Plateforme libre de discussion
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Le site de l’Église orthodoxe russe en Islande informe que l’archiprêtre Timothée Zolotusky, recteur de la paroisse Nicolas-le-Thaumaturge de Reykjavik (Islande) a effectué une visite pastorale aux îles Féroé . Ces îles, situées dans la partie septentrionale de l’océan Atlantique entre l’Écosse et l’Islande, font partie du royaume du Danemark.
Le 13 janvier, dans le village de Kirkjubøur / île Streymoy /, le père Timothée Zolotusky a célébré un office à Olavskirkjan (Saint-Olaf), la plus ancienne église conservée sur les îles Féroé. Saint Olaf II Haraldson (995–1035) roi de Norvège est l’un des saints les plus vénérés des chrétiens de Scandinavie.
Le 13 janvier, dans le village de Kirkjubøur / île Streymoy /, le père Timothée Zolotusky a célébré un office à Olavskirkjan (Saint-Olaf), la plus ancienne église conservée sur les îles Féroé. Saint Olaf II Haraldson (995–1035) roi de Norvège est l’un des saints les plus vénérés des chrétiens de Scandinavie.
Rédigé par Parlons D'orthodoxie le 3 Février 2018 à 06:50
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Le 20 janvier 2018, le métropolite Hilarion de Volokolamsk a répondu aux questions de la présentatrice de télévision Ekaterina Gratcheva dans l’émission « l’Église et le monde » (« Tserkov i mir »), diffusée les samedis et les dimanches sur la chaîne « Rossia-24 ».
E. Gratcheva : Bonjour ! Vous regardez l’émission « L’Église et le monde », nous nous entretenons avec le métropolite Hilarion de Volokolamsk, président du Département des relations ecclésiastiques extérieures du Patriarcat de Moscou. Bonjour, Monseigneur.
Le métropolite Hilarion : Bonjour, Ekaterina ! Bonjour, chers frères et sœurs !
E. Gratcheva : Au début de l’année, le patriarche Cyrille a donné une grande interview à la chaîne de télévision « Rossia ». Il a abordé de nombreux thèmes et notamment parlé du danger du passage intégral à l’argent électronique. Je cite le patriarche : « Il y a des têtes brûlées qui parlent avec enthousiasme de supprimer l’argent liquide, de n’utiliser que les cartes électroniques ». Comme pour confirmer les craintes du patriarche, un système ordinairement aussi sûr que GPS a eu une grosse défaillance. Le système montrait que les moscovites se trouvaient de l’autre côté de l’Atlantique, certaines personnes recevaient des factures de taxi d’un montant de 650 000 roubles, etc. Personne ne s’y attendait. Notre dépendance des systèmes électroniques est-elle dangereuse ?
E. Gratcheva : Bonjour ! Vous regardez l’émission « L’Église et le monde », nous nous entretenons avec le métropolite Hilarion de Volokolamsk, président du Département des relations ecclésiastiques extérieures du Patriarcat de Moscou. Bonjour, Monseigneur.
Le métropolite Hilarion : Bonjour, Ekaterina ! Bonjour, chers frères et sœurs !
E. Gratcheva : Au début de l’année, le patriarche Cyrille a donné une grande interview à la chaîne de télévision « Rossia ». Il a abordé de nombreux thèmes et notamment parlé du danger du passage intégral à l’argent électronique. Je cite le patriarche : « Il y a des têtes brûlées qui parlent avec enthousiasme de supprimer l’argent liquide, de n’utiliser que les cartes électroniques ». Comme pour confirmer les craintes du patriarche, un système ordinairement aussi sûr que GPS a eu une grosse défaillance. Le système montrait que les moscovites se trouvaient de l’autre côté de l’Atlantique, certaines personnes recevaient des factures de taxi d’un montant de 650 000 roubles, etc. Personne ne s’y attendait. Notre dépendance des systèmes électroniques est-elle dangereuse ?
La Cathédrale russe Sainte-Trinité à Paris - Semaine de prière pour l'unité des chrétiens
Le samedi 20 janvier, dans le cadre de la Semaine de prière pour l'unité des chrétiens, des paroissiens de Saint-François-Xavier de Paris étaient à notre liturgie en français à l'église Sainte-Trinité. Voici le reportage d'Alexey Vozniuk
Свято-Троицкий православный собор в Париже. Неделя молитвы о единении всех христиан мира.
Le samedi 20 janvier, dans le cadre de la Semaine de prière pour l'unité des chrétiens, des paroissiens de Saint-François-Xavier de Paris étaient à notre liturgie en français à l'église Sainte-Trinité. Voici le reportage d'Alexey Vozniuk
Свято-Троицкий православный собор в Париже. Неделя молитвы о единении всех христиан мира.
L’église d’Immerath, en Allemagne, a été rasée pour permettre l’extension d’une mine de lignite à ciel ouvert, exploitée le géant RWE. Paroissiens et écologistes s’indignent de cette décision.
Immerath, ses maisons en briques rouges, son moulin, son cloître des Filles de la Croix de Liège, son église Saint-Lambert… Son cloître ? Son église ? Disparus. Comme une grande partie de ce village de Rhénanie-du-Nord-Westphalie, en Allemagne. Depuis 2013, Immerath est un village fantôme où ne persistent qu’une soixantaine d’irréductibles. <...>
La vieille église, construite à la fin du XIXe siècle, elle, n’a pas eu la chance d’être déménagée. En début de semaine, elle a purement et simplement été rasée, malgré la vive opposition des habitants et de militants écologistes. « Qui détruit la culture détruit aussi les êtres humains », avaient clamé en vain des militants de Greenpeace sur une banderole, lundi 8 janvier matin.
Immerath, ses maisons en briques rouges, son moulin, son cloître des Filles de la Croix de Liège, son église Saint-Lambert… Son cloître ? Son église ? Disparus. Comme une grande partie de ce village de Rhénanie-du-Nord-Westphalie, en Allemagne. Depuis 2013, Immerath est un village fantôme où ne persistent qu’une soixantaine d’irréductibles. <...>
La vieille église, construite à la fin du XIXe siècle, elle, n’a pas eu la chance d’être déménagée. En début de semaine, elle a purement et simplement été rasée, malgré la vive opposition des habitants et de militants écologistes. « Qui détruit la culture détruit aussi les êtres humains », avaient clamé en vain des militants de Greenpeace sur une banderole, lundi 8 janvier matin.
LA PAROISSE DU SAINT APÔTRE PHILIPPE AUX ÉMIRATS ARABES UNIS
La paroisse orthodoxe russe de Deira (quartier nord de Dubaï, au bord du Golfe Persique,) a été fondée 2005. En 2007 le Sultan bin Mohammed al-Qasimi, émir de Charjah a attribué un terrain pour la construction de l'église Consacrée en 2011 au saint apôtre Philippe, qui avait évangélisé la région.
Elle les offices réguliers, tous les vendredi, samedi et dimanche sont célébrés par le recteur en est l'archimandrite Alexandre (Zarkechev).
Il y a, d'après lui, plusieurs dizaines de milliers de Russes dans les EAU, car la politique de l'état est très accueillante pour les émigrants, qui composent 80% de sa population. Un centre culturel et éducatif a été inauguré en 2012 dans un immeuble de 3 étages attenant à l'église qui organise catéchisme et cours de russes, expositions, concerts et conférences.
Toute activité missionnaire est interdite dans le pays, mais la paroisse permet à la diaspora russe de conserver ses racines, alors que ceux qui ne la fréquentent pas les oublient et ont tendance à s'assimiler rapidement, mais cette communauté n'est pas simplement un "club russe": elle préserve aussi les fondements spirituels et moraux de ses membres.
La paroisse orthodoxe russe de Deira (quartier nord de Dubaï, au bord du Golfe Persique,) a été fondée 2005. En 2007 le Sultan bin Mohammed al-Qasimi, émir de Charjah a attribué un terrain pour la construction de l'église Consacrée en 2011 au saint apôtre Philippe, qui avait évangélisé la région.
Elle les offices réguliers, tous les vendredi, samedi et dimanche sont célébrés par le recteur en est l'archimandrite Alexandre (Zarkechev).
Il y a, d'après lui, plusieurs dizaines de milliers de Russes dans les EAU, car la politique de l'état est très accueillante pour les émigrants, qui composent 80% de sa population. Un centre culturel et éducatif a été inauguré en 2012 dans un immeuble de 3 étages attenant à l'église qui organise catéchisme et cours de russes, expositions, concerts et conférences.
Toute activité missionnaire est interdite dans le pays, mais la paroisse permet à la diaspora russe de conserver ses racines, alors que ceux qui ne la fréquentent pas les oublient et ont tendance à s'assimiler rapidement, mais cette communauté n'est pas simplement un "club russe": elle préserve aussi les fondements spirituels et moraux de ses membres.
Ce premier monastère a été construit grâce aux efforts de Monseigneur Séraphin, métropolite du nouveau Zimbabwe et d'Angola. Il se situe dans une région désertique, à une heure de route de Johannesburg.
Le 19 janvier Sa Sainteté Théodore, patriarche d’Alexandrie et de toute l’Afrique, s’est rendu en RSU afin d’y participer à la commémoration du cinquantenaire de la fondation de la métropole du Cap de Bonne-Espérance (1968-2018).
Accompagné de nombreux métropolites et évêques le patriarche a visité le nouveau monastère consacré à Saint Nicolas le Thaumaturge. Participaient aux solennités l’ambassadeur et le consul général de Grèce en RSU. Cinq moniales y résident actuellement. C’est l’archimandrite Apostol Apostolatis qui est le confesseur du monastère. C’est également lui qui a fondé des cloîtres féminins au Kenya et en Tanzanie .
Le 19 janvier Sa Sainteté Théodore, patriarche d’Alexandrie et de toute l’Afrique, s’est rendu en RSU afin d’y participer à la commémoration du cinquantenaire de la fondation de la métropole du Cap de Bonne-Espérance (1968-2018).
Accompagné de nombreux métropolites et évêques le patriarche a visité le nouveau monastère consacré à Saint Nicolas le Thaumaturge. Participaient aux solennités l’ambassadeur et le consul général de Grèce en RSU. Cinq moniales y résident actuellement. C’est l’archimandrite Apostol Apostolatis qui est le confesseur du monastère. C’est également lui qui a fondé des cloîtres féminins au Kenya et en Tanzanie .
Présentation à Moscou d'un nouveau livre de "causeries" inédites du père Alexandre Schmemann.
Vladimir Golovanow
Le père Alexandre Schmemann (Revel, Estonie,1921, Crestwood, NY, États-Unis, 1983) est l'un des plus importants théologiens orthodoxes du XXe siècle (1). Installé aux États-Unis en 1951, il a travaillé à "Radio Liberté" pendant 30 ans, quasiment dès la création de la station (1953) et jusqu'à sa mort. Ses "causeries" avaient un grand succès en Russie, où ils constituaient pratiquement la seule voix orthodoxe accessible au plus grand nombre.
Une grande partie avait été enregistrée pour les l'émissions et conservée, ce qui a permis leur publication en russe en 2009 par l'Université orthodoxe Saint-Tikhon de Moscou (http://pstgu.ru/en/), mais un nouvel ouvrage du père Alexandre vient d'être publié par l'université sous le titre "Les fondements de la culture russe"; cet opus reprend un cycle de causeries inédites, datées de 1970-71, qui ont été retrouvées récemment sous forme de textes dactylographiés dans les archives d'écrivains émigrés qui collaboraient à "Radio Liberté" à la même époque. "Le père Alexandre est un incroyable théologien", souligne l'auteur du projet, Egor Agafonov, lors de la présentation de cet ouvrage le 11 décembre dernier, "il continue à étonner même après sa mort" il est mort depuis 34 ans mais ses nouveaux livres continuent à être publiés."
Vladimir Golovanow
Le père Alexandre Schmemann (Revel, Estonie,1921, Crestwood, NY, États-Unis, 1983) est l'un des plus importants théologiens orthodoxes du XXe siècle (1). Installé aux États-Unis en 1951, il a travaillé à "Radio Liberté" pendant 30 ans, quasiment dès la création de la station (1953) et jusqu'à sa mort. Ses "causeries" avaient un grand succès en Russie, où ils constituaient pratiquement la seule voix orthodoxe accessible au plus grand nombre.
Une grande partie avait été enregistrée pour les l'émissions et conservée, ce qui a permis leur publication en russe en 2009 par l'Université orthodoxe Saint-Tikhon de Moscou (http://pstgu.ru/en/), mais un nouvel ouvrage du père Alexandre vient d'être publié par l'université sous le titre "Les fondements de la culture russe"; cet opus reprend un cycle de causeries inédites, datées de 1970-71, qui ont été retrouvées récemment sous forme de textes dactylographiés dans les archives d'écrivains émigrés qui collaboraient à "Radio Liberté" à la même époque. "Le père Alexandre est un incroyable théologien", souligne l'auteur du projet, Egor Agafonov, lors de la présentation de cet ouvrage le 11 décembre dernier, "il continue à étonner même après sa mort" il est mort depuis 34 ans mais ses nouveaux livres continuent à être publiés."
Le 26 et 27 janvier le Séminaire orthodoxe russe d'Épinay-sous-Sénart organise un colloque sur le concile de Moscou 1917-1918 et le renouveau liturgique dans l'Église orthodoxe.
Le programme est détaillé dans le document ci-joint.
La participation est libre.
Le programme est détaillé dans le document ci-joint.
La participation est libre.
D'une interview du P. Alexandre Siniakov à Marie-Lucile Kubacki, publiée dans la revue "La Vie":
Jésus âgé de 12 ans, s’attarde au Temple de Jérusalem pour écouter les maîtres de la Loi.
Le récit qu’en donne l’évangile de Luc n’a pas de parallèle, ni chez les autres évangélistes ni dans la vie de Jean-Baptiste, dont la naissance et le ministère sont pourtant juxtaposés à ceux du Seigneur. C’est un épisode propre à la vie du Christ, et Luc est le seul à l’avoir retenu.
« Or, au bout de trois jours ils le trouvèrent dans le Temple, assis au milieu des docteurs, les écoutant et les interrogeant ; et tous ceux qui l’entendaient étaient stupéfaits de son intelligence et de ses réponses »
Chez Luc, donc, les premières paroles du Christ sont celles d’un adolescent de 12 ans – c’est presque l’âge de la maturité chez les Juifs -, qui dit à ses parents : « Pourquoi donc me cherchez- vous ? Ne saviez-vous pas qu’il me faut être chez mon Père ? » Ce jeune homme sait déjà qu’il est le Fils. Il est conscient de cette filiation divine dont le mystère échappe encore aux autres, y compris à ses parents (« mais eux ne comprirent pas », dit Luc). Pourtant, plus que quiconque, ils sont attentifs aux prodiges accompagnant la vie de leur enfant et les retiennent dans leur cœur.
Jésus âgé de 12 ans, s’attarde au Temple de Jérusalem pour écouter les maîtres de la Loi.
Le récit qu’en donne l’évangile de Luc n’a pas de parallèle, ni chez les autres évangélistes ni dans la vie de Jean-Baptiste, dont la naissance et le ministère sont pourtant juxtaposés à ceux du Seigneur. C’est un épisode propre à la vie du Christ, et Luc est le seul à l’avoir retenu.
« Or, au bout de trois jours ils le trouvèrent dans le Temple, assis au milieu des docteurs, les écoutant et les interrogeant ; et tous ceux qui l’entendaient étaient stupéfaits de son intelligence et de ses réponses »
Chez Luc, donc, les premières paroles du Christ sont celles d’un adolescent de 12 ans – c’est presque l’âge de la maturité chez les Juifs -, qui dit à ses parents : « Pourquoi donc me cherchez- vous ? Ne saviez-vous pas qu’il me faut être chez mon Père ? » Ce jeune homme sait déjà qu’il est le Fils. Il est conscient de cette filiation divine dont le mystère échappe encore aux autres, y compris à ses parents (« mais eux ne comprirent pas », dit Luc). Pourtant, plus que quiconque, ils sont attentifs aux prodiges accompagnant la vie de leur enfant et les retiennent dans leur cœur.
L'évêque Platon, dans le monde Paul Petrovich Kouldbouch, naquit le 13 juillet 1869 dans la province de Riga, dans la famille d'un Lecteur de l'Eglise.
En 1893, il obtint son diplôme de maîtrise de l'Académie Théologique de Saint-Petersbourg et devint prêtre. En 1894, ou en 1904 selon d'autres sources, il fut nommé supérieur de l'église orthodoxe estonienne Saint-Isidore à Saint-Petersbourg. En 1917-1918, il participa au Concile de l'Eglise de Russie.
Le 31 décembre 1917, à la demande du clergé et des paroissiens de Riga, il fut consacré évêque de Revel (Tallinn), un vicariat du diocèse de Riga, par le métropolite Benjamin de Petrograd et l'évêque Artemius de Luga, après avoir été tonsuré et élevé au rang d'archimandrite 7 jours auparavant. Puis le 13 janvier 1918, il fut fait évêque de Riga.
L'évêque Platon commença avec zèle à ré-établir l'ordre dans son diocèse, qui avait été perturbé durant les soulèvement révolutionnaires de 1917. C'était une époque terrible : cambriolages, violences et meurtres abondaient. Nul n'était assuré de ce que le lendemain lui apporterait, et tout le monde était en grand besoin d'un encouragement et d'un réconfort spirituel. Durant la courte période de son épiscopat, l'évêque Platon visita 71 paroisses, réinstallant la vie ecclésiale et apaisant les âmes inquiètes de son troupeau avec des paroles pleines d'amour et de Foi.
En 1893, il obtint son diplôme de maîtrise de l'Académie Théologique de Saint-Petersbourg et devint prêtre. En 1894, ou en 1904 selon d'autres sources, il fut nommé supérieur de l'église orthodoxe estonienne Saint-Isidore à Saint-Petersbourg. En 1917-1918, il participa au Concile de l'Eglise de Russie.
Le 31 décembre 1917, à la demande du clergé et des paroissiens de Riga, il fut consacré évêque de Revel (Tallinn), un vicariat du diocèse de Riga, par le métropolite Benjamin de Petrograd et l'évêque Artemius de Luga, après avoir été tonsuré et élevé au rang d'archimandrite 7 jours auparavant. Puis le 13 janvier 1918, il fut fait évêque de Riga.
L'évêque Platon commença avec zèle à ré-établir l'ordre dans son diocèse, qui avait été perturbé durant les soulèvement révolutionnaires de 1917. C'était une époque terrible : cambriolages, violences et meurtres abondaient. Nul n'était assuré de ce que le lendemain lui apporterait, et tout le monde était en grand besoin d'un encouragement et d'un réconfort spirituel. Durant la courte période de son épiscopat, l'évêque Platon visita 71 paroisses, réinstallant la vie ecclésiale et apaisant les âmes inquiètes de son troupeau avec des paroles pleines d'amour et de Foi.
Maria Tchobanov
Alors que s’achève l’année franco-russe du tourisme culturel, une exposition fascinante a ouvert ses portes au public dans la basilique de Saint-Denis, où les visiteurs ont une occasion unique de se familiariser avec l’histoire de la légendaire dynastie Romanov.
Une exposition intitulée Les Romanov à Saint-Pétersbourg, d’une nécropole à l’autre est installée dans la crypte de la basilique cathédrale de Saint-Denis jusqu’au 31 mars 2018, dans le cadre du jumelage entre ce monument français et la forteresse Pierre-et-Paul de Saint-Pétersbourg.
Grâce à de nombreuses illustrations commentées ainsi qu’à plusieurs objets provenant de la forteresse, les visiteurs sont invités à découvrir ce monument et les plus emblématiques tsars de la famille Romanov : Pierre Ier, dit le Grand, (1672-1725), Catherine II, dite la Grande Catherine, (1729-1796), Alexandre Ier (1777-1825) et Nicolas II (1868-1918).
Alors que s’achève l’année franco-russe du tourisme culturel, une exposition fascinante a ouvert ses portes au public dans la basilique de Saint-Denis, où les visiteurs ont une occasion unique de se familiariser avec l’histoire de la légendaire dynastie Romanov.
Une exposition intitulée Les Romanov à Saint-Pétersbourg, d’une nécropole à l’autre est installée dans la crypte de la basilique cathédrale de Saint-Denis jusqu’au 31 mars 2018, dans le cadre du jumelage entre ce monument français et la forteresse Pierre-et-Paul de Saint-Pétersbourg.
Grâce à de nombreuses illustrations commentées ainsi qu’à plusieurs objets provenant de la forteresse, les visiteurs sont invités à découvrir ce monument et les plus emblématiques tsars de la famille Romanov : Pierre Ier, dit le Grand, (1672-1725), Catherine II, dite la Grande Catherine, (1729-1796), Alexandre Ier (1777-1825) et Nicolas II (1868-1918).
Père Maxime Massalitine
Le 7 janvier 2018, le jour de la fête de la Nativité du Christ, le célèbre ascète et théologien français, l'archimandrite Placide Deseille, est parti vers le Seigneur.
Le 15 janvier marque le neuvième jour de sa mort. Le recteur de l'église de la Résurrection à Rabat, l'archiprêtre Maxime Massalitine partage ses souvenirs du père Placide, qu'il a rencontré à plusieurs reprises et dont il a traduit les œuvres en russe.
Un célèbre théologien et patrologue, l'archimandrite Placide Deseille vient de décéder en France. Une partie importante de son héritage littéraire n'a pas encore été traduite en russe. Plus connu chez nous comme fondateur de monastères athonites en France, le père Placide a vécu une vie étonnante.
Entré jeune homme dans la confrérie d'un monastère catholique, c'est déjà en homme mûr qu'il fit connaissance avec l’Orthodoxie et la reçut par le sacrement du baptême, à un âge auquel rares sont ceux qui se décident à un changement radical dans leur vie. Tout ceci, le père Placide l'a raconté à plusieurs reprises lors de ses conférences et l'a décrit en détail dans son autobiographie intitulée « Étapes d'un pèlerinage spirituel », publié dans une brochure séparée. Longtemps, cette brochure n'eut pas une large diffusion. On ne pouvait se la procurer qu'au monastère Saint-Antoine-le-Grand, fondé par lui dans le Vercors, ce massif préalpin situé entre Valence et Grenoble. Le starets ne souhaitait pas que ses écrits sur le catholicisme et le christianisme authentique ne blessent le cœur de ses anciens confrères dans la foi.
Le 7 janvier 2018, le jour de la fête de la Nativité du Christ, le célèbre ascète et théologien français, l'archimandrite Placide Deseille, est parti vers le Seigneur.
Le 15 janvier marque le neuvième jour de sa mort. Le recteur de l'église de la Résurrection à Rabat, l'archiprêtre Maxime Massalitine partage ses souvenirs du père Placide, qu'il a rencontré à plusieurs reprises et dont il a traduit les œuvres en russe.
Un célèbre théologien et patrologue, l'archimandrite Placide Deseille vient de décéder en France. Une partie importante de son héritage littéraire n'a pas encore été traduite en russe. Plus connu chez nous comme fondateur de monastères athonites en France, le père Placide a vécu une vie étonnante.
Entré jeune homme dans la confrérie d'un monastère catholique, c'est déjà en homme mûr qu'il fit connaissance avec l’Orthodoxie et la reçut par le sacrement du baptême, à un âge auquel rares sont ceux qui se décident à un changement radical dans leur vie. Tout ceci, le père Placide l'a raconté à plusieurs reprises lors de ses conférences et l'a décrit en détail dans son autobiographie intitulée « Étapes d'un pèlerinage spirituel », publié dans une brochure séparée. Longtemps, cette brochure n'eut pas une large diffusion. On ne pouvait se la procurer qu'au monastère Saint-Antoine-le-Grand, fondé par lui dans le Vercors, ce massif préalpin situé entre Valence et Grenoble. Le starets ne souhaitait pas que ses écrits sur le catholicisme et le christianisme authentique ne blessent le cœur de ses anciens confrères dans la foi.
L’année dernière la ville de Saint-Petersbourg à été élue « meilleure destination européenne 2017 ».
A cette occasion, une édition spécial du journal « Le Figaro » est parue, consacrée à l’histoire et au patrimoine de la Palmyre du Nord.
Le 11 janvier dernier, la rédaction du « Figaro » en collaboration avec l’association française « Le Cercle Pouchkine » à présenté au Centre Culturel et Spirituel Orthodoxe Russe ce numéro hors-série intitulé « Saint-Pétersbourg, la magie blanche».
A cette occasion, une édition spécial du journal « Le Figaro » est parue, consacrée à l’histoire et au patrimoine de la Palmyre du Nord.
Le 11 janvier dernier, la rédaction du « Figaro » en collaboration avec l’association française « Le Cercle Pouchkine » à présenté au Centre Culturel et Spirituel Orthodoxe Russe ce numéro hors-série intitulé « Saint-Pétersbourg, la magie blanche».
L’année 2018 est marquée par le 40e anniversaire du décès du métropolite Nicodème de Leningrad et de Novgorod, un des grands hiérarques russes du XX siècle. Des membres de la paroisse russophone Saint-Nicolas de Limassol (Chypre) se sont adressés aux autorités municipales pour proposer de renommer la rue sur laquelle est située l’église en construction en l’honneur du métropolite Nicodème.
Selon le recteur de la paroisse, le prêtre Gueorgui Vidiakine, les autorités locales ont accepté avec joie et ont entamé les procédures nécessaires.
« Mgr Nicodème a longtemps été le président du Département des relations ecclésiastiques extérieures du Patriarcat de Moscou, c’est pourquoi il est hautement symbolique qu’une rue portant son nom soit située près d’une paroisse à l’étranger, a constaté le père Gueorgui Vidiakine. On ne saurait surestimer cette personnalité, ses années de travail au service de l’Église et au nom de l’unité chrétienne. Sa dévotion liturgique est un exemple pour tous. Nous nous efforçons d’appliquer beaucoup de ses principes. »
Selon le recteur de la paroisse, le prêtre Gueorgui Vidiakine, les autorités locales ont accepté avec joie et ont entamé les procédures nécessaires.
« Mgr Nicodème a longtemps été le président du Département des relations ecclésiastiques extérieures du Patriarcat de Moscou, c’est pourquoi il est hautement symbolique qu’une rue portant son nom soit située près d’une paroisse à l’étranger, a constaté le père Gueorgui Vidiakine. On ne saurait surestimer cette personnalité, ses années de travail au service de l’Église et au nom de l’unité chrétienne. Sa dévotion liturgique est un exemple pour tous. Nous nous efforçons d’appliquer beaucoup de ses principes. »
Reykjavik, le 12 janvier 2018
Selon une déclaration de l'ambassade de Russie en Islande à l'agence RIA Novosti, la consécration d'une chapelle provisoire dédiée à Saint Nicolas le Thaumaturge a eu lieu à Reykjavík, sur l'emplacement de la construction de la première église orthodoxe.
Des représentants de la communauté orthodoxe, ainsi que l'ambassadeur de Russie en Islande, Anton Vassiliev, ont participé à la cérémonie de consécration de la Croix présidée par le recteur de la paroisse de l'Eglise orthodoxe russe du Patriarcat de Moscou à Reykjavik, l'archiprêtre Timothée (Zolotousky).
L'archiprêtre Timothée a appelé la construction de la chapelle « un événement historique pour la communauté orthodoxe d'Islande » et a remercié l'ambassade de Russie pour son soutien depuis de nombreuses années au projet de construction de l'église.
Selon une déclaration de l'ambassade de Russie en Islande à l'agence RIA Novosti, la consécration d'une chapelle provisoire dédiée à Saint Nicolas le Thaumaturge a eu lieu à Reykjavík, sur l'emplacement de la construction de la première église orthodoxe.
Des représentants de la communauté orthodoxe, ainsi que l'ambassadeur de Russie en Islande, Anton Vassiliev, ont participé à la cérémonie de consécration de la Croix présidée par le recteur de la paroisse de l'Eglise orthodoxe russe du Patriarcat de Moscou à Reykjavik, l'archiprêtre Timothée (Zolotousky).
L'archiprêtre Timothée a appelé la construction de la chapelle « un événement historique pour la communauté orthodoxe d'Islande » et a remercié l'ambassade de Russie pour son soutien depuis de nombreuses années au projet de construction de l'église.
Je me suis rendu compte que beaucoup de gens ont une vie spirituelle, mais ne le montrent pas
Ancien médecin, Michel Aupetit a succédé le 6 janvier à André Vingt-Trois comme archevêque de Paris. « On n’a pas le droit de parler de Dieu, sinon on gêne », dit-il dans un entretien au « Monde ». A 66 ans, lui qui « n’aime pas trop être exposé » sera désormais l’une des voix les plus écoutées de cette institution. Cet ancien médecin, entré au séminaire à 39 ans et devenu évêque de Nanterre en 2014, succède à Mgr André Vingt-Trois.
Ecolier, il détestait passer au tableau et préférait de loin faire rire ses camarades. Nommé archevêque de Paris par le pape François le 7 décembre 2017 et installé dans cette fonction le 6 janvier, Mgr Michel Aupetit est de ce fait devenu le point de mire de nombreux catholiques. Si en théorie l’évêque de Paris est un évêque parmi les autres, il occupe en pratique une place éminente dans l’Eglise catholique.
Ancien médecin, Michel Aupetit a succédé le 6 janvier à André Vingt-Trois comme archevêque de Paris. « On n’a pas le droit de parler de Dieu, sinon on gêne », dit-il dans un entretien au « Monde ». A 66 ans, lui qui « n’aime pas trop être exposé » sera désormais l’une des voix les plus écoutées de cette institution. Cet ancien médecin, entré au séminaire à 39 ans et devenu évêque de Nanterre en 2014, succède à Mgr André Vingt-Trois.
Ecolier, il détestait passer au tableau et préférait de loin faire rire ses camarades. Nommé archevêque de Paris par le pape François le 7 décembre 2017 et installé dans cette fonction le 6 janvier, Mgr Michel Aupetit est de ce fait devenu le point de mire de nombreux catholiques. Si en théorie l’évêque de Paris est un évêque parmi les autres, il occupe en pratique une place éminente dans l’Eglise catholique.
Le primat estonien compare la situation en Estonie à celle de l’Ukraine.
Au début de la Nouvelle année, les autorités d’Estonie ont donné un signal clair aux croyants : ils seront désormais classés selon le critère « ami vs ennemi ». Le gouvernement vient d’attribuer des subventions substantielles, à l’échelle locale, à l’Église évangélique luthérienne et à l’Église orthodoxe apostolique estonienne, créée par le patriarcat de Constantinople.
Par contre la très nombreuse communauté du patriarcat de Moscou n’a, comme d’habitude, rien reçu. Tel est le contenu d’une dépêche spéciale de RIA Novosti.
À ses « amis » le Tallin officiel a accordé ces fonds « à titre de dotations non soumises à remboursement pour dédommagement aux Églises des pertes subies durant la guerre et l’occupation. »
On comprend, selon cette logique, qu’il était impossible d’inclure parmi les bénéficiaires une organisation religieuse qui comporte dans son intitulé le nom de la capitale de « l’état agresseur », surtout si l’on oublie que cette église était elle-même victime de répressions de la part du pouvoir soviétique tant honni des autorités estoniennes.
Au début de la Nouvelle année, les autorités d’Estonie ont donné un signal clair aux croyants : ils seront désormais classés selon le critère « ami vs ennemi ». Le gouvernement vient d’attribuer des subventions substantielles, à l’échelle locale, à l’Église évangélique luthérienne et à l’Église orthodoxe apostolique estonienne, créée par le patriarcat de Constantinople.
Par contre la très nombreuse communauté du patriarcat de Moscou n’a, comme d’habitude, rien reçu. Tel est le contenu d’une dépêche spéciale de RIA Novosti.
À ses « amis » le Tallin officiel a accordé ces fonds « à titre de dotations non soumises à remboursement pour dédommagement aux Églises des pertes subies durant la guerre et l’occupation. »
On comprend, selon cette logique, qu’il était impossible d’inclure parmi les bénéficiaires une organisation religieuse qui comporte dans son intitulé le nom de la capitale de « l’état agresseur », surtout si l’on oublie que cette église était elle-même victime de répressions de la part du pouvoir soviétique tant honni des autorités estoniennes.
Pour le chef de l’Eglise apostolique arménienne dans la capitale iranienne, il est impératif de rajeunir la participation des personnes dans les sphères sociales, éducatives et de service de l’Eglise.
« Nous sommes profondément convaincues que la participation active des femmes à la vie de notre Eglise permettra aux femmes arméniennes d’être impliquées avec plus d’enthousiasme et de vigueur », a-t-il insisté
Ani-Kristi Manvelian, une anesthésiste âgée de 24 ans, a été ordonnée diaconesse en la cathédrale arménienne orthodoxe de Saint-Sarkis (Saint-Serge) à Téhéran. Son ordination, considérée comme « historique », a eu lieu alors que l’Eglise apostolique arménienne doit encore formellement restaurer l’office du diaconat féminin.
L’ordination diaconale, qui a été conférée le 25 septembre dernier par Mgr Sebouh Sarkissian, archevêque arménien apostolique de Téhéran, a été confirmée au travers de la diffusion d’un certain nombre de clichés qui montrent la diaconesse pendant qu’elle sert à l’autel durant la Divine liturgie de la veille de Noël, le 5 janvier dernier.
« Nous sommes profondément convaincues que la participation active des femmes à la vie de notre Eglise permettra aux femmes arméniennes d’être impliquées avec plus d’enthousiasme et de vigueur », a-t-il insisté
Ani-Kristi Manvelian, une anesthésiste âgée de 24 ans, a été ordonnée diaconesse en la cathédrale arménienne orthodoxe de Saint-Sarkis (Saint-Serge) à Téhéran. Son ordination, considérée comme « historique », a eu lieu alors que l’Eglise apostolique arménienne doit encore formellement restaurer l’office du diaconat féminin.
L’ordination diaconale, qui a été conférée le 25 septembre dernier par Mgr Sebouh Sarkissian, archevêque arménien apostolique de Téhéran, a été confirmée au travers de la diffusion d’un certain nombre de clichés qui montrent la diaconesse pendant qu’elle sert à l’autel durant la Divine liturgie de la veille de Noël, le 5 janvier dernier.
Le 29 janvier prochain, le père diacre Marc Andronikof diocèse de Chersonèse) donnera une conférence intitulée « Les Solovki, avant-poste de la destinée russe » à partir de 19h dans la salle paroissiale de l’Église Réformée du Saint-Esprit, 5, rue Roquépine, 75008 Paris.
La révolution en Russie commença en février. Le tsar, à ce moment-là, avait déjà abdiqué. Le gouvernement provisoire bourgeois avait commencé à prendre le pouvoir entre ses mains.
Mais c'est l'occupation des bâtiments gouvernementaux à Petrograd, le 25 octobre 1917, par l'armée rouge des bolcheviks, qui marque le véritable début de l'ère communiste. C'est précisément à ce moment de l'histoire du monde qu'une expérience sans précédent commença : une tentative systématique, soutenue par l'État, de détruire la religion. « L'athéisme militant n'est pas un détail, pas un phénomène périphérique, pas un effet secondaire de la politique communiste, mais son principal moteur », écrivait Alexandre Soljenitsyne. Lénine comparait la religion à une maladie vénérienne.
Quelques semaines seulement après la révolution d'Octobre fut créé le commissariat du Peuple à l'éducation, dont la tâche était de supprimer toute référence à la religion des programmes scolaires. Au cours des années suivantes, les églises et les monastères du pays furent démolis ou transformés en toilettes publiques. Leurs terres et leurs biens furent saisis. Des milliers d'évêques, de moines et de prêtres furent systématiquement assassinés par les services spéciaux. Des détachements spéciaux de propagande furent constitués, par exemple, l'Union des militants athées. Des intellectuels chrétiens furent arrêtés et envoyés dans les camps.
Mais c'est l'occupation des bâtiments gouvernementaux à Petrograd, le 25 octobre 1917, par l'armée rouge des bolcheviks, qui marque le véritable début de l'ère communiste. C'est précisément à ce moment de l'histoire du monde qu'une expérience sans précédent commença : une tentative systématique, soutenue par l'État, de détruire la religion. « L'athéisme militant n'est pas un détail, pas un phénomène périphérique, pas un effet secondaire de la politique communiste, mais son principal moteur », écrivait Alexandre Soljenitsyne. Lénine comparait la religion à une maladie vénérienne.
Quelques semaines seulement après la révolution d'Octobre fut créé le commissariat du Peuple à l'éducation, dont la tâche était de supprimer toute référence à la religion des programmes scolaires. Au cours des années suivantes, les églises et les monastères du pays furent démolis ou transformés en toilettes publiques. Leurs terres et leurs biens furent saisis. Des milliers d'évêques, de moines et de prêtres furent systématiquement assassinés par les services spéciaux. Des détachements spéciaux de propagande furent constitués, par exemple, l'Union des militants athées. Des intellectuels chrétiens furent arrêtés et envoyés dans les camps.
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