Plateforme libre de discussion
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Plusieurs statues de la Vierge-Marie des paroisses St Jacques, St Martin et Notre-Dame ont été brisées en fin de matinée, alors que dans l'après-midi à Lons, Artix et Mourenx d'autres statues de la Vierge ont connu le même sort. Une geste pour l'heure inexpliqué, qui a entraîné une plainte de l’évêché
Incompréhensible pour la communauté chrétienne de Pau et du Béarn
"Quand je suis arrivé, comme à chaque fois que je viens je suis allé voir la Vierge-Marie, et j'ai eu la surprise de voir la statue par terre" témoigne auprès de France Bleu Béarn André Dureysseix, c'est lui qui a ouvert l'église St Jacques ce jeudi après-midi et a découvert les actes de vandalisme. "On ne comprend pas, ça touche, poursuit André Dureysseix, avant on nous volait des cierges, maintenant on s'en prend aux statues et en particulier à la Vierge-Marie... La prochaine fois ça va être qui ?"
Incompréhensible pour la communauté chrétienne de Pau et du Béarn
"Quand je suis arrivé, comme à chaque fois que je viens je suis allé voir la Vierge-Marie, et j'ai eu la surprise de voir la statue par terre" témoigne auprès de France Bleu Béarn André Dureysseix, c'est lui qui a ouvert l'église St Jacques ce jeudi après-midi et a découvert les actes de vandalisme. "On ne comprend pas, ça touche, poursuit André Dureysseix, avant on nous volait des cierges, maintenant on s'en prend aux statues et en particulier à la Vierge-Marie... La prochaine fois ça va être qui ?"
Rédigé par Parlons D'orthodoxie le 10 Janvier 2020 à 10:58
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7 commentaires
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Aux archipasteurs, pasteurs, diacres, moines et à tous les fidèles enfants de l’Église orthodoxe russe
Bien-aimés dans le Seigneur archipasteurs, dignes prêtres et diacres, vénérables moines et moniales, chers frères et sœurs,
Je vous souhaite à tous une bonne fête de la Nativité de notre Seigneur et Sauveur Jésus Christ.
L’admirable miracle de l’incarnation divine, accompli il y a plus de deux mille ans, emplit encore aujourd’hui nos âmes d’une joie indicible. Aujourd’hui Dieu est venu sur terre et l’homme est monté aux cieux (Stichère idiomèle, vêpres de la fête). Le Créateur et la Providence de toute chose est venu dans le monde car, dans Sa miséricorde, Il ne pouvait voir les hommes tourmentés par le diable (rite du saint Baptême) ; vaincu par l’amour, l’Éternel et l’Ineffable est venu chercher Sa créature égarée (kondakion sur la drachme perdue de saint Roman le Mélode).
Bien-aimés dans le Seigneur archipasteurs, dignes prêtres et diacres, vénérables moines et moniales, chers frères et sœurs,
Je vous souhaite à tous une bonne fête de la Nativité de notre Seigneur et Sauveur Jésus Christ.
L’admirable miracle de l’incarnation divine, accompli il y a plus de deux mille ans, emplit encore aujourd’hui nos âmes d’une joie indicible. Aujourd’hui Dieu est venu sur terre et l’homme est monté aux cieux (Stichère idiomèle, vêpres de la fête). Le Créateur et la Providence de toute chose est venu dans le monde car, dans Sa miséricorde, Il ne pouvait voir les hommes tourmentés par le diable (rite du saint Baptême) ; vaincu par l’amour, l’Éternel et l’Ineffable est venu chercher Sa créature égarée (kondakion sur la drachme perdue de saint Roman le Mélode).
Message de Noël de Son Éminence Antoine, Exarque du Patriarche, Métropolite de Chersonèse et d’Europe occidentale
Éminents évêques, honorables pères, moines et moniales aimant Dieu, chers frères et sœurs!
Nous chantons à nouveau aujourd’hui l’immense évènement de l’histoire universelle, annoncé par les prophètes et attendu par de nombreuses générations, la Nativité de notre Seigneur et Dieu Jésus-Christ. « Gloire à Dieu au plus haut des cieux et paix sur la terre, bienveillance parmi les hommes» (Lc 2.14) – avec les anges nous glorifions l’enfant divin dans la crèche de Bethléem.
Admirant ce mystérieux et inexplicable miracle, nous nous souvenons combien le Seigneur tout puissant nous a rapproché du Ciel en s’incarnant pour le bien de l’homme et pour notre salut ; c’est dans l’obéissance et la modestie qu’Il commence son chemin de croix sur Terre pour nous sauver.
Éminents évêques, honorables pères, moines et moniales aimant Dieu, chers frères et sœurs!
Nous chantons à nouveau aujourd’hui l’immense évènement de l’histoire universelle, annoncé par les prophètes et attendu par de nombreuses générations, la Nativité de notre Seigneur et Dieu Jésus-Christ. « Gloire à Dieu au plus haut des cieux et paix sur la terre, bienveillance parmi les hommes» (Lc 2.14) – avec les anges nous glorifions l’enfant divin dans la crèche de Bethléem.
Admirant ce mystérieux et inexplicable miracle, nous nous souvenons combien le Seigneur tout puissant nous a rapproché du Ciel en s’incarnant pour le bien de l’homme et pour notre salut ; c’est dans l’obéissance et la modestie qu’Il commence son chemin de croix sur Terre pour nous sauver.
Le 21 décembre 2019 les partisans de la schismatique Église orthodoxe d’Ukraine se sont emparés de l’église de l’Intercession, de l’Église orthodoxe ukrainienne (patriarcat de Moscou) située dans le village Bobly (arrondissement de Toura, région de Volynsk). Au cours de l’altercation une paroissienne a eu la clavicule cassée.
Sergueï Lysovoï, président du conseil municipal, a, sans attendre la décision du tribunal, privatisé et l’église et le terrain attenant. Ce qui a permis aux schismatiques de se réunir devant l’église et s’en saisir par la force malgré les protestations des paroissiens.
« Les femmes qui faisaient rempart devant l’entrée de l’église ont été éjectées manu militari ; une femme a été jetée à terre, s’est bisée la clavicule et a fait un infarctus. Elle a été hospitalisée, mais craignant les répressions a refusé de porter plainte contre les activistes de l’Église orthodoxe que soutiennent les autorités et les fermiers, » a déclaré l’archiprêtre Vitaly Doudna doyen de l’Église orthodoxe ukrainienne pour l’arrondissement de Toura. Selon lui, la communauté paroissiale va défendre ses droits devant la justice.
Sergueï Lysovoï, président du conseil municipal, a, sans attendre la décision du tribunal, privatisé et l’église et le terrain attenant. Ce qui a permis aux schismatiques de se réunir devant l’église et s’en saisir par la force malgré les protestations des paroissiens.
« Les femmes qui faisaient rempart devant l’entrée de l’église ont été éjectées manu militari ; une femme a été jetée à terre, s’est bisée la clavicule et a fait un infarctus. Elle a été hospitalisée, mais craignant les répressions a refusé de porter plainte contre les activistes de l’Église orthodoxe que soutiennent les autorités et les fermiers, » a déclaré l’archiprêtre Vitaly Doudna doyen de l’Église orthodoxe ukrainienne pour l’arrondissement de Toura. Selon lui, la communauté paroissiale va défendre ses droits devant la justice.
Le soir du 3 janvier 2020
120 schismatiques de l'église orthodoxe d'Ukraine avec à sa tête le métropolite Épiphane ont fait irruption dans la cour de l'église du village Stenka, région de Ternopol.
La communauté orthodoxe du lieu avait trouvé un refuge dans ces locaux suite à la confiscation de l'église de la Nativité de la Mère de Dieu. Les assaillants ont procédé à un véritable pogrome: ils ont forcé le portail, ont brisé le trépied sur lequel se trouvait la cloche de l'église, ont menacé le prêtre et les paroissiens disant qu'ils seront chassés de ces locaux aménagés pour la prière. Étaient présents des représentants du président de la municipalité et le responsable de la police locale. Les schismatiques exigeaient que soit enlevée la cloche de l'église.
La police a fini par apposer des scellés sur la maison de l'église. Le conflit entre les schismatiques et la communauté de l'Eglise canonique d'Ukraine se poursuit.
120 schismatiques de l'église orthodoxe d'Ukraine avec à sa tête le métropolite Épiphane ont fait irruption dans la cour de l'église du village Stenka, région de Ternopol.
La communauté orthodoxe du lieu avait trouvé un refuge dans ces locaux suite à la confiscation de l'église de la Nativité de la Mère de Dieu. Les assaillants ont procédé à un véritable pogrome: ils ont forcé le portail, ont brisé le trépied sur lequel se trouvait la cloche de l'église, ont menacé le prêtre et les paroissiens disant qu'ils seront chassés de ces locaux aménagés pour la prière. Étaient présents des représentants du président de la municipalité et le responsable de la police locale. Les schismatiques exigeaient que soit enlevée la cloche de l'église.
La police a fini par apposer des scellés sur la maison de l'église. Le conflit entre les schismatiques et la communauté de l'Eglise canonique d'Ukraine se poursuit.
Chers frères et sœurs ! Plusieurs d’entre nous sont nés et ont vécu à l’Époque où l’on fêtait le Nouvel An comme si le temps pouvait donner la vie.
Nous avons attendu la nouvelle année – le début du nouveau temps – de la même manière que probablement, les premiers chrétiens attendaient le retour du Seigneur Jésus chaque dimanche, le Jour du Seigneur.
Les premiers chrétiens étaient persuadés que le retour du Seigneur Jésus était imminent. Jésus devait revenir de façon inattendue, prendre au dépourvu le monde qui ne l’attendait pas. Le Seigneur devait revenir pour faire tomber le Temps et ainsi terminer l’Histoire. Aujourd’hui nous sommes tournés Dieu, devenus membres de son Église, nous avons trouvé la foi chrétienne. Et nous savons bien que le temps ne donne pas la vie.
Nous avons attendu la nouvelle année – le début du nouveau temps – de la même manière que probablement, les premiers chrétiens attendaient le retour du Seigneur Jésus chaque dimanche, le Jour du Seigneur.
Les premiers chrétiens étaient persuadés que le retour du Seigneur Jésus était imminent. Jésus devait revenir de façon inattendue, prendre au dépourvu le monde qui ne l’attendait pas. Le Seigneur devait revenir pour faire tomber le Temps et ainsi terminer l’Histoire. Aujourd’hui nous sommes tournés Dieu, devenus membres de son Église, nous avons trouvé la foi chrétienne. Et nous savons bien que le temps ne donne pas la vie.
Paroisse Orthodoxe francophone Notre Dame Joie des Affligés et Sainte Geneviève, diocèse de Chersonèse, patriarcat de Moscou, organise, comme chaque année, le samedi 4 janvier 2020 à 12 h 30 un pèlerinage au tombeau de Sainte Geneviève en l'église Saint-Etienne du Mont où se trouvent les reliques de Sainte Geneviève.
L'office à sainte Geneviève est suivi de la vénération de l'icône et des reliques.
Place du Panthéon 75005-Paris
L'office à sainte Geneviève est suivi de la vénération de l'icône et des reliques.
Place du Panthéon 75005-Paris
Nous reprenons une très actuelle publication du site de Claude LOPEZ-GINISTY "Orthodoxologie"
Svetlana Tvirko: "Ils voulaient amputer la jambe de ma belle-mère"
En 2012, j'étudiai à Saint-Pétersbourg pendant cinq jours. Le premier jour, après mon cours, je suis allé au monastère Saint-Jean, où je n'étais jamais allée auparavant.
Je voulais beaucoup le faire afin d'aller sur la tombe du père Jean. Ma mère devait aller le lendemain faire des examens médicaux, et les médecins s'attendaient au pire. Ma belle-mère était également à l'hôpital. Elle avait soixante-six ans à l'époque. Ils voulaient amputer sa jambe, elle avait la gangrène et elle devenait noire.
Svetlana Tvirko: "Ils voulaient amputer la jambe de ma belle-mère"
En 2012, j'étudiai à Saint-Pétersbourg pendant cinq jours. Le premier jour, après mon cours, je suis allé au monastère Saint-Jean, où je n'étais jamais allée auparavant.
Je voulais beaucoup le faire afin d'aller sur la tombe du père Jean. Ma mère devait aller le lendemain faire des examens médicaux, et les médecins s'attendaient au pire. Ma belle-mère était également à l'hôpital. Elle avait soixante-six ans à l'époque. Ils voulaient amputer sa jambe, elle avait la gangrène et elle devenait noire.
Votre Excellence, Monseigneur Antoine, chers pères, chers frères et sœurs, chers amis,
Parlons d'Orthodoxie vous remercie pour votre fidélité et vous souhaite de tout cœur une nouvelle année qui soit protégée par le Ciel et vous apporte paix et santé!
Nous avons célébré en décembre trois ans de la consécration de la cathédrale de la Sainte Trinité au cœur de Paris, événement béni! Cette année notre diocèse est devenu un Exarchat patriarcal en Europe occidentale, dont le centre est à Paris avec à sa tête le métropolite Antoine de Chersonèse et d’Europe occidentale.
Nous nous réjouissons de la réunification avec l'Archevêché des Églises Orthodoxes Russes en Europe Occidentale dirigé par Mgr Jean qui a rallié avec ses fidèles le patriarcat de Moscou.
Les trois branches de l'Eglise russe, divisée pendant 75 ans, se sont enfin réunies.
Parlons d'Orthodoxie vous remercie pour votre fidélité et vous souhaite de tout cœur une nouvelle année qui soit protégée par le Ciel et vous apporte paix et santé!
Nous avons célébré en décembre trois ans de la consécration de la cathédrale de la Sainte Trinité au cœur de Paris, événement béni! Cette année notre diocèse est devenu un Exarchat patriarcal en Europe occidentale, dont le centre est à Paris avec à sa tête le métropolite Antoine de Chersonèse et d’Europe occidentale.
Nous nous réjouissons de la réunification avec l'Archevêché des Églises Orthodoxes Russes en Europe Occidentale dirigé par Mgr Jean qui a rallié avec ses fidèles le patriarcat de Moscou.
Les trois branches de l'Eglise russe, divisée pendant 75 ans, se sont enfin réunies.
La Russie se dit préoccupée par la loi adoptée au Monténégro en vertu de laquelle il est possible de confisquer les biens de l'Eglise orthodoxe serbe en faveur de l'Eglise locale qui aspire à obtenir l'autocéphalie. Le Ministère des affaires étrangères de la Fédération de Russie déclare à ce propos:
"Des mouvements de protestations auxquels ont participé des personnalités religieuses ont eu lieu au Monténégro. En effet, le parlement du Monténégro n'a pas voté les amendements présentés au projet de loi sur la liberté de conscience Nous constatons des pressions administratives exercées sur l'Eglise orthodoxe serbe. Le Président du Monténégro Milo Djukanovic avait voulu obtenir un statut d’autocéphalie pour l'Eglise orthodoxe du Monténégro, similaire à celui qui existe en Ukraine. Le gouvernement a fait adopter une loi sur "la liberté de conscience et les statut des communautés religieuses".
Cette loi permet la confiscation des biens et des objets sacrés appartenant à l'Eglise orthodoxe serbe en faveur de la nouvelle entité.
"Des mouvements de protestations auxquels ont participé des personnalités religieuses ont eu lieu au Monténégro. En effet, le parlement du Monténégro n'a pas voté les amendements présentés au projet de loi sur la liberté de conscience Nous constatons des pressions administratives exercées sur l'Eglise orthodoxe serbe. Le Président du Monténégro Milo Djukanovic avait voulu obtenir un statut d’autocéphalie pour l'Eglise orthodoxe du Monténégro, similaire à celui qui existe en Ukraine. Le gouvernement a fait adopter une loi sur "la liberté de conscience et les statut des communautés religieuses".
Cette loi permet la confiscation des biens et des objets sacrés appartenant à l'Eglise orthodoxe serbe en faveur de la nouvelle entité.
Icônes du XVIe au XIXe siècle, au Centre culturel et spirituel orthodoxe russe.
Du mardi au dimanche de 14h à 19h. Centre culturel et spirituel orthodoxe russe 1 quai Branly 75007 Paris
Cette collection a été réunie par des antiquaires d’origine serbe durant une période de cinquante ans, elle est composée d’une centaine d’œuvres d’art sacré russe, datant du XVIe au XIXe siècle. Cette collection est unique, elle a été constituée avec beaucoup de passion et connaissances professionnelles. Les œuvres de différents styles, écoles et époques illustrent parfaitement le développement de l’iconographie russe durant cinq siècles. Les icônes proviennent de collections privées européennes et américaines, cédées par leurs propriétaires directement ou à travers les ventes publiques.
Un grand nombre de ces icônes peut être considéré comme de véritables chefs d’œuvre. La collection ne se définit pas uniquement par la diversité des styles, mais également par la richesse et l’étendue de son programme iconographique.
Du mardi au dimanche de 14h à 19h. Centre culturel et spirituel orthodoxe russe 1 quai Branly 75007 Paris
Cette collection a été réunie par des antiquaires d’origine serbe durant une période de cinquante ans, elle est composée d’une centaine d’œuvres d’art sacré russe, datant du XVIe au XIXe siècle. Cette collection est unique, elle a été constituée avec beaucoup de passion et connaissances professionnelles. Les œuvres de différents styles, écoles et époques illustrent parfaitement le développement de l’iconographie russe durant cinq siècles. Les icônes proviennent de collections privées européennes et américaines, cédées par leurs propriétaires directement ou à travers les ventes publiques.
Un grand nombre de ces icônes peut être considéré comme de véritables chefs d’œuvre. La collection ne se définit pas uniquement par la diversité des styles, mais également par la richesse et l’étendue de son programme iconographique.
La loi sur la « liberté religieuse » nationalisant les églises et biens immobliers de l’Église orthodoxe au Monténégro a été adoptée par le parlement monténégrin le 27 décembre à 2h30 du matin, après que les députés de l’opposition aient été expulsés de l’hémicycle par la police.
Au cours du meeting de protestation qui a eu lieu durant la nuit sur le pont de Djudjervića Tara, dans le nord du Monténégro, l’évêque de Dioclée Méthode a été battu par la police.
De son côté l’évêque de Budimlja-Nikšić Joannice, qui se trouvait aux côtés des manifestants à Podgorica, a déclaré cette nuit : « Tout d’abord, je souhaite remercier notre honorable peuple qui a soutenu son Église, et qui non seulement fréquente régulièrement les offices et est venu vénérer les reliques de S. Basile, mais a persévéré jusqu’à la fin dans ce combat légitime contre l’injustice et ce dignement, exprimant chrétiennement jusqu’à la fin son désaccord.
Au cours du meeting de protestation qui a eu lieu durant la nuit sur le pont de Djudjervića Tara, dans le nord du Monténégro, l’évêque de Dioclée Méthode a été battu par la police.
De son côté l’évêque de Budimlja-Nikšić Joannice, qui se trouvait aux côtés des manifestants à Podgorica, a déclaré cette nuit : « Tout d’abord, je souhaite remercier notre honorable peuple qui a soutenu son Église, et qui non seulement fréquente régulièrement les offices et est venu vénérer les reliques de S. Basile, mais a persévéré jusqu’à la fin dans ce combat légitime contre l’injustice et ce dignement, exprimant chrétiennement jusqu’à la fin son désaccord.
Le 26 décembre 2019, pendant sa réunion, le Saint-Synode de l’Église orthodoxe russe a étudié les conséquences de la reconnaissance de la structure schismatique fonctionnant en Ukraine par le primat du Patriarcat d’Alexandrie. Le 8 novembre, au cours d’une Divine liturgie célébrée au Caire le 8 novembre, le patriarche Théodore avait fait mémoire du chef du groupe schismatique ukrainien au moment de la commémoration des primats des Églises orthodoxes autocéphales, à la Grande entrée, avant d’annoncer officiellement qu’il reconnaissait cette structure non-canonique.
Le Synode de l’Église russe a exprimé « sa profonde affliction des actes anticanoniques du patriarche Théodore d’Alexandrie, entré en communion avec les schismatiques ».
Le Synode de l’Église russe a exprimé « sa profonde affliction des actes anticanoniques du patriarche Théodore d’Alexandrie, entré en communion avec les schismatiques ».
Le soir du lundi 2 décembre 2019 le livre de Xenia Krivochéine « Des bulbes d’or dans le ciel de Paris » a été présenté dans les locaux du Centre spirituel et culturel du Quai Branly à Paris.
Cet événement a marqué le début des solennités à l’occasion du troisième anniversaire de la dédicace par Sa Sainteté Cyrille de la cathédrale de la Sainte Trinité à Paris.
PHOTOS: Daniel Naberejny
Monseigneur Antoine, métropolite de Chersonèse et d’Europe occidentale, a dit dans son intervention : « Je remercie Xenia Krivochéine pour avoir écrit cet important ouvrage. Le souvenir de cet événement deviendra le patrimoine de nos descendants et enrichira l’histoire du diocèse de Chersonèse. Il s’agit d’une chronique qui a vocation à être complétée dans les éditions qui suivront ».
Monseigneur Nestor, archevêque de Madrid et de Lisbonne, est intervenu à la soirée. La cathédrale a été construite alors qu’il était à la tête de la chaire de Paris.
Cet événement a marqué le début des solennités à l’occasion du troisième anniversaire de la dédicace par Sa Sainteté Cyrille de la cathédrale de la Sainte Trinité à Paris.
PHOTOS: Daniel Naberejny
Monseigneur Antoine, métropolite de Chersonèse et d’Europe occidentale, a dit dans son intervention : « Je remercie Xenia Krivochéine pour avoir écrit cet important ouvrage. Le souvenir de cet événement deviendra le patrimoine de nos descendants et enrichira l’histoire du diocèse de Chersonèse. Il s’agit d’une chronique qui a vocation à être complétée dans les éditions qui suivront ».
Monseigneur Nestor, archevêque de Madrid et de Lisbonne, est intervenu à la soirée. La cathédrale a été construite alors qu’il était à la tête de la chaire de Paris.
La tradition d'orner des arbres en prévision de la Noël ou du Jour de l'An est née en Orient, affirme la femme écrivain turque Muazzez Ilmiye Cig, spécialisée entre autres dans l'étude de la culture sumérienne.
"Le monde chrétien s'attribue volontiers la coutume d'orner les sapins, mais en fait il doit cette tradition aux ancêtres des Turcs modernes", explique-t-elle dans un entretien accordé à RIA Novosti .
"Bien avant qu'elles ne s'installent en Anatolie, les tribus turques associaient déjà le sapin à l'Arbre de Vie. Pour l'orner, obligatoirement dans la nuit du 22 décembre, pendant la "fête de la renaissance", on choisissait un sapin blanc qui ne poussait qu'au Turkestan (Asie centrale)", a-t-elle poursuivi.
Apporté à la maison et orné de rubans multicolores, le sapin "recevait" des dons au Tout-Puissant, pour que le nouvel An apporte le bonheur. Des plats spéciaux étaient cuisinés à l'occasion de la fête de la Renaissance qui était célébrée en famille, précise la femme écrivain turque. Selon elle, l'Europe a emprunté cette tradition aux Huns, nomades turcophones, qui créèrent un immense Etat s'étendant de la Volga au Rhin.
"Le monde chrétien s'attribue volontiers la coutume d'orner les sapins, mais en fait il doit cette tradition aux ancêtres des Turcs modernes", explique-t-elle dans un entretien accordé à RIA Novosti .
"Bien avant qu'elles ne s'installent en Anatolie, les tribus turques associaient déjà le sapin à l'Arbre de Vie. Pour l'orner, obligatoirement dans la nuit du 22 décembre, pendant la "fête de la renaissance", on choisissait un sapin blanc qui ne poussait qu'au Turkestan (Asie centrale)", a-t-elle poursuivi.
Apporté à la maison et orné de rubans multicolores, le sapin "recevait" des dons au Tout-Puissant, pour que le nouvel An apporte le bonheur. Des plats spéciaux étaient cuisinés à l'occasion de la fête de la Renaissance qui était célébrée en famille, précise la femme écrivain turque. Selon elle, l'Europe a emprunté cette tradition aux Huns, nomades turcophones, qui créèrent un immense Etat s'étendant de la Volga au Rhin.
Des bombes d’aérosols, un sweet à capuche, un masque pour camoufler son visage… L’attirail classique d’un street-artiste.
Mais ce qui est inhabituel ce sont les dessins tagués sous ce pont de Moscou. Un immense portrait de Jésus Christ apparaît.
Aleksandr Tsypkov est un peintre d’icônes religieuses. Il fait partie d’un collectif qui rend hommage à la beauté de l’art chrétien. Il se défend d'être un vandale. A travers son art, cet artiste dit simplement vouloir rapprocher les Russes de la religion orthodoxe.
" Si une personne est captivée, ressent quelque chose et que cela l’amène vers Dieu, dans un temple, alors ce sera ma victoire ", confie Aleksandr Tsypkov.
Mais ce qui est inhabituel ce sont les dessins tagués sous ce pont de Moscou. Un immense portrait de Jésus Christ apparaît.
Aleksandr Tsypkov est un peintre d’icônes religieuses. Il fait partie d’un collectif qui rend hommage à la beauté de l’art chrétien. Il se défend d'être un vandale. A travers son art, cet artiste dit simplement vouloir rapprocher les Russes de la religion orthodoxe.
" Si une personne est captivée, ressent quelque chose et que cela l’amène vers Dieu, dans un temple, alors ce sera ma victoire ", confie Aleksandr Tsypkov.
Le patriarche appelle le clergé à faire preuve de tact et de modestie à l'égard de ceux qui viennent se confesser:
"La confession a un seul but, celui de réconcilier le pêcheur avec le Seigneur. Il est inadmissible d'en faire un moyen d’investigation ou de contrôle, de la considérer comme une sorte de psychothérapie.
En recevant une confession le prêtre doit mettre entre parenthèses ses fonctions de moniteur, de guide, d'ami et d'interlocuteur. Il ne doit être que le témoin de la repentance. La confession ne doit pas devenir l'objet de la curiosité du prêtre à l'égard de la vie d'autrui. Certains estiment qu'il ne devrait y avoir aucun tabou lors de la confession.
Or, ces interdits existent, cela concerne surtout l'union conjugale, la vie intime du couple. Personne ne peut s'immiscer brutalement dans ce domaine. Une telle ingérence ne pourrait être que dommageable et n'est d'aucune utilité".
"La confession a un seul but, celui de réconcilier le pêcheur avec le Seigneur. Il est inadmissible d'en faire un moyen d’investigation ou de contrôle, de la considérer comme une sorte de psychothérapie.
En recevant une confession le prêtre doit mettre entre parenthèses ses fonctions de moniteur, de guide, d'ami et d'interlocuteur. Il ne doit être que le témoin de la repentance. La confession ne doit pas devenir l'objet de la curiosité du prêtre à l'égard de la vie d'autrui. Certains estiment qu'il ne devrait y avoir aucun tabou lors de la confession.
Or, ces interdits existent, cela concerne surtout l'union conjugale, la vie intime du couple. Personne ne peut s'immiscer brutalement dans ce domaine. Une telle ingérence ne pourrait être que dommageable et n'est d'aucune utilité".
Donné à l’occasion du troisième anniversaire de la consécration de la cathédrale orthodoxe russe de la Sainte-Trinité, le présent concert est consacré à la fête de la Nativité ou fête de Noël. Dans la tradition liturgique Orthodoxe, cette fête est rattachée au groupe des douze grandes célébrations festives inclues dans le cycle liturgique annuel fixe, étant célébrée par la communauté de l’Eglise de Jérusalem dès la période primitive de son existence.
Souvent dénommée en Russie ‘’Pâques d’Hiver’’, la fête de la Nativité est précédée d’une période préparatoire de carême et la dimension festive de sa célébration se poursuit durant une période s’étendant bien au-delà de la journée du 25 décembre,ce temps de réjouissances étant usuellement dénommé en langue russe ‘’Svyatkis’’,temps de réjouissances auquel au demeurant est également rattachée la fête de la Théophanie.
Souvent dénommée en Russie ‘’Pâques d’Hiver’’, la fête de la Nativité est précédée d’une période préparatoire de carême et la dimension festive de sa célébration se poursuit durant une période s’étendant bien au-delà de la journée du 25 décembre,ce temps de réjouissances étant usuellement dénommé en langue russe ‘’Svyatkis’’,temps de réjouissances auquel au demeurant est également rattachée la fête de la Théophanie.
En septembre 2019, le Saint-Synode a accepté au sein de l’Église orthodoxe russe le chef de l’Archevêché des paroisses de tradition russe d’Europe occidentale, ainsi que le clergé et les paroisses qui l’ont suivi. L’auteur de la publication offre son opinion personnelle sur l’importance historique de cet événement.
Comparé avec la réunification solennelle de l’Église orthodoxe russe Hors Frontières et de l’Église orthodoxe russe du patriarcat de Moscou en 2007, le passage récent de la majorité du clergé et des paroisses de l’Archevêché des églises orthodoxes de tradition russe en Europe occidentale dans la juridiction du patriarcat de Moscou a été relaté plus modestement dans la presse. Il y a des raisons à cela. Premièrement, un premier tel passage avait déjà eu lieu en 1945, puis été annulée par l’assemblée diocésaine après la mort du métropolite Euloge.
Deuxièmement, la transition de 2019 n’a pas recueilli la majorité nécessaire (2/3 des voix) lors de l’assemblée diocésaine, ce qui pourrait encore donner lieu à de douloureux litiges concernant la propriété des églises. Troisièmement, l’archevêché n’a jamais possédé son propre primat ni synode et n’a jamais rompu la communion eucharistique avec l’Église orthodoxe russe. Enfin, cette transition n’avait été initiée ni par l’Archevêché, ni par le Patriarcat de Moscou, mais par le patriarcat de Constantinople, en abolissant l’Archevêché de manière inattendue en novembre 2018.
Comparé avec la réunification solennelle de l’Église orthodoxe russe Hors Frontières et de l’Église orthodoxe russe du patriarcat de Moscou en 2007, le passage récent de la majorité du clergé et des paroisses de l’Archevêché des églises orthodoxes de tradition russe en Europe occidentale dans la juridiction du patriarcat de Moscou a été relaté plus modestement dans la presse. Il y a des raisons à cela. Premièrement, un premier tel passage avait déjà eu lieu en 1945, puis été annulée par l’assemblée diocésaine après la mort du métropolite Euloge.
Deuxièmement, la transition de 2019 n’a pas recueilli la majorité nécessaire (2/3 des voix) lors de l’assemblée diocésaine, ce qui pourrait encore donner lieu à de douloureux litiges concernant la propriété des églises. Troisièmement, l’archevêché n’a jamais possédé son propre primat ni synode et n’a jamais rompu la communion eucharistique avec l’Église orthodoxe russe. Enfin, cette transition n’avait été initiée ni par l’Archevêché, ni par le Patriarcat de Moscou, mais par le patriarcat de Constantinople, en abolissant l’Archevêché de manière inattendue en novembre 2018.
Nous regrettons la décision inattendue du Patriarche d'Alexandrie et nous aimerions qu'elle soit révisée.
Un certain nombre de prêtres africains du Patriarcat d'Alexandrie ont publié une lettre ouverte concernant la récente décision de leur patriarche, Théodore II d'Alexandrie, de reconnaître l'"Eglise orthodoxe d'Ukraine" schismatique et de commémorer son primat, Epiphane Doumenko, dans les offices divins. <...>
La lettre est signée par 27 prêtres du Kenya, de Tanzanie, d'Ouganda et de Zambie qui sont attristés par la décision de leur patriarche et prient pour qu'elle soit reconsidérée.
***
C'est avec beaucoup de surprise et d'embarras que nous, prêtres orthodoxes africains, avons appris la décision du Patriarche Théodore II d'Alexandrie de reconnaître la soi-disant " Église orthodoxe d'Ukraine. "
Cette décision soudaine va à l'encontre de la position antérieure de notre Patriarche et met en péril les bonnes relations de notre Église avec l'Église orthodoxe russe qui se sont développées au cours des dernières décennies. En outre, la reconnaissance des schismatiques ukrainiens d'hier est critiquée dans de nombreuses Églises locales et signifie une rupture avec l'Église orthodoxe ukrainienne canonique, à laquelle appartiennent la plupart des Ukrainiens orthodoxes.
Un certain nombre de prêtres africains du Patriarcat d'Alexandrie ont publié une lettre ouverte concernant la récente décision de leur patriarche, Théodore II d'Alexandrie, de reconnaître l'"Eglise orthodoxe d'Ukraine" schismatique et de commémorer son primat, Epiphane Doumenko, dans les offices divins. <...>
La lettre est signée par 27 prêtres du Kenya, de Tanzanie, d'Ouganda et de Zambie qui sont attristés par la décision de leur patriarche et prient pour qu'elle soit reconsidérée.
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C'est avec beaucoup de surprise et d'embarras que nous, prêtres orthodoxes africains, avons appris la décision du Patriarche Théodore II d'Alexandrie de reconnaître la soi-disant " Église orthodoxe d'Ukraine. "
Cette décision soudaine va à l'encontre de la position antérieure de notre Patriarche et met en péril les bonnes relations de notre Église avec l'Église orthodoxe russe qui se sont développées au cours des dernières décennies. En outre, la reconnaissance des schismatiques ukrainiens d'hier est critiquée dans de nombreuses Églises locales et signifie une rupture avec l'Église orthodoxe ukrainienne canonique, à laquelle appartiennent la plupart des Ukrainiens orthodoxes.
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