Plateforme libre de discussion
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Nous publions ci-dessous la réaction de M. Basile de Tiesenhausen à l'article de Nikita Struve sur l'église russe de Nice, publié dans le journal SOP en son n° 347 d’avril 2010, p. 30-31.
On peut rappeler que le SOP est dirigé par M. Antoine Nivière, membre éminent et parmi les décisionnaires du Conseil de l’Archevêché des églises orthodoxes russes en Europe Occidentale (exarchat du patriarcat de Constantinople, rue Daru). Tout comme l’est M. N. Struve.
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Le titre du point de vue de N. Struve est :
« Un déni de l’oeuvre historique visant à édifier une église indépendante de toute coloration nationaliste et de toute pression venant d’un pays étranger »
J’ignorai que l’empereur Nicolas II et le gouvernement de Russie qui ont été à l’origine de la construction de la cathédrale Saint Nicolas à Nice avaient pris leur décision avec ce ferme objectif, découvert par N . Struve. Ils voyaient loin.
N. Struve écrit « L’action intentée (demande faite par le gouvernement de Russie à la justice française de faire reconnaître un bail emphytéotique que l’autre partie ne veut plus honorer) ne fait pas honneur au Patriarcat de Russie qui a été sans aucun doute à l’origine de cette tentative d’expropriation »
- D’après les documents que j’ai pu lire l’action intentée par le gouvernement russe est l’acte formel par lequel un propriétaire, qui a donné (par un acte notarié), pour une durée précise, son bien en usage à quelqu’un et veut le récupérer à l’issue du délai (et qui se trouve en face de ce quelqu’un qui à l’issue du délai ne veut plus lui rendre son bien).
On peut rappeler que le SOP est dirigé par M. Antoine Nivière, membre éminent et parmi les décisionnaires du Conseil de l’Archevêché des églises orthodoxes russes en Europe Occidentale (exarchat du patriarcat de Constantinople, rue Daru). Tout comme l’est M. N. Struve.
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Le titre du point de vue de N. Struve est :
« Un déni de l’oeuvre historique visant à édifier une église indépendante de toute coloration nationaliste et de toute pression venant d’un pays étranger »
J’ignorai que l’empereur Nicolas II et le gouvernement de Russie qui ont été à l’origine de la construction de la cathédrale Saint Nicolas à Nice avaient pris leur décision avec ce ferme objectif, découvert par N . Struve. Ils voyaient loin.
N. Struve écrit « L’action intentée (demande faite par le gouvernement de Russie à la justice française de faire reconnaître un bail emphytéotique que l’autre partie ne veut plus honorer) ne fait pas honneur au Patriarcat de Russie qui a été sans aucun doute à l’origine de cette tentative d’expropriation »
- D’après les documents que j’ai pu lire l’action intentée par le gouvernement russe est l’acte formel par lequel un propriétaire, qui a donné (par un acte notarié), pour une durée précise, son bien en usage à quelqu’un et veut le récupérer à l’issue du délai (et qui se trouve en face de ce quelqu’un qui à l’issue du délai ne veut plus lui rendre son bien).
Rédigé par l'équipe de rédaction le 24 Avril 2010 à 15:42
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8 commentaires
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Vladimir GOLOVANOW
Le résumé d'Interfax dont rend compte le post "Nous-avons-expié" dénature en grande partie l'importante homélie (texte complet sur patriarchia.ru) prononcée par le patriarche Cyrille le dimanche 18 avril lors de la consécration de l'église basse de la Cathédrale-mémorial sur le Sang Versé / Храм-памятник на Крови /(1) de Ekaterinenbourg. Cette cathédrale est construite à l'endroit même ou fut massacrée la famille impériale et cette église basse est dédiée aux saints Néo-martyres de Russie; elle renferme une crypte située à l'emplacement exacte de la pièce ou furent fusillés les martyres impériaux et conserve des vestiges du soubassement d'origine de la "maison du martyre".
Le patriarche a commencé par affirmer: "C'était des années terribles, quand des milliers, des dizaines de milliers de personnes ont été exterminées. Ce ne fut pas seulement l'époque de l'exécution de la famille impériale, du massacre de représentants de notre peuples pris individuellement: ce fut l'époque du massacre de la Russie historique. Et ensuite, quand certains ont voulu recréer sur ce sang répandu une Russie historique, et en faire un état puissant et fort, et bien, en sacrifiant à nouveau une quantité énorme de vies humaines à ce objectif, ils ont échoué et n'ont pu atteindre leur but. Ce qu'on essayait de construire sans Dieu en réinventant la Russie historique a été anéanti pratiquement en trois jours, sans un coup de feu. En un sens, l'exécution de la famille impériale est le symbole, sanglant et terrible, de tous ces événements qui ont radicalement changé la vie de notre peuple en le faisant passer par nombres de tentations, de rêves, d'utopies, et par le sang."
Le résumé d'Interfax dont rend compte le post "Nous-avons-expié" dénature en grande partie l'importante homélie (texte complet sur patriarchia.ru) prononcée par le patriarche Cyrille le dimanche 18 avril lors de la consécration de l'église basse de la Cathédrale-mémorial sur le Sang Versé / Храм-памятник на Крови /(1) de Ekaterinenbourg. Cette cathédrale est construite à l'endroit même ou fut massacrée la famille impériale et cette église basse est dédiée aux saints Néo-martyres de Russie; elle renferme une crypte située à l'emplacement exacte de la pièce ou furent fusillés les martyres impériaux et conserve des vestiges du soubassement d'origine de la "maison du martyre".
Le patriarche a commencé par affirmer: "C'était des années terribles, quand des milliers, des dizaines de milliers de personnes ont été exterminées. Ce ne fut pas seulement l'époque de l'exécution de la famille impériale, du massacre de représentants de notre peuples pris individuellement: ce fut l'époque du massacre de la Russie historique. Et ensuite, quand certains ont voulu recréer sur ce sang répandu une Russie historique, et en faire un état puissant et fort, et bien, en sacrifiant à nouveau une quantité énorme de vies humaines à ce objectif, ils ont échoué et n'ont pu atteindre leur but. Ce qu'on essayait de construire sans Dieu en réinventant la Russie historique a été anéanti pratiquement en trois jours, sans un coup de feu. En un sens, l'exécution de la famille impériale est le symbole, sanglant et terrible, de tous ces événements qui ont radicalement changé la vie de notre peuple en le faisant passer par nombres de tentations, de rêves, d'utopies, et par le sang."
Les convictions se transmettent davantage par les souffrances que par le confort. La mémoire des martyrs de la famille impériale augmente la foi en Dieu et le triomphe de la vérité sur le mensonge, la trahison, le sacrilège, a déclaré le Patriarche, de Moscou et de toute la Russie Cyrille visitant samedi les lieux de la destruction par le feu et l’acide des corps de Nicolas II, des membres de sa famille et de leurs serviteurs, dans la fosse de Ganina, proche d’Ekaterinenbourg .
«Les convictions se transmettent mieux par la souffrance et la douleur que dans des conditions de confort et d’amollissement » a dit le Patriarche.
«Les convictions se transmettent mieux par la souffrance et la douleur que dans des conditions de confort et d’amollissement » a dit le Patriarche.
« Parlons d’orthodoxie » a récemment publié un court rappel chronologique de quelques faits marquants qui ont conditionné le statut actuel de la paroisse de la cathédrale Saint-Alexandre-Nevski de Paris. A ma grande surprise, cette publication à caractère purement historique a déclenché dans les cercles dirigeants de l’Archevêché des Églises orthodoxes russes en Europe occidentale des réactions émotionnelles mettant en cause mes compétences, substitut bien inapproprié au débat de fond qu’on pouvait espérer de la part d’éventuels contradicteurs.
Je comprends bien que seuls certains des faits rappelés dans ma petite chronologie aient suscité cette étonnante réaction. L’un d’entre eux est sans aucun doute la référence aux pourparlers entre la paroisse de la rue Daru et l’ambassadeur de Russie à Paris Basile Maklakov, encore reconnu par les autorités françaises et en poste au printemps 1923.
Je comprends bien que seuls certains des faits rappelés dans ma petite chronologie aient suscité cette étonnante réaction. L’un d’entre eux est sans aucun doute la référence aux pourparlers entre la paroisse de la rue Daru et l’ambassadeur de Russie à Paris Basile Maklakov, encore reconnu par les autorités françaises et en poste au printemps 1923.
Conseil Daru 1.pdf
(960.66 Ko)
Conseil Daru 2.pdf (1.02 Mo)
Conseil Daru 3.pdf (1.2 Mo)
Conseil Daru 4.pdf (1.35 Mo)
Conseil Daru 5.pdf (1.14 Mo)
Conseil Daru 6.pdf (596.19 Ko)
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Ce texte nous a été adressé par Cathortho en tant que commentaire. Nous avons préféré en faire un post
Les articles de Georges Nivat, russophile de grand talent, sont toujours du plus grand intérêt, et l'article que nous fait connaître aujourd'hui l'équipe de rédaction ne déroge certes pas à la règle. Comme à son habitude Mr Nivat lit dans cet événement tragique et étrange les conséquences historiques profondes dont il est porteur, conséquences des plus positives puisque, comme il le démontre, il " aura sans doute des conséquences heureuses sur les rapports entre les deux frères slaves russes et polonais bien au-delà de ce qui est déjà esquissé. " Et cela, comme l'induit le titre de son article, pour le plus grand profit de l'Europe tout entière, une Europe qui inclut la Sainte Russie, Europe de l'Atlantique à l'Oural souhaitée par le général De Gaulle, et que les forces atlantistes, aidées par leurs idiots utiles russophobes de notre pays, tentent et ne cesseront jamais, par tous les moyens, de tenter qu'elle ne se réalise pas.
Les articles de Georges Nivat, russophile de grand talent, sont toujours du plus grand intérêt, et l'article que nous fait connaître aujourd'hui l'équipe de rédaction ne déroge certes pas à la règle. Comme à son habitude Mr Nivat lit dans cet événement tragique et étrange les conséquences historiques profondes dont il est porteur, conséquences des plus positives puisque, comme il le démontre, il " aura sans doute des conséquences heureuses sur les rapports entre les deux frères slaves russes et polonais bien au-delà de ce qui est déjà esquissé. " Et cela, comme l'induit le titre de son article, pour le plus grand profit de l'Europe tout entière, une Europe qui inclut la Sainte Russie, Europe de l'Atlantique à l'Oural souhaitée par le général De Gaulle, et que les forces atlantistes, aidées par leurs idiots utiles russophobes de notre pays, tentent et ne cesseront jamais, par tous les moyens, de tenter qu'elle ne se réalise pas.
Georges Nivat - " LE TEMPS"
Georges Nivat, ancien professeur de langue et littérature russes, observe l’incroyable rapprochement entre deux frères ennemis après l’accident d’avion du président Lech Kaczinski
L’accident tragique de l’avion du président Kaczynski aura sans doute des conséquences heureuses sur les rapports entre les deux frères slaves russes et polonais bien au-delà de ce qui est déjà esquissé. Quelque chose semble inversé dans le cours orageux et souvent sanglant des relations entre les deux grands voisins, dont l’un choisit le christianisme latin, et l’autre le grec, l’un fut une monarchie républicaine soumise à l’anarchie de sa petite noblesse jusqu’aux fameux trois partages de la fin du XVIIIe siècle entre Russie, Empire autrichien et royaume de Prusse. Katyn, lieu du crime de guerre le plus monstrueux de l’histoire ordonné par Staline et son Politburo, fut un point de presque non-retour dans les relations entre les deux pays. Or Katyn vient de réconcilier les deux nations.....suite "Le Temps"
Georges Nivat, ancien professeur de langue et littérature russes, observe l’incroyable rapprochement entre deux frères ennemis après l’accident d’avion du président Lech Kaczinski
L’accident tragique de l’avion du président Kaczynski aura sans doute des conséquences heureuses sur les rapports entre les deux frères slaves russes et polonais bien au-delà de ce qui est déjà esquissé. Quelque chose semble inversé dans le cours orageux et souvent sanglant des relations entre les deux grands voisins, dont l’un choisit le christianisme latin, et l’autre le grec, l’un fut une monarchie républicaine soumise à l’anarchie de sa petite noblesse jusqu’aux fameux trois partages de la fin du XVIIIe siècle entre Russie, Empire autrichien et royaume de Prusse. Katyn, lieu du crime de guerre le plus monstrueux de l’histoire ordonné par Staline et son Politburo, fut un point de presque non-retour dans les relations entre les deux pays. Or Katyn vient de réconcilier les deux nations.....suite "Le Temps"
Le rôle du pape de Rome actuel dans les dialogue interconfessionnel a suscité ces dernières années de nombreuses critiques. Or, les relations entre le Vatican et l’Eglise orthodoxe russe se sont nettement améliorées sous le pontificat de Benoît XVI.
Dans une interview accordée à la radio « Deutsche Welle » M. Thomas Bremer, professeur à l’institut œcuménique de l’université de Münster, a estimé que les cinq premières années de la papauté de Joseph Ratzinger ont permis une amélioration considérable dans les relations entre l’Eglise catholique et l’Eglise orthodoxe russe.
Le professeur Bremer a dit : «Ces relations laissaient vraiment à désirer au début du siècle. Nous pouvons constater un tournant vers le mieux à partir de l’élection du pape Benoît XVI. Il y a cela plusieurs raisons. N’oublions pas que Jean-Paul II était polonais et à l’époque cela ne contribuait en rien aux bonnes relations.
Dans une interview accordée à la radio « Deutsche Welle » M. Thomas Bremer, professeur à l’institut œcuménique de l’université de Münster, a estimé que les cinq premières années de la papauté de Joseph Ratzinger ont permis une amélioration considérable dans les relations entre l’Eglise catholique et l’Eglise orthodoxe russe.
Le professeur Bremer a dit : «Ces relations laissaient vraiment à désirer au début du siècle. Nous pouvons constater un tournant vers le mieux à partir de l’élection du pape Benoît XVI. Il y a cela plusieurs raisons. N’oublions pas que Jean-Paul II était polonais et à l’époque cela ne contribuait en rien aux bonnes relations.
Mgr Hilarion, métropolite de Volokolamsk, président du Département des relations extérieures du patriarcat de Moscou, estime que le problème du statut canonique des Eglises d’Abkhazie et d’Ossétie du Sud ne peut avoir de solution que strictement conforme au droit canon. Il a déclaré dans le cadre d’une rencontre organisée à Moscou par les jeunes orthodoxes du Caucase :
«Ce n’est que dans le respect de la canonicité que seront trouvés des réponses aux questions que pose le statut des Églises d’Abkhazie et d’Ossétie du Sud. L’Eglise orthodoxe russe hors frontières a été, par exemple, séparée du patriarcat de Moscou pendant près de quatre-vingt ans. Nous pouvons dire qu’il s’agissait d’un schisme et que l’EORHF n’était pas pendant cette période une entité ecclésiale canonique.
«Ce n’est que dans le respect de la canonicité que seront trouvés des réponses aux questions que pose le statut des Églises d’Abkhazie et d’Ossétie du Sud. L’Eglise orthodoxe russe hors frontières a été, par exemple, séparée du patriarcat de Moscou pendant près de quatre-vingt ans. Nous pouvons dire qu’il s’agissait d’un schisme et que l’EORHF n’était pas pendant cette période une entité ecclésiale canonique.
L’archiprêtre Georges Mitrofanov, professeur de l‘Académie de théologie de Saint-Pétersbourg, estime que la majorité des séminaires existant en Russie ne sont pas à la hauteur des critères modernes d’enseignement.
Le père Georges a dit dans une interview accordée à l’hebdomadaire " Ogoniok" : « De moins en moins de jeunes viennent étudier dans nos séminaires qui n’organisent plus de concours d’entrée, une simple inscription suffit. Souvent ce sont des bacheliers ou des jeunes venant de terminer leurs études dans des lycées techniques et qui ne savent pas où aller. Le niveau spirituel, social et culturel des étudiants laisse énormément à désirer. Seulement sept établissements environ sont comparables quant à leur niveau avec les séminaires de Moscou et de Saint-Pétersbourg.
Dans certains séminaires le nombre d’étudiants par cycle n’est que de cinq ou six. Le séminaire de Saint-Pétersbourg compte vingt étudiants par cycle, il y en avait le double il y a dix ans. De très nombreuses églises ont été ouvertes ces dernières années, leurs fidèles ne représentent qu’une très faible partie de la population du pays.
Le père Georges a dit dans une interview accordée à l’hebdomadaire " Ogoniok" : « De moins en moins de jeunes viennent étudier dans nos séminaires qui n’organisent plus de concours d’entrée, une simple inscription suffit. Souvent ce sont des bacheliers ou des jeunes venant de terminer leurs études dans des lycées techniques et qui ne savent pas où aller. Le niveau spirituel, social et culturel des étudiants laisse énormément à désirer. Seulement sept établissements environ sont comparables quant à leur niveau avec les séminaires de Moscou et de Saint-Pétersbourg.
Dans certains séminaires le nombre d’étudiants par cycle n’est que de cinq ou six. Le séminaire de Saint-Pétersbourg compte vingt étudiants par cycle, il y en avait le double il y a dix ans. De très nombreuses églises ont été ouvertes ces dernières années, leurs fidèles ne représentent qu’une très faible partie de la population du pays.
Le patriarche Cyrille estime que le peuple russe a expié les pêchés de l’athéisme et du régicide. Au cours d’une homélie prononcée dans l’église de la crypte de la cathédrale Saint Sauveur sur le Sang Versé à Ekaterinenbourg le patriarche a dit : « C’est précisément là, à cet endroit sanctifié, que je tiens à dire que nos péchés ont lavés par le sang. Il ne s’agit pas de s’attendrir faussement, je pense aux terribles souffrances endurées par notre peuple, au sang qu’il a versé. L’assassinat de la famille impériale en est le symbole et la première manifestation. Quelles sont les raisons qui ont rendu possible cet assassinat commis en 1918 ?
Le site Orthodoxie.com publie le 17 avril un « Appel à l’unité et à la dignité de l’Eglise orthodoxe », réaction de vingt-huit "personnalités orthodoxes" en Europe Occidentale à l' « Appel à l’unité et à la dignité roumaine de l’Eglise orthodoxe de Roumanie » (document daté du 11 février 2010).
Cet Appel du Saint-Synode de l'Eglise orthodoxe roumaine a fait l’objet de nombreuses interventions sur notre blog ainsi que sur d’autres sites orthodoxes. Comment ne pas rappeler ici la lettre adressée le 1 avril 2003 par le défunt patriarche de Moscou Alexis II aux fidèles orthodoxes russes en Europe Occidentale Les décision prises récemment par nos frères roumains semblent en adéquation avec cette lettre.
Il est également à noter que les membres du clergé ayant signé « L’appel des vingt-huit » s’abstiennent d’indiquer leur appartenance à telle ou telle Église locale:
"Réaction d'un groupe de vingt-huit personnalités orthodoxes en Europe occidentale"
Issus des différentes migrations du XXe siècle ou d’origine occidentale, tous, nous avons reçu de nos pères l’Orthodoxie comme « l’Église du Christ sur terre », réalité qui prime sur tout enracinement social, culturel, national.
Cet Appel du Saint-Synode de l'Eglise orthodoxe roumaine a fait l’objet de nombreuses interventions sur notre blog ainsi que sur d’autres sites orthodoxes. Comment ne pas rappeler ici la lettre adressée le 1 avril 2003 par le défunt patriarche de Moscou Alexis II aux fidèles orthodoxes russes en Europe Occidentale Les décision prises récemment par nos frères roumains semblent en adéquation avec cette lettre.
Il est également à noter que les membres du clergé ayant signé « L’appel des vingt-huit » s’abstiennent d’indiquer leur appartenance à telle ou telle Église locale:
"Réaction d'un groupe de vingt-huit personnalités orthodoxes en Europe occidentale"
Issus des différentes migrations du XXe siècle ou d’origine occidentale, tous, nous avons reçu de nos pères l’Orthodoxie comme « l’Église du Christ sur terre », réalité qui prime sur tout enracinement social, culturel, national.
De nombreux Européens, ont oublié le nom du Christ et l’ont effacé de leur tradition
En mars, à Bruxelles, le Comité des représentants des Églises orthodoxes après de l’Union européenne a débuté ses travaux. La tâche essentielle de cette nouvelle structure sera d’assurer le dialogue entre les communautés politiques de l’Union et les Églises orthodoxes. Le patriarcat de Moscou sera représenté par l’archiprêtre Antony Ilin qui assure l’intérim du représentant de l’Église orthodoxe russe auprès de l’Union européenne.
Interview de l’archiprêtre Antony Ilin par Igor Ilin.
Père Antony, dites-nous quelle est l’origine de ce Comité des représentants des Églises orthodoxe auprès de l’Union européenne?
p. A.- L’initiative de ce comité consultatif revient au métropolite Hilarion de Volokolamsk, président du Département des relations extérieures de l’Église orthodoxe russe. Cette suggestion a vivement intéressé le métropolite Emmanuel des Gaules et a été activement discutée au cours de l’an passé par tous les chefs d’États et finalement s’est providentiellement concrétisée alors qu’entre en vigueur le Traité sur le fonctionnement de l’Union européenne qui, dans son article 17, institue un dialogue ouvert, transparent et régulier entre l’Union européenne et les Églises.
En mars, à Bruxelles, le Comité des représentants des Églises orthodoxes après de l’Union européenne a débuté ses travaux. La tâche essentielle de cette nouvelle structure sera d’assurer le dialogue entre les communautés politiques de l’Union et les Églises orthodoxes. Le patriarcat de Moscou sera représenté par l’archiprêtre Antony Ilin qui assure l’intérim du représentant de l’Église orthodoxe russe auprès de l’Union européenne.
Interview de l’archiprêtre Antony Ilin par Igor Ilin.
Père Antony, dites-nous quelle est l’origine de ce Comité des représentants des Églises orthodoxe auprès de l’Union européenne?
p. A.- L’initiative de ce comité consultatif revient au métropolite Hilarion de Volokolamsk, président du Département des relations extérieures de l’Église orthodoxe russe. Cette suggestion a vivement intéressé le métropolite Emmanuel des Gaules et a été activement discutée au cours de l’an passé par tous les chefs d’États et finalement s’est providentiellement concrétisée alors qu’entre en vigueur le Traité sur le fonctionnement de l’Union européenne qui, dans son article 17, institue un dialogue ouvert, transparent et régulier entre l’Union européenne et les Églises.
Vladimir Golovanow
Faire réfléchir les baptisés sur les mystères de l’Incarnation et de la Passion
Notre diocèse de Chersonèse organise pour la première fois un pèlerinage pour vénérer le saint Suaire qui démarre demain (16 avril, suivre le lien pour le programme détaillé). Comme prés de deux millions de personnes (dont 22 000 Français) attendues jusqu’au 23 mai, nos pèlerins vont en particulier suivre le parcours méditatif organisé autour de l’Homme crucifié dont j'emprunte la description à un article de Frédéric MOUNIER ( La Croix) : c'est d'abord un parcours didactique, sobre et recueilli, qui montre l’histoire du christianisme en images et en musique, et un écran géant donne à chacun, en huit langues, les clés de lecture du suaire.Votre navigateur ne gère peut-être pas l'affichage de cette image. Puis les pèlerins pénètrent dans la cathédrale, baignée dans une douce obscurité. Seul le linceul est éclairé. Une volontaire lit lentement, toutes les cinq minutes, une prière écrite par le cardinal Severino Poletto, archevêque de Turin, gardien du Saint Suaire. Sur le tissu (4,42 m sur 1,12 m), le visage de l’Homme crucifié se discerne à peine. Il est ainsi, en lui-même, un mystère. Les regards convergent, en silence. La sobriété est ici le maître mot.
Faire réfléchir les baptisés sur les mystères de l’Incarnation et de la Passion
Notre diocèse de Chersonèse organise pour la première fois un pèlerinage pour vénérer le saint Suaire qui démarre demain (16 avril, suivre le lien pour le programme détaillé). Comme prés de deux millions de personnes (dont 22 000 Français) attendues jusqu’au 23 mai, nos pèlerins vont en particulier suivre le parcours méditatif organisé autour de l’Homme crucifié dont j'emprunte la description à un article de Frédéric MOUNIER ( La Croix) : c'est d'abord un parcours didactique, sobre et recueilli, qui montre l’histoire du christianisme en images et en musique, et un écran géant donne à chacun, en huit langues, les clés de lecture du suaire.Votre navigateur ne gère peut-être pas l'affichage de cette image. Puis les pèlerins pénètrent dans la cathédrale, baignée dans une douce obscurité. Seul le linceul est éclairé. Une volontaire lit lentement, toutes les cinq minutes, une prière écrite par le cardinal Severino Poletto, archevêque de Turin, gardien du Saint Suaire. Sur le tissu (4,42 m sur 1,12 m), le visage de l’Homme crucifié se discerne à peine. Il est ainsi, en lui-même, un mystère. Les regards convergent, en silence. La sobriété est ici le maître mot.
LE SECRET DES MANUSCRITS DE LA MER MORTE
Bibliothèque nationale de France
Jusqu'au 11 juillet
Les manuscrits de Qumrân ! Ils ont fait couler beaucoup d’encre et provoqué tant de débats, depuis leur découverte en 1947. On ne peut pourtant résumer Qumrân à la belle histoire de sa découverte – un jeune bédouin à la recherche d’une chèvre tombe sur une grotte dans les falaises calcaires du Wadi Qumrân, au nord-ouest de la mer Morte (à l’époque en Jordanie).suite La Croix
Des moines bénédictins ont à la demande de la famille royale italienne ainsi que du Vatican caché le Saint Suaire que voulait s’approprier Hitler. Andrea Cardin, actuellement directeur de la bibliothèque du monastère de Monte Virgin en Campagne, raconte que le Führer, passionné de doctrines ésotériques, collectionnait toute sorte de reliques. On pouvait à l’époque craindre que les nazis essayent de s’approprier le Saint Suaire.
En 1943 les nazis firent irruption dans le monastère et y procédèrent à une perquisition. Tous les frères se groupèrent autour de l’autel et se mirent à prier. Le Suaire était enfoui profondément sous l’autel. Les nazis ne le trouvèrent pas. Ce n’est qu’en 1946 que le dernier roi d’Italie Umberto II ordonna de réintégrer le Saint Suaire dans la cathédrale de Turin.
Traduction Nicolas M.
Lien Bogoslov.ru
A Turin, le linceul est une aide à la foi et à la prière
À l’occasion de l’ostension du suaire, le diocèse de Turin propose un parcours méditatif et sobre autour de l’Homme crucifié ...suite
En 1943 les nazis firent irruption dans le monastère et y procédèrent à une perquisition. Tous les frères se groupèrent autour de l’autel et se mirent à prier. Le Suaire était enfoui profondément sous l’autel. Les nazis ne le trouvèrent pas. Ce n’est qu’en 1946 que le dernier roi d’Italie Umberto II ordonna de réintégrer le Saint Suaire dans la cathédrale de Turin.
Traduction Nicolas M.
Lien Bogoslov.ru
A Turin, le linceul est une aide à la foi et à la prière
À l’occasion de l’ostension du suaire, le diocèse de Turin propose un parcours méditatif et sobre autour de l’Homme crucifié ...suite
Le 11 avril centième anniversaire de la naissance de l’archimandrite Jean (Krestiankine)
L’archimandrite Jean moine du monastère des Grottes de Pskov a été rappelé à Dieu en février 2006, il était âgé de 95 ans. Il était vénéré par tous les orthodoxes en Russie et dans le monde car l’un des derniers confesseurs starets. Des centaines de fidèles affluaient chaque jour vers sa cellule pendant près de quarante ans afin de lui faire part de leurs joies et de leurs chagrins, de bénéficier de sa guidance spirituelle.
Le père Jean est né à Orel le 11 avril 1910. Enfant, il servait les liturgies qu’officiait Mgr Séraphin (Ostrooumov), archevêque d’Orel. A la suite de ses études secondaires il s’inscrit à des cours de comptabilité et s’installe à Moscou où il trouve un emploi.
C’est en externe que le futur père Jean s’inscrit au séminaire. Il fait partie de la promotion 1950 de l’académie de théologie de Moscou et y prépare une thèse qu’il ne réussit pas à soutenir car dans la nuit du 30 avril 1950 il est arrêté. Ses activités pastorales lui valent une condamnation de sept ans dans les camps de rééducation par le travail. Le 15 février 1955 il est libéré avant terme.
L’archimandrite Jean moine du monastère des Grottes de Pskov a été rappelé à Dieu en février 2006, il était âgé de 95 ans. Il était vénéré par tous les orthodoxes en Russie et dans le monde car l’un des derniers confesseurs starets. Des centaines de fidèles affluaient chaque jour vers sa cellule pendant près de quarante ans afin de lui faire part de leurs joies et de leurs chagrins, de bénéficier de sa guidance spirituelle.
Le père Jean est né à Orel le 11 avril 1910. Enfant, il servait les liturgies qu’officiait Mgr Séraphin (Ostrooumov), archevêque d’Orel. A la suite de ses études secondaires il s’inscrit à des cours de comptabilité et s’installe à Moscou où il trouve un emploi.
C’est en externe que le futur père Jean s’inscrit au séminaire. Il fait partie de la promotion 1950 de l’académie de théologie de Moscou et y prépare une thèse qu’il ne réussit pas à soutenir car dans la nuit du 30 avril 1950 il est arrêté. Ses activités pastorales lui valent une condamnation de sept ans dans les camps de rééducation par le travail. Le 15 février 1955 il est libéré avant terme.
Le communiqué de l’exarchat des églises russes du patriarcat de Constantinople en Europe occidentale, intitulé "La Fédération de Russie choisit le moment de la Semaine Sainte pour réclamer la gestion de la cathédrale orthodoxe de Nice", nous paraît être une manœuvre de désinformation indigne:
Aussi, nous croyons opportun de publier ci-dessous les deux lettres adressées le 10 et le 31 mars dernier à l'avocat de l'ACOR par le cabinet Confino qui représente la Fédération de Russie.
Rappelons qu’il s’agit là d’une procédure civile n’ayant rien à voir avec le calendrier religieux.
l’équipe de rédaction
Destinataire: Monsieur Antoine CHATAIN Paris, le 10 mars 2010
Avocat à la Cour
STASI & ASSOCIES
2 avenue Hoche
75008 Paris
Mon Cher Confrère,
Le jugement rendu le 20 janvier 2010 par le Tribunal de grande instance de Nice a dit que la Fédération de Russie est le seul et légitime propriétaire de la Cathédrale russe orthodoxe de Nice et qu’elle est en droit de reprendre juridiquement l’exercice des attributs et charges de l’édifice depuis l’expiration du bail emphytéotique survenue le 31 décembre 2007.
Aussi, nous croyons opportun de publier ci-dessous les deux lettres adressées le 10 et le 31 mars dernier à l'avocat de l'ACOR par le cabinet Confino qui représente la Fédération de Russie.
Rappelons qu’il s’agit là d’une procédure civile n’ayant rien à voir avec le calendrier religieux.
l’équipe de rédaction
Destinataire: Monsieur Antoine CHATAIN Paris, le 10 mars 2010
Avocat à la Cour
STASI & ASSOCIES
2 avenue Hoche
75008 Paris
Mon Cher Confrère,
Le jugement rendu le 20 janvier 2010 par le Tribunal de grande instance de Nice a dit que la Fédération de Russie est le seul et légitime propriétaire de la Cathédrale russe orthodoxe de Nice et qu’elle est en droit de reprendre juridiquement l’exercice des attributs et charges de l’édifice depuis l’expiration du bail emphytéotique survenue le 31 décembre 2007.
Chers amis,
L'association des Amis de la Cathédrale Orthodoxe Russe Saint-Nicolas de Nice (AACOR-SNN) est maintenant active. Je vous invite à soutenir son action en nous y rejoignant.
N'hésitez pas également à assurer la plus grande diffusion possible à ce bulletin d'adhésion!
Pierre de Fermor
Président
AACOR-SNN
Pour ce faire, il vous suffit de retourner le bulletin d'adhésion (ci-joint à l'adresse suivante)
Bulletin d’adhésion
L’AACOR-SNN est une association à but non lucratif, régie par la Loi de 1901, créée afin de:
- rassembler dans une structure amicale les personnes profondément attachées à l’image de la Cathédrale orthodoxe russe Saint-Nicolas de Nice en tant que trait d’union et symbole d’amitié entre la France et la Russie dans le paysage niçois;
- constituer une structure d’information, de communication et d’action pour tout ce qui a trait à la conservation et à la valorisation de la Cathédrale Saint-Nicolas;
L'association des Amis de la Cathédrale Orthodoxe Russe Saint-Nicolas de Nice (AACOR-SNN) est maintenant active. Je vous invite à soutenir son action en nous y rejoignant.
N'hésitez pas également à assurer la plus grande diffusion possible à ce bulletin d'adhésion!
Pierre de Fermor
Président
AACOR-SNN
Pour ce faire, il vous suffit de retourner le bulletin d'adhésion (ci-joint à l'adresse suivante)
Bulletin d’adhésion
L’AACOR-SNN est une association à but non lucratif, régie par la Loi de 1901, créée afin de:
- rassembler dans une structure amicale les personnes profondément attachées à l’image de la Cathédrale orthodoxe russe Saint-Nicolas de Nice en tant que trait d’union et symbole d’amitié entre la France et la Russie dans le paysage niçois;
- constituer une structure d’information, de communication et d’action pour tout ce qui a trait à la conservation et à la valorisation de la Cathédrale Saint-Nicolas;
L'unique réalité qui ne change pas
Le 13 avril 2010 - Eucharistie Sacrement de la Miséricorde - Nous publions ci-dessous une réflexion de Sa Sainteté Cyrille, patriarche de Moscou et de toutes les Russies, pour la fête de Pâques:
Essayons de nous poser une question: existe-t-il au moins une chose d'immuable dans ce monde qui change constamment? Il ne s'agit pas bien évidemment de nos sentiments personnels, des convictions et des souvenirs, qui constituent le microcosme de l'individualité humaine et qui sont destinés tôt ou tard à disparaître de la vie terrestre avec nous, leurs titulaires sur terre.
Ce n'est pas non plus notre planète, sur laquelle, depuis l'époque d'Adam et Eve, s'écoule l'existence du genre humain, étant donné que l'histoire géologique atteste qu'à la place des déserts et hautes montagnes actuels, s'étendaient autrefois les eaux de l'océan et que même les pôles magnétiques de la terre se déplacent périodiquement. ...suite Eucharistie Sacrement de la Miséricorde
Le 13 avril 2010 - Eucharistie Sacrement de la Miséricorde - Nous publions ci-dessous une réflexion de Sa Sainteté Cyrille, patriarche de Moscou et de toutes les Russies, pour la fête de Pâques:
Essayons de nous poser une question: existe-t-il au moins une chose d'immuable dans ce monde qui change constamment? Il ne s'agit pas bien évidemment de nos sentiments personnels, des convictions et des souvenirs, qui constituent le microcosme de l'individualité humaine et qui sont destinés tôt ou tard à disparaître de la vie terrestre avec nous, leurs titulaires sur terre.
Ce n'est pas non plus notre planète, sur laquelle, depuis l'époque d'Adam et Eve, s'écoule l'existence du genre humain, étant donné que l'histoire géologique atteste qu'à la place des déserts et hautes montagnes actuels, s'étendaient autrefois les eaux de l'océan et que même les pôles magnétiques de la terre se déplacent périodiquement. ...suite Eucharistie Sacrement de la Miséricorde
Ce texte nous a été adressé par Petia S. en tant que commentaire. Nous avons préféré en faire un post.
Chère Marie,
Le malaise ressenti dans votre paroisse et dans d'autres paroisses ou communautés de l'archevêché est le reflet à petite échelle de ce qui se passe dans le diocèse en général à grande échelle. Le statut de cathédrale, qui se veut le centre et le chœur de l’entité ecclésiale, exacerbe également ce malaise.
Les questions que vous soulevez sont de tout premier ordre mais la principale d'entre elle concerne l'avenir. En ne se voilant pas la face, à court terme, les tensions auxquelles nous assistons ne feront que s'accroitre, la partie de l'archevêché cherchant à assoir son autorité et manipulant l'archevêque comme garantie, sous prétexte d’une Orthodoxie ultra-œcuménique, et l'autre partie cherchant à conserver, cultiver et transmettre l'âme et la tradition ecclésiale slave, le tout dans un contexte judiciaire plus qu’intense qui n’est pas près de se calmer.
Chère Marie,
Le malaise ressenti dans votre paroisse et dans d'autres paroisses ou communautés de l'archevêché est le reflet à petite échelle de ce qui se passe dans le diocèse en général à grande échelle. Le statut de cathédrale, qui se veut le centre et le chœur de l’entité ecclésiale, exacerbe également ce malaise.
Les questions que vous soulevez sont de tout premier ordre mais la principale d'entre elle concerne l'avenir. En ne se voilant pas la face, à court terme, les tensions auxquelles nous assistons ne feront que s'accroitre, la partie de l'archevêché cherchant à assoir son autorité et manipulant l'archevêque comme garantie, sous prétexte d’une Orthodoxie ultra-œcuménique, et l'autre partie cherchant à conserver, cultiver et transmettre l'âme et la tradition ecclésiale slave, le tout dans un contexte judiciaire plus qu’intense qui n’est pas près de se calmer.
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