Plateforme libre de discussion
|
"Le bateau de la Mer de Galilée est l'artefact le plus célèbre que nous pouvons à présent associer avec la découverte de cette ville! "
Dalmanoutha, une ville des temps bibliques mentionnée dans l'Evangile selon saint Marc, a été découverte le long de Mer de la Galilée (ou "Lac de Tibériade"), située à plus de 200 m au-dessous du niveau de la mer et traversée par le fleuve Jourdain. Ce lieu est celui du baptême de Jésus-Christ par saint Jean-Baptiste, mais aussi l'endroit où le Christ navigua avec ses disciples après le miracle de la multiplication des pains.
Riche en poissons, la Mer de Galilée est réputée pour ses tempêtes violentes à cause des différences de température avec les hauteurs environnantes.
Dalmanoutha, une ville des temps bibliques mentionnée dans l'Evangile selon saint Marc, a été découverte le long de Mer de la Galilée (ou "Lac de Tibériade"), située à plus de 200 m au-dessous du niveau de la mer et traversée par le fleuve Jourdain. Ce lieu est celui du baptême de Jésus-Christ par saint Jean-Baptiste, mais aussi l'endroit où le Christ navigua avec ses disciples après le miracle de la multiplication des pains.
Riche en poissons, la Mer de Galilée est réputée pour ses tempêtes violentes à cause des différences de température avec les hauteurs environnantes.
Rédigé par Parlons D'orthodoxie le 26 Septembre 2013 à 14:54
|
-1 commentaire
|
Permalien
Le patriarche de Moscou et de Russie Cyrille a exprimé ses condoléances au premier-ministre du Pakistan M. Nawaz Sharif pour déplorer les victimes de l’acte terroriste commis dans une église de Peshawar. Plus de 80 personnes y ont trouvé la mort, on compte 145 blessés. Au moment où l’explosion a retentit une distribution de riz était en cours près de l’église. De 500 à 600 fidèles se trouvaient à l’intérieur de l’église.
Il est dit dans le message de condoléances adressé par le patriarche Cyrille : « C’est avec une profonde tristesse que j’ai appris la nouvelle de l’acte terroriste commis le 22 septembre à Peshawar. C’est un cruel attentat dirigé contre la population chrétienne de votre pays. Il a emporté des dizaines de vies.
Il est dit dans le message de condoléances adressé par le patriarche Cyrille : « C’est avec une profonde tristesse que j’ai appris la nouvelle de l’acte terroriste commis le 22 septembre à Peshawar. C’est un cruel attentat dirigé contre la population chrétienne de votre pays. Il a emporté des dizaines de vies.
La municipalité de la ville de Koursk a déclaré le 25 septembre jour férié. Cette date est la Journée de la ville et elle coïncide avec une procession organisée pour célébrer la présence de l'icône miraculeuse de la Vierge de Koursk qui, depuis, 2009, vient chaque année à Koursk où elle s'était manifestée pour la première fois.
Les fidèles ont à l'égard de cette icône une très grande vénération.
Les fidèles ont à l'égard de cette icône une très grande vénération.
Salle Paroissiale de l’Eglise de St. Seraphim de Sarov 91 rue Lecourbe, Paris XVe
Journée d’Etudes pour le dixième anniversaire du trépas du Métropolite Antoine de Souroge (+August 4, 2003)
Panykhide pour Métropolite Antoine ( 9h )
Intervenants du matin (10h)
1) Jean François Colosimo (St. Serge), "Le Métropolite Antoine : une pastorale à tous risques de la liberté"
2) Père Sergey Ovsianikov (Amsterdam): Metropolitan Anthony's vision of the Church
3) Madame Hélène Maydanovitch (Moscow), Les vingt ans du projet de publications de Mét. Antoine en Russie (communication lue in absentia
Journée d’Etudes pour le dixième anniversaire du trépas du Métropolite Antoine de Souroge (+August 4, 2003)
Panykhide pour Métropolite Antoine ( 9h )
Intervenants du matin (10h)
1) Jean François Colosimo (St. Serge), "Le Métropolite Antoine : une pastorale à tous risques de la liberté"
2) Père Sergey Ovsianikov (Amsterdam): Metropolitan Anthony's vision of the Church
3) Madame Hélène Maydanovitch (Moscow), Les vingt ans du projet de publications de Mét. Antoine en Russie (communication lue in absentia
Le 22 septembre, le jour quand l’Église orthodoxe bulgare célèbre la fête de Saint Kozma de Zograf, l’archimandrite Job (Getcha) a visité la Paroisse Orthodoxe Bulgare « Saint Euthyme de Tarnovo ».
L’archimandrite Job est professeur de théologie liturgique auprès de l’Université de Fribourg, de l’Institut d’études supérieures en théologie orthodoxe de Chambésy et de l’Institut de théologie catholique à Paris. Il est également ancien ami de notre paroisse. Dans son sermon il a insisté sur l’importance du lien qu’unit les chrétiennes d’aujourd’hui avec les Saints apôtres et ainsi avec le Christ-Lui-même.
L’archimandrite Job est professeur de théologie liturgique auprès de l’Université de Fribourg, de l’Institut d’études supérieures en théologie orthodoxe de Chambésy et de l’Institut de théologie catholique à Paris. Il est également ancien ami de notre paroisse. Dans son sermon il a insisté sur l’importance du lien qu’unit les chrétiennes d’aujourd’hui avec les Saints apôtres et ainsi avec le Christ-Lui-même.
V.Golovanow
Dans l'histoire du développement de la philosophie orthodoxe russe aux XIX - XX siècles on peut mettre en évidence trois étapes qui correspondent en fait à trois courants de pensée.
Les slavophiles
La première étape correspond au mouvement relativement étroit des "slavophiles" du milieu du XIX siècle, qui se fixaient comme objectif de faire renaitre la pensée orthodoxe dans le cadre de la culture sécularisée et occidentalisée qui prévalait à l'époque, mais aussi de reformuler les bases de l'Orthodoxie dans le langage qui leur était contemporain, celui de la philosophie européenne et, plus exactement pour ce qui les concerne, le langage de la philosophie idéaliste allemande.
Le texte programmatique de ce courant était l'étude d'Ivan Kireevsky “Sur la nécessité et la possibilité de nouveaux principes philosophiques” (1856), appelant à créer une nouvelle philosophie russe sur «les bases vraies» de la tradition orthodoxe et simultanément à utiliser la langue philosophique de Schelling. Note de VG: Kireevsky oppose l'harmonie orthodoxe entre la foi et la raison au rationalisme occidental qu'il relie au catholicisme-protestantisme en considérant que toute philosophie dépend de la "religion dominante". Ses idées sont proches de celles de son contemporain A.Khomiakov, généralement considéré comme le chef de file des "Slavophiles".
Dans l'histoire du développement de la philosophie orthodoxe russe aux XIX - XX siècles on peut mettre en évidence trois étapes qui correspondent en fait à trois courants de pensée.
Les slavophiles
La première étape correspond au mouvement relativement étroit des "slavophiles" du milieu du XIX siècle, qui se fixaient comme objectif de faire renaitre la pensée orthodoxe dans le cadre de la culture sécularisée et occidentalisée qui prévalait à l'époque, mais aussi de reformuler les bases de l'Orthodoxie dans le langage qui leur était contemporain, celui de la philosophie européenne et, plus exactement pour ce qui les concerne, le langage de la philosophie idéaliste allemande.
Le texte programmatique de ce courant était l'étude d'Ivan Kireevsky “Sur la nécessité et la possibilité de nouveaux principes philosophiques” (1856), appelant à créer une nouvelle philosophie russe sur «les bases vraies» de la tradition orthodoxe et simultanément à utiliser la langue philosophique de Schelling. Note de VG: Kireevsky oppose l'harmonie orthodoxe entre la foi et la raison au rationalisme occidental qu'il relie au catholicisme-protestantisme en considérant que toute philosophie dépend de la "religion dominante". Ses idées sont proches de celles de son contemporain A.Khomiakov, généralement considéré comme le chef de file des "Slavophiles".
V.G.
«Dans toute son histoire l'Eglise orthodoxe russe n'a jamais été aussi indépendante de l'État qu'aujourd'hui» a déclaré le responsable du Département synodal de l’information de l’Eglise orthodoxe russe à l'occasion d'une conférence donnée le 2 septembre à l'Université Orthodoxe Russe, en répondant à la question d'un étudiant sur le caractère des relations entre l'Eglise et l'état. «Depuis le Baptême de la Rus et tout au long de son histoire les influences réciproques entre l'Église et l'état était plus forte qu'actuellement».
Aujourd'hui l'Église «est libre dans la vie intérieure. Jamais jusqu'ici de nouveaux diocèses n'étaient crées sans aucune implication de l'État comme actuellement» a-t-il précisé.
«Dans toute son histoire l'Eglise orthodoxe russe n'a jamais été aussi indépendante de l'État qu'aujourd'hui» a déclaré le responsable du Département synodal de l’information de l’Eglise orthodoxe russe à l'occasion d'une conférence donnée le 2 septembre à l'Université Orthodoxe Russe, en répondant à la question d'un étudiant sur le caractère des relations entre l'Eglise et l'état. «Depuis le Baptême de la Rus et tout au long de son histoire les influences réciproques entre l'Église et l'état était plus forte qu'actuellement».
Aujourd'hui l'Église «est libre dans la vie intérieure. Jamais jusqu'ici de nouveaux diocèses n'étaient crées sans aucune implication de l'État comme actuellement» a-t-il précisé.
Le 10 juillet dernier le quotidien digital '"Ejednevny Journal" a mis en ligne un article de Boris Kolymaguine (Moscou), rédacteur en chef de la revue Biblioglobous. Dans ce texte intitulé « Un S.O.S. lancé de Paris » l’auteur traite de la situation actuelle de l’Archevêché des Églises Orthodoxes Russes en Europe Occidentale . Il y parle longuement de l’I.T.O.
P.O. n’est pas à même de publier la traduction de l’article dans son intégralité
En voici quelques extraits :
«L’Institut Saint Serge, joyau de la première vague de l’émigration russe lance un S.O.S.
… En mai je suis allé à l’église de l’Institut afin d’y assister aux mâtines. Seuls quatre fidèles étaient présents. Sainte Matrona de Moscou était, étrangement, commémorée par l’officiant. Alors que mère Marie (Skobtsov), une sainte russe de Paris qui avait apporté ses vœux monacaux dans cette église même était curieusement omise dans les répons. La dame qui vendait des cierges s’est plainte des temps troubles « Il nous faut nous placer sous l’omophore du patriarcat de Moscou et cela aux conditions qui avaient été proposées ».
P.O. n’est pas à même de publier la traduction de l’article dans son intégralité
En voici quelques extraits :
«L’Institut Saint Serge, joyau de la première vague de l’émigration russe lance un S.O.S.
… En mai je suis allé à l’église de l’Institut afin d’y assister aux mâtines. Seuls quatre fidèles étaient présents. Sainte Matrona de Moscou était, étrangement, commémorée par l’officiant. Alors que mère Marie (Skobtsov), une sainte russe de Paris qui avait apporté ses vœux monacaux dans cette église même était curieusement omise dans les répons. La dame qui vendait des cierges s’est plainte des temps troubles « Il nous faut nous placer sous l’omophore du patriarcat de Moscou et cela aux conditions qui avaient été proposées ».
Le Monténégro s'apprête à accueillir le chef de l'Eglise russe. C'est début octobre que le patriarche Cyrille est attendu à Podgorica dans le cadre d'une visite du territoire canonique de l'Eglise orthodoxe serbe. Cette visite coïncide avec le 1.700e anniversaire de la promulgation de l'Edit de Milan
Le métropolite Amphiloche, primat de l'Eglise serbe au Monténégro a déclaré: " Ce sera un triomphe universel de l'orthodoxie, presque tous les patriarches y seront réunis. C'est dans la ville serbe de Nis que commenceront les solennités. Constantin le Grand y était né, c'est là qu'en 313 a été adopté l'Edit de Milan. Puis les primats orthodoxes se rendront à Podgorica où ils procèderont à la consécration de la cathédrale de la Sainte Résurrection. La visite du patriarche Cyrille est d'une grande importance aux yeux des Serbes résidant dans le Monténégro. Le peuple, les tsars, les orthodoxes russes ont toujours soutenu le peuple serbe dans ses guerres de libération. Ils ont fait construire dans le pays des monastères et des églises.
Le métropolite Amphiloche, primat de l'Eglise serbe au Monténégro a déclaré: " Ce sera un triomphe universel de l'orthodoxie, presque tous les patriarches y seront réunis. C'est dans la ville serbe de Nis que commenceront les solennités. Constantin le Grand y était né, c'est là qu'en 313 a été adopté l'Edit de Milan. Puis les primats orthodoxes se rendront à Podgorica où ils procèderont à la consécration de la cathédrale de la Sainte Résurrection. La visite du patriarche Cyrille est d'une grande importance aux yeux des Serbes résidant dans le Monténégro. Le peuple, les tsars, les orthodoxes russes ont toujours soutenu le peuple serbe dans ses guerres de libération. Ils ont fait construire dans le pays des monastères et des églises.
"La CROIX"- Recueilli par François-Xavier Maigre
Carol Saba, responsable de la communication de l’AEOF
« En tant qu’orthodoxes, nous sommes très sensibles aux gestes et aux paroles du pape François qui développent en quelque sorte une théologie du lien, de la personne, de l’économie de la miséricorde, de l’accompagnement, de la nécessité de prendre soin de l’autre… Cette dimension pastorale revient souvent dans notre propre théologie, fondée sur l’ecclésiologie de la communion, qui est aussi celle que cherche à déployer, à différents niveaux, le pape François.
Carol Saba, responsable de la communication de l’AEOF
« En tant qu’orthodoxes, nous sommes très sensibles aux gestes et aux paroles du pape François qui développent en quelque sorte une théologie du lien, de la personne, de l’économie de la miséricorde, de l’accompagnement, de la nécessité de prendre soin de l’autre… Cette dimension pastorale revient souvent dans notre propre théologie, fondée sur l’ecclésiologie de la communion, qui est aussi celle que cherche à déployer, à différents niveaux, le pape François.
La communauté orthodoxe du diocèse Chersonèse s’est vue octroyer par la municipalité de la ville de Setubal un terrain destiné à la construction d’une église. Il s’agit d’un site très agréable situé dans le centre-ville. Des représentants de la municipalité et du clergé ont pris part à la cérémonie solennelle de la signature de l’acte.
Lien Diocèse Chersonèse
Lien Diocèse Chersonèse
Tatiana Manakova - Traduction Elena Lavanant pour " Parlons d'orthodoxie"
Le 17 avril l’archimandrite John Maitland Moir est décédé à l’Hôpital Royal d’Edimbourg. Il avait 88 ans.
Dans les années 2002-2003, lors d’un stage à l’Université Napier d’Edimbourg, j’ai eu le privilège de le côtoyeret de me rendre à des offices qu’il célébrait à l’église grecque orthodoxe du Saint Apôtre André Protoklite de la capitale écossaise.
Le père John avait une habitude admirable : ayant fait la connaissance d’une personne il notait tout de suite son adresse. Bon nombre de ses paroissiens venaient à Edimbourg pour une période relativement courte, de quelques mois à quelques années et puis, ayant terminé les études ou le travail, ils repartaient chez eux. Deux fois par an ils trouvaient dans leurs boîte aux lettres de petites cartes, souvent avec des images saintes ou des vues de l’Ecosse, avec des vœux pour Pâques ou Noël écrits de la main du père John.
Je peux affirmer que le père John est déjà entré dans l’histoire de l’Orthodoxie en Ecosse. Depuis un bon bout de temps il est considéré comme étant une personnalité hors pair dansles milieux orthodoxes de ce pays. Le père John fut un pasteur exceptionnel, il possédait des dons très rares dans le monde actuel. Ceux qui ont une expérience des communautés orthodoxes européennes ou américaines le confirmeront : si les gens qui y vivent voient les fruits d’une authentique sainteté chrétienne, ils en témoignent sans gêne ni embarras.
Le 17 avril l’archimandrite John Maitland Moir est décédé à l’Hôpital Royal d’Edimbourg. Il avait 88 ans.
Dans les années 2002-2003, lors d’un stage à l’Université Napier d’Edimbourg, j’ai eu le privilège de le côtoyeret de me rendre à des offices qu’il célébrait à l’église grecque orthodoxe du Saint Apôtre André Protoklite de la capitale écossaise.
Le père John avait une habitude admirable : ayant fait la connaissance d’une personne il notait tout de suite son adresse. Bon nombre de ses paroissiens venaient à Edimbourg pour une période relativement courte, de quelques mois à quelques années et puis, ayant terminé les études ou le travail, ils repartaient chez eux. Deux fois par an ils trouvaient dans leurs boîte aux lettres de petites cartes, souvent avec des images saintes ou des vues de l’Ecosse, avec des vœux pour Pâques ou Noël écrits de la main du père John.
Je peux affirmer que le père John est déjà entré dans l’histoire de l’Orthodoxie en Ecosse. Depuis un bon bout de temps il est considéré comme étant une personnalité hors pair dansles milieux orthodoxes de ce pays. Le père John fut un pasteur exceptionnel, il possédait des dons très rares dans le monde actuel. Ceux qui ont une expérience des communautés orthodoxes européennes ou américaines le confirmeront : si les gens qui y vivent voient les fruits d’une authentique sainteté chrétienne, ils en témoignent sans gêne ni embarras.
Le métropolite Emmanuel, le hiéromoine Alexandre Siniakov et Michel Stavrou participeront samedi 21 septembre, à une rencontre oecuménique catholiques-orthodoxes à l'abbaye de Solesmes sur le thème "Vatican II et le dialogue oecuménique catholique-orthodoxe": programme. Organisation conjointe avec la Fraternité Chrétienne. Inscriptions ouvertes au public
Le « Petit Pont – Cardinal Lustiger » a été inauguré le jeudi 19 septembre, par le Maire de Paris, Bertrand Delanoë, en présence du cardinal Vingt-Trois. Monseigneur Nestor, évêque de Chersonèse, assistait à la cérémonie.
Afin d’honorer la mémoire du cardinal Lustiger (1926-2007), archevêque de Paris pendant 25 ans, la Mairie de Paris a décidé d’associer son nom au « Petit Pont » (4e et 5e arrondissements), situé à l’une des extrémités du « Parvis Notre-Dame – Place Jean-Paul II ». Dorénavant ce pont sera dénommé « Petit pont – Cardinal Lustiger ».
Afin d’honorer la mémoire du cardinal Lustiger (1926-2007), archevêque de Paris pendant 25 ans, la Mairie de Paris a décidé d’associer son nom au « Petit Pont » (4e et 5e arrondissements), situé à l’une des extrémités du « Parvis Notre-Dame – Place Jean-Paul II ». Dorénavant ce pont sera dénommé « Petit pont – Cardinal Lustiger ».
Le ministère de la Culture vient de classer [l’Eglise orthodoxe russe de Casablanca au patrimoine national. L’arrêté a été publié au BO numéro 6180. Il s’agit de l’arrêté numéro 1434 du 2 août 2013, qui fait suite à une demande du prêtre de l’église.
l est désormais interdit de détruire le bâtiment, de changer sa nature ou de le restaurer sans accord préalable du ministère de la Culture.
Ce lieu du culte de la diaspora russe arrivée au Maroc après la deuxième guerre mondiale, sera donc protégé. Rappelons qu’en 2012, l’église a été menacée de démolition après une vente frauduleuse d’un prêtre révoqué en 2001 à un commerçant envisageant d’en faire un projet immobilier. Ainsi, le royaume renforce son statut de terre multiculturelle respectant les minorités religieuses.
l est désormais interdit de détruire le bâtiment, de changer sa nature ou de le restaurer sans accord préalable du ministère de la Culture.
Ce lieu du culte de la diaspora russe arrivée au Maroc après la deuxième guerre mondiale, sera donc protégé. Rappelons qu’en 2012, l’église a été menacée de démolition après une vente frauduleuse d’un prêtre révoqué en 2001 à un commerçant envisageant d’en faire un projet immobilier. Ainsi, le royaume renforce son statut de terre multiculturelle respectant les minorités religieuses.
Le monument sera inauguré le 4 novembre par le patriarche Cyrille et le président Vladimir Poutine.
ll s'agit d'une stèle projetée en 1913 et érigée en 1914 en l'honneur du 300e anniversaire de la dynastie des Romanov.
Les épures originales sont de Salavat Tcherbakov et de l'architecte Igor Voskressensky.
L'obélisque était orné à son sommet par un aigle bicéphale, on y voyait représentés tous les symboles de l'Etat russe. Une effigie de Saint Georges, (les armes de Moscou) figurait sur le socle. Étaient également sculptés les armes des Principautés (Moscou, Kazan, Pologne, etc.)
ll s'agit d'une stèle projetée en 1913 et érigée en 1914 en l'honneur du 300e anniversaire de la dynastie des Romanov.
Les épures originales sont de Salavat Tcherbakov et de l'architecte Igor Voskressensky.
L'obélisque était orné à son sommet par un aigle bicéphale, on y voyait représentés tous les symboles de l'Etat russe. Une effigie de Saint Georges, (les armes de Moscou) figurait sur le socle. Étaient également sculptés les armes des Principautés (Moscou, Kazan, Pologne, etc.)
"Parlons d'orthodoxie" a le plaisir d'annoncer l'apparition de la version francophone du site de la construction de l’Eglise orthodoxe russe de Tous les Saints à Strasbourg. Vous y trouverez de nombreuses informations sur le chantier de la nouvelle église, l'actualité religieuse au Conseil de l'Europe, les pèlerinages orthodoxes organisés dans la région, etc.
Félicitations aux modérateurs et au père Philippe (Riabykh), représentant de l'EOR auprès des institutions européennes. En voici l'adresse du WEBSITE Bonne lecture!
Félicitations aux modérateurs et au père Philippe (Riabykh), représentant de l'EOR auprès des institutions européennes. En voici l'adresse du WEBSITE Bonne lecture!
Traduction E.Tastevin
Depuis 2009, 150 enfants russophones de divers pays se sont rendus au chalet russe à Leysin.
Olga Alexandre, directeur du projet, a préparé la mise en place et a assuré la gestion de la colonie depuis sa fondation. Elle a travaillé conjointement avec des formateurs et animateurs de Russie, de Suisse, des Pays-Bas, de France et d’Allemagne.
Les étudiants du Séminaire Orthodoxe Russe d’Epinay s/Senart ont apporté une contribution inappréciable à "Blagovestnik"- la Bonne Nouvelle
Chaque été le groupe des vacanciers est unique de par ses joies et de par ses difficultés. Le sens du projet, lui, ne change pas.
« En effet, nous essayons de vivre comme une grande famille orthodoxe pour apprendre à nous connaître nous-mêmes à percevoir les besoins de nos proches, à tolérer les défauts des autres, à être conscients de nos propres faiblesses et, enfin, le plus important, à nous sentir capable d’aimer et d’y aspirer».
Depuis 2009, 150 enfants russophones de divers pays se sont rendus au chalet russe à Leysin.
Olga Alexandre, directeur du projet, a préparé la mise en place et a assuré la gestion de la colonie depuis sa fondation. Elle a travaillé conjointement avec des formateurs et animateurs de Russie, de Suisse, des Pays-Bas, de France et d’Allemagne.
Les étudiants du Séminaire Orthodoxe Russe d’Epinay s/Senart ont apporté une contribution inappréciable à "Blagovestnik"- la Bonne Nouvelle
Chaque été le groupe des vacanciers est unique de par ses joies et de par ses difficultés. Le sens du projet, lui, ne change pas.
« En effet, nous essayons de vivre comme une grande famille orthodoxe pour apprendre à nous connaître nous-mêmes à percevoir les besoins de nos proches, à tolérer les défauts des autres, à être conscients de nos propres faiblesses et, enfin, le plus important, à nous sentir capable d’aimer et d’y aspirer».
C'est Lénine qui a ordonné de transformer l'église Saint Séraphin de Sarov et Sainte Anna de Kashine à Moscou en four crématoire. C'était la première installation de ce genre en Russie. La Grande encyclopédie soviétique (1937) dit: "La crémation est la meilleure sépulture possible. Ce procédé le meilleur moyen d'exprimer notre respect à l'égard du défunt, il correspond à nos critères esthétiques".
Cette pratique monstrueuse a prédominé en Russie à la suite du putsch bolchevik de 1917. Les athées et les blasphémateurs ont forcé notre peuple à abandonner la tradition chrétienne de l'inhumation pour imposer ces pratiques. Le nouveau cimetière de la Mère de Dieu du Don est devenu après la révolution un lieu unique dans son genre.
En 1918 Lénine, alors président du conseil des commissaires du peuple, a fait acheter à l'étranger un four crématoire, suivi par plusieurs autres. Le guide du prolétariat était un ennemi conséquent de toute tradition, orthodoxe et russe tout spécialement. Avant la révolution l'enterrement était considéré comme un rite religieux. “Au Jugement Dernier les cercueils s'ouvriront et les défunts ressusciteront face au Christ”. Voilà pourquoi la pratique de la crémation introduite par le pouvoir soviétique véhiculait un message idéologique.
Cette pratique monstrueuse a prédominé en Russie à la suite du putsch bolchevik de 1917. Les athées et les blasphémateurs ont forcé notre peuple à abandonner la tradition chrétienne de l'inhumation pour imposer ces pratiques. Le nouveau cimetière de la Mère de Dieu du Don est devenu après la révolution un lieu unique dans son genre.
En 1918 Lénine, alors président du conseil des commissaires du peuple, a fait acheter à l'étranger un four crématoire, suivi par plusieurs autres. Le guide du prolétariat était un ennemi conséquent de toute tradition, orthodoxe et russe tout spécialement. Avant la révolution l'enterrement était considéré comme un rite religieux. “Au Jugement Dernier les cercueils s'ouvriront et les défunts ressusciteront face au Christ”. Voilà pourquoi la pratique de la crémation introduite par le pouvoir soviétique véhiculait un message idéologique.
Dimanche 22 septembre 2013 de 12h00 à 19h00
7 rue de Poitiers – 75007 PARIS
Au cours de cette importante manifestation, un très grand choix de livres sera proposé aux visiteurs qui pourront, dans de bonnes conditions, rencontrer les auteurs Français ou Russes dont Hélène CARRERE d’ENCAUSSE, Wladimir FEDOROVSKY, Marie-Pierre REY, Alexandre JEVAKHOFF et bien d’autres, pour dialoguer avec eux et leur faire signer des dédicaces personnalisées.
Les librairies dont l’une proposera des livres édités en Russie et les maisons d’édition seront également présentes avec des ouvrages rares, car bien souvent tirés en petites quantités et aujourd’hui épuisés. Deux stands proposeront aussi des livres anciens sur la Russie.
7 rue de Poitiers – 75007 PARIS
Au cours de cette importante manifestation, un très grand choix de livres sera proposé aux visiteurs qui pourront, dans de bonnes conditions, rencontrer les auteurs Français ou Russes dont Hélène CARRERE d’ENCAUSSE, Wladimir FEDOROVSKY, Marie-Pierre REY, Alexandre JEVAKHOFF et bien d’autres, pour dialoguer avec eux et leur faire signer des dédicaces personnalisées.
Les librairies dont l’une proposera des livres édités en Russie et les maisons d’édition seront également présentes avec des ouvrages rares, car bien souvent tirés en petites quantités et aujourd’hui épuisés. Deux stands proposeront aussi des livres anciens sur la Russie.
Sondage
Derniers commentaires
-
Surprenantes fresques dans un monastère en Serbie
19/09/2024 13:35 - Patrick -
"Il n'y a aucune excuse pour ceux qui déclenchent des guerres", - Mgr Onuphre, Primat de l'Eglise d’Ukraine, PM
14/04/2023 05:58 - Gilles -
Le père George Egorov, sa visite pastorale à la Légion étrangère
12/12/2022 12:55 - Baron André -
OSCE demande à Russie ce cesser la destruction d'églises en Ukraine
10/05/2022 03:22 - pere jean -
Communiqué des Evêques Orthodoxes de France au sujet de la guerre en Ukraine
14/04/2022 19:15 - Hai Lin -
Deux hiérarques russes s’expriment à titre personnel à propos de la guerre et de la paix, de la situation en Russie
14/04/2022 10:39 - Marie Genko -
Communiqué des Evêques Orthodoxes de France au sujet de la guerre en Ukraine
14/04/2022 10:26 - Marie Genko -
Le Parlement Européen a condamné le patriarche Cyrille et a félicité le clergé orthodoxe qui s'est opposé à la guerre en Ukraine
13/04/2022 21:21 - Gilles -
Communiqué des Evêques Orthodoxes de France au sujet de la guerre en Ukraine
12/04/2022 23:05 - Théophile -
Communiqué des Evêques Orthodoxes de France au sujet de la guerre en Ukraine
12/04/2022 22:00 - Nadejda na Mir
Liens francophones