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"La plénitude de la vénération rendue aux icônes, que ce soit dans la production des icônes ou dans la prière devant elles, ne peut pas être isolée de la totalité de la foi parce que, comme l’indiquent les prières de bénédiction, cette vénération puise essentiellement à la même source théologique que tout notre culte d’adoration.
Il se peut qu’elle ne soit qu’un ruisseau parmi tant d’autres, mais l’eau est la même, laquelle monte de l’unique source de la seule Église." Mère Thekla (1)
Nous connaissons tous le rite de bénédiction des icônes et nous pensons qu'il fait intrinsèquement partie de la tradition orthodoxe.
Certains en contestent pourtant le bien fondé en arguant qu'il est apparu tardivement: sans remonter au 1er millénaire (l'absence de rite de consécration servit d'argument aux iconoclastes pour nier la sainteté des icônes), cette pratique n'avait certainement pas cours en Russie avant les réformes Nikonniennes (1653-1656) puisque les Vieux-Croyants n'y ont pas recours.
UN RITE TARDIF
Le rite de bénédiction des icônes est inscrit pour la première fois dans les offices orthodoxes peu avant ces réformes, dans le Trebnik (2) slavon du saint métropolite de Kiev Pierre Moghila (1646)(3); il suit de près le "Rituale Romanum" catholique (1614), qui codifie l’antique usage de bénir de nombreux biens à l’intérieur de la messe, à la fin du canon. Ce bref vade-mecum est axé sur la discipline des sacrements, alors battue en brèche par les Protestants.
Il se peut qu’elle ne soit qu’un ruisseau parmi tant d’autres, mais l’eau est la même, laquelle monte de l’unique source de la seule Église." Mère Thekla (1)
Nous connaissons tous le rite de bénédiction des icônes et nous pensons qu'il fait intrinsèquement partie de la tradition orthodoxe.
Certains en contestent pourtant le bien fondé en arguant qu'il est apparu tardivement: sans remonter au 1er millénaire (l'absence de rite de consécration servit d'argument aux iconoclastes pour nier la sainteté des icônes), cette pratique n'avait certainement pas cours en Russie avant les réformes Nikonniennes (1653-1656) puisque les Vieux-Croyants n'y ont pas recours.
UN RITE TARDIF
Le rite de bénédiction des icônes est inscrit pour la première fois dans les offices orthodoxes peu avant ces réformes, dans le Trebnik (2) slavon du saint métropolite de Kiev Pierre Moghila (1646)(3); il suit de près le "Rituale Romanum" catholique (1614), qui codifie l’antique usage de bénir de nombreux biens à l’intérieur de la messe, à la fin du canon. Ce bref vade-mecum est axé sur la discipline des sacrements, alors battue en brèche par les Protestants.
Rédigé par Parlons D'orthodoxie le 20 Mai 2020 à 03:06
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Pendant la Seconde Guerre mondiale, de nombreux citoyens russes et soviétiques ont rejoint les rangs de la Résistance pour lutter contre l'occupation nazie côte à côte avec le peuple français. Aujourd'hui, nous revenons sur leur histoire.
Si la Résistance française a joué un rôle clé dans le combat contre l’occupation allemande, on aborde rarement la question de la participation étrangère, et notamment l’engagement des personnes d’origine russe, dans la lutte contre l’Allemagne nazie. Et pourtant, ils furent nombreux à combattre avec les Français contre l'ennemi commun. En cette période historique tragique, les destins des Russes et des Français se sont croisés.
Selon le dernier recensement réalisé avant la guerre en 1936, la France comptait près de 80 000 Russes ou naturalisés d’origine russe. Beaucoup d’entre eux sont venus en Europe à la suite de la révolution de 1917. Certains exilés, tantôt appelés Russes blancs, tantôt émigrés de la première vague, ont après le drame du déracinement rejoint la Résistance dès la première année de l’occupation pour défendre la France et ses valeurs.
Si la Résistance française a joué un rôle clé dans le combat contre l’occupation allemande, on aborde rarement la question de la participation étrangère, et notamment l’engagement des personnes d’origine russe, dans la lutte contre l’Allemagne nazie. Et pourtant, ils furent nombreux à combattre avec les Français contre l'ennemi commun. En cette période historique tragique, les destins des Russes et des Français se sont croisés.
Selon le dernier recensement réalisé avant la guerre en 1936, la France comptait près de 80 000 Russes ou naturalisés d’origine russe. Beaucoup d’entre eux sont venus en Europe à la suite de la révolution de 1917. Certains exilés, tantôt appelés Russes blancs, tantôt émigrés de la première vague, ont après le drame du déracinement rejoint la Résistance dès la première année de l’occupation pour défendre la France et ses valeurs.
Prêtre Andrew Phillips
INTRODUCTION
Nous entendons parfois des gens raconter comment ils en sont venus à rejoindre l'Eglise Orthodoxe. Bien que chaque histoire soit intéressante, et parfois même extraordinaire, je pense que les histoires racontant comment des gens sont restés de fidèles Chrétiens Orthodoxes malgré les tentations seront de plus grande utilité. Comme il est écrit dans l'Evangile : "C'est à votre constance que vous devrez votre salut" (Luc 21,19).
De plus, je n'ai pas intitulé cet entretien "Comment entrer dans l'Eglise Orthodoxe" mais "Comment devenir et rester un Chrétien Orthodoxe."
Car rejoindre l'Eglise Orthodoxe ou devenir un membre de l'Eglise Orthodoxe, cela concerne des changements externes, et ce n'est pas la même chose que "devenir un Chrétien Orthodoxe," qui concerne des changements intérieurs. Et rester un Chrétien Orthodoxe est encore plus important, c'est pourquoi j'ai consacré 3 fois plus de temps à cette partie-là qu'à comment devenir Chrétien Orthodoxe.
INTRODUCTION
Nous entendons parfois des gens raconter comment ils en sont venus à rejoindre l'Eglise Orthodoxe. Bien que chaque histoire soit intéressante, et parfois même extraordinaire, je pense que les histoires racontant comment des gens sont restés de fidèles Chrétiens Orthodoxes malgré les tentations seront de plus grande utilité. Comme il est écrit dans l'Evangile : "C'est à votre constance que vous devrez votre salut" (Luc 21,19).
De plus, je n'ai pas intitulé cet entretien "Comment entrer dans l'Eglise Orthodoxe" mais "Comment devenir et rester un Chrétien Orthodoxe."
Car rejoindre l'Eglise Orthodoxe ou devenir un membre de l'Eglise Orthodoxe, cela concerne des changements externes, et ce n'est pas la même chose que "devenir un Chrétien Orthodoxe," qui concerne des changements intérieurs. Et rester un Chrétien Orthodoxe est encore plus important, c'est pourquoi j'ai consacré 3 fois plus de temps à cette partie-là qu'à comment devenir Chrétien Orthodoxe.
« Il semblerait que certains aient profité des derniers jours du confinement pour mettre en action un bien triste plan, la destruction de la croix qui ornait le sommet du pic Saint-Loup. La croix en fer paraît avoir été découpée au chalumeau à sa base comme le montrent certaines photos.
Un acte qui a été revendiqué par des tags « Pic Laïque » et « Witch Power » [« pouvoir sorcier »] ne laissant que peu de doute sur les intentions christianophobes des vandales.
Une enquête est menée actuellement par la gendarmerie.
Si le pic Saint-Loup est surtout connu aujourd’hui pour être un lieu de tourisme, de randonnée, d’escalade (et de vignoble), la montagne garde un caractère sacré qui ne doit certainement pas plaire à quelques extrémistes de la laïcité.
Un acte qui a été revendiqué par des tags « Pic Laïque » et « Witch Power » [« pouvoir sorcier »] ne laissant que peu de doute sur les intentions christianophobes des vandales.
Une enquête est menée actuellement par la gendarmerie.
Si le pic Saint-Loup est surtout connu aujourd’hui pour être un lieu de tourisme, de randonnée, d’escalade (et de vignoble), la montagne garde un caractère sacré qui ne doit certainement pas plaire à quelques extrémistes de la laïcité.
Le métropolite Hilarion de Volokolamsk, président du Département des relations ecclésiastiques extérieures du Patriarcat de Moscou, a exposé pour RIA-Novosti la position de l’Église orthodoxe russe sur l’arrestation au Monténégro de l’évêque Joannice, ordinaire du diocèse de Budimlje-Nikšić, et de sept clercs de la cathédrale de Nikšić. L’archipasteur a fait la déclaration suivante :
L’Église orthodoxe russe est profondément alarmée de l’arrestation pour trois jours, par la police monténégrine, de l’évêque Joannice de Budimlje-Nikšić et de sept clercs de la cathédrale de Nikšić, ainsi que des renseignements qui lui parviennent sur le traitement humiliant infligé à ces ecclésiastiques orthodoxes.
L’Église orthodoxe russe est profondément alarmée de l’arrestation pour trois jours, par la police monténégrine, de l’évêque Joannice de Budimlje-Nikšić et de sept clercs de la cathédrale de Nikšić, ainsi que des renseignements qui lui parviennent sur le traitement humiliant infligé à ces ecclésiastiques orthodoxes.
Vladimir, le prince de Kiev avait deux fils, Sviatopolk et Iaroslav lorsqu'il épousa la princesse byzantine Anne.
Le baptême de leurs sujets et du prince fut un des fruits de ce mariage. La naissance de Gleb, puis de Boris quelques années plus tard, en fut le second fruit.
Lire Vladimir le BEAU SOLEIL (980-1015) et le Baptême de la Russie
Vladimir avait désigné ces deux jeunes princes comme ses héritiers, ce qui ne fut pas du goût des deux autres, en particulier Sviatopolk qui entra en guerre contre ses deux demi-frères. Boris et Gleb refusèrent de se défendre pour ne pas verser le sang. Ils furent assassinés à l'âge de 20 ans et de 15 ans. Leur autre demi-frère les vengea et, devenu prince de Kiev, promut leur culte.
La piété russe s'attacha à la figure de ces deux jeunes princes et en fit les symboles de la souffrance innocente à l'image de l'immolation du Christ.
Le baptême de leurs sujets et du prince fut un des fruits de ce mariage. La naissance de Gleb, puis de Boris quelques années plus tard, en fut le second fruit.
Lire Vladimir le BEAU SOLEIL (980-1015) et le Baptême de la Russie
Vladimir avait désigné ces deux jeunes princes comme ses héritiers, ce qui ne fut pas du goût des deux autres, en particulier Sviatopolk qui entra en guerre contre ses deux demi-frères. Boris et Gleb refusèrent de se défendre pour ne pas verser le sang. Ils furent assassinés à l'âge de 20 ans et de 15 ans. Leur autre demi-frère les vengea et, devenu prince de Kiev, promut leur culte.
La piété russe s'attacha à la figure de ces deux jeunes princes et en fit les symboles de la souffrance innocente à l'image de l'immolation du Christ.
Le métropolite Hilarion, responsable du Département synodal pour les relations extérieures de l'Église, s'est prononcé contre la mosaïque avec Staline sur le mur de l'église principale des Forces armées russes à Koubinka, dans la région de Moscou.
"Je pense que, bien sûr, il ne devrait pas y avoir d'image de Staline dans une église orthodoxe, parce que Staline était un persécuteur de l'Église,il a sur la conscience le sang de millions de victimes, y compris les nouveaux martyrs et confesseurs de l'Église russe", a déclaré le métropolite dans l'émission "Église et monde "sur la chaîne" Russia 24 "(VGTRK).
De plus, a-t-il ajouté, le temple n'est pas une salle d'exposition, pas un panorama de Borodino, pas l'endroit où les défilés militaires devraient être représentés. "Le temple est un lieu de prière, et je pense que toute la décoration du temple - devrait être subordonnée à cet objectif"
"Je pense que, bien sûr, il ne devrait pas y avoir d'image de Staline dans une église orthodoxe, parce que Staline était un persécuteur de l'Église,il a sur la conscience le sang de millions de victimes, y compris les nouveaux martyrs et confesseurs de l'Église russe", a déclaré le métropolite dans l'émission "Église et monde "sur la chaîne" Russia 24 "(VGTRK).
De plus, a-t-il ajouté, le temple n'est pas une salle d'exposition, pas un panorama de Borodino, pas l'endroit où les défilés militaires devraient être représentés. "Le temple est un lieu de prière, et je pense que toute la décoration du temple - devrait être subordonnée à cet objectif"
A Saint-Pétersbourg les prêtres devront abandonner la soutane avant de visiter les malades. Les médecins de l'hôpital pour enfants n ° 2 de Marie-Madeleine ont remercié un groupe de membres du clergé pour avoir nourri des patients infectés par un coronavirus avec des mesures de sécurité lors de leurs visites, a rapporté le service de presse du diocèse de Saint-Pétersbourg.
Le médecin-chef de l'hôpital Avtandil Mikawa, lors d'une réunion avec le clergé, a demandé que des précautions soient prises pour prévenir l'infection - porter des gants, un masque, des lunettes et une combinaison spéciale.
"Je communique constamment avec des médecins en Israël, en Amérique, en Europe occidentale - ils confirment que les mesures de précaution et les précautions protègent contre l'infection. Avouer et prendre part aux malades est le devoir du pasteur. Nous devons être avec les malades, car le Seigneur nous a donné cette épreuve. Nous devons être prudents, mais vous n'avez pas à avoir peur ", cite Mikawa, le service de presse du diocèse.
Le médecin-chef de l'hôpital Avtandil Mikawa, lors d'une réunion avec le clergé, a demandé que des précautions soient prises pour prévenir l'infection - porter des gants, un masque, des lunettes et une combinaison spéciale.
"Je communique constamment avec des médecins en Israël, en Amérique, en Europe occidentale - ils confirment que les mesures de précaution et les précautions protègent contre l'infection. Avouer et prendre part aux malades est le devoir du pasteur. Nous devons être avec les malades, car le Seigneur nous a donné cette épreuve. Nous devons être prudents, mais vous n'avez pas à avoir peur ", cite Mikawa, le service de presse du diocèse.
Votre Sainteté !
En 2020, dans le quartier Odintsovo de la région de Moscou, un temple-monument consacré à la Résurrection du Christ, le temple principal des Forces armées de la Fédération de Russie, devrait être inauguré.
De nombreuses sources, nous avons appris que dans ce temple apparaîtra la représentation d'un portrait de Joseph Staline porté par les participants au défilé de la victoire sur la place Rouge à Moscou. Malgré le fait que cette image ne soit pas une icône, l'apparition même du portrait de Staline dans l'Église de Dieu, dans un contexte complètement positif et glorifiant, deviendra une tentation pénible pour de nombreux croyants en Russie et dans d'autres pays.
Staline était le chef d'un parti politique qui professait l'athéisme militante, il a lancé des répressions anti-religieuses massives. Au cours des décennies de son règne - et avec son consentement - de nombreuses personnes innocentes ont été soumises aux tourments et à la mort, notamment des évêques, des prêtres et des laïcs de l'Église orthodoxe russe. La plupart des églises et des monastères ont été détruits ou fermés.
En 2020, dans le quartier Odintsovo de la région de Moscou, un temple-monument consacré à la Résurrection du Christ, le temple principal des Forces armées de la Fédération de Russie, devrait être inauguré.
De nombreuses sources, nous avons appris que dans ce temple apparaîtra la représentation d'un portrait de Joseph Staline porté par les participants au défilé de la victoire sur la place Rouge à Moscou. Malgré le fait que cette image ne soit pas une icône, l'apparition même du portrait de Staline dans l'Église de Dieu, dans un contexte complètement positif et glorifiant, deviendra une tentation pénible pour de nombreux croyants en Russie et dans d'autres pays.
Staline était le chef d'un parti politique qui professait l'athéisme militante, il a lancé des répressions anti-religieuses massives. Au cours des décennies de son règne - et avec son consentement - de nombreuses personnes innocentes ont été soumises aux tourments et à la mort, notamment des évêques, des prêtres et des laïcs de l'Église orthodoxe russe. La plupart des églises et des monastères ont été détruits ou fermés.
Un service à la mémoire des victimes de la Seconde Guerre mondiale aura lieu vendredi, à la veille du jour de la victoire, dans la cathédrale anglicane Saint-André à Moscou, quelques prières seront exécutées par la chanteuse d'opéra Svetlana Kasyan, qui s'est récemment remise d'un coronavirus.
Les ambassadeurs des États-Unis et de la Grande-Bretagne sont attendus au service, Malcolm Rogers, représentant officiel de l'Église anglicane en Russie, prononcera un discours de bienvenue aux paroissiens. La diffusion en direct sera sur le site Internet du temple
Les ambassadeurs des États-Unis et de la Grande-Bretagne sont attendus au service, Malcolm Rogers, représentant officiel de l'Église anglicane en Russie, prononcera un discours de bienvenue aux paroissiens. La diffusion en direct sera sur le site Internet du temple
ХРИСТОС ВОСКРЕСЕ !
Votre Sainteté,
C’est avec gratitude, joie et reconnaissance que nous avons appris votre décision d’interdire que la représentation de Staline figure sur la fresque (mosaïque) parmi les soldats qui ont donnés leur vie pour la Russie.
Que notre Seigneur Jésus Christ ressuscité soit loué.
À vous, Votre Sainteté notre Patriarche - longue vie ! Soyez remercié pour votre sagesse.
En effet votre décision courageuse nous permet de répondre clairement à ceux qui nous reprochaient de rejoindre le Patriarcat de Moscou, que notre Église Mère est libre et que notre Patriarche Cyrille mène son troupeau selon la volonté de Dieu.
Votre Sainteté,
C’est avec gratitude, joie et reconnaissance que nous avons appris votre décision d’interdire que la représentation de Staline figure sur la fresque (mosaïque) parmi les soldats qui ont donnés leur vie pour la Russie.
Que notre Seigneur Jésus Christ ressuscité soit loué.
À vous, Votre Sainteté notre Patriarche - longue vie ! Soyez remercié pour votre sagesse.
En effet votre décision courageuse nous permet de répondre clairement à ceux qui nous reprochaient de rejoindre le Patriarcat de Moscou, que notre Église Mère est libre et que notre Patriarche Cyrille mène son troupeau selon la volonté de Dieu.
Moscou, 29 avril, Blagovest-info.
Le temple principal des Forces armées de la Fédération de Russie, qui est en cours de construction dans le Patriot Park à l'occasion du 75e anniversaire de la Victoire, avec les mosaïques représentant des hommes d’État et en particulier Joseph Staline sont devenues l'objet de vives discussions. La radio de Saint-Pétersbourg «Grad Petrov» a pris part à cette controverse le 28 avril, dans l'émission « Cultural Reaction ».
Des membres connus du clergé et des historiens de l'art se sont exprimés. Aucun d'entre eux n'a soutenu l'idée de représenter des personnalités politiques et Staline en particulier sur les murs de l'église. Ils ont tous vivement condamné ce projet l'interprétant dans le contexte de la tradition et du renouveau actuel de l'église.
«La représentation d'images profanes dans l'espace sacré du temple est un abaissement spirituel terrible. Le temple nous ouvre un espace dans les hauts plateaux, mais ce n'est pas la tâche du temple de nous plonger dans les problèmes de la vie politique ou même héroïque d'aujourd'hui », a déclaré l'archiprêtre Alexander Stepanov, rédacteur en chef de la station de radio "Grad Petrov".
Le temple principal des Forces armées de la Fédération de Russie, qui est en cours de construction dans le Patriot Park à l'occasion du 75e anniversaire de la Victoire, avec les mosaïques représentant des hommes d’État et en particulier Joseph Staline sont devenues l'objet de vives discussions. La radio de Saint-Pétersbourg «Grad Petrov» a pris part à cette controverse le 28 avril, dans l'émission « Cultural Reaction ».
Des membres connus du clergé et des historiens de l'art se sont exprimés. Aucun d'entre eux n'a soutenu l'idée de représenter des personnalités politiques et Staline en particulier sur les murs de l'église. Ils ont tous vivement condamné ce projet l'interprétant dans le contexte de la tradition et du renouveau actuel de l'église.
«La représentation d'images profanes dans l'espace sacré du temple est un abaissement spirituel terrible. Le temple nous ouvre un espace dans les hauts plateaux, mais ce n'est pas la tâche du temple de nous plonger dans les problèmes de la vie politique ou même héroïque d'aujourd'hui », a déclaré l'archiprêtre Alexander Stepanov, rédacteur en chef de la station de radio "Grad Petrov".
Le Christ est Ressuscité! - en trois langues
Лаура Оника, Анна Димитрова, Даниил Набережный, священник Сергий Ким - Laura Onika, Anna Dimitrova, Daniel Naberejny, p. Serge Kim
Лаура Оника, Анна Димитрова, Даниил Набережный, священник Сергий Ким - Laura Onika, Anna Dimitrova, Daniel Naberejny, p. Serge Kim
Le coronavirus a frappé un grand nombre de membres du clergé du patriarcat de Moscou. Le monastère Sainte Elisabeth en Belarus a été également lourdement frappé. La laure de Potchaïev, en Ukraine occidentale, a annoncé sur son site officiel sa mise en quarantaine à partir du 21 avril à 10h. La situation a été commentée par le doyen-adjoint de la laure, le hiéromoine Nicodème (Chamaïlo) : « Du fait que la ville de Potchaïev – où 13 personnes ont été infectées par le coronavirus durant les dernières vingt-quatre heures – a été fermée pour quarantaine, la décision a été prise de fermer aussi notre monastère pour quarantaine.
Le clergé de Moscou a été victime de l'épidémie, on compte plusieurs décès dans ses rangs.
Selon l'ordre des autorités sanitaires, en lien avec la menace d'émergence et de propagation du coronavirus, le monastère Saint Séraphin de Diveevo est en quarantaine depuis le 25 avril, a annoncé samedi le service de presse de la métropole de Nijnyi Novgorod.
"Parmi les sœurs vivant dans le monastère, il y a des cas de rhume. Il y a des sœurs qui ont été diagnostiquées avec une pneumonie et un coronavirus confirmé (COVID-19) au stade initial . Toutes les sœurs malades sont isolées et sont dans le centre médical du monastère sous la supervision de médecins ", indique le rapport.
Le clergé de Moscou a été victime de l'épidémie, on compte plusieurs décès dans ses rangs.
Selon l'ordre des autorités sanitaires, en lien avec la menace d'émergence et de propagation du coronavirus, le monastère Saint Séraphin de Diveevo est en quarantaine depuis le 25 avril, a annoncé samedi le service de presse de la métropole de Nijnyi Novgorod.
"Parmi les sœurs vivant dans le monastère, il y a des cas de rhume. Il y a des sœurs qui ont été diagnostiquées avec une pneumonie et un coronavirus confirmé (COVID-19) au stade initial . Toutes les sœurs malades sont isolées et sont dans le centre médical du monastère sous la supervision de médecins ", indique le rapport.
Cet office a lieu devant le coin d’icônes
Quelqu'un parmi vous est-il dans la souffrance? Qu'il prie. Quelqu'un est-il dans la joie? Qu'il chante des cantiques. Quelqu'un parmi vous est-il malade? Qu'il appelle les anciens de l'Église, et que les anciens prient pour lui, en l'oignant d'huile au nom du Seigneur ; la prière de la foi sauvera le malade, et le Seigneur le relèvera; et s'il a commis des péchés, il lui sera pardonné. Confessez donc vos péchés les uns aux autres, et priez les uns pour les autres, afin que vous soyez guéris. La prière fervente du juste a une grande efficace. (Jacques 5 :13-16)
Cet office se fait en l’absence de prêtre, un membre de la famille faisant office de lecteur
Tous: Ô Dieu, purifie-moi, pécheur, et aie pitié de moi ! (3 fois)
Lecteur : Par les prières de nos saints Pères, Seigneur Jésus-Christ notre Dieu, aie pitié de nous.
Tous : Saint Dieu, Saint Fort, Saint Immortel, aie pitié de nous. (3 fois)
Gloire au Père, et au Fils et au Saint-Esprit, et maintenant et toujours, et dans les siècles des siècles. Amen.
Très Sainte Trinité, aie pitié de nous. Seigneur, purifie-nous de nos péchés. Maître, pardonne nos iniquités. Saint, visite et guéris nos infirmités, à cause de Ton Nom.
Kyrie eleison ! Kyrie eleison ! Kyrie eleison !
Gloire au Père, et au Fils et au Saint-Esprit, et maintenant et toujours, et dans les siècles des siècles. Amen.
Quelqu'un parmi vous est-il dans la souffrance? Qu'il prie. Quelqu'un est-il dans la joie? Qu'il chante des cantiques. Quelqu'un parmi vous est-il malade? Qu'il appelle les anciens de l'Église, et que les anciens prient pour lui, en l'oignant d'huile au nom du Seigneur ; la prière de la foi sauvera le malade, et le Seigneur le relèvera; et s'il a commis des péchés, il lui sera pardonné. Confessez donc vos péchés les uns aux autres, et priez les uns pour les autres, afin que vous soyez guéris. La prière fervente du juste a une grande efficace. (Jacques 5 :13-16)
Cet office se fait en l’absence de prêtre, un membre de la famille faisant office de lecteur
Tous: Ô Dieu, purifie-moi, pécheur, et aie pitié de moi ! (3 fois)
Lecteur : Par les prières de nos saints Pères, Seigneur Jésus-Christ notre Dieu, aie pitié de nous.
Tous : Saint Dieu, Saint Fort, Saint Immortel, aie pitié de nous. (3 fois)
Gloire au Père, et au Fils et au Saint-Esprit, et maintenant et toujours, et dans les siècles des siècles. Amen.
Très Sainte Trinité, aie pitié de nous. Seigneur, purifie-nous de nos péchés. Maître, pardonne nos iniquités. Saint, visite et guéris nos infirmités, à cause de Ton Nom.
Kyrie eleison ! Kyrie eleison ! Kyrie eleison !
Gloire au Père, et au Fils et au Saint-Esprit, et maintenant et toujours, et dans les siècles des siècles. Amen.
Nikita Krivochéine
Traduit par Bruno Bisson
Je quittai le camp de Sosnovka en février 1961. Pâques n’était pas loin et j’attendais avec impatience cette Fête pour aller à l’église Saint-Jean-le-Guerrier, qui est rue Iakimanka, en face de l’Ambassade de France. Grâce à cette proximité, l’église ne fut pas fermée sous les Soviets. Les détenus politiques appelaient « Grand camp » tout le territoire de l’URSS. En effet, outre l’espace réservé aux promenades, à l’exception des villes sous régime spécial ( art. 39-40 « Dispositions sur les passeports » ), le choix de manger et boire, la différence n’était alors pas si grande entre l’OLP ( Camp n° ... ) et un sixième – à l’époque – de la surface du globe. Quant au choix de livres à lire ( jusqu’à l’apparition du samizdat ), que ce soit en prison ou en liberté, il était quasiment le même partout.
Avant la prison En avril 1953, le Vendredi Saint, Ivan Bruni, qui avait appris le matin même la fin de l’« affaire des médecins », m’étreignit en s’exclamant : « Nos proches vont bientôt revenir ! » Plusieurs des siens étaient détenus et moi je n’avais que mon père derrière les barreaux. Je ne le crus pas vraiment, mais les choses se passèrent pourtant ainsi. Du vivant du camarade Staline, et même tout de suite après qu’il débarrassa le plancher, l’église n’était pas pleine et les hommes d’âge moyen, sans parler des jeunes, étaient très peu nombreux. L’église de SaintJean-le-Guerrier, l’appartement moscovite de Vladimir Nikolaïevitch Beklemichev et de Nina Konstantinovna Bruni étaient pour moi des oasis de normalité, ces lieux m’offrant consolation, chacun à sa manière. Les parents de Vladimir Beklemichev avaient été les propriétaires d’un domaine voisin de celui des Krivochéine ( à Chklov, près de Moguilev ), lui avait grandi avec mon père et mes oncles Oleg et Vassili, le futur évêque de Bruxelles et de Belgique.
Seul un miracle, et Dieu en produisit une abondance sous les Soviets, sauva Beklemichev de la mort à laquelle le promettait ne fût-ce que son nom de famille. Il ne fut jamais arrêté. Au cours de toutes les « vagues d’extermination », les tchékistes tinrent peut-être compte du fait qu’il avait triomphé dans la lutte contre la malaria et qu’il était plus raisonnable de le maintenir en liberté.
Traduit par Bruno Bisson
Je quittai le camp de Sosnovka en février 1961. Pâques n’était pas loin et j’attendais avec impatience cette Fête pour aller à l’église Saint-Jean-le-Guerrier, qui est rue Iakimanka, en face de l’Ambassade de France. Grâce à cette proximité, l’église ne fut pas fermée sous les Soviets. Les détenus politiques appelaient « Grand camp » tout le territoire de l’URSS. En effet, outre l’espace réservé aux promenades, à l’exception des villes sous régime spécial ( art. 39-40 « Dispositions sur les passeports » ), le choix de manger et boire, la différence n’était alors pas si grande entre l’OLP ( Camp n° ... ) et un sixième – à l’époque – de la surface du globe. Quant au choix de livres à lire ( jusqu’à l’apparition du samizdat ), que ce soit en prison ou en liberté, il était quasiment le même partout.
Avant la prison En avril 1953, le Vendredi Saint, Ivan Bruni, qui avait appris le matin même la fin de l’« affaire des médecins », m’étreignit en s’exclamant : « Nos proches vont bientôt revenir ! » Plusieurs des siens étaient détenus et moi je n’avais que mon père derrière les barreaux. Je ne le crus pas vraiment, mais les choses se passèrent pourtant ainsi. Du vivant du camarade Staline, et même tout de suite après qu’il débarrassa le plancher, l’église n’était pas pleine et les hommes d’âge moyen, sans parler des jeunes, étaient très peu nombreux. L’église de SaintJean-le-Guerrier, l’appartement moscovite de Vladimir Nikolaïevitch Beklemichev et de Nina Konstantinovna Bruni étaient pour moi des oasis de normalité, ces lieux m’offrant consolation, chacun à sa manière. Les parents de Vladimir Beklemichev avaient été les propriétaires d’un domaine voisin de celui des Krivochéine ( à Chklov, près de Moguilev ), lui avait grandi avec mon père et mes oncles Oleg et Vassili, le futur évêque de Bruxelles et de Belgique.
Seul un miracle, et Dieu en produisit une abondance sous les Soviets, sauva Beklemichev de la mort à laquelle le promettait ne fût-ce que son nom de famille. Il ne fut jamais arrêté. Au cours de toutes les « vagues d’extermination », les tchékistes tinrent peut-être compte du fait qu’il avait triomphé dans la lutte contre la malaria et qu’il était plus raisonnable de le maintenir en liberté.
Le patriarche Cyrille a publié un décret interdisant le célèbre blogueur et protodiacre Andrei Kouraev
En réponse à votre insulte publique faite le jour de sa mort à la mémoire du recteur de la cathédrale de l'Épiphanie à Moscou, l'archiprêtre Alexandre Ageykin, malgré le deuil de sa veuve et de ses enfants , acte particulièrement cynique, qui a suscité l'indignation des évêques , clergé et laïcs de l'Église orthodoxe russe, ainsi que compte tenu de vos actes antérieurs concernant les plaintes qui m’ont été envoyées vous êtes interdit de célébrations jusqu'à la décision du tribunal ecclésial ", indique le décret publié mercredi sur le site du diocèse de Moscou.
Andrei Kouraev était autrefois l'une des figures les plus actives de l'Église orthodoxe russe, il a préconisé l'élection du métropolite Cyrille au trône patriarcal de Moscou. Peu de temps après son élection, le patriarche Cyrille a promu le diacre Andrei au rang de protodiacre.
En réponse à votre insulte publique faite le jour de sa mort à la mémoire du recteur de la cathédrale de l'Épiphanie à Moscou, l'archiprêtre Alexandre Ageykin, malgré le deuil de sa veuve et de ses enfants , acte particulièrement cynique, qui a suscité l'indignation des évêques , clergé et laïcs de l'Église orthodoxe russe, ainsi que compte tenu de vos actes antérieurs concernant les plaintes qui m’ont été envoyées vous êtes interdit de célébrations jusqu'à la décision du tribunal ecclésial ", indique le décret publié mercredi sur le site du diocèse de Moscou.
Andrei Kouraev était autrefois l'une des figures les plus actives de l'Église orthodoxe russe, il a préconisé l'élection du métropolite Cyrille au trône patriarcal de Moscou. Peu de temps après son élection, le patriarche Cyrille a promu le diacre Andrei au rang de protodiacre.
Le patriarche Cyrille a commémoré les membres du clergé décédés récemment.
Mardi, les croyants célèbrent Radonitsa. Ce jour-là, le patriarche a célébré la liturgie de la Pâque des défunts. L'office a eu lieu dans l'église Saint Alexandre de la Neva dans le monastère éponyme près de la résidence patriarcale de Peredelkino.
Pendant la liturgie, le primat a dit une prière pour le repos des âmes des membres du clergé récemment décédés ", rapporte le site Internet de l'Église orthodoxe russe.
Ces derniers jours, quatre de ses ecclésiastiques sont morts du coronavirus. La maladie a coûté la vie à l'évêque Benjamin de Zheleznogorsk et Lgovsky, à l'archiprêtre Vladimir Verigi, du clergé de la cathédrale de l’Épiphanie à Moscou, à l'archiprêtre Alexander Ageykin et au protodiacre Evgeny Trofimov
Lien В день Радоницы патриарх Кирилл помолился за упокой недавно скончавшихся клириков Русской церкви
Mardi, les croyants célèbrent Radonitsa. Ce jour-là, le patriarche a célébré la liturgie de la Pâque des défunts. L'office a eu lieu dans l'église Saint Alexandre de la Neva dans le monastère éponyme près de la résidence patriarcale de Peredelkino.
Pendant la liturgie, le primat a dit une prière pour le repos des âmes des membres du clergé récemment décédés ", rapporte le site Internet de l'Église orthodoxe russe.
Ces derniers jours, quatre de ses ecclésiastiques sont morts du coronavirus. La maladie a coûté la vie à l'évêque Benjamin de Zheleznogorsk et Lgovsky, à l'archiprêtre Vladimir Verigi, du clergé de la cathédrale de l’Épiphanie à Moscou, à l'archiprêtre Alexander Ageykin et au protodiacre Evgeny Trofimov
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Le mardi (ou le lundi dans certaines régions) de la seconde semaine après Pâques, qui s'appelle la semaine de Thomas ou de «Radonitsa», l'Eglise Orthodoxe russe célèbre «Radonitsa», le jour de joie où les défunts sont particulièrement commémorés (je ne sais pas si cette tradition se retrouve ailleurs tellement elle est peu mentionnée en français; http://en.wikipedia.org/wiki/Radonitsa ne mentionne que l'Eglise russe …
Selon Saint Jean Chrisostome (IVème siècle), une commémoration était déjà célébrée après Pâques dans les cimetières chrétiens au tout début de notre ère. Néanmoins la fête russe nous vient plutôt d'une fête printanière païenne slave qui s'appelait «Navim dnièm», «Mogilkami», «Radavanitsami» ou bien «Triznani». Ethimologiquement.
«Radonitsa» - ce nom provient du slave radost, « joie ». En Rus' de Kiev, le nom de la fête est Красная горка, Krasnaya Gorka, « Belle colline », qui a le même sens. On peut s'étonner que l'on qualifie de « joyeuse » une commémoration des morts. Toutefois, dans la foi chrétienne, la mort est liée à la Résurrection de Jésus, à la joie et à l'espérance qu'elle apporte.
De plus, la place particulière de cette fête dans le cycle liturgique annuel, juste après la lumineuse semaine de Pâques, stimule le chrétien à ne pas se morfondre de la perte de ses proches, mais au contraire à se réjouir de leur naissance dans une autre vie à la vie éternelle.
La victoire sur la mort, démontrée par la résurrection du Christ, nous enlève la peine occasionnée par l'absence temporaire de nos proches, et c'est pour cela que, selon le métropolite Antoine de Souroge, nous devons « avec foi, espoir, et vérité pascale nous tenir devant le tombeau de nos disparus ».
Selon Saint Jean Chrisostome (IVème siècle), une commémoration était déjà célébrée après Pâques dans les cimetières chrétiens au tout début de notre ère. Néanmoins la fête russe nous vient plutôt d'une fête printanière païenne slave qui s'appelait «Navim dnièm», «Mogilkami», «Radavanitsami» ou bien «Triznani». Ethimologiquement.
«Radonitsa» - ce nom provient du slave radost, « joie ». En Rus' de Kiev, le nom de la fête est Красная горка, Krasnaya Gorka, « Belle colline », qui a le même sens. On peut s'étonner que l'on qualifie de « joyeuse » une commémoration des morts. Toutefois, dans la foi chrétienne, la mort est liée à la Résurrection de Jésus, à la joie et à l'espérance qu'elle apporte.
De plus, la place particulière de cette fête dans le cycle liturgique annuel, juste après la lumineuse semaine de Pâques, stimule le chrétien à ne pas se morfondre de la perte de ses proches, mais au contraire à se réjouir de leur naissance dans une autre vie à la vie éternelle.
La victoire sur la mort, démontrée par la résurrection du Christ, nous enlève la peine occasionnée par l'absence temporaire de nos proches, et c'est pour cela que, selon le métropolite Antoine de Souroge, nous devons « avec foi, espoir, et vérité pascale nous tenir devant le tombeau de nos disparus ».
L'archiprêtre Nicolas Balachov chef adjoint du Département des relations extérieures du Patriarcat de Moscou, a contracté le coronavirus et invité ses paroissiens à un thé virtuel. Son épouse est également souffrante.
Souhaitons leur un prompt rétablissement!
"Chers amis, je dois vous informer que j'ai reçu hier le résultat du test pour le virus Covid19, que nous avons effectué mardi avec un certain nombre d'autres membres du clergé et des employés de notre paroisse. Le résultat est positif, c'est-à-dire qu'il y a un virus", a écrit samedi le père Nicolas .
Cependant, il a noté qu'il se sent bien, gloire à Dieu, et souhaite que l'épidémie cesse.
"Certains des employés et paroissiens de notre paroisse sont malades dont certains très sérieusement, tandis que d'autres sont déjà en convalescence", a ajouté le prêtre, qui est aussi le recteur de l'Église de la Résurrection.
Souhaitons leur un prompt rétablissement!
"Chers amis, je dois vous informer que j'ai reçu hier le résultat du test pour le virus Covid19, que nous avons effectué mardi avec un certain nombre d'autres membres du clergé et des employés de notre paroisse. Le résultat est positif, c'est-à-dire qu'il y a un virus", a écrit samedi le père Nicolas .
Cependant, il a noté qu'il se sent bien, gloire à Dieu, et souhaite que l'épidémie cesse.
"Certains des employés et paroissiens de notre paroisse sont malades dont certains très sérieusement, tandis que d'autres sont déjà en convalescence", a ajouté le prêtre, qui est aussi le recteur de l'Église de la Résurrection.
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