Plateforme libre de discussion
|
HOMMAGE A MON FRÈRE MAXIME
Pierre Kovalevsky - 30 Août/12 Septembre 1973.
En tant que seul témoin des vingt cinq premières années de vie et d'activités de mon frère Maxime, je crois de mon devoir d'en dire quelque mots lors de son soixante dixième anniversaire 30 Août 1903-30 Août 1973.
Mon frère est né le jour de Saint Alexandre Nevsky à Saint Petersbourg et tout indiquait qu'il devait porter le nom du patron de la ville qui, consacrée à Saint Pierre l'Apôtre, avait néanmoins en tant que protecteur le héros national, dont les reliques reposaient dans l'archi-abbaye de la capitale.
Nous n'avions cependant d'Alexandre dans la famille et son parrain choisi, oncle de notre père, le sociologue très connu, portait le nom de Maxime. Ce nom était fréquemment donné dans la famille Kovalevsky depuis le XVIIIe siècle.
Vu que Maxime Kovalevsky habitait la France, Paris et Beaulieu-sur-Mer, on eut recours à un parrain supplémentaire, le cousin de notre père le professeur Eugène Markov, géographe réputé, avec qui notre père avait fait en 1888 l'ascension du Mont Ararat. Maxime eut donc exceptionnellement deux parrains. Maxime Kovalevsky rentra en Russie en 1904, mais l’oncle Eugène resta néanmoins parrain.
Pierre Kovalevsky - 30 Août/12 Septembre 1973.
En tant que seul témoin des vingt cinq premières années de vie et d'activités de mon frère Maxime, je crois de mon devoir d'en dire quelque mots lors de son soixante dixième anniversaire 30 Août 1903-30 Août 1973.
Mon frère est né le jour de Saint Alexandre Nevsky à Saint Petersbourg et tout indiquait qu'il devait porter le nom du patron de la ville qui, consacrée à Saint Pierre l'Apôtre, avait néanmoins en tant que protecteur le héros national, dont les reliques reposaient dans l'archi-abbaye de la capitale.
Nous n'avions cependant d'Alexandre dans la famille et son parrain choisi, oncle de notre père, le sociologue très connu, portait le nom de Maxime. Ce nom était fréquemment donné dans la famille Kovalevsky depuis le XVIIIe siècle.
Vu que Maxime Kovalevsky habitait la France, Paris et Beaulieu-sur-Mer, on eut recours à un parrain supplémentaire, le cousin de notre père le professeur Eugène Markov, géographe réputé, avec qui notre père avait fait en 1888 l'ascension du Mont Ararat. Maxime eut donc exceptionnellement deux parrains. Maxime Kovalevsky rentra en Russie en 1904, mais l’oncle Eugène resta néanmoins parrain.
Rédigé par Parlons D'orthodoxie le 2 Juin 2018 à 08:24
|
-1 commentaire
|
Permalien
IRENIKON/ № 2 - Revue des Moines de Chevetogne
Pionnier du renouveau patristique orthodoxe, l’archevêque russe Basile Krivocheine (1900-1985) est surtout connu en tant que spécialiste de Syméon le Nouveau Théologien. Mais son « premier amour » fut Grégoire Palamas. Dès 1936, Krivocheine publiera une étude remarquée sur le docteur de l’hésychasme byzantin.
S’efforçant de répondre aux critiques modernes du « palamisme », Krivocheine explique que la distinction palamite entre l’essence et les énergies divines doit être « comprise comme ayant un caractère ontologique, objectif », mais sans introduire de complexité en Dieu, les énergies « n’étant pas des réalités hypostatiques » mais Dieu « dans son activité et sa révélation au monde ».
Considérant Palamas comme l’expression la plus aboutie de la spiritualité orthodoxe, le futur Mgr Basile affirme que sa pensée peut fonder théologiquement l’expérience spirituelle, « puisque ce n’est qu’en partant de cette doctrine que l’on peut affirmer de façon cohérente la réalité de la communion entre Dieu et l’homme et de la déification, sans tomber dans une confusion panthéiste entre le Créateur et la créature ». S. Model synthétise l’approche de Palamas par Krivocheinе, avant de répondre à la question : « Y a-t-il un palamisme Кrivochéiniene ? ».
Pionnier du renouveau patristique orthodoxe, l’archevêque russe Basile Krivocheine (1900-1985) est surtout connu en tant que spécialiste de Syméon le Nouveau Théologien. Mais son « premier amour » fut Grégoire Palamas. Dès 1936, Krivocheine publiera une étude remarquée sur le docteur de l’hésychasme byzantin.
S’efforçant de répondre aux critiques modernes du « palamisme », Krivocheine explique que la distinction palamite entre l’essence et les énergies divines doit être « comprise comme ayant un caractère ontologique, objectif », mais sans introduire de complexité en Dieu, les énergies « n’étant pas des réalités hypostatiques » mais Dieu « dans son activité et sa révélation au monde ».
Considérant Palamas comme l’expression la plus aboutie de la spiritualité orthodoxe, le futur Mgr Basile affirme que sa pensée peut fonder théologiquement l’expérience spirituelle, « puisque ce n’est qu’en partant de cette doctrine que l’on peut affirmer de façon cohérente la réalité de la communion entre Dieu et l’homme et de la déification, sans tomber dans une confusion panthéiste entre le Créateur et la créature ». S. Model synthétise l’approche de Palamas par Krivocheinе, avant de répondre à la question : « Y a-t-il un palamisme Кrivochéiniene ? ».
Il y a plus de 2 mois, notre président, Séraphin Rehbinder était rappelé à Dieu.
Mémoire éternelle ! Puisse le Seigneur recevoir en Son Royaume ce serviteur infatigable et dévoué à son Eglise.
Pour nous, désormais, les choses sont différentes. Au-delà de la peine que nous avons ressentie, c’est aussi une très grande perte que nous subissons. Notre association OLTR se retrouve privée de ce guide si précieux et si clairvoyant. Une réflexion de fond sur notre avenir a été engagée.
Il nous semble indispensable de conserver la substance des idées que nous avons toujours prônées, d’apporter notre point de vue, de partager nos réflexions ou de susciter, éventuellement, de nouveaux débats.
Mémoire éternelle ! Puisse le Seigneur recevoir en Son Royaume ce serviteur infatigable et dévoué à son Eglise.
Pour nous, désormais, les choses sont différentes. Au-delà de la peine que nous avons ressentie, c’est aussi une très grande perte que nous subissons. Notre association OLTR se retrouve privée de ce guide si précieux et si clairvoyant. Une réflexion de fond sur notre avenir a été engagée.
Il nous semble indispensable de conserver la substance des idées que nous avons toujours prônées, d’apporter notre point de vue, de partager nos réflexions ou de susciter, éventuellement, de nouveaux débats.
Pour sa onzième édition, le Prix Panorama-La Procure du livre de spiritualité est décerné à Comme l'éclair part de l'Orient d'Alexandre Siniakov (paru aux Éditions Salvator en août 2017).
Selon le site de La Procure, le "jury a tenu à distinguer le témoignage de ce jeune religieux orthodoxe russe né en 1981, dont la singularité mérite d'être saluée. Itinéraire d'un prêtre entre l'Orient et l'Occident chrétien, méditation profonde sur les enjeux spirituels de notre temps, cet ouvrage très personnel est tissé dans une langue virtuose qui nous emporte dès les premières pages.
Selon le site de La Procure, le "jury a tenu à distinguer le témoignage de ce jeune religieux orthodoxe russe né en 1981, dont la singularité mérite d'être saluée. Itinéraire d'un prêtre entre l'Orient et l'Occident chrétien, méditation profonde sur les enjeux spirituels de notre temps, cet ouvrage très personnel est tissé dans une langue virtuose qui nous emporte dès les premières pages.
Le métropolite Hilarion estime: « Que le discours à propos du projet de la création d’une prétendue Eglise locale en Ukraine mentionne malheureusement un autre groupe, celui des gréco-catholiques ukrainiens avec à leur tête l’archevêque Sviatoslav (Shevtchuk).
Celui-ci à plus d’une fois dit qu’il soutenait la création d’une Eglise locale unie d’Ukraine. Il précise que l’unité de cette Eglise doit se fonder sur le successeur de l’apôtre Pierre, c’est-à-dire le pape de Rome.
Il s’agît là d’attirer les orthodoxes d’Ukraine vers l’église uniate. Trois groupes soutiennent ce projet : les autorités laïques, les entités schismatiques et les gréco-catholiques. Ce genre de tentatives avait été déjà entrepris dans le passé ».
Lien et "PO"
Lire aussi Un changement de position des Gréco-catholiques?
***
Le métropolite Hilarion de Volokolamsk : Ce n’est pas aux autorités civiles de dicter à l’Église quelles formes d’existence elle doit choisir >>>>
Celui-ci à plus d’une fois dit qu’il soutenait la création d’une Eglise locale unie d’Ukraine. Il précise que l’unité de cette Eglise doit se fonder sur le successeur de l’apôtre Pierre, c’est-à-dire le pape de Rome.
Il s’agît là d’attirer les orthodoxes d’Ukraine vers l’église uniate. Trois groupes soutiennent ce projet : les autorités laïques, les entités schismatiques et les gréco-catholiques. Ce genre de tentatives avait été déjà entrepris dans le passé ».
Lien et "PO"
Lire aussi Un changement de position des Gréco-catholiques?
***
Le métropolite Hilarion de Volokolamsk : Ce n’est pas aux autorités civiles de dicter à l’Église quelles formes d’existence elle doit choisir >>>>
L’église Sainte Thècle à Maaloula, province de Damas /Syrie/, qui avait détruite par les combattants de DAESH sera bientôt entièrement reconstruite. Le père Ilias, recteur de l’église, a dit aux médias :
« En décembre 2013 les moniales du monastère Sainte Thècle avaient été capturées par les combattants de DAESH. En mars 2014 elles avaient été échangées contre des membres des familles des terroristes. Sous peu la ville avait été libérée par des unités gouvernementales syriennes.
Les terroristes avaient détruits et profané de nombreux sanctuaires chrétiens. Dès que le territoire a été libéré de leur emprise nous nous sommes mis à la reconstruction. Il ne nous reste aujourd’hui qu’à meubler les cellules. Dans un mois les sœurs pourront réintégrer les monastères où les offices quotidiens auront repris. La population de la ville consiste pour les deux tiers de chrétiens appartenant à diverses confessions. Les offices sont également célébrés en araméen. ».
« En décembre 2013 les moniales du monastère Sainte Thècle avaient été capturées par les combattants de DAESH. En mars 2014 elles avaient été échangées contre des membres des familles des terroristes. Sous peu la ville avait été libérée par des unités gouvernementales syriennes.
Les terroristes avaient détruits et profané de nombreux sanctuaires chrétiens. Dès que le territoire a été libéré de leur emprise nous nous sommes mis à la reconstruction. Il ne nous reste aujourd’hui qu’à meubler les cellules. Dans un mois les sœurs pourront réintégrer les monastères où les offices quotidiens auront repris. La population de la ville consiste pour les deux tiers de chrétiens appartenant à diverses confessions. Les offices sont également célébrés en araméen. ».
V.G. Un prêtre a répondu à ma question sur le "divorce religieux" en m'envoyant le chapitre suivant du livre du p. Jean Mayendorff sur le mariage* avec le commentaire suivant:
"Tu verras que l'appréhension du mariage chrétien par les gens est loin de l'enseignement de l'Eglise.
Ce qu'il faut retenir, me semble-t-il, c'est que les jeunes qui se marient demandent à Dieu de leur accorder une grâce particulière pour la vie commune et, comme conséquence de cette grâce reçue, ils doivent grandir en spiritualité et faire fructifier leur amour - ce qui demande de l'humilité, des efforts, de l'abnégation...
D'autre part, le mariage chrétien est unique et contracté pour l'éternité, mais l'Eglise connait la faiblesse de l'être humain et admet que l'amour peut s'épuiser et même disparaître."
NB: les passages en gras dans le texte sont de mon ami prêtre. J'ai rajouté des sous-titres pour faciliter la lecture
"Tu verras que l'appréhension du mariage chrétien par les gens est loin de l'enseignement de l'Eglise.
Ce qu'il faut retenir, me semble-t-il, c'est que les jeunes qui se marient demandent à Dieu de leur accorder une grâce particulière pour la vie commune et, comme conséquence de cette grâce reçue, ils doivent grandir en spiritualité et faire fructifier leur amour - ce qui demande de l'humilité, des efforts, de l'abnégation...
D'autre part, le mariage chrétien est unique et contracté pour l'éternité, mais l'Eglise connait la faiblesse de l'être humain et admet que l'amour peut s'épuiser et même disparaître."
NB: les passages en gras dans le texte sont de mon ami prêtre. J'ai rajouté des sous-titres pour faciliter la lecture
Homélie prononcée par le métropolite Hilarion de Volokolamsk en la cathédrale de la Sainte-Trinité le dimanche 20 mai 2018 et Homélie en russe
Aujourd'hui, lors de la lecture de l'Évangile de Jean (la lecture de cet Évangile a commencé dans la nuit pascale et se terminera le jour de la Pentecôte), nous avons entendu que le Seigneur Jésus Christ, après avoir parlé pour la dernière fois à ses disciples lors de la sainte Cène, a adressé une prière à son Père céleste. La prière commence par ces paroles : « Père, l'heure est venue : glorifie ton Fils, afin que ton Fils te glorifie et que, selon le pouvoir que tu lui as donné sur toute chair, il donne la vie éternelle à tous ceux que tu lui as donnés ! » (Jn 17, 1-2).
Que veut dire le Seigneur Jésus-Christ à propos de cette heure pour laquelle il est venu sur terre? A Cana de Galilée, en accomplissant son premier miracle à la demande de sa Mère, Jésus lui a adressé ces mystérieuses paroles que ceux qui l'entouraient ne comprenaient pas encore : « Mon heure n'est pas encore venue » (Jn 2, 4). Mais, parlant à ses disciples peu de temps avant sa mort, le Sauveur dit : « Maintenant mon âme est troublée », et il ajouta : « C'est pour cela que je suis venu à cette heure » (Jn 12, 27).
Et le voici maintenant, parlant de l'heure de sa souffrance et de sa mort comme de celle où la gloire de Dieu serait révélée - non pas dans le tonnerre et les éclairs comme cela avait été montré à Moïse, mais dans l'humiliation et la souffrance de celui que Dieu a envoyé sur terre pour sauver ce monde et pour ouvrir la voie de la vie éternelle pour chaque homme.
Aujourd'hui, lors de la lecture de l'Évangile de Jean (la lecture de cet Évangile a commencé dans la nuit pascale et se terminera le jour de la Pentecôte), nous avons entendu que le Seigneur Jésus Christ, après avoir parlé pour la dernière fois à ses disciples lors de la sainte Cène, a adressé une prière à son Père céleste. La prière commence par ces paroles : « Père, l'heure est venue : glorifie ton Fils, afin que ton Fils te glorifie et que, selon le pouvoir que tu lui as donné sur toute chair, il donne la vie éternelle à tous ceux que tu lui as donnés ! » (Jn 17, 1-2).
Que veut dire le Seigneur Jésus-Christ à propos de cette heure pour laquelle il est venu sur terre? A Cana de Galilée, en accomplissant son premier miracle à la demande de sa Mère, Jésus lui a adressé ces mystérieuses paroles que ceux qui l'entouraient ne comprenaient pas encore : « Mon heure n'est pas encore venue » (Jn 2, 4). Mais, parlant à ses disciples peu de temps avant sa mort, le Sauveur dit : « Maintenant mon âme est troublée », et il ajouta : « C'est pour cela que je suis venu à cette heure » (Jn 12, 27).
Et le voici maintenant, parlant de l'heure de sa souffrance et de sa mort comme de celle où la gloire de Dieu serait révélée - non pas dans le tonnerre et les éclairs comme cela avait été montré à Moïse, mais dans l'humiliation et la souffrance de celui que Dieu a envoyé sur terre pour sauver ce monde et pour ouvrir la voie de la vie éternelle pour chaque homme.
Le livre s’ouvre sur un Avertissement signé par le métropolite Hilarion: « J’espère que cet ouvrage non seulement apportera sa contribution à ouvrir l’esprit de nos contemporains sur le catholicisme, mais aussi servira à nos auteurs pour résoudre certains problèmes de la théologie orthodoxe comme les aspects anthropologiques de la liturgie ou les bases théologiques de la musique religieuse.
Ce livre peut nourrir la réflexion sur les questions de l’existence de l’église dans le monde contemporain, dans un dialogue simple avec la société civile et la culture. »
Le 23 mai, à la Bibliothèque de littérature étrangère M.I. Rudimino (Moscou – 1, rue Nikoloïamskaïa) sera présentée l’édition russe de Théologie de la liturgie du pape émérite Benoît XVI (Joseph Ratzinger).
La version russe de l’ouvrage a été éditée par le fonds de bienfaisance Saint Grégoire le Théologien en 2017, cette parution célèbre le 90e anniversaire de l’auteur. L’ouvrage sera présenté par le métropolite Hilarion de Volokolamsk, président du Département des relations ecclésiastiques extérieures et l’archevêque Celestino Migliore, nonce apostolique près la Fédération de Russie.
Ce livre peut nourrir la réflexion sur les questions de l’existence de l’église dans le monde contemporain, dans un dialogue simple avec la société civile et la culture. »
Le 23 mai, à la Bibliothèque de littérature étrangère M.I. Rudimino (Moscou – 1, rue Nikoloïamskaïa) sera présentée l’édition russe de Théologie de la liturgie du pape émérite Benoît XVI (Joseph Ratzinger).
La version russe de l’ouvrage a été éditée par le fonds de bienfaisance Saint Grégoire le Théologien en 2017, cette parution célèbre le 90e anniversaire de l’auteur. L’ouvrage sera présenté par le métropolite Hilarion de Volokolamsk, président du Département des relations ecclésiastiques extérieures et l’archevêque Celestino Migliore, nonce apostolique près la Fédération de Russie.
Les problèmes de respect des lois du travail, de la propriété et des biens immobiliers seraient transférés à la paroisse-mère. La question de la répartition des recettes financière sera abordée au cours de la réalisation de la réforme.
Cette réforme peut devenir la plus importante transformation dans l’administration de l’Église depuis la guerre.
Pour 2020, l’Église orthodoxe finlandaise doit réaliser cette réforme administrative dont le but est de permettre le développement de l’activité pastorale et paroissiale.
Le site officiel de l’Église orthodoxe finlandaise évoque régulièrement les points que cette réforme doit régler.
La question des modifications qui doivent être apportées aux infrastructures est abordée à tous les conciles locaux de l’Église orthodoxe finlandaise, à celui de 2017, il a été décidé « d’examiner et d’envisager les modifications des limites des paroisses dans toute l’Église pour 2020. » Il est prévu que nouvelles limites s’appliqueront au 1er janvier 2020.
Les différents domaines à réformer sont la vie liturgique, l’éducation et la diaconie.
Cette réforme peut devenir la plus importante transformation dans l’administration de l’Église depuis la guerre.
Pour 2020, l’Église orthodoxe finlandaise doit réaliser cette réforme administrative dont le but est de permettre le développement de l’activité pastorale et paroissiale.
Le site officiel de l’Église orthodoxe finlandaise évoque régulièrement les points que cette réforme doit régler.
La question des modifications qui doivent être apportées aux infrastructures est abordée à tous les conciles locaux de l’Église orthodoxe finlandaise, à celui de 2017, il a été décidé « d’examiner et d’envisager les modifications des limites des paroisses dans toute l’Église pour 2020. » Il est prévu que nouvelles limites s’appliqueront au 1er janvier 2020.
Les différents domaines à réformer sont la vie liturgique, l’éducation et la diaconie.
The Christian Post annonce : Les chrétiens du Pakistan s’opposent à la loi contestée, adoptée par le gouvernement, qui rend obligatoire l’enseignement du Coran dans les écoles et les collèges du pays.
Nasir Saeed, directeur du groupe d’avocats chrétiens CLAAS-UK, a déclaré : « Il est regrettable que les droits religieux et fondamentaux des minorités, et notamment des chrétiens nombreux au Pendjab, soient ignorés.
On n’a proposé aux élèves non musulmans du Pendjab aucun programme alternatif. Cela va favoriser dans la société pakistanaise le fanatisme et la haine contre les non musulmans qui sont déjà à un niveau élevé. »
Cette loi adoptée en 2017 par l’Assemblée nationale et le Sénat n’a pas encore été promulguée par le président Mamnoon Hussain.
Nasir Saeed, directeur du groupe d’avocats chrétiens CLAAS-UK, a déclaré : « Il est regrettable que les droits religieux et fondamentaux des minorités, et notamment des chrétiens nombreux au Pendjab, soient ignorés.
On n’a proposé aux élèves non musulmans du Pendjab aucun programme alternatif. Cela va favoriser dans la société pakistanaise le fanatisme et la haine contre les non musulmans qui sont déjà à un niveau élevé. »
Cette loi adoptée en 2017 par l’Assemblée nationale et le Sénat n’a pas encore été promulguée par le président Mamnoon Hussain.
Chers pères, frères et sœurs,
Le 20 mai, la divine liturgie a 10h, à la Cathédrale orthodoxe russe Sainte-Trinité sera présidée par Son Éminence le Métropolite Hilarion (Alféev), Président du Département des relations extérieures du Patriarcat de Moscou, docteur en théologie et en philosophie.
Soyez-y tous les bienvenus !
Chancellerie du diocèse de Chersonèse
Le 20 mai, la divine liturgie a 10h, à la Cathédrale orthodoxe russe Sainte-Trinité sera présidée par Son Éminence le Métropolite Hilarion (Alféev), Président du Département des relations extérieures du Patriarcat de Moscou, docteur en théologie et en philosophie.
Soyez-y tous les bienvenus !
Chancellerie du diocèse de Chersonèse
Interview menée par Maria Svechnikova pour le site Vesti.ru.
Version russe originale >>> ICI Version française exclusivité pour "PO" - Photo Andréï Nikolski
« Père Savva, pourrais-je obtenir de vous une longue interview pour faire votre portrait ? » Je l’avoue, je m’attendais tellement à un refus, que je mis un long moment à me remettre de ma stupéfaction, tellement il fut facile d’obtenir l’accord du vice-chancelier du Patriarcat de Moscou, chef du service de contrôle et d’analyse de la chancellerie du Patriarcat de Moscou, recteur de l’église Saint-Prophète-Élie à Tcherkizovo, l’archimandrite Savva (Toutounov). Il m’a certes fallu ensuite attendre deux semaines avant de le rencontrer – avant de trouver une « fenêtre » dans son emploi du temps, mais cela n’avait aucune importance.
J’avais préparé une multitude de questions, il fallut donc choisir les plus importantes. Enfin, la structure de l’interview devint claire dans ma tête : quelques questions personnelles, parler de son travail au Patriarcat de Moscou, de son travail de recteur, de la vie de sa paroisse. Mais je devais aussi poser une question, a priori dénuée de sens et de logique. C’est par elle que notre dialogue débuta.
- Père Savva, vous dessinez ?
Non. Je suis sans doute le seul membre de toute la famille Toutounov à n’avoir jamais su. Mon grand-père dessinait, ou plutôt peignait des tableaux. Papa et un de ses frères peignent des tableaux. Mes frères aussi dessinent – l’un des deux mieux que l’autre. Quant à moi, je n’ai jamais eu aucun talent, déjà à l’école. J’étais parmi les meilleurs élèves, mais en activités artistiques et créatives je n’ai jamais eu de bonnes notes.
Version russe originale >>> ICI Version française exclusivité pour "PO" - Photo Andréï Nikolski
« Père Savva, pourrais-je obtenir de vous une longue interview pour faire votre portrait ? » Je l’avoue, je m’attendais tellement à un refus, que je mis un long moment à me remettre de ma stupéfaction, tellement il fut facile d’obtenir l’accord du vice-chancelier du Patriarcat de Moscou, chef du service de contrôle et d’analyse de la chancellerie du Patriarcat de Moscou, recteur de l’église Saint-Prophète-Élie à Tcherkizovo, l’archimandrite Savva (Toutounov). Il m’a certes fallu ensuite attendre deux semaines avant de le rencontrer – avant de trouver une « fenêtre » dans son emploi du temps, mais cela n’avait aucune importance.
J’avais préparé une multitude de questions, il fallut donc choisir les plus importantes. Enfin, la structure de l’interview devint claire dans ma tête : quelques questions personnelles, parler de son travail au Patriarcat de Moscou, de son travail de recteur, de la vie de sa paroisse. Mais je devais aussi poser une question, a priori dénuée de sens et de logique. C’est par elle que notre dialogue débuta.
- Père Savva, vous dessinez ?
Non. Je suis sans doute le seul membre de toute la famille Toutounov à n’avoir jamais su. Mon grand-père dessinait, ou plutôt peignait des tableaux. Papa et un de ses frères peignent des tableaux. Mes frères aussi dessinent – l’un des deux mieux que l’autre. Quant à moi, je n’ai jamais eu aucun talent, déjà à l’école. J’étais parmi les meilleurs élèves, mais en activités artistiques et créatives je n’ai jamais eu de bonnes notes.
L'Archimandrite Georges Leroy fut parisien au siècle dernier. Il a quitté momentanément son ermitage au fin fond du Québec pour revenir dans cette grande ville qui lui rappelle bien des souvenirs, et m’a fait part de ses impressions en m’autorisant à les publier. Je vous les propose donc.
VG
REVENIR À "LA CRYPTE"
Les années s'écoulent ; il y a plus de trente ans que je n'ai plus participé à la célébration de la Semaine Sainte et de la fête de Pâques à la paroisse de la Sainte Trinité, située dans la crypte de la cathédrale Saint Alexandre Nevsky, à Paris, où les Offices sont célébrés en français depuis plus de cinquante ans.
En notre contrée nordique, nous célébrons généralement en tout petit comité…
VG
REVENIR À "LA CRYPTE"
Les années s'écoulent ; il y a plus de trente ans que je n'ai plus participé à la célébration de la Semaine Sainte et de la fête de Pâques à la paroisse de la Sainte Trinité, située dans la crypte de la cathédrale Saint Alexandre Nevsky, à Paris, où les Offices sont célébrés en français depuis plus de cinquante ans.
En notre contrée nordique, nous célébrons généralement en tout petit comité…
Située sur le chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle (d’où le nom de l’hospice auquel est rattachée la chapelle), la cité agaunoise constitue un lieu de pèlerinage important, y compris pour les fidèles orthodoxes.
Cette abbaye est traditionnellement une destination de pèlerinages catholiques. Désormais des pèlerins orthodoxes pourront venir prier dans l’église Saint Jacques
Le 28 février 2018 l’abbé Jean Scarcella ainsi que le père Olivier Roduit, intendant de l’abbaye, et le père Augustin Sokolowski appartenant au clergé de la cathédrale de la Sainte Trinité à Paris, ont signé un accord portant sur la transmission au diocèse de Chersonèse de l’église Saint Jacques. Conformément à cet accord le diocèse de Chersonèse pourra occuper les lieux à titre gratis et y célébrer des offices.
Une liturgie orthodoxe a été officiée pour une première fois à l’abbaye Saint-Maurice d'Agaune en Valais
A l’expiration d’un délai de vingt ans l’accord sera renouvelé par tacite reconduction. Depuis un certain temps des offices orthodoxes sont célébré dans cette église avec la bénédiction de Mgr Nestor et l’assentiment du père supérieur de l’abbaye Saint-Maurice.
Cette abbaye est traditionnellement une destination de pèlerinages catholiques. Désormais des pèlerins orthodoxes pourront venir prier dans l’église Saint Jacques
Le 28 février 2018 l’abbé Jean Scarcella ainsi que le père Olivier Roduit, intendant de l’abbaye, et le père Augustin Sokolowski appartenant au clergé de la cathédrale de la Sainte Trinité à Paris, ont signé un accord portant sur la transmission au diocèse de Chersonèse de l’église Saint Jacques. Conformément à cet accord le diocèse de Chersonèse pourra occuper les lieux à titre gratis et y célébrer des offices.
Une liturgie orthodoxe a été officiée pour une première fois à l’abbaye Saint-Maurice d'Agaune en Valais
A l’expiration d’un délai de vingt ans l’accord sera renouvelé par tacite reconduction. Depuis un certain temps des offices orthodoxes sont célébré dans cette église avec la bénédiction de Mgr Nestor et l’assentiment du père supérieur de l’abbaye Saint-Maurice.
Le jour de Noël 1960, un groupe d’écrivains et intellectuels se trouvait réuni à Moscou.
L’écrivain X nous interpella soudain : Camarades, vous me connaissez depuis de longues années et vous connaissez aussi mes œuvres !
Vous savez que j’ai toujours été un bon patriote soviétique, un fidèle membre du parti communiste et que j’ai reçu à plusieurs reprises des médailles et des prix… Dites-moi, camarades, me trouvez-vous déraisonnable en quelque chose ou même étrange ?
Chacun s’empressa de le rassurer et on lui demanda de s’expliquer plus clairement. L’écrivain X reprit la parole :
« Il y a un mois, je séjournais dans le midi en Crimée. Une nuit j’étais assis dans ma chambre, en train d’écrire les premiers chapitres de mon dernier ouvrage et je me sentais l’esprit particulièrement clair et inspiré. Tout à coup à ma fenêtre, j’aperçus clairement la silhouette d’un vieil homme aux cheveux blancs, paraissant âgé de 90 ans et vêtu d’une soutane noire. Or, ma fenêtre se trouvait à plus de 7 mètres du sol.
L’écrivain X nous interpella soudain : Camarades, vous me connaissez depuis de longues années et vous connaissez aussi mes œuvres !
Vous savez que j’ai toujours été un bon patriote soviétique, un fidèle membre du parti communiste et que j’ai reçu à plusieurs reprises des médailles et des prix… Dites-moi, camarades, me trouvez-vous déraisonnable en quelque chose ou même étrange ?
Chacun s’empressa de le rassurer et on lui demanda de s’expliquer plus clairement. L’écrivain X reprit la parole :
« Il y a un mois, je séjournais dans le midi en Crimée. Une nuit j’étais assis dans ma chambre, en train d’écrire les premiers chapitres de mon dernier ouvrage et je me sentais l’esprit particulièrement clair et inspiré. Tout à coup à ma fenêtre, j’aperçus clairement la silhouette d’un vieil homme aux cheveux blancs, paraissant âgé de 90 ans et vêtu d’une soutane noire. Or, ma fenêtre se trouvait à plus de 7 mètres du sol.
V.G.
Vous me demandez dans quelle mesure cette spiritualité, propre à l’Orthodoxie mais sans doute pas « réservée » à elle, peut être assimilée par les Occidentaux et devenir leur. Je crois que la spiritualité orthodoxe, de ce point de vue, est simplement de la spiritualité chrétienne. Je crois que ce qu’il y a de vrai dans ce que j’ai dit appartient à l’Occident comme à l’Orient, appartient à quiconque est chrétien.
Des barrières qui ne viennent pas de Dieu
Il y a cependant des barrières qui se sont établies, qui ne viennent pas de Dieu ni de l’Évangile ; elles viennent, je crois, de ce que l’Occident a perdu de vue un certain nombre de choses : l’Occident a perdu de vue l’aspect cosmique de l’Incarnation et de tout ce qui a trait au Verbe incarné. En Occident, l’Incarnation, ainsi que tous les événements de l’œuvre de la Rédemption, qui ont une portée dépassant infiniment notre petit monde humain, se sont trouvés réduits à une histoire du salut des hommes. « Réduits » n’est peut-être pas le mot qu’il faudrait dire, parce qu’ils sont essentiels pour nous ; mais tout en étant essentielle pour nous, leur portée est plus grande. Voilà, je crois, un aspect que l’Occident est en train de redécouvrir.
Vous me demandez dans quelle mesure cette spiritualité, propre à l’Orthodoxie mais sans doute pas « réservée » à elle, peut être assimilée par les Occidentaux et devenir leur. Je crois que la spiritualité orthodoxe, de ce point de vue, est simplement de la spiritualité chrétienne. Je crois que ce qu’il y a de vrai dans ce que j’ai dit appartient à l’Occident comme à l’Orient, appartient à quiconque est chrétien.
Des barrières qui ne viennent pas de Dieu
Il y a cependant des barrières qui se sont établies, qui ne viennent pas de Dieu ni de l’Évangile ; elles viennent, je crois, de ce que l’Occident a perdu de vue un certain nombre de choses : l’Occident a perdu de vue l’aspect cosmique de l’Incarnation et de tout ce qui a trait au Verbe incarné. En Occident, l’Incarnation, ainsi que tous les événements de l’œuvre de la Rédemption, qui ont une portée dépassant infiniment notre petit monde humain, se sont trouvés réduits à une histoire du salut des hommes. « Réduits » n’est peut-être pas le mot qu’il faudrait dire, parce qu’ils sont essentiels pour nous ; mais tout en étant essentielle pour nous, leur portée est plus grande. Voilà, je crois, un aspect que l’Occident est en train de redécouvrir.
Le 29 avril une liturgie orthodoxe a été célébrée avec la bénédiction de Monseigneur Nestor, évêque de Chersonèse, et l'accord des autorités militaires à la base d'Aubagne de la Légion étrangère. C'est le père Georges Egorov, aumônier orthodoxe de la Légion, qui a présidé l'office.
De nombreux légionnaires originaires des pays de ma CEI ont pu prier et communier à cet office. Lien
De nombreux légionnaires originaires des pays de ma CEI ont pu prier et communier à cet office. Lien
Ce sera l’une des plus hautes églises du pays.
L’acte de rétrocession du terrain au diocèse de Théodosie a été signé dans le cadre du IVe Forum économique international de Yalta par Sergueï Borozdine, chef de l’administration de la ville de Kertch, et le métropolite Platon de Théodosie et Kertch.
« Nous espérons une construction rapide, » a déclaré S. Borozdine.
Les plans de l’église ont été projetés par le Centre culturel de Moscou, sa construction est prévue sur une colline située à l’entrée en Crimée sur la rive gauche du pont de Crimée actuellement en construction.
Selon le métropolite Platon, des travaux de renforcement des sols seront entrepris. Il a ajouté que les dates de début des travaux ne sont pas encore arrêtées, « ce sera, peut-être, après l’achèvement du pont, peut-être, en parallèle. »
L’acte de rétrocession du terrain au diocèse de Théodosie a été signé dans le cadre du IVe Forum économique international de Yalta par Sergueï Borozdine, chef de l’administration de la ville de Kertch, et le métropolite Platon de Théodosie et Kertch.
« Nous espérons une construction rapide, » a déclaré S. Borozdine.
Les plans de l’église ont été projetés par le Centre culturel de Moscou, sa construction est prévue sur une colline située à l’entrée en Crimée sur la rive gauche du pont de Crimée actuellement en construction.
Selon le métropolite Platon, des travaux de renforcement des sols seront entrepris. Il a ajouté que les dates de début des travaux ne sont pas encore arrêtées, « ce sera, peut-être, après l’achèvement du pont, peut-être, en parallèle. »
Pèlerinage le 21 mai dans la basilique de Saint Nicolas à Saint Nicolas de Port
Avec la bénédiction de Mgr Nestor, évêque de Chersonèse (patriarcat de Moscou)
Dans la basilique de Saint Nicolas à Saint Nicolas de Port ( à 12 km de Nancy)
Ce village est devenu un centre important pour la vénération de saint Nicolas par les chrétiens de l'Allemagne, de France et surtout de la Lorraine dont il est le Saint protecteur, après les transfert des reliques de ce Saint depuis Bari, en 1098
En russe PALOMNIK
Programme >>>>
Avec la bénédiction de Mgr Nestor, évêque de Chersonèse (patriarcat de Moscou)
Dans la basilique de Saint Nicolas à Saint Nicolas de Port ( à 12 km de Nancy)
Ce village est devenu un centre important pour la vénération de saint Nicolas par les chrétiens de l'Allemagne, de France et surtout de la Lorraine dont il est le Saint protecteur, après les transfert des reliques de ce Saint depuis Bari, en 1098
En russe PALOMNIK
Programme >>>>
Sondage
Derniers commentaires
-
Surprenantes fresques dans un monastère en Serbie
19/09/2024 13:35 - Patrick -
"Il n'y a aucune excuse pour ceux qui déclenchent des guerres", - Mgr Onuphre, Primat de l'Eglise d’Ukraine, PM
14/04/2023 05:58 - Gilles -
Le père George Egorov, sa visite pastorale à la Légion étrangère
12/12/2022 12:55 - Baron André -
OSCE demande à Russie ce cesser la destruction d'églises en Ukraine
10/05/2022 03:22 - pere jean -
Communiqué des Evêques Orthodoxes de France au sujet de la guerre en Ukraine
14/04/2022 19:15 - Hai Lin -
Deux hiérarques russes s’expriment à titre personnel à propos de la guerre et de la paix, de la situation en Russie
14/04/2022 10:39 - Marie Genko -
Communiqué des Evêques Orthodoxes de France au sujet de la guerre en Ukraine
14/04/2022 10:26 - Marie Genko -
Le Parlement Européen a condamné le patriarche Cyrille et a félicité le clergé orthodoxe qui s'est opposé à la guerre en Ukraine
13/04/2022 21:21 - Gilles -
Communiqué des Evêques Orthodoxes de France au sujet de la guerre en Ukraine
12/04/2022 23:05 - Théophile -
Communiqué des Evêques Orthodoxes de France au sujet de la guerre en Ukraine
12/04/2022 22:00 - Nadejda na Mir
Liens francophones