sont également menacées par l’humidité ambiante.
«En comptant la peinture, la tuyauterie, le chauffage et les installations électriques, on arrive à des besoins de rénovation dépassant les trois millions de francs», estime Me Serguei Lakoutine, avocat de l’association Les amis de l’église orthodoxe russe. Il faut dire que les derniers grands travaux de rafraîchissement du lieu remontent à 1966.
340 000 francs pour les coupoles en or
Propriétaire du bâtiment classé, la Société de l’église russe tire la sonnette d’alarme et appelle à la générosité de tous depuis le début de l’année: fidèles, autorités consulaires et locales. «Tout doit être terminé pour 2016, date des 150 ans de ce monument historique», explique François Moser, membre de la Société de l’église russe. La récolte a d’ores et déjà été lancée dans la communauté russe de Genève via notamment le site Internet Nashia Gazeta.ch.
Genève -Le propriétaire du lieu de prière tire la sonnette d’alarme: au moins trois millions de francs de travaux sont nécessaires. - Toitures, peintures intérieures, tuyauterie sont à refaire. L’Etat et la Ville se disent prêts à participer aux frais.
Elles ont beau toujours briller au soleil, les coupoles d’or de l’église russe ont perdu de leur éclat. La toiture fait grise mine et les murs de pierre s’effritent et se fendillent avec le temps et les intempéries. Quant aux décorations intérieures, dorures et icônes, elles sont également menacées par l’humidité ambiante.
«En comptant la peinture, la tuyauterie, le chauffage et les installations électriques, on arrive à des besoins de rénovation dépassant les trois millions de francs», estime Me Serguei Lakoutine, avocat de l’association Les amis de l’église orthodoxe russe. Il faut dire que les derniers grands travaux de rafraîchissement du lieu remontent à 1966.
340 000 francs pour les coupoles en or
Propriétaire du bâtiment classé, la Société de l’église russe tire la sonnette d’alarme et appelle à la générosité de tous depuis le début de l’année: fidèles, autorités consulaires et locales. «Tout doit être terminé pour 2016, date des 150 ans de ce monument historique», explique François Moser, membre de la Société de l’église russe. La récolte a d’ores et déjà été lancée dans la communauté russe de Genève via notamment le site Internet Nashia Gazeta.ch.
Rédigé par l'équipe de rédaction le 19 Janvier 2010 à 19:33
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Nombre de nos lecteurs savent probablement qu’un site orthodoxe francophone pilote ces derniers jours "une discussion" à propos du séminaire orthodoxe d’Epinay s/Sénart.
Il ne s’y agit nullement de questions relevant de la doctrine de notre foi.
Mais de ragots et de règlements de compte du plus mauvais aloi.
C’est délibérément que « Parlons d’orthodoxie » se tient, pour l’instant du moins, à l’écart de ce vil débat.
Pour de simples raisons de salubrité.
L’équipe de rédaction
Il ne s’y agit nullement de questions relevant de la doctrine de notre foi.
Mais de ragots et de règlements de compte du plus mauvais aloi.
C’est délibérément que « Parlons d’orthodoxie » se tient, pour l’instant du moins, à l’écart de ce vil débat.
Pour de simples raisons de salubrité.
L’équipe de rédaction
Deux articles consacrés au séminaire orthodoxe russe à Épinay-sous-Sénart viennent de paraître sur le site de Voice of America et dans National Catholic Reporter.
Dans le premier, qui peut être lu à cette page, la vie et les objectifs du séminaire sont présentés brièvement, ainsi que des témoignages des étudiants et des enseignants.
Le deuxième article, analyse la signification de cette fondation dans les relations entre le patriarcat de Moscou et l'Église catholique romaine
Lien ICI
Dans le premier, qui peut être lu à cette page, la vie et les objectifs du séminaire sont présentés brièvement, ainsi que des témoignages des étudiants et des enseignants.
Le deuxième article, analyse la signification de cette fondation dans les relations entre le patriarcat de Moscou et l'Église catholique romaine
Lien ICI
L'émission de télévision sur France 2 "Orthodoxie", du dimanche 17 janvier, de 9h30 à 10 heures, proposera la première partie d'un reportage sur l'inauguration (1) du Séminaire russe du patriarcat de Moscou (à Epinay-sous-Sénart). La deuxième partie de cette émission sera diffusée le 14 février prochain.
Lien orthodoxie.com
Lien orthodoxie.com
La famille Romanov a saisi vendredi la justice russe pour réclamer la reprise de l'enquête criminelle sur l'exécution du dernier tsar de Russie Nicolas II close il y a un an, ont annoncé leurs représentants lors d'une conférence de presse à Moscou.
La famille Romanov a saisi vendredi la justice russe pour réclamer la reprise de l'enquête criminelle sur l'exécution du dernier tsar de Russie Nicolas II close il y a un an, ont annoncé leurs représentants lors d'une conférence de presse à Moscou.
La grande-duchesse Maria Vladimirovna, chef de la maison impériale Romanov, "a déposé une plainte au tribunal Basmanny de Moscou en demandant de juger illégale et infondée" la décision du comité d'enquête du parquet russe de clore l'enquête, a déclaré l'avocat Guerman Loukianov.
Elle demande également d'"obliger le comité d'enquête à lui fournir une copie de la résolution sur la fermeture de l'enquête", selon la même source.
La famille Romanov a saisi vendredi la justice russe pour réclamer la reprise de l'enquête criminelle sur l'exécution du dernier tsar de Russie Nicolas II close il y a un an, ont annoncé leurs représentants lors d'une conférence de presse à Moscou.
La grande-duchesse Maria Vladimirovna, chef de la maison impériale Romanov, "a déposé une plainte au tribunal Basmanny de Moscou en demandant de juger illégale et infondée" la décision du comité d'enquête du parquet russe de clore l'enquête, a déclaré l'avocat Guerman Loukianov.
Elle demande également d'"obliger le comité d'enquête à lui fournir une copie de la résolution sur la fermeture de l'enquête", selon la même source.
Mgr Hilarion (Alféev), archevêque de Volokolamsk, a rencontré le 12 janvier des représentants de la presse. Il a souligné que l’Eglise orthodoxe russe souhaite approfondir ses contacts avec l’Union Européenne et le Conseil de l’Europe.
« Notre dialogue doit essentiellement porter sur les aspects moraux et éthiques de la vie humaine. Nous croyons que lors de l’élaboration des textes législatifs il est indispensable de tenir compte de la vision religieuse, plutôt que séculière ou athée des choses. Les organisations européennes s’inspirent actuellement d’une certaine idéologie qui a mis longtemps à prendre forme. Nous constatons à regret qu’aujourd’hui cette idéologie a des problèmes éthiques et moraux une approche séculière et athée.
L’Eglise orthodoxe russe estime nécessaire de prendre en compte une conception religieuse du monde lors de l’élaboration de projets de loi ayant trait à l’éthique de la famille, à la fin de vie, à l’euthanasie. Il est impensable à nos yeux que l’athéisme soit considéré comme une sorte de dénominateur commun. Certains hommes politiques disent qu’il existe des divergences entre les religions. Aussi conviendrait-il de s’inspirer d’une vision agnostique afin de ne vexer personne. Une telle approche est à nos yeux totalement fausse et inacceptable. En effet, il y a bien plus de points communs que de divergences dans le domaine moral entre les confessions traditionnelles. Les organisations régionales européennes se doivent de prendre en comte les valeurs morales essentielles des communautés religieuses. La communauté chrétienne s’inspire de ces valeurs depuis de nombreux siècles.
« Notre dialogue doit essentiellement porter sur les aspects moraux et éthiques de la vie humaine. Nous croyons que lors de l’élaboration des textes législatifs il est indispensable de tenir compte de la vision religieuse, plutôt que séculière ou athée des choses. Les organisations européennes s’inspirent actuellement d’une certaine idéologie qui a mis longtemps à prendre forme. Nous constatons à regret qu’aujourd’hui cette idéologie a des problèmes éthiques et moraux une approche séculière et athée.
L’Eglise orthodoxe russe estime nécessaire de prendre en compte une conception religieuse du monde lors de l’élaboration de projets de loi ayant trait à l’éthique de la famille, à la fin de vie, à l’euthanasie. Il est impensable à nos yeux que l’athéisme soit considéré comme une sorte de dénominateur commun. Certains hommes politiques disent qu’il existe des divergences entre les religions. Aussi conviendrait-il de s’inspirer d’une vision agnostique afin de ne vexer personne. Une telle approche est à nos yeux totalement fausse et inacceptable. En effet, il y a bien plus de points communs que de divergences dans le domaine moral entre les confessions traditionnelles. Les organisations régionales européennes se doivent de prendre en comte les valeurs morales essentielles des communautés religieuses. La communauté chrétienne s’inspire de ces valeurs depuis de nombreux siècles.
Le Catholicos de tous les Arméniens Garéguine II est attendu les 21 et 22 janvier à Moscou où il s'entretiendra avec le patriarche de Moscou et de Toutes les Russies Cyrille, a annoncé mardi la Section des relations extérieures du Patriarcat de Moscou.
"En 2010, nous envisageons de continuer à développer nos relations avec les Églises chalcédoniennes (orthodoxes, ndlr). Notamment, le patriarche Cyrille rencontrera le Catholicos de tous les Arméniens Garéguine II qui arrivera le 21 janvier pour une visite de deux jours à Moscou", a indiqué l'archevêque Hilarion de Volokolamsk.
L'objectif principal de cette visite est l'assistance le 21 janvier à la cérémonie de remise des prix du Fonds international pour l'unité entre les peuples orthodoxes, dont il est lauréat.
Le Patriarcat a en outre signalé qu'en vue de la rencontre avec Garéguine II et avec les hauts responsables de l'Etat arménien, le patriarche Cyrille envisageait à son tour de se rendre à Erevan en mars.
RIA Novosti
"En 2010, nous envisageons de continuer à développer nos relations avec les Églises chalcédoniennes (orthodoxes, ndlr). Notamment, le patriarche Cyrille rencontrera le Catholicos de tous les Arméniens Garéguine II qui arrivera le 21 janvier pour une visite de deux jours à Moscou", a indiqué l'archevêque Hilarion de Volokolamsk.
L'objectif principal de cette visite est l'assistance le 21 janvier à la cérémonie de remise des prix du Fonds international pour l'unité entre les peuples orthodoxes, dont il est lauréat.
Le Patriarcat a en outre signalé qu'en vue de la rencontre avec Garéguine II et avec les hauts responsables de l'Etat arménien, le patriarche Cyrille envisageait à son tour de se rendre à Erevan en mars.
RIA Novosti
Le patriarche Bartholomée de Constantinople effectuera une visite officielle en Russie, dans la deuxième quinzaine de mai 2010, à l'invitation du primat de l'Église orthodoxe russe, le patriarche de Moscou Cyrille Ier, a annoncé lors d'une conférence de presse, le 12 janvier dernier, l'archevêque Hilarion (Alféïev), responsable du département des relations extérieures du patriarcat de Moscou. Le programme de cette visite comportera des célébrations liturgiques à Moscou, Vladimir, Souzdal et Saint-Pétersbourg, a-t-il été précisé. L'archevêque Hilarion, cité par l'agence de presse RIA-Novosti, avant d'estimer que cette visite avait été rendu possible grâce au fait qu'en 2009 s'était produite " une substantielle amélioration de nos relations avec le patriarcat de Constantinople " du fait de " la prise de conscience de la nécessité d'une coopération plus étroite entre les Églises orthodoxes locales".
Lors de la visite, l’été dernier, du patriarche Cyrille à Istanbul le patriarche Bartholomé avait déclaré : « Nous vous tendons notre main droite en signe d’amour sincère et non feint. L’actuel patriarche de Moscou a toujours été connu comme un brillant théologien et un fervent ouvrier de l’Evangile. Le peuple russe est un peuple empreint de piété, il est béni par Dieu ». Le patriarche de Constantinople a souligné que « les nuages qui, parfois, avaient obscurci les relations entre les deux Églises sœurs ne sont que passagers et ont vocation à disparaître . Personne n’est à même de porter dommage à l’unité qui nous a été donné dans le Calice ».
Lors de la visite, l’été dernier, du patriarche Cyrille à Istanbul le patriarche Bartholomé avait déclaré : « Nous vous tendons notre main droite en signe d’amour sincère et non feint. L’actuel patriarche de Moscou a toujours été connu comme un brillant théologien et un fervent ouvrier de l’Evangile. Le peuple russe est un peuple empreint de piété, il est béni par Dieu ». Le patriarche de Constantinople a souligné que « les nuages qui, parfois, avaient obscurci les relations entre les deux Églises sœurs ne sont que passagers et ont vocation à disparaître . Personne n’est à même de porter dommage à l’unité qui nous a été donné dans le Calice ».
Voici un bel article de " La CROIX " par Bruno BOUVET:
« Ce projet m’a ramené à certaines valeurs essentielles »
Durant sa détention, vécue « comme un moment de retraite intérieure », Gilles Grégoire a mûri un projet qu’il nourrissait depuis sa jeunesse : construire des bateaux en bois. À sa sortie, il est entré dans une école de charpente et, depuis quatre mois, il effectue un stage en Bretagne, au Chantier du Guip, où il participe à la restauration du dernier thonier en bois…
« Je rappelle toujours aux détenus que Dieu n’a pas de rétroviseur, indique le P. Frigaux. Il n’enferme pas les gens dans leur passé et ne les confond pas avec ce qu’ils ont fait. Cette cathédrale, je l’appellerais bien Notre-Dame de l’Ailleurs. »
La Cité de l’architecture et du patrimoine à Paris a fait l’acquisition d’une maquette de la cathédrale de Laon, réalisée par 57 détenus de la maison d’arrêt du Val-d’Oise
Six ans de travail, soit trente-cinq mille heures de construction patiente et ingénieuse, pour un projet mené au total par 57 détenus… et, au final, une entrée triomphale dans un musée national, la Cité de l’architecture et du patrimoine au Palais de Chaillot, à Paris.
N’importe quel esprit rationnel imagine qu’il a fallu un sacré chef de chantier et une incroyable foi en l’avenir pour assurer la continuité d’une telle entreprise, avec des « ouvriers » souvent appelés à finir leur peine ailleurs, voire à retrouver la liberté. Eh bien, non… À en croire le P. Dominique Frigaux, 75 ans, sa participation à la fantastique maquette de la cathédrale de Laon se résumerait à l’achat de kilomètres de papier millimétré et à de multiples allers-retours entre le Val-d’Oise et l’Aisne pour prendre des photos.
« Ce projet m’a ramené à certaines valeurs essentielles »
Durant sa détention, vécue « comme un moment de retraite intérieure », Gilles Grégoire a mûri un projet qu’il nourrissait depuis sa jeunesse : construire des bateaux en bois. À sa sortie, il est entré dans une école de charpente et, depuis quatre mois, il effectue un stage en Bretagne, au Chantier du Guip, où il participe à la restauration du dernier thonier en bois…
« Je rappelle toujours aux détenus que Dieu n’a pas de rétroviseur, indique le P. Frigaux. Il n’enferme pas les gens dans leur passé et ne les confond pas avec ce qu’ils ont fait. Cette cathédrale, je l’appellerais bien Notre-Dame de l’Ailleurs. »
La Cité de l’architecture et du patrimoine à Paris a fait l’acquisition d’une maquette de la cathédrale de Laon, réalisée par 57 détenus de la maison d’arrêt du Val-d’Oise
Six ans de travail, soit trente-cinq mille heures de construction patiente et ingénieuse, pour un projet mené au total par 57 détenus… et, au final, une entrée triomphale dans un musée national, la Cité de l’architecture et du patrimoine au Palais de Chaillot, à Paris.
N’importe quel esprit rationnel imagine qu’il a fallu un sacré chef de chantier et une incroyable foi en l’avenir pour assurer la continuité d’une telle entreprise, avec des « ouvriers » souvent appelés à finir leur peine ailleurs, voire à retrouver la liberté. Eh bien, non… À en croire le P. Dominique Frigaux, 75 ans, sa participation à la fantastique maquette de la cathédrale de Laon se résumerait à l’achat de kilomètres de papier millimétré et à de multiples allers-retours entre le Val-d’Oise et l’Aisne pour prendre des photos.
Mgr Hilarion, président du Département des relations extérieures du patriarcat de Moscou, estime qu’il ne convient pas de changer de calendrier ecclésial à la hâte. Les Églises orthodoxes serbes, géorgienne, de Jérusalem ont célébré Noël dans la nuit du 6 au 7 janvier, en même temps que l’Eglise russe. Les monastères du Mont Athos, les catholiques de rite oriental ainsi que certains protestants qui s’en tiennent au calendrier Julien ont fait de même. Le décalage entre les calendriers Julien et Grégorien est de treize jours. « Le nouveau style calendaire » a été introduit en Russie soviétique en 1918.
Les autres onze Églises orthodoxes ont célébré Noël dans la nuit du 24 au 25 décembre de même que la majorité des catholiques et des protestants.
Il faut préciser qu’il ne s’agit pas du calendrier Grégorien catholique mais de Nouveau calendrier Julien qui, jusqu’à présent, coïncide avec le calendrier Grégorien. En 2800 le décalage entre les deux calendriers deviendra de quatorze jours. Mgr Hilarion a déclaré à la radio « Écho de Moscou » : " Tous les fidèles doivent être prêts à accepter la coïncidence des calendriers ecclésiaux. Il ne serait pas admissible d’imposer de force la synchronisation des deux calendriers car cela risquerait d’avoir des conséquences indésirables. Nous avons l’exemple de la Grèce.
Les autres onze Églises orthodoxes ont célébré Noël dans la nuit du 24 au 25 décembre de même que la majorité des catholiques et des protestants.
Il faut préciser qu’il ne s’agit pas du calendrier Grégorien catholique mais de Nouveau calendrier Julien qui, jusqu’à présent, coïncide avec le calendrier Grégorien. En 2800 le décalage entre les deux calendriers deviendra de quatorze jours. Mgr Hilarion a déclaré à la radio « Écho de Moscou » : " Tous les fidèles doivent être prêts à accepter la coïncidence des calendriers ecclésiaux. Il ne serait pas admissible d’imposer de force la synchronisation des deux calendriers car cela risquerait d’avoir des conséquences indésirables. Nous avons l’exemple de la Grèce.
Les téléphones portables bénis par un prêtre dans une église de la City
Des employés de la City de Londres ont pu faire bénir leurs téléphones portables par un prêtre lundi au cours d'une cérémonie organisée dans une église du quartier financier de la capitale britannique.
Le service spécial en l'église St. Lawrence Jewry, qui date de 1136, a été suivi par quelque 80 personnes qui ont brandi leurs téléphones pendant la bénédiction, a expliqué à l'AFP le prêtre anglican David Parrott.
L'idée de cette bénédiction est venue d'une ancienne tradition chrétienne qui voulait que les travailleurs apportent leur outil de travail, comme leur charrue, pour le faire bénir le premier lundi après Noël.
Des employés de la City de Londres ont pu faire bénir leurs téléphones portables par un prêtre lundi au cours d'une cérémonie organisée dans une église du quartier financier de la capitale britannique.
Le service spécial en l'église St. Lawrence Jewry, qui date de 1136, a été suivi par quelque 80 personnes qui ont brandi leurs téléphones pendant la bénédiction, a expliqué à l'AFP le prêtre anglican David Parrott.
L'idée de cette bénédiction est venue d'une ancienne tradition chrétienne qui voulait que les travailleurs apportent leur outil de travail, comme leur charrue, pour le faire bénir le premier lundi après Noël.
Pour "Parlons d'orthodoxie", texte de Vladimir Golovanow
Le site géopolitique diploweb.com publie sous ce titre provocateur un article de Nathalie OUVAROFF Journaliste, correspondante à Moscou durant plusieurs années. Il commence bien – "Alors que s’approche le Noël orthodoxe, début janvier, il est utile de s’interroger sur la place de l’orthodoxie dans la Russie de 2010" et, après une analyse rapide des 20 dernières années en Russie, conclu lapidairement: "Il semble donc que la Russie s’orienterait plutôt vers une forme de « conservatisme social » dont l’orthodoxie serait une composante au même titre que les autres religions traditionnelles. Ce qui n’empêche pas de l’utiliser sur le plan international comme un étendard permettant de rallier, voire d’instrumentaliser, les communautés russes de l’étranger en cas de besoin."
L'approche est intéressante car l'auteur connaît bien la situation en Russie. Ce qu'il écrit n'est pas faux mais son analyse, si brève qu'elle en devient caricaturale, souffre surtout du défaut habituel chez les analystes occidentaux: on juge la situation en Russie à partir de critères occidentaux et en occultant complètement le contexte historique. Or la réalité russe ne rentre pas dans les cases de la grille d'analyse occidentale car l'échelle de valeurs des Russes n'est pas identique à celles des Occidentaux (qui croient leur échelle de valeurs universelles!). De ce fait il est difficile d'en rendre compte brièvement sans caricaturer et je prie mes lecteurs d'excuser la longueur inhabituelle de cet article.
Le site géopolitique diploweb.com publie sous ce titre provocateur un article de Nathalie OUVAROFF Journaliste, correspondante à Moscou durant plusieurs années. Il commence bien – "Alors que s’approche le Noël orthodoxe, début janvier, il est utile de s’interroger sur la place de l’orthodoxie dans la Russie de 2010" et, après une analyse rapide des 20 dernières années en Russie, conclu lapidairement: "Il semble donc que la Russie s’orienterait plutôt vers une forme de « conservatisme social » dont l’orthodoxie serait une composante au même titre que les autres religions traditionnelles. Ce qui n’empêche pas de l’utiliser sur le plan international comme un étendard permettant de rallier, voire d’instrumentaliser, les communautés russes de l’étranger en cas de besoin."
L'approche est intéressante car l'auteur connaît bien la situation en Russie. Ce qu'il écrit n'est pas faux mais son analyse, si brève qu'elle en devient caricaturale, souffre surtout du défaut habituel chez les analystes occidentaux: on juge la situation en Russie à partir de critères occidentaux et en occultant complètement le contexte historique. Or la réalité russe ne rentre pas dans les cases de la grille d'analyse occidentale car l'échelle de valeurs des Russes n'est pas identique à celles des Occidentaux (qui croient leur échelle de valeurs universelles!). De ce fait il est difficile d'en rendre compte brièvement sans caricaturer et je prie mes lecteurs d'excuser la longueur inhabituelle de cet article.
Invitation pour une conférence du père Georges Mitrofanov.
Cette rencontre sur le thème de son dernier livre « La tragédie de la Russie » se tiendra le 15 janvier à 19H dans la salle paroissiale, 87 Bd Exelmans 75016 PARIS
Sur le blog « Parlons d’orthodoxie » : Communisme et décommunisation: à propos du livre du père Georges Mitrofanov
Et ICI
Six chrétiens et un policier ont été tués mercredi soir à la sortie de la messe de Noël dans un village du sud de l’Égypte. Cet événement, le plus sanglant de ces dernières années, illustre le regain de tension entre coptes et musulmans égyptiens
Comme quelque huit millions de coreligionnaires, les coptes de Nag Hammadi, une ville moyenne de Haute-Égypte, célébraient Noël mercredi 6 janvier au soir. Mais à l’issue de la cérémonie religieuse, une voiture s’est arrêtée devant l’église Mar Girgis, la plus importante de la ville, et des hommes ont tiré sur la foule qui en sortait. Sept personnes ont été tuées, six coptes et un policier, et dix ont été blessées, dont deux musulmans.
suite ICI
Comme quelque huit millions de coreligionnaires, les coptes de Nag Hammadi, une ville moyenne de Haute-Égypte, célébraient Noël mercredi 6 janvier au soir. Mais à l’issue de la cérémonie religieuse, une voiture s’est arrêtée devant l’église Mar Girgis, la plus importante de la ville, et des hommes ont tiré sur la foule qui en sortait. Sept personnes ont été tuées, six coptes et un policier, et dix ont été blessées, dont deux musulmans.
suite ICI
Les chrétiens d'Orient fêtent Noël ce jeudi 7 janvier.
Ce jour correspond en effet au 25 décembre dans le calendrier julien, en usage dans la plupart des Églises chrétiennes d'Orient (y compris certaines Églises orientales unies à Rome).
Le calendrier julien (introduit en 46 av. J.-C. par Jules César) accuse en effet aujourd'hui un retard de 13 jours sur le calendrier grégorien en usage en Occident depuis la réforme décidée en 1582 par le pape Grégoire XIII.
À Moscou, dans une cathédrale Saint-Sauveur pleine à craquer, le patriarche Kirill de Moscou a souhaité jeudi 7 janvier un «soutien de Dieu» au président Dmitri Medvedev et l'a remercié«pour son action qui a aidé la Russie à "ne pas reculer au niveau de chute profonde, où elle s'est trouvée à la suite des turbulences politiques des années 1990».
Ce jour correspond en effet au 25 décembre dans le calendrier julien, en usage dans la plupart des Églises chrétiennes d'Orient (y compris certaines Églises orientales unies à Rome).
Le calendrier julien (introduit en 46 av. J.-C. par Jules César) accuse en effet aujourd'hui un retard de 13 jours sur le calendrier grégorien en usage en Occident depuis la réforme décidée en 1582 par le pape Grégoire XIII.
À Moscou, dans une cathédrale Saint-Sauveur pleine à craquer, le patriarche Kirill de Moscou a souhaité jeudi 7 janvier un «soutien de Dieu» au président Dmitri Medvedev et l'a remercié«pour son action qui a aidé la Russie à "ne pas reculer au niveau de chute profonde, où elle s'est trouvée à la suite des turbulences politiques des années 1990».
Office de Noël bilingue (slavon-français) ici (édition de la cathédrale orthodoxe russe de l'Exaltation de la Croix à Genève [[Eglise russe hors frontières:
Selon les paroles du staretz Porphyre (†1991) du Mont Athos, « les offices de l’Église sont les paroles avec lesquelles nous parlons à Dieu… Lorsque nous suivons tous ensemble les saints offices, les paroles du Seigneur avec les Évangiles, l’épître, les canons et les tropaires de l’octoèque, le triode, les ménées, nous atteignons notre union avec le Christ… Il faut aller à l’église d’une autre façon, non par obligation et par contrainte, mais avec plaisir. Pour en arriver là, il faut être attentif, trouver son plaisir dans l’office, les tropaires, les lectures, les prières. Il convient faire attention à chaque mot, de suivre son sens. Comprenez, c’est de là que commence la joie ! Les offices sont une grande oeuvre – c’est le tout. Je l’ai vécu. Il suffit que tout se fasse avec ardeur, intérêt, avec une attitude liturgique sincère, sans mélange, envers le Christ. Non pas comme une corvée, ni de façon mécanique ». Il faut également avoir conscience du fait que nos offices ont été composés par des saints qui nous communiquent ainsi leur expérience de prière. Nous avons donc la possibilité de nous adresser à Dieu avec les paroles qu’ils ont employées. Aussi convient-il de bien comprendre la langue liturgique. C’est ce qui nous a incités à publier cette édition bilingue de l’office de la Nativité du Christ, tel qu’il est célébré dans l’Église Orthodoxe Russe.
Selon les paroles du staretz Porphyre (†1991) du Mont Athos, « les offices de l’Église sont les paroles avec lesquelles nous parlons à Dieu… Lorsque nous suivons tous ensemble les saints offices, les paroles du Seigneur avec les Évangiles, l’épître, les canons et les tropaires de l’octoèque, le triode, les ménées, nous atteignons notre union avec le Christ… Il faut aller à l’église d’une autre façon, non par obligation et par contrainte, mais avec plaisir. Pour en arriver là, il faut être attentif, trouver son plaisir dans l’office, les tropaires, les lectures, les prières. Il convient faire attention à chaque mot, de suivre son sens. Comprenez, c’est de là que commence la joie ! Les offices sont une grande oeuvre – c’est le tout. Je l’ai vécu. Il suffit que tout se fasse avec ardeur, intérêt, avec une attitude liturgique sincère, sans mélange, envers le Christ. Non pas comme une corvée, ni de façon mécanique ». Il faut également avoir conscience du fait que nos offices ont été composés par des saints qui nous communiquent ainsi leur expérience de prière. Nous avons donc la possibilité de nous adresser à Dieu avec les paroles qu’ils ont employées. Aussi convient-il de bien comprendre la langue liturgique. C’est ce qui nous a incités à publier cette édition bilingue de l’office de la Nativité du Christ, tel qu’il est célébré dans l’Église Orthodoxe Russe.
L'Etat russe va restituer à l'Eglise orthodoxe le célèbre monastère de Novodevitchi à Moscou et continuer à lui rendre des lieux de culte qui avaient été confisqués par le régime soviétique, a promis mardi le Premier ministre Vladimir Poutine au patriarche Kirill.
"Nous prévoyons de libérer complètement le monastère de Novodevitchi en 2010 et de le rendre à l'Eglise orthodoxe russe", a déclaré M. Poutine, selon des images retransmises à la télévision russe, au cours d'une rencontre à la résidence du patriarche à Moscou.
"C'est une nouvelle très importante, eu égard à l'importance historique et spirituelle du monastère pour Moscou et pour tout le pays", a répondu Kirill, qui recevait le chef du gouvernement à l'occasion du Noël orthodoxe, célébré le 7 janvier.
Le monastère, l'un des plus anciens et des plus beaux de Russie, fondé en 1524, avait été fermé en 1922. Il a depuis le statut de musée - relevant du Musée historique d'Etat - même s'il a retrouvé son activité religieuse en 1994, trois ans après la chute de l'URSS.
"Nous prévoyons de libérer complètement le monastère de Novodevitchi en 2010 et de le rendre à l'Eglise orthodoxe russe", a déclaré M. Poutine, selon des images retransmises à la télévision russe, au cours d'une rencontre à la résidence du patriarche à Moscou.
"C'est une nouvelle très importante, eu égard à l'importance historique et spirituelle du monastère pour Moscou et pour tout le pays", a répondu Kirill, qui recevait le chef du gouvernement à l'occasion du Noël orthodoxe, célébré le 7 janvier.
Le monastère, l'un des plus anciens et des plus beaux de Russie, fondé en 1524, avait été fermé en 1922. Il a depuis le statut de musée - relevant du Musée historique d'Etat - même s'il a retrouvé son activité religieuse en 1994, trois ans après la chute de l'URSS.
Chers amis,
Ce lundi, la chère Nina Kauchtschischwili est passée de ce monde au Père.
Nous nous souvenons avec affection et gratitude de son travail passionné à l'organisation des Colloques œcuméniques internationaux de spiritualité orthodoxe, dont elle assurait avec nous le profil scientifique.
Nina Kauchtschischwili (20 août 1919 - 4 janvier 2010)
est passée de ce monde au Père.
Elle était une slaviste hors pair et une chercheuse infatigable de l'unité des chrétiens. Nous nous souvenons avec affection et gratitude de son travail passionné à l'organisation des Colloques œcuméniques internationaux de spiritualité orthodoxe - dont, dès le début, elle a assuré avec nous le profil scientifique de la section russe -, de son grand amour pour l'Église orthodoxe russe, de sa passion pour les interrogations profondes ouvertes par la pensée russe, dont elle était une extraordinaire connaisseuse, de sa foi vive, de son espérance ferme de l'unité des Églises voulue par le Seigneur.
Ce lundi, la chère Nina Kauchtschischwili est passée de ce monde au Père.
Nous nous souvenons avec affection et gratitude de son travail passionné à l'organisation des Colloques œcuméniques internationaux de spiritualité orthodoxe, dont elle assurait avec nous le profil scientifique.
Nina Kauchtschischwili (20 août 1919 - 4 janvier 2010)
est passée de ce monde au Père.
Elle était une slaviste hors pair et une chercheuse infatigable de l'unité des chrétiens. Nous nous souvenons avec affection et gratitude de son travail passionné à l'organisation des Colloques œcuméniques internationaux de spiritualité orthodoxe - dont, dès le début, elle a assuré avec nous le profil scientifique de la section russe -, de son grand amour pour l'Église orthodoxe russe, de sa passion pour les interrogations profondes ouvertes par la pensée russe, dont elle était une extraordinaire connaisseuse, de sa foi vive, de son espérance ferme de l'unité des Églises voulue par le Seigneur.
La communauté russe fidèle au calendrier julien, célèbre la Nativité jeudi 7 janvier en l'église orthodoxe et fêtera l'année nouvelle le 13 janvier à l'Hôtel du Palais
Dans la tradition orthodoxe, la fête de la Nativité de Jésus-Christ « tombe » le jeudi 7 janvier. Soit treize jours après la célébration de Noël par les catholiques et protestants. Une différence due au décalage entre le calendrier grégorien en usage en Occident depuis le XVIe siècle (du pape Grégoire) et le calendrier julien (comme Jules César) toujours en vigueur dans certaines églises orthodoxes.
À Biarritz, une soixantaine de familles se rassemble régulièrement à l'église orthodoxe Saint-Alexandre-Nevsky-et-de-la-Protection-de-la-Mère-de-Dieu, la seule à 100 kilomètres à la ronde. Cette dernière est rattachée à l'archevêché des Églises orthodoxes russes en Europe occidentale (1).
Autant dire que, le 6 janvier au soir, la jolie église sera quasiment trop exiguë pour accueillir les fidèles « habituels » en plus de ceux se déplaçant depuis le Pays basque espagnol notamment.
Dans la tradition orthodoxe, la fête de la Nativité de Jésus-Christ « tombe » le jeudi 7 janvier. Soit treize jours après la célébration de Noël par les catholiques et protestants. Une différence due au décalage entre le calendrier grégorien en usage en Occident depuis le XVIe siècle (du pape Grégoire) et le calendrier julien (comme Jules César) toujours en vigueur dans certaines églises orthodoxes.
À Biarritz, une soixantaine de familles se rassemble régulièrement à l'église orthodoxe Saint-Alexandre-Nevsky-et-de-la-Protection-de-la-Mère-de-Dieu, la seule à 100 kilomètres à la ronde. Cette dernière est rattachée à l'archevêché des Églises orthodoxes russes en Europe occidentale (1).
Autant dire que, le 6 janvier au soir, la jolie église sera quasiment trop exiguë pour accueillir les fidèles « habituels » en plus de ceux se déplaçant depuis le Pays basque espagnol notamment.
Filippo Masser, chancelier de Jérusalem et de Chypre, laissa à la Scuola grande di S. Giovanni la célèbre relique de la Croix, qu'il avait reçue en don de Pietro Tommaso, en 1369, du patriarche de Constantinople. A cette relique, furent attribués plusieurs miracles, qui se trouvent décrits dans le livre réédité plusieurs fois avec le titre "Miracles de la Très Sainte Scuola de S. Giovanni Evangelista" .
On voulut y ajouter un autre miracle à l'époque de l'invasion française à Venise.
On voulut y ajouter un autre miracle à l'époque de l'invasion française à Venise.
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