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"La réforme de l'enseignement de la liturgie orthodoxe en Russie au début du XXe siècle"
de Hyacinthe Destivelle (Auteur), Mgr Hilarion de Volokolamsk (Préface)
Entre 1905 et 1918, l'Eglise orthodoxe russe a décidé de réformer les académies ecclésiastiques qui auraient isolé la théologie de la société. L'étude restitue les principaux débats de cette réforme d'enseignement, qui témoignent de la rencontre entre deux courants de la théologie russe, favorisée par le processus conciliaire.
Editeur : Cerf (17 juin 2010)
de Hyacinthe Destivelle (Auteur), Mgr Hilarion de Volokolamsk (Préface)
Entre 1905 et 1918, l'Eglise orthodoxe russe a décidé de réformer les académies ecclésiastiques qui auraient isolé la théologie de la société. L'étude restitue les principaux débats de cette réforme d'enseignement, qui témoignent de la rencontre entre deux courants de la théologie russe, favorisée par le processus conciliaire.
Editeur : Cerf (17 juin 2010)
Rédigé par l'équipe de rédaction le 21 Juin 2010 à 10:40
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Une nouvelle date – la Journée du Baptême de la Russie – est apparue dans le calendrier russe.
La nouvelle fête sera célébrée le 28 juillet (le jour où l'Eglise orthodoxe russe commémore, selon l'ancien calendrier julien, l’adoption du christianisme, à la fin du 10e siècle, par le Grand Prince Vladimir de Kiev, et avec lui par tout son peuple). Par conséquent, la Journée du Baptême de la Russie a reçu le statut de fête nationale de même que les huit dates de commémoration déjà existantes.
L'archiprêtre Vsevolod Tchapline, président du département des relations ecclésiastiques extérieures du Patriarcat de Moscou, estime que c’est un événement positif: "Que cela plaise ou non, l'orthodoxie a joué un rôle exceptionnel dans le développement de la Russie...
Suite RIA novosti
La nouvelle fête sera célébrée le 28 juillet (le jour où l'Eglise orthodoxe russe commémore, selon l'ancien calendrier julien, l’adoption du christianisme, à la fin du 10e siècle, par le Grand Prince Vladimir de Kiev, et avec lui par tout son peuple). Par conséquent, la Journée du Baptême de la Russie a reçu le statut de fête nationale de même que les huit dates de commémoration déjà existantes.
L'archiprêtre Vsevolod Tchapline, président du département des relations ecclésiastiques extérieures du Patriarcat de Moscou, estime que c’est un événement positif: "Que cela plaise ou non, l'orthodoxie a joué un rôle exceptionnel dans le développement de la Russie...
Suite RIA novosti
Jean-Arnault Dérens
Autrefois république autonome rattachée à la Géorgie, l'Abkhazie a fait sécession après la sanglante guerre de 1992-1993. Après le conflit de l'été 2008 en Ossétie du Sud, l'Abkhazie a formellement proclamé son indépendance, aujourd'hui reconnue par la Russie, le Nicaragua, le Vénézuela et l'île Nauru, ainsi que d'autres «entités étatiques non reconnues», comme la République turque de Chypre du Nord.
Totalement dévastée par la guerre et l'embargo total appliqué par la Géorgie: Dans ce contexte délicat, l'Eglise orthodoxe essaie également de se reconstruire, valorisant ses origines anciennes et prestigieuses, et la présence du grand monastère de Novi Afon, le «Nouvel Athos», édifié par des moines russes au XIXe siècle sur un emplacement supposé du martyr de l'apôtre saint André...Suite "Religioscope"
Autrefois république autonome rattachée à la Géorgie, l'Abkhazie a fait sécession après la sanglante guerre de 1992-1993. Après le conflit de l'été 2008 en Ossétie du Sud, l'Abkhazie a formellement proclamé son indépendance, aujourd'hui reconnue par la Russie, le Nicaragua, le Vénézuela et l'île Nauru, ainsi que d'autres «entités étatiques non reconnues», comme la République turque de Chypre du Nord.
Totalement dévastée par la guerre et l'embargo total appliqué par la Géorgie: Dans ce contexte délicat, l'Eglise orthodoxe essaie également de se reconstruire, valorisant ses origines anciennes et prestigieuses, et la présence du grand monastère de Novi Afon, le «Nouvel Athos», édifié par des moines russes au XIXe siècle sur un emplacement supposé du martyr de l'apôtre saint André...Suite "Religioscope"
Le site Bogoslov.ru consacre une publication à la conférence internationale « La Cappadoce chrétienne et le Caucase ». Ce texte se fonde sur l’interview accordée par l’hiéromoine Joseph (Pavlincuk) et le diacre Augustin Sokolovsky à la chaîne de télévision de l’université de Tbilissi. Cette conférence s’est tenue du 2 au 4 juin dernier dans la capitale géorgienne. Parmi les intervenants ces deux représentants du diocèse de Chersonèse (PM).
Voici, en russe, le texte complet de cette interview
Voici, en russe, le texte complet de cette interview
Vladimir GOLOVANOW
Voilà une question qui s'est posée avec acuité dans nombre de nos débats mais, malheureusement, les positions exposées étaient souvent viciées par une approche polémique: au lieu d'écouter l'autre pour rechercher la part de vérité contenue dans ses arguments et progresser ensemble, chacun ne cherche qu'à imposer son point de vue, en dénaturant trop souvent le point de vue adverse pour mieux le combattre. C'est d'ailleurs cette façon d'aborder le sujet qui caractérise pratiquement toute l'abondante littérature consacrée à ce sujet depuis 10 siècles! Il me semble donc particulièrement intéressant de proposer un texte totalement différent et qui devrait, je pense, devenir fondamental: la Déclaration commune de la Commission théologique orthodoxe-catholique d’Amérique du Nord (25 octobre 2003) dont je reprends le titre pour cet article.
De 1999 à 2003, cette Commission a centré son dialogue sur cette question "reconnue pendant plus de douze siècles comme une des raisons principales de la division de nos Églises". Le résultat est un texte argumenté et dense de 16 pages que j'invite chacun à consulter. Je vais en donner quelques extraits ci-après pour stimuler les appétits :)!
(Les titres sont ceux du document d'origine et toutes les citations entre " " sont de ce document)
Voilà une question qui s'est posée avec acuité dans nombre de nos débats mais, malheureusement, les positions exposées étaient souvent viciées par une approche polémique: au lieu d'écouter l'autre pour rechercher la part de vérité contenue dans ses arguments et progresser ensemble, chacun ne cherche qu'à imposer son point de vue, en dénaturant trop souvent le point de vue adverse pour mieux le combattre. C'est d'ailleurs cette façon d'aborder le sujet qui caractérise pratiquement toute l'abondante littérature consacrée à ce sujet depuis 10 siècles! Il me semble donc particulièrement intéressant de proposer un texte totalement différent et qui devrait, je pense, devenir fondamental: la Déclaration commune de la Commission théologique orthodoxe-catholique d’Amérique du Nord (25 octobre 2003) dont je reprends le titre pour cet article.
De 1999 à 2003, cette Commission a centré son dialogue sur cette question "reconnue pendant plus de douze siècles comme une des raisons principales de la division de nos Églises". Le résultat est un texte argumenté et dense de 16 pages que j'invite chacun à consulter. Je vais en donner quelques extraits ci-après pour stimuler les appétits :)!
(Les titres sont ceux du document d'origine et toutes les citations entre " " sont de ce document)
Le patriarche de l'Eglise orthodoxe serbe, Irinej, a lancé vendredi au Kosovo un appel en faveur de la réconciliation entre Kosovars albanais et serbes, à l'occasion de sa première visite depuis sa prise de fonctions au début de l'année.
"Nous avons vécu ici ensemble et proches les uns des autres pendant des siècles, trouvant un langage commun et une façon de vivre commune", a déclaré le patriarche Irinej devant des journalistes à Pec, dans le nord-ouest du Kosovo.
Pec est considéré par les orthodoxes serbes comme le berceau de leur Eglise. Suite AFP
"Nous avons vécu ici ensemble et proches les uns des autres pendant des siècles, trouvant un langage commun et une façon de vivre commune", a déclaré le patriarche Irinej devant des journalistes à Pec, dans le nord-ouest du Kosovo.
Pec est considéré par les orthodoxes serbes comme le berceau de leur Eglise. Suite AFP
Michel Janva , le 18 juin 2010
La Cour européenne des droits de l'Homme de Strasbourg condamne la Turquie à restituer l'orphelinat de Buyukada au Patriarcat Oecuménique de Constantinople. Cette sentence a été prise à l'unanimité et pourrait mettre un terme à une longue procédure ouverte en 1997, quand les autorités turques s'étaient emparés du domaine sans aucune indemnité, si la Turquie se résout à l'appliquer. Suite ICI
La Cour européenne des droits de l'Homme de Strasbourg condamne la Turquie à restituer l'orphelinat de Buyukada au Patriarcat Oecuménique de Constantinople. Cette sentence a été prise à l'unanimité et pourrait mettre un terme à une longue procédure ouverte en 1997, quand les autorités turques s'étaient emparés du domaine sans aucune indemnité, si la Turquie se résout à l'appliquer. Suite ICI
par Philippe Clanché
Annoncé depuis plus d’un siècle, le Concile pan-orthodoxe pourrait se tenir prochainement. Si Moscou et Constantinople le veulent vraiment…
Depuis quelques semaines, le monde orthodoxe est en effervescence. Le fameux Concile pan-orthodoxe, réunion officielle de tous les familles issues du grand schisme d’Orient (en 1054), pourrait bientôt se réunir.Souhaité par Constantinople depuis 1901, préparé de réunions en réunions depuis 1961, l’évènement ne serait donc plus l’Arlésienne du monde orthodoxe ? Tout le monde ne partage pas cet optimisme.
« Le Concile n’a pas d’objet dogmatique, mais répond à un souci d’organisation, explique François Thual, conseiller pour les affaires stratégiques au Sénat et orthodoxe converti (1). Le droit canon, reconnu par toutes les Églises, prévoit qu’une ville ne doit avoir qu’un évêque. Or, avec les différentes diasporas, venues de Russie ou de Grèce notamment, ce n’est plus le cas »....
Suite temoignagechretien
Annoncé depuis plus d’un siècle, le Concile pan-orthodoxe pourrait se tenir prochainement. Si Moscou et Constantinople le veulent vraiment…
Depuis quelques semaines, le monde orthodoxe est en effervescence. Le fameux Concile pan-orthodoxe, réunion officielle de tous les familles issues du grand schisme d’Orient (en 1054), pourrait bientôt se réunir.Souhaité par Constantinople depuis 1901, préparé de réunions en réunions depuis 1961, l’évènement ne serait donc plus l’Arlésienne du monde orthodoxe ? Tout le monde ne partage pas cet optimisme.
« Le Concile n’a pas d’objet dogmatique, mais répond à un souci d’organisation, explique François Thual, conseiller pour les affaires stratégiques au Sénat et orthodoxe converti (1). Le droit canon, reconnu par toutes les Églises, prévoit qu’une ville ne doit avoir qu’un évêque. Or, avec les différentes diasporas, venues de Russie ou de Grèce notamment, ce n’est plus le cas »....
Suite temoignagechretien
l’Université Libre de Bruxelles
Mesdames, Messieurs, Chers amis,
Voici les invitations à assister à notre colloque scientifique des 29 et 30 juin, qui se tiendra finalement à l’ULB, et non à l’académie royale, comme initialement prévu. Vous y êtes très bienvenus. Vous pouvez bien sur réadresser ces invitations aux historiens intéressés que vous connaissez.
Bien à vous et peut-être au plaisir de vous revoir
Daniel Stevens Président,
Fondation pour la Préservation du Patrimoine Russe dans l'UE
Mesdames, Messieurs, Chers amis,
Voici les invitations à assister à notre colloque scientifique des 29 et 30 juin, qui se tiendra finalement à l’ULB, et non à l’académie royale, comme initialement prévu. Vous y êtes très bienvenus. Vous pouvez bien sur réadresser ces invitations aux historiens intéressés que vous connaissez.
Bien à vous et peut-être au plaisir de vous revoir
Daniel Stevens Président,
Fondation pour la Préservation du Patrimoine Russe dans l'UE
Claire LESEGRETAIN
Le 70e anniversaire de l’Appel du 18-Juin du général de Gaulle est l’occasion de rendre hommage à ceux qui, en vertu de leurs convictions religieuses, ont lutté contre le nazisme et le totalitarisme communiste
« La première chose que je découvris, c’était la présence du mal. La violence régnait ; les coups étaient administrés sans miséricorde et sans aucune retenue. J’étais à la fois horrifié et fasciné. Pour la première fois de ma vie, je faisais une expérience palpable de la puissance du mal, laquelle semblait surpasser entièrement la force du bien… »
Ainsi témoigne le jésuite américain Walter J. Ciszek (1), qui passa vingt-trois ans (1940-1963) dans les prisons soviétiques et les goulags de Sibérie. Pourtant, avec d’autres prêtres catholiques, il parviendra à célébrer la messe en cachette, malgré l’interdiction formelle de tout acte religieux dans le goulag. Il réussira même à donner les Exercices spirituels ignatiens aux prêtres et prisonniers catholiques du camp…
Le 70e anniversaire de l’Appel du 18-Juin du général de Gaulle est l’occasion de rendre hommage à ceux qui, en vertu de leurs convictions religieuses, ont lutté contre le nazisme et le totalitarisme communiste
« La première chose que je découvris, c’était la présence du mal. La violence régnait ; les coups étaient administrés sans miséricorde et sans aucune retenue. J’étais à la fois horrifié et fasciné. Pour la première fois de ma vie, je faisais une expérience palpable de la puissance du mal, laquelle semblait surpasser entièrement la force du bien… »
Ainsi témoigne le jésuite américain Walter J. Ciszek (1), qui passa vingt-trois ans (1940-1963) dans les prisons soviétiques et les goulags de Sibérie. Pourtant, avec d’autres prêtres catholiques, il parviendra à célébrer la messe en cachette, malgré l’interdiction formelle de tout acte religieux dans le goulag. Il réussira même à donner les Exercices spirituels ignatiens aux prêtres et prisonniers catholiques du camp…
Le nouveau patriarche de l'Eglise orthodoxe serbe, Irinej, doit se rendre vendredi au Kosovo, au patriarcat de Pec, pour la première fois depuis sa prise de fonctions en janvier, a annoncé jeudi l'agence Tanjug.
Le patriarche Irinej, accompagné du ministre serbe pour le Kosovo, Goran Bogdanovic, et du ministre pour la Religion, Bogoljub Sijakovic, rencontrera des prêtres et des moines au patriarcat de Pec, le berceau de l'Eglise orthodoxe serbe, a précisé l'agence. Aucun représentant de l'Eglise orthodoxe n'était disponible jeudi soir pour commenter l'information Suite AFP
Le métropolite Hilarion, président du Département des relations extérieures du patriarcat de Moscou, estime dans une interview accordée à la chaîne « Russia 24 » que l’Eglise doit s’employer à stabiliser ses revenus. " L’Eglise doit disposer de sources de revenus stables. Ces revenus ne peuvent provenir que des dons des paroissiens. Nous ne pouvons exister que des sommes résultant de la vente de cierges, d’icônes ou de livres religieux. Les évêques consacrent une grande partie de leur temps à la recherche de sponsors, cela n’est normal. Les dépenses de l’Eglise sont immenses : impôts, factures d’électricité, frais de ravalement.
A la veille de son départ de Russie le patriarche Bartholomé a accordé une longue et importante interview à la chaîne «Russia 24» Nous en publions quelques extraits (les questions sont omises ainsi que ce qui a été publié antérieurement sur « Parlons ») :
« J’ai constaté en Russie où je me suis rendu la dernière fois en 1993 de très grands changements. Le régime précédent venait de tomber, l’époque était difficile mais l’on sentait déjà l’ampleur des bouleversements à venir. 17 ans après je me sens dans une autre Russie. Je vois que les gens sont convaincus d’aller vers un avenir meilleur. La foi en Dieu est présente partout, il n’est plus nécessaire aux croyants de se cacher. Les habitants ont oublié la peur, les raisons d’être dans la clandestinité ne sont plus là. Cela concerne non seulement les gens simples mais aussi les dirigeants de l’Etat qui, le président Medvedev et le premier-ministre Poutine les premiers sont des chrétiens fervents. Ils n’en font pas mystère et manifestent ouvertement leur foi lors des évènements officiels. Les biens qui avaient été à l’époque confisqués à l’Eglise lui sont progressivement restitués, les fondements de la culture orthodoxe sont enseignés à l’école, il y a des aumôniers dans les unités militaires, les autorités coopèrent avec le patriarche, avec les responsables de l’Eglise. Tout ceci nous remplit d’espoir, le pays, sont peuple ont un grand avenir devant eux…
« J’ai constaté en Russie où je me suis rendu la dernière fois en 1993 de très grands changements. Le régime précédent venait de tomber, l’époque était difficile mais l’on sentait déjà l’ampleur des bouleversements à venir. 17 ans après je me sens dans une autre Russie. Je vois que les gens sont convaincus d’aller vers un avenir meilleur. La foi en Dieu est présente partout, il n’est plus nécessaire aux croyants de se cacher. Les habitants ont oublié la peur, les raisons d’être dans la clandestinité ne sont plus là. Cela concerne non seulement les gens simples mais aussi les dirigeants de l’Etat qui, le président Medvedev et le premier-ministre Poutine les premiers sont des chrétiens fervents. Ils n’en font pas mystère et manifestent ouvertement leur foi lors des évènements officiels. Les biens qui avaient été à l’époque confisqués à l’Eglise lui sont progressivement restitués, les fondements de la culture orthodoxe sont enseignés à l’école, il y a des aumôniers dans les unités militaires, les autorités coopèrent avec le patriarche, avec les responsables de l’Eglise. Tout ceci nous remplit d’espoir, le pays, sont peuple ont un grand avenir devant eux…
Vladimir Golovanow
Certains contributeur font une erreur que je faisais aussi il y a peu: ils considèrent les mots "père" et "mère" suivis du prénom et/ou du nom comme des noms propres et écrivent donc "voici père X", "je m'adresse à mère Y" ou "je parle de père Z". Pourtant le Grevisse, comme les manuels disponibles sur Internet, indiquent tous qu'il s'agit là de noms communs, tout comme les grades ou les fonctions, et qu'il faut donc écrire "voici LE père X", "je m'adresse à LA mère Y" ou "je parle DU père Z", comme on écrit "voici LE capitaine X", "je m'adresse à LA doctoresse Y" ou "je parle DU professeur Z".
Précisons d'ailleurs qu'on peut indifféremment l'écrire avec p ou m minuscule ou majuscule, mais qu'il est préférable d'utiliser les majuscules pour les abréviations : "le P. X" ou "la M. Y".
Certains contributeur font une erreur que je faisais aussi il y a peu: ils considèrent les mots "père" et "mère" suivis du prénom et/ou du nom comme des noms propres et écrivent donc "voici père X", "je m'adresse à mère Y" ou "je parle de père Z". Pourtant le Grevisse, comme les manuels disponibles sur Internet, indiquent tous qu'il s'agit là de noms communs, tout comme les grades ou les fonctions, et qu'il faut donc écrire "voici LE père X", "je m'adresse à LA mère Y" ou "je parle DU père Z", comme on écrit "voici LE capitaine X", "je m'adresse à LA doctoresse Y" ou "je parle DU professeur Z".
Précisons d'ailleurs qu'on peut indifféremment l'écrire avec p ou m minuscule ou majuscule, mais qu'il est préférable d'utiliser les majuscules pour les abréviations : "le P. X" ou "la M. Y".
L’association de la jeunesse de la métropole d’Europe Occidentale et Méridionale de l’Eglise orthodoxe Roumaine s’est réunie le 13 juin en congrès à Saragosse. Des centaines de jeunes gens sont venus de France, des Pays-Bas et de Grande-Bretagne. Le congrès était présidé par Mgr Timothée d’Espagne et du Portugal (patriarcat de Roumanie). L’un des thèmes de la discussion portait sur « Les voies du salut pour les jeunes chrétiens : mariage et virginité à la lumière de la tradition orthodoxe roumaine ».
Il souhaite la réconciliation entre la Pologne et la Russie
Le patriarche orthodoxe de Moscou et de toutes les Russies, Cyrille, a fait part, vendredi 4 juin, de son espoir que Katyn devienne un symbole de réconciliation historique et un lieu commun de prière pour russes et polonais, rapporte l'agence russe Interfax. Le patriarche a visité le mémorial érigé à l'endroit même où en mars 1940 près de 22.000 prisonniers polonais ont été exécutés par la NKVD (la police secrète soviétique) et enterrés dans des fosses communes sur ordre de Staline.
En visitant Katyn, patriarche Cyrille a pu découvrir la maquette de la future Eglise du mémorial, l'église de la Résurrection, actuellement en construction et dont la première pierre a été posée par les premiers ministres de Russie et de Pologne en avril dernier. Le chef de l'Eglise orthodoxe russe a souhaité que cette église « devienne un lieu de prière fervente pour tous ceux qui visiteront Katyn ».
Le patriarche orthodoxe de Moscou et de toutes les Russies, Cyrille, a fait part, vendredi 4 juin, de son espoir que Katyn devienne un symbole de réconciliation historique et un lieu commun de prière pour russes et polonais, rapporte l'agence russe Interfax. Le patriarche a visité le mémorial érigé à l'endroit même où en mars 1940 près de 22.000 prisonniers polonais ont été exécutés par la NKVD (la police secrète soviétique) et enterrés dans des fosses communes sur ordre de Staline.
En visitant Katyn, patriarche Cyrille a pu découvrir la maquette de la future Eglise du mémorial, l'église de la Résurrection, actuellement en construction et dont la première pierre a été posée par les premiers ministres de Russie et de Pologne en avril dernier. Le chef de l'Eglise orthodoxe russe a souhaité que cette église « devienne un lieu de prière fervente pour tous ceux qui visiteront Katyn ».
Une conférence consacrée à la mission dans les lieux de détention s'est réunie le 3 juin à Moscou.
Voici un article au sujet des aumôniers de prison publié dans "La Croix": Aumônier de prison, au cœur de la détresse humaine
Les aumôniers de prison restent convaincus de la nécessité de leur présence auprès d’un public marginalisé.Entre Gaëtan et Michel, le courant passe. Étonnamment. Car tout pourrait séparer l’adolescent désespérément rebelle et l’aumônier de la maison d’arrêt de Brest. « Il n’y a qu’au P. Le Dreff que je peux me confier dans les moments durs, assure le jeune de 17 ans, pectoraux imposants et regard malicieux. On a beau être dans le quartier des mineurs, c’est quand même la cage aux lions. Faut jamais montrer ses faiblesses, sinon on risque de se faire écraser. » Suite ICI
Voici un article au sujet des aumôniers de prison publié dans "La Croix": Aumônier de prison, au cœur de la détresse humaine
Les aumôniers de prison restent convaincus de la nécessité de leur présence auprès d’un public marginalisé.Entre Gaëtan et Michel, le courant passe. Étonnamment. Car tout pourrait séparer l’adolescent désespérément rebelle et l’aumônier de la maison d’arrêt de Brest. « Il n’y a qu’au P. Le Dreff que je peux me confier dans les moments durs, assure le jeune de 17 ans, pectoraux imposants et regard malicieux. On a beau être dans le quartier des mineurs, c’est quand même la cage aux lions. Faut jamais montrer ses faiblesses, sinon on risque de se faire écraser. » Suite ICI
Trop souvent, les parents eux-mêmes, sciemment ou par ignorance, sèment la passion de la cupidité dans l'âme de leurs enfants.
Dans beaucoup de familles, les enfants n'entendent discuter de rien d'autre que de salaires, revenus et profit. Trouver une bonne situation bien rémunérée est présenté comme le problème central de leur vie. La fortune est considérée comme le plus grand bonheur, tandis que la pauvreté est déplorée comme le plus grand des malheurs.
Le deuxième péché mortel est la cupidité. L'homme dont l'âme entière est consacrée à accumuler de l'argent et des biens matériels reste endurci du cœur et insensible aux besoins des autres.
Dans beaucoup de familles, les enfants n'entendent discuter de rien d'autre que de salaires, revenus et profit. Trouver une bonne situation bien rémunérée est présenté comme le problème central de leur vie. La fortune est considérée comme le plus grand bonheur, tandis que la pauvreté est déplorée comme le plus grand des malheurs.
Le deuxième péché mortel est la cupidité. L'homme dont l'âme entière est consacrée à accumuler de l'argent et des biens matériels reste endurci du cœur et insensible aux besoins des autres.
Pour l'homme jaloux, le bonheur d'autrui est insupportable: son coeur est déchiré par l'amertume quand son prochain prospère, alors qu'il ressent de la joie et de la satisfaction lors des épreuves et des souffrances de son prochain. Que Dieu accorde, bien-aimés, qu'une telle personne ne se trouve pas parmi vous.
Un défaut assez répandu chez les enfants est l'envie.
Les parents doivent s'intéresser à leurs enfants et les soigner très tôt pour déraciner cette passion.
Ici nous répondrons à la question de savoir ce que doivent faire les parents pour ne pas laisser la jalousie et l'envie se développer dans le coeur de leurs enfants. Retenez les cinq règles suivantes:
Un défaut assez répandu chez les enfants est l'envie.
Les parents doivent s'intéresser à leurs enfants et les soigner très tôt pour déraciner cette passion.
Ici nous répondrons à la question de savoir ce que doivent faire les parents pour ne pas laisser la jalousie et l'envie se développer dans le coeur de leurs enfants. Retenez les cinq règles suivantes:
Vladimir Poutine a réfuté les élucubrations selon lesquelles le centre religieux et culturel russe à Paris serait à l’avenir utilisé par les services spéciaux.
« Ces écrits journalistiques sont sans le moindre fondement », - a-t-il dit le 11 juin lors de sa rencontre avec le Président Jacques Chirac. Accompagné du premier-ministre français François Fillon Vladimir Poutine s’est rendu sur le site où la Russie s’apprête à construire un centre religieux et culturel. « C’est un endroit magnifique ! » - s’est exclamé Vladimir Poutine. Le premier-ministre français a fait observer : « La cathédrale russe sera située en plein centre de Paris, à proximité de la Tour Effel et du Musée du quai Branly ». L’appel d’offres pour l’achat du terrain qui fait près de 4.000 m2 a été gagné par la Russie fin 2010. C’est fin 2011 que les services de la météorologie Nationale dont les bâtiments se trouvent sur le terrain iront s’installer dans un autre endroit.
« Ces écrits journalistiques sont sans le moindre fondement », - a-t-il dit le 11 juin lors de sa rencontre avec le Président Jacques Chirac. Accompagné du premier-ministre français François Fillon Vladimir Poutine s’est rendu sur le site où la Russie s’apprête à construire un centre religieux et culturel. « C’est un endroit magnifique ! » - s’est exclamé Vladimir Poutine. Le premier-ministre français a fait observer : « La cathédrale russe sera située en plein centre de Paris, à proximité de la Tour Effel et du Musée du quai Branly ». L’appel d’offres pour l’achat du terrain qui fait près de 4.000 m2 a été gagné par la Russie fin 2010. C’est fin 2011 que les services de la météorologie Nationale dont les bâtiments se trouvent sur le terrain iront s’installer dans un autre endroit.
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Communiqué des Evêques Orthodoxes de France au sujet de la guerre en Ukraine
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Communiqué des Evêques Orthodoxes de France au sujet de la guerre en Ukraine
12/04/2022 22:00 - Nadejda na Mir
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