Plateforme libre de discussion
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L’exposition sera ouverte à tous du 16 septembre au 8 octobre. Entrée libre.
Le 15 septembre prochain à 18h00, le Centre Culturel et Spirituel Russe à Paris accueillera l’exposition « La Peinture à l’aiguille » qui sera consacrée à l’art de la couture des icônes par l’atelier « Prikosnoviéniè ».
Au vernissage de l’exposition seront présent le ministre de la culture russe Vladimir Medinsky, l’ambassadeur de Russie Alexandre Orlov, l’évêque de Chersonèse Nestor, le directeur du Centre des sciences et de la culture à Paris E. Solotsinskaia, le président du Centre des festivals cinématographiques et des programmes internationaux T. Choumova, le directeur de l’atelier «Prikosnoviéniè » N. Gorkovenko, ainsi que d’autres personnalités officielles. Organisateurs: Ministère de la Culture de la Fédération de Russie, Ministère des affaires étrangères de la Fédération de Russie, le Conseil patriarcal pour la culture de l'Eglise orthodoxe russe, le Centre des festivals et des programmes internationaux avec le soutien de « Rossotrudnichestvo », diocèse de Chersonèse et le Centre russe des sciences et de la culture à Paris.
Le 15 septembre prochain à 18h00, le Centre Culturel et Spirituel Russe à Paris accueillera l’exposition « La Peinture à l’aiguille » qui sera consacrée à l’art de la couture des icônes par l’atelier « Prikosnoviéniè ».
Au vernissage de l’exposition seront présent le ministre de la culture russe Vladimir Medinsky, l’ambassadeur de Russie Alexandre Orlov, l’évêque de Chersonèse Nestor, le directeur du Centre des sciences et de la culture à Paris E. Solotsinskaia, le président du Centre des festivals cinématographiques et des programmes internationaux T. Choumova, le directeur de l’atelier «Prikosnoviéniè » N. Gorkovenko, ainsi que d’autres personnalités officielles. Organisateurs: Ministère de la Culture de la Fédération de Russie, Ministère des affaires étrangères de la Fédération de Russie, le Conseil patriarcal pour la culture de l'Eglise orthodoxe russe, le Centre des festivals et des programmes internationaux avec le soutien de « Rossotrudnichestvo », diocèse de Chersonèse et le Centre russe des sciences et de la culture à Paris.
Rédigé par Parlons D'orthodoxie le 14 Septembre 2017 à 10:08
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2 commentaires
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La fin de sa vie est marquée par la maladie. Il souffre de rhumatismes, de névralgies,d'arythmies cardiaques et il devient aveugle de l'œil droit en 1888. Il décède le 6 janvier 1894. Il sera canonisé en 1988 par l'Église russe.
Les reliques du saint Théophane le Reclus ainsi que l'icône de la Vierge Marie, qui appartenait au saint Théophane, séjourneront en France du 12 septembre au 2 octobre.
Programme du séjour en France des saintes reliques du monastère de Vycha /région de Ryazan, Russie/
Le 12 septembre arrivée en France des reliques de Saint Théophane le Reclus;
Du 12 au 16 septembre les reliques séjournent à l’église des Trois saints Docteurs (5 rue Pétel, 75015 Paris);
Les reliques du saint Théophane le Reclus ainsi que l'icône de la Vierge Marie, qui appartenait au saint Théophane, séjourneront en France du 12 septembre au 2 octobre.
Programme du séjour en France des saintes reliques du monastère de Vycha /région de Ryazan, Russie/
Le 12 septembre arrivée en France des reliques de Saint Théophane le Reclus;
Du 12 au 16 septembre les reliques séjournent à l’église des Trois saints Docteurs (5 rue Pétel, 75015 Paris);
Les prochains "L'Orthodoxie, ici et maintenant" sur KTO La première diffusion aura lieu mardi 12 septembre à 19h40. Au programme: la fin de l’Empire romain d’Orient et la chute de Constantinople.
12/09/2017 19:40 : L'Orthodoxie, ici et maintenant du 12 septembre 2017
13/09/2017 05:39 : L'Orthodoxie, ici et maintenant du 12 septembre 2017
13/09/2017 11:27 : L'Orthodoxie, ici et maintenant du 12 septembre 2017
12/09/2017 19:40 : L'Orthodoxie, ici et maintenant du 12 septembre 2017
13/09/2017 05:39 : L'Orthodoxie, ici et maintenant du 12 septembre 2017
13/09/2017 11:27 : L'Orthodoxie, ici et maintenant du 12 septembre 2017
par DARIA AMINOVA
Qu’est-ce qu’un étudiant de séminaire? Un modeste jeune homme en soutane qui révise l’Évangile? Pas du tout. Certes, au XXIe siècle, tout comme il y a des siècles, les séminaristes étudient les Saintes Écritures, mais ils apprécient également le skateboard, réalisent des selfies sur les toits et font la fête en profitant des nuits blanches à Saint-Pétersbourg.
«Les siècles passent, les clichés restent», rient-ils. Vlad Grigorovitch, étudiant de l’Académie théologique orthodoxe de Saint-Pétersbourg, estime que chaque séminariste a son histoire. Il confie à RBTH la sienne.
« Ce n’est pas moi qui suis venu à l’Église, c’est Dieu qui m’y a appelé »
Vlad n’avait jamais songé à faire des études religieuses. Il rêvait de devenir secouriste. « Enfant, j’allais avec mon père à l’église de notre petite ville sibérienne. Je m’y plaisais, car c’était très beau et très silencieux. Mon père est mort quand j’avais 13 ans et la famille a commencé à se décomposer. Une nuit où le sommeil ne venait pas et où je réfléchissais aux causes qui font souffrir les hommes, j’ai décidé de prier. Mon âme en a été soulagée », confie-t-il. Cette nuit a marqué un tournant dans la vie de Vlad : il commença à aider le prêtre de l’église comme sacristain avant de comprendre que c’était sa vocation.
Qu’est-ce qu’un étudiant de séminaire? Un modeste jeune homme en soutane qui révise l’Évangile? Pas du tout. Certes, au XXIe siècle, tout comme il y a des siècles, les séminaristes étudient les Saintes Écritures, mais ils apprécient également le skateboard, réalisent des selfies sur les toits et font la fête en profitant des nuits blanches à Saint-Pétersbourg.
«Les siècles passent, les clichés restent», rient-ils. Vlad Grigorovitch, étudiant de l’Académie théologique orthodoxe de Saint-Pétersbourg, estime que chaque séminariste a son histoire. Il confie à RBTH la sienne.
« Ce n’est pas moi qui suis venu à l’Église, c’est Dieu qui m’y a appelé »
Vlad n’avait jamais songé à faire des études religieuses. Il rêvait de devenir secouriste. « Enfant, j’allais avec mon père à l’église de notre petite ville sibérienne. Je m’y plaisais, car c’était très beau et très silencieux. Mon père est mort quand j’avais 13 ans et la famille a commencé à se décomposer. Une nuit où le sommeil ne venait pas et où je réfléchissais aux causes qui font souffrir les hommes, j’ai décidé de prier. Mon âme en a été soulagée », confie-t-il. Cette nuit a marqué un tournant dans la vie de Vlad : il commença à aider le prêtre de l’église comme sacristain avant de comprendre que c’était sa vocation.
Un manuscrit considéré comme disparu depuis 1.500 ans vient de refaire surface dans la bibliothèque de la cathédrale de Cologne. Il s’agit des commentaires les plus anciens des Evangiles en latin.
Le Journal catholique de Sibérie écrit qu’en 2012 le professeur Lukas Dorfbauer, université de Salzburg, a découvert un document de cent pages qu’il a fait numériser. Personne, à l’époque, n’a eu conscience de la valeur qu’avait cette trouvaille. Il est possible que ces notes datent du IX siècle.
Le professeur Dorfbauer a procédé à une analyse méticuleuse du manuscrit et l’a comparé à un texte de Saint Hiéronyme de Strid, auteur d’une vulgate où ce commentaire des Evangiles est évoqué dans « La vie des gens illustres ».
Le Journal catholique de Sibérie écrit qu’en 2012 le professeur Lukas Dorfbauer, université de Salzburg, a découvert un document de cent pages qu’il a fait numériser. Personne, à l’époque, n’a eu conscience de la valeur qu’avait cette trouvaille. Il est possible que ces notes datent du IX siècle.
Le professeur Dorfbauer a procédé à une analyse méticuleuse du manuscrit et l’a comparé à un texte de Saint Hiéronyme de Strid, auteur d’une vulgate où ce commentaire des Evangiles est évoqué dans « La vie des gens illustres ».
Avec la bénédiction de Monseigneur Nestor et après concertation avec le recteur de la cathédrale de Chartres une liturgie orthodoxe sera célébrée dans la crypte, lieu où se trouve une parcelle du voile de la Mère de Dieu.
Le car quitte l'église des Trois Saints Docteurs à 7 heures.
Contacts: prêtre Nicolas Nikichine ou Madame Inna Botcharova +33 (0)6 50 64 01 26 / +33 (0)6 20 34 95 46 nicolas.nikichine@gmail.com Prière de vous inscrire au plus tôt.
Informations détaillées sur le site PALOMNIK et l'affiche suite >>>>
Le car quitte l'église des Trois Saints Docteurs à 7 heures.
Contacts: prêtre Nicolas Nikichine ou Madame Inna Botcharova +33 (0)6 50 64 01 26 / +33 (0)6 20 34 95 46 nicolas.nikichine@gmail.com Prière de vous inscrire au plus tôt.
Informations détaillées sur le site PALOMNIK et l'affiche suite >>>>
JEAN-CLAUDE GUILLEBAUD, JOURNALISTE, ÉCRIVAIN ET ESSAYISTE
Dans ces colonnes, le 27 juillet dernier, j’évoquais un récent voyage en Russie avec les Amis de La Vie, et combien nous avait frappés ce spectaculaire retour au christianisme, après trois quarts de siècle d’un régime athée et hostile à la religion orthodoxe. Les nombreux messages reçus m’ont amené à dialoguer avec un frère catholique hors du commun. Serge Grandais se présente lui-même comme un « pèlerin de Dieu ».
Né en 1942, il a passé 40 années de sa vie à sillonner le monde à pied. Au départ, il s’agissait de lutter contre un asthme précoce. Puis tout changea. Encore adolescent, il lut les fameux "Récits d’un pèlerin russe", publiés anonymement à la fin du XIXe siècle, l’un des chefs-d’œuvre de la tradition orthodoxe.
Cette lecture bouleversa le jeune garçon. Elle lui révéla les vertus proprement spirituelles de la marche – des vertus qu’appréciait Charles Péguy. Les déambulations de Serge, devenu frère Serge, devinrent vite d’authentiques pèlerinages. « Le pèlerin, dit-il aujourd’hui, est un chercheur de sens, pour lui et pour les autres. »
Dans ces colonnes, le 27 juillet dernier, j’évoquais un récent voyage en Russie avec les Amis de La Vie, et combien nous avait frappés ce spectaculaire retour au christianisme, après trois quarts de siècle d’un régime athée et hostile à la religion orthodoxe. Les nombreux messages reçus m’ont amené à dialoguer avec un frère catholique hors du commun. Serge Grandais se présente lui-même comme un « pèlerin de Dieu ».
Né en 1942, il a passé 40 années de sa vie à sillonner le monde à pied. Au départ, il s’agissait de lutter contre un asthme précoce. Puis tout changea. Encore adolescent, il lut les fameux "Récits d’un pèlerin russe", publiés anonymement à la fin du XIXe siècle, l’un des chefs-d’œuvre de la tradition orthodoxe.
Cette lecture bouleversa le jeune garçon. Elle lui révéla les vertus proprement spirituelles de la marche – des vertus qu’appréciait Charles Péguy. Les déambulations de Serge, devenu frère Serge, devinrent vite d’authentiques pèlerinages. « Le pèlerin, dit-il aujourd’hui, est un chercheur de sens, pour lui et pour les autres. »
Le 30 août 2017, Sa Sainteté le patriarche Cyrille de Moscou et de toutes les Russies a reçu à la Salle rouge de l’église du Christ-Sauveur de Moscou les membres de la III Université d’été pour les prêtres catholiques.
Le groupe était accompagné du prêtre Hyacinthe Destivelle, membre du Conseil pontifical pour la promotion de l’unité des chrétiens.
Prenaient part à la rencontre le métropolite Hilarion de Volokolamsk, président du Département des relations ecclésiastiques extérieures du Patriarcat de Moscou, le prêtre Alexis Dikarev, collaborateur du DREE, le diacre Dimitri Serov, responsable du Département international de l’Institut des hautes études du Patriarcat de Moscou.
Le groupe était accompagné du prêtre Hyacinthe Destivelle, membre du Conseil pontifical pour la promotion de l’unité des chrétiens.
Prenaient part à la rencontre le métropolite Hilarion de Volokolamsk, président du Département des relations ecclésiastiques extérieures du Patriarcat de Moscou, le prêtre Alexis Dikarev, collaborateur du DREE, le diacre Dimitri Serov, responsable du Département international de l’Institut des hautes études du Patriarcat de Moscou.
Archimandrite Savva (Majouko)
Le Typikon a été écrit pour les monastères, on y trouve même des paragraphes consacrés à la conduite à table, la tenue vestimentaire des frères. Mais nous ne pouvons pas vivre selon des établies au Moyen-Âge, pas pour les laïcs, mais pour les moines.
Ce n’est pas facile d’observer le jeûne, mais ce n’est pas seulement parce que nous sommes tous des bâfreurs.
Tout ce qui est beau est difficile, mais pour ce qui est de l’effort ascétique, c’est encore plus difficile. On est parfois au bord de la dépression ! Le problème est dans la non-adéquation des prescriptions de l’Église et les conditions dans lesquelles nous vivons. C’est un sérieux hiatus, non pas entre la loi et la grâce, comme on le dit souvent, mais la législation de l’Église et la réalité. Même si la très grande majorité des orthodoxes jeûne, ce n’est pas comme le prescrit le Typikon, c’est-à-dire les statuts de l’Église.
Oui, le confesseur peut conseiller, le médecin peut prescrire, les parents peuvent regretter, il reste toujours un sentiment de culpabilité, cela signifie donc que chaque période de jeûne, pour le laïc d’aujourd’hui, est un temps non pas d’exercices spirituels, mais de terrible stress moral : je ne fais pas comme il convient, je transgresse, je n’agis pas bien. Et nous avons du mal à nous concilier avec ce temps de culpabilité, ne serait-ce que parce que tout orthodoxe est coupable en tout.
Le Typikon a été écrit pour les monastères, on y trouve même des paragraphes consacrés à la conduite à table, la tenue vestimentaire des frères. Mais nous ne pouvons pas vivre selon des établies au Moyen-Âge, pas pour les laïcs, mais pour les moines.
Ce n’est pas facile d’observer le jeûne, mais ce n’est pas seulement parce que nous sommes tous des bâfreurs.
Tout ce qui est beau est difficile, mais pour ce qui est de l’effort ascétique, c’est encore plus difficile. On est parfois au bord de la dépression ! Le problème est dans la non-adéquation des prescriptions de l’Église et les conditions dans lesquelles nous vivons. C’est un sérieux hiatus, non pas entre la loi et la grâce, comme on le dit souvent, mais la législation de l’Église et la réalité. Même si la très grande majorité des orthodoxes jeûne, ce n’est pas comme le prescrit le Typikon, c’est-à-dire les statuts de l’Église.
Oui, le confesseur peut conseiller, le médecin peut prescrire, les parents peuvent regretter, il reste toujours un sentiment de culpabilité, cela signifie donc que chaque période de jeûne, pour le laïc d’aujourd’hui, est un temps non pas d’exercices spirituels, mais de terrible stress moral : je ne fais pas comme il convient, je transgresse, je n’agis pas bien. Et nous avons du mal à nous concilier avec ce temps de culpabilité, ne serait-ce que parce que tout orthodoxe est coupable en tout.
Message du patriarche de Moscou Cyrille aux archipasteurs, pasteurs, diacres, moines et moniales et à tous les enfants fidèles de l’Église orthodoxe russe à l’occasion du centenaire du Concile de 1917-1918
« Vos Éminences les archipasteurs, Révérends pères et diacres, Révérends moines et moniales, Chers frères et sœurs,
Cent ans se seront écoulés cette année depuis le début des travaux du Concile local de 1917-1918, qui est devenu une étape éminemment importante dans l’histoire de l’Orthodoxie russe. Malgré le siècle qui est passé et qui nous sépare des événements de cette époque, le sens du Concile de 1917-1918 n’est pas encore pleinement saisi et estimé par le peuple ecclésial. Je suis profondément convaincu que son héritage nécessite une étude sérieuse et réfléchie, et qu’un grand nombre d’idées qui ont alors été exprimées seraient utiles et sollicitées aujourd’hui. Actuellement, de gros efforts sont entrepris pour diffuser des éléments sur l’activité du Concile ; en particulier, la première édition fondamentale et scientifique des documents du Concile a été réalisée, laquelle est fort importante pour préserver la mémoire de cet événement réellement grand, à la charnière des siècles.
« Vos Éminences les archipasteurs, Révérends pères et diacres, Révérends moines et moniales, Chers frères et sœurs,
Cent ans se seront écoulés cette année depuis le début des travaux du Concile local de 1917-1918, qui est devenu une étape éminemment importante dans l’histoire de l’Orthodoxie russe. Malgré le siècle qui est passé et qui nous sépare des événements de cette époque, le sens du Concile de 1917-1918 n’est pas encore pleinement saisi et estimé par le peuple ecclésial. Je suis profondément convaincu que son héritage nécessite une étude sérieuse et réfléchie, et qu’un grand nombre d’idées qui ont alors été exprimées seraient utiles et sollicitées aujourd’hui. Actuellement, de gros efforts sont entrepris pour diffuser des éléments sur l’activité du Concile ; en particulier, la première édition fondamentale et scientifique des documents du Concile a été réalisée, laquelle est fort importante pour préserver la mémoire de cet événement réellement grand, à la charnière des siècles.
Le patriarche grec-orthodoxe de Jérusalem a dénoncé avec virulence, le dimanche 13 août, une décision rendue le 1er août par la justice israélienne.
Dernier rebondissement d’une affaire qui remonte à 2004, ce jugement approuve la vente à une organisation ultranationaliste juive de biens appartenant à l’Église grecque-orthodoxe dans la vieille ville de Jérusalem. Cette décision de justice « a dépassé toutes les limites » et « ne peut être expliquée que par des motifs politiques », s’est indigné le Patriarche Théophile III de Jérusalem depuis Amman (Jordanie) où il a donné une conférence de presse exceptionnelle le dimanche 13 août.
Dernier rebondissement d’une affaire qui remonte à 2004, ce jugement approuve la vente à une organisation ultranationaliste juive de biens appartenant à l’Église grecque-orthodoxe dans la vieille ville de Jérusalem. Cette décision de justice « a dépassé toutes les limites » et « ne peut être expliquée que par des motifs politiques », s’est indigné le Patriarche Théophile III de Jérusalem depuis Amman (Jordanie) où il a donné une conférence de presse exceptionnelle le dimanche 13 août.
L’association Nereus-Arts convie la presse à une rencontre exceptionnelle avec Monseigneur Pancrace, évêque de Trinité, vicaire du patriarche de Moscou et de toutes les Russies*, qui expose ses photos pour la première fois en France et s'engage aux côtés de Nereus-Arts pour défendre l'environnement, dimanche 17 septembre, à 18h15, à l'hôtel de Paris, Monaco.
Une exposition pour défendre l'environnement
Mgr Pancrace a fait don à l’association Nereus- Arts d’une vingtaine de photos qui seront exposées en septembre pour la première fois en France, à Beaulieu-sur-mer (Alpes-Maritimes) et à Monaco, deux lieux réputés pour leur engagement en faveur de l’environnement.
Dans le cadre de l'Année de l’Écologie en Russie
L’exposition organisée par Nereus-Arts à l’occasion de l'Année de l’Écologie en Russie a reçu le soutien du Centre de Russie pour la culture et les sciences (Paris) et celui du Consulat honoraire de la Russie à Monaco.
Une exposition pour défendre l'environnement
Mgr Pancrace a fait don à l’association Nereus- Arts d’une vingtaine de photos qui seront exposées en septembre pour la première fois en France, à Beaulieu-sur-mer (Alpes-Maritimes) et à Monaco, deux lieux réputés pour leur engagement en faveur de l’environnement.
Dans le cadre de l'Année de l’Écologie en Russie
L’exposition organisée par Nereus-Arts à l’occasion de l'Année de l’Écologie en Russie a reçu le soutien du Centre de Russie pour la culture et les sciences (Paris) et celui du Consulat honoraire de la Russie à Monaco.
Ivan Grezine, lecteur de la paroisse Sainte Barbe (EORHF) à Vevey, en Suisse, nous a envoyé la photographie de l'epitaphios de la Mère de Dieu, brodé par l'Impératrice Alexandra Feodorovna, sainte martyre.
Cet épitaphios se trouve dans l'église de Vevey. Il se trouvait il n'y a pas longtemps encore à Pully, non loin de Lausanne dans l'église de famille de la nativité du Christ. Pierre Gilliard /1879-1962/, précepteur des Romanov, en avait fait don à cette église. Il a vécu à Lausanne et y est décédé en 1962.
Cet épitaphios se trouve dans l'église de Vevey. Il se trouvait il n'y a pas longtemps encore à Pully, non loin de Lausanne dans l'église de famille de la nativité du Christ. Pierre Gilliard /1879-1962/, précepteur des Romanov, en avait fait don à cette église. Il a vécu à Lausanne et y est décédé en 1962.
Des dizaines de personnes ont assisté à la célébration de la dormition, équivalent de L’Assomption pour les orthodoxes, dans un lieu chargé d’histoire.
Des chants liturgiques et un parfum d’encens s’élèvent de la chapelle orthodoxe de Sainte-Geneviève-des-Bois. Une quarantaine de fidèles est venue ce lundi célébrer à Notre-Dame-de-la-Dormition la fête du même nom. Un rendez-vous très important dans ce culte, qui correspond à L’Assomption chez les catholiques. Et également un moyen de communier avec leurs ancêtres venus de Russie, qui ont marqué ce lieu unique de leur empreinte.
« Nous sommes nombreux à être issus de l’aristocratie russe », explique Nicolas, le chef de chœur. Pour beaucoup, leurs ancêtres, Russes blancs, ont fui le pays après la révolution d’octobre 1917. « Ils sont venus en France parce qu’ils parlaient français, comme une grande partie de la noblesse de l’époque », raconte-t-il.
Des chants liturgiques et un parfum d’encens s’élèvent de la chapelle orthodoxe de Sainte-Geneviève-des-Bois. Une quarantaine de fidèles est venue ce lundi célébrer à Notre-Dame-de-la-Dormition la fête du même nom. Un rendez-vous très important dans ce culte, qui correspond à L’Assomption chez les catholiques. Et également un moyen de communier avec leurs ancêtres venus de Russie, qui ont marqué ce lieu unique de leur empreinte.
« Nous sommes nombreux à être issus de l’aristocratie russe », explique Nicolas, le chef de chœur. Pour beaucoup, leurs ancêtres, Russes blancs, ont fui le pays après la révolution d’octobre 1917. « Ils sont venus en France parce qu’ils parlaient français, comme une grande partie de la noblesse de l’époque », raconte-t-il.
"1917 est l’année des révolutions russes de février et d’octobre qui ont mené les communistes au pouvoir, instituant le plus long régime totalitaire de l’histoire.
L’événement est d’importance, aussi lui avons-nous consacré notre dossier du mois. Mars marque également l’entrée en carême et pour ceux qui chercheraient une œuvre à soutenir, nous proposons un grand entretien avec Dom Jean-Charles Nault, Père Abbé de Saint-Wandrille, dont l’abbaye a besoin d’aide pour de nécessaires travaux.
Signalons enfin la question du sort des enfants morts sans baptême auquel Dom Jean Pateau, Père Abbé de Fontgombault, consacre un livre essentiel".
Christophe Geffroy
Directeur de La Nef
DOSSIER : LA RÉVOLUTION RUSSE DE 1917
La chute du tsarisme, par Michel Toda
Le rôle du Père Gapone, par Victor Loupan
La révolution d’Octobre, par l’abbé Hervé Benoît
Entre négationnisme et repentance, par Nikita Krivochéine
L’Église et la révolution, par Yves Chiron
De l’anarchisme russe, par Jacques de Guillebon
L’événement est d’importance, aussi lui avons-nous consacré notre dossier du mois. Mars marque également l’entrée en carême et pour ceux qui chercheraient une œuvre à soutenir, nous proposons un grand entretien avec Dom Jean-Charles Nault, Père Abbé de Saint-Wandrille, dont l’abbaye a besoin d’aide pour de nécessaires travaux.
Signalons enfin la question du sort des enfants morts sans baptême auquel Dom Jean Pateau, Père Abbé de Fontgombault, consacre un livre essentiel".
Christophe Geffroy
Directeur de La Nef
DOSSIER : LA RÉVOLUTION RUSSE DE 1917
La chute du tsarisme, par Michel Toda
Le rôle du Père Gapone, par Victor Loupan
La révolution d’Octobre, par l’abbé Hervé Benoît
Entre négationnisme et repentance, par Nikita Krivochéine
L’Église et la révolution, par Yves Chiron
De l’anarchisme russe, par Jacques de Guillebon
Traduit du russe par Marie et André Donzeau
Père Patrick, parlez-nous s'il vous plaît de vous et dites-nous quelle Eglise orthodoxe vous représentez.
Je suis prêtre de l'Église d'Antioche, l'une des plus anciennes, l'une des premières Eglises du monde chrétien. Je dessers une paroisse et celle-ci se trouve à Los Angeles, en Californie. Notre église est fréquentée par des gens de tous les âges et de tous les coins du globe. Je suis devenu orthodoxe étant déjà adulte, mais cela ne s'est pas fait du tout dans une église orthodoxe. Alors que j'avais entre 17 et 19 ans, je cherchais des réponses aux questions que je me posais et j'avais des doutes quant à la valeur de l'enseignement chrétien. D'une façon générale, mon attitude à l'égard du christianisme était plutôt négative. Je n'aimais pas l'Église, entre autres choses, parce que mes parents disaient que je devais y aller. Mes parents étaient catholiques et fréquentaient une église dans le New-Jersey, près de New-York.
Plus tard, j'ai quitté la maison, je suis entré dans un collège aux États-Unis, puis à l'université. J'ai beaucoup étudié et j'ai commencé à approfondir mes connaissance sur le christianisme. Je me suis mis à apprendre de façon de plus en plus assidue et j'ai soudain pris conscience, un jour, que la sainte Église, la mère de toutes les églises, est ici, tout près de nous, à New York. C'est ainsi que je suis devenu orthodoxe, j'ai poursuivi mes études, puis je suis devenu prêtre...
Père Patrick, parlez-nous s'il vous plaît de vous et dites-nous quelle Eglise orthodoxe vous représentez.
Je suis prêtre de l'Église d'Antioche, l'une des plus anciennes, l'une des premières Eglises du monde chrétien. Je dessers une paroisse et celle-ci se trouve à Los Angeles, en Californie. Notre église est fréquentée par des gens de tous les âges et de tous les coins du globe. Je suis devenu orthodoxe étant déjà adulte, mais cela ne s'est pas fait du tout dans une église orthodoxe. Alors que j'avais entre 17 et 19 ans, je cherchais des réponses aux questions que je me posais et j'avais des doutes quant à la valeur de l'enseignement chrétien. D'une façon générale, mon attitude à l'égard du christianisme était plutôt négative. Je n'aimais pas l'Église, entre autres choses, parce que mes parents disaient que je devais y aller. Mes parents étaient catholiques et fréquentaient une église dans le New-Jersey, près de New-York.
Plus tard, j'ai quitté la maison, je suis entré dans un collège aux États-Unis, puis à l'université. J'ai beaucoup étudié et j'ai commencé à approfondir mes connaissance sur le christianisme. Je me suis mis à apprendre de façon de plus en plus assidue et j'ai soudain pris conscience, un jour, que la sainte Église, la mère de toutes les églises, est ici, tout près de nous, à New York. C'est ainsi que je suis devenu orthodoxe, j'ai poursuivi mes études, puis je suis devenu prêtre...
Sa Sainteté le patriarche Cyrille de Moscou et de toute la Russie a exprimé ses condoléances au roi Philippe VI d’Espagne, après l’attentat survenu à Barcelone. La veille au soir, un fourgon lancé à grande vitesse ? a foncé sur la foule dans la zone piétonne de la rue Rambla, dans le centre de Barcelone. Au 18 août, 13 personnes ont été tuées, plus de 100 blessées.
Sa Majesté Royale Philippe VI, Roi d’Espagne
Sire,
C’est avec une profonde douleur que j’ai appris la nouvelle de l’attentat commis à Barcelone, tuant et blessant de nombreuses personnes. Recevez mes sincères condoléances. En ces jours de deuil, je m’afflige avec le peuple d’Espagne, avec les parents et les proches des victimes et des blessés.
Sa Majesté Royale Philippe VI, Roi d’Espagne
Sire,
C’est avec une profonde douleur que j’ai appris la nouvelle de l’attentat commis à Barcelone, tuant et blessant de nombreuses personnes. Recevez mes sincères condoléances. En ces jours de deuil, je m’afflige avec le peuple d’Espagne, avec les parents et les proches des victimes et des blessés.
*** Une visite du Pape de Rome n’est pas à l’ordre du jour.
Moscou. 19 août 2017. INTERFAX — La question de l’Ukraine sera examinée lors de la prochaine visite à Moscou du [cardinal Paolo Parolin, ]url: http://www.egliserusse.eu/blogdiscussion/Le-cardinal-Parolin-en-Russie-au-mois-d-aout_a5111.html Secrétaire d’État du Vatican, du 20 au 24 août.
« La question ukrainienne n’a pas été ôtée de l’ordre du jour. Cette question reste un problème dans les relations entre nos deux Églises en raison des actions destructrices des gréco-catholiques en Ukraine ; la question a aussi une dimension humanitaire, » a déclaré ce mardi sur notre site Interfax-religia le hiéromoine Stéphane (Igoumnov), secrétaire du Département synodal aux relations extérieures en charge des relations entre les Églises chrétiennes.
Il a également ajouté : « l’Église orthodoxe russe apprécie la position du Vatican sur cette question qui n’autorise pas d’utiliser le Saint-Siège afin de spéculer sur une escalade dans la crise ukrainienne et faire que le conflit dans ce pays devienne un conflit inter-religieux. »
Moscou. 19 août 2017. INTERFAX — La question de l’Ukraine sera examinée lors de la prochaine visite à Moscou du [cardinal Paolo Parolin, ]url: http://www.egliserusse.eu/blogdiscussion/Le-cardinal-Parolin-en-Russie-au-mois-d-aout_a5111.html Secrétaire d’État du Vatican, du 20 au 24 août.
« La question ukrainienne n’a pas été ôtée de l’ordre du jour. Cette question reste un problème dans les relations entre nos deux Églises en raison des actions destructrices des gréco-catholiques en Ukraine ; la question a aussi une dimension humanitaire, » a déclaré ce mardi sur notre site Interfax-religia le hiéromoine Stéphane (Igoumnov), secrétaire du Département synodal aux relations extérieures en charge des relations entre les Églises chrétiennes.
Il a également ajouté : « l’Église orthodoxe russe apprécie la position du Vatican sur cette question qui n’autorise pas d’utiliser le Saint-Siège afin de spéculer sur une escalade dans la crise ukrainienne et faire que le conflit dans ce pays devienne un conflit inter-religieux. »
Extrait de la conférence prononcée le 1 novembre 2010 par le métropolite de Volokolamsk, Hilarion, Président du Département des relations ecclésiastiques extérieures du Patriarcat de Moscou à l'Académie théologique de Moscou
Quelle était l'attitude de l'Eglise orthodoxe aux catholiques au début du dialogue? Il convient tout d'abord noter que l'Eglise orthodoxe officielle ne reconnaît par aucun document, décret ou définition l'efficacité et l'action salvatrice des Sacrements de l'Eglise catholique. Mais en fait, l'Orthodoxie accueil en son sein les Catholiques depuis des siècles en pratiquant le même rite d'accueil que celui qui est pratiqué de nos jours par les catholiques pour recevoir les chrétiens orthodoxes. Cela signifie que lorsque nous recevons au sein de l'Eglise orthodoxe une personne baptisée dans l'Eglise catholique, nous ne le rebaptisons pas; si la personne a été confirmée dans l'Église catholique, nous ne le chrismons pas; s'il était un prêtre catholique, nous ne l'ordonnons et le recevons dans le même ministère.
Quelle était l'attitude de l'Eglise orthodoxe aux catholiques au début du dialogue? Il convient tout d'abord noter que l'Eglise orthodoxe officielle ne reconnaît par aucun document, décret ou définition l'efficacité et l'action salvatrice des Sacrements de l'Eglise catholique. Mais en fait, l'Orthodoxie accueil en son sein les Catholiques depuis des siècles en pratiquant le même rite d'accueil que celui qui est pratiqué de nos jours par les catholiques pour recevoir les chrétiens orthodoxes. Cela signifie que lorsque nous recevons au sein de l'Eglise orthodoxe une personne baptisée dans l'Eglise catholique, nous ne le rebaptisons pas; si la personne a été confirmée dans l'Église catholique, nous ne le chrismons pas; s'il était un prêtre catholique, nous ne l'ordonnons et le recevons dans le même ministère.
Malo Tresca
En chantier depuis 2009, le projet de nouveau catéchisme de l’Église orthodoxe russe, exposé dans une version non définitive publiée fin juillet, défend que « l’œcuménisme ne contredit pas l’enseignement orthodoxe ».
En s’ouvrant à la modernité, ce projet catéchétique, plébiscité par le patriarche Kirill de Moscou, s’expose aux critiques anti-oecuméniques dans les rangs de l’Église. Un projet pour « s’ouvrir à la modernité » et redécouvrir les racines de l’Église orthodoxe russe, après 70 ans d’athéisme forcé et au lendemain de la dislocation du bloc soviétique en 1990 et 1991.
Évoqué pour la première fois en 2008 lors de l’Assemblée des évêques, examiné depuis 2009 par une commission composée notamment de théologiens renommés du pays, et lancé avec la bénédiction du Patriarche Kirill de Moscou, le projet de catéchisme « contemporain » de l’Église orthodoxe russe a été présenté, dans une nouvelle version, à la fin du mois de juillet.
En chantier depuis 2009, le projet de nouveau catéchisme de l’Église orthodoxe russe, exposé dans une version non définitive publiée fin juillet, défend que « l’œcuménisme ne contredit pas l’enseignement orthodoxe ».
En s’ouvrant à la modernité, ce projet catéchétique, plébiscité par le patriarche Kirill de Moscou, s’expose aux critiques anti-oecuméniques dans les rangs de l’Église. Un projet pour « s’ouvrir à la modernité » et redécouvrir les racines de l’Église orthodoxe russe, après 70 ans d’athéisme forcé et au lendemain de la dislocation du bloc soviétique en 1990 et 1991.
Évoqué pour la première fois en 2008 lors de l’Assemblée des évêques, examiné depuis 2009 par une commission composée notamment de théologiens renommés du pays, et lancé avec la bénédiction du Patriarche Kirill de Moscou, le projet de catéchisme « contemporain » de l’Église orthodoxe russe a été présenté, dans une nouvelle version, à la fin du mois de juillet.
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