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Le dialogue en théologique entre catholiques et orthodoxes se poursuit, avec un projet de document sur la synodalité et la primauté, au service de l’unité.
La XIVe session plénière de la Commission mixte internationale pour le dialogue théologique entre l’Église catholique et l’Église orthodoxe se déroule en effet du 15 au 22 septembre à Chieti, en Italie, indique un communiqué du Saint-Siège.
Le métropolite Hilarion, président du DREE du patriarcat de Moscou, dirigera la délégation de l'Eglise orthodoxe russe à Chieti. Y doivent être débattues des questions liées à l'appréhension commune de la conciliarité ainsi que relatives à l'église greco-catholique.
Le travail de la Commission sera présidé par le cardinal Kurt Koch, président du Conseil pontifical pour la promotion de l’unité des chrétiens, et par l’archevêque Job (Getcha) de Telmessos, du Patriarcat œcuménique. La rencontre est organisée par l’Archidiocèse de Chieti-Vasto et la Conférence épiscopale italienne.
La XIVe session plénière de la Commission mixte internationale pour le dialogue théologique entre l’Église catholique et l’Église orthodoxe se déroule en effet du 15 au 22 septembre à Chieti, en Italie, indique un communiqué du Saint-Siège.
Le métropolite Hilarion, président du DREE du patriarcat de Moscou, dirigera la délégation de l'Eglise orthodoxe russe à Chieti. Y doivent être débattues des questions liées à l'appréhension commune de la conciliarité ainsi que relatives à l'église greco-catholique.
Le travail de la Commission sera présidé par le cardinal Kurt Koch, président du Conseil pontifical pour la promotion de l’unité des chrétiens, et par l’archevêque Job (Getcha) de Telmessos, du Patriarcat œcuménique. La rencontre est organisée par l’Archidiocèse de Chieti-Vasto et la Conférence épiscopale italienne.
Rédigé par Parlons D'orthodoxie le 20 Septembre 2016 à 14:40
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Une iconostase témoin des relations franco-russes durant la Grande Guerre
Irina Doubova
L’exposition "Le corps expéditionnaire russe en France durant la Première Guerre mondiale" se déroulera du 19 au 23 septembre à la résidence de l’ambassadeur russe à Paris.Cette exposition propose de découvrir des reproductions et des photographies de l’époque, divers documents et décorations, des objets du quotidien, ainsi que des correspondances épistolaires des soldats. Les photos d’une iconostase dont l’histoire est étroitement liée au destin des militaires russes dépêchés en France il y a exactement 100 ans suscitent une attention particulière.
Irina Doubova
L’exposition "Le corps expéditionnaire russe en France durant la Première Guerre mondiale" se déroulera du 19 au 23 septembre à la résidence de l’ambassadeur russe à Paris.Cette exposition propose de découvrir des reproductions et des photographies de l’époque, divers documents et décorations, des objets du quotidien, ainsi que des correspondances épistolaires des soldats. Les photos d’une iconostase dont l’histoire est étroitement liée au destin des militaires russes dépêchés en France il y a exactement 100 ans suscitent une attention particulière.
Homélie du Père GEORGES KOTCHETKOV lors de l’office des défunts célébré à la mémoire des victimes des répressions soviétiques le 29 octobre 2010.
Au nom du Père, du Fils et de l’Esprit saint,
Chers frères et sœurs, chrétiens,
Demain notre peuple commémorera — devrait commémorer — les victimes des répressions soviétiques, bien que vous et moi sachions que tous ne le feront pas. Certains n’ont rien à commémorer, parce qu’ils vivent seulement au jour le jour ou de rêves d’un futur chimérique. Et notre devoir à nous devant Dieu et les hommes, du fait de notre responsabilité devant notre patrie, notre peuple, et l’histoire présente et future, notre devoir est de le rappeler, pour purifier notre mémoire. L’inconscience est un péché. Si l’homme parfois doit oublier quelque chose — car Dieu a donné à l’homme le don de l’oubli — ce n’est absolument pas ce dont il faut se souvenir.
Nous venons de prier pour que Dieu la mémoire éternelle à tous ceux qui ont souffert et été exécutés par près d’un siècle de répressions sans précédent dans l’histoire de l’humanité, de répressions contre son propre peuple. Durant un siècle entier de notre histoire, notre terre a été couverte de sang, de larmes, de sueur et d’os humains.
Au nom du Père, du Fils et de l’Esprit saint,
Chers frères et sœurs, chrétiens,
Demain notre peuple commémorera — devrait commémorer — les victimes des répressions soviétiques, bien que vous et moi sachions que tous ne le feront pas. Certains n’ont rien à commémorer, parce qu’ils vivent seulement au jour le jour ou de rêves d’un futur chimérique. Et notre devoir à nous devant Dieu et les hommes, du fait de notre responsabilité devant notre patrie, notre peuple, et l’histoire présente et future, notre devoir est de le rappeler, pour purifier notre mémoire. L’inconscience est un péché. Si l’homme parfois doit oublier quelque chose — car Dieu a donné à l’homme le don de l’oubli — ce n’est absolument pas ce dont il faut se souvenir.
Nous venons de prier pour que Dieu la mémoire éternelle à tous ceux qui ont souffert et été exécutés par près d’un siècle de répressions sans précédent dans l’histoire de l’humanité, de répressions contre son propre peuple. Durant un siècle entier de notre histoire, notre terre a été couverte de sang, de larmes, de sueur et d’os humains.
Le métropolite Hilarion de Volokolamsk, président du Département des relations ecclésiastiques extérieures du Patriarcat de Moscou, a été reçu par le Pape François de Rome le 15 septembre 2016 au Palais apostolique du Vatican.
Le métropolite Hilarion s’est rendu en Italie avec la bénédiction de Sa Sainteté le Patriarche Cyrille de Moscou et de toute la Russie, conformément à une décision du Saint Synode, en tant que chef de la délégation de l’Église orthodoxe russe à la XIV session plénière de la Commission mixte pour le dialogue théologique entre l’Église orthodoxe et l’Église catholique romaine.
La session aura lieu à Chieti du 15 au 22 septembre.
Le Président du DREE a remis au chef de l’Église catholique romaine, de la part de Sa Sainteté le Patriarche Cyrille, une parcelle de reliques de saint Séraphin de Sarov, incrustée dans un coffret en forme d’œuf de Pâques. Le Pape de Rome a été profondément touché de ce précieux don et a demandé de transmettre à Sa Sainteté le Patriarche sa gratitude et ses salutations fraternelles.
Le métropolite Hilarion s’est rendu en Italie avec la bénédiction de Sa Sainteté le Patriarche Cyrille de Moscou et de toute la Russie, conformément à une décision du Saint Synode, en tant que chef de la délégation de l’Église orthodoxe russe à la XIV session plénière de la Commission mixte pour le dialogue théologique entre l’Église orthodoxe et l’Église catholique romaine.
La session aura lieu à Chieti du 15 au 22 septembre.
Le Président du DREE a remis au chef de l’Église catholique romaine, de la part de Sa Sainteté le Patriarche Cyrille, une parcelle de reliques de saint Séraphin de Sarov, incrustée dans un coffret en forme d’œuf de Pâques. Le Pape de Rome a été profondément touché de ce précieux don et a demandé de transmettre à Sa Sainteté le Patriarche sa gratitude et ses salutations fraternelles.
Le 9 septembre 2016 la société de construction "Bringolf" a installé sur le portail de l'église de Tous les Saints une petite coupole couronnée d'une croix .
Le chantier de l'église est financé exclusivement par des donateurs privés. Il manque deux millions d'euros pour mener les travaux à bien. L’église orthodoxe russe de Strasbourg Tous-les-Saints devrait ouvrir aux fidèles en 2017, dans le quartier du Conseil des Quinze.
Le chantier de l'église est financé exclusivement par des donateurs privés. Il manque deux millions d'euros pour mener les travaux à bien. L’église orthodoxe russe de Strasbourg Tous-les-Saints devrait ouvrir aux fidèles en 2017, dans le quartier du Conseil des Quinze.
L’archevêque Marc a nommé la moniale Marie (Sidiropoulos) higoumène. Ce fut pour tous les présents un heureux et inattendu évènement. Mère Marie est l’une des fondatrices du monastère, c’est elle qui a trouvé le bâtiment, devenu depuis une belle demeure non seulement pour les moniales mais aussi pour les très nombreux pèlerins qui se rendent à Buchendorf. Par la force de sa personnalité, par son charisme elle a persuadé les sœurs de l’ordre catholique Mary Ward de mettre à disposition de l’EORHF ces excellents locaux.
Mère Marie (Sidiropoulos), higoumène du monastère, nous parle du camp et du couvent.
Le camp des Saintes-Marthe-et-Marie, qui se trouve dans le couvent de la Sainte Martyre Elisabeth Fiodorovna existe depuis six ans. Une cinquantaine de fillettes, âgées de 8 à 13 ans, viennent l’été chez nous, d’Allemagne et d’autres pays. L’objectif du camp – donner à des enfants orthodoxes, qui vivent en dehors de la Russie, dans un milieu avec une autre langue et une autre religion, une possibilité unique non seulement de se rencontrer et de faire connaissance, mais d’apprendre aussi les traditions de l’Eglise Orthodoxe Russe, de vivre dans un milieu monastique, de prendre des habitudes pieuses, qu’elles vont, en tant que futures mères, perpétuer dans leurs familles.
Mère Marie (Sidiropoulos), higoumène du monastère, nous parle du camp et du couvent.
Le camp des Saintes-Marthe-et-Marie, qui se trouve dans le couvent de la Sainte Martyre Elisabeth Fiodorovna existe depuis six ans. Une cinquantaine de fillettes, âgées de 8 à 13 ans, viennent l’été chez nous, d’Allemagne et d’autres pays. L’objectif du camp – donner à des enfants orthodoxes, qui vivent en dehors de la Russie, dans un milieu avec une autre langue et une autre religion, une possibilité unique non seulement de se rencontrer et de faire connaissance, mais d’apprendre aussi les traditions de l’Eglise Orthodoxe Russe, de vivre dans un milieu monastique, de prendre des habitudes pieuses, qu’elles vont, en tant que futures mères, perpétuer dans leurs familles.
Maria Sokolovskaïa
Le Centre culturel et spirituel orthodoxe et sa cathédrale seront inaugurés à proximité de la tour Eiffel le mois prochain.
Professeur de ballet de renom, Andreï Klemm s’est installé en France il y a bientôt dix ans après avoir signé un contrat avec le prestigieux Opéra de Paris, où il donne des cours de danse classique à la troupe. Riche d’une expérience internationale solide, Andreï s’est rapidement intégré : il a appris la langue, s’est fait de vrais amis parmi les Français et a trouvé l’amour. Aujourd’hui, rien ne semble le distinguer de milliers d’autres Parisiens. Or, il y a dans sa vie un élément particulier – la communauté orthodoxe de France qu’Andreï qualifie de « second chez soi ».
Dès son arrivée à Paris, Andreï, très croyant, s’est rendu à l’église des Trois-Saints-Docteurs de la rue Pétel. « Je suis venu prier, mais outre la religion, j’y ai trouvé de vrais amis, des amis fidèles. Non seulement nous nous fréquentons, mais nous vivons ensemble, en quelque sorte », se réjouit-il.
Le Centre culturel et spirituel orthodoxe et sa cathédrale seront inaugurés à proximité de la tour Eiffel le mois prochain.
Professeur de ballet de renom, Andreï Klemm s’est installé en France il y a bientôt dix ans après avoir signé un contrat avec le prestigieux Opéra de Paris, où il donne des cours de danse classique à la troupe. Riche d’une expérience internationale solide, Andreï s’est rapidement intégré : il a appris la langue, s’est fait de vrais amis parmi les Français et a trouvé l’amour. Aujourd’hui, rien ne semble le distinguer de milliers d’autres Parisiens. Or, il y a dans sa vie un élément particulier – la communauté orthodoxe de France qu’Andreï qualifie de « second chez soi ».
Dès son arrivée à Paris, Andreï, très croyant, s’est rendu à l’église des Trois-Saints-Docteurs de la rue Pétel. « Je suis venu prier, mais outre la religion, j’y ai trouvé de vrais amis, des amis fidèles. Non seulement nous nous fréquentons, mais nous vivons ensemble, en quelque sorte », se réjouit-il.
Benjamin Quénelle, à Moscou, le 06/09/2016
Dix étudiants européens issus de diverses universités pontificales ont achevé dimanche un voyage d’études d’une semaine à Moscou et à Saint-Pétersbourg. Avec pour ambition de mieux connaître la communauté orthodoxe.
« Le problème, c’est qu’on ne se connaît pas… » Le P. Hyacinthe Destivelle, prêtre dominicain et membre du Conseil pontifical pour l’unité des chrétiens au Vatican, sait qu’entre catholiques et orthodoxes la route de la bonne entente sera encore longue.
L’homme connaît bien le sujet : il a œuvré dans les coulisses du sommet entre le patriarche Kirill de Moscou et le pape François à Cuba, le 12 février, première rencontre historique entre les deux principaux dirigeants des chrétiens d’Orient et d’Occident, séparés depuis le schisme de 1054.
« La rencontre de Cuba a fait tomber un tabou et a servi d’accélérateur. Le pape et le patriarche ont donné l’exemple. Il s’agit désormais d’entrer dans le concret », s’enthousiasme le P. Destivelle. Son ambition : loin des différends religieux et des tensions géopolitiques au sommet, favoriser les rencontres entre membres des deux clergés – catholique et russe orthodoxe – pour une meilleure connaissance mutuelle.
Dix étudiants européens issus de diverses universités pontificales ont achevé dimanche un voyage d’études d’une semaine à Moscou et à Saint-Pétersbourg. Avec pour ambition de mieux connaître la communauté orthodoxe.
« Le problème, c’est qu’on ne se connaît pas… » Le P. Hyacinthe Destivelle, prêtre dominicain et membre du Conseil pontifical pour l’unité des chrétiens au Vatican, sait qu’entre catholiques et orthodoxes la route de la bonne entente sera encore longue.
L’homme connaît bien le sujet : il a œuvré dans les coulisses du sommet entre le patriarche Kirill de Moscou et le pape François à Cuba, le 12 février, première rencontre historique entre les deux principaux dirigeants des chrétiens d’Orient et d’Occident, séparés depuis le schisme de 1054.
« La rencontre de Cuba a fait tomber un tabou et a servi d’accélérateur. Le pape et le patriarche ont donné l’exemple. Il s’agit désormais d’entrer dans le concret », s’enthousiasme le P. Destivelle. Son ambition : loin des différends religieux et des tensions géopolitiques au sommet, favoriser les rencontres entre membres des deux clergés – catholique et russe orthodoxe – pour une meilleure connaissance mutuelle.
Le miraculé de Mère Teresa assiste à sa canonisation
Son portrait géant trône sur la façade de la basilique Saint-Pierre, à Rome, devant laquelle quelque 120 000 fidèles se sont réunis. Mère Teresa de Calcutta, la religieuse au sari blanc bordé de bleu devenue une icône mondiale, et controversée, de l’engagement en faveur des plus pauvres, a été canonisée par le pape François, dimanche 4 septembre, dix-neuf ans après sa mort. A l’issue de la cérémonie, le pape a offert un déjeuner de pizzas à 1 500 personnes sans ressources.
Qui mieux que cette religieuse – née Agnes Gonxha Bojaxhiu dans une famille albanaise, le 26 août 1910 à Skopje, et décédée le 5 septembre 1997 après avoir contribué à attirer le regard du monde sur les plus démunis – pouvait incarner l’Eglise rêvée par le pape argentin ? Ralenti sous Benoît XVI, le dossier de sa canonisation avait été relancé sous François, qui voit dans Mère Teresa une incarnation de son idéal d’une « Eglise pauvre pour les pauvres ».
Son portrait géant trône sur la façade de la basilique Saint-Pierre, à Rome, devant laquelle quelque 120 000 fidèles se sont réunis. Mère Teresa de Calcutta, la religieuse au sari blanc bordé de bleu devenue une icône mondiale, et controversée, de l’engagement en faveur des plus pauvres, a été canonisée par le pape François, dimanche 4 septembre, dix-neuf ans après sa mort. A l’issue de la cérémonie, le pape a offert un déjeuner de pizzas à 1 500 personnes sans ressources.
Qui mieux que cette religieuse – née Agnes Gonxha Bojaxhiu dans une famille albanaise, le 26 août 1910 à Skopje, et décédée le 5 septembre 1997 après avoir contribué à attirer le regard du monde sur les plus démunis – pouvait incarner l’Eglise rêvée par le pape argentin ? Ralenti sous Benoît XVI, le dossier de sa canonisation avait été relancé sous François, qui voit dans Mère Teresa une incarnation de son idéal d’une « Eglise pauvre pour les pauvres ».
La découverte, faite par des archéologues israéliens et allemands dans l'antique village de Tel Tsaf dans la vallée de Beit Shéan, peut changer radicalement notre connaissance non seulement du régime alimentaire des personnes qui ont vécu dans le pays d'Israël il y a plusieurs millénaires, mais aussi de la vitesse de développement de la civilisation.
Les scientifiques ont découvert lors des fouilles des centaines de noyaux d'olives datant d'il y a 7000 ans. Selon la conception traditionnelle, à cette époque l'alimentation se composait de céréales et de légumineuses et c'est seulement les jours de fête qu'on y ajoutait de la viande.
Les hommes de cette époque cultivaient le blé, l'avoine, le sarrasin, les haricots, les pois ; ils élevaient du bétail : chèvres, moutons, vaches, cochons, poussins. Une telle économie exigeait un mode de vie sédentaire, mais on pouvait se passer d'une infrastructure agricole importante.
Les scientifiques ont découvert lors des fouilles des centaines de noyaux d'olives datant d'il y a 7000 ans. Selon la conception traditionnelle, à cette époque l'alimentation se composait de céréales et de légumineuses et c'est seulement les jours de fête qu'on y ajoutait de la viande.
Les hommes de cette époque cultivaient le blé, l'avoine, le sarrasin, les haricots, les pois ; ils élevaient du bétail : chèvres, moutons, vaches, cochons, poussins. Une telle économie exigeait un mode de vie sédentaire, mais on pouvait se passer d'une infrastructure agricole importante.
Par Alexandre Khoudokormoff
Récemment a été éditée (1) une biographie du patriarche Alexis Ier, rédigée il y a plus de quarante ans.
Une brève biographie de l’auteur, Alexandre Lvovitch Kasem-Beg (1902-1977), est présentée à la fin de l’ouvrage.
Il y est signalé que sa famille était partie à l’étranger en 1922, où il a fait toutes ses études, qu’en 1939 il avait pris fait et cause pour l’Union Soviétique lorsque l’Allemagne l’a attaquée, que arrêté en France, il a pu être libéré et émigrer aux Etats-Unis.
Dans les années qui ont suivies la fin de la deuxième guerre mondiale il a demandé l’autorisation de revenir en URSS, où après son retour il a travaillé pour le Patriarcat de Moscou, ce qui en fit un proche du Patriarche Alexis I.
Ce bref exposé omet de signaler les faits les plus marquants de la vie de ce personnage hors normes qui dans l’émigration avait été le leader charismatique d’un parti politique qu’il avait créé : les Mladoross.
Récemment a été éditée (1) une biographie du patriarche Alexis Ier, rédigée il y a plus de quarante ans.
Une brève biographie de l’auteur, Alexandre Lvovitch Kasem-Beg (1902-1977), est présentée à la fin de l’ouvrage.
Il y est signalé que sa famille était partie à l’étranger en 1922, où il a fait toutes ses études, qu’en 1939 il avait pris fait et cause pour l’Union Soviétique lorsque l’Allemagne l’a attaquée, que arrêté en France, il a pu être libéré et émigrer aux Etats-Unis.
Dans les années qui ont suivies la fin de la deuxième guerre mondiale il a demandé l’autorisation de revenir en URSS, où après son retour il a travaillé pour le Patriarcat de Moscou, ce qui en fit un proche du Patriarche Alexis I.
Ce bref exposé omet de signaler les faits les plus marquants de la vie de ce personnage hors normes qui dans l’émigration avait été le leader charismatique d’un parti politique qu’il avait créé : les Mladoross.
Ce projet est mis en œuvre par le centre de soutenance de thèses de doctorat Saints Cyrille et Méthode ainsi que par le DREE et le Conseil pontifical pour l’unité des chrétiens. Ces cours s’achèveront le 4 septembre.
Y participent des clercs et des laïques catholiques venus d’Italie, d’Espagne, de France et de Roumanie qui étudient dans les universités pontificales de Rome ainsi que des collaborateurs des services du Vatican.
Ils apprendront le russe, visiteront diverses institutions du patriarcat, des séminaires et des académies de théologie, les monuments historiques et culturels de Moscou et de Saint Pétersbourg.
Y participent des clercs et des laïques catholiques venus d’Italie, d’Espagne, de France et de Roumanie qui étudient dans les universités pontificales de Rome ainsi que des collaborateurs des services du Vatican.
Ils apprendront le russe, visiteront diverses institutions du patriarcat, des séminaires et des académies de théologie, les monuments historiques et culturels de Moscou et de Saint Pétersbourg.
Le mercredi le 31 août la Divine liturgie sera célébrée á 10h 00.
Apres l'office, avec la bénédiction de Mgr Nestor, évêque de Chersonèse, une icône vénérée de la Mère de Dieu Pantanassa (« Souveraine de l'Univers ») sera présenté á la cathédrale. On prie devant l’icône de « Pantanassa » en cas de maladies cancéreuses et pour se délivrer des sortilèges.
Une copie de cette icône sera remise en don à la cathédrale Saint Nicolas.
L’icône miraculeuse «Pantanassa» se trouve en Grèce, au Mont Athos, à gauche de la colonne orientale de l’église principale du monastère de Vatopédi. Elle fut peinte au XVII ème siècle et était une bénédiction de starets Joseph à ses disciples. Le starets transmit l’histoire de l’icône de la Mère de Dieu «Pantanassa».
Apres l'office, avec la bénédiction de Mgr Nestor, évêque de Chersonèse, une icône vénérée de la Mère de Dieu Pantanassa (« Souveraine de l'Univers ») sera présenté á la cathédrale. On prie devant l’icône de « Pantanassa » en cas de maladies cancéreuses et pour se délivrer des sortilèges.
Une copie de cette icône sera remise en don à la cathédrale Saint Nicolas.
L’icône miraculeuse «Pantanassa» se trouve en Grèce, au Mont Athos, à gauche de la colonne orientale de l’église principale du monastère de Vatopédi. Elle fut peinte au XVII ème siècle et était une bénédiction de starets Joseph à ses disciples. Le starets transmit l’histoire de l’icône de la Mère de Dieu «Pantanassa».
PARIS: 92, rue St Denis (m. Etienne Marcel)
L’ACATHISTE AUX STS CONSTANTIN ET HELENE
est récité tous les vendredis à 16h à partir du 2 septembre 2016 jusqu’au 30 juin 2017
Il n’y aura pas d’office orthodoxe:
- le vendredi de la première semaine du Grand Carême
- le vendredi de la Passion du Christ (semaine sainte selon les calendriers catholiques et orthodoxes)
VENDREDI 18 NOVEMBRE la célébration solennelle en commémoration de la translation des reliques de Ste Hélène à Paris. 17h
L’ACATHISTE AUX STS CONSTANTIN ET HELENE
est récité tous les vendredis à 16h à partir du 2 septembre 2016 jusqu’au 30 juin 2017
Il n’y aura pas d’office orthodoxe:
- le vendredi de la première semaine du Grand Carême
- le vendredi de la Passion du Christ (semaine sainte selon les calendriers catholiques et orthodoxes)
VENDREDI 18 NOVEMBRE la célébration solennelle en commémoration de la translation des reliques de Ste Hélène à Paris. 17h
Plusieurs photos de l'installation des quatre petites coupoles de la cathédrale, le 24 août 2016. La perspective sur la Seine et le Grand Palais a aujourd'hui changé
« Bien des choses ont changé dans les apparences après la chute de l’URSS, alors que la vie intérieure des gens est restée pratiquement inchangée »
Le père Georges Kotchetkov est intervenu au II-e Festival « Rencontres de la Transfiguration : Ceux qui espèrent » (20-21août)
Plus de deux mille participants s’y sont réunis pour, dans le cadre de treize sections, débattre de l’actualité ecclésiale en Russie (enseignement, unité chrétienne, dialogue au sein de l’Eglise, écclesialisation des jeunes, éducation chrétienne, l’Eglise et les médias…). Historiens, journalistes, écrivains, associations chrétiennes russes et venues d’Italie, de France, de Suisse, de Roumanie, etc. prennent part à ce Festival.
Le père Georges Kotchetkov est intervenu au II-e Festival « Rencontres de la Transfiguration : Ceux qui espèrent » (20-21août)
Plus de deux mille participants s’y sont réunis pour, dans le cadre de treize sections, débattre de l’actualité ecclésiale en Russie (enseignement, unité chrétienne, dialogue au sein de l’Eglise, écclesialisation des jeunes, éducation chrétienne, l’Eglise et les médias…). Historiens, journalistes, écrivains, associations chrétiennes russes et venues d’Italie, de France, de Suisse, de Roumanie, etc. prennent part à ce Festival.
Et ce sur 4 650 mètres carrés, en quatre bâtiments, dont un centre culturel comprenant une librairie, une salle d’exposition et un café, un centre paroissial avec un auditorium, des bureaux, des appartements, une école primaire franco-russe et, enfin, la fameuse cathédrale de 450 mètres carrés aux cinq dômes recouverts de feuilles d’or. Un travail d’équipe exécuté par les ateliers Gohard, spécialistes depuis des générations dans la dorure des coupoles!
« Nous n'avons nulle part où nous plaindre »
La Corée du Nord a intensifié la persécution des chrétiens ; les fonctionnaires confisquent les objets qui comportent des images en forme de croix...
Ces derniers mois, la pression sur les chrétiens s'est intensifiée en Corée du Nord.
Les fonctionnaires confisquent les objets qui ont la forme de croix aux postes de douane et dans les magasins, écrit Православие.ru, en se référant au site Sib-catholic.ru.
« Lorsque les douaniers confisquent ces objets en déclarant qu'ils sont semblables à des croix, nous n'avons nulle-part où nous plaindre. Les breloques ou les boucles d'oreilles ressemblant à une croix sont également saisies », raconte un commerçant de la province de Hamgyong.
La Corée du Nord a intensifié la persécution des chrétiens ; les fonctionnaires confisquent les objets qui comportent des images en forme de croix...
Ces derniers mois, la pression sur les chrétiens s'est intensifiée en Corée du Nord.
Les fonctionnaires confisquent les objets qui ont la forme de croix aux postes de douane et dans les magasins, écrit Православие.ru, en se référant au site Sib-catholic.ru.
« Lorsque les douaniers confisquent ces objets en déclarant qu'ils sont semblables à des croix, nous n'avons nulle-part où nous plaindre. Les breloques ou les boucles d'oreilles ressemblant à une croix sont également saisies », raconte un commerçant de la province de Hamgyong.
Par Larissa Ouzlova, enseignante aux cours d’iconographie, Serguiev Possad
L’icône de la Notre Dame Joie des Affligés se trouve dans l’église de la Transfiguration. Elle se situe dans une chapelle qui porte le nom de l’icône. Cette icône, elle n’est pas très grande, se trouve dans une châsse de marbre ornée de deux anges. Des cierges brûlent constamment auprès d’elle.
J’ai la certitude que c’est Anna Akhmatova qui m’a indiqué cet endroit. J’avais appris que la poétesse avait été une paroissienne de cette église rue Ordynka à Moscou et j’ai eu envie de m’y rendre. Auparavant je me suis beaucoup intéressée à l’icône russe, j’allais dans les musées, dans la laure Saint Serge. Mais je n’éprouvais pas du tout le besoin de prier. Je n’étais pas baptisée et je ne savais même pas si je pouvais me signer en entrant dans une église. Le nom même de la paroisse, Joie de tous les affligés, m’avait fortement impressionné. Il faut bien que les désespérés puissent se réjouir ? En quoi peut consister la joie qu’ils peuvent éprouver ?
L’église était presque vide. Tant mieux, peut-être car de toute façon je n’aurais jamais oser poser de questions.
L’icône de la Notre Dame Joie des Affligés se trouve dans l’église de la Transfiguration. Elle se situe dans une chapelle qui porte le nom de l’icône. Cette icône, elle n’est pas très grande, se trouve dans une châsse de marbre ornée de deux anges. Des cierges brûlent constamment auprès d’elle.
J’ai la certitude que c’est Anna Akhmatova qui m’a indiqué cet endroit. J’avais appris que la poétesse avait été une paroissienne de cette église rue Ordynka à Moscou et j’ai eu envie de m’y rendre. Auparavant je me suis beaucoup intéressée à l’icône russe, j’allais dans les musées, dans la laure Saint Serge. Mais je n’éprouvais pas du tout le besoin de prier. Je n’étais pas baptisée et je ne savais même pas si je pouvais me signer en entrant dans une église. Le nom même de la paroisse, Joie de tous les affligés, m’avait fortement impressionné. Il faut bien que les désespérés puissent se réjouir ? En quoi peut consister la joie qu’ils peuvent éprouver ?
L’église était presque vide. Tant mieux, peut-être car de toute façon je n’aurais jamais oser poser de questions.
Le 31 juillet 2016 une icône sur lutrin représentant Saint Eugène Botkine, juste et martyr, a été remise au doyen de l’église Saint Jean le Précurseur, circonscription de Sarov, diocèse de Nijny-Novgorod. L’icône est destinée à la nouvelle église, actuellement en chantier, qui sera consacrée aux Saints martyrs impériaux.
Dans l’attente de la fin des travaux l’icône sera déposée à l’église Saint Panteleimon qui se trouve auprès d’un centre médical. Les médecins, les patients ainsi que tous les habitants de Sarov pourront venir se recueillir auprès de cette icône.
Dans l’attente de la fin des travaux l’icône sera déposée à l’église Saint Panteleimon qui se trouve auprès d’un centre médical. Les médecins, les patients ainsi que tous les habitants de Sarov pourront venir se recueillir auprès de cette icône.
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12/04/2022 23:05 - Théophile -
Communiqué des Evêques Orthodoxes de France au sujet de la guerre en Ukraine
12/04/2022 22:00 - Nadejda na Mir
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