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Le patriarche œcuménique Bartholomeos Ier de Constantinople a invité les primats des anciens patriarcats orthodoxes (Alexandrie, Antioche et Jérusalem), ainsi que l’archevêque de Chypre, à une rencontre à Constantinople.
Cette « synaxe » de deux jours se tiendra au Phanar, siège stambouliote du Patriarcat œcuménique, et débutera le 1er septembre, date du début de l’année liturgique dans l’orthodoxie.Au menu de cette rencontre : les développements en cours au Moyen-Orient qui suscitent chez les chrétiens une grande inquiétude quant à l’avenir. Dans sa lettre d’invitation, Bartholomeos Ier souligne la nécessité d’une concertation « sur la situation de nos Églises dans les circonstances actuelles pour leur soutien fraternel mutuel »
.
« LE TRONC COMMUN DE LA STRUCTURE ET DE L’ARTICULATION DE L’ÉGLISE ORTHODOXE »
Le patriarche souhaite également un échange de vues sur « la progression vers le saint et grand concile de notre très sainte Église orthodoxe ». Bien que l’Église de Chypre ne soit pas un patriarcat et n’occupe que la dixième place dans les diptyques ecclésiastiques, son primat a été invité au Phanar car elle doit son autocéphalie à un concile œcuménique, à l’instar des trois anciens patriarcats.
Cette « synaxe » de deux jours se tiendra au Phanar, siège stambouliote du Patriarcat œcuménique, et débutera le 1er septembre, date du début de l’année liturgique dans l’orthodoxie.Au menu de cette rencontre : les développements en cours au Moyen-Orient qui suscitent chez les chrétiens une grande inquiétude quant à l’avenir. Dans sa lettre d’invitation, Bartholomeos Ier souligne la nécessité d’une concertation « sur la situation de nos Églises dans les circonstances actuelles pour leur soutien fraternel mutuel »
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« LE TRONC COMMUN DE LA STRUCTURE ET DE L’ARTICULATION DE L’ÉGLISE ORTHODOXE »
Le patriarche souhaite également un échange de vues sur « la progression vers le saint et grand concile de notre très sainte Église orthodoxe ». Bien que l’Église de Chypre ne soit pas un patriarcat et n’occupe que la dixième place dans les diptyques ecclésiastiques, son primat a été invité au Phanar car elle doit son autocéphalie à un concile œcuménique, à l’instar des trois anciens patriarcats.
Rédigé par Parlons d'orthodoxie le 23 Août 2011 à 14:26
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Traduction pour "PO" Laurence Guillon
Le trésorier de l’Eglise Orthodoxe russe Monseigneur Tikhon nous parle de la construction de 200 églises. La construction qui débute de 200 églises à Moscou est le plus important projet commun à l’Eglise et au gouvernement depuis le moment de leur séparation. Un chantier immense est en projet depuis la coordination des démarches jusqu’au pilotage des travaux et la collecte des fonds. Le Patriarche Cyrille a nommé coordinateur du projet l’évêque de Podolsk Tikhon , responsable de la gestion financière du Patriarcat de Moscou
– Votre Eminence, vous avez présidé le conseil d'administration du Fonds du soutien de la construction des sanctuaires de Moscou. Le conseil de tutelle de cette organisation est présidé par le maire et le patriarche, au sein duquel figurent des ministres fédéraux et d’autres hauts fonctionnaires. C’est vraiment un organisme de haut niveau ?
Mgr Tikhon – En effet, il nous faut tenir compte du principe de la laïcité de l'État, ainsi que du fait que, d'après les études sociologiques, jusqu'à 90 % des Russes se considèrent comme orthodoxes. Il nous faut trouver des solutions à la question difficile de l’attribution des terrains. L’idée du patriarche compense l’impossibilité de restituer à l’Eglise les terrains qui étaient les siens au centre de Moscou par la possibilité, envisagée par les pouvoirs laïcs, de lui attribuer des terrains dans les cités dortoirs de la périphérie.
Le trésorier de l’Eglise Orthodoxe russe Monseigneur Tikhon nous parle de la construction de 200 églises. La construction qui débute de 200 églises à Moscou est le plus important projet commun à l’Eglise et au gouvernement depuis le moment de leur séparation. Un chantier immense est en projet depuis la coordination des démarches jusqu’au pilotage des travaux et la collecte des fonds. Le Patriarche Cyrille a nommé coordinateur du projet l’évêque de Podolsk Tikhon , responsable de la gestion financière du Patriarcat de Moscou
– Votre Eminence, vous avez présidé le conseil d'administration du Fonds du soutien de la construction des sanctuaires de Moscou. Le conseil de tutelle de cette organisation est présidé par le maire et le patriarche, au sein duquel figurent des ministres fédéraux et d’autres hauts fonctionnaires. C’est vraiment un organisme de haut niveau ?
Mgr Tikhon – En effet, il nous faut tenir compte du principe de la laïcité de l'État, ainsi que du fait que, d'après les études sociologiques, jusqu'à 90 % des Russes se considèrent comme orthodoxes. Il nous faut trouver des solutions à la question difficile de l’attribution des terrains. L’idée du patriarche compense l’impossibilité de restituer à l’Eglise les terrains qui étaient les siens au centre de Moscou par la possibilité, envisagée par les pouvoirs laïcs, de lui attribuer des terrains dans les cités dortoirs de la périphérie.
+ Archevêque Gabriel
150ème Anniversaire de la Cathédrale Saint Alexandre Nevski
En cette année 2011, et plus précisément le 11 septembre, ce la fera 150 ans que notre cathédrale fût consacrée par l’évêque Léonce de Réval.
Elle a été construite en 1861 dans un quartier choisi en fonction de sa commodité pour les visiteurs fortunés ainsi que pour les diplomates russes de l’époque.En 1922, suite à la révolution, avec l’arrivée du Métropolite Euloge, l’église Saint Alexandre Nevsky devient la cathédrale d’un diocèse pas seulement en France mais également pour des pays voisins.
Avec beaucoup d’intérêt, j’ai lu les deux livres de l’histoire de la présence orthodoxe russe à Paris écrits par Monsieur Nicolas Ross. Il nous a fait un don superbe en cette année de jubilé de la cathédrale. Nous le prions de bien vouloir accepter toutes nos félicitations et l’expression de notre gratitude pour son travail. J’ose dire que ces deux livres devraient être présents dans chaque foyer orthodoxe.
150ème Anniversaire de la Cathédrale Saint Alexandre Nevski
En cette année 2011, et plus précisément le 11 septembre, ce la fera 150 ans que notre cathédrale fût consacrée par l’évêque Léonce de Réval.
Elle a été construite en 1861 dans un quartier choisi en fonction de sa commodité pour les visiteurs fortunés ainsi que pour les diplomates russes de l’époque.En 1922, suite à la révolution, avec l’arrivée du Métropolite Euloge, l’église Saint Alexandre Nevsky devient la cathédrale d’un diocèse pas seulement en France mais également pour des pays voisins.
Avec beaucoup d’intérêt, j’ai lu les deux livres de l’histoire de la présence orthodoxe russe à Paris écrits par Monsieur Nicolas Ross. Il nous a fait un don superbe en cette année de jubilé de la cathédrale. Nous le prions de bien vouloir accepter toutes nos félicitations et l’expression de notre gratitude pour son travail. J’ose dire que ces deux livres devraient être présents dans chaque foyer orthodoxe.
Vladimir GOLOVANOW
De Kaliningrad à Južno-Sachalinsk et de Irkoutsk à Sotchi, en passant par Ekaterinbourg, Oufa et Tver, 7 églises en bois seront construites dans ces 7 villes en un seul jour, le 21 septembre, jour de Nativité de la Très Sainte Vierge Marie (calendrier julien). Des vedettes du spectacle et de la TV seront mobilisées pour l'occasion pour de montrer que c'est une action en commun des croyants de toutes conditions comme le veut la tradition: "строить храм всем миром"
Le manque d'églises est criant en Russie expliquant en partie la faible fréquentation globale car les églises existantes sont souvent surchargées: "pour les grandes fêtes, en particulier Noël et la Téophanie, plus de 100 000 personnes peuvent passer dans une église en une journée" avait dit le Patriarche en avril dernier
Voir aussi Vladimir Legoyda: "Il y aura suffisamment de prêtres pour les 200 nouvelles églises de Moscou"
Source: Interfax-religion
De Kaliningrad à Južno-Sachalinsk et de Irkoutsk à Sotchi, en passant par Ekaterinbourg, Oufa et Tver, 7 églises en bois seront construites dans ces 7 villes en un seul jour, le 21 septembre, jour de Nativité de la Très Sainte Vierge Marie (calendrier julien). Des vedettes du spectacle et de la TV seront mobilisées pour l'occasion pour de montrer que c'est une action en commun des croyants de toutes conditions comme le veut la tradition: "строить храм всем миром"
Le manque d'églises est criant en Russie expliquant en partie la faible fréquentation globale car les églises existantes sont souvent surchargées: "pour les grandes fêtes, en particulier Noël et la Téophanie, plus de 100 000 personnes peuvent passer dans une église en une journée" avait dit le Patriarche en avril dernier
Voir aussi Vladimir Legoyda: "Il y aura suffisamment de prêtres pour les 200 nouvelles églises de Moscou"
Source: Interfax-religion
Le Pape envoie en mission plus d'un million de jeunes
La messe de clôture a été présidée par le pape sur le site de Cuatro Vientos, près de Madrid, dimanche 21 août, où plus d'1,5 million de pèlerins avaient passé la nuit.1,5 million de jeunes représentant 193 pays, 800 évêques et cardinaux, 14 000 prêtres ont participé à cette messe géante, qui marque la fin des JMJ 2011. La cérémonie se termine sur de la musique espagnole. Les pèlerins fatigués se préparent à quitter progressivement le site encadrés par des milliers de volontaires.
11h50. Les jeunes se préparent à la bénédiction Le pape bénit les jeunes, avant de quitter la scène
11h42. Benoît XVI salue les jeunes en espagnol, en français, en anglais, en allemand, en italien, en portugais et en polonais : "Chers jeunes de langue française, le Christ vous demande aujourd’hui d’être enracinés en Lui et de bâtir avec Lui votre vie sur le roc qu’il est Lui-même Il vous envoie pour être des témoins courageux et sans complexes, authentiques et crédibles ! N’ayez pas peur d’être catholiques, d’en témoigner toujours autour de vous avec simplicité et sincérité !
La messe de clôture a été présidée par le pape sur le site de Cuatro Vientos, près de Madrid, dimanche 21 août, où plus d'1,5 million de pèlerins avaient passé la nuit.1,5 million de jeunes représentant 193 pays, 800 évêques et cardinaux, 14 000 prêtres ont participé à cette messe géante, qui marque la fin des JMJ 2011. La cérémonie se termine sur de la musique espagnole. Les pèlerins fatigués se préparent à quitter progressivement le site encadrés par des milliers de volontaires.
11h50. Les jeunes se préparent à la bénédiction Le pape bénit les jeunes, avant de quitter la scène
11h42. Benoît XVI salue les jeunes en espagnol, en français, en anglais, en allemand, en italien, en portugais et en polonais : "Chers jeunes de langue française, le Christ vous demande aujourd’hui d’être enracinés en Lui et de bâtir avec Lui votre vie sur le roc qu’il est Lui-même Il vous envoie pour être des témoins courageux et sans complexes, authentiques et crédibles ! N’ayez pas peur d’être catholiques, d’en témoigner toujours autour de vous avec simplicité et sincérité !
Le 20 août, le patriarche de Constantinople Bartholomé et le métropolite de Volokolamsk Hilarion ont concélébré la divine liturgie dans les îles d’Imros.
Le communiqué précise que les deux hiérarques ont partagé un repas.
Suite Amen.gr
Митрополит Волоколамский Иларион посещает пределы Константинопольского Патриархата
20 августа 2011 года по благословению Святейшего Патриарха Московского и всея Руси Кирилла и по приглашению Святейшего Патриарха Константинопольского Варфоломея председатель Отдела внешних церковных связей Московского Патриархата митрополит Волоколамский Иларион прибыл в Стамбул. В аэропорту его встретили генеральный консул России в Стамбуле А.В.Ерхов и представители Константинопольской Патриархии. PHOTOS
В тот же день председатель ОВЦС встретился со Святейшим Патриархом Константинопольским Варфоломеем.
Le communiqué précise que les deux hiérarques ont partagé un repas.
Suite Amen.gr
Митрополит Волоколамский Иларион посещает пределы Константинопольского Патриархата
20 августа 2011 года по благословению Святейшего Патриарха Московского и всея Руси Кирилла и по приглашению Святейшего Патриарха Константинопольского Варфоломея председатель Отдела внешних церковных связей Московского Патриархата митрополит Волоколамский Иларион прибыл в Стамбул. В аэропорту его встретили генеральный консул России в Стамбуле А.В.Ерхов и представители Константинопольской Патриархии. PHOTOS
В тот же день председатель ОВЦС встретился со Святейшим Патриархом Константинопольским Варфоломеем.
Du 25 juin au 31 octobre, Musée de Normandie, Caen
A l'occasion du 1100e anniversaire de la Normandie, fondée par le Viking Rollon en 911, le Musée de Normandie de Caen propose de célébrer l'évènement avec une exposition exceptionnelle intitulée « Russie viking : vers une autre Normandie?". L'évènement reviendra sur les migrations scandinaves vers la Russie du Nord et Novgorod et l'implantation viking dans la Rous ancienne. Arrivés dès le VIII siècle sur ce territoire, ceux que l'on appelle aussi les Varègues se sont d'abord regroupés dans des comptoirs commerciaux et des colonies de peuplement, laissant leur marque sur la terre russe. L'exposition présentera dans un premiers temps les migrations et cette implantation des peuples scandinaves en Russie et les traces culturelles de leur passage avant de traiter plus largement la stabilisation et l'épanouissement de la Rous au travers des différentes formes de cultures et de civilisations matérielles présentes dans la zone. Au total, plus de 500 pièces archéologiques seront exposées, de natures extrêmement diverses, des parures ou jeux d'enfant aux armes et outils agricoles. Suite La Russie d'Aujourd'hui
A l'occasion du 1100e anniversaire de la Normandie, fondée par le Viking Rollon en 911, le Musée de Normandie de Caen propose de célébrer l'évènement avec une exposition exceptionnelle intitulée « Russie viking : vers une autre Normandie?". L'évènement reviendra sur les migrations scandinaves vers la Russie du Nord et Novgorod et l'implantation viking dans la Rous ancienne. Arrivés dès le VIII siècle sur ce territoire, ceux que l'on appelle aussi les Varègues se sont d'abord regroupés dans des comptoirs commerciaux et des colonies de peuplement, laissant leur marque sur la terre russe. L'exposition présentera dans un premiers temps les migrations et cette implantation des peuples scandinaves en Russie et les traces culturelles de leur passage avant de traiter plus largement la stabilisation et l'épanouissement de la Rous au travers des différentes formes de cultures et de civilisations matérielles présentes dans la zone. Au total, plus de 500 pièces archéologiques seront exposées, de natures extrêmement diverses, des parures ou jeux d'enfant aux armes et outils agricoles. Suite La Russie d'Aujourd'hui
MÉDITATION SUR LA FÊTE AVEC LE PÈRE LEV GILLET
La deuxième des grandes fêtes d’été est la Transfiguration de Notre Seigneur Jésus-Christ, que nous célébrons le 6 (19) août [1].
Les textes de l’Ancien Testament que nous entendons au cours des vêpres, le soir du 18 août, nous préparent à comprendre le mystère de la Transfiguration. Nous entendons tout d’abord (Ex 24, 12-18) le récit du séjour de Moïse sur le Sinaï, lorsqu’il y passa quarante jours et quarante nuits. Les raisons du choix de ce texte sont très compréhensibles. Moïse est un des personnages de l’Ancienne Alliance qui sont présents auprès de Jésus transfiguré, d’après le récit évangélique.
Puis il y a le thème de la montagne : " Monte vers moi sur la montagne et demeures-y ". C’est aussi sur une montagne que Jésus sera transfiguré. Il y a le parallélisme – et le contraste – entre les deux modes de révélation reçue sur la montagne : dans le premier cas, Dieu donne à Moïse une loi écrite sur des tables de pierre ; dans le deuxième cas, Dieu manifeste le personne vivante de son Fils unique. Enfin, la lumière ou la nuée de la présence divine, cette " gloire " qui pour les Hébreux avait une signification physique – " … La nuée couvrit la montagne, et la gloire du Seigneur s’établit sur le mont Sinaï… Cette gloire du Seigneur revêtait… l’aspect d’une flamme dévorante couronnant la montagne… " – annonce déjà la lumière de la Transfiguration. Nous lisons ensuite (Ex 33, 11-23 – 34, 4-6, 8) un épisode dont chaque parole peut merveilleusement s’appliquer à notre propre vie spirituelle.
La deuxième des grandes fêtes d’été est la Transfiguration de Notre Seigneur Jésus-Christ, que nous célébrons le 6 (19) août [1].
Les textes de l’Ancien Testament que nous entendons au cours des vêpres, le soir du 18 août, nous préparent à comprendre le mystère de la Transfiguration. Nous entendons tout d’abord (Ex 24, 12-18) le récit du séjour de Moïse sur le Sinaï, lorsqu’il y passa quarante jours et quarante nuits. Les raisons du choix de ce texte sont très compréhensibles. Moïse est un des personnages de l’Ancienne Alliance qui sont présents auprès de Jésus transfiguré, d’après le récit évangélique.
Puis il y a le thème de la montagne : " Monte vers moi sur la montagne et demeures-y ". C’est aussi sur une montagne que Jésus sera transfiguré. Il y a le parallélisme – et le contraste – entre les deux modes de révélation reçue sur la montagne : dans le premier cas, Dieu donne à Moïse une loi écrite sur des tables de pierre ; dans le deuxième cas, Dieu manifeste le personne vivante de son Fils unique. Enfin, la lumière ou la nuée de la présence divine, cette " gloire " qui pour les Hébreux avait une signification physique – " … La nuée couvrit la montagne, et la gloire du Seigneur s’établit sur le mont Sinaï… Cette gloire du Seigneur revêtait… l’aspect d’une flamme dévorante couronnant la montagne… " – annonce déjà la lumière de la Transfiguration. Nous lisons ensuite (Ex 33, 11-23 – 34, 4-6, 8) un épisode dont chaque parole peut merveilleusement s’appliquer à notre propre vie spirituelle.
A l'initiative de l'évêque Nestor de Chersonèse, un secrétariat pour la pastorale auprès des fidèles moldaves vient d'être créé au sein du diocèse de Chersonèse qui regroupe des communautés orthodoxes du patriarcat de Moscou situées en France, Espagne, Suisse et Portugal. L'évêque de Chersonèse est chargé également, à titre provisoire, de l'administration des paroisses de l’Église russe en Italie.
Au cours des années, de nombreux moldaves sont arrivés en Europe occidentale pour différentes raisons: études, travail ou simplement pour y vivre. Dans certaines localités, ils ont constitué des communautés orthodoxes moldaves de la région. Le nouveau secrétariat aura pour objectif de faciliter l'intégration des fidèles moldaves dans le diocèse de Chersonèse et de coordonner l'activité de ces communautés.
Un site internet, en roumain et en français, est ouvert par ce service de coordination. Sur la page de Contact, il est possible de trouver les coordonnés des responsables du service.
Secrétariat : hiéromoine Iosif (Pavlinciuc) : + 33 6 48 12 07 68, iosif@ortodoxmd.eu
Au cours des années, de nombreux moldaves sont arrivés en Europe occidentale pour différentes raisons: études, travail ou simplement pour y vivre. Dans certaines localités, ils ont constitué des communautés orthodoxes moldaves de la région. Le nouveau secrétariat aura pour objectif de faciliter l'intégration des fidèles moldaves dans le diocèse de Chersonèse et de coordonner l'activité de ces communautés.
Un site internet, en roumain et en français, est ouvert par ce service de coordination. Sur la page de Contact, il est possible de trouver les coordonnés des responsables du service.
Secrétariat : hiéromoine Iosif (Pavlinciuc) : + 33 6 48 12 07 68, iosif@ortodoxmd.eu
Rédigé par Site officiel du diocèse de Chersonèse Patriarcat de Moscou le 18 Août 2011 à 19:30
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Du 23 mai au 26 novembre 2011
Ouverture au public: du lundi au vendredi de 9h00 à 17h00
et le samedi de 9h30 à 17h30
Cette exposition se veut un voyage à travers le temps et le regard de ceux qui, de Russie puis d’Union Soviétique, sont venus en touristes ou chercher refuge en France, ou encore ceux qui ont traversé l’Europe pour explorer ou conquérir les contreforts de l’Oural ou bien au-delà.
Le périple commence avec les tsars : Alexandre Ier, qui entre triomphalement dans Paris en 1814 puis en 1896, Nicolas II, son petit-fils, et la tsarine Alexandra Fedorovna sont reçus dans la liesse qui caractérise la réaction de la population à cette célébration de l’alliance entre la République française et l’Empire russe.
Ouverture au public: du lundi au vendredi de 9h00 à 17h00
et le samedi de 9h30 à 17h30
Cette exposition se veut un voyage à travers le temps et le regard de ceux qui, de Russie puis d’Union Soviétique, sont venus en touristes ou chercher refuge en France, ou encore ceux qui ont traversé l’Europe pour explorer ou conquérir les contreforts de l’Oural ou bien au-delà.
Le périple commence avec les tsars : Alexandre Ier, qui entre triomphalement dans Paris en 1814 puis en 1896, Nicolas II, son petit-fils, et la tsarine Alexandra Fedorovna sont reçus dans la liesse qui caractérise la réaction de la population à cette célébration de l’alliance entre la République française et l’Empire russe.
Serge Tchapnine, rédacteur en chef de « La revue du patriarcat de Moscou » (Журнал Московской Патриархии») Intervention le 9 avril 2011 de Serge Tchapnine à une session de l’association « Conseil de politique extérieure et de défense »
Le numéro 23 du "Messager de l'Eglise orthodoxe russe"
................................................
« Nous cherchons à nous faire une idée juste du monde dans lequel nous vivons lorsque nous réfléchissons au nationalisme, à la langue russe, à la culture, aux processus de mondialisation. Nous sentons que nous ne sommes plus à même de trouver cette idée juste car nous avons au cours des années perdu beaucoup de valeurs. Culture postsoviétique vs culture russe : il a été déjà dit ici que nous sommes dans une perception post impérialiste du monde.Vingt ans se sont écoulés et nous ne sommes toujours pas à même d’accepter sereinement la chute de l’URSS. Nous tenons cependant à percevoir le monde dans lequel nous sommes comme un monde russe, nous voulons continuer à débattre du peuple russe et de la culture russe.
Or, ces catégories doivent depuis longtemps être définies comme « soviétique ou postsoviétique ». Le postsoviétisme n’est hélas pas une notion figée, il est, bien au contraire, en pleine évolution. Les notions qui nous aident à décrire la réalité dans laquelle nous vivons sont, j’en suis convaincu, tout à fait faussées, les valeurs sur lesquelles se fonde la culture postsoviétique sont extrêmement contradictoires et ne constituent pas un tout cohérent.
Le numéro 23 du "Messager de l'Eglise orthodoxe russe"
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« Nous cherchons à nous faire une idée juste du monde dans lequel nous vivons lorsque nous réfléchissons au nationalisme, à la langue russe, à la culture, aux processus de mondialisation. Nous sentons que nous ne sommes plus à même de trouver cette idée juste car nous avons au cours des années perdu beaucoup de valeurs. Culture postsoviétique vs culture russe : il a été déjà dit ici que nous sommes dans une perception post impérialiste du monde.Vingt ans se sont écoulés et nous ne sommes toujours pas à même d’accepter sereinement la chute de l’URSS. Nous tenons cependant à percevoir le monde dans lequel nous sommes comme un monde russe, nous voulons continuer à débattre du peuple russe et de la culture russe.
Or, ces catégories doivent depuis longtemps être définies comme « soviétique ou postsoviétique ». Le postsoviétisme n’est hélas pas une notion figée, il est, bien au contraire, en pleine évolution. Les notions qui nous aident à décrire la réalité dans laquelle nous vivons sont, j’en suis convaincu, tout à fait faussées, les valeurs sur lesquelles se fonde la culture postsoviétique sont extrêmement contradictoires et ne constituent pas un tout cohérent.
Marlène Brocard (Pour Aujourd’hui la Russie)
Si les catholiques représentent moins de 1% de la population en Russie, 27 messes sont toutefois célébrées tous les dimanches à Moscou, en 12 langues différentes, par les représentants ecclésiastiques de chaque communauté étrangère.
«La communauté catholique à Moscou, et même en Russie est insignifiante. Nous sommes comme les Tibétains en France», révèle le Père Michaël John Ryan, prêtre irlandais de la paroisse Notre-Dame-de-L'Espérance, qui officie à la cathédrale de L'Immaculée Conception.
Deux paroisses, deux visages
A Moscou, il existe deux églises qui accueillent les catholiques: l'église Saint-Louis-des-Français et la cathédrale de L'Immaculée Conception.
La majorité des catholiques francophones et pratiquants se retrouvent à l'église Saint-Louis. Édifiée en 1830, l'église accueille deux paroisses, Saint-Louis pour les Français, et Saint Pierre et Paul pour les russophones.Située dans le quartier de Chisty Prudie, en face du lycée français, la paroisse Saint-Louis est un échantillon représentatif de la population française expatriée à Moscou.
«La majorité des fidèles francophones de notre paroisse, environ 500 personnes, est représentée par les expatriés d'entreprises françaises», explique le Père Adrien Masson, curé de Saint-Louis. «Ils sont souvent en Russie pour une durée limitée, par conséquent tous les ans, le visage de la paroisse change du tiers.»
Si les catholiques représentent moins de 1% de la population en Russie, 27 messes sont toutefois célébrées tous les dimanches à Moscou, en 12 langues différentes, par les représentants ecclésiastiques de chaque communauté étrangère.
«La communauté catholique à Moscou, et même en Russie est insignifiante. Nous sommes comme les Tibétains en France», révèle le Père Michaël John Ryan, prêtre irlandais de la paroisse Notre-Dame-de-L'Espérance, qui officie à la cathédrale de L'Immaculée Conception.
Deux paroisses, deux visages
A Moscou, il existe deux églises qui accueillent les catholiques: l'église Saint-Louis-des-Français et la cathédrale de L'Immaculée Conception.
La majorité des catholiques francophones et pratiquants se retrouvent à l'église Saint-Louis. Édifiée en 1830, l'église accueille deux paroisses, Saint-Louis pour les Français, et Saint Pierre et Paul pour les russophones.Située dans le quartier de Chisty Prudie, en face du lycée français, la paroisse Saint-Louis est un échantillon représentatif de la population française expatriée à Moscou.
«La majorité des fidèles francophones de notre paroisse, environ 500 personnes, est représentée par les expatriés d'entreprises françaises», explique le Père Adrien Masson, curé de Saint-Louis. «Ils sont souvent en Russie pour une durée limitée, par conséquent tous les ans, le visage de la paroisse change du tiers.»
Un engin explosif de forte puissance a sévèrement endommagé dans la nuit de dimanche à lundi 15 août l’église syro-orthodoxe de Saint Ephrem à Kirkuk. Personne n’a été blessé, car l’attentat a eu lieu vers 1h30 du matin.
L’édifice, qui a subi de gros dommages, est situé à quelques centaines de mètres de la cathédrale chaldéenne, dans le centre de la ville, a annoncé lundi 15 août l’agence de presse catholique AsiaNews à Rome. Une grande partie du toit s’est effondré à l’intérieur de l’église.
L’édifice, qui a subi de gros dommages, est situé à quelques centaines de mètres de la cathédrale chaldéenne, dans le centre de la ville, a annoncé lundi 15 août l’agence de presse catholique AsiaNews à Rome. Une grande partie du toit s’est effondré à l’intérieur de l’église.
V, GOLOVANOW
Les structures de l'Eglise russe étaient restées figées depuis l'époque soviétique, avec des diocèses calqués sur les divisions administratives de l'URSS. Mais le nombre de ses membres, et en particulier des paroisses, monastères, séminaires… ayant décuplé, il est devenu indispensable d'adapter l'organisation ecclésiale.
C'est le concile des épiscopal de février 2011 qui a lancé la réorganisation qui a été rendue publique lors de la réunion du saint Synode à Kiev le 27 juillet dernier: il a créé une nouvelle région métropolitaine en Asie centrale (comprenant les diocèses de Tadjikistan, d'Ouzbekistan, de Kirghistan et le doyenné de Turkmenistan) et six nouveaux diocèses en partageant de grands diocèses sur son territoire canonique. Cette réorganisation a provoqué beaucoup d'interrogations en Russie et Vladimir Legoïda, président du Département synodal en explique le sens ici
Les structures de l'Eglise russe étaient restées figées depuis l'époque soviétique, avec des diocèses calqués sur les divisions administratives de l'URSS. Mais le nombre de ses membres, et en particulier des paroisses, monastères, séminaires… ayant décuplé, il est devenu indispensable d'adapter l'organisation ecclésiale.
C'est le concile des épiscopal de février 2011 qui a lancé la réorganisation qui a été rendue publique lors de la réunion du saint Synode à Kiev le 27 juillet dernier: il a créé une nouvelle région métropolitaine en Asie centrale (comprenant les diocèses de Tadjikistan, d'Ouzbekistan, de Kirghistan et le doyenné de Turkmenistan) et six nouveaux diocèses en partageant de grands diocèses sur son territoire canonique. Cette réorganisation a provoqué beaucoup d'interrogations en Russie et Vladimir Legoïda, président du Département synodal en explique le sens ici
l'Archimandrite Job Getcha
Le 13 août dernier, le patriarche œcuménique Bartholomée (né en 1940) a célébré ses 50 ans de sacerdoce. Il a présidé la Divine Liturgie à la cathédrale de la Dormition de la Mère de Dieu sur son île natale d'Imbros, là où il y a exactement 50 ans il fut ordonné diacre par le métropolite Méliton d'Imbros et de Ténédos (1913-1989), ultérieurement métropolite de Chalcédoine.
Avec lui ont concélébré les métropolites Anthyme d'Alexandroupolis et Nicolas de Mesogaia en présence des métropolites Chrysostome de Myre, Jacques des îles des Princes, Chrysostome de Simi, et de l'évêque du lieu, le métropolite Cyrille d'Imbros et Ténédos. L'église était remplie à capacité par les résidents de l'île d'Imbros ainsi que par de nombreux visiteurs venus de l'étranger pour honorer le patriarche, dont le maire de Thessalonique, Iannis Boutaris.
Le patriarche œcuménique Bartholomée vient de publier en avril dernier un livre en français aux Éditions du Cerf, intitulé "À la Rencontre du Mystère" où il retrace entre autres son parcours personnel.
PHOTOS ICI
Le 13 août dernier, le patriarche œcuménique Bartholomée (né en 1940) a célébré ses 50 ans de sacerdoce. Il a présidé la Divine Liturgie à la cathédrale de la Dormition de la Mère de Dieu sur son île natale d'Imbros, là où il y a exactement 50 ans il fut ordonné diacre par le métropolite Méliton d'Imbros et de Ténédos (1913-1989), ultérieurement métropolite de Chalcédoine.
Avec lui ont concélébré les métropolites Anthyme d'Alexandroupolis et Nicolas de Mesogaia en présence des métropolites Chrysostome de Myre, Jacques des îles des Princes, Chrysostome de Simi, et de l'évêque du lieu, le métropolite Cyrille d'Imbros et Ténédos. L'église était remplie à capacité par les résidents de l'île d'Imbros ainsi que par de nombreux visiteurs venus de l'étranger pour honorer le patriarche, dont le maire de Thessalonique, Iannis Boutaris.
Le patriarche œcuménique Bartholomée vient de publier en avril dernier un livre en français aux Éditions du Cerf, intitulé "À la Rencontre du Mystère" où il retrace entre autres son parcours personnel.
PHOTOS ICI
Le patriarcat de Jérusalem a annoncé qu'il suspendait la communion canonique avec l'Eglise orthodoxe roumaine qui construit une église pour des pèlerins roumains à Jéricho, suite à un accord avec un des prédécesseurs de l'actuel patriarche de Jérusalem.
Les lecteurs de notre blog pensent:
à 43.37% que c'est une décision regrettable qui nuit au témoignage de l’Église orthodoxe dans le monde;
à 33.13% que c'est une décision justifiée compte-tenu des circonstances;
à 23.5% que cette décision ne nous concerne pas.
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à 43.37% que c'est une décision regrettable qui nuit au témoignage de l’Église orthodoxe dans le monde;
à 33.13% que c'est une décision justifiée compte-tenu des circonstances;
à 23.5% que cette décision ne nous concerne pas.
Depuis le début du mois de juillet et jusqu'au mois de septembre, la chapelle du Séminaire à Epinay-sous-Sénart est fermée pour travaux. Des célébrations liturgiques (le samedi matin à 10 h et le dimanche matin à 10 h) ont cependant lieu sur un autel provisoire, aménagé dans la sacristie de la chapelle.
Le plafond et les murs de la chapelle viennent d'être repeints, le sol est également remplacé.
L'atelier iconographique du séminaire, sous la direction de Mme Emilie van Taack, a commencé la réalisation des fresques dans le sanctuaire de la chapelle. Derrière l'autel se trouvera une grande fresque de la Mère de Dieu du Signe. Elle sera entourée des icônes de saint Grégoire le Théologien (de Nazianze), des saints Jean Chrysostome et Basile le Grand (les Trois Saints Docteurs) et de saint Maxime le Confesseur, ainsi que des archanges et des chérubins.
Le plafond et les murs de la chapelle viennent d'être repeints, le sol est également remplacé.
L'atelier iconographique du séminaire, sous la direction de Mme Emilie van Taack, a commencé la réalisation des fresques dans le sanctuaire de la chapelle. Derrière l'autel se trouvera une grande fresque de la Mère de Dieu du Signe. Elle sera entourée des icônes de saint Grégoire le Théologien (de Nazianze), des saints Jean Chrysostome et Basile le Grand (les Trois Saints Docteurs) et de saint Maxime le Confesseur, ainsi que des archanges et des chérubins.
Ce texte nous a été adressé par Daniel en tant que commentaire a propos « L’avenir de l’orthodoxie en Europe et le schisme de Paris » Nous avons préféré en faire un post.
Il y a des exagérations dans l'article. A le lire, on croirait que dans toutes les paroisses, on trouve des femmes acolytes, des proscomédies au milieu de l'église et aucune iconostase et j'en passe. C'est en fait juste la liste de ce que les modernistes désirent mais entre le désir et le passage à l'acte, il y a un grand bond qui n'a pas été franchi en bien des endroits... Je n'ai aucune connaissance de femmes acolytes dans les églises de Daru...
Les questions de nationalité sont sans importance dans l'église. Ce n'est pas parce qu'un nom se finit en - "ov" que la personne est une bonne orthodoxe.
Il y a des exagérations dans l'article. A le lire, on croirait que dans toutes les paroisses, on trouve des femmes acolytes, des proscomédies au milieu de l'église et aucune iconostase et j'en passe. C'est en fait juste la liste de ce que les modernistes désirent mais entre le désir et le passage à l'acte, il y a un grand bond qui n'a pas été franchi en bien des endroits... Je n'ai aucune connaissance de femmes acolytes dans les églises de Daru...
Les questions de nationalité sont sans importance dans l'église. Ce n'est pas parce qu'un nom se finit en - "ov" que la personne est une bonne orthodoxe.
Jean-Arnault Dérens et Laurent Geslin
L'Ukraine offre toujours l'image d'un patchwork compliqué de confessions et d'Églises rivales et «concurrentes». L'orthodoxie, majoritaire sur cette terre qui vit le baptême de l'ancienne Rous, est divisée en plusieurs Églises qu'opposent toujours de vifs antagonismes, tandis qu'elle doit cohabiter avec deux Églises gréco-catholiques (uniates) et une Église catholique latine, qui poursuivent leur relèvement, vingt ans après la dissolution de l'URSS et l'indépendance du pays. Ces Églises «traditionnelles» doivent, de surcroît, faire face à l'émergence de nouvelles Églises protestantes, très dynamiques.
L'Ukraine est l'un des plus grands pays d'Europe, et sa complexité confessionnelle n'est que le résultat de son histoire et de son positionnement géopolitique. Aujourd'hui voisine de l'Union européenne - qu'elle espère rejoindre un jour - l'Ukraine a été ballottée au cours des derniers siècles entre l'influence russe et celles des différentes puissances qui ont dominé le centre-est du continent européen: grand-duché polono-lituanien, puis Empire des Habsbourgs.
L'Ukraine offre toujours l'image d'un patchwork compliqué de confessions et d'Églises rivales et «concurrentes». L'orthodoxie, majoritaire sur cette terre qui vit le baptême de l'ancienne Rous, est divisée en plusieurs Églises qu'opposent toujours de vifs antagonismes, tandis qu'elle doit cohabiter avec deux Églises gréco-catholiques (uniates) et une Église catholique latine, qui poursuivent leur relèvement, vingt ans après la dissolution de l'URSS et l'indépendance du pays. Ces Églises «traditionnelles» doivent, de surcroît, faire face à l'émergence de nouvelles Églises protestantes, très dynamiques.
L'Ukraine est l'un des plus grands pays d'Europe, et sa complexité confessionnelle n'est que le résultat de son histoire et de son positionnement géopolitique. Aujourd'hui voisine de l'Union européenne - qu'elle espère rejoindre un jour - l'Ukraine a été ballottée au cours des derniers siècles entre l'influence russe et celles des différentes puissances qui ont dominé le centre-est du continent européen: grand-duché polono-lituanien, puis Empire des Habsbourgs.
L’archiprêtre Andrew Phillips nous a fait parvenir la deuxième partie de sa passionnante analyse « L’avenir de l’orthodoxie en Europe et le schisme de Paris ».
Nous lui sommes très reconnaissants d’avoir confié ce texte à « Parlons ». L’équipe de rédaction ne fait pas siennes toutes les affirmations de l’auteur. Nous publions le texte en anglais et nous prions nos lecteurs de nous excuser de ne pas en avoir fait une version française
"The Future of European Orthodoxy and the Paris Schism"
Foreword
Having won a prize for a work on Orthodoxy from the Alliance Française, I was first able to visit Russian Orthodox Paris exactly 37 years ago, in July 1974. Here I already knew that some important part of my destiny lay. Among many nostalgic memories, I remember speaking to a very elderly man in a long since closed Russian bookshop, where I had bought a copy of the Gospels in Church Slavonic and Kartashov’s "Vossozdanie Svyatoi Rusi" ("The Recreation of Holy Rus").The elderly told me how the study of Church Slavonic had been obligatory in Russia when he had been a young man well before the 1917 Revolution and related other memories.
Nous lui sommes très reconnaissants d’avoir confié ce texte à « Parlons ». L’équipe de rédaction ne fait pas siennes toutes les affirmations de l’auteur. Nous publions le texte en anglais et nous prions nos lecteurs de nous excuser de ne pas en avoir fait une version française
"The Future of European Orthodoxy and the Paris Schism"
Foreword
Having won a prize for a work on Orthodoxy from the Alliance Française, I was first able to visit Russian Orthodox Paris exactly 37 years ago, in July 1974. Here I already knew that some important part of my destiny lay. Among many nostalgic memories, I remember speaking to a very elderly man in a long since closed Russian bookshop, where I had bought a copy of the Gospels in Church Slavonic and Kartashov’s "Vossozdanie Svyatoi Rusi" ("The Recreation of Holy Rus").The elderly told me how the study of Church Slavonic had been obligatory in Russia when he had been a young man well before the 1917 Revolution and related other memories.
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