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Moscou, 24 avril 2019. INTERFAX – Alexandre Volkov, chef du service de presse du patriarche Cyrille, annonce que le patriarche Théophile de Jérusalem interdira aux membres de la nouvelle Église créée en Ukraine de participer avec les autres orthodoxes aux prières de Pâques en Terre Sainte.
« Le patriarche de Jérusalem interdit aux schismatiques l’accès aux saintes reliques conservées sur le territoire canonique du patriarcat de Jérusalem. Celui-ci ne permettra aucune participation, ne serait-ce qu’en prières, aux membres de ces structures schismatiques, » a déclaré le père Alexandre au cours d’une conférence de presse à Moscou. Selon lui, des tentatives ont eu lieu de la part des schismatiques.
« Le patriarche de Jérusalem interdit aux schismatiques l’accès aux saintes reliques conservées sur le territoire canonique du patriarcat de Jérusalem. Celui-ci ne permettra aucune participation, ne serait-ce qu’en prières, aux membres de ces structures schismatiques, » a déclaré le père Alexandre au cours d’une conférence de presse à Moscou. Selon lui, des tentatives ont eu lieu de la part des schismatiques.
Rédigé par Parlons D'orthodoxie le 26 Avril 2019 à 13:16
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3 commentaires
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A l’automne de la terrible année 1937 il ne restait plus à Kiev que quatre églises ouvertes aux fidèles. Parmi elles, l’église de la Protection de la Vierge servait de cathédrale au métropolite Constantin Diakov, chassé de Kharkov par les soviétiques et qui devait subir le martyr en octobre de la même année.
A Kiev, dès 1933, on avait inquiété les moines. Lors de l’établissement des passeports intérieurs, tous les moines de la sainte ville russe avaient été chassés à plus de cinquante kilomètres de là, y compris ceux qui, faute de prêtres, s’occupaient des paroisses abandonnées ; beaucoup d’autres avaient été arrêtés et déportés ; on les trouvait trop nombreux, pourtant leur nombre avait bien diminué.
Sur plus de 1.000 moines appartenant au grand monastère de la Laure de Kiev, il en restait environ 150 qui logeaient dans des masures hors de la ville, mais la NKVD trouvait que c’était encore trop. Il est difficile de dire tous les moyens qu’elle employa pour s’en débarrasser et toutes les persécutions dont elle abreuva ces vieux moines, littéralement pourchassés et finalement obligés d’entrer dans une absolue clandestinité.
Parmi ces malheureux, on trouvait de vieux ermites qui étaient restés des dizaines d’années sans jamais sortir du couvent, comme le père Rodion qui avait vécu quarante ans sur place. Le passeport intérieur n’était accordé qu’aux moins de soixante ans, ou pour des raisons de santé, et encore ! Malgré leur passeport, ces religieux n’avaient pas le droit de célébrer les offices sans avoir été enregistrés par l’inspecteur des cultes, fonctionnaire communiste. Ces serviteurs de Dieu se réunissaient uniquement aux jours de fête pour prier ensemble et de préférence, à l’église de la Protection de la Vierge. Les fidèles leur apportaient des vivres et une aide pécuniaire.
A Kiev, dès 1933, on avait inquiété les moines. Lors de l’établissement des passeports intérieurs, tous les moines de la sainte ville russe avaient été chassés à plus de cinquante kilomètres de là, y compris ceux qui, faute de prêtres, s’occupaient des paroisses abandonnées ; beaucoup d’autres avaient été arrêtés et déportés ; on les trouvait trop nombreux, pourtant leur nombre avait bien diminué.
Sur plus de 1.000 moines appartenant au grand monastère de la Laure de Kiev, il en restait environ 150 qui logeaient dans des masures hors de la ville, mais la NKVD trouvait que c’était encore trop. Il est difficile de dire tous les moyens qu’elle employa pour s’en débarrasser et toutes les persécutions dont elle abreuva ces vieux moines, littéralement pourchassés et finalement obligés d’entrer dans une absolue clandestinité.
Parmi ces malheureux, on trouvait de vieux ermites qui étaient restés des dizaines d’années sans jamais sortir du couvent, comme le père Rodion qui avait vécu quarante ans sur place. Le passeport intérieur n’était accordé qu’aux moins de soixante ans, ou pour des raisons de santé, et encore ! Malgré leur passeport, ces religieux n’avaient pas le droit de célébrer les offices sans avoir été enregistrés par l’inspecteur des cultes, fonctionnaire communiste. Ces serviteurs de Dieu se réunissaient uniquement aux jours de fête pour prier ensemble et de préférence, à l’église de la Protection de la Vierge. Les fidèles leur apportaient des vivres et une aide pécuniaire.
Le métropolite Emmanuel de France ne figure plus parmi les candidats au poste d'archevêque de l'archidiocèse d'Amérique (Patriarcat de Constantinople).
Jusqu’à récemment, le métropolite Emmanuel figurait sur la liste des candidats au trône de l’archidiocèse d’Amérique , aux côtés du métropolite Élpidophore de Prousa. SUITE
Jusqu’à récemment, le métropolite Emmanuel figurait sur la liste des candidats au trône de l’archidiocèse d’Amérique , aux côtés du métropolite Élpidophore de Prousa. SUITE
Le 21 avril, Dimanche des Rameaux, Monseigneur Jean a célébré la divine liturgie de Saint Jean Chrysostome en la cathédrale de la Sainte Trinité à Paris.
Cette Liturgie, officiée par le métropolite, a été concélébrée avec l’archiprêtre Vladimir Seliavko, secrétaire de l’administration diocèsaine; le père Maxim Politov, ecclésiarque de la cathédrale; l’archiprêtre Nicolas Ozoline, membre du clergé de la cathédrale des Trois Saints Docteurs à Paris ; l’archiprêtre Yaroslav Lutoshkin ; l’higoumène Séraphin (Zviaguine) ; le père Jean Gauthier, recteur de la paroisse de la Mère de Dieu de Kazan à Marseille ; le père Georges Sheshko ; le père Gabriel Lacascade, membre du clergé de la paroisse de la Mère de Dieu « Joie de tous les affligés » ; le père Alexandre Brunet, membre du clergé de la paroisse Saint Séraphin à Bordeaux ; le père Alexandre Machtalère, clergé de la paroisse des Saints Constantin et Hélène à Clamart ; le hiéromoine Pierre (Smirnov); le protodiacre Nicolas Rehbinder ; le diacre Roman Onica ; le diacre Vladimir Shilinsky, de la métropole de Vladimir-Volyn et le hiérodiacre Macaire.
Cette Liturgie, officiée par le métropolite, a été concélébrée avec l’archiprêtre Vladimir Seliavko, secrétaire de l’administration diocèsaine; le père Maxim Politov, ecclésiarque de la cathédrale; l’archiprêtre Nicolas Ozoline, membre du clergé de la cathédrale des Trois Saints Docteurs à Paris ; l’archiprêtre Yaroslav Lutoshkin ; l’higoumène Séraphin (Zviaguine) ; le père Jean Gauthier, recteur de la paroisse de la Mère de Dieu de Kazan à Marseille ; le père Georges Sheshko ; le père Gabriel Lacascade, membre du clergé de la paroisse de la Mère de Dieu « Joie de tous les affligés » ; le père Alexandre Brunet, membre du clergé de la paroisse Saint Séraphin à Bordeaux ; le père Alexandre Machtalère, clergé de la paroisse des Saints Constantin et Hélène à Clamart ; le hiéromoine Pierre (Smirnov); le protodiacre Nicolas Rehbinder ; le diacre Roman Onica ; le diacre Vladimir Shilinsky, de la métropole de Vladimir-Volyn et le hiérodiacre Macaire.
Les autorités italiennes rétablissent les mentions « père » et « mère » dans les documents officiels, poursuivant ainsi, selon l’agence « Tsargrad », le retour aux valeurs traditionnelles.
Le vice-premier ministre et ministre des Affaires étrangères d’Italie a déclaré : « Je suis heureux d’annoncer qu’en Italie il n’y aura plus de parent-1 et parent-2, ce qui était en contradiction avec les traditions séculaires ; nous avons décidé d’en finir avec ça. »
Les mentions « parent-1 » et « parent-2 » avaient été introduites en 2016 au nom de la tolérance et de la défense des homosexuels. Le gouvernement libéral de l’époque avait pris cette décision qui a choqué de nombreux Italiens.
Le vice-premier ministre et ministre des Affaires étrangères d’Italie a déclaré : « Je suis heureux d’annoncer qu’en Italie il n’y aura plus de parent-1 et parent-2, ce qui était en contradiction avec les traditions séculaires ; nous avons décidé d’en finir avec ça. »
Les mentions « parent-1 » et « parent-2 » avaient été introduites en 2016 au nom de la tolérance et de la défense des homosexuels. Le gouvernement libéral de l’époque avait pris cette décision qui a choqué de nombreux Italiens.
Судом Киева было удовлетворено заявление Киевской митрополии о переименованя УПЦ
Суд заблокировал процесс принудительного переименования Украинской православной церкви Московского патриархата, которая обязана была до 26 апреля начать указывать в названии свою принадлежность к Русской православной церкви.
Court in Kiev puts renaming of UOC on holdCourt in Kiev puts renaming of UOC on hold
Kiev, April 22, Interfax - The Kiev District Administrative Court has granted the motion of the Ukrainian Orthodox Church of security for the claim in the case involving the reversal of the order issued by the Ukrainian Culture Ministry ordering the Kiev Metropolitanate of the UOC to change its name, the court press service said on Monday.
Суд заблокировал процесс принудительного переименования Украинской православной церкви Московского патриархата, которая обязана была до 26 апреля начать указывать в названии свою принадлежность к Русской православной церкви.
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Yakov Korobka demeurait au village de Belvédère dans le diocèse de Chersonèse-Odessa.
Fils d’un paysan pauvre, il était né en 1893 et avait terminé les trois classes de l’école paroissiale du village. Il lisait couramment, savait écrire et connaissait bien l’Ecriture Sainte.
Depuis son enfance, il avait l’habitude de faire des pèlerinages dans les monastères russes, ainsi que beaucoup de chrétiens orthodoxes aimaient à le faire. C’était un zélé défenseur de l’Eglise.
Lors de l’organisation des kolkhozes il refusa catégoriquement d’y entrer.
Fils d’un paysan pauvre, il était né en 1893 et avait terminé les trois classes de l’école paroissiale du village. Il lisait couramment, savait écrire et connaissait bien l’Ecriture Sainte.
Depuis son enfance, il avait l’habitude de faire des pèlerinages dans les monastères russes, ainsi que beaucoup de chrétiens orthodoxes aimaient à le faire. C’était un zélé défenseur de l’Eglise.
Lors de l’organisation des kolkhozes il refusa catégoriquement d’y entrer.
Le Centre spirituel et culturel russe à Paris organise des cours de russe de 6 à 12 personnes. Russe fondamental ou spécialisé, les cours sont organisés en plusieurs niveaux. 27 groupes (plus de 230 étudiants) sont formés pour l’année 2018 – 2019.
Stage de russe. Du 17 au 28 juin 2019
Le Centre spirituel et culturel russe vous invite au stage du russe intensif.
Les groupes de 12 personnes maximum sont constitués en fonction du niveau de connaissance de langue, ce qui permet d’assurer de meilleurs résultats.
Tous nos professeurs sont de langue maternelle russe et spécialement diplômés pour l’enseignement du russe aux étrangers.
Le programme du stage comprend deux niveaux : débutant, faux-débutant pour les formules « jour » et « soir ». Pour les niveaux moyen et supérieur nous vous proposons le stage sur la formule « soir ».
Stage de russe. Du 17 au 28 juin 2019
Le Centre spirituel et culturel russe vous invite au stage du russe intensif.
Les groupes de 12 personnes maximum sont constitués en fonction du niveau de connaissance de langue, ce qui permet d’assurer de meilleurs résultats.
Tous nos professeurs sont de langue maternelle russe et spécialement diplômés pour l’enseignement du russe aux étrangers.
Le programme du stage comprend deux niveaux : débutant, faux-débutant pour les formules « jour » et « soir ». Pour les niveaux moyen et supérieur nous vous proposons le stage sur la formule « soir ».
Lors de sa visite en France en 2007 le patriarche Alexis II a offert à la cathédrale Notre-Dame de Paris une icône représentant la Mère de Dieu de Vladimir.
Le père Philippe Riabykh, recteur de la paroisse de Tous les Saints à Strasbourg, a fait savoir qu'il était entré en contact avec Monseigneur Patrick Chauvet, recteur de Notre-Dame, qui a confirmé que l'icône n'avait pas été endommagée par le feu.
Le père Philippe Riabykh, recteur de la paroisse de Tous les Saints à Strasbourg, a fait savoir qu'il était entré en contact avec Monseigneur Patrick Chauvet, recteur de Notre-Dame, qui a confirmé que l'icône n'avait pas été endommagée par le feu.
– Votre Sainteté, le patriarche œcuménique Bartholomée a octroyé, au début du mois de janvier, l’autocéphalie à l’Église orthodoxe d’Ukraine. Quelle sera désormais la position du Patriarcat de Moscou ?
– Autant en Ukraine qu’en Grèce, il n’y a qu’une Église orthodoxe, qui est reconnue par toutes les Églises autocéphales. L’Église d’Ukraine n’a pas demandé au Phanar l’autocéphalie, et bien plus, elle s’y est opposée. Cependant, méprisant le point de vue de l’Église canonique d’Ukraine, le patriarche Bartholomée a octroyé le « Tomos d’autocéphalie », non pas à l’Église, mais à des schismatiques. Du point de vue canonique, cette acte est inexistant. Nous ne le reconnaissons pas, et il n’est pas question pour nous de le reconnaître.
– Autant en Ukraine qu’en Grèce, il n’y a qu’une Église orthodoxe, qui est reconnue par toutes les Églises autocéphales. L’Église d’Ukraine n’a pas demandé au Phanar l’autocéphalie, et bien plus, elle s’y est opposée. Cependant, méprisant le point de vue de l’Église canonique d’Ukraine, le patriarche Bartholomée a octroyé le « Tomos d’autocéphalie », non pas à l’Église, mais à des schismatiques. Du point de vue canonique, cette acte est inexistant. Nous ne le reconnaissons pas, et il n’est pas question pour nous de le reconnaître.
Chers frères et sœurs, hier soir, en me préparant à cette homélie, j’ai voulu parcourir sur internet ce qui y est dit, du point de vue scientifique, sur la mort.
On trouve beaucoup de choses passionnantes sur le web sur la différence entre la mort clinique et la mort cérébrale, sur la question de l’instant de la mort et de sa définition, sur l’aspect irréversible de l’arrêt des activités cérébrales, sur ce qu’on appelle l’expérience de la mort imminente et les témoignages de ceux qui ont été ramenés à la vie après une telle expérience etc.
On y trouve aussi une multitude de conceptions religieuses et philosophiques du sens de la mort. Beaucoup de religions et de cultures envisagent la mort comme un passage dans une autre vie de l’âme séparée du corps, parfois comme une pérégrination qui amène l’âme à une nouvelle incarnation, mais aussi comme une nouvelle naissance de la conscience dans une autre forme d’existence.
Ce qui m'a frappé, c'est que, partout, la mort est considérée comme irréversible, même quand on croit en la vie éternelle.
Et même dans les milieux chrétiens, la mort est souvent considérée comme la séparation définitive de l’âme et du corps. On croit que les morts sont irrévocablement débarrassés de leur corps et continuent à vivre éternellement sous la forme d’âmes et d’esprits.
On trouve beaucoup de choses passionnantes sur le web sur la différence entre la mort clinique et la mort cérébrale, sur la question de l’instant de la mort et de sa définition, sur l’aspect irréversible de l’arrêt des activités cérébrales, sur ce qu’on appelle l’expérience de la mort imminente et les témoignages de ceux qui ont été ramenés à la vie après une telle expérience etc.
On y trouve aussi une multitude de conceptions religieuses et philosophiques du sens de la mort. Beaucoup de religions et de cultures envisagent la mort comme un passage dans une autre vie de l’âme séparée du corps, parfois comme une pérégrination qui amène l’âme à une nouvelle incarnation, mais aussi comme une nouvelle naissance de la conscience dans une autre forme d’existence.
Ce qui m'a frappé, c'est que, partout, la mort est considérée comme irréversible, même quand on croit en la vie éternelle.
Et même dans les milieux chrétiens, la mort est souvent considérée comme la séparation définitive de l’âme et du corps. On croit que les morts sont irrévocablement débarrassés de leur corps et continuent à vivre éternellement sous la forme d’âmes et d’esprits.
En cas d'incendie et dès les premiers signes de fumée, les abeilles se "gorgent" de miel et protègent leur reine.
Un rucher est installé sur les toits de la cathédrale Notre-Dame de Paris
Les abeilles de Notre-Dame miraculées
Les quelque 200.000 abeilles des ruches de Notre-Dame ont survécu à l'incendie qui a ravagé le toit de la cathédrale le 15 avril 2019. "Les abeilles sont en vie. Jusqu'à ce matin, vers 11H00, je n'avais aucune nouvelle", explique à l'AFP l'apiculteur Nicolas Géant qui s'occupe des ruches de Notre-Dame situées sur la sacristie attenante à la cathédrale.
"Au départ, je pensais que les trois ruches avaient brûlé, je n'avais aucune information. Mais j'ai ensuite pu voir sur les images satellites que ce n'était pas le cas et le porte-parole de la cathédrale m'a confirmé qu'elles entraient et sortaient des ruches", poursuit-il.
Un rucher est installé sur les toits de la cathédrale Notre-Dame de Paris
Les abeilles de Notre-Dame miraculées
Les quelque 200.000 abeilles des ruches de Notre-Dame ont survécu à l'incendie qui a ravagé le toit de la cathédrale le 15 avril 2019. "Les abeilles sont en vie. Jusqu'à ce matin, vers 11H00, je n'avais aucune nouvelle", explique à l'AFP l'apiculteur Nicolas Géant qui s'occupe des ruches de Notre-Dame situées sur la sacristie attenante à la cathédrale.
"Au départ, je pensais que les trois ruches avaient brûlé, je n'avais aucune information. Mais j'ai ensuite pu voir sur les images satellites que ce n'était pas le cas et le porte-parole de la cathédrale m'a confirmé qu'elles entraient et sortaient des ruches", poursuit-il.
Issu de la meilleure aristocratie, saint Ambroise /340-397/ est d’abord un grand commis de l’Empire romain avant de devenir évêque de Milan, en 374.
Milan est une ville qui compte pour Patrick Boucheron C’est à l’urbanisme de la capitale lombarde à la fin du Moyen Age qu’il consacra jadis sa thèse, et c’est Milan qu’il parcourt de nouveau aujourd’hui sur les traces du plus célèbre de ses enfants, Ambroise de Milan.
C’est aux «vies posthumes» de ce dernier qu’il consacre un gros livre bourré d’érudition, c’est-à-dire aux multiples réemplois de la figure du saint milanais durant le millénaire qui sépare sa naissance (au IVe siècle) de la fin du Moyen Age. Par bien des aspects, ce livre est donc d’abord une histoire politique et religieuse de la capitale lombarde, rédigée à partir du souvenir ou, mieux, d’une anamnèse collective. «Tout à Milan est ambrosien - ou plus exactement, tout l’est devenu», écrit-il.
Milan est une ville qui compte pour Patrick Boucheron C’est à l’urbanisme de la capitale lombarde à la fin du Moyen Age qu’il consacra jadis sa thèse, et c’est Milan qu’il parcourt de nouveau aujourd’hui sur les traces du plus célèbre de ses enfants, Ambroise de Milan.
C’est aux «vies posthumes» de ce dernier qu’il consacre un gros livre bourré d’érudition, c’est-à-dire aux multiples réemplois de la figure du saint milanais durant le millénaire qui sépare sa naissance (au IVe siècle) de la fin du Moyen Age. Par bien des aspects, ce livre est donc d’abord une histoire politique et religieuse de la capitale lombarde, rédigée à partir du souvenir ou, mieux, d’une anamnèse collective. «Tout à Milan est ambrosien - ou plus exactement, tout l’est devenu», écrit-il.
En 1932, à la suite d’arrestations massives effectuées dans la région de Leningrad 900 religieuses et leurs amies laïques furent expédiées en direction d’Alma-Ata, en Asie centrale soviétique, pour être réparties en divers endroits.
Bientôt, il n’en restait plus que 70 en vie ! Le typhus, la dysenterie, la faim avaient touché toute les autres. Du matin au soir, on évacuait leurs cadavres des baraques en béton ou en argile, des prisons et des infirmeries.
Marie de Gatchina (Lidia Lelianova dans le monde), sainte martyre, est née à Saint Pétersbourg en 1874. A l’âge de 16 ans elle est atteinte par la maladie de Parkinson, puis d’une encéphalite.
C’est dans un fauteuil roulant qu’elle se présente à son lycée pour y passer les examens de fin d’études.De longs traitements, y compris à l’étranger, s’avèrent infructueux. Ses bras et ses jambes se dessèchent peu à peu. La position assise lui était impossible à cause des terribles douleurs qu’elle éprouvait. Elle était astreinte à rester couchée.
Photo: Sainte martyre Marie de Gatchina 1930
Bientôt, il n’en restait plus que 70 en vie ! Le typhus, la dysenterie, la faim avaient touché toute les autres. Du matin au soir, on évacuait leurs cadavres des baraques en béton ou en argile, des prisons et des infirmeries.
Marie de Gatchina (Lidia Lelianova dans le monde), sainte martyre, est née à Saint Pétersbourg en 1874. A l’âge de 16 ans elle est atteinte par la maladie de Parkinson, puis d’une encéphalite.
C’est dans un fauteuil roulant qu’elle se présente à son lycée pour y passer les examens de fin d’études.De longs traitements, y compris à l’étranger, s’avèrent infructueux. Ses bras et ses jambes se dessèchent peu à peu. La position assise lui était impossible à cause des terribles douleurs qu’elle éprouvait. Elle était astreinte à rester couchée.
Photo: Sainte martyre Marie de Gatchina 1930
Émotion et solidarité internationales après l’incendie à Notre-Dame de Paris
Les orthodoxes du monde entier ont souffert avec leurs frères catholiques, avec le monde entier de voir au bord de annihilation Notre-Dame de Paris, joyau du christianisme européen . Gloire au Ciel, aux efforts et aux prières de tous , nous irons tout à l'heure, comme nous le faisons souvent vénérer ce haut lieu de la foi . L’icône de la Mère de Dieu de Vladimir, don du défunt patriarche Alexis II est sauve, comme l'ensemble des objets sacrés se trouvant dans la cathédrale.
Патриарх Кирилл надеется на быстрое восстановление собора Нотр-Дам
Патриарх Московский и всея Руси Кирилл "глубоко опечален" известием о разрушительном пожаре, который нанес большой ущерб собору Парижской Богоматери, сообщает официальный сайт Русской православной церкви.
"Сопереживаю Вам, вашей пастве и всем, кому дорог этот шедевр христианского храмового зодчества, занимающий особое место среди памятников архитектуры всемирного культурного наследия", - говорится в послании патриарха Мишелю Опети, архиепископу Парижскому.
Les orthodoxes du monde entier ont souffert avec leurs frères catholiques, avec le monde entier de voir au bord de annihilation Notre-Dame de Paris, joyau du christianisme européen . Gloire au Ciel, aux efforts et aux prières de tous , nous irons tout à l'heure, comme nous le faisons souvent vénérer ce haut lieu de la foi . L’icône de la Mère de Dieu de Vladimir, don du défunt patriarche Alexis II est sauve, comme l'ensemble des objets sacrés se trouvant dans la cathédrale.
Патриарх Кирилл надеется на быстрое восстановление собора Нотр-Дам
Патриарх Московский и всея Руси Кирилл "глубоко опечален" известием о разрушительном пожаре, который нанес большой ущерб собору Парижской Богоматери, сообщает официальный сайт Русской православной церкви.
"Сопереживаю Вам, вашей пастве и всем, кому дорог этот шедевр христианского храмового зодчества, занимающий особое место среди памятников архитектуры всемирного культурного наследия", - говорится в послании патриарха Мишелю Опети, архиепископу Парижскому.
Servante chrétienne dans une famille juive de Thessalonique, elle fut soumise à de rudes flagellations par sa maîtresse pour avoir confessé la divinité du Christ, Fils de David. Elle périt sous les coups de bâtons.
Sainte Matrone était servante d'une noble juive, nommée Pautilla, qui était mariée au général de la garnison impériale de la ville de Thessalonique. Elle adorait Jésus-Christ comme le vrai Dieu et le priait en secret, pour ne pas éveiller l'attention de sa maîtresse.
Lorsque, chaque jour, celle-ci se rendait à la synagogue, Matrone l'accompagnait jusqu'à la porte, puis elle se dérobait aussitôt pour se rendre à l'église et offrir ses prières au Seigneur, s'arrangeant pour être présente à la sortie de Pautilla. Or quand vint la Pâque juive.
Matrone, qui désirait assister aux offices préparant la fête de la Résurrection du Seigneur, la vraie Pâque qui nous a fait passer de la mort à la vie, se rendit à l'église, mais elle tarda à réjoindre la synagogue et un des domestiques la dénonça à sa maîtresse. Pautilla, entrant alors dans une grande colère, déclara que si Matrone l'avait] trompée sur ce point elle devait bien être aussi fautive dans son service, et elle ordonna à ses autres serviteurs de l'attacher sur un banc et de la frapper de verges.
Sainte Matrone était servante d'une noble juive, nommée Pautilla, qui était mariée au général de la garnison impériale de la ville de Thessalonique. Elle adorait Jésus-Christ comme le vrai Dieu et le priait en secret, pour ne pas éveiller l'attention de sa maîtresse.
Lorsque, chaque jour, celle-ci se rendait à la synagogue, Matrone l'accompagnait jusqu'à la porte, puis elle se dérobait aussitôt pour se rendre à l'église et offrir ses prières au Seigneur, s'arrangeant pour être présente à la sortie de Pautilla. Or quand vint la Pâque juive.
Matrone, qui désirait assister aux offices préparant la fête de la Résurrection du Seigneur, la vraie Pâque qui nous a fait passer de la mort à la vie, se rendit à l'église, mais elle tarda à réjoindre la synagogue et un des domestiques la dénonça à sa maîtresse. Pautilla, entrant alors dans une grande colère, déclara que si Matrone l'avait] trompée sur ce point elle devait bien être aussi fautive dans son service, et elle ordonna à ses autres serviteurs de l'attacher sur un banc et de la frapper de verges.
Rendez-vous Mardi 9 avril à 19h40 avec Carol Saba sur KTO VIDEO
Que s'est-il vraiment passé, durant la nuit du 16 au 17 juillet 1918 dans la maison Ipatiev où le Tsar Nicolas II, sa femme et ses enfants ont été tués ? Les exécutants, les commanditaires, les complices ...
Que s'est-il vraiment passé, durant la nuit du 16 au 17 juillet 1918 dans la maison Ipatiev où le Tsar Nicolas II, sa femme et ses enfants ont été tués ? Les exécutants, les commanditaires, les complices ...
"Un maître de sagesse vanvéen : soirée à la mémoire du starets Serge Chévitch à Vanves"
Le 16 mai 2014, une soirée à la mémoire du père Serge Chévitch (1903-1987) a eu lieu dans la salle Palestre en face de la Mairie de la ville de Vanves. Cette rencontre a commencé par une introduction du père Jean-Michel Rousseau, recteur de la paroisse Sainte-Trinité à Vanves, que le père Serge Chévitch desservait jusqu’à sa mort. Dans son discours, le père Michel a présenté les quatre conférenciers de la soirée et le livre de Jean-Claude Larchet Le Starets Serge.
P.O. publie le texte de l'intervention d’Émilie van Taack , fille spirituelle du père Serge
LE PERE SERGE ET SES ENFANTS SPIRITUELS
Père Serge fut véritablement un PERE, dans le sens le plus filial du terme.
Il a adopté un certain nombre de personnes et son amour en a fait ses enfants, avant que des disciples.
Le 16 mai 2014, une soirée à la mémoire du père Serge Chévitch (1903-1987) a eu lieu dans la salle Palestre en face de la Mairie de la ville de Vanves. Cette rencontre a commencé par une introduction du père Jean-Michel Rousseau, recteur de la paroisse Sainte-Trinité à Vanves, que le père Serge Chévitch desservait jusqu’à sa mort. Dans son discours, le père Michel a présenté les quatre conférenciers de la soirée et le livre de Jean-Claude Larchet Le Starets Serge.
P.O. publie le texte de l'intervention d’Émilie van Taack , fille spirituelle du père Serge
LE PERE SERGE ET SES ENFANTS SPIRITUELS
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Kourapaty est une zone forestière des environs de Minsk, en Biélorussie où de nombreuses exécutions furent perpétrées par le régime soviétique de 1937 à 1941. Le nombre de victimes est estimé entre 30 000 et 100 000
L’archevêque Tadeusz Kondrusiewicz, primat de l’Église catholique-romaine en Biélorussie, a appelé à cesser de détruire dans la forêt des Kourapaty les croix érigées, sans autorisation des autorités gouvernementales, par les parents des victimes des répressions staliniennes.
L’archevêque déclare dans le communiqué publié sur le site de l’Église catholique : « J’appelle les responsables de ces actes à cesser de détruire les croix et à entamer, par le dialogue avec les représentants des différentes forces politiques et des différentes religions, un processus de régularisation de la situation. » Il rappelle ensuite que le problème des Kourapaty existe depuis longtemps et a des racines profondes, mais qu’il est indispensable de régler cette situation et poursuit :
« Depuis que, à la fin des années 80 du siècle dernier, le monde a découvert le lieu des exécutions, il est apparu indispensable de mener les recherches fondamentales adéquates, comme cela se pratique avec tous les charniers comparables pour s’assurer de ce qui s’est passé.
L’archevêque Tadeusz Kondrusiewicz, primat de l’Église catholique-romaine en Biélorussie, a appelé à cesser de détruire dans la forêt des Kourapaty les croix érigées, sans autorisation des autorités gouvernementales, par les parents des victimes des répressions staliniennes.
L’archevêque déclare dans le communiqué publié sur le site de l’Église catholique : « J’appelle les responsables de ces actes à cesser de détruire les croix et à entamer, par le dialogue avec les représentants des différentes forces politiques et des différentes religions, un processus de régularisation de la situation. » Il rappelle ensuite que le problème des Kourapaty existe depuis longtemps et a des racines profondes, mais qu’il est indispensable de régler cette situation et poursuit :
« Depuis que, à la fin des années 80 du siècle dernier, le monde a découvert le lieu des exécutions, il est apparu indispensable de mener les recherches fondamentales adéquates, comme cela se pratique avec tous les charniers comparables pour s’assurer de ce qui s’est passé.
Montgeron : l’ex-château des dissidents russes vendu 504 000 € aux enchères
Renaissance de la paroisse Saint Séraphin de Sarov - VOIR le SITE. Cette église est restée de longues années en déshérence. Voilà deux ans qu’elle revit, le nombre de ses fidèles, multiethniques ce qui correspond à la tradition du lieu. L’église compte aujourd'hui près de 500 fidèles, c'est l'une des plus nombreuses du diocèse de Chersonèse, très unis, très actifs. Pâques à Montgeron!
Les prêtres qui la desservent appartiennent au diocèse de Chersonèse. SUITE
Après trois ans de procédure, la Ville a annoncé l’inscription du Moulin de Senlis au titre des Monuments historiques. La bâtisse du XVe siècle va pouvoir être rénovée à moindre coût. VIDEO
C’est une victoire pour les Montgeronnais. Propriétaire du bâtiment depuis un an, la Ville a vu sa demande d’inscription du Moulin de Senlis au titre des Monuments historiques acceptée par le Préfet de région. « Au terme de trois ans de procédure, notre implication forte et constante pour préserver notre patrimoine historique est enfin récompensée ! », se félicite la maire (LR) de Montgeron, Sylvie Carillon.
Il faut dire que la ville revient de loin. Fin juillet 2016, une dizaine de familles, originaires des pays de l’Est, étaient expulsées du château, à la suite d’un arrêté de péril imminent suite aux inondations du mois de juin. Elles avaient toutes étaient relogées à l’époque. Aujourd’hui, seules deux personnes, en situation irrégulière, sont toujours à l’hôtel, « mais toutes ont un toit sur la tête », assure Sylvie Carillon.
Renaissance de la paroisse Saint Séraphin de Sarov - VOIR le SITE. Cette église est restée de longues années en déshérence. Voilà deux ans qu’elle revit, le nombre de ses fidèles, multiethniques ce qui correspond à la tradition du lieu. L’église compte aujourd'hui près de 500 fidèles, c'est l'une des plus nombreuses du diocèse de Chersonèse, très unis, très actifs. Pâques à Montgeron!
Les prêtres qui la desservent appartiennent au diocèse de Chersonèse. SUITE
Après trois ans de procédure, la Ville a annoncé l’inscription du Moulin de Senlis au titre des Monuments historiques. La bâtisse du XVe siècle va pouvoir être rénovée à moindre coût. VIDEO
C’est une victoire pour les Montgeronnais. Propriétaire du bâtiment depuis un an, la Ville a vu sa demande d’inscription du Moulin de Senlis au titre des Monuments historiques acceptée par le Préfet de région. « Au terme de trois ans de procédure, notre implication forte et constante pour préserver notre patrimoine historique est enfin récompensée ! », se félicite la maire (LR) de Montgeron, Sylvie Carillon.
Il faut dire que la ville revient de loin. Fin juillet 2016, une dizaine de familles, originaires des pays de l’Est, étaient expulsées du château, à la suite d’un arrêté de péril imminent suite aux inondations du mois de juin. Elles avaient toutes étaient relogées à l’époque. Aujourd’hui, seules deux personnes, en situation irrégulière, sont toujours à l’hôtel, « mais toutes ont un toit sur la tête », assure Sylvie Carillon.
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