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Notre lectrice Nina nous a envoyé un document et un commentaire très intéressants :
«Une vie peut dépendre de la décision que vous prendrez », est-il dit dans la Déclaration conjointe des services des relations avec la société, de la bienfaisance et du service social du Saint Synode. L’Eglise encourage les personnes qui décident de donner une partie de leur corps afin de sauver la vie du prochain
NINA : « Oui, la greffe sauve beaucoup de vies, aide et participe aussi à l'évolution positive de la médecine et des soins ; mais ne faut il pas tenir compte malgré tout des effets indésirables apportées par les médicaments antirejet et qui ne sont pas anodins?
De plus, que sait on réellement de la "perception" du corps pendant cette phase située juste après la mort ? On ne connaît pas vraiment ce que l'on peut ressentir, vivre après le décès ? N'y aurait il pas "souffrance" ? Qu'en est il du relèvement des corps d'Ezechiel ? »
* * *
Saint Côme et saint Damien sont des martyrs du début de la Chrétienté qui, selon la légende, pratiquaient gratuitement la médecine.
Leur représentation pour le public a donc été celle d'un idéal en matière médicale. Sur ce retable espagnol, les deux saints, vêtus de la parure complète des médecins universitaires, sont représentés dans une vision miraculeuse où ils procèdent à la transplantation d'une jambe. Cette vision est décrite dans un livre écrit en 1275 par Jacques de Voragine. Legenda aurea (La légende dorée). Cette vision a été reçue dans l'église de Côme et Damien, à Rome, par un bedeau atteint d'une maladie qui rongeait la chair de sa jambe.
«Une vie peut dépendre de la décision que vous prendrez », est-il dit dans la Déclaration conjointe des services des relations avec la société, de la bienfaisance et du service social du Saint Synode. L’Eglise encourage les personnes qui décident de donner une partie de leur corps afin de sauver la vie du prochain
NINA : « Oui, la greffe sauve beaucoup de vies, aide et participe aussi à l'évolution positive de la médecine et des soins ; mais ne faut il pas tenir compte malgré tout des effets indésirables apportées par les médicaments antirejet et qui ne sont pas anodins?
De plus, que sait on réellement de la "perception" du corps pendant cette phase située juste après la mort ? On ne connaît pas vraiment ce que l'on peut ressentir, vivre après le décès ? N'y aurait il pas "souffrance" ? Qu'en est il du relèvement des corps d'Ezechiel ? »
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Saint Côme et saint Damien sont des martyrs du début de la Chrétienté qui, selon la légende, pratiquaient gratuitement la médecine.
Leur représentation pour le public a donc été celle d'un idéal en matière médicale. Sur ce retable espagnol, les deux saints, vêtus de la parure complète des médecins universitaires, sont représentés dans une vision miraculeuse où ils procèdent à la transplantation d'une jambe. Cette vision est décrite dans un livre écrit en 1275 par Jacques de Voragine. Legenda aurea (La légende dorée). Cette vision a été reçue dans l'église de Côme et Damien, à Rome, par un bedeau atteint d'une maladie qui rongeait la chair de sa jambe.
Rédigé par Parlons D'orthodoxie le 14 Novembre 2021 à 08:30
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30 commentaires
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LA CÉLÉBRATION SOLENNELLE À L’OCCASION DE LA COMMÉMORATION DU TRANSFERT DES RELIQUES DE STE HÉLÈNE ÉGALE AUX APÔTRES À PARIS
VENDREDI 19 NOVEMBRE 17. 00
LA DIVINE LITURGIE ORTHODOXE DEVANT LES RELIQUES DE STE HÉLÈNE SERA CÉLÉBRÉE
SAMEDI 20 NOVEMBRE À 9.00
L’EGLISE ST LEU ST GILLES 92, rue St Denis (m. Etienne Marcel) Renseignements: Natalia Kolesnikova tel 0665101978 / Alla Gouraud 0632494610
Chers frères et sœurs,
Le premier MOLEBEN (Action de Grace) dans l'Eglise St Leu St Gilles, où reposent les reliques de la Sainte Hélène égale aux Apôtres, a eu lieu le 28 Septembre 1997, le jour de l'après - fête de l'Exaltation de la Croix.
C'était le premier office orthodoxe devant les saints restes de l'impératrice Hélène, la mère de Constantin le Grand, depuis les derniers 900 ans.
Cette grande première fut célébrée par des représentants des différentes Eglises orthodoxes. Débutée sous le signe de l'unité, cette œuvre reste miraculeusement fidèle à sa vocation, encore maintenant, 11 ans après, au moment où les relations entre certaines juridictions orthodoxes se sont nettement dégradées. Une petite communauté orthodoxe qui s'est formée entre temps autour des reliques de Ste Hélène est composée des croyants issus des paroisses orthodoxes russes des juridictions différentes. L’ACATHISTE AUX SAINTS CONSTANTIN ET HELENE
VENDREDI 19 NOVEMBRE 17. 00
LA DIVINE LITURGIE ORTHODOXE DEVANT LES RELIQUES DE STE HÉLÈNE SERA CÉLÉBRÉE
SAMEDI 20 NOVEMBRE À 9.00
L’EGLISE ST LEU ST GILLES 92, rue St Denis (m. Etienne Marcel) Renseignements: Natalia Kolesnikova tel 0665101978 / Alla Gouraud 0632494610
Chers frères et sœurs,
Le premier MOLEBEN (Action de Grace) dans l'Eglise St Leu St Gilles, où reposent les reliques de la Sainte Hélène égale aux Apôtres, a eu lieu le 28 Septembre 1997, le jour de l'après - fête de l'Exaltation de la Croix.
C'était le premier office orthodoxe devant les saints restes de l'impératrice Hélène, la mère de Constantin le Grand, depuis les derniers 900 ans.
Cette grande première fut célébrée par des représentants des différentes Eglises orthodoxes. Débutée sous le signe de l'unité, cette œuvre reste miraculeusement fidèle à sa vocation, encore maintenant, 11 ans après, au moment où les relations entre certaines juridictions orthodoxes se sont nettement dégradées. Une petite communauté orthodoxe qui s'est formée entre temps autour des reliques de Ste Hélène est composée des croyants issus des paroisses orthodoxes russes des juridictions différentes. L’ACATHISTE AUX SAINTS CONSTANTIN ET HELENE
Martyre (2ème s.)
Sa mémoire n'apparaît que 6 siècles après sa mort. De très nombreuses chapelles édifiées sur le bord des routes sont en Russie consacrées à cette Sainte dont le vénération est forte. Parascève est souvent représentée portant une tiare.
Ci-joint une sculpture en bois représentant sainte Parascaève et provenant du Nord de la Russie (XII-XIII siècle).
Paraskevi signifie « préparation », et ce mot sert en grec à désigner le sixième jour de la semaine, le vendredi. En effet, dans la tradition juive, le vendredi est consacré à la préparation du sabbat (samedi). Dans la tradition chrétienne, ce mot évoque plus particulièrement le Vendredi saint. Paraskeva Parascève (en grec Παρασκευή, Paraskevi) est un prénom féminin, dont il existe de nombreuses variantes (Praskovie, Praskovia, Paraskeva…. )
La Sainte et Grande Martyre Parascève naquit dans un village proche de Rome, sous le règne d'Hadrien (117-138), de parents chrétiens, Agathon et Politeia, qui avaient longtemps supplié le Seigneur de leur donner une progéniture. Dieu, qui comble toujours le désir de ceux qui le craignent, leur accorda donc une fille, qu'ils appelèrent Parascève, car elle était née un vendredi et par dévotion pour la Passion vivifiante de Notre Seigneur Jésus-Christ
Sa mémoire n'apparaît que 6 siècles après sa mort. De très nombreuses chapelles édifiées sur le bord des routes sont en Russie consacrées à cette Sainte dont le vénération est forte. Parascève est souvent représentée portant une tiare.
Ci-joint une sculpture en bois représentant sainte Parascaève et provenant du Nord de la Russie (XII-XIII siècle).
Paraskevi signifie « préparation », et ce mot sert en grec à désigner le sixième jour de la semaine, le vendredi. En effet, dans la tradition juive, le vendredi est consacré à la préparation du sabbat (samedi). Dans la tradition chrétienne, ce mot évoque plus particulièrement le Vendredi saint. Paraskeva Parascève (en grec Παρασκευή, Paraskevi) est un prénom féminin, dont il existe de nombreuses variantes (Praskovie, Praskovia, Paraskeva…. )
La Sainte et Grande Martyre Parascève naquit dans un village proche de Rome, sous le règne d'Hadrien (117-138), de parents chrétiens, Agathon et Politeia, qui avaient longtemps supplié le Seigneur de leur donner une progéniture. Dieu, qui comble toujours le désir de ceux qui le craignent, leur accorda donc une fille, qu'ils appelèrent Parascève, car elle était née un vendredi et par dévotion pour la Passion vivifiante de Notre Seigneur Jésus-Christ
Nestor (c. 1050 - c. 1114) était l'auteur réputé du plus tôt Chronique slave est, les vies de la rue Theodosius et de Boris et Gleb, et du prétendu Lecture.
Saint Nestor naquit à Kiev en 1050. Il vint près de saint Théodose (3 mai) étant encore jeune et devint novice. Saint Nestor prononça ses voeux monastiques sous le successeur de saint Théodose, l'higoumène Etienne, et fut ordonné hiérodiacre.
De sa haute vie spirituelle on apprend qu'avec un certain nombre d'autres pères moines, il participa à l'expulsion d'un démon hors de Nicétas l'Ermite (31 janvier), qui était devenu fasciné par la sagesse Hébraïque de l'Ancien Testament.
Saint Nestor appréciait grandement la vraie connaissance, accompagnée d'humilité et de pénitence. Il disait : "Il y a grand bénéfice à retirer de l'étude des livres, car les livrs nous montrent et nous enseignent le chemin de la repentance, parce qu'à travers les mots des livres, nous découvrons la sagesse et la tempérance. C'est le flot, innondant l'univers, d'où jaillit la sagesse.
Dans les livres on trouve une profondeur sans limites, par eux nous sommes réconfortés dans nos peines, et ils sont un frein nous modérant. Si vous parcourez consciensieusement les livres de sagesse, alors vous découvrirez de grand bénéfices pour votre âme. Dès lors, celui qui lit ces livres converse avec Dieu ou les saints".
Nestor était a moine du Monastère de Kiev des cavernes de 1073. Le seul l'autre détail de sa vie qui est sûrement connue est qu'il a été commissionné avec deux autres moines trouver les reliques de la rue Theodosius, une mission qu'il a réussie à accomplir. On specule également le qu'il a soutenu le prince régnant Svyatopolk II et sa partie pro-Scandinave et influence grecque détestée à Kiev.
Saint Nestor naquit à Kiev en 1050. Il vint près de saint Théodose (3 mai) étant encore jeune et devint novice. Saint Nestor prononça ses voeux monastiques sous le successeur de saint Théodose, l'higoumène Etienne, et fut ordonné hiérodiacre.
De sa haute vie spirituelle on apprend qu'avec un certain nombre d'autres pères moines, il participa à l'expulsion d'un démon hors de Nicétas l'Ermite (31 janvier), qui était devenu fasciné par la sagesse Hébraïque de l'Ancien Testament.
Saint Nestor appréciait grandement la vraie connaissance, accompagnée d'humilité et de pénitence. Il disait : "Il y a grand bénéfice à retirer de l'étude des livres, car les livrs nous montrent et nous enseignent le chemin de la repentance, parce qu'à travers les mots des livres, nous découvrons la sagesse et la tempérance. C'est le flot, innondant l'univers, d'où jaillit la sagesse.
Dans les livres on trouve une profondeur sans limites, par eux nous sommes réconfortés dans nos peines, et ils sont un frein nous modérant. Si vous parcourez consciensieusement les livres de sagesse, alors vous découvrirez de grand bénéfices pour votre âme. Dès lors, celui qui lit ces livres converse avec Dieu ou les saints".
Nestor était a moine du Monastère de Kiev des cavernes de 1073. Le seul l'autre détail de sa vie qui est sûrement connue est qu'il a été commissionné avec deux autres moines trouver les reliques de la rue Theodosius, une mission qu'il a réussie à accomplir. On specule également le qu'il a soutenu le prince régnant Svyatopolk II et sa partie pro-Scandinave et influence grecque détestée à Kiev.
Ermite (4ème s.)
Son culte fut extrêmement populaire en Orient .
Le diocèse de Gap en France voulut même se l'annexer en en faisant son premier évêque. D'autres en font un martyr du premier siècle. En fait, il y eut au quatrième siècle un saint Démétrios, martyr à Thessalonique, qui bénéficia de l'enjolivement de la piété populaire.
On en fit un soldat chrétien et fier de l'être, on en fit même le proconsul de Grèce et de Macédoine. Dénoncé comme fauteur de troubles, il fut condamné à lutter dans l'arêne contre un gladiateur plus robuste que lui, l'on vit arriver, avec lui, un jeune garçon nommé Nestor, frêle et courageux, qui d'un geste mit à mort ce géant. Dépité, l'empereur présent, fit mettre à mort l'enfant et Dimitri. De son corps se mit à jaillir une huile odoriférante et miraculeuse.
"Les crocs des loups au milieu desquels le Christ a envoyé son disciple Démétrios ont, par leur morsures, ouvert en son corps des sources par lesquelles une grande allégresse s’écoule sur le troupeau du Christ."
(Saint Grégoire Palamas - Eloge de Démétrios)
Son culte fut extrêmement populaire en Orient .
Le diocèse de Gap en France voulut même se l'annexer en en faisant son premier évêque. D'autres en font un martyr du premier siècle. En fait, il y eut au quatrième siècle un saint Démétrios, martyr à Thessalonique, qui bénéficia de l'enjolivement de la piété populaire.
On en fit un soldat chrétien et fier de l'être, on en fit même le proconsul de Grèce et de Macédoine. Dénoncé comme fauteur de troubles, il fut condamné à lutter dans l'arêne contre un gladiateur plus robuste que lui, l'on vit arriver, avec lui, un jeune garçon nommé Nestor, frêle et courageux, qui d'un geste mit à mort ce géant. Dépité, l'empereur présent, fit mettre à mort l'enfant et Dimitri. De son corps se mit à jaillir une huile odoriférante et miraculeuse.
"Les crocs des loups au milieu desquels le Christ a envoyé son disciple Démétrios ont, par leur morsures, ouvert en son corps des sources par lesquelles une grande allégresse s’écoule sur le troupeau du Christ."
(Saint Grégoire Palamas - Eloge de Démétrios)
Le chef du Phanar a subi avec succès une opération pour installer un stimulateur sur le cœur, mais jusqu’à présent, il ne peut pas quitter l’Amérique
Le patriarche Bartholomée de Constantinople est sorti vendredi d’un hôpital de New York après une opération de pontage (Le pontage aortocoronarien (PAC) est une intervention chirurgicale cardiaque courante). Cela a été annoncé sur Twitter par l’archevêque américain de l’Église orthodoxe de Constantinople Elpidophoros, rapporte TASS.
« Nous remercions Dieu que Sa Sainteté le patriarche Bartholomée vient de quitter l’hôpital Mont Sinaï à New York », a-t-il écrit. Selon l’archevêque, Bartholomée « se sent bien et est de bonne humeur ».
Le patriarche Bartholomée de Constantinople est sorti vendredi d’un hôpital de New York après une opération de pontage (Le pontage aortocoronarien (PAC) est une intervention chirurgicale cardiaque courante). Cela a été annoncé sur Twitter par l’archevêque américain de l’Église orthodoxe de Constantinople Elpidophoros, rapporte TASS.
« Nous remercions Dieu que Sa Sainteté le patriarche Bartholomée vient de quitter l’hôpital Mont Sinaï à New York », a-t-il écrit. Selon l’archevêque, Bartholomée « se sent bien et est de bonne humeur ».
Revue « Foma »
Les contes populaires russes – que d’émotions y trouvons nous…
Des images nous reviennent en mémoire : la grenouille couleur d’émeraude et son aigrette scintillante, le tsarévitch Ivan, coiffé de sa haute chapka en maroquin, frayant son chemin dans une forêt touffue, la noire isba enfumée de la sorcière Baba Yaga.
Ces images, chères à notre enfance, font surgir les noms de leurs auteurs dans nos mémoires : Victor Vasnetzov, Ivan Bilibine, Igor Ershov. Il est inutile de présenter Vasnetzov et Bilibine, ces grands maîtres du siècle d’argent russe, leur stature est mondiale.
Il en est de même pour Igor Ivanovitch Ershov /1916-1985/ , qui fut leur élève et leur disciple.
Le peintre Xénia Krivochéine, la fille de ce dernier, qui fut aussi son amie et son co-auteur, nous parle du souvenir de son père.
Igor Ivanovitch grandit dans un milieu étonnant. Ses parents Ivan Ershov /Иван Ершов/ et Sophie Akimov / Софья Акимова/ étaient des chanteurs d’opéra célèbres à Saint-Pétersbourg, puis à Leningrad. Leurs amis étaient Boris Koustodiev et Ilia Repine. Ils correspondaient avec Saint-Saëns et Cosima Wagner. Le poète Alexandre Blok, leur voisin /cf.- VIDEO, était un grand admirateur du talent de mon grand-père Ivan Yershov
Dans notre famille la musique était reine, se souvient Xenia Krivochéine: Rimsky-Korsakov, Prokofiev, Wagner. La poésie épique de « L’anneau du Nibelung » était aimée autant que « La ville de Kitej » et « Les contes d’Hoffman »
C’est dans cette atmosphère de contes de fées, au sens propre de ce mot, que fut éduqué mon père. Le souvenir de cette sensation de mystère attaché à notre immense appartement familial resurgit de mon enfance. Tous les murs des chambres et des corridors étaient couverts de photographies de mes grands-parents en scène. Il y avait aussi des sculptures et des tableaux de Koustodiev (il faisait des modelages et dessinait souvent mon grand-père). Il y avait des dessins de Repine et des esquisses de costumes de Benoît pour les cycles de Wagner.
Les contes populaires russes – que d’émotions y trouvons nous…
Des images nous reviennent en mémoire : la grenouille couleur d’émeraude et son aigrette scintillante, le tsarévitch Ivan, coiffé de sa haute chapka en maroquin, frayant son chemin dans une forêt touffue, la noire isba enfumée de la sorcière Baba Yaga.
Ces images, chères à notre enfance, font surgir les noms de leurs auteurs dans nos mémoires : Victor Vasnetzov, Ivan Bilibine, Igor Ershov. Il est inutile de présenter Vasnetzov et Bilibine, ces grands maîtres du siècle d’argent russe, leur stature est mondiale.
Il en est de même pour Igor Ivanovitch Ershov /1916-1985/ , qui fut leur élève et leur disciple.
Le peintre Xénia Krivochéine, la fille de ce dernier, qui fut aussi son amie et son co-auteur, nous parle du souvenir de son père.
Igor Ivanovitch grandit dans un milieu étonnant. Ses parents Ivan Ershov /Иван Ершов/ et Sophie Akimov / Софья Акимова/ étaient des chanteurs d’opéra célèbres à Saint-Pétersbourg, puis à Leningrad. Leurs amis étaient Boris Koustodiev et Ilia Repine. Ils correspondaient avec Saint-Saëns et Cosima Wagner. Le poète Alexandre Blok, leur voisin /cf.- VIDEO, était un grand admirateur du talent de mon grand-père Ivan Yershov
Dans notre famille la musique était reine, se souvient Xenia Krivochéine: Rimsky-Korsakov, Prokofiev, Wagner. La poésie épique de « L’anneau du Nibelung » était aimée autant que « La ville de Kitej » et « Les contes d’Hoffman »
C’est dans cette atmosphère de contes de fées, au sens propre de ce mot, que fut éduqué mon père. Le souvenir de cette sensation de mystère attaché à notre immense appartement familial resurgit de mon enfance. Tous les murs des chambres et des corridors étaient couverts de photographies de mes grands-parents en scène. Il y avait aussi des sculptures et des tableaux de Koustodiev (il faisait des modelages et dessinait souvent mon grand-père). Il y avait des dessins de Repine et des esquisses de costumes de Benoît pour les cycles de Wagner.
Le jour du souvenir des morts a été institué par le prince Dimitri Donskoy avec la bénédiction de saint Serge de Radonèje.
L'histoire de la fête commence en 1380.
Dimitri Donskoy, après avoir vaincu Mamai, a visité le monastère de la Trinité Saint Serge. Le prince a commémoré les soldats orthodoxes morts à la bataille de Koulikovo et a invité l'Église à célébrer chaque année le samedi d’avant le 26 octobre, jour de la commémoration de saint Démétrios de Thessalonique
Au fil des ans, samedi de saint Démétrios/ Dimitrievskaya est devenu un jour de commémoration funéraire. Les croyants prient en ce jour pour le repos des âmes de leurs proches.
L'histoire de la fête commence en 1380.
Dimitri Donskoy, après avoir vaincu Mamai, a visité le monastère de la Trinité Saint Serge. Le prince a commémoré les soldats orthodoxes morts à la bataille de Koulikovo et a invité l'Église à célébrer chaque année le samedi d’avant le 26 octobre, jour de la commémoration de saint Démétrios de Thessalonique
Au fil des ans, samedi de saint Démétrios/ Dimitrievskaya est devenu un jour de commémoration funéraire. Les croyants prient en ce jour pour le repos des âmes de leurs proches.
Le 3 novembre, le patriarche Bartholomée de Constantinople, ainsi que les hiérarques de l'archidiocèse grec-orthodoxe d'Amérique, ont célébré hier la cérémonie officielle d'ouverture des portes de l'église Saint-Nicolas et du sanctuaire national à Ground Zero à New York.
La cérémonie intervient après une décennie de travaux de construction d'une église sur le site des tragiques attentats terroristes du 11 septembre 2001.
L'ancienne église Saint-Nicolas a été détruite par la chute des décombres et, en 2010 , les dirigeants de l'Église sont parvenus à un accord pour construire une nouveau église sur le site
Le patriarche a béni le sanctuaire et a participé à l'élévation de la croix au sommet de son dôme, rapporte l' archidiocèse grec-orthodoxe .
La cérémonie intervient après une décennie de travaux de construction d'une église sur le site des tragiques attentats terroristes du 11 septembre 2001.
L'ancienne église Saint-Nicolas a été détruite par la chute des décombres et, en 2010 , les dirigeants de l'Église sont parvenus à un accord pour construire une nouveau église sur le site
Le patriarche a béni le sanctuaire et a participé à l'élévation de la croix au sommet de son dôme, rapporte l' archidiocèse grec-orthodoxe .
L'icône de Notre-Dame de Kazan est particulièrement révérée en Russie. Deux grandes cathédrales lui sont dédiées, à Moscou et à Saint-Pétersbourg, et elle est fêtée deux fois, le 8/21 juillet et le 22 Octobre/4 novembre.
Si la première date est celle de l'invention de l'icône en 1579, la deuxième commémore spécifiquement la protection que la Vierge Marie accorde à la Russie.
Ce jour est officiellement férié en Russie comme "Jour de l’Unité", ce qui en fait la seule fête religieuse chômée avec Noël, et c'est pour moi un signe de la sollicitude particulière de la Vierge Marie pour la résurrection de la Sainte Russie.
Ce jour du 22 Octobre (calendrier julien) était férié avant la révolution. Supprimée à la révolution, la fête a été réinstaurée en 2007 sur proposition de l'Eglise, pour remplacer la commémoration de la révolution, le 7 novembre.
Si la première date est celle de l'invention de l'icône en 1579, la deuxième commémore spécifiquement la protection que la Vierge Marie accorde à la Russie.
Ce jour est officiellement férié en Russie comme "Jour de l’Unité", ce qui en fait la seule fête religieuse chômée avec Noël, et c'est pour moi un signe de la sollicitude particulière de la Vierge Marie pour la résurrection de la Sainte Russie.
Ce jour du 22 Octobre (calendrier julien) était férié avant la révolution. Supprimée à la révolution, la fête a été réinstaurée en 2007 sur proposition de l'Eglise, pour remplacer la commémoration de la révolution, le 7 novembre.
Lors de la manifestation officielle du 1 mai 1965 à Tbilissi le moine Gabriel (Ourguébadzé) a mis le feu à un portrait de Lénine faisant 12 m de hauteur fixé sur la façade du Soviet suprême de Géorgie. Il fut cruellement passé à tabac par les manifestants et appréhendé par le KGB.Il déclara lors de l’interrogatoire qui s’ensuivit : « Il ne faut pas diviniser un homme. Au lieu du portrait de Lénine, il faut mettre la Crucifixion du Christ.
Pourquoi dites-vous « Gloire à Lénine » ? Il faut dire « Gloire au Seigneur Jésus-Christ ! » En octobre 1965 il est reconnu irresponsable de ses actes et remis en liberté.
En 1971, le moine Gabriel, 42 ans, est nommé confesseur d'un cloître pour femmes à Samtavro. La moniale Pélagie évoque ses souvenirs: "Le futur saint, le starets Gabriel nous avait fait nous ranger. Il donna à la mère Ketovania un bassinet rempli d'eau et dit aux autres moniales d'y laver leurs mains.
L'eau devint trouble. Puis le starets dit à la mère Ketovania de boire cette eau ce qu'elle fit sur le champ. Elle n'en fut pas malade ce qui nous étonna.
Puis le starets embrassa la mère Ketovania sur le front et bénit les autres sœurs. Notre monastère n'avait pas à l'époque de mère supérieure. Nous comprimes toutes que le père Gabriel avait ainsi indiqué que la mère Ketovania était digne de cette difficile tache. Puis il s'étendit au seuil du réfectoire et dit que toutes celles qui sortaient devaient lui marcher dessus. Nous étions, bien sûr, troublées mais n'osions pas lui désobéir".
Pourquoi dites-vous « Gloire à Lénine » ? Il faut dire « Gloire au Seigneur Jésus-Christ ! » En octobre 1965 il est reconnu irresponsable de ses actes et remis en liberté.
En 1971, le moine Gabriel, 42 ans, est nommé confesseur d'un cloître pour femmes à Samtavro. La moniale Pélagie évoque ses souvenirs: "Le futur saint, le starets Gabriel nous avait fait nous ranger. Il donna à la mère Ketovania un bassinet rempli d'eau et dit aux autres moniales d'y laver leurs mains.
L'eau devint trouble. Puis le starets dit à la mère Ketovania de boire cette eau ce qu'elle fit sur le champ. Elle n'en fut pas malade ce qui nous étonna.
Puis le starets embrassa la mère Ketovania sur le front et bénit les autres sœurs. Notre monastère n'avait pas à l'époque de mère supérieure. Nous comprimes toutes que le père Gabriel avait ainsi indiqué que la mère Ketovania était digne de cette difficile tache. Puis il s'étendit au seuil du réfectoire et dit que toutes celles qui sortaient devaient lui marcher dessus. Nous étions, bien sûr, troublées mais n'osions pas lui désobéir".
Conformément à la décision de septembre 2021 du Saint-Synode de l'Église orthodoxe russe, dans toutes les églises, ce jour-là, on a prié "pour le repos des âmes des serviteurs de Dieu morts, dans des temps difficiles, le repos de ceux qui ont été innocemment tués, qui ont souffert et ont été torturés, ceux qui ont sont morts en exil et en détention, Seigneur, Tu connais leurs noms . "
Selon les données officielles du Comité central du Parti communiste d’URSS, seulement en 1921-1953, les juridictions d’exception du NKVD, le Collège militaire de la Cour suprême, les tribunaux militaires ont condamné à mort 642 980 personnes. Et on ne comptera jamais les morts dans les camps et en exil, seul Dieu connaît vraiment tous leurs noms.
Il est essentiel pour nous chrétiens de ne pas l’oublier.
Archiprêtre Nicolas Balachov
Nous publions une courte vidéo des entretiens de Nikita Krivochéine, ancien déporté du GOULAG : Armée blanche, Resistance, Goulag, Retour à Paris. Ces conversations ont été enregistrées dans les années 90, mais aujourd'hui encore, elles semblent tout à fait pertinentes
Selon les données officielles du Comité central du Parti communiste d’URSS, seulement en 1921-1953, les juridictions d’exception du NKVD, le Collège militaire de la Cour suprême, les tribunaux militaires ont condamné à mort 642 980 personnes. Et on ne comptera jamais les morts dans les camps et en exil, seul Dieu connaît vraiment tous leurs noms.
Il est essentiel pour nous chrétiens de ne pas l’oublier.
Archiprêtre Nicolas Balachov
Nous publions une courte vidéo des entretiens de Nikita Krivochéine, ancien déporté du GOULAG : Armée blanche, Resistance, Goulag, Retour à Paris. Ces conversations ont été enregistrées dans les années 90, mais aujourd'hui encore, elles semblent tout à fait pertinentes
L’évacuation de la Crimée débute le 10 novembre 1920. En trois jours, les 126 bateaux de tout tonnage rassemblés par le Général Wrangel embarquent troupes, familles de militaires, population civile des ports de Crimée, Sébastopol, Yalta, Féodossia (Théodosie) et Kertch.
L’École navale de Sébastopol est évacuée au complet : élèves, corps enseignant, personnel administratif, plus tout son précieux matériel pédagogique et sa bibliothèque de littérature russe. La plupart des élèves, dont les gardes-marine du collège naval de Vladivostok évacués en janvier 1920, ne reverront jamais leur famille.
La répression bolchevique, dirigée par Bela Kun, fera des milliers de morts. Au total, 145 693 personnes, plus les membres d’équipage, purent gagner Constantinople.
A la suite de la révolution bolchévique de 1917, plus de 3 millions de ressortissants russes ont fui leur pays. Parmi eux, bon nombre ont trouvé refuge en Tunisie et au Maroc. Un siècle plus tard, leurs descendants se remémorent cet exil
Dans les années 1920, les 20 membres d’une petite chorale russe avaient l’habitude de se réunir chaque semaine. Non pas à Moscou, mais à Rabat, où s’installèrent des centaines de “Russes blancs” après un événement qui ébranla le monde : la Révolution bolchevique d’octobre 1917.
L’École navale de Sébastopol est évacuée au complet : élèves, corps enseignant, personnel administratif, plus tout son précieux matériel pédagogique et sa bibliothèque de littérature russe. La plupart des élèves, dont les gardes-marine du collège naval de Vladivostok évacués en janvier 1920, ne reverront jamais leur famille.
La répression bolchevique, dirigée par Bela Kun, fera des milliers de morts. Au total, 145 693 personnes, plus les membres d’équipage, purent gagner Constantinople.
A la suite de la révolution bolchévique de 1917, plus de 3 millions de ressortissants russes ont fui leur pays. Parmi eux, bon nombre ont trouvé refuge en Tunisie et au Maroc. Un siècle plus tard, leurs descendants se remémorent cet exil
Dans les années 1920, les 20 membres d’une petite chorale russe avaient l’habitude de se réunir chaque semaine. Non pas à Moscou, mais à Rabat, où s’installèrent des centaines de “Russes blancs” après un événement qui ébranla le monde : la Révolution bolchevique d’octobre 1917.
Découvrez la Salle rouge des Tsars.
Le restaurant Dostoievski vient de terminer la décoration de sa petite salle.
Situé à côté de l’ église orthodoxe de Tous les Saints à Strasbourg la Salle Royale Rouge a été inaugurée après un travail artistique qui a duré environ un an.
Cette pièce est une véritable œuvre d'art qui vaut la peine d'être vue .
L'auteur du concept et le responsable de sa mise en œuvre était l'archimandrite Philippe, recteur de la paroisse. Irina, Catherine, Maria, le diacre Dimitri, Sergei ont fait un excellent travail.
Le restaurant Dostoievski vient de terminer la décoration de sa petite salle.
Situé à côté de l’ église orthodoxe de Tous les Saints à Strasbourg la Salle Royale Rouge a été inaugurée après un travail artistique qui a duré environ un an.
Cette pièce est une véritable œuvre d'art qui vaut la peine d'être vue .
L'auteur du concept et le responsable de sa mise en œuvre était l'archimandrite Philippe, recteur de la paroisse. Irina, Catherine, Maria, le diacre Dimitri, Sergei ont fait un excellent travail.
La bande-annonce de la première partie
Nous vous invitons à regarder un documentaire exceptionnel en deux parties qui vous fera entrer dans le mystère de l’architecture orthodoxe
Le documentaire est produit par le père Jivko Panev et réalisé par François Lespés.
Nous vous invitons à regarder un documentaire exceptionnel en deux parties qui vous fera entrer dans le mystère de l’architecture orthodoxe
Le documentaire est produit par le père Jivko Panev et réalisé par François Lespés.
SAMEDI 6 novembre 2021
Avec la bénédiction de son Eminence Antoine, métropolite de Chersonèse et d’Europe Occidentale (Patriarcat de Moscou) le Diocèse de Chersonèse organise
PELERINAGE à la basilique Notre-Dame ( Longpont-sur-Orge ( Essonne )
9, pl. des Combattans 93310 Longpont-sur-Orge
Par la providence de Dieu, l’une des plus grandes collections de reliques a été rassemblée et conservée dans la Basilique: plus de 1 500 reliques !
Avec la bénédiction de son Eminence Antoine, métropolite de Chersonèse et d’Europe Occidentale (Patriarcat de Moscou) le Diocèse de Chersonèse organise
PELERINAGE à la basilique Notre-Dame ( Longpont-sur-Orge ( Essonne )
9, pl. des Combattans 93310 Longpont-sur-Orge
Par la providence de Dieu, l’une des plus grandes collections de reliques a été rassemblée et conservée dans la Basilique: plus de 1 500 reliques !
L'Arménie compte sur l'assistance du Saint-Siège dans la question du retour des prisonniers de guerre arméniens d'Azerbaïdjan.
« L'Azerbaïdjan continue de violer le droit international humanitaire et les dispositions de la déclaration tripartite du 9 novembre 2020, tout en détenant toujours des prisonniers de guerre et des civils arméniens. Nous demandons au Pape de toujours se souvenir des prisonniers arméniens dans ses prières et messages publics et de souligner la nécessité de leur retour rapide », a déclaré mercredi à Erevan le ministre arménien des Affaires étrangères Ararat Mirzoyan lors d'un briefing conjoint avec le secrétaire d'État adjoint du Vatican , Edgar Peña Parra
Il a noté que le patrimoine culturel, historique et religieux du Haut-Karabakh dans les territoires qui sont passés sous le contrôle de l'Azerbaïdjan après la guerre à l'automne 2020 est menacé de destruction.
« L'Azerbaïdjan continue de violer le droit international humanitaire et les dispositions de la déclaration tripartite du 9 novembre 2020, tout en détenant toujours des prisonniers de guerre et des civils arméniens. Nous demandons au Pape de toujours se souvenir des prisonniers arméniens dans ses prières et messages publics et de souligner la nécessité de leur retour rapide », a déclaré mercredi à Erevan le ministre arménien des Affaires étrangères Ararat Mirzoyan lors d'un briefing conjoint avec le secrétaire d'État adjoint du Vatican , Edgar Peña Parra
Il a noté que le patrimoine culturel, historique et religieux du Haut-Karabakh dans les territoires qui sont passés sous le contrôle de l'Azerbaïdjan après la guerre à l'automne 2020 est menacé de destruction.
Belgique, Anvers
Une église a été consacrée en l'honneur de saint Jean (Maksimovitch), archevêque de San Francisco. Il venait d'une famille noble du sud de la Russie, et son parent éloigné, le célèbre responsable de l’église du XVIIIe siècle, Saint-Jean de Tobolsk, était de la même famille.
Le choix du saint auquel le temple en Belgique est dédié n'est pas fortuit. Jean de Shanghai est très populaire dans les milieux émigrés russes. Lors du 7e Congrès mondial des compatriotes qui s'est tenu récemment à Moscou, des voix se sont même fait entendre avec une proposition de faire de lui le patron de la diaspora russe.
Une église a été consacrée en l'honneur de saint Jean (Maksimovitch), archevêque de San Francisco. Il venait d'une famille noble du sud de la Russie, et son parent éloigné, le célèbre responsable de l’église du XVIIIe siècle, Saint-Jean de Tobolsk, était de la même famille.
Le choix du saint auquel le temple en Belgique est dédié n'est pas fortuit. Jean de Shanghai est très populaire dans les milieux émigrés russes. Lors du 7e Congrès mondial des compatriotes qui s'est tenu récemment à Moscou, des voix se sont même fait entendre avec une proposition de faire de lui le patron de la diaspora russe.
Le père Jivko Panev a obtenu le premier prix dans la catégorie « Entretien » du concours national de journalisme chrétien qui s’est tenu à Sofia en Bulgarie le 1er octobre à l’initiative de la Fondation « Protection de la Mère de Dieu » et du portail Pravoslavie.bg. C’est cet entretien avec Jean-Claude Larchet sur l’origine, le sens et la nature de la pandémie actuelle, traduit en bulgare, qui a été primé.
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Резултати от националния конкурс за християнска журналистика „Казвайте истината“
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Резултати от националния конкурс за християнска журналистика „Казвайте истината“
Père Nikolaï Tikhonchuk
Il se trouve que dimanche dernier, après la Divine Liturgie, j’ai dirigé une petite leçon avec des enfants d’âge scolaire de notre paroisse, je leur ai parlé de la vie et de l’œuvre de la Sainte Martyre Elisabeth Romanov
En parlant d’elle, il était impossible d’ignorer un fait terrible de sa biographie, à savoir: l’histoire de la mort tragique de son mari, le grand-duc Sergueï Alexandrovitch Romanov assassiné par le terroriste Ivan Kaliaïev, qui a jeté une bombe dans sa voiture. Les enfants s’intéressent souvent aux détails, à la façon dont tout cela s’est passé et pourquoi. Cependant, il est impossible d’expliquer non seulement aux enfants mais aussi aux adultes dans le cadre d’une leçon le contexte historique des événements du début du 20ème siècle.
Comment comprendre et accepter la mort de martyre Elisabeth qui a été jetée vivante dans une mine profonde pour mourir lentement et douloureusement de nombreuses fractures, de la soif et de la faim.
Il se trouve que dimanche dernier, après la Divine Liturgie, j’ai dirigé une petite leçon avec des enfants d’âge scolaire de notre paroisse, je leur ai parlé de la vie et de l’œuvre de la Sainte Martyre Elisabeth Romanov
En parlant d’elle, il était impossible d’ignorer un fait terrible de sa biographie, à savoir: l’histoire de la mort tragique de son mari, le grand-duc Sergueï Alexandrovitch Romanov assassiné par le terroriste Ivan Kaliaïev, qui a jeté une bombe dans sa voiture. Les enfants s’intéressent souvent aux détails, à la façon dont tout cela s’est passé et pourquoi. Cependant, il est impossible d’expliquer non seulement aux enfants mais aussi aux adultes dans le cadre d’une leçon le contexte historique des événements du début du 20ème siècle.
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