Plateforme libre de discussion
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Le 27 janvier 2020, d’après Le Commerçant, la commission chargée de proposer des améliorations à la Constitution de la Fédération de Russie, réunie en session de travail, a délibéré de différentes améliorations à apporter au texte de la Loi fondamentale.
Parmi les propositions figure l’affirmation que l’orthodoxie est la religion prédominante du pays. Cette proposition a été présentée par le champion paralympique Sergueï Bourlakov.
La commission, qui se compose de soixante-quinze membres a déjà élaboré plus d’une centaine de propositions d’amendements à Loi fondamentale.
Parmi les propositions figure l’affirmation que l’orthodoxie est la religion prédominante du pays. Cette proposition a été présentée par le champion paralympique Sergueï Bourlakov.
La commission, qui se compose de soixante-quinze membres a déjà élaboré plus d’une centaine de propositions d’amendements à Loi fondamentale.
Rédigé par Parlons D'orthodoxie le 31 Janvier 2020 à 09:42
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Au matin du 25 janvier 2020, des partisans de l’Église orthodoxe d’Ukraine du village de Bouderage (district de Zdolbounov, région de Rovno), soutenus par des alliés venus de localités voisines, ont une fois de plus tenté de s’emparer de l’église de l’Intercession de la Vierge de l’Église orthodoxe ukrainienne. Le conflit est toujours en cours : l’église est gardée par une unité de la police du district de Zdolbounov, et des représentants des deux communautés veillent toutes les nuits.
Les paroissiens ont raconté que l’assaut a débuté par une soi-disant panikhide, à laquelle sont venues des personnes qui n’avaient jamais auparavant assisté à aucun office. Avant que la police n’arrive, les paroissiens ont une heure durant défendu leur église contre les assaillants. Selon des témoins, quatre institutrices de l’école locale étaient particulièrement virulentes dans leurs invectives envers les paroissiens. Les forces de l’ordre ont immédiatement réagi à l’appel reçu et ont empêché les schismatiques de briser les cadenas, a déclaré le département d’information et d’éducation de l’Église orthodoxe ukrainienne.
Les paroissiens ont raconté que l’assaut a débuté par une soi-disant panikhide, à laquelle sont venues des personnes qui n’avaient jamais auparavant assisté à aucun office. Avant que la police n’arrive, les paroissiens ont une heure durant défendu leur église contre les assaillants. Selon des témoins, quatre institutrices de l’école locale étaient particulièrement virulentes dans leurs invectives envers les paroissiens. Les forces de l’ordre ont immédiatement réagi à l’appel reçu et ont empêché les schismatiques de briser les cadenas, a déclaré le département d’information et d’éducation de l’Église orthodoxe ukrainienne.
p. Serge MODEL
La notice sur Mgr Serge Konovaloff, publiée dans le volume № 11 de la "Nouvelle Biographie Nationale"
KONOVALOFF, Serge, enseignant et ecclésiastique orthodoxe russe, né à Louvain le 8 juillet 1941, décédé à Paris (France) le 22 janvier 2003.
Rien ne prédestinait sans doute Serge Konovaloff, un Belge d’origine russe, marié et père de famille, professeur dans une école de la région bruxelloise, à devenir, dans la dernière partie de sa vie, archevêque des paroisses orthodoxes russes en Europe occidentale (dans l’obédience du patriarcat de Constantinople), c’est-à-dire primat d’une des plus importantes structures ecclésiastiques orthodoxes en Occident.
Fils d’un Russe émigré en Belgique (Alexis Konovaloff, chimiste) et d’une Hollandaise (Caroline Van Staveren), Serge Konovaloff avait obtenu en 1963 la licence et l’agrégation en philologie germanique à l’Université catholique de Louvain et était devenu, dès 1964, professeur de langues et d’histoire au Collège Saint-Joseph de Woluwe-Saint-Pierre, où il enseigna pendant près de trente ans. En 1968, il épousa Lydia Tchernenko, d’origine russe comme lui, qui lui donnera trois enfants.
La notice sur Mgr Serge Konovaloff, publiée dans le volume № 11 de la "Nouvelle Biographie Nationale"
KONOVALOFF, Serge, enseignant et ecclésiastique orthodoxe russe, né à Louvain le 8 juillet 1941, décédé à Paris (France) le 22 janvier 2003.
Rien ne prédestinait sans doute Serge Konovaloff, un Belge d’origine russe, marié et père de famille, professeur dans une école de la région bruxelloise, à devenir, dans la dernière partie de sa vie, archevêque des paroisses orthodoxes russes en Europe occidentale (dans l’obédience du patriarcat de Constantinople), c’est-à-dire primat d’une des plus importantes structures ecclésiastiques orthodoxes en Occident.
Fils d’un Russe émigré en Belgique (Alexis Konovaloff, chimiste) et d’une Hollandaise (Caroline Van Staveren), Serge Konovaloff avait obtenu en 1963 la licence et l’agrégation en philologie germanique à l’Université catholique de Louvain et était devenu, dès 1964, professeur de langues et d’histoire au Collège Saint-Joseph de Woluwe-Saint-Pierre, où il enseigna pendant près de trente ans. En 1968, il épousa Lydia Tchernenko, d’origine russe comme lui, qui lui donnera trois enfants.
Les 24 et 25 janvier 2020, les assemblées générales ordinaires et extraordinaires de l’Archevêché se sont tenues dans les locaux de l’Institut St Serge sous la présidence de son Éminence le Métropolite Jean. Malgré les perturbations dans les transports, 133 délégués sur 181 inscrits (soit 75%) ont pu participer aux travaux. La première journée, après la célébration de la Divine Liturgie, les délégués à l’Assemblée Générale Ordinaire ont entendu les rapports d’activité de Son Eminence le Métropolite Jean de Doubna et du secrétaire du conseil, puis de ceux du trésorier et de la commission de contrôle à l’issue desquels quitus a été donné à l’unanimité.
Ils ont procédé ensuite :
- d’une part au renouvellement des membres du Conseil de l’Archevêché et à l’élection de la commission de contrôle ;
- d’autre part à l’élection de deux évêques auxiliaires : l’archimandrite Syméon supérieur du monastère Saint Silouane dans la Sarthe et l’higoumène Elisée, recteur de la paroisse de la Sainte Trinité (crypte de la Cathédrale St Alexandre Nevsky).
Ils ont procédé ensuite :
- d’une part au renouvellement des membres du Conseil de l’Archevêché et à l’élection de la commission de contrôle ;
- d’autre part à l’élection de deux évêques auxiliaires : l’archimandrite Syméon supérieur du monastère Saint Silouane dans la Sarthe et l’higoumène Elisée, recteur de la paroisse de la Sainte Trinité (crypte de la Cathédrale St Alexandre Nevsky).
Faisant allusion aux quatre cavaliers précurseurs de l’Apocalypse, Antonio Guterres a évoqué les défis auxquels est confronté le monde: tensions politiques, crise climatique, méfiance et menace du numérique.
Dans un discours tenu devant l'Assemblée générale, le chef de l’ONU a alerté le monde sur les «quatre cavaliers» qui menacent son avenir.
«Je vois "quatre cavaliers" parmi nous, quatre menaces imminentes qui mettent en danger les progrès du XXIe siècle et mettent en péril les possibilités du XXIe siècle», a déclaré Antonio Guterres mercredi 22 janvier. Ses propos ont été publiés sur le site de l’ONU.
Le premier «cavalier» revêt la forme des «tensions géostratégiques» qui ont atteint leur niveau le plus élevé depuis des années, a-t-il indiqué, évoquant des attaques terroristes et la menace nucléaire.
Dans un discours tenu devant l'Assemblée générale, le chef de l’ONU a alerté le monde sur les «quatre cavaliers» qui menacent son avenir.
«Je vois "quatre cavaliers" parmi nous, quatre menaces imminentes qui mettent en danger les progrès du XXIe siècle et mettent en péril les possibilités du XXIe siècle», a déclaré Antonio Guterres mercredi 22 janvier. Ses propos ont été publiés sur le site de l’ONU.
Le premier «cavalier» revêt la forme des «tensions géostratégiques» qui ont atteint leur niveau le plus élevé depuis des années, a-t-il indiqué, évoquant des attaques terroristes et la menace nucléaire.
Les informations concernant l'AG et le CA des 24-25 janvier seront complétées
Le matin du 24 janvier à Paris, à l’Institut Saint-Serge, après la divine liturgie, s’est tenue l’Assemblée générale de l’Archevêché des paroisses de tradition russe en Europe occidentale (Patriarcat de Moscou)
L'Assemblée, présidée par Mgr Jean, a commencé par la célébration d'un office d’action de grâce pour l’ouverture d’une réunion devant l’icône des Saints Pères ayant participé au Concile de Moscou 1917-1918
Les délégués ont voté et après le dépouillement des votes pour les élections des évêques auxiliaires, voici les résultats:
Sur 132 votant :
L'Archimandrite Syméon (Cossec) 111 voix
Hiéromoine Elisée (Germain) 121 voix
Mgr Jean rappelle l’importance d’être missionnaires de la Parole de Dieu : « Et comme envoyés, nous sommes au service du témoignage de la présence de l’Eglise orthodoxe dans nos pays respectifs »!
Le matin du 24 janvier à Paris, à l’Institut Saint-Serge, après la divine liturgie, s’est tenue l’Assemblée générale de l’Archevêché des paroisses de tradition russe en Europe occidentale (Patriarcat de Moscou)
L'Assemblée, présidée par Mgr Jean, a commencé par la célébration d'un office d’action de grâce pour l’ouverture d’une réunion devant l’icône des Saints Pères ayant participé au Concile de Moscou 1917-1918
Les délégués ont voté et après le dépouillement des votes pour les élections des évêques auxiliaires, voici les résultats:
Sur 132 votant :
L'Archimandrite Syméon (Cossec) 111 voix
Hiéromoine Elisée (Germain) 121 voix
Mgr Jean rappelle l’importance d’être missionnaires de la Parole de Dieu : « Et comme envoyés, nous sommes au service du témoignage de la présence de l’Eglise orthodoxe dans nos pays respectifs »!
P.O. met ce texte en ligne pour une information plus complète:
Le 18 janvier, s’est tenue l’assemblée générale extraordinaire de l’Union diocésaine dans la juridiction du Patriarcat de Constantinople, à savoir de ceux qui ont refusé le passage de l’Archevêché au sein de l’Église orthodoxe russe et qui demeurent au sein du Patriarcat de Constantinople, en France dans le vicariat créé à cette occasion.
Cette assemblée n’a pas pu élire un président, car le quorum n’a pas été atteint.
Ci-dessous, le communiqué du conseil d’administration à la suite de cette assemblée générale extraordinaire.
Une assemblée générale extraordinaire de l’Union directrice diocésaine des associations orthodoxes russes en Europe occidentale s’est réunie à Paris le 18 janvier 2020. Ont été convoqués tous les membres du clergé et délégués laïcs de l’Archevêché, conformément aux statuts en vigueur.
L’assemblée a été présidée par Son Éminence le métropolite Emmanuel de France, actuel locum tenens. Autour de lui étaient réunis clercs et laïcs restés fidèles au patriarcat de Constantinople et désireux de continuer l’œuvre de l’Archevêché.
Le 18 janvier, s’est tenue l’assemblée générale extraordinaire de l’Union diocésaine dans la juridiction du Patriarcat de Constantinople, à savoir de ceux qui ont refusé le passage de l’Archevêché au sein de l’Église orthodoxe russe et qui demeurent au sein du Patriarcat de Constantinople, en France dans le vicariat créé à cette occasion.
Cette assemblée n’a pas pu élire un président, car le quorum n’a pas été atteint.
Ci-dessous, le communiqué du conseil d’administration à la suite de cette assemblée générale extraordinaire.
Une assemblée générale extraordinaire de l’Union directrice diocésaine des associations orthodoxes russes en Europe occidentale s’est réunie à Paris le 18 janvier 2020. Ont été convoqués tous les membres du clergé et délégués laïcs de l’Archevêché, conformément aux statuts en vigueur.
L’assemblée a été présidée par Son Éminence le métropolite Emmanuel de France, actuel locum tenens. Autour de lui étaient réunis clercs et laïcs restés fidèles au patriarcat de Constantinople et désireux de continuer l’œuvre de l’Archevêché.
L'AFP fait savoir que la Chancellerie de l'ordre de la Légion d'honneur a remis à un groupe important de personnes la "Médaille de la reconnaissance".
124 Français et étrangers figurent dans la liste des décorés. Ils ont péri ou souffert d'actes terroristes commis en France et dans le monde. La première de ces médailles a été décernée en 2018 à l'une des victime de l'acte terroriste commis en 2009 au Caire.
22 décorés l'ont été à titre posthume. 102 ont été blessés.
Parmi les décorés à titres posthume Igor Chelechko, lecteur/carillonneur de la cathédrale orthodoxe Saint Nicolas (Patriarcat de Moscou) à Nice. Il est l'une des victimes de l'attaque terroriste du 14 juillet 2016.
124 Français et étrangers figurent dans la liste des décorés. Ils ont péri ou souffert d'actes terroristes commis en France et dans le monde. La première de ces médailles a été décernée en 2018 à l'une des victime de l'acte terroriste commis en 2009 au Caire.
22 décorés l'ont été à titre posthume. 102 ont été blessés.
Parmi les décorés à titres posthume Igor Chelechko, lecteur/carillonneur de la cathédrale orthodoxe Saint Nicolas (Patriarcat de Moscou) à Nice. Il est l'une des victimes de l'attaque terroriste du 14 juillet 2016.
Le 20 janvier, dans le village de Sousval (province de Volyn), sous prétexte d’enterrement, des partisans de l’Église schismatique d’Ukraine ont tenté d’accaparer l’église de la Nativité-de-la-Mère-de-Dieu dont la paroisse relève de l’Église canonique orthodoxe ukrainienne. Ayant pénétré dans l’enclos de l’église les participants au convoi ont oublié le défunt et se sont rués sur les portes de l’église.
Le défunt Stéphane Panassevitch était membre de la paroisse de cette église, il s’y confessait et y communiait, c’est pourquoi le recteur, le père Bogdan Gnatiouk, a autorisé le convoi à pénétrer dans l’enclos paroissial. Sergueï, le fils du défunt, chef de l’unité territoriale de sûreté et activiste de l’« Église » schismatique, avait exigé la veille que l’on ouvre l’église pour qu’un représentant de ladite « Église » réalise le « rite d’enterrement ».
Un membre du clergé a déclaré : « Nous sommes convenus que le convoi pourrait pénétrer dans l’enclos paroissial, comme cela a été fait pour le jour de la Théophanie : leur communauté a pu, avec notre accord, se réunir dans la cour de l’église. Mais là, lorsque le corps a été porté dans l’enclos, il s’est produit quelque chose d’inattendu, le corps a été abandonné et les gens ont pris d’assaut les portes de l’église. » Dans la confusion, les partisans de l’« Église » schismatique ont tenté de jeter bas les paroissiens qui défendaient leur église. Une des participantes du convoi avait avec elle des cadenas neufs.
Le défunt Stéphane Panassevitch était membre de la paroisse de cette église, il s’y confessait et y communiait, c’est pourquoi le recteur, le père Bogdan Gnatiouk, a autorisé le convoi à pénétrer dans l’enclos paroissial. Sergueï, le fils du défunt, chef de l’unité territoriale de sûreté et activiste de l’« Église » schismatique, avait exigé la veille que l’on ouvre l’église pour qu’un représentant de ladite « Église » réalise le « rite d’enterrement ».
Un membre du clergé a déclaré : « Nous sommes convenus que le convoi pourrait pénétrer dans l’enclos paroissial, comme cela a été fait pour le jour de la Théophanie : leur communauté a pu, avec notre accord, se réunir dans la cour de l’église. Mais là, lorsque le corps a été porté dans l’enclos, il s’est produit quelque chose d’inattendu, le corps a été abandonné et les gens ont pris d’assaut les portes de l’église. » Dans la confusion, les partisans de l’« Église » schismatique ont tenté de jeter bas les paroissiens qui défendaient leur église. Une des participantes du convoi avait avec elle des cadenas neufs.
Par Grégoire Fetchorou
En été, nous partions, comme il se doit, à la campagne chez notre grand-mère. Nous habitions, quasiment à l’écart de la civilisation, dans une petite maison en bois et argile. On passait nos soirées à écouter des contes, à la lumière d’une lampe à huile. Quelle richesse révélait alors ce monde plein de mystères et de beauté ! Comme si je vivais dans un autre temps, prenais part à une autre histoire qui donnait accès à l’éternité. Mais à présent, il se fait que, de plus en plus vite, le temps se ratatine.
Le temps s’écoule plus vite, beaucoup plus vite qu’auparavant. Est-ce que vous avez remarqué cela ? Nous n’avons pas le temps pour lire un livre, réfléchir, rencontrer des amis. Il ne nous reste même plus de temps pour les enfants et la compagne rencontrée à la croisée des chemins de notre vie.
Les savants voulurent mesurer cette accélération du temps, de la durée. Bien qu’il ne soit pas aisé de calculer l’unité de mesure de ce qui est. Car il n’existe aucun état ou mouvement dont la perception de l’écoulement du temps serait absent. Et ils conclurent, on ignore par quel calcul, qu’aujourd’hui 24 heures passent aussi vite qu’auparavant 16 heures.
En été, nous partions, comme il se doit, à la campagne chez notre grand-mère. Nous habitions, quasiment à l’écart de la civilisation, dans une petite maison en bois et argile. On passait nos soirées à écouter des contes, à la lumière d’une lampe à huile. Quelle richesse révélait alors ce monde plein de mystères et de beauté ! Comme si je vivais dans un autre temps, prenais part à une autre histoire qui donnait accès à l’éternité. Mais à présent, il se fait que, de plus en plus vite, le temps se ratatine.
Le temps s’écoule plus vite, beaucoup plus vite qu’auparavant. Est-ce que vous avez remarqué cela ? Nous n’avons pas le temps pour lire un livre, réfléchir, rencontrer des amis. Il ne nous reste même plus de temps pour les enfants et la compagne rencontrée à la croisée des chemins de notre vie.
Les savants voulurent mesurer cette accélération du temps, de la durée. Bien qu’il ne soit pas aisé de calculer l’unité de mesure de ce qui est. Car il n’existe aucun état ou mouvement dont la perception de l’écoulement du temps serait absent. Et ils conclurent, on ignore par quel calcul, qu’aujourd’hui 24 heures passent aussi vite qu’auparavant 16 heures.
Le métochion Saint Alexandre se situe dans la vieille ville de Jérusalem, à proximité immédiate du Saint Sépulcre. Le métochion comprend l'église Saint Alexandre de la Néva, des parcelles de fouilles archéologiques, plusieurs musées ainsi que d'autres sites. Le terrain où se trouvent ces monuments avait été acquis en 1859 par l'Empereur Alexandre III, les monuments ont été construits en 1896 sous les auspices de la Société impériale de la Palestine.
C'est immédiatement après la révolution de 1917 qu'a commencé le conflit à propos de la propriété de ces terrains. Il a fallu beaucoup de temps à Moscou et à Jérusalem pour décider conjointement du statut du métochion.
C'est immédiatement après la révolution de 1917 qu'a commencé le conflit à propos de la propriété de ces terrains. Il a fallu beaucoup de temps à Moscou et à Jérusalem pour décider conjointement du statut du métochion.
Le site de la paroisse Saint Elie, Moscou, publie le 22 janvier le texte de l’allocution prononcée le par Mgr Nestor, évêque de Chersonèse à la Table ronde de l’OLTR consacrée au dixième anniversaire du rappel à Dieu de Monseigneur Serge (Konovaloff).
Mgr Sabba (Toutonouv), le recteur de la paroisse Saint Elie, préface la publication qu’il illustre de plusieurs photos provenant de ses archives personnelles.
" Mgr Serge dont j’ai le bonheur d’avoir été le fils spirituel à partir de 1994 était quelqu’un de très entier. Il y avait dans sa personnalité une cohérence absolue de sa perception de la vie et des personnes. Cela lui conférait le don d’être à l’égard de tous et de chacun un interlocuteur attentif et simple, un bon pasteur.
Cette volonté de cohérence engendrait en lui une permanente douleur, douleur que lui infligeait le morcèlement de l’Eglise Orthodoxe dans la diaspora et, surtout, les fractures qui existaient dans l’Orthodoxie russe si chère à son cœur.Dans l’amour qu’il portait à son troupeau le défunt prélat acceptait toute la diversité d’opinions qui existait dans le diocèse dont il avait la charge. Bien que relevant canoniquement du patriarcat de Constantinople Mgr Serge pensait constamment à la possibilité de retrouver l’unité perdue avec l’Eglise Mère de Russie. De par sa nature Mgr Serge était un unificateur qui aspirait à être « tout pour tous ». Il souffrait de voir les fidèles de nombreuses de ses paroisses ne pas partager cette volonté d’unité.
Mgr Sabba (Toutonouv), le recteur de la paroisse Saint Elie, préface la publication qu’il illustre de plusieurs photos provenant de ses archives personnelles.
" Mgr Serge dont j’ai le bonheur d’avoir été le fils spirituel à partir de 1994 était quelqu’un de très entier. Il y avait dans sa personnalité une cohérence absolue de sa perception de la vie et des personnes. Cela lui conférait le don d’être à l’égard de tous et de chacun un interlocuteur attentif et simple, un bon pasteur.
Cette volonté de cohérence engendrait en lui une permanente douleur, douleur que lui infligeait le morcèlement de l’Eglise Orthodoxe dans la diaspora et, surtout, les fractures qui existaient dans l’Orthodoxie russe si chère à son cœur.Dans l’amour qu’il portait à son troupeau le défunt prélat acceptait toute la diversité d’opinions qui existait dans le diocèse dont il avait la charge. Bien que relevant canoniquement du patriarcat de Constantinople Mgr Serge pensait constamment à la possibilité de retrouver l’unité perdue avec l’Eglise Mère de Russie. De par sa nature Mgr Serge était un unificateur qui aspirait à être « tout pour tous ». Il souffrait de voir les fidèles de nombreuses de ses paroisses ne pas partager cette volonté d’unité.
par le père SERGE MODEL
« L’essence du christianisme, c’est l’humanité unie à Dieu. C’est l’union de l’esprit humain, borné et limité dans le temps, à l’Esprit divin infini. C’est la sanctification du monde, la victoire sur le mal, les ténèbres et le péché. C’est la victoire de Dieu. Elle a commencé la nuit de la résurrection et continuera tant que le monde existera. »
C’est par ces paroles que, le 8 septembre 1990 à Moscou, le père Alexandre Men acheva sa conférence sur « le christianisme ». Le lendemain matin, ce prêtre orthodoxe russe renommé, prédicateur et écrivain brillant, père spirituel de l’intelligentsia, était assassiné par un inconnu. Une fin de martyr venait sceller une vie consacrée à l’annonce de l’Évangile.
UN PRÊTRE AU PAYS DES SOVIETS
Né à Moscou le 22 janvier 1935 dans une famille juive non-religieuse, Alexandre Men auraît pu devenir un « homo sovieticus », considérant que « toute idée religieuse, toute conception d’un pouvoir divin, même n’importe quelle insignifiance à l’égard de Dieu est une abomination indescriptible, un fléau méprisable » (Lénine) et estimant que « le marxisme-léninisme, enrichi par Staline, est la seule théorie philosophique donnant un tableau scientifique du monde, défendant les principes et les méthodes scientifiques d’explication de la nature et de la société, fournissant à l’humanité travailleuse l’instrument de la lutte pour la construction du communisme » (manuel scolaire stalinien).
« L’essence du christianisme, c’est l’humanité unie à Dieu. C’est l’union de l’esprit humain, borné et limité dans le temps, à l’Esprit divin infini. C’est la sanctification du monde, la victoire sur le mal, les ténèbres et le péché. C’est la victoire de Dieu. Elle a commencé la nuit de la résurrection et continuera tant que le monde existera. »
C’est par ces paroles que, le 8 septembre 1990 à Moscou, le père Alexandre Men acheva sa conférence sur « le christianisme ». Le lendemain matin, ce prêtre orthodoxe russe renommé, prédicateur et écrivain brillant, père spirituel de l’intelligentsia, était assassiné par un inconnu. Une fin de martyr venait sceller une vie consacrée à l’annonce de l’Évangile.
UN PRÊTRE AU PAYS DES SOVIETS
Né à Moscou le 22 janvier 1935 dans une famille juive non-religieuse, Alexandre Men auraît pu devenir un « homo sovieticus », considérant que « toute idée religieuse, toute conception d’un pouvoir divin, même n’importe quelle insignifiance à l’égard de Dieu est une abomination indescriptible, un fléau méprisable » (Lénine) et estimant que « le marxisme-léninisme, enrichi par Staline, est la seule théorie philosophique donnant un tableau scientifique du monde, défendant les principes et les méthodes scientifiques d’explication de la nature et de la société, fournissant à l’humanité travailleuse l’instrument de la lutte pour la construction du communisme » (manuel scolaire stalinien).
Chers amis, visitez le nouveau site
DIOCÈSE DE CHERSONÈSE. L'ÉGLISE ORTHODOXE RUSSE. PATRIARCAT DE MOSCOU et en RUSSE
Le site donne une information TRÈS COMPLÈTE sur la vie du DIOCÈSE du PATRIARCAT de Moscou en Europe Occidentale
DIOCÈSE DE CHERSONÈSE. L'ÉGLISE ORTHODOXE RUSSE. PATRIARCAT DE MOSCOU et en RUSSE
Le site donne une information TRÈS COMPLÈTE sur la vie du DIOCÈSE du PATRIARCAT de Moscou en Europe Occidentale
Bilan de l'année: l'octroi du tomos aux schismatiques. Une déclaration importante du responsable de administration de l'Eglise orthodoxe d'Ukraine, le métropolite Antoine /Pakanitch/ de Borispol
Au lieu de deux structures non canoniques: la soi-disant Église orthodoxe ukrainienne du Patriarcat de Kiev (UPC KP) et l'Église orthodoxe autocéphale ukrainienne (UAPC), une nouvelle organisation non canonique appelée l'Église orthodoxe d’Ukraine avec à sa tête le métropolite Epiphane (PCU) est apparue. Elle comprenait des schismatiques et des paroisses autonomes, qui de ce fait ne sont pas devenus canoniques. Cette structure est caractérisée par la politisation et la désunion. Mgr Philarète (l'ancien métropolite de Kiev), qui a effectivement fondé un nouveau schisme au sein du schisme existant, l’a en fait quitté. Et cela est logique, car un schisme ne peut donner lieu qu'à un nouveau schisme.
Les actions du Patriarche Bartholomée contredisent les canons de l’Église et les traditions de l’Église.
Il révise à titre personnel les problèmes de l'Eglise, annule les documents historiques adoptés par la Sainte Église.
En 2018, le Patriarche Bartholomé a pris une série de decisions violant le droit et les normes canoniques, ce qui a entraîné une crise dans les relations entre toutes les Eglises orthodoxes locales.
1ère violation: ingérence dans le territoire canonique d'une autre Église locale.
2e: la nomination d'exarques dans une autre Église sans coordination avec la hiérarchie de cette Église.
3ème: l'établissement de structures ecclésiales sur le territoire canonique d'une autre Église locale.
Au lieu de deux structures non canoniques: la soi-disant Église orthodoxe ukrainienne du Patriarcat de Kiev (UPC KP) et l'Église orthodoxe autocéphale ukrainienne (UAPC), une nouvelle organisation non canonique appelée l'Église orthodoxe d’Ukraine avec à sa tête le métropolite Epiphane (PCU) est apparue. Elle comprenait des schismatiques et des paroisses autonomes, qui de ce fait ne sont pas devenus canoniques. Cette structure est caractérisée par la politisation et la désunion. Mgr Philarète (l'ancien métropolite de Kiev), qui a effectivement fondé un nouveau schisme au sein du schisme existant, l’a en fait quitté. Et cela est logique, car un schisme ne peut donner lieu qu'à un nouveau schisme.
Les actions du Patriarche Bartholomée contredisent les canons de l’Église et les traditions de l’Église.
Il révise à titre personnel les problèmes de l'Eglise, annule les documents historiques adoptés par la Sainte Église.
En 2018, le Patriarche Bartholomé a pris une série de decisions violant le droit et les normes canoniques, ce qui a entraîné une crise dans les relations entre toutes les Eglises orthodoxes locales.
1ère violation: ingérence dans le territoire canonique d'une autre Église locale.
2e: la nomination d'exarques dans une autre Église sans coordination avec la hiérarchie de cette Église.
3ème: l'établissement de structures ecclésiales sur le territoire canonique d'une autre Église locale.
Les deux archevêques orthodoxes d’Alep, enlevés en Syrie en avril 2013 par un groupe djihadiste seraient morts. Mgr Boulos Yazigi, métropolite grec-orthodoxe et frère du patriarche grec-orthodoxe Jean X d’Antioche, et Mgr Youhanna Ibrahim, métropolite syriaque-orthodoxe, ont été assassinés en décembre 2016, rapporte l’agence d’information vaticane Fides.
Disparus le 22 avril 2013 sans laisser de traces dans la zone comprise entre Alep et la frontière turque, ils auraient été assassinés par le groupe djihadiste Nour al-Din al-Zenki, groupe salafiste financé et armé tant par l’Arabie Saoudite que par les Etats-Unis, selon Fides. L’agence fait référence à une enquête réalisée par une équipe conduite par Mansur Salib, chercheur syrien résidant aux Etats-Unis, et diffusée au travers de la plateforme numérique medium.com .
Piège tendu
Selon ce qu’indiquent les auteurs de l’enquête, le 22 avril 2013, les deux archevêques orthodoxes avaient quitté Alep à bord d’un pick-up Toyota conduit par le chauffeur Fatha’ Allah Kabboud dans le but d’aller traiter la libération de deux prêtres, le Père Michael Kayyal, de l’Eglise arménienne catholique et le grec orthodoxe Maher Mahfouz, enlevés précédemment par des groupes djihadistes qui contrôlaient alors les territoires se trouvant à l’est d’Alep.
Disparus le 22 avril 2013 sans laisser de traces dans la zone comprise entre Alep et la frontière turque, ils auraient été assassinés par le groupe djihadiste Nour al-Din al-Zenki, groupe salafiste financé et armé tant par l’Arabie Saoudite que par les Etats-Unis, selon Fides. L’agence fait référence à une enquête réalisée par une équipe conduite par Mansur Salib, chercheur syrien résidant aux Etats-Unis, et diffusée au travers de la plateforme numérique medium.com .
Piège tendu
Selon ce qu’indiquent les auteurs de l’enquête, le 22 avril 2013, les deux archevêques orthodoxes avaient quitté Alep à bord d’un pick-up Toyota conduit par le chauffeur Fatha’ Allah Kabboud dans le but d’aller traiter la libération de deux prêtres, le Père Michael Kayyal, de l’Eglise arménienne catholique et le grec orthodoxe Maher Mahfouz, enlevés précédemment par des groupes djihadistes qui contrôlaient alors les territoires se trouvant à l’est d’Alep.
Un tableau - icône , estimé entre 4 et 6 millions d'euros, s'est envolé à plus de 24 millions d'euros lors d'une vente fin octobre. Mais l'Etat ne veut pas le voir quitter le territoire.
C'est un petit panneau peint rarissime annonçant la Renaissance italienne et devenu le tableau primitif le plus cher vendu au monde: la France a interdit ce lundi l'exportation du "Christ moqué" de Cimabue et entend le conserver dans ses collections nationales.
La peinture à l'œuf et fond d'or sur panneau de peuplier, de 25,8 cm sur 20,3 cm, était accrochée entre le salon et la cuisine d'une vieille dame à Compiègne (Oise) et avait été expertisée à l'occasion d'un déménagement.
La famille avait toujours pensé qu'il s'agissait d'une simple icône, dont la vieille dame n'a pas su dire d'où elle provenait, mais l'expertise a révélé qu'il s'agissait d'une œuvre rarissime de Ceno Di Pepo, dit Cimabue (mort en 1302), l'une des plus grandes figures de la Pré-Renaissance. On lui connaît tout au plus onze œuvres exécutées sur bois dont aucune n'est signée.
C'est un petit panneau peint rarissime annonçant la Renaissance italienne et devenu le tableau primitif le plus cher vendu au monde: la France a interdit ce lundi l'exportation du "Christ moqué" de Cimabue et entend le conserver dans ses collections nationales.
La peinture à l'œuf et fond d'or sur panneau de peuplier, de 25,8 cm sur 20,3 cm, était accrochée entre le salon et la cuisine d'une vieille dame à Compiègne (Oise) et avait été expertisée à l'occasion d'un déménagement.
La famille avait toujours pensé qu'il s'agissait d'une simple icône, dont la vieille dame n'a pas su dire d'où elle provenait, mais l'expertise a révélé qu'il s'agissait d'une œuvre rarissime de Ceno Di Pepo, dit Cimabue (mort en 1302), l'une des plus grandes figures de la Pré-Renaissance. On lui connaît tout au plus onze œuvres exécutées sur bois dont aucune n'est signée.
A la cathédrale de Pinerolo , en Italie Mgr Derio Olivera a omis la lecture du symbole de la foi lors de la messe célébrée le jour du Baptême de Notre Seigneur.
Mgr Olivera a dit de cet office que c'était une messe destinée à tous. Y étaient invités des représentants des autorités locales ainsi que d'autres confessions. Au lieu d'une lecture commune à haute voix du symbole de la foi l'évêque a exprimé le souhait que les fidèles prient en silence. En effet, des athées se trouvent dans l'église.
"Après un silence honteux la messe s'est poursuivie. Mgr Olivera aurait peut-être du omettre l’eucharistie afin de ne pas attrister les représentants d'autres confessions" - observe Gloria TV.
Lien Епископ Дерио Оливьеро пропустил чтение символа веры во время мессы в честь праздника Крещения в кафедральном соборе итальянского города Пинероло.
Mgr Olivera a dit de cet office que c'était une messe destinée à tous. Y étaient invités des représentants des autorités locales ainsi que d'autres confessions. Au lieu d'une lecture commune à haute voix du symbole de la foi l'évêque a exprimé le souhait que les fidèles prient en silence. En effet, des athées se trouvent dans l'église.
"Après un silence honteux la messe s'est poursuivie. Mgr Olivera aurait peut-être du omettre l’eucharistie afin de ne pas attrister les représentants d'autres confessions" - observe Gloria TV.
Lien Епископ Дерио Оливьеро пропустил чтение символа веры во время мессы в честь праздника Крещения в кафедральном соборе итальянского города Пинероло.
Dans la nuit du 2 au 3 janvier 2020, une vingtaine de jeunes hommes partisans de l’Église schismatique d’Ukraine ont molesté quatre fidèles de l’Église orthodoxe ukrainienne (patriarcat de Moscou) qui montaient le guet devant leur église du Saint-Apôtre-Jean-l’Évangéliste dans le village de Mashcha (province de Rivne). Peu avant, Youri Kotovitch, le principal activiste de ces prétendus orthodoxes, avait menacé d’organiser une descente si le gué devant l’église n’était pas levé.
Selon un témoin, les activistes armés de barres de fer et de massues de bois ont commencé par supprimer l’éclairage de la rue menant à l’église puis s’en sont pris aux jeunes rassemblés dans une baraque de chantier à côté de l’église.
Selon les voisins les coups contre les fenêtres et les parois de la baraque étaient si forts qu’ils ont réveillé tous les gens alentour, enfants et adultes, et que personne n’a osé sortir.
Selon un témoin, les activistes armés de barres de fer et de massues de bois ont commencé par supprimer l’éclairage de la rue menant à l’église puis s’en sont pris aux jeunes rassemblés dans une baraque de chantier à côté de l’église.
Selon les voisins les coups contre les fenêtres et les parois de la baraque étaient si forts qu’ils ont réveillé tous les gens alentour, enfants et adultes, et que personne n’a osé sortir.
Chers frères et sœurs !
Nous vous invitons à participer à la vente paroissiale de bienfaisance de l'église de Trois Saints Hiérarques le 26 janvier, de 12.00 à 17.00
Au programme :
1-er étage: “table russe” avec des plats divers (parmi lesquels : sbiten (boisson chaude aux épices) ; pains d’épices de la région d’Arkhanguelsk, selon la recette du 19e siècle ; pains d’épices décorés à la main ; pirojki ; salades ; kotlety)
Rez-de-ch : des livres orthodoxes, objets religieux, production de la Laure de Potchaev, souvenirs traditionnels.
Nos invités d'honneur: Monastère de la Nativité de la Mère de Dieu, de Bois Salair avec la production de leur jardin bio, des plantes médicinales, les huiles essentielles, cosmétiques; bougies décoratives 100% cire d'abeilles.
Vous pouvez également participer en faisant un don de livres orthodoxes en très bon état
Nous vous invitons à participer à la vente paroissiale de bienfaisance de l'église de Trois Saints Hiérarques le 26 janvier, de 12.00 à 17.00
Au programme :
1-er étage: “table russe” avec des plats divers (parmi lesquels : sbiten (boisson chaude aux épices) ; pains d’épices de la région d’Arkhanguelsk, selon la recette du 19e siècle ; pains d’épices décorés à la main ; pirojki ; salades ; kotlety)
Rez-de-ch : des livres orthodoxes, objets religieux, production de la Laure de Potchaev, souvenirs traditionnels.
Nos invités d'honneur: Monastère de la Nativité de la Mère de Dieu, de Bois Salair avec la production de leur jardin bio, des plantes médicinales, les huiles essentielles, cosmétiques; bougies décoratives 100% cire d'abeilles.
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