Le Saint Synode de l’Église orthodoxe russe siégeant le 13 juillet 2015 nomme un nouveau recteur de la cathédrale de Nice
Extraits des procès-verbaux № 56 de la session du Saint Synode qui vient de se tenir à Saint-Pétersbourg

Nouvelle nomination, l'archiprêtre Andreï Elisseev devient recteur de la cathédrale Saint Nicolas (Nice). Le père Andreï Elisseev était jusqu'à présent recteur de la paroisse de la Nativité à Anvers (diocèse de Bruxelles et de Belgique). Le Synode lui a exprimé sa reconnaissance et l'a mis à la disposition du diocèse de Chersonèse.

L'archimandrite Alexandre (Elissov) jusqu'à présent recteur de la cathédrale Saint Nicolas est affecté responsable de la Mission spirituelle russe (EOR) à Jérusalem.
Rédigé par Parlons D'orthodoxie le 14 Juillet 2015 à 22:29 | Permalien

Deux entités ecclésiale non reconnues, le prétendu patriarcat de Kiev et l’Eglise orthodoxe autocéphale d’Ukraine ont, comme cela avait été annoncé, déclaré leur intention de réunir le 14 septembre prochain « un concile de réunification ». Suite ICI

Nous apprenons que le prétendu concile prévu pour l’automne prochain ne se réunira pas. Le 9 juillet dernier la Commission conjointe pour le dialogue s’étant réunie l’église autocéphale d’Ukraine a rejeté les propositions du soit disant patriarcat de Kiev. Cette entité estime que les « autocéphalistes » se trouvent sous l’influence de Moscou.
Rédigé par Parlons D'orthodoxie le 14 Juillet 2015 à 19:49 | 0 commentaire | Permalien

Réflexions sur la première communion
V. Golovanow

"La chrismation ou l’onction suit immédiatement le baptême et ne doit pas être confondue avec la confirmation, telle qu’elle existe à présent en Occident (séparée du baptême par un long laps de temps). La chrismation n’est pas une confirmation du baptême ; elle est son complément qui donne au chrétien nouveau-né le sceau de l’Esprit et la faculté d’une croissance spirituelle. C’est pourquoi ce sacrement doit être suivi par la sainte communion — participation au mystère du corps et du sang divins — qui, seule, fait de nous de vrais chrétiens et membres du corps de l’Église.

C’est pourquoi la communion de petits enfants (très vite après leur baptême et leur chrismation) est un des traits les plus caractéristiques de la vie religieuse orthodoxe.

L’Église orthodoxe peut admettre que le baptême soit remis, dans certaines circonstances, jusqu’à l’âge adulte (ce qui arrivait souvent dans l’Église ancienne), mais il lui apparaît comme parfaitement incompréhensible que des enfants baptisés soient privés, pendant de longues années, de la participation à la divine eucharistie qui est la vie éternelle et le Christ lui-même présent dans son corps véritable et son sang précieux.
Rédigé par V.Golovanow le 12 Juillet 2015 à 20:27 | 5 commentaires | Permalien

V.Golovanow

Le Premier ministre Dmitri Medvedev n'a pas pris la décision d'inhumer enfin les restes attribués au saints grand-duc Alexis et sa sœur Marie conservés depuis 2007 dans les archives d'Etat mais de créer un groupe de travail interministériel pour envisager cette option Interfax du 26/06/2015 Par la voix autorisée de L'archiprêtre Vsévolod Chaplin, vice-président du département des relations extérieures du patriarcat de Moscou, l'Église a approuvé cette initiative ne suggérant de reprendre l’authentification de tous les restes attribués à la famille impériale massacrée dans la nuit du 16 au 17 juillet 1918 à Ekaterinburg.

Rappelons les faits:

Des fouilles assez désordonnées menées en juillet 1991 ont mis à jour les restes de neuf personnes qui ont été attribués aux saints empereur Nicolas II, impératrice Alexandre et leurs filles Olga, Tatiana et Anastasia ainsi que leurs proches et serviteurs Eugène Botkine et Anna Demidova, Aloys Trupp, Ivan Kharitonov, 48 ans. Les restes attribués aux membres de la famille impériale ont été ensevelis dans une chapelle de la cathédrale Saints Pierre et Paul à Pétersbourg lors d'une grand cérémonie officielle le 17 juillet 1998 en présence du président Eltsine, mais l'Église russe n'y ont pas participé officiellement.
Rédigé par Parlons D'orthodoxie le 11 Juillet 2015 à 11:20 | 1 commentaire | Permalien

Trois martyres du XX siècles seront  béatifiées en Espagne
Le 5 septembre 2015 une cérémonie est prévue dans la cathédrale de Gérone, en Catalogne : trois moniales ayant appartenu à l’ordre San Jose de Gérone y seront béatifiées.

Les sœurs martyres Fidela Oller (Banyoles, 1869), Facunda Margenat (Girona, 1876) et Josefa Monrabal (Gandía, 1901) ont toutes trois fermement témoigné de leur foi et ont été mises à mort lors des persécutions de 1931-1939.

La première Fidela Ollerse consacrait à des œuvres de charité à Banyoles, Josefa Monrabal s’occupait des personnes malades à Gérone. Toutes deux ont été tuées alors qu’elles se rendaient à Jerez (Valence).

Facunda Margenat est connue par sa simplicité et son active bonté. Elle participait à des projets sociaux conduits par plusieurs municipalités des environs de Barcelone. C’est dans cette ville qu’elle a été assassinée.
Rédigé par Parlons D'orthodoxie le 10 Juillet 2015 à 16:11 | 4 commentaires | Permalien

Trèves: les peintres russes ont peint des icônes dans une église de la vieille ville allemande
PravMir Traduction Elena Tastevin

Trèves : Ces icônes ont été peintes dans l’autel de l’Eglise 40 Martyrs de Sébaste par les peintres Alexandre Tchachkine et Alexandre Chevtchenko.

A. Tchachkine nous a raconté pourquoi ils étaient venus de Russie dans la paroisse du diocèse de Berlin et d’Allemagne et ce qu’il y avait de particulier dans ces icônes.

« J’ai entendu dire qu’il était nécessaire de décorer une petite église à Trèves. Ensuite j’ai vu une émission consacrée à cette ville. Son histoire m’a impressionnée. Trèves était l’une des trois capitales de l’empire romain, Saints Hélène et Constantin y ont séjourné. Bref, j’ai décidé d’y aller avec mon collègue, le peintre Alexandre Chevtchenko.
Rédigé par Parlons D'orthodoxie le 9 Juillet 2015 à 17:45 | 0 commentaire | Permalien

Les 5 et 6 juillet dernières rencontres du patriarche de Constantinople Bartholomée avec le métropolite Hilarion de Volokolamsk. Le métropolite de France Emmanuel a particpé aux entretiens. Il s'est agi de la préparation du Concile de 2016, de la situation des chrétiens d'Orient et d'autres questions importantes.

On July 6, the DECR chairman met with His Holiness Bartholomew, Patriarch of Constantinople, at the Fanar residence of Patriarchs of Constantinople. In attendance were Metropolitan Emmanuel of France, Archimandrite Bartholomew (Samaras), chief secretary of the Church of Constantinople Holy Synod, Deacon Joachim (Billis), assistant to the Holy Synod secretary, and Deacon Theodore (Shulga), DECR secretariat for inter-Orthodox relations...MOSPAT
Rédigé par Parlons D'orthodoxie le 8 Juillet 2015 à 13:49 | 1 commentaire | Permalien

Christophe Geffroy: "Retour de Russie"
Le site russophone du diocèse de Chersonèse vient de mettre en ligne l'entretien accordé par Monseigneur Nestor à la revue catholique "La Nef". Le cahier juillet-août contient un grand dossier consacré à l'orthodoxie russe.

Voici le récit que fait de son voyage en Russie Christophe Geffroy directeur de la revue:

" Du 4 au 12 octobre, nous emmenions un groupe de lecteurs de La Nef en Russie à la découverte du monde orthodoxe de ce grand pays. Voyage passionnant qui nous a permis de prendre le pouls d’une nation régulièrement caricaturée dans les médias. Et finalement, après huit jours à arpenter les rues, les monastères et les églises de Moscou, Serguiev Possad, Iaroslav, Souzdal, Vladimir, Novgorod et Saint-Petersbourg, on comprend mieux la haine de l’intelligentsia pour la Russie de Vladimir Poutine (1). Non seulement les Russes ont le mauvais goût d’apprécier leur président qui bénéficie d’une popularité à laquelle M. Hollande ne peut espérer – pas même en rêve –, mais il émane du peuple russe tout ce que méprisent nos intellectuels de la rive gauche : un peuple qui a retrouvé la fierté de ce qu’il est, de son histoire, de sa culture et de sa religion.
Rédigé par Parlons D'orthodoxie le 7 Juillet 2015 à 13:34 | 11 commentaires | Permalien

Le 21 juin 2015, le métropolite Hilarion de Volokolamsk, animateur de l’émission « L’Église et le monde » sur la chaîne « Rossia-24 », recevait Natalia Yakounina, président du Conseil de tutelle du programme national « Sainteté de la maternité ».

Le métropolite Hilarion : Frères et sœurs, bonjour. Vous regardez l’émission « L’Église et le monde ». Nous parlerons aujourd’hui de la maternité et de l’enfance. Notre invité est Natalia Viktorovna Yakounina, président du Conseil de tutelle du programme national « Sainteté de la maternité ». Bonjour, Natalia Viktorovna !

N. Yakounina : Bonjour, Monseigneur ! L’objectif du programme « Sainteté de la maternité » est de restaurer le potentiel spirituel et moral de la famille russe, de faire de la famille une valeur très élevée aux yeux de la société. Pour réaliser nos objectifs, nous avons initialisé différents projets, dont le principal est le projet « Tu n’es pas seule », qui assure une aide psychologique aux femmes enceintes afin de prévenir une interruption de grossesse.
Rédigé par Parlons D'orthodoxie le 6 Juillet 2015 à 18:40 | 1 commentaire | Permalien

Professeur Alexis Osipov: "De ceux qui vivent une autre vie"
Traduction Elena Tastevin

La suite de la 2e partie

Caractères communs ?

Il existe aussi quelque chose en commun qui rapproche les réflexions à toutes les époques et indépendemment des écoles de pensée et des religions. Il est psychologiquement impossible de croire qu’il n’y a pas de vie après la mort. L’homme n’est pas un animal ! La vie existe ! Et ce n’est pas une supposition ou une foi dépourvue de fondement. Il y a énormément de faits témoignant que la vie de la personnalité continue au-delà du seuil de l’existence terrestre. Des témoignages étonnants sont découverts partout où il reste des sources littéraires. Il sont en commun au moins par un fait incontestable : la personnalité (le moi) vit après la mort. La personnalité est indestructible !

Il y a sur ce thème un livre remarquable édité en Russie peu avant la révolution, en 1910. Son auteur K.Ikskoul y décrit son expérience. Il porte un nom original – « Une histoire incroyable mais vraie ». Le plus important dans ce livre est une simple description de ce qui se passe dans la situation de transition entre la vie et la mort. En décrivant le moment de sa mort clinique Ikskoul raconta qu’au départ il avait éprouvé une lourdeur, une pesanteur et ensuite soudain il sentit la délivrance. Or, ayant vu son corps séparément de lui-même et ayant compris que c’est son corps qui était mort il ne perdit pas la conscience de lui-même comme d’une personnalité. « Notre notion de la « mort » s’associe inséparablement avec une destruction, la rupture avec la vie. Comment pouvais-je penser que j’étais mort alors que je ne perdis pas la conscience de moi-même ne serait-ce que pour une minute ? Je me sentais vivant et conscient comme avant, j’entendais et je voyais tout et j’étais capable de bouger, de réfléchir et de parler» .
Rédigé par Parlons D'orthodoxie le 6 Juillet 2015 à 09:56 | 0 commentaire | Permalien

Le métropolite Hilarion: "Il nous faut  apprendre à appeler les choses par leurs noms"
Comment concilier ces deux faces de notre histoire

Il nous faut apprendre à appeler les choses par leurs noms. Ce n’est pas en dénaturant et en falsifiant le passé, en niant l’évidence que nous réussirons à réconcilier les ennemis d’hier. Nous resterions dans l’impasse. S’il y a eu répressions et victimes innocentes de ces répressions il nous faut le dire. S’il y a eu des coupables, nommons-les au lieu d’essayer de les faire entrer dans une nouvelle mythologie. Nous ne devons pas faire de ces gens des héros ou laisser dire à leur propos, comme nous l’entendons trop souvent, que ce n’étaient pas eux mais leur entourage qui était coupable des crimes de l’époque. Des millions de vies ont été supprimées, chacune d’entre elles représente une valeur sans pareil.

Aucune statistique ne permet de chiffrer les immenses malheurs infligés à nos peuples, aucun bilan comptable ne peut en être établi. Ces pertes ne sont pas réparables : comment oublier que chaque victime emporte dans le non-être sa descendance virtuelle. Le pays s’est donc privé de bien plus que de tous ceux qui ont péri sous le pouvoir de Lénine et Staline (leur nombre précis n’a pas été établi et ne le sera probablement jamais. On l’estime de 14 à 20 millions de personnes).
Rédigé par Parlons D'orthodoxie le 4 Juillet 2015 à 18:43 | 3 commentaires | Permalien

Au sein de la paroisse orthodoxe grecque Saint Paul, dans le Vieux-Lille, la communauté, réunie au grand complet, a célébré un double événement. Avec, d’abord, sa fête patronale. Et, ensuite l’inauguration de son lieu de culte, en travaux depuis des mois. « Tout a été rénové », précise le père Aimilianos Bogiannou, recteur de la paroisse et représentant de l’Église orthodoxe à Bruxelles, auprès des institutions européennes.

Commencés il y a un an, les travaux, rue Princesse, ont été réalisés et financés par les membres de cette petite communauté. Celle-ci réunit environ 300 familles issues de l’immigration, comme la plupart des communautés orthodoxes de l’hexagone.
Rédigé par Parlons D'orthodoxie le 4 Juillet 2015 à 10:49 | 0 commentaire | Permalien

Vladimir Golovanow

Il est intéressant de rapprocher le texte d'une interview du métropolite Hilarion de Volokolamsk au journal italien " Corriere della Sera " avec l'article qu'en tire REUTER, dont je reprends le titre… Traduction V. G. à partir du russe: PravMIR

1. Le passage de l'interview in extenso:

Question «Corriere della Sera»: Pensez-vous que la possibilité d'une rencontrer entre le pape et le patriarche est devenue réelle? Je sais que lorsque le président Poutine a rencontré le pape François, il lui a dit "je vous souhaite de rencontrer bientôt le patriarche."

- Métropolite Hilarion: il faut clairement distinguer les deux différentes lignes de relations. L'une – c'est la relation entre l'Eglise orthodoxe et l'Eglise catholique romaine; l'autre - la relation entre la Fédération de Russie et l'État de la Cité du Vatican. Elles sont indépendantes l'une de l'autre. Le président suit son plan d'action lorsqu'il se rend dans différents pays. Le patriarche suit le sien lors de ses rencontres avec les chefs des différentes Églises.
Rédigé par Parlons D'orthodoxie le 2 Juillet 2015 à 10:22 | 1 commentaire | Permalien

Angleterre: "petite dédicace" de l'église de la paroisse de Tous les Saints de Bretagne et d'Irlande à Birmingham.
Angleterre: "petite dédicace" (1) de l'église de la paroisse de Tous les Saints de Bretagne et d'Irlande à Birmingham.

Le 21 juin, fête de Tous les Saints des terres britannique et irlandaise, l'archevêque Elisey de Souroge a célébré la petite dédicace de l'église utilisée par la paroisse de Tous les Saints de Bretagne et d'Irlande à Birmingham. L'église se trouve dans le complexe de l'église de l'Immaculée Conception de l'Oratoire de Birmingham (2).

La Divine Liturgie a été concélébrée par deux prêtres et deux diacres du diocèse en présence de représentants de la congrégation catholique de l'Oratoire (3).

Rédigé par Parlons D'orthodoxie le 2 Juillet 2015 à 09:41 | 5 commentaires | Permalien

Ivan Bounine, prix Nobel russe de littérature, bientôt Juste parmi les nations ?
Il était réputé misanthrope et égocentrique. Mais l'on sait moins que l'écrivain russe Ivan Bounine, prix Nobel de littérature en 1933, a caché des juifs en France pendant l'Occupation. Un geste qui pourrait lui valoir le titre de Juste à titre posthume.

Le Congrès juif russe a recueilli des témoignages inédits mettant en lumière le rôle de l'auteur des "Allées sombres" pendant la Seconde Guerre mondiale, notamment quand il a caché trois juifs d'origine russe dans sa villa "Jeannette" de Grasse, où il vivait depuis son départ en exil après la révolution bolchévique de 1917.

Le titre de "Juste", qui existe depuis 1953 et honore "ceux qui ont mis leur vie en danger pour sauver des Juifs", est la plus haute distinction décernée à des civils par Israël.

Mère Marie Skobtsov fut reconnue comme Juste parmi les nations, avec son nom à Yad Vashem.
Rédigé par Parlons D'orthodoxie le 1 Juillet 2015 à 08:39 | Permalien

L'Eglise orthodoxe en Europe occidentale
"Jusqu'où pouvons-nous organiser une présence orthodoxe qui ne soit pas seulement orientale, mais aussi occidentale [...]?" Évêque Kallistos (Ware) de Diokleia

L'Eglise orthodoxe dans 15 pays d'Europe occidentale

Le livre "Histoire de l'Eglise orthodoxe en Europe occidentale au 20e siècle", publié sous la direction de Christine Chaillot il y a dix ans, présente une intéressante série d'articles sur l'Eglise orthodoxe dans 15 pays d'Europe occidentale: France, Iles britanniques, Allemagne, Autriche, Suisse, Italie, Espagne, Portugal, Belgique et Luxembourg, Pays-Bas, Danemark, Norvège, Suède et Finlande.

Chaque article a un auteur différent, ils sont tous orthodoxes et comptent parmi eux l'évêque (et chercheur érudit) Kallistos (Ware) de Diokleia (Iles britanniques). Ce livre est donc l'expression d'une démarche venant du milieu orthodoxe, dans un Occident où l'Eglise orthodoxe s'interroge sur sa place et son avenir et il correspond à un vrai besoin car les recherches sont peu nombreuses sur ce sujet. Dans certains pays, rien n'existe. Dans d'autres, l'on peut surtout faire état de quelques travaux historiques, par exemple sur l'émigration russe ou grecque dans un pays. Les sociologues de la religion ont pour l'instant manifesté peu d'intérêt pour l'étude de l'orthodoxie en Europe.
Rédigé par V.Golovanow le 30 Juin 2015 à 15:32 | 24 commentaires | Permalien

Résolution no. 5-3/2015 du Saint-Synode du Patriarcat d’Antioche:

Vu que depuis la violation du Patriarcat de Jérusalem des frontières géographiques du Patriarcat d’Antioche et la création d’un diocèse à Qatar confié à un ‘archevêque’, l’Eglise d’Antioche a tenté de trouver une solution au problème dans un esprit de paix et sur une base de coopération et de coordination entre les Eglises Orthodoxes soeurs, afin de parvenir à une issue susceptible de mettre fin à la violation de ses droits, de garantir la pérennité du travail pastoral en cours au Qatar et d’éviter d’ébranler l’unité de l’Orthodoxie ; Étant donné que l’Eglise d’Antioche a utilisé, depuis cette violation et jusqu’à ce jour, tous les moyens iréniques, y compris les médiations entreprises par le Patriarcat OEcuménique et d’autres Eglises soeurs, ainsi que par le Gouvernement grec, sans parvenir à une solution du problème ;
Rédigé par V.Golovanow le 29 Juin 2015 à 19:19 | 10 commentaires | Permalien

La croix de la grand-mère –  Moscou 1965
Au début de l’année 1965, on amena la fille d’un savant soviétique très connu, membre du Parti communiste, dans une clinique d’enfants. La fillette, âgée de 8 ans, était à ce moment-là pensionnaire dans une école, parce que ses parents ayant dû se rendre à l’étranger pour l’exécution d’un projet dicté par le gouvernement de Moscou.

L’enfant avait été mise en clinique à cause de sa température extrêmement élevée depuis trois jours. Le cinquième jour son état s’étant beaucoup aggravé elle tomba dans une totale inconscience.

Après le rapide examen qui s’imposait, l’hôpital envoya un télégramme à ses parents pour les prévenir que leur fille était très malade et mourrait probablement dans trois ou quatre jours.

Le médecin fit transporter l’enfant dans une chambre seule où on lui fit respirer de l’oxygène, mais la température montait toujours, le pouls se précipitait ; la petite malade, extrêmement affaiblie, était au plus mal et respirait très difficilement.
Rédigé par Parlons D'orthodoxie le 28 Juin 2015 à 16:48 | 0 commentaire | Permalien

L’Eglise orthodoxe russe ne parvient pas à comprendre un éventuel retour de la statue de Dzerjinsky place Loubianka
Deux ans après !!! On prend les mêmes et on recommence! Ici une lettre collective contre retour Felix à la place Loubianka co-signable sur le site Radonezh

Открытое письмо в связи с инициативой о восстановлении памятника Ф.Э.Дзержинскому на Лубянской площади.

..................................................

Le métropolite Hilarion de Volokolamsk a ouvert la conférence internationale sur le sens du martyre, de la confession de foi et des répressions de masse

Le 24 octobre 2013, à la salle de conférences de l’hôtel « Danilovskaïa » à Moscou, s’est déroulée la cérémonie d’ouverture de la conférence internationale « Réflexion scientifico-théologique sur le martyre, la confession de foi et les répressions de masse ». L’évènement était organisé par l’Institut des Hautes Études Saints-Cyrille-et-Méthode avec la participation du monastère Novospassky, du Centre mémorial « Polygone de Boutovo », avec le soutien de la fondation « Monde russe »..

Des documents administratifs portant sur la restauration de sept monuments sont à l’étude à la municipalité de Moscou. Il s’agit, entre autre, de la statue de Félix Dzerjinski, fondateur de la Tcheka, la police politique soviétique. Le devis de ces travaux est de 25 millions de roubles.
Rédigé par Parlons D'orthodoxie le 26 Juin 2015 à 21:51 | 3 commentaires | Permalien

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