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Le 9 mai, dimanche de St Thomas, le métropolite Antoine, exarque patriarcal en Europe occidentale, a célébré la Divine Liturgie à la cathédrale de la Sainte Trinité à Paris.
À la petite entrée, le prêtre Maxime Politov a reçu le droit de porter un genouiller par décret de Sa Sainteté le patriarche Cyrille de Moscou. Concélébraient, le père Maxime Politov secrétaire de l'Administration diocésaine de Chersonèse, l'archiprêtre Igor Trofim, les prêtres Jean Dimitrov, Serge Kim, le protodiacre Nicolas Rehbinder, le diacre Roman Onika et le hiérodiacre Dionisy (Volkov).
À la petite entrée, le prêtre Maxime Politov a reçu le droit de porter un genouiller par décret de Sa Sainteté le patriarche Cyrille de Moscou. Concélébraient, le père Maxime Politov secrétaire de l'Administration diocésaine de Chersonèse, l'archiprêtre Igor Trofim, les prêtres Jean Dimitrov, Serge Kim, le protodiacre Nicolas Rehbinder, le diacre Roman Onika et le hiérodiacre Dionisy (Volkov).
Rédigé par Parlons D'orthodoxie le 9 Mai 2021 à 17:28
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Ce deuxième dimanche de Pâques, nous fêtons le Renouveau de la Résurrection du Christ et l'attouchement du Saint Apôtre Thomas.
Thomas signifie abyme, ou jumeau, en grec Dydime : ou bien il vient de thomos qui veut dire division, partage. Il signifie abyme, parce qu'il mérita de sonder les profondeurs de la divinité, quand, à sa question, J.-C. répondit : « Je suis la voie, la vérité et la vie. » On l’appelle Dydime pour avoir connu de deux manières la résurrection de J.-C. Les autres en effet, connurent le Sauveur en le voyant, et lui, en le voyant et en le touchant. Il signifie division, soit parce qu'il sépara son âme de l’amour des choses du monde, soit parce qu'il se sépara des autres dans la croyance à la résurrection.
Saint Thomas était probablement originaire d'une pauvre famille de Galilée.
Il était dépourvu de connaissances humaines, mais d'un esprit réfléchi et d'une volonté ferme jusqu'à l'obstination; d'autre part, il avait du cœur et du dévouement. Ces deux caractères de sa physionomie paraissent en deux paroles que l'Évangile cite de lui. Peu avant Sa Passion, Jésus veut retourner en Judée; les Apôtres Lui rappellent les menaces de Ses ennemis. Thomas seul s'écrie: "Eh bien! Allons et mourons avec lui!" Voilà le dévouement du cœur de l'Apôtre.
Thomas signifie abyme, ou jumeau, en grec Dydime : ou bien il vient de thomos qui veut dire division, partage. Il signifie abyme, parce qu'il mérita de sonder les profondeurs de la divinité, quand, à sa question, J.-C. répondit : « Je suis la voie, la vérité et la vie. » On l’appelle Dydime pour avoir connu de deux manières la résurrection de J.-C. Les autres en effet, connurent le Sauveur en le voyant, et lui, en le voyant et en le touchant. Il signifie division, soit parce qu'il sépara son âme de l’amour des choses du monde, soit parce qu'il se sépara des autres dans la croyance à la résurrection.
Saint Thomas était probablement originaire d'une pauvre famille de Galilée.
Il était dépourvu de connaissances humaines, mais d'un esprit réfléchi et d'une volonté ferme jusqu'à l'obstination; d'autre part, il avait du cœur et du dévouement. Ces deux caractères de sa physionomie paraissent en deux paroles que l'Évangile cite de lui. Peu avant Sa Passion, Jésus veut retourner en Judée; les Apôtres Lui rappellent les menaces de Ses ennemis. Thomas seul s'écrie: "Eh bien! Allons et mourons avec lui!" Voilà le dévouement du cœur de l'Apôtre.
L'apôtre saint Marc naît trois ans après le Christ et décède à l'âge de soixante-cinq ans
Marc né Jean surnommé Marcus, est l'un des premiers convertis au christianisme et à l'évangélisation de l'Empire romain par l'apôtre Pierre. Il est disciple évangéliste des apôtres Pierre et Paul et l'auteur de l'Évangile selon Marc du Nouveau Testament.
Si son Évangile est le second dans l'ordre traditionnel du Nouveau Testament et des trois évangiles dits « synoptiques » avec l'Évangile selon Matthieu et l'Évangile selon Luc, il est probablement celui dont la rédaction initiale est la plus ancienne.
Marc est probablement l'inventeur du genre littéraire des évangiles tels que nous les connaissons.
Après la première version de son texte, vers 65-75, ce genre littéraire connaîtra un succès considérable, donnant naissance en un siècle à plus de dix évangiles se présentant comme des biographies de Jésus.
Son nom est Jean, Marc n'étant que son surnom. Selon les Actes des Apôtres, sa mère se prénommait Marie (12 Actes 12, 12). Ses parents auraient immigré en Palestine peu de temps après sa naissance, en raison d'attaques berbères sur leur ville et sur leur propriété. Ils se sont installés à Cana en Galilée où Jésus effectuera le miracle de la transformation de l'eau en vin, selon l'Évangile attribué à Jean, réputé être le premier « miracle » de Jésus. Marc aurait été un des intendants qui servaient au cours de cette fête
Marc né Jean surnommé Marcus, est l'un des premiers convertis au christianisme et à l'évangélisation de l'Empire romain par l'apôtre Pierre. Il est disciple évangéliste des apôtres Pierre et Paul et l'auteur de l'Évangile selon Marc du Nouveau Testament.
Si son Évangile est le second dans l'ordre traditionnel du Nouveau Testament et des trois évangiles dits « synoptiques » avec l'Évangile selon Matthieu et l'Évangile selon Luc, il est probablement celui dont la rédaction initiale est la plus ancienne.
Marc est probablement l'inventeur du genre littéraire des évangiles tels que nous les connaissons.
Après la première version de son texte, vers 65-75, ce genre littéraire connaîtra un succès considérable, donnant naissance en un siècle à plus de dix évangiles se présentant comme des biographies de Jésus.
Son nom est Jean, Marc n'étant que son surnom. Selon les Actes des Apôtres, sa mère se prénommait Marie (12 Actes 12, 12). Ses parents auraient immigré en Palestine peu de temps après sa naissance, en raison d'attaques berbères sur leur ville et sur leur propriété. Ils se sont installés à Cana en Galilée où Jésus effectuera le miracle de la transformation de l'eau en vin, selon l'Évangile attribué à Jean, réputé être le premier « miracle » de Jésus. Marc aurait été un des intendants qui servaient au cours de cette fête
La chapelle d’Artzaindeia – qui signifie en basque « l’appel du berger » -, au cœur de Cambo, avait accueilli pour une célébration dominicale une grande partie des paroissiens orthodoxes habituels venus de l’église russe de Biarritz. Connu comme « la chapelle aux icônes », cet édifice religieux avait été généreusement prêté aux orthodoxes par le Centre Arditeya qui le gère.
C'est la grande majorité des paroissiens avec le chœur qui ont dû hélas quitter leur église russe de Biarritz dont s'est emparée » une petite fraction/faction qui s'est séparée de l'Archevêché des églises de tradition russe groupé autour de la cathédrale de la rue Daru à Paris.
Rappelons qu’à Biarritz face à l’Hôtel du Palais, l’église russe fut construite en 1892 par les Moscovites et les Péterbourgeois. Aujourd’hui, l’édifice en très mauvais état devrait être restauré
C'est la grande majorité des paroissiens avec le chœur qui ont dû hélas quitter leur église russe de Biarritz dont s'est emparée » une petite fraction/faction qui s'est séparée de l'Archevêché des églises de tradition russe groupé autour de la cathédrale de la rue Daru à Paris.
Rappelons qu’à Biarritz face à l’Hôtel du Palais, l’église russe fut construite en 1892 par les Moscovites et les Péterbourgeois. Aujourd’hui, l’édifice en très mauvais état devrait être restauré
Saint Georges né en Cappadoce de parents chrétiens, Georges, officier dans l'armée romaine, traverse un jour une ville terrorisée par un redoutable dragon qui dévore tous les animaux de la contrée et exige des habitants un tribut quotidien de deux jeunes gens tirés au sort.
Georges arrive le jour où le sort tombe sur la fille du roi, au moment où celle-ci va être victime du monstre. Georges engage avec le dragon un combat acharné ; avec l'aide du Christ, il finit par triompher. la princesse est délivrée et, selon certaines versions, dont celle de la Légende dorée, le dragon, seulement blessé, lui reste désormais attaché comme un chien fidèle.
Plus tard, Georges est victime des persécutions antichrétiennes de l'empereur Dioclétien. Il subit en Palestine un martyre effroyable : livré à de nombreux supplices (brûlé, ébouillanté, broyé sous une roue, etc.), il survit miraculeusement et finit par être décapité.Son culte est toujours resté vivace en Grèce et en Russie.
Georges arrive le jour où le sort tombe sur la fille du roi, au moment où celle-ci va être victime du monstre. Georges engage avec le dragon un combat acharné ; avec l'aide du Christ, il finit par triompher. la princesse est délivrée et, selon certaines versions, dont celle de la Légende dorée, le dragon, seulement blessé, lui reste désormais attaché comme un chien fidèle.
Plus tard, Georges est victime des persécutions antichrétiennes de l'empereur Dioclétien. Il subit en Palestine un martyre effroyable : livré à de nombreux supplices (brûlé, ébouillanté, broyé sous une roue, etc.), il survit miraculeusement et finit par être décapité.Son culte est toujours resté vivace en Grèce et en Russie.
Chers amis,
Nous vivons des journées Pascales difficiles. Il y a autours de nous tant de malades, tant de décédés... Pensons à eux, prions pour eux! Le Christ est ressuscité!
PARLONS D'ORTHODOXIE
Prions le Seigneur !
Nous invoquons le Nom divin, saint, grand, redoutable, et insupportable pour te chasser, apostat ; et nous ordonnons ton anéantissement ô diable. Le Dieu saint, sans principe, redoutable, invisible en son Essence, incomparable en sa Puissance, incompréhensible en sa Divinité, le Roi de gloire et Seigneur tout-puissant t’ordonne, ô diable ; Celui qui par son Verbe fit venir toutes choses du non-être à l’être,
Celui qui marche sur les ailes du vent, le Seigneur t’ordonne, ô diable, Lui qui a rassemblé l’eau de la mer et l’a répandue sur la face de la terre, le Seigneur des Puissances , est son nom ; le Seigneur t’ordonne, ô diable, lui que vénèrent les puissances qui L’entourent, les chérubins et les séraphins aux six ailes et aux yeux innombrables dont deux leur voilent le visage pour ne pas regarder sa Divinité insoutenable et insondable, deux leur cachent les pieds, pour n’être pas brûlés par sa Gloire ineffable et sa Majesté incompréhensible, tandis qu’ils volent des deux autres et remplissent les cieux de leur clameur : « Saint, saint, saint Es-Tu notre Seigneur Sabaoth, les cieux et la terre sont remplis de ta gloire ».
Nous vivons des journées Pascales difficiles. Il y a autours de nous tant de malades, tant de décédés... Pensons à eux, prions pour eux! Le Christ est ressuscité!
PARLONS D'ORTHODOXIE
Prions le Seigneur !
Nous invoquons le Nom divin, saint, grand, redoutable, et insupportable pour te chasser, apostat ; et nous ordonnons ton anéantissement ô diable. Le Dieu saint, sans principe, redoutable, invisible en son Essence, incomparable en sa Puissance, incompréhensible en sa Divinité, le Roi de gloire et Seigneur tout-puissant t’ordonne, ô diable ; Celui qui par son Verbe fit venir toutes choses du non-être à l’être,
Celui qui marche sur les ailes du vent, le Seigneur t’ordonne, ô diable, Lui qui a rassemblé l’eau de la mer et l’a répandue sur la face de la terre, le Seigneur des Puissances , est son nom ; le Seigneur t’ordonne, ô diable, lui que vénèrent les puissances qui L’entourent, les chérubins et les séraphins aux six ailes et aux yeux innombrables dont deux leur voilent le visage pour ne pas regarder sa Divinité insoutenable et insondable, deux leur cachent les pieds, pour n’être pas brûlés par sa Gloire ineffable et sa Majesté incompréhensible, tandis qu’ils volent des deux autres et remplissent les cieux de leur clameur : « Saint, saint, saint Es-Tu notre Seigneur Sabaoth, les cieux et la terre sont remplis de ta gloire ».
Message pascal du Patriarche CYRILLE de Moscou et de toutes les Russies aux archipasteurs, pasteurs, diacres, moines et moniales et à tous les fidèles enfants de l’Église orthodoxe russe
Éminences et excellences, révérends pasteurs et diacres, vénérables moines et moniales chers frères et sœurs !
En ce jour parfaitement saint, empli de la joie pascale et d’une merveilleuse lumière, de bouche en bouche, de cœur à cœur se transmet la bonne nouvelle vivifiante :
LE CHRIST EST RESSUSCITÉ !
Nous confessons ainsi notre foi inébranlable en Celui auprès de la Croix duquel nous nous sommes tenus le Vendredi Saint, Celui qu’avec les disciples et les myrophores nous avons pleuré, priant devant l’épitaphion. Aujourd’hui, avec les chœurs angéliques, manifestant l’unité de l’Église céleste et de l’Église terrestre, nous proclamons solennellement : « Aujourd’hui, c’est le salut du monde, car il est ressuscité, le Christ, notre Dieu tout-puissant » (Canon de Pâques, hirmos de la 4eode).
La Pâque du Seigneur est un témoignage éclatant de la sagesse divine et de l’amour infini du Créateur pour le genre humain. Le commencement de l’histoire, comme on sait, fut assombri par une tragédie spirituelle : par la chute de nos premiers parents, les portes du Paradis se fermèrent pour les hommes, les souffrances et la mort sont les conséquences inévitables de la peccabilité humaine. Mais, ayant perdu la communion avec Dieu, Source de vie, les hommes n’ont été privés ni de Sa bonté, ni de Son amour.
Éminences et excellences, révérends pasteurs et diacres, vénérables moines et moniales chers frères et sœurs !
En ce jour parfaitement saint, empli de la joie pascale et d’une merveilleuse lumière, de bouche en bouche, de cœur à cœur se transmet la bonne nouvelle vivifiante :
LE CHRIST EST RESSUSCITÉ !
Nous confessons ainsi notre foi inébranlable en Celui auprès de la Croix duquel nous nous sommes tenus le Vendredi Saint, Celui qu’avec les disciples et les myrophores nous avons pleuré, priant devant l’épitaphion. Aujourd’hui, avec les chœurs angéliques, manifestant l’unité de l’Église céleste et de l’Église terrestre, nous proclamons solennellement : « Aujourd’hui, c’est le salut du monde, car il est ressuscité, le Christ, notre Dieu tout-puissant » (Canon de Pâques, hirmos de la 4eode).
La Pâque du Seigneur est un témoignage éclatant de la sagesse divine et de l’amour infini du Créateur pour le genre humain. Le commencement de l’histoire, comme on sait, fut assombri par une tragédie spirituelle : par la chute de nos premiers parents, les portes du Paradis se fermèrent pour les hommes, les souffrances et la mort sont les conséquences inévitables de la peccabilité humaine. Mais, ayant perdu la communion avec Dieu, Source de vie, les hommes n’ont été privés ni de Sa bonté, ni de Son amour.
MESSAGE PASCAL de Son Éminence ANTOINE, Métropolite de Chersonèse et d’Europe occidentale, exarque du patriarche en Europe occidentale
Éminences, vénérables prêtres, moines et moniales, chers frères et sœurs !
De tout mon cœur je vous félicite à l’occasion de la grande et radieuse fête de la Pâque du Seigneur ! De nouveau, le Sauveur du monde nous a permis d’atteindre ce jour saint et promis, et d’entendre la salutation pascale par laquelle – saisi de liesse – je m’adresse à vous tous : Le Christ est ressuscité ! En vérité Il est ressuscité !
Ayant parcouru avec le Seigneur le chemin des derniers jours de Sa vie terrestre, nous sommes désormais placés devant la Vivifiante Grotte, d’où a jailli la lumière du salut. La magnificence de Dieu a vaincu le mal qui a cloué le Sauveur sur la Croix. L’amour du Christ s’est avéré plus fort que la mort même. La largesse du Père céleste s’est abondamment répandue sur tous les Hommes, ouvrant à chacun les portes du Royaume éternel. Il ne peut y avoir davantage de joie que celle qui nous associe étroitement et activement à cette Grande Victoire qui, d’après l’Apôtre, a vaincu le monde et a libéré la création du sceau oppressant des péchés !
Éminences, vénérables prêtres, moines et moniales, chers frères et sœurs !
De tout mon cœur je vous félicite à l’occasion de la grande et radieuse fête de la Pâque du Seigneur ! De nouveau, le Sauveur du monde nous a permis d’atteindre ce jour saint et promis, et d’entendre la salutation pascale par laquelle – saisi de liesse – je m’adresse à vous tous : Le Christ est ressuscité ! En vérité Il est ressuscité !
Ayant parcouru avec le Seigneur le chemin des derniers jours de Sa vie terrestre, nous sommes désormais placés devant la Vivifiante Grotte, d’où a jailli la lumière du salut. La magnificence de Dieu a vaincu le mal qui a cloué le Sauveur sur la Croix. L’amour du Christ s’est avéré plus fort que la mort même. La largesse du Père céleste s’est abondamment répandue sur tous les Hommes, ouvrant à chacun les portes du Royaume éternel. Il ne peut y avoir davantage de joie que celle qui nous associe étroitement et activement à cette Grande Victoire qui, d’après l’Apôtre, a vaincu le monde et a libéré la création du sceau oppressant des péchés !
Христос Bоскресe ! (le Christ est Ressuscité) - Воистину Bоскресе ! (en Vérité, Il est Ressuscité) : c’est ce dimanche 2 mai que les chrétiens orthodoxes célébreront Pâques. Encore de nos jours, il s'agit de la fête majeure du calendrier de l’église orthodoxe et c'est en Russie que sa célébration revêt son plus grand éclat.
Dans notre région, la célébration de la fête de Pâques chez les Orthodoxes : à Cambo, l'office de Pâques sera célébré par le Père Nicolas Rehbinder le samedi 8 mai "Semaine de Pâques à 10h30 à la Chapelle aux Icônes.
Il est de tradition qu’une délégation assiste à la cérémonie du Feu nouveau à l'église du Saint-Sépulcre, à Jérusalem, et l’achemine en avion à Moscou où le Patriarche célèbre l'office pascal à la Cathédrale du Christ Sauveur. Car, chaque année, se reproduit ce miracle du Feu du Saint-Sépulcre qui descend le Samedi Saint, embrase en un instant une multitude de cierges et illumine la basilique de la Résurrection à Jérusalem
Dans notre région, la célébration de la fête de Pâques chez les Orthodoxes : à Cambo, l'office de Pâques sera célébré par le Père Nicolas Rehbinder le samedi 8 mai "Semaine de Pâques à 10h30 à la Chapelle aux Icônes.
Il est de tradition qu’une délégation assiste à la cérémonie du Feu nouveau à l'église du Saint-Sépulcre, à Jérusalem, et l’achemine en avion à Moscou où le Patriarche célèbre l'office pascal à la Cathédrale du Christ Sauveur. Car, chaque année, se reproduit ce miracle du Feu du Saint-Sépulcre qui descend le Samedi Saint, embrase en un instant une multitude de cierges et illumine la basilique de la Résurrection à Jérusalem
Par professeur Nicolas Ossorguine
Dans l’Eglise orthodoxe, la Nativité du Christ est une fête très importante. Liturgiquement, l’Eglise voit en elle l’icône de la fête de Pâques. C’est la raison pour laquelle, dans la partie consacrée aux éphémérides du « Psautier commenté », la fête de la Nativité est appelée « Pâques, fête de trois jours ».
La notion de « trois jours » doit être comprise non pas sur le plan de temps (durée), mais dans le sens qualitatif : liturgiquement les offices de la Nativité contiennent des éléments du Vendredi Saint, du Samedi Saint et de Pâques. Ces éléments se retrouvent dans les offices des 24 et 25 décembre, à savoir : 1) le 24 – XII « les Heures Royales » (Vendredi Saint), 2) le 25-XII les Vêpres avec la liturgie vespérale de Saint Basile (Samedi Saint) et enfin 3) la liturgie eucharistique matinale de Saint Jean Chrysostome le jour de la Nativité (Pâques).
Dans la mesure où le 24 décembre correspond aux deux derniers jours de la Semaine Sainte, l’Eglise prescrit un carême semblable à celui de cette semaine Il est très important de comprendre que, du moment où il y a relation très étroite entre les évènements liés à la fête de Pâques, fête mobile et les évènements de la Nativité, fête fixe, l’expression liturgique de la Nativité se manifeste simultanément à travers ces deux cycles : fixe et mobile (pascal).
Dans l’Eglise orthodoxe, la Nativité du Christ est une fête très importante. Liturgiquement, l’Eglise voit en elle l’icône de la fête de Pâques. C’est la raison pour laquelle, dans la partie consacrée aux éphémérides du « Psautier commenté », la fête de la Nativité est appelée « Pâques, fête de trois jours ».
La notion de « trois jours » doit être comprise non pas sur le plan de temps (durée), mais dans le sens qualitatif : liturgiquement les offices de la Nativité contiennent des éléments du Vendredi Saint, du Samedi Saint et de Pâques. Ces éléments se retrouvent dans les offices des 24 et 25 décembre, à savoir : 1) le 24 – XII « les Heures Royales » (Vendredi Saint), 2) le 25-XII les Vêpres avec la liturgie vespérale de Saint Basile (Samedi Saint) et enfin 3) la liturgie eucharistique matinale de Saint Jean Chrysostome le jour de la Nativité (Pâques).
Dans la mesure où le 24 décembre correspond aux deux derniers jours de la Semaine Sainte, l’Eglise prescrit un carême semblable à celui de cette semaine Il est très important de comprendre que, du moment où il y a relation très étroite entre les évènements liés à la fête de Pâques, fête mobile et les évènements de la Nativité, fête fixe, l’expression liturgique de la Nativité se manifeste simultanément à travers ces deux cycles : fixe et mobile (pascal).
La modeste chapelle de la Mère de Dieu à Kazan s’élève près des murs blancs du couvent de la Vierge. C’est une des plus anciennes églises de la ville. C’est là qu’au XVI siècle, Hermogène, plus tard patriarche de l’Eglise Russe et martyr, exerça son ministère en ses jeunes années, peu après la conquête de la ville par les Polonais, quand ils entrèrent en Russie.
La célèbre icône miraculeuse de la Vierge, connue sous le nom de « Notre-Dame de Kazan » fut découverte, en 1579, dans une maison brûlée, à quelques pas de la jolie chapelle près de laquelle on construisit alors un grand couvent de femmes. La ville de Kazan, située au bord de la Volga, fut créée par les Tatars lors de leur invasion au XIII siècle.
En 1917, quand commença la révolution, c’était un vieux et modeste prêtre, le père Feodor Guidaspov qui s’occupaiot de la petite chapelle.
L’année d’après, Kazan fut occupée par l’armée populaire qui cherchait, à la défendre contre l’assaut des Bolcheviks ; ceux-ci la bombardaient depuis la Volga, avec leurs canonnières. Tandis que continuait la lutte le père Feodor faisait chaque jour le tour de sa pauvre paroisse à la tête d’une procession.
La célèbre icône miraculeuse de la Vierge, connue sous le nom de « Notre-Dame de Kazan » fut découverte, en 1579, dans une maison brûlée, à quelques pas de la jolie chapelle près de laquelle on construisit alors un grand couvent de femmes. La ville de Kazan, située au bord de la Volga, fut créée par les Tatars lors de leur invasion au XIII siècle.
En 1917, quand commença la révolution, c’était un vieux et modeste prêtre, le père Feodor Guidaspov qui s’occupaiot de la petite chapelle.
L’année d’après, Kazan fut occupée par l’armée populaire qui cherchait, à la défendre contre l’assaut des Bolcheviks ; ceux-ci la bombardaient depuis la Volga, avec leurs canonnières. Tandis que continuait la lutte le père Feodor faisait chaque jour le tour de sa pauvre paroisse à la tête d’une procession.
Le Saint et Grand Vendredi, nous célébrons les Saintes Souffrances que notre Seigneur, Dieu et Sauveur Jésus Christ endura pour notre salut les crachats, les soufflets, la flagellation, les insultes, les moqueries, le manteau de pourpre, le roseau, l'éponge, le vinaigre, les clous, la lance et surtout la Croix et la mort, qu'Il accepta librement pour nous sauver; et nous y ajoutons la mémoire de la confession par laquelle le bon Larron, crucifié avec Lui, trouva le salut sur la croix.
Verbe du Dieu vivant, aujourd'hui sur la Croix Tu souffres que la mort prenne le Dieu de vie. La clef du bon Larron ouvre le Paradis : «Seigneur, en Ton royaume souviens-toi de moi !»
Il faut savoir que, si le Seigneur a été crucifié le sixième jour, c'est-à-dire un vendredi, c'est parce que le sixième jour fut créé l'homme au commencement. Et s'Il a été mis en croix à la sixième heure, c'est parce qu'à cette heure-là, comme nous l'avons déjà dit, Adam lui-même, ayant tendu la main vers l'arbre défendu, le toucha et mourut. C'est donc à l'heure où il avait été brisé qu'il fallut le recréer. Suite ...
Verbe du Dieu vivant, aujourd'hui sur la Croix Tu souffres que la mort prenne le Dieu de vie. La clef du bon Larron ouvre le Paradis : «Seigneur, en Ton royaume souviens-toi de moi !»
Il faut savoir que, si le Seigneur a été crucifié le sixième jour, c'est-à-dire un vendredi, c'est parce que le sixième jour fut créé l'homme au commencement. Et s'Il a été mis en croix à la sixième heure, c'est parce qu'à cette heure-là, comme nous l'avons déjà dit, Adam lui-même, ayant tendu la main vers l'arbre défendu, le toucha et mourut. C'est donc à l'heure où il avait été brisé qu'il fallut le recréer. Suite ...
Vilnius- Вильнюс: Остробрамская икона Божией Матери
La porte de l'Aurore chapelle de la Sainte Vierge Marie Mère de Miséricorde. La peinture de la Sainte Vierge Marie, Mère de la Miséricorde de Aušros Vartai (la Porte de l'Aurore) est la seule en Lituanie si largement connue pour ses guérisons miraculeuses et d'autres grâces, elle est vénérée par des pèlerins de nombreux pays. La Bienheureuse Vierge Marie de Aušros Vartai est considérée comme la protectrice de la Lituanie, ainsi qu’un symbole de concorde.
Quatre peuples et deux confessions religieuses se réunissent pour l’adorer : les Lituaniens, les Polonais, les Biélorusses et les Russes, catholiques comme orthodoxes.
Les plus hauts hiérarques orthodoxes russes et lituaniens catholiques - Alexy II, le Patriarche de Moscou et de toute la Russie, et Audrys Juozas Bačkis, archevêque de l'archidiocèse de Vilnius - priaient ensemble dans Aušros Vartai le 28 Juillet 1997. Ils ont encouragé quelques milliers de croyants qui étaient rassemblés en face de la Porte de vivre dans l'esprit de l'amour chrétien, de la paix et de la concorde.
La porte de l'Aurore chapelle de la Sainte Vierge Marie Mère de Miséricorde. La peinture de la Sainte Vierge Marie, Mère de la Miséricorde de Aušros Vartai (la Porte de l'Aurore) est la seule en Lituanie si largement connue pour ses guérisons miraculeuses et d'autres grâces, elle est vénérée par des pèlerins de nombreux pays. La Bienheureuse Vierge Marie de Aušros Vartai est considérée comme la protectrice de la Lituanie, ainsi qu’un symbole de concorde.
Quatre peuples et deux confessions religieuses se réunissent pour l’adorer : les Lituaniens, les Polonais, les Biélorusses et les Russes, catholiques comme orthodoxes.
Les plus hauts hiérarques orthodoxes russes et lituaniens catholiques - Alexy II, le Patriarche de Moscou et de toute la Russie, et Audrys Juozas Bačkis, archevêque de l'archidiocèse de Vilnius - priaient ensemble dans Aušros Vartai le 28 Juillet 1997. Ils ont encouragé quelques milliers de croyants qui étaient rassemblés en face de la Porte de vivre dans l'esprit de l'amour chrétien, de la paix et de la concorde.
La liturgie du Jeudi Saint se compose, dans la tradition byzantine, de trois grands offices : les matines, le rite du lavement des pieds – réservé au rituel pontifical – et les vêpres avec la liturgie de Saint-Basile.
Trois événements sont au centre de la liturgie de ce jour : la trahison de Judas, la manifestation de l’humilité du Seigneur et la Cène avec les disciples, appelée dans la tradition orthodoxe « repas mystique ».
Aucune autre fête, pas même celle de la Nativité, n’est dotée de prières aussi riches sur le plan christologique que le Jeudi Saint. C’est au soir de la Pâque juive, au cours du repas rituel commémorant la sortie d’Égypte du peuple hébreu, que le Roi d’Israël se fait connaître à ses disciples et découvre la nature véritable de son alliance avec l’humanité.
Ainsi, le dernier dîner du Seigneur avec les apôtres est non seulement mystique, mais aussi mystagogique.
« Lors de ce dîner, tu as révélé aux initiés l’immense mystère de ton incarnation » : l’incarnation de Dieu est l’alliance éternelle que Dieu promettait à Abraham et qu’il a enfin accomplie à la fin des temps.
Trois événements sont au centre de la liturgie de ce jour : la trahison de Judas, la manifestation de l’humilité du Seigneur et la Cène avec les disciples, appelée dans la tradition orthodoxe « repas mystique ».
Aucune autre fête, pas même celle de la Nativité, n’est dotée de prières aussi riches sur le plan christologique que le Jeudi Saint. C’est au soir de la Pâque juive, au cours du repas rituel commémorant la sortie d’Égypte du peuple hébreu, que le Roi d’Israël se fait connaître à ses disciples et découvre la nature véritable de son alliance avec l’humanité.
Ainsi, le dernier dîner du Seigneur avec les apôtres est non seulement mystique, mais aussi mystagogique.
« Lors de ce dîner, tu as révélé aux initiés l’immense mystère de ton incarnation » : l’incarnation de Dieu est l’alliance éternelle que Dieu promettait à Abraham et qu’il a enfin accomplie à la fin des temps.
Saint Matthieu 26, 14-25
L’un des douze apôtres de Jésus, nommé Judas Iscariote, alla trouver les chefs des prêtres et leur dit : « Que voulez-vous me donner, si je vous le livre ? » Ils lui proposèrent trente pièces d’argent. Dès lors, Judas cherchait une occasion favorable pour le livrer. Le premier jour de la fête des pains sans levain, les disciples vinrent dire à Jésus : « Où veux-tu que nous fassions les préparatifs de ton repas pascal ? »
Il leur dit : « Allez à la ville, chez un tel, et dites-lui : ’Le Maître te fait dire : Mon temps est proche ; c’est chez toi que je veux célébrer la Pâque avec mes disciples.’ » Les disciples firent ce que Jésus leur avait prescrit et ils préparèrent la Pâque.
Le soir venu, Jésus se trouvait à table avec les Douze. Pendant le repas, il leur déclara : « Amen, je vous le dis : l’un de vous va me livrer. » Profondément attristés, ils se mirent à lui demander, l’un après l’autre : « Serait-ce moi, Seigneur ? » Il leur répondit : « Celui qui vient de se servir en même temps que moi, celui-là va me livrer.
Le Fils de l’homme s’en va, comme il est écrit à son sujet ; mais malheureux l’homme par qui le Fils de l’homme est livré ! Il vaudrait mieux que cet homme-là ne soit pas né ! » Judas, celui qui le livrait, prit la parole : « Rabbi, serait-ce moi ? » Jésus lui répond : « C’est toi qui l’as dit ! »
L’un des douze apôtres de Jésus, nommé Judas Iscariote, alla trouver les chefs des prêtres et leur dit : « Que voulez-vous me donner, si je vous le livre ? » Ils lui proposèrent trente pièces d’argent. Dès lors, Judas cherchait une occasion favorable pour le livrer. Le premier jour de la fête des pains sans levain, les disciples vinrent dire à Jésus : « Où veux-tu que nous fassions les préparatifs de ton repas pascal ? »
Il leur dit : « Allez à la ville, chez un tel, et dites-lui : ’Le Maître te fait dire : Mon temps est proche ; c’est chez toi que je veux célébrer la Pâque avec mes disciples.’ » Les disciples firent ce que Jésus leur avait prescrit et ils préparèrent la Pâque.
Le soir venu, Jésus se trouvait à table avec les Douze. Pendant le repas, il leur déclara : « Amen, je vous le dis : l’un de vous va me livrer. » Profondément attristés, ils se mirent à lui demander, l’un après l’autre : « Serait-ce moi, Seigneur ? » Il leur répondit : « Celui qui vient de se servir en même temps que moi, celui-là va me livrer.
Le Fils de l’homme s’en va, comme il est écrit à son sujet ; mais malheureux l’homme par qui le Fils de l’homme est livré ! Il vaudrait mieux que cet homme-là ne soit pas né ! » Judas, celui qui le livrait, prit la parole : « Rabbi, serait-ce moi ? » Jésus lui répond : « C’est toi qui l’as dit ! »
Le 24 avril 2021, dimanche de Lazare, l’archevêque Nestor de Madrid et de Lisbonne a célébré la consécration mineure de l’église Saint-Alexandre-Nevski, à Saragosse. Saragosse, l’une des principales villes d’Espagne, capitale de l’Aragon, est aussi l’un des plus anciens buts de pèlerinage en Espagne.
Avant la célébration de la Divine liturgie, le chef du diocèse d’Espagne et du Portugal a célébré la consécration mineure de l’église, qui marque le début des célébrations diocésaines de l’année Alexandre Nevski : on fête, en effet, cette année le 800e anniversaire de sa naissance.
L’archevêque Nestor concélébrait avec le prêtre Alexandre Lobera (Emilio Alejandro Lobera), recteur de la paroisse, l’archiprêtre Andreï Kordotchkine, secrétaire de la Direction diocésaine, et le diacre Gleb Zaïka.
Avant la célébration de la Divine liturgie, le chef du diocèse d’Espagne et du Portugal a célébré la consécration mineure de l’église, qui marque le début des célébrations diocésaines de l’année Alexandre Nevski : on fête, en effet, cette année le 800e anniversaire de sa naissance.
L’archevêque Nestor concélébrait avec le prêtre Alexandre Lobera (Emilio Alejandro Lobera), recteur de la paroisse, l’archiprêtre Andreï Kordotchkine, secrétaire de la Direction diocésaine, et le diacre Gleb Zaïka.
Dix vierges font cortège au plus grand des Mardis tiens ta lampe allumée, ne sois pas étourdi!
Pourquoi le Seigneur, entré à Jérusalem afin d'y accomplir Sa Passion, propose-t-il de telles paraboles à Ses disciples: ce sont, dit-Il, des paraboles qui s'appliquent aussi aux Juifs. En effet, Il raconte la parabole des dix vierges en portant l'attention sur la miséricorde, et en même temps Il enseigne à tous à être prêts avant la fin. Car sur la virginité, Il leur a parlé plusieurs fois, ainsi que sur les eunuques. Certes, beaucoup de gloire s'attache à la virginité, elle est grande, en vérité. Mais afin que nul, en pratiquant cette vertu, ne néglige les autres, et surtout la miséricorde, dont s'éclaire la lampe de la virginité, le Saint Evangile propose cette parabole .
Pourquoi le Seigneur, entré à Jérusalem afin d'y accomplir Sa Passion, propose-t-il de telles paraboles à Ses disciples: ce sont, dit-Il, des paraboles qui s'appliquent aussi aux Juifs. En effet, Il raconte la parabole des dix vierges en portant l'attention sur la miséricorde, et en même temps Il enseigne à tous à être prêts avant la fin. Car sur la virginité, Il leur a parlé plusieurs fois, ainsi que sur les eunuques. Certes, beaucoup de gloire s'attache à la virginité, elle est grande, en vérité. Mais afin que nul, en pratiquant cette vertu, ne néglige les autres, et surtout la miséricorde, dont s'éclaire la lampe de la virginité, le Saint Evangile propose cette parabole .
Des archéologues russes et syriens participent à un projet de préservation des premières églises chrétiennes en Syrie, a fait savoir le service de presse de l'Institut d'histoire de la culture matérielle (IIMK) de l'Académie des sciences de Russie.
"Une expédition russo-syrienne a commencé à travailler en Syrie, dans le but d'étudier l’état de conservation des monuments paléochrétiens sur le territoire syrien et de réparer les dommages subis par les temples médiévaux à cause de la guerre", indique le message.
De premières études ont déjà été menées sur les monuments byzantins du début du Moyen Âge: les églises des Ve-VIe siècles dans le village de Deir al-Salib dans le nord de la Syrie et dans la Basilique de Qasr ibn Vardan, également connue sous le nom de Temple des quatre éléments.
"Une expédition russo-syrienne a commencé à travailler en Syrie, dans le but d'étudier l’état de conservation des monuments paléochrétiens sur le territoire syrien et de réparer les dommages subis par les temples médiévaux à cause de la guerre", indique le message.
De premières études ont déjà été menées sur les monuments byzantins du début du Moyen Âge: les églises des Ve-VIe siècles dans le village de Deir al-Salib dans le nord de la Syrie et dans la Basilique de Qasr ibn Vardan, également connue sous le nom de Temple des quatre éléments.
ASSOCIATION SOUVENIR ET SAUVEGARDE DU CIMETIERE RUSSE DE CAUCADE, A NICE
Communiqué
Le 12 avril 2021, une association régie par la loi du 1er juillet 1901, dénommée « Souvenir et sauvegarde du cimetière russe de Caucade, à Nice », a été fondée par un groupe de descendants, directs ou apparentés, de personnes ayant leur sépulture au sein de ce cimetière.
Son président d'honneur est S.A.S. le Prince Georges Yourievsky, dont l’arrière- grand-mère – S.A.S. la Princesse Catherine Michailovna Yourievsky, née Princesse Dolgorouky, veuve de l’empereur Alexandre II – y est inhumée.
Cette association n’est pas propriétaire du terrain accueillant le cimetière et est indépendante de l’actuel propriétaire de ce terrain.
L’association prévoit d'apporter son soutien au cimetière russe de Caucade et de contribuer à sa conservation, ainsi qu'au respect des tombes qui le composent.
L’association se fixe également pour objet de rassembler les ayants-droits, descendants et personnes ayant un lien de parenté, avec des personnes reposant dans le cimetière. En effet, conformément au droit français, une sépulture dans une propriété privée revêt un caractère de perpétuité, la rendant inaliénable et incessible en l’absence de la manifestation de la volonté du plus proche parent de la personne défunte. C’est pourquoi l’association invite les descendants des milliers de personnes reposant en ce cimetière et toutes autres personnes intéressées, à se manifester auprès d’elle afin que leurs éventuels droits puissent être recensés.
Plus largement, l’association invite toutes personnes de bonne volonté, ayant un lien avec l'histoire de la présence russe à Nice et manifestant un intérêt pour l’objet de l’association et souhaitant y contribuer, à se rapprocher de son Bureau.
NICE,16 avril 2021
Contact : Le Secrétaire Général : N. Genko contact@caucade-russe.fr
Communiqué
Le 12 avril 2021, une association régie par la loi du 1er juillet 1901, dénommée « Souvenir et sauvegarde du cimetière russe de Caucade, à Nice », a été fondée par un groupe de descendants, directs ou apparentés, de personnes ayant leur sépulture au sein de ce cimetière.
Son président d'honneur est S.A.S. le Prince Georges Yourievsky, dont l’arrière- grand-mère – S.A.S. la Princesse Catherine Michailovna Yourievsky, née Princesse Dolgorouky, veuve de l’empereur Alexandre II – y est inhumée.
Cette association n’est pas propriétaire du terrain accueillant le cimetière et est indépendante de l’actuel propriétaire de ce terrain.
L’association prévoit d'apporter son soutien au cimetière russe de Caucade et de contribuer à sa conservation, ainsi qu'au respect des tombes qui le composent.
L’association se fixe également pour objet de rassembler les ayants-droits, descendants et personnes ayant un lien de parenté, avec des personnes reposant dans le cimetière. En effet, conformément au droit français, une sépulture dans une propriété privée revêt un caractère de perpétuité, la rendant inaliénable et incessible en l’absence de la manifestation de la volonté du plus proche parent de la personne défunte. C’est pourquoi l’association invite les descendants des milliers de personnes reposant en ce cimetière et toutes autres personnes intéressées, à se manifester auprès d’elle afin que leurs éventuels droits puissent être recensés.
Plus largement, l’association invite toutes personnes de bonne volonté, ayant un lien avec l'histoire de la présence russe à Nice et manifestant un intérêt pour l’objet de l’association et souhaitant y contribuer, à se rapprocher de son Bureau.
NICE,16 avril 2021
Contact : Le Secrétaire Général : N. Genko contact@caucade-russe.fr
En 640, l’Égypte chrétienne passe sous le contrôle des armées arabo-musulmanes. Le destin de la communauté copte bascule : héritière des pharaons et des Ptolémées, elle doit désormais faire vivre son identité dans un pays où elle est devenue minoritaire.
Christian Cannuyer évoque pour nous ce destin exemplaire entre spiritualité, foi et martyre - au sens de témoin - une minorité qui fait corps avec son pays.
En l’absence de recensement officiel, on estime que les Coptes sont environ 10% de la population (5% selon l’État, 20% selon l’Église), soit une dizaine de millions. Ils se répartissent sur le territoire entier, du nord au sud, ainsi que dans l’ensemble des classes sociales.
Christian Cannuyer évoque pour nous ce destin exemplaire entre spiritualité, foi et martyre - au sens de témoin - une minorité qui fait corps avec son pays.
En l’absence de recensement officiel, on estime que les Coptes sont environ 10% de la population (5% selon l’État, 20% selon l’Église), soit une dizaine de millions. Ils se répartissent sur le territoire entier, du nord au sud, ainsi que dans l’ensemble des classes sociales.
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