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Ce texte nous a été adressé par Irénée en tant que commentaire. Nous avons préféré en faire un post.
Je voudrais simplement rappeler en joignant ci dessous quelques extraits de ce qui figure dans le document officiel émanant de l'Eglise de Russie et concernant les relations avec les autres Eglises. Juste pour que les choses soient plus claires...
Extraits :
"Néanmoins, tout en reconnaissant la nécessité de rétablir l'unité chrétienne détruite, l'Église orthodoxe affirme que l'unité authentique n'est possible que dans le sein de l'Église Une, Sainte, Catholique et Apostolique. Tous les autres "modèles" d'unité sont irrecevables.
L'Église orthodoxe ne peut admettre la thèse selon laquelle, en dépit des divisions historiques, l'unité de principe, l'unité de fond des chrétiens n'aurait pas été détruite. Selon cette théorie, l'Église coïnciderait avec l'ensemble du "monde chrétien", et l'unité chrétienne existerait par dessus les barrières dénominationnelles, la division des Églises n'affectant que le niveau imparfait des relations humaines. L'Église, affirme-t-on, demeure une, mais cette unité se manifeste insuffisamment dans des formes visibles. Dans ce modèle d'unité la tâche des chrétiens est comprise non comme le rétablissement d'une unité perdue, mais comme la manifestation d'une unité subsistant d'une manière inamissible. Ce modèle répète la doctrine protestante de "l'Église invisible".
Je voudrais simplement rappeler en joignant ci dessous quelques extraits de ce qui figure dans le document officiel émanant de l'Eglise de Russie et concernant les relations avec les autres Eglises. Juste pour que les choses soient plus claires...
Extraits :
"Néanmoins, tout en reconnaissant la nécessité de rétablir l'unité chrétienne détruite, l'Église orthodoxe affirme que l'unité authentique n'est possible que dans le sein de l'Église Une, Sainte, Catholique et Apostolique. Tous les autres "modèles" d'unité sont irrecevables.
L'Église orthodoxe ne peut admettre la thèse selon laquelle, en dépit des divisions historiques, l'unité de principe, l'unité de fond des chrétiens n'aurait pas été détruite. Selon cette théorie, l'Église coïnciderait avec l'ensemble du "monde chrétien", et l'unité chrétienne existerait par dessus les barrières dénominationnelles, la division des Églises n'affectant que le niveau imparfait des relations humaines. L'Église, affirme-t-on, demeure une, mais cette unité se manifeste insuffisamment dans des formes visibles. Dans ce modèle d'unité la tâche des chrétiens est comprise non comme le rétablissement d'une unité perdue, mais comme la manifestation d'une unité subsistant d'une manière inamissible. Ce modèle répète la doctrine protestante de "l'Église invisible".
Rédigé par l'équipe de rédaction le 14 Mai 2010 à 11:11
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C'est au premier chapitre des Actes des Apôtres que l’on trouve le récit de l’Ascension de Notre Seigneur Jésus-Christ.
Jésus accomplit sa mission sur terre et monte au ciel dans la gloire, acclamé par les anges. Il avait dit à Marie de Magdala : “Je monte vers mon Père et votre Père, vers mon Dieu et votre Dieu” (Jean 20, 17). Le Christ, vrai Dieu et vrai homme introduit, par son corps, l’humanité toute entière, rachetée par son sang, à la droite de Dieu le Père. Désormais nous sommes, avec le Fils de Dieu, les fils adoptifs du Père, héritiers du Royaume des Cieux.
En montant au ciel, Jésus promet à ses apôtres l’envoi du Saint-Esprit qu’ils recevront à la Pentecôte. Jésus promet aussi de rester avec les croyants jusqu’à la fin du monde (Matth. 28, 20). Par le Saint-Esprit, il est mystérieusement présent dans les sacrements. Une dernière promesse faite aux apôtres et annoncée par les anges-messagers. C’est le Retour glorieux du Christ, au second avènement. Il apparaîtra, entouré des anges, pour venir nous chercher et nous introduire, avec nos corps ressuscités, au Royaume des Cieux (I Thessaloniciens 4, 16-18).
Jésus accomplit sa mission sur terre et monte au ciel dans la gloire, acclamé par les anges. Il avait dit à Marie de Magdala : “Je monte vers mon Père et votre Père, vers mon Dieu et votre Dieu” (Jean 20, 17). Le Christ, vrai Dieu et vrai homme introduit, par son corps, l’humanité toute entière, rachetée par son sang, à la droite de Dieu le Père. Désormais nous sommes, avec le Fils de Dieu, les fils adoptifs du Père, héritiers du Royaume des Cieux.
En montant au ciel, Jésus promet à ses apôtres l’envoi du Saint-Esprit qu’ils recevront à la Pentecôte. Jésus promet aussi de rester avec les croyants jusqu’à la fin du monde (Matth. 28, 20). Par le Saint-Esprit, il est mystérieusement présent dans les sacrements. Une dernière promesse faite aux apôtres et annoncée par les anges-messagers. C’est le Retour glorieux du Christ, au second avènement. Il apparaîtra, entouré des anges, pour venir nous chercher et nous introduire, avec nos corps ressuscités, au Royaume des Cieux (I Thessaloniciens 4, 16-18).
Le Kremlin a décidé de restaurer et dévoiler au public deux icônes vieilles de six siècles qui ont été redécouvertes sur deux tours de la forteresse fin avril sous une couche de plâtre apposé par les bolchéviques, a indiqué mercredi son Département des Musées.
Les deux icônes ornaient les portes des deux principales tours de la muraille du Kremlin. "Les travaux ont commencé pour enlever la couche épaisse de plâtre qui recouvrait les icônes depuis 1937", a dit Iana Belochapkina, porte-parole du Département.
"Les deux icônes ont été visiblement peintes à l'huile par-dessus des fresques et les travaux sont destinés à vérifier cette hypothèse", a de son côté déclaré Andreï Batalov, vice-directeur général des Musées du Kremlin...Suite AFP
Les deux icônes ornaient les portes des deux principales tours de la muraille du Kremlin. "Les travaux ont commencé pour enlever la couche épaisse de plâtre qui recouvrait les icônes depuis 1937", a dit Iana Belochapkina, porte-parole du Département.
"Les deux icônes ont été visiblement peintes à l'huile par-dessus des fresques et les travaux sont destinés à vérifier cette hypothèse", a de son côté déclaré Andreï Batalov, vice-directeur général des Musées du Kremlin...Suite AFP
Le site Internet de l'association de la jeunesse du diocèse de Chersonèse (Patriarcat de Moscou) en France vient d'être lancé. Il existe en version russe, française, anglaise et allemande.
Il propose différentes informations, ainsi des albums de photographies et des vidéos.
L'association de jeunesse de l'Eglise Orthodoxe Russe en France, « Chersonèse », a pour but de consolider et de propager les valeurs et traditions spirituelles et culturelles de l'Europe en se fondant sur la tradition orthodoxe russe et sur l'héritage de l'Europe chrétienne du premier millénaire, à travers l'organisation d'événements sociaux et pédagogiques, de conférences, de séminaires, de camps d'été, d'activités socio-culturelles et éditrices.
Il propose différentes informations, ainsi des albums de photographies et des vidéos.
L'association de jeunesse de l'Eglise Orthodoxe Russe en France, « Chersonèse », a pour but de consolider et de propager les valeurs et traditions spirituelles et culturelles de l'Europe en se fondant sur la tradition orthodoxe russe et sur l'héritage de l'Europe chrétienne du premier millénaire, à travers l'organisation d'événements sociaux et pédagogiques, de conférences, de séminaires, de camps d'été, d'activités socio-culturelles et éditrices.
A lire dans son intégralité sur le site de la cathédrale de Nice Le rapport du secrétaire diocésain, Michel Sollogoub à l’AG de l’Archevêché suscitera certainement de nombreuses réactions d’ordre factuel, juridique, moral, enfin, car la vérité y est allègrement altérée, la réalité y est déformée.
« Parlons » accueillera volontiers les auteurs qui accepteront de traiter des aspects juridiques et autres de l’affaire de la cathédrale de Nice. Nous y incorporons quelques mises au point d’ordre factuel.
Extrait de l’extrait :
Michel Sollogoub: « Nous continuerons donc à soutenir notre association à Nice en continuant à rappeler qu’en vérité, pendant plus de 70 ans l’Etat russe –bolchévique, puis soviétique – de l’époque, occupé qu’il était à construire la nouvelle société d’où seraient bannies toutes les superstitions religieuses et alors qu’il s’efforçait de réduire par la force la foi des Chrétiens orthodoxes russes, a abandonné la cathédrale de Nice à son sort. Heureusement les émigrés de la première vague ont été là pour la sauvegarder, l’entretenir et l’embellir »
« Parlons » accueillera volontiers les auteurs qui accepteront de traiter des aspects juridiques et autres de l’affaire de la cathédrale de Nice. Nous y incorporons quelques mises au point d’ordre factuel.
Extrait de l’extrait :
Michel Sollogoub: « Nous continuerons donc à soutenir notre association à Nice en continuant à rappeler qu’en vérité, pendant plus de 70 ans l’Etat russe –bolchévique, puis soviétique – de l’époque, occupé qu’il était à construire la nouvelle société d’où seraient bannies toutes les superstitions religieuses et alors qu’il s’efforçait de réduire par la force la foi des Chrétiens orthodoxes russes, a abandonné la cathédrale de Nice à son sort. Heureusement les émigrés de la première vague ont été là pour la sauvegarder, l’entretenir et l’embellir »
Le patriarche Kirill Ier de Moscou et de toutes les Russies offre un concert à Benoît XVI à l'occasion de son anniversaire, le 20 mai à 18 h dans la salle Paul VI du Vatican. Le concert a lieu dans le cadre de la Journée de culture et de spiritualité russe organisée au Vatican et promue par le patriarche.
« C'est un cadeau de l'Eglise orthodoxe russe » au pape pour son anniversaire, a précisé l'higoumène Philipp Vassiltsev. Un message du patriarche Kirill Ier devrait être lu à cette occasion par le métropolite Hilarion. Le pape prononcera une allocution à la fin du concert.
L'orchestre national russe sera placé sous la direction de Carlo Ponti - fils de Sofia Loren et Carlo Ponti. Participeront aussi à ce concert le chœur du synode de Moscou, dirigé par Alexeï Puzakov, et la Chapelle des Cors de Russie, dirigé par Sergeï Pechanski....suite ROME, Lundi 10 mai 2010 (ZENIT.org)
« C'est un cadeau de l'Eglise orthodoxe russe » au pape pour son anniversaire, a précisé l'higoumène Philipp Vassiltsev. Un message du patriarche Kirill Ier devrait être lu à cette occasion par le métropolite Hilarion. Le pape prononcera une allocution à la fin du concert.
L'orchestre national russe sera placé sous la direction de Carlo Ponti - fils de Sofia Loren et Carlo Ponti. Participeront aussi à ce concert le chœur du synode de Moscou, dirigé par Alexeï Puzakov, et la Chapelle des Cors de Russie, dirigé par Sergeï Pechanski....suite ROME, Lundi 10 mai 2010 (ZENIT.org)
Chers Amis
A 9 H 30 du matin, sera diffusée l'émission "Orthodoxie" produite par l'archiprêtre Nicolas Ozoline et réalisé par le cinéaste Jean-Pierre Bonneau, dans le cadre de France 2, en deux volets, et consacrée à l'exposition de Rueil-Malmaison "L'Archipel des Solovki, Veilleuse du Grand Nord" et à la table-ronde, conçue et dirigée par votre serviteur, également commissaire de l'exposition.
Interviendront le hiéromoine Stefan, du Monastère des Solovki, et auteur des photographies, l'archiprêtre Nicolas Ozoline, Mr Nicolas Miletitch, ancien directeur de la rédaction de l'AFP, le prof. Oleg Kobtzeff, et Saverio Maestrali, photographe et directeur artistique de l'exposition.
Cyril Semenoff-Tian-Chansky
A 9 H 30 du matin, sera diffusée l'émission "Orthodoxie" produite par l'archiprêtre Nicolas Ozoline et réalisé par le cinéaste Jean-Pierre Bonneau, dans le cadre de France 2, en deux volets, et consacrée à l'exposition de Rueil-Malmaison "L'Archipel des Solovki, Veilleuse du Grand Nord" et à la table-ronde, conçue et dirigée par votre serviteur, également commissaire de l'exposition.
Interviendront le hiéromoine Stefan, du Monastère des Solovki, et auteur des photographies, l'archiprêtre Nicolas Ozoline, Mr Nicolas Miletitch, ancien directeur de la rédaction de l'AFP, le prof. Oleg Kobtzeff, et Saverio Maestrali, photographe et directeur artistique de l'exposition.
Cyril Semenoff-Tian-Chansky
Pour un climat serein entre catholiques et orthodoxes
Les deux "Journées de culture et de spiritualité russe" organisées de manière inédite au Vatican les 19 et 20 mai s’inscrivent dans un climat de “compréhension“ qui s’installe peu à peu entre Rome et Moscou depuis l’élection de Benoît XVI, selon le Conseil pontifical de la culture, l’un des organisateurs de ce projet. Le patriarche de Moscou Cyrille sera représenté par l’archevêque Hilarion Alfeyev, président du département des relations extérieures du Patriarcat de Moscou.
Les deux "Journées de culture et de spiritualité russe" organisées de manière inédite au Vatican les 19 et 20 mai s’inscrivent dans un climat de “compréhension“ qui s’installe peu à peu entre Rome et Moscou depuis l’élection de Benoît XVI, selon le Conseil pontifical de la culture, l’un des organisateurs de ce projet. Le patriarche de Moscou Cyrille sera représenté par l’archevêque Hilarion Alfeyev, président du département des relations extérieures du Patriarcat de Moscou.
Pour se mettre dans l’ambiance de l’époque trouble et décisive pour l’avenir de l’Exarchat russe d’Europe occidentale du Patriarcat de Constantinople. Il s’agit de la traduction d’un extrait du Journal de Pierre Kovalevsky, daté du mercredi 29 août 1945 et tirée d’un livre à paraître prochainement.
N.R.
Réunion rue Daru.
Je suis allé rue Daru pour tout préparer, mais en vain. Il y avait une telle obstruction de la part du père Savva qu’il a été impossible de rien organiser. Dans l’intérêt même du point de vue qu’il défend, il aurait été utile de prévoir le programme de la séance, la rédaction du protocole etc. Il ne faisait que déambuler dans la cour et dans le bureau en répétant à tout le monde : « C’est une réunion de tchékistes, convoquée sur l’ordre du GPU », ce qui a révolté beaucoup de personnes.
La majorité des clercs et des laïcs a une attitude correctement conservatrice : tout en saluant dans l’amour les arrivants et la possibilité d’avoir des relations avec eux, ils veulent conserver ce qui a été créé en 25 ans, ce qui a une valeur originale, et veulent défendre la liberté de leur action dans l’Église et de leurs activités contre toute influence politique. Seules 5-6 personnes (parmi les présents) souhaitent une soumission totale et sans réserves.
Un autre groupe irréductible se rassemble autour de l’archimandrite Cyprien. Le Métropolite et le père Savva constituent les pôles les plus extrêmes par rapport aux groupes qui penchent de leur côté. Le Métropolite rejette notre existence et la valeur de nos activités ici et, de cette manière, notre passé dans lequel il s’est impliqué, et il veut ainsi le gommer entièrement. Le père Savva ne fait que se répandre en imprécations.
N.R.
Réunion rue Daru.
Je suis allé rue Daru pour tout préparer, mais en vain. Il y avait une telle obstruction de la part du père Savva qu’il a été impossible de rien organiser. Dans l’intérêt même du point de vue qu’il défend, il aurait été utile de prévoir le programme de la séance, la rédaction du protocole etc. Il ne faisait que déambuler dans la cour et dans le bureau en répétant à tout le monde : « C’est une réunion de tchékistes, convoquée sur l’ordre du GPU », ce qui a révolté beaucoup de personnes.
La majorité des clercs et des laïcs a une attitude correctement conservatrice : tout en saluant dans l’amour les arrivants et la possibilité d’avoir des relations avec eux, ils veulent conserver ce qui a été créé en 25 ans, ce qui a une valeur originale, et veulent défendre la liberté de leur action dans l’Église et de leurs activités contre toute influence politique. Seules 5-6 personnes (parmi les présents) souhaitent une soumission totale et sans réserves.
Un autre groupe irréductible se rassemble autour de l’archimandrite Cyprien. Le Métropolite et le père Savva constituent les pôles les plus extrêmes par rapport aux groupes qui penchent de leur côté. Le Métropolite rejette notre existence et la valeur de nos activités ici et, de cette manière, notre passé dans lequel il s’est impliqué, et il veut ainsi le gommer entièrement. Le père Savva ne fait que se répandre en imprécations.
Le 29 décembre 2009 Alexandre Prokhanov, rédacteur en chef du quotidien « Zavtra » a écrit à Mgr Hilarion, métropolite de Volokolamsk, Président du Département des relations ecclésiales extérieures, le priant de clarifier l’attitude de l’Eglise quant au rôle de Joseph Staline dans l’histoire de notre pays. A.Prokhanov se référait à son article « Heureux ceux qui procurent la paix, car ils seront appelés fils de Dieu! » (« Zavtra », N°1,2010).
A la veille du 65e anniversaire de la Victoire l’higoumène Philippe (Riabykh), vice-président de la DREE a répondu à cette lettre :
Distingué Alexandre Andréevitch,
Mgr Hilarion, métropolite de Volokolamsk, m’a chargé de répondre à votre lettre du 29 décembre dernier.
La manière dont l’Eglise Orthodoxe Russe perçoit l’histoire du XX siècle est exposée dans de nombreux ouvrages et travaux de recherche. L’Eglise s’en tient à la seule approche concevable, celle qui se fonde sur un amour désintéressé de la Patrie et l’évidence du rôle essentiel de la foi dans la vie du peuple. L’histoire moderne a démontré qu’aucun effort humain, fût-il le plus brutal, n’est à même de maintenir l’unité au sein de la société et de lui apporter la prospérité. La négation de Dieu et, d’autant plus, l’athéisme militant conduisent à de graves erreurs politiques et sociales : « L’insensé a dit en son cœur: « Non, plus de Dieu ! » (Ps 13,1).
A la veille du 65e anniversaire de la Victoire l’higoumène Philippe (Riabykh), vice-président de la DREE a répondu à cette lettre :
Distingué Alexandre Andréevitch,
Mgr Hilarion, métropolite de Volokolamsk, m’a chargé de répondre à votre lettre du 29 décembre dernier.
La manière dont l’Eglise Orthodoxe Russe perçoit l’histoire du XX siècle est exposée dans de nombreux ouvrages et travaux de recherche. L’Eglise s’en tient à la seule approche concevable, celle qui se fonde sur un amour désintéressé de la Patrie et l’évidence du rôle essentiel de la foi dans la vie du peuple. L’histoire moderne a démontré qu’aucun effort humain, fût-il le plus brutal, n’est à même de maintenir l’unité au sein de la société et de lui apporter la prospérité. La négation de Dieu et, d’autant plus, l’athéisme militant conduisent à de graves erreurs politiques et sociales : « L’insensé a dit en son cœur: « Non, plus de Dieu ! » (Ps 13,1).
Vladimir Golovanow
J'ai fait un court séjour en Russie fin avril et j'ai été frappé par la lecture des journaux: de pleines pages étaient consacrées à la préparation du 65ème anniversaire de la Victoire, ce qui est habituel. Mais parmi les souvenirs de vétérans et de survivants du blocus de Leningrad il y avait aussi un très grand nombre d'articles dénonçant les fautes, les erreurs et les crimes de Staline (1).
Tout a commencé début avril, quand le maire de Moscou annonça vouloir décorer la ville pour le 9 mai avec de grands portraits des héros de la guerre, dont le généralisimus Staline. L'idée a provoqué un tollé dans la presse et l'ONG Mémorial annonça son intention de réaliser un contre affichage. Simultanément Poutine dénonçait le massacre des Polonais à Katyn (de façon ambiguë il est vrai), puis le film "Katyn" de Wajda, celui-ci sans ambiguïté, était montré en prime-time sur la chaine publique la plus regardée en Russie et la copie de l'ukase ordonnant l'exécution était publiée sur Internet sur ordre du président Medvedev. Fin avril la mairie annonçait l'abandon de l'affichage, sous la pression du Kremlin laissait entendre le quotidien Vedomosti.
J'ai fait un court séjour en Russie fin avril et j'ai été frappé par la lecture des journaux: de pleines pages étaient consacrées à la préparation du 65ème anniversaire de la Victoire, ce qui est habituel. Mais parmi les souvenirs de vétérans et de survivants du blocus de Leningrad il y avait aussi un très grand nombre d'articles dénonçant les fautes, les erreurs et les crimes de Staline (1).
Tout a commencé début avril, quand le maire de Moscou annonça vouloir décorer la ville pour le 9 mai avec de grands portraits des héros de la guerre, dont le généralisimus Staline. L'idée a provoqué un tollé dans la presse et l'ONG Mémorial annonça son intention de réaliser un contre affichage. Simultanément Poutine dénonçait le massacre des Polonais à Katyn (de façon ambiguë il est vrai), puis le film "Katyn" de Wajda, celui-ci sans ambiguïté, était montré en prime-time sur la chaine publique la plus regardée en Russie et la copie de l'ukase ordonnant l'exécution était publiée sur Internet sur ordre du président Medvedev. Fin avril la mairie annonçait l'abandon de l'affichage, sous la pression du Kremlin laissait entendre le quotidien Vedomosti.
Le métropolite Hilarion Alfeyev, haut responsable de l’Eglise orthodoxe russe, affirme que son Eglise ne souhaite aucunement être une "Eglise d’Etat officielle" et qu’elle ne s’alliera jamais avec une quelconque force politique. Depuis 2005, Hilarion Alfeyev est privat-docent de la Faculté de théologie de l’Université de Fribourg, en Suisse.
"La menace d’une utilisation de l’Eglise par le gouvernement n’a aucun fondement aujourd’hui", a déclaré le métropolite Hilarion Alfeyev, président du Département des relations extérieures du Patriarcat de Moscou, selon l’agence de presse russe Interfax. "Loin de vouloir accorder la priorité à un quelconque parti politique ou pouvoir politique, l’Eglise russe suit le principe de l’équidistance", insiste-t-il....
Suite Radio Ville-Marie
"La menace d’une utilisation de l’Eglise par le gouvernement n’a aucun fondement aujourd’hui", a déclaré le métropolite Hilarion Alfeyev, président du Département des relations extérieures du Patriarcat de Moscou, selon l’agence de presse russe Interfax. "Loin de vouloir accorder la priorité à un quelconque parti politique ou pouvoir politique, l’Eglise russe suit le principe de l’équidistance", insiste-t-il....
Suite Radio Ville-Marie
Une interview de Mgr Hilarion avec S.Tchapnine, rédacteur en chef de la « Revue du patriarcat de Moscou »
« Nous avons abouti à un consensus pour ce qui est du problème de l’octroi de l’autocéphalie. La Commission préparatoire préconciliaire interorthodoxe poursuit son travail. Elle discute du projet de l’ordre du jour du Saint et Grand Concile de l’Eglise orthodoxe. La Commission examine en 2009-2010 le problème de l’octroi et de l’autocéphalie et de l’ordre des dyptiques des primats des Églises orthodoxes locales.
Les procédures de l’octroi de l’autocéphalie adoptées les 10-17 décembre 2009 à Chambésy représentent une grande avancée dans la coopération inter-orthodoxe. Il s’agissait de définir les procédures de l’octroi de l’autocéphalie et de l’autonomie aux églises orthodoxes ainsi que de l’ordre des dyptiques, ou séquence de la commémoration liturgique des primats des Églises locales. La discussion qui a duré six jours a permis de conclure quant à l’octroi de l’autocéphalie et de l’autonomie. La question de dyptiques a été reportée jusqu’à la prochaine session de la Commission. En 1993 le sujet de l’autocéphalie avait déjà été examiné par la Commission préconciliaire. Il avait été alors convenu que l’octroi de l’autocéphalie à une partie d’une Église locale doit se fonder sur le consentement préalable de l’Eglise Mère.
« Nous avons abouti à un consensus pour ce qui est du problème de l’octroi de l’autocéphalie. La Commission préparatoire préconciliaire interorthodoxe poursuit son travail. Elle discute du projet de l’ordre du jour du Saint et Grand Concile de l’Eglise orthodoxe. La Commission examine en 2009-2010 le problème de l’octroi et de l’autocéphalie et de l’ordre des dyptiques des primats des Églises orthodoxes locales.
Les procédures de l’octroi de l’autocéphalie adoptées les 10-17 décembre 2009 à Chambésy représentent une grande avancée dans la coopération inter-orthodoxe. Il s’agissait de définir les procédures de l’octroi de l’autocéphalie et de l’autonomie aux églises orthodoxes ainsi que de l’ordre des dyptiques, ou séquence de la commémoration liturgique des primats des Églises locales. La discussion qui a duré six jours a permis de conclure quant à l’octroi de l’autocéphalie et de l’autonomie. La question de dyptiques a été reportée jusqu’à la prochaine session de la Commission. En 1993 le sujet de l’autocéphalie avait déjà été examiné par la Commission préconciliaire. Il avait été alors convenu que l’octroi de l’autocéphalie à une partie d’une Église locale doit se fonder sur le consentement préalable de l’Eglise Mère.
Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Le Christ est ressuscité!
Ce n’est pas seulement les uns aux autres que nous adressons aujourd’hui cette salutation pascale mais aussi à tous ceux dont la vie s’est terminée ici. Les dépouilles de ces victimes innocentes gisent dans cette terre, alors que leurs saintes âmes séjournent aux cotés du Seigneur. Ceux qui ont été assassinés ici même glorifient avec nous le Christ Ressuscité se tenant dans la triomphante Eglise céleste.
Comment ne pas réfléchir en ce lieu de détresse à la terrible tragédie qui a frappé notre peuple ? Aux raisons de cette inimaginable cruauté, de ces suspicions infondées, de ces persécutions et de ces mises à mort ? Comment ne pas penser à ce que sont les limites de l’homme dans les manifestations de sa bonté, son potentiel de sainteté, de sa capacité de pêcher et de haïr? Comment se fait-il que les hommes ne se contentent pas de faire le mal mais trouvent des justifications intellectuelles, logiques, psychologiques et émotionnelles aux crimes qu’ils commettent ? Et il ne s’agit pas seulement des bourreaux en tant que tels mais aussi de ceux qui avaient décidé de lancer le génocide de leur propre peuple. Il s’agit aussi de tous ceux qui avaient applaudi ces décisions et qui s’étaient identifiés avec ces terribles exécutions.
Ce n’est pas seulement les uns aux autres que nous adressons aujourd’hui cette salutation pascale mais aussi à tous ceux dont la vie s’est terminée ici. Les dépouilles de ces victimes innocentes gisent dans cette terre, alors que leurs saintes âmes séjournent aux cotés du Seigneur. Ceux qui ont été assassinés ici même glorifient avec nous le Christ Ressuscité se tenant dans la triomphante Eglise céleste.
Comment ne pas réfléchir en ce lieu de détresse à la terrible tragédie qui a frappé notre peuple ? Aux raisons de cette inimaginable cruauté, de ces suspicions infondées, de ces persécutions et de ces mises à mort ? Comment ne pas penser à ce que sont les limites de l’homme dans les manifestations de sa bonté, son potentiel de sainteté, de sa capacité de pêcher et de haïr? Comment se fait-il que les hommes ne se contentent pas de faire le mal mais trouvent des justifications intellectuelles, logiques, psychologiques et émotionnelles aux crimes qu’ils commettent ? Et il ne s’agit pas seulement des bourreaux en tant que tels mais aussi de ceux qui avaient décidé de lancer le génocide de leur propre peuple. Il s’agit aussi de tous ceux qui avaient applaudi ces décisions et qui s’étaient identifiés avec ces terribles exécutions.
Le patriarche Cyrille estime qu’il n’existe aucun fondement canonique à la présence en Estonie d’une juridiction ecclésiale sous l’omophore du patriarcat de Constantinople.
Intervenant hier au cours d’une réunion du Conseil de rédaction de l’Encyclopédie orthodoxe le patriarche a mentionné le projet d’une édition du livre consacré par le défunt Alexis II à l’histoire de l’orthodoxie en Estonie. Il a dit: « Cet ouvrage rigoureusement scientifique montre que la présence de la foi orthodoxe dans les pays baltes résulte des activités missionnaires conduites par l’Eglise orthodoxe russe et que la culture orthodoxe dans cette région relève de la tradition russe.
Les évènements tragiques du XX siècle ont fait que pour une période assez courte l’Eglise orthodoxe d’Estonie a relevé de la juridiction du patriarche œcuménique. Cet intermède ne saurait justifier le maintien de l’orthodoxie estonienne sous l’omophore de Constantinople. Les activités des structures ecclésiales de l’Eglise de Constantinople en Estonie ne peuvent être considérées comme légitimes, canoniquement fondées et ayant des racines historiques.
Intervenant hier au cours d’une réunion du Conseil de rédaction de l’Encyclopédie orthodoxe le patriarche a mentionné le projet d’une édition du livre consacré par le défunt Alexis II à l’histoire de l’orthodoxie en Estonie. Il a dit: « Cet ouvrage rigoureusement scientifique montre que la présence de la foi orthodoxe dans les pays baltes résulte des activités missionnaires conduites par l’Eglise orthodoxe russe et que la culture orthodoxe dans cette région relève de la tradition russe.
Les évènements tragiques du XX siècle ont fait que pour une période assez courte l’Eglise orthodoxe d’Estonie a relevé de la juridiction du patriarche œcuménique. Cet intermède ne saurait justifier le maintien de l’orthodoxie estonienne sous l’omophore de Constantinople. Les activités des structures ecclésiales de l’Eglise de Constantinople en Estonie ne peuvent être considérées comme légitimes, canoniquement fondées et ayant des racines historiques.
Le site Bogoslov.ru poste un extrait du journal de P.Kovalevsky (1946 et 1949), une publication de Nicolas Ross: ICI
Pour se mettre dans l’ambiance de l’époque trouble et décisive pour l’avenir de l’Exarchat russe d’Europe occidentale du Patriarcat de Constantinople. Il s’agit de la traduction d’un extrait du Journal de Pierre Kovalevsky, daté du mercredi 29 août 1945 et tirée d’un livre à paraître prochainement.
Pour se mettre dans l’ambiance de l’époque trouble et décisive pour l’avenir de l’Exarchat russe d’Europe occidentale du Patriarcat de Constantinople. Il s’agit de la traduction d’un extrait du Journal de Pierre Kovalevsky, daté du mercredi 29 août 1945 et tirée d’un livre à paraître prochainement.
L'Église catholique fête aujourd'hui un saint commun avec les orthodoxes: Martin, pape de Rome (+ 655), mort comme confesseur de la foi en exil à Chersonèse, en Crimée. Aujourd'hui, c'est l'archevêque de Chersonèse qui a la charge pastorale (extra-territoriale) des communautés du patriarcat de Moscou en France, Espagne, Suisse et Portugal, ainsi que, provisoirement, en Italie.
Dans le calendrier orthodoxe, saint Martin est célébré le 14 avril (27 avril selon le calendrier julien). De sa captivité à Constantinople, saint Martin écrivait: "On ne m’a pas encore donné un peu d’eau pour me laver. Je grelotte de froid, la dysenterie m'épuise. Je vomis la nourriture que je prends. En ces épreuves, Dieu qui voit tout me regarde. J’ai confiance en lui." Et puis, dans une autre lettre à ses amis: "Mes épreuves vont-elles continuer ? Aurai-je un peu de repos ? Comme il plaira au Seigneur ! Il est proche, le Seigneur, que craindrai-je ? Que, de sa puissante main, Dieu vous garde de toute tentation !"
Voici la vie de ce saint pape (proposée par le site de la Conférence des évêques de France):
Dans le calendrier orthodoxe, saint Martin est célébré le 14 avril (27 avril selon le calendrier julien). De sa captivité à Constantinople, saint Martin écrivait: "On ne m’a pas encore donné un peu d’eau pour me laver. Je grelotte de froid, la dysenterie m'épuise. Je vomis la nourriture que je prends. En ces épreuves, Dieu qui voit tout me regarde. J’ai confiance en lui." Et puis, dans une autre lettre à ses amis: "Mes épreuves vont-elles continuer ? Aurai-je un peu de repos ? Comme il plaira au Seigneur ! Il est proche, le Seigneur, que craindrai-je ? Que, de sa puissante main, Dieu vous garde de toute tentation !"
Voici la vie de ce saint pape (proposée par le site de la Conférence des évêques de France):
François-Xavier MAIGRE
Des dizaines de milliers de pèlerins sont attendus en Galice en cette année jubilaire compostellane, marquée par une visite de Benoît XVI au sanctuaire le 6 novembre 2010
Qu’est qu’une « année sainte jacquaire » ?
Chaque fois que la fête de saint Jacques (25 juillet) tombe un dimanche, l’année est déclarée « année sainte jacquaire » ou « année jubilaire compostellane ». Les pèlerins ayant atteint le sanctuaire galicien peuvent bénéficier d’une indulgence plénière, accordée par l’Église sous conditions : visiter la cathédrale Saint-Jacques ; prier aux intentions du pape ; se confesser et communier. La précédente année sainte remonte à 2004 : 200 000 personnes avaient assisté aux célébrations à Compostelle. En 1999, ils étaient 154 000. Des records d’affluence sont donc à prévoir cet été sur le Camino. ...suite "La Croix"
Des dizaines de milliers de pèlerins sont attendus en Galice en cette année jubilaire compostellane, marquée par une visite de Benoît XVI au sanctuaire le 6 novembre 2010
Qu’est qu’une « année sainte jacquaire » ?
Chaque fois que la fête de saint Jacques (25 juillet) tombe un dimanche, l’année est déclarée « année sainte jacquaire » ou « année jubilaire compostellane ». Les pèlerins ayant atteint le sanctuaire galicien peuvent bénéficier d’une indulgence plénière, accordée par l’Église sous conditions : visiter la cathédrale Saint-Jacques ; prier aux intentions du pape ; se confesser et communier. La précédente année sainte remonte à 2004 : 200 000 personnes avaient assisté aux célébrations à Compostelle. En 1999, ils étaient 154 000. Des records d’affluence sont donc à prévoir cet été sur le Camino. ...suite "La Croix"
Service de presse du patriarcat de Moscou, le 27 avril
Dans son intervention liminaire à la séance inaugurale du Sommet des responsables religieux réuni à Bakou le patriarche de Moscou et de Russie Cyrille I a rappelé que les communautés religieuses de par le monde doivent résister à de graves menaces parmi lesquelles la volonté de certains d’évincer la religion de la vie de la société. " Ce n’est qu’avec l’ensemble des droits et des libertés qu’il est envisageable d’évincer la religion de nos vies! " dit le patriarche Cyrille. "Nombreux sont ceux dans le monde moderne, en Europe essentiellement, qui considèrent que le rapport de l’homme à Dieu serait un facteur qui freine le progrès et le développement et qu’il convient pour le bien commun de laisser dans le passé. La morale traditionnelle, le mariage en tant qu’union entre un homme et une femme, la nature sacrée de la vie humaine seraient également des concepts appartenant au passé. Si aux yeux de ces milieux la religion et la morale peuvent être tolérées dans la sphère privée elles doivent être évincées de la vie sociale.
Dans son intervention liminaire à la séance inaugurale du Sommet des responsables religieux réuni à Bakou le patriarche de Moscou et de Russie Cyrille I a rappelé que les communautés religieuses de par le monde doivent résister à de graves menaces parmi lesquelles la volonté de certains d’évincer la religion de la vie de la société. " Ce n’est qu’avec l’ensemble des droits et des libertés qu’il est envisageable d’évincer la religion de nos vies! " dit le patriarche Cyrille. "Nombreux sont ceux dans le monde moderne, en Europe essentiellement, qui considèrent que le rapport de l’homme à Dieu serait un facteur qui freine le progrès et le développement et qu’il convient pour le bien commun de laisser dans le passé. La morale traditionnelle, le mariage en tant qu’union entre un homme et une femme, la nature sacrée de la vie humaine seraient également des concepts appartenant au passé. Si aux yeux de ces milieux la religion et la morale peuvent être tolérées dans la sphère privée elles doivent être évincées de la vie sociale.
LE CHRIST EST RESSUSCITE !
La pannichida (office des défunts) du 9 ème jour sera célébrée par le Père Nestor (Sirotenko) le mardi 27 avril à 19h30 en la Cathédrale des Trois Saints Docteurs
5, rue Pétel 75015 PARIS – Métro Vaugirard.
La pannichida (office des défunts) du 40 ème jour sera célébrée par le Père Anatole Rakovitch le vendredi 28 mai à 19h00 en la cathédrale saint Alexandre Nevsky
Le Serviteur de Dieu Ygor est décédé suite à un accident le lundi 19 avril 2010 à 18h03 à l’hôpital Militaire Percy à Clamart entouré de sa famille.
La pannichida (office des défunts) du 9 ème jour sera célébrée par le Père Nestor (Sirotenko) le mardi 27 avril à 19h30 en la Cathédrale des Trois Saints Docteurs
5, rue Pétel 75015 PARIS – Métro Vaugirard.
La pannichida (office des défunts) du 40 ème jour sera célébrée par le Père Anatole Rakovitch le vendredi 28 mai à 19h00 en la cathédrale saint Alexandre Nevsky
Le Serviteur de Dieu Ygor est décédé suite à un accident le lundi 19 avril 2010 à 18h03 à l’hôpital Militaire Percy à Clamart entouré de sa famille.
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