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Chers Frères,
Je me suis permis de reprendre une partie de votre article sur mon blog et de renvoyer mes visiteurs à la suite de l'article sur votre site. L'article paraîtra demain Vendredi
Je vous félicite de la tenue des articles de votre site et j'apprécie grandement que vous fassiez les nécessaires mises au point face aux innovations du Patriarcat de Constantinople concernant la Sainte Tradition Orthodoxe pour la diaspora.
Bien à vous en Christ,
M. Claude Lopez-Ginisty
"Pokrov"
Au Creux de Charpigny
1867 Saint-Triphon
Suisse
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du Lundi au Vendredi de 16h30 à 17h
Cette semaine
Dans le flot de l'information, ce rendez-vous des émissions religieuses cherche à approfondir une question spirituelle en interaction avec la culture contemporaine. Une manière, aussi, de dire d'où l'on parle: avec le recul de l'intelligence, mais aussi avec le désir de saisir le mouvement de l'Esprit.
"A vue d'esprit" est une production des [émissions religieuses de la Radio Suisse Romande un partenariat avec le Centre catholique de radio et de télévision et l'Office protestant des médias.
La majeure partie de ce numéro du Messager est consacrée à la piété et au chant liturgique dans la tradition orthodoxe russe. Par « piété liturgique » nous n’entendons pas ce que l’on désigne parfois par le terme « exercices privés de piété », mais la prière de l’Église qui se manifeste dans tous les rites extérieurs de la liturgie orthodoxe. Cette liturgie, à vrai dire, est la vie même de l’Église, et son but est que la vie du chrétien devienne elle-même une liturgie. Selon une telle conception, la piété ne s’oppose pas à la liturgie, mais en est un accompagnement indispensable, un revêtement visible. Le métropolite Pitirime de Volokolamsk explique ici dans un article ce que cette «piété liturgique » comporte concrètement.
L’image donnée par Dostoïevski du vase et de son contenu résume merveilleusement le sens de la piété. Les rites liturgiques et extra-liturgiques que l’orthodoxie cultive volontiers sont le vase qui contient le précieux « liquide » de la prière, de l’enseignement et des sacrements de l’Église. Ce récipient n’a pas grande valeur en lui-même, mais si on le brise, son précieux contenu se déverse et se perd à jamais. Si l’on prive les chrétiens orthodoxes de la possibilité d’extérioriser leur prière, leur amour pour Dieu et ses saints par des gestes physiques – prosternations, signes de croix, vénération des icônes et des reliques – on risque de leur ôter la grâce de communier à la richesse et à la beauté de la liturgie de l’Église.
VARSOVIE, 28 avr 2009 (AFP) - La baisse des vocations se confirme dans l'Église catholique de Pologne, affirme l'Agence France Presse.
L'Église catholique de Pologne, qui a longtemps connu un boom des vocations sacerdotales, a enregistré en 2008 une nouvelle baisse du nombre de nouveaux séminaristes, selon un rapport du Conseil épiscopal aux vocations, publié mardi.
Cette baisse de 10% intervient après une chute de 25% enregistrée en 2007.
En novembre 2008, Elena Tchoudinova, russe orthodoxe, décidait de publier gratuitement sur Internet son roman «La mosquée Notre-Dame de Paris - année 2048», son best-seller russe (près de 100 000 exemplaires vendus depuis sa parution en 2005) qu’elle avait fait traduire en français. En effet, après trois ans de travail acharné pour trouver un éditeur en France, les efforts de son agent s’étaient révélés vains. C’est ainsi que les éditions Tatamis prirent connaissance de l’existence de son livre, et l'ont sorti le 15 avril, préfacé par Anne-Marie Delcambre, docteur d’Etat en droit, docteur en civilisation islamique, professeur d’arabe.
Ce roman projette le lecteur dans une France de 2048 devenue musulmane. Après l’invasion et la prise du pouvoir des islamistes, l'Europe est devenue l’Eurabie. Elle est séparée de la Russie par le rideau vert. De son coté l’Amérique a perdu toute sa puissance et se retrouve déchirée par les querelles ethniques. Le Vatican, lui, est rasé. Cependant une Église clandestine s’est mise en place. A Paris, il ne reste que 5 ghettos dans lesquels survivent les non-convertis. Notre-Dame de Paris a été transformée en Mosquée. Une résistance existe, qui décide de lancer une insurrection.
Le patriarche de Moscou et de toutes les Russies Kirill a estimé dimanche que l'Occident traversait actuellement une crise spirituelle "très profonde", dans un entretien accordé à l'occasion des fêtes de la Pâque orthodoxe.
"La crise spirituelle en Occident est très profonde", a dit Kirill, qui célèbre ce week-end pour la première fois l'office pascal en tant que chef de l'Eglise orthodoxe russe, interrogé par la chaîne de télévision Vesti,
"Là-bas, il n'y a pas eu l'athéisme que nous avons connu (en URSS, ndlr). Là-bas, il y a eu un bien-être apparent, notamment une vie religieuse en apparence harmonieuse, mais à un certain moment tout a commencé à s'effondrer. Et à présent cet effondrement spirituel des fondements de la vie affaiblit beaucoup la société occidentale, qui connaît aussi le stress, les épreuves", a-t-il poursuivi.
"Et les chrétiens d'Occident malheureusement ne sont pas toujours capables de soutenir leur peuple", a jugé Kirill.
Le patriarche, qui a été intronisé en février pour prendre la suite d'Alexis II, mort en décembre, a souligné que les Eglises orthodoxe et catholique oeuvraient "ensemble très activement sur la scène internationale" pour la sauvegarde des fondements religieux de la vie et du système chrétien de valeurs dans la civilisation européenne.
Au moins un million de personnes se suicident chaque année dans le monde, soit un mort toutes les 40 secondes, selon un article à paraître samedi dans la revue médicale britannique The Lancet qui compile de précédentes études sur le sujet. Des chiffres confirmés par l'Organisation mondiale de Santé (OMS).
Le suicide représente la 10e cause de mortalité (1,5% des décès) à travers le monde. La Chine totalise à elle seule plus de 30% des cas. Mais selon The Lancet, le phénomène est également préoccupant dans les états de l'ex-URSS. L'OMS cite notamment la Lituanie, l'Estonie, le Belarus et la fédération russe. Selon l'organisation, ces pays présentent des taux de suicide de l'ordre de 45 par 100.000 habitants par année.
En Europe, les taux de suicide sont généralement plus élevés dans les pays du nord, relèvent les auteurs de l'article, Keith Hawton (Centre de recherche sur le suicide, université d'Oxford, Royaume-Uni) et Kees van Heeringen (Unité de recherche sur le suicide, hôpital universitaire de Gand, Belgique). Par contraste, selon l'OMS, les taux de suicide les moins élevés se trouvent en Europe méditerranéenne et dans les pays majoritairement catholiques de l'Amérique du Sud (Colombie, Paraguay) et d'Asie (comme les Philippines) ainsi que dans les pays musulmans (comme le Pakistan). Ces pays présentent un taux de suicide de moins de 6 pour 100 000 habitants.
"Je me félicite de la coopération qui s'exerce aujourd'hui entre les diocèses implantés par le Patriarcat de Moscou à l'étranger et les communautés ecclésiales relevant de l'Église orthodoxe russe hors frontières. Je pense que cette coopération ne cessera de s'approfondir", a affirmé le patriarche lors d'une rencontre avec des journalistes à Moscou, à l'approche de la Pâque orthodoxe.
Selon lui, rien ne divise plus ces foyers d'activités religieuses. "Tout en respectant l'autonomie de chacune des deux Églises [le Patriarcat de Moscou et l'Église russe hors frontières] nous ferons tout notre possible pour approfondir leur unité canonique", a assuré le patriarche Cyrille.
Alors que Mgr Hilarion parlait de la nécessité de renoncer à l'uniatisme "en tant que phénomène du passé", l'AFP lui a attribué le désir de "dénoncer les uniates". Il y a une grande différence entre les deux affirmations.
Voici la phrase de l'évêque dans l'original: "Как только станет возможным подписание, допустим, совместной декларации, в которой уния бы осуждалась как явление, имевшее место в прошлом и имеющее прямое отношение к настоящему..." (traduction juste: "Dès qu'il sera possible de signer, disons, une déclaration commune condamnant l'uniatisme en tant que phénomène du passé ayant des conséquences immédiates au présent...)
Et voici la traduction erronée de l'AFP: "Lorsqu'il sera possible de signer une déclaration conjointe dans laquelle les uniates seront dénoncés". C'est vrai que, pour les interprètes civiles, il n'est pas aisé de faire la distinction entre l'uniatisme en tant que méthode et les uniates en tant que personnes.
Pour Mgr Hilarion, il ne s'agit ni plus ni moins que d'appliquer les accords catholiques-orthodoxes de Balamand de 1993 qui s'appellent "L'uniatisme, méthode d'union du passé et la recherche actuelle de la pleine communion". Cette déclaration affirme notamment que "l'uniatisme ne saurait être un modèle de l'unité".
Si les habitants du canton de Lucerne (centre de la Suisse) pourront danser le prochain Vendredi Saint pour la première fois depuis cinq siècles, six autres cantons de la Suisse germanophone et au moins un canton francophone maintiennent toujours l'interdiction.
Les cantons germanophones d'Uri, Obwald, Schaffhouse, Bâle-Campagne et Soleure, de même que celui, francophone, de Neuchâtel, interdisent toujours de se déhancher le Vendredi Saint, célébré par les chrétiens comme l'anniversaire de la mort du Christ.
Le canton alémanique d'Appenzell Rhodes-Intérieures l'exclut même durant toute la Semaine Sainte, rapporte mercredi l'agence de presse suisse ATS.
Les cantons de Zurich et du Jura proscrivent pour leur part les manifestations bruyantes de plein air (bals, sport ou projections de cinéma) durant les principaux jours fériés.
Solovki est aussi l'un des plus haut lieu du Golgotha russe, l'archétype de la broyeuse (miasorubka) du goulag et le souvenirs de ses millions de victimes; un grand nombre de nouveaux martyres est passé sous les fresques splendides de la basilique de la Transfiguration et les méthodes concentrationnaires y ont été mises au point bien avant l'avèmenent du nazisme en Allemagne... Cet aspect n'est pas occulté: il y a un musée du Goulag, restituant la vie des baraques et montrant des souvenirs de victimes et des listes de nom. Sur le mont Sikirny on vous explique les supplices des moustiques ou de l'escalier… Pour autant on est loin du mémorial de l'Holocauste et des ses foules recueillies. Les écoliers russes ne parlent pas des Solovki comme les nôtres d'Auschwitz et si le camp est bien reproduit sur les billets de 500 roubles, avec ses baraques au milieu des églises, il n'y est pas expressément mentionné. La société russe préfère oublier pour ne pas se repentir et si certains, en particulier au sein de l'Église, dénoncent ces crimes du bolchevisme, d'autres, y compris au sein du pouvoir, préfèrent un silence qui devient complice. Et que dire des Occidentaux qui, toujours sous l'emprise d'une Pensée Unique gauchisante (cf. les pages magnifique que P. Alexandre Schmemann consacre à ce phénomène dans son Journal) ignorent en général jusqu'à l'existence des Solovki, malgré la visite de Mgr André Vingt-Trois en octobre dernier…
Je trouve donc particulièrement opportun le dossier que "Le Courrier de Russie" consacre aux Solovki (et je lui emprunte la photo). Même les moyens d'y aller sont précisés!
Il y a quelques formules un peu amusantes. Aussi, les éditions du patriarcat sont appelés "éditions du clergé orthodoxe". L'ancien président du département synodal du catéchisme et de la formation religieuse, l'archimandrite Jean, que le journal appelle "moine Ioan", est "renvoyé dans son monastère", parce qu'il n'a pas accepté les "innovations" dans les méthodes catéchétiques . En fait, le père Jean est recteur de l'institut Saint-Jean le Théologien et il ne semble pas faire partie des opposants aux innovations, plutôt le contraire.
Le nouveau département Église et Société est appelé dans l'article "section du patriarcat chargée des relations entre l'Église et les institutions". Mais mis à part quelques autres inexactitudes, c'est plutôt agréable de voir que la presse française s'intéresse aux changements dans l'orthodoxie russe.
"Aujourd'hui, l'Église doit devenir vraiment populaire. Ceux des membres du clergé et des laïcs qui réfléchissent ne cessent de l'appeler de leurs vœux. L'Église doit sentir de quoi nos contemporains, le peuple, la société vivent et ce qu'ils respirent", a déclaré le père Tchapline à l'agence Interfax.
Il a exprimé sa gratitude au Synode et au patriarche "pour l'importance particulière qu'ils accordent aux rapports avec la société civiles et les organes du pouvoir législatif".
"Les juifs parlent de six millions de morts. Mais combien de catholiques ont-ils été victimes de l'holocauste? Ils ont été 22 millions au total", a déclaré le religieux dans une interview à la revue brésilienne "Press & Advertising", spécialisée dans la publicité.
Dans cette interview, l'archevêque soutient également que les "juifs disent être les principales victimes de l'holocauste. Mais les principales victimes furent les gitans car ils ont été exterminés". "Mais ça, ils ne le disent pas", ajoute-t-il.
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1. La découverte de la famille Lykov
Cette histoire commence en 1979 avec le survol en avion, par des géologues en mission d’exploration, d’une région perdue de la Sibérie à des centaines de kilomètres de toute vie humaine, très exactement au sud, dans le Khakaze, là où les monts de l’Altaï rejoignent ceux du Saïan. À cet endroit naît un affluent du grand fleuve Iénisséï, l’Abakhan. C’est là, sur sa rive droite, que les géologues aperçoivent ce qui ne peut être qu’une succession de quelques terres cultivées au beau milieu d’une zone totalement sauvage et inaccessible.
De retour à leur base ils signalent ce fait, mais c’est seulement deux ans plus tard qu’une expédition parvient sur les lieux et entre en contact avec ceux qui habitent là. Stupéfaits, ils constatent que c’est une famille de « vieux-croyants », les Lykov, qui survit à cet endroit depuis 1938 en autarcie complète, sans aucun contact avec le monde extérieur. L’histoire est rapportée à un journaliste de la Komssomolskaia Pravda, Vassili Peskov, qui décide de se rendre sur place, d’observer et comprendre comment cette famille a pu survivre en pleine taïga, dans le dénuement le plus total, à des hivers où il fait régulièrement moins quarante. Il va se lier d’amitié avec eux, y retourner régulièrement l’été.
Le récit de ses rencontres et de ses observations sera publié dans le journal, puis réécrit plus tard dans un livre publié en France en 1992, chez Actes Sud, sous le titre « Ermites dans la Taïga »
Mais à ce point de la narration, il est indispensable d’expliquer qui sont ces « vieux-croyants »et pourquoi cette découverte va à ce point émouvoir les Russes..
Nicolas Sarkozy a enfoncé le clou en estimant qu’un dirigeant qui a mis son entreprise en difficulté ne doit pas partir avec un parachute doré : « ce n’est pas responsable, pas honnête ». Poursuivant : « Je voudrais que chacun comprenne qu’il ne peut y avoir d’économie sans morale, que lorsque l’on est patron on a le devoir d’être exemplaire, que ce devoir d’exemplarité est encore plus grand en temps de crise. Il ne doit plus y avoir de parachutes dorés, il ne doit plus y avoir de bonus, de distribution d’actions gratuites ou de stock-option dans une entreprise qui reçoit une aide de l’État, qui met en œuvre un plan social d’ampleur ou qui recourt massivement au chômage partiel. »
Nicolas Sarkozy a appelé à un plus grand partage de la valeur, sujet confié aux partenaires sociaux, précisant que si aucun progrès n’était accompli d’ici là, il demanderait au gouvernement de déposer un projet de loi. Assurant aussi : « Je n’accepterai pas qu’une entreprise qui fait des milliards de bénéfices ne se pose pas la question d’en distribuer une partie à ses salariés. »
Les Églises, elles aussi, clament depuis longtemps qu'il "ne peut y avoir d'économie sans morale". Il y a trois mois, le métropolite Cyrille (actuel patriarche de Moscou) disait dans une interview (publiée en français dans le numéro 12 du Messager de l'Église orthodoxe russe): "L'économie sans éthique n'est plus une économie au sens propre du terme". Et "l'économie ne peut être efficace si elle n'est pas fondée sur la justice sociale et la responsabilité personnelle".
Est-ce que cette crise va faire évoluer l'économie mondiale vers une plus grande responsabilité éthique?
La question posée dans l'article est de savoir si les "blogueurs" reflètent vraiment l'opinion publique ou seulement celle d'une minorité "branchée" et à l'aise dans ce nouveau mode d'expression.
Le phénomène touche aussi les pays orthodoxes: en Russie, par exemple, les blogs, forums et live journals pullulent. Récemment, j'ai découvert avec surprise que de très nombreux prêtres orthodoxes ont leur propre live journal où ils communiquent quotidiennement (à raison d'une dizaine d'articles par jour !) avec un cercle visiblement constant d'autres usagers de l'Internet. Sans parler de Facebook etc. Est-ce que cette activité sur le web est désormais un complément indispensable au ministère pastoral? Ou n'y a-t-il pas un risque de remplacer progressivement le contact direct avec les autres fidèles pour ne communiquer avec eux qu'à travers la "toile" ?
"Il y a quatre ans, moi-même, j'aurais dit qu'une telle prédiction était une utopie, mais maintenant que les positions des conservateurs sont ébranlées, un Iran laïc devient une alternative tout à fait réaliste au régime actuel", écrit A. Malachenko. Il ajoute que si l'ex-président Mohammad Khatami, surnommé en Occident "ayatollah Gorbatchev", gagne les prochaines élections présidentielles en 2009, alors le pays pourra commencer des réformes libérales.
"Pas à pas, les partisans de l'État laïc pourront gagner du terrain et ils ont des chances de se trouver au pouvoir en 2025. Et là, ils auront besoin de l'expérience historique de l'Iran qui a déjà vécu une fois la modernisation".
Reagan et Gorbatchev se sont rencontrés à maintes reprises entre 1983 et 1985. Connu comme un optimiste, le président américain était dès cette époque persuadé que Gorbatchev pouvait changer le cours de l'histoire de l'Union soviétique et croyait que la religion y serait un des principaux facteurs. Reagan pensait que le système soviétique était vulnérable à cause de son attitude négative envers la religion.
Vedomosti raconte qu'un jour Reagan demanda à Gorbatchev ce qui adviendrait à l'Union soviétique si les religions retrouvaient leur liberté de culte et d'expression. Gorbatchev ne répondit pas directement à la question, mais avoua qu'il avait été "baptisé dans l'enfance", mais ne croyait plus en Dieu et que "cette évolution reflétait celle de la société soviétique".
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