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Le monastère de Visoki Dečani se situe au Kosovo, entre les villes de Peć et de Gjakovë. Créé au XIVe siècle sous le règne du roi Étienne III Decanski , sa construction se déroula entre 1327 et 1335.
Une inscription sur le portail annonce que le monastère fut construit par « fra Vita, moine de l’ordre de Petits frères, protomaître de Kotor, ville royale ». On sait également que le moine-bâtisseur avait quelques assistants : le maître Georges avec ses confrères Dobroslav et Nicolas. Ceux-ci furent des maîtres expérimentés qui, avant d’ériger ce monastère, avaient déjà construit plusieurs églises en Serbie.
En 1350 les murs de l’église furent ornés par des fresques il y en a un nombre considérable – plus d’un millier. On estime que c’est l’un des monastères les plus richement ornés en Europe.
Une inscription sur le portail annonce que le monastère fut construit par « fra Vita, moine de l’ordre de Petits frères, protomaître de Kotor, ville royale ». On sait également que le moine-bâtisseur avait quelques assistants : le maître Georges avec ses confrères Dobroslav et Nicolas. Ceux-ci furent des maîtres expérimentés qui, avant d’ériger ce monastère, avaient déjà construit plusieurs églises en Serbie.
En 1350 les murs de l’église furent ornés par des fresques il y en a un nombre considérable – plus d’un millier. On estime que c’est l’un des monastères les plus richement ornés en Europe.
Rédigé par Parlons D'orthodoxie le 18 Novembre 2018 à 10:29
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Ces reliques avaient été volées à la cathédrale Saint Nicolas de Nice, c'est Catherine Dolgorouki , le veuve de l'empereur Alexandre II , qui les avait donnée. Elle avait précieusement conservé ces objets et les avait légués à la cathédrale.
S.E. Alexis Mechkov, ambassadeur de la Fédération de Russie en France, a dit lors de la cérémonie: "Ces objets ont été trouvés et remis à la Fédération de Russie grâce au soutien des autorités française ainsi qu'à l'aide de nos avocats. Parmi ces objets il y a les vêtements dans lesquels l'empereur a passé les derniers jours de sa vie: son uniforme, trois mouchoirs brodés de ses initiales, un gilet et une chemise portant des traces de sang. Le Tsar les portait le jour de l'attentat du 13 mars 1881.
S.E. Alexis Mechkov, ambassadeur de la Fédération de Russie en France, a dit lors de la cérémonie: "Ces objets ont été trouvés et remis à la Fédération de Russie grâce au soutien des autorités française ainsi qu'à l'aide de nos avocats. Parmi ces objets il y a les vêtements dans lesquels l'empereur a passé les derniers jours de sa vie: son uniforme, trois mouchoirs brodés de ses initiales, un gilet et une chemise portant des traces de sang. Le Tsar les portait le jour de l'attentat du 13 mars 1881.
Le 11 novembre 2018, le patriarche Bartholomée a levé l'anathème de Mr. Mykhailo Antonovytch Denysenko (ex-métropolite Philarète), ancien Exarque de l'Église orthodoxe ukrainienne, se faisant appeler : "Patriarche de Kiev et de toutes les Ukraine-Russie".
Ce dernier a été suspendu de son sacerdoce en 1992, puis anathématisé par le Patriarcat de Moscou en 1997, ce sujet relevant canoniquement de sa compétence. Cependant, le patriarche Bartholomée étant intervenu dans des affaires éloignées d'Istanbul a amnistié ce personnage iconoclaste!
En cela, la vie M. Denysenko mérite un récit exhaustif à la fin du quel il sera nécessaire de se poser quelques questions.
Pour certaines personnes, peu familières avec les réalités de la vie de l’Eglise sur l’espace post-soviétique, certains détails de la biographie du faux patriarche de Kiev Philarète peuvent sembler invraisemblables : un homme devenu prêtre, diront-ils, ne peut agir de façon si sacrilège et inconvenante aux yeux de n’importe quel chrétien.
Ce dernier a été suspendu de son sacerdoce en 1992, puis anathématisé par le Patriarcat de Moscou en 1997, ce sujet relevant canoniquement de sa compétence. Cependant, le patriarche Bartholomée étant intervenu dans des affaires éloignées d'Istanbul a amnistié ce personnage iconoclaste!
En cela, la vie M. Denysenko mérite un récit exhaustif à la fin du quel il sera nécessaire de se poser quelques questions.
Pour certaines personnes, peu familières avec les réalités de la vie de l’Eglise sur l’espace post-soviétique, certains détails de la biographie du faux patriarche de Kiev Philarète peuvent sembler invraisemblables : un homme devenu prêtre, diront-ils, ne peut agir de façon si sacrilège et inconvenante aux yeux de n’importe quel chrétien.
La séparation de l’Eglise et de l’Etat fut interprétée par les bolcheviks, à qui elle servit de prétexte pour interdire la prédication dans les églises. Le martyr de l’évêque Nicodème le prouve clairement.
Mgr Nicodème, évêque de Belgorod, a laissé derrière lui un lumineux souvenir, tant comme guerrier intrépide du Christ que comme père spirituel, toujours prêt à donner sa vie pour ses brebis. Son ministère ne fut pas très long mais, dès le premier jour, il sut s’attirer l’amour de son troupeau.
Monseigneur arriva à Belgorod peu de temps avant la canonisation du bienheureux Josaphat, qui fut évêque de cette ville au XVIII siècle et il apporta une large contribution à la préparation de cet évènement, si remarquable pour la ville. Monseigneur Nicodème savait parler et enseigner. Ses sermons se distinguaient par leur extraordinaire puissance de vérité théologique, par leur beauté, leur force d’expression et de conviction. Chaque sermon de l’évêque gravait dans l’esprit, d’une manière ineffaçable, la pensée principal du sujet développé.
Sur le plan charitable, Mgr Nicodème suivit les traces de son saint prédécesseur, Mgr Josaphat, et il fonda des Maisons d’assistance pour personnes âgées et pour orphelins et apporta son soutien à celles qui existaient déjà. Il prit aussi personnellement à sa charge les frais d’éducation de deux élèves des écoles du clergé.
Mgr Nicodème, évêque de Belgorod, a laissé derrière lui un lumineux souvenir, tant comme guerrier intrépide du Christ que comme père spirituel, toujours prêt à donner sa vie pour ses brebis. Son ministère ne fut pas très long mais, dès le premier jour, il sut s’attirer l’amour de son troupeau.
Monseigneur arriva à Belgorod peu de temps avant la canonisation du bienheureux Josaphat, qui fut évêque de cette ville au XVIII siècle et il apporta une large contribution à la préparation de cet évènement, si remarquable pour la ville. Monseigneur Nicodème savait parler et enseigner. Ses sermons se distinguaient par leur extraordinaire puissance de vérité théologique, par leur beauté, leur force d’expression et de conviction. Chaque sermon de l’évêque gravait dans l’esprit, d’une manière ineffaçable, la pensée principal du sujet développé.
Sur le plan charitable, Mgr Nicodème suivit les traces de son saint prédécesseur, Mgr Josaphat, et il fonda des Maisons d’assistance pour personnes âgées et pour orphelins et apporta son soutien à celles qui existaient déjà. Il prit aussi personnellement à sa charge les frais d’éducation de deux élèves des écoles du clergé.
P.O. estime utile de rappeler la déclaration faite en 2012/2013 par le métropolite Emmanuel. Ce n'est pas le première fois que Constantinople oublie sur ses déclarations précédentes.
"Le patriarcat de Constantinople n’a aucun lien avec les schismatiques (alors que le prétendu patriarcat de Kiev fait courir des rumeurs à propos de consultations portant sur une éventuelle reconnaissance par le patriarcat de Constantinople). Le patriarcat de Constantinople n’a pas reconnu et ne reconnaîtra pas le prétendu patriarcat de Kiev. Il ne saurait être question d’une reconnaissance unilatérale des schismatiques. Immuablement le patriarcat de Constantinople ne s’est pas inspiré de ses intérêts propres, nous avons toujours aspiré à défendre les intérêts du plérôme de l’Eglise orthodoxe
"Le patriarcat de Constantinople n’a aucun lien avec les schismatiques (alors que le prétendu patriarcat de Kiev fait courir des rumeurs à propos de consultations portant sur une éventuelle reconnaissance par le patriarcat de Constantinople). Le patriarcat de Constantinople n’a pas reconnu et ne reconnaîtra pas le prétendu patriarcat de Kiev. Il ne saurait être question d’une reconnaissance unilatérale des schismatiques. Immuablement le patriarcat de Constantinople ne s’est pas inspiré de ses intérêts propres, nous avons toujours aspiré à défendre les intérêts du plérôme de l’Eglise orthodoxe
Serge Moudrov, traduction A. Nazarov
Jean La Mitchela est né à Gênes. Il fut baptisé dans L'Église catholique, mais il quitta l’Église, quand il était adolescent, étant porté vers l’athéisme pendant quelque temps. Jean se convertit à l’orthodoxie en 1989. Il a été ordonné à la prêtrise en 2000. Au cours de la même année, il devint recteur de l’église de la Transfiguration à Gênes.
Gênes est une ancienne ville italienne, située au bord de la mer Ligure. Elle est bien connue pour son port maritime.
Ce lieu est célèbre pour son climat doux et ses plages . Gênes abrite également l'un des plus beaux musées océanographiques d'Europe.
Les Génois, comme la plupart des Italiens, confessent majoritairement le catholicisme. Les églises orthodoxes à Gênes appartiennent à trois juridictions : Patriarcat de Constantinople, Église orthodoxe de Roumanie et Patriarcat de Moscou. L’Église orthodoxe la plus fréquentée (comme d’ailleurs partout en Italie) est l’Église de Roumanie. L’Église du Patriarcat de Constantinople reçoit surtout des Grecs. Notons que l’Église de Grèce à Gênes est la première des Églises par l’antériorité. L’Église du Patriarcat de Moscou est la plus multiethnique et, semble-t-il, la plus orientée vers la mission. Le recteur de l’église, l’archiprêtre Jean ( Giovanni ) la Mitchela, est un Italien de souche, converti à l’ orthodoxie grâce à une longue quête spirituelle.
Jean La Mitchela est né à Gênes. Il fut baptisé dans L'Église catholique, mais il quitta l’Église, quand il était adolescent, étant porté vers l’athéisme pendant quelque temps. Jean se convertit à l’orthodoxie en 1989. Il a été ordonné à la prêtrise en 2000. Au cours de la même année, il devint recteur de l’église de la Transfiguration à Gênes.
Gênes est une ancienne ville italienne, située au bord de la mer Ligure. Elle est bien connue pour son port maritime.
Ce lieu est célèbre pour son climat doux et ses plages . Gênes abrite également l'un des plus beaux musées océanographiques d'Europe.
Les Génois, comme la plupart des Italiens, confessent majoritairement le catholicisme. Les églises orthodoxes à Gênes appartiennent à trois juridictions : Patriarcat de Constantinople, Église orthodoxe de Roumanie et Patriarcat de Moscou. L’Église orthodoxe la plus fréquentée (comme d’ailleurs partout en Italie) est l’Église de Roumanie. L’Église du Patriarcat de Constantinople reçoit surtout des Grecs. Notons que l’Église de Grèce à Gênes est la première des Églises par l’antériorité. L’Église du Patriarcat de Moscou est la plus multiethnique et, semble-t-il, la plus orientée vers la mission. Le recteur de l’église, l’archiprêtre Jean ( Giovanni ) la Mitchela, est un Italien de souche, converti à l’ orthodoxie grâce à une longue quête spirituelle.
Selon les médias, un concile appelé à débattre de la formation d'une nouvelle église autocéphale en Ukraine devrait se réunir le 22 novembre. L'ordre du jour de ce concile n'est pas connu. En effet, les deux dirigeants ecclésiaux qui ne sont plus sous anathème ont envoyé à Constantinople des messages dans lesquels ils se déclarent indignes de devenir les responsables de la nouvelle entité car manquant d'expérience et d'autorité.
L'agence "Vesti Ukraine" annonce que c'est un représentant de Constantinople qui se porterait candidat à cette fonction: il s'agirait soit de l'archevêque Job (Getcha), soit de l'exarque Daniel (Zelinsky).
Philarète continue à marchander. Il souhaiterait présider le synode de la nouvelle église, il se consacre à promouvoir le métropolite Epiphane, son bras droit, au poste de vicaire de la nouvelle structure.
Le président Porochenko a également son protégé, Mgr Siméon, métropolite de Vinnitza (EOU). Le métropolite Onuphre se refuse à participer à la mise en place de la nouvelle entité.
L'agence "Vesti Ukraine" annonce que c'est un représentant de Constantinople qui se porterait candidat à cette fonction: il s'agirait soit de l'archevêque Job (Getcha), soit de l'exarque Daniel (Zelinsky).
Philarète continue à marchander. Il souhaiterait présider le synode de la nouvelle église, il se consacre à promouvoir le métropolite Epiphane, son bras droit, au poste de vicaire de la nouvelle structure.
Le président Porochenko a également son protégé, Mgr Siméon, métropolite de Vinnitza (EOU). Le métropolite Onuphre se refuse à participer à la mise en place de la nouvelle entité.
L’Eglise Orthodoxe Russe hors frontières : le patriarche Bartholomée n’est pas libre de ses actes, derrière lui se tiennent des forces particulières, éloignées de l’Eglise du Christ.
Sur la demande dela rédaction, l’archiprêtre Seraphim Gan en charge des affaires de la chancellerie du Synode épiscopal, secrétaire du Premier hiérarque de l’Eglise Russe Hors Frontières, a commenté les décisions du patriarche Bartholomée et donné son appréciation des actes du Phanar.
- Nos pensées, nos profondes inquiétudes et nos prières brûlantes accompagnent sa Béatitude le métropolite Onuphre, les archipasteurs, les pasteurs, les habitants et les pèlerins des laures des Grottes de Kiev, de Potchaïev et Sviatogorsk, les moines et les laïcs et de toute l’Eglise Orthodoxe Ukrainienne, cœur de l’Orthodoxie de la sainte Russie. Notre Eglise Orthodoxe Ukrainienne n’est pas seulement le cœur de toute l’Eglise Russe mais aussi de chacune de ses parties autonomes, y compris l’Eglise Russe Hors Frontières.
Sur la demande dela rédaction, l’archiprêtre Seraphim Gan en charge des affaires de la chancellerie du Synode épiscopal, secrétaire du Premier hiérarque de l’Eglise Russe Hors Frontières, a commenté les décisions du patriarche Bartholomée et donné son appréciation des actes du Phanar.
- Nos pensées, nos profondes inquiétudes et nos prières brûlantes accompagnent sa Béatitude le métropolite Onuphre, les archipasteurs, les pasteurs, les habitants et les pèlerins des laures des Grottes de Kiev, de Potchaïev et Sviatogorsk, les moines et les laïcs et de toute l’Eglise Orthodoxe Ukrainienne, cœur de l’Orthodoxie de la sainte Russie. Notre Eglise Orthodoxe Ukrainienne n’est pas seulement le cœur de toute l’Eglise Russe mais aussi de chacune de ses parties autonomes, y compris l’Eglise Russe Hors Frontières.
Au cours de l’hiver 1918, les bolcheviks complètement débrides se livraient à tous les excès imaginables dans la région du Don. Ils massacraient tous les cosaques qui ne leur plaisaient pas et profanaient les églises.
Près du village Velokoknijeskaya, demeurait un faible d’esprit, Georges ainsi qu’une jeune épileptique, Akoulina.
Tous deux étaient de fervents croyants qui se rendaient chaque dimanche, depuis leur hameau, jusqu’à l’église du village.
Un jour, ils virent les bolcheviks qui faisaient entrer un cheval dans l’église. Profondément émus, ils se mirent à protester. Alors les bolcheviks les arrêtèrent et les lièrent l’un à l’autre ; après quoi ils célébrèrent pour eux un mariage sacrilège. Ceci fait, ils les amenèrent, toujours liés l’un à l’autre, jusqu’à la prison.
Près du village Velokoknijeskaya, demeurait un faible d’esprit, Georges ainsi qu’une jeune épileptique, Akoulina.
Tous deux étaient de fervents croyants qui se rendaient chaque dimanche, depuis leur hameau, jusqu’à l’église du village.
Un jour, ils virent les bolcheviks qui faisaient entrer un cheval dans l’église. Profondément émus, ils se mirent à protester. Alors les bolcheviks les arrêtèrent et les lièrent l’un à l’autre ; après quoi ils célébrèrent pour eux un mariage sacrilège. Ceci fait, ils les amenèrent, toujours liés l’un à l’autre, jusqu’à la prison.
Les périodes les plus terribles pour l’Eglise sont les temps de paix. Nous vivons actuellement une période de croissance vers un âge plus adulte.
Pour nous chrétiens, le sol, sous nos pieds, ressemble à un marécage. Nous sommes obligés de faire des efforts, d’aller de l’avant, car si nous restons au même endroit, il est certain que nous allons nous enfoncer.
Sans qu’il le remarque, le chrétien qui reste immobile descendra toujours plus bas, jusqu’à ce qu’il s’étouffe dans sa propre insensibilité. C’est ce qui caractérise les temps de paix. Cela concerne aussi bien le clergé que les laïcs. On s’aigrit de l’intérieur sans le savoir.
La prière du matin et la prière du soir grincent comme un vieux plancher. Sans l’huile de la grâce, l’âme grince, puis meurt, comme une vieille dame quinteuse.
Ce n’est pas pour rien si l’essor du monachisme est né au moment où la foi orthodoxe cessa d’être une chose interdite. A cette époque, au lieu du rugissement des fauves dans les théâtres romains et du sang des martyrs, on entendait cliqueter l’or dans la bourse des évêques. Le salaire alléchant des clercs attirait des hommes prêts à suivre le Christ, plutôt dans le but d’avoir une carrière ecclésiastique que par amour pour Lui. C’est alors que le sang des véritables chrétiens se mit à couler silencieusement dans les déserts d’Egypte et de Syrie. L’exploit du martyre fut remplacé par celui de la crucifixion de la chair avec ses passions et ses concupiscences. Le mariage entre l’Eglise et l’Etat produit toujours des enfants difformes : c’est une loi valable pour tous les temps.
Pour nous chrétiens, le sol, sous nos pieds, ressemble à un marécage. Nous sommes obligés de faire des efforts, d’aller de l’avant, car si nous restons au même endroit, il est certain que nous allons nous enfoncer.
Sans qu’il le remarque, le chrétien qui reste immobile descendra toujours plus bas, jusqu’à ce qu’il s’étouffe dans sa propre insensibilité. C’est ce qui caractérise les temps de paix. Cela concerne aussi bien le clergé que les laïcs. On s’aigrit de l’intérieur sans le savoir.
La prière du matin et la prière du soir grincent comme un vieux plancher. Sans l’huile de la grâce, l’âme grince, puis meurt, comme une vieille dame quinteuse.
Ce n’est pas pour rien si l’essor du monachisme est né au moment où la foi orthodoxe cessa d’être une chose interdite. A cette époque, au lieu du rugissement des fauves dans les théâtres romains et du sang des martyrs, on entendait cliqueter l’or dans la bourse des évêques. Le salaire alléchant des clercs attirait des hommes prêts à suivre le Christ, plutôt dans le but d’avoir une carrière ecclésiastique que par amour pour Lui. C’est alors que le sang des véritables chrétiens se mit à couler silencieusement dans les déserts d’Egypte et de Syrie. L’exploit du martyre fut remplacé par celui de la crucifixion de la chair avec ses passions et ses concupiscences. Le mariage entre l’Eglise et l’Etat produit toujours des enfants difformes : c’est une loi valable pour tous les temps.
« L'amour était ce que faisait régner Tamar autour d'elle, dont elle entourait et recouvrait tous ceux qui voulaient bien l'accepter.
Elle aimait Youri et pria jusqu'à la fin pour lui, elle aimait ses sujets même après qu'ils eurent commis de terribles et mortelles stupidités [...], elle pardonnait à ses ennemis les plus acharnés, tout en défendant au mieux son royaume.
Elle parvint à surmonter, à dissoudre, à résoudre en elle, la contradiction profonde qui existe entre le chrétien et le souverain. Quels sont les exemples dans l'histoire ? Ils n'abondent pas. Je ne vois que l'empereur Constantin le Grand, égal-aux-apôtres, et le prince Vladimir de la Rus, qui puissent soutenir la comparaison et ce, à la fin de leur vie.
Chez Tamar, ce fut une constante de toute son existence. Nous avons été les spectateurs et les acteurs d'un règne incroyable. Satan, rejeté hors des frontières du royaume était contraint de se résigner à n'y faire que de brèves incursions.
Il n'était pas enchaîné mais tout au moins entravé. C'est pour cela que j'écris, pour témoigner de cet âge d'or apocalyptique. »
Elle aimait Youri et pria jusqu'à la fin pour lui, elle aimait ses sujets même après qu'ils eurent commis de terribles et mortelles stupidités [...], elle pardonnait à ses ennemis les plus acharnés, tout en défendant au mieux son royaume.
Elle parvint à surmonter, à dissoudre, à résoudre en elle, la contradiction profonde qui existe entre le chrétien et le souverain. Quels sont les exemples dans l'histoire ? Ils n'abondent pas. Je ne vois que l'empereur Constantin le Grand, égal-aux-apôtres, et le prince Vladimir de la Rus, qui puissent soutenir la comparaison et ce, à la fin de leur vie.
Chez Tamar, ce fut une constante de toute son existence. Nous avons été les spectateurs et les acteurs d'un règne incroyable. Satan, rejeté hors des frontières du royaume était contraint de se résigner à n'y faire que de brèves incursions.
Il n'était pas enchaîné mais tout au moins entravé. C'est pour cela que j'écris, pour témoigner de cet âge d'or apocalyptique. »
Le patriarcat de Moscou étudie la possibilité d’ouvrir de nouvelles paroisses à l’étranger, là où ses fidèles se trouvent privés de communion du fait de la rupture avec l’Église de Constantinople.
L’archiprêtre Nicolas Balashov, vice-président du Département synodal aux relations ecclésiales extérieures, a déclaré à Interfax : « La suspension des relations du patriarcat de Moscou avec celui de Constantinople en raison des activités anti-canoniques de ce dernier à propos de l’Église en Ukraine, conduit l’Église russe à accentuer ses efforts pour répondre aux besoins spirituels de ses fidèles de la diaspora. »
Il a également indiqué que la direction du patriarcat de Moscou aux institutions étrangères étudie actuellement les demandes émanant de différents points du monde où des fidèles de l’Église orthodoxe russe fréquentaient jusqu’à présent des paroisses sous juridiction de Constantinople.
L’archiprêtre Nicolas Balashov, vice-président du Département synodal aux relations ecclésiales extérieures, a déclaré à Interfax : « La suspension des relations du patriarcat de Moscou avec celui de Constantinople en raison des activités anti-canoniques de ce dernier à propos de l’Église en Ukraine, conduit l’Église russe à accentuer ses efforts pour répondre aux besoins spirituels de ses fidèles de la diaspora. »
Il a également indiqué que la direction du patriarcat de Moscou aux institutions étrangères étudie actuellement les demandes émanant de différents points du monde où des fidèles de l’Église orthodoxe russe fréquentaient jusqu’à présent des paroisses sous juridiction de Constantinople.
Le Patriarcat de Moscou s'est inquiété de la santé mentale du représentant de Constantinople au Conseil oecuménique des Eglises, Mgr Job (Getcha), qui a clairement indiqué que l'état actuel de l'Eglise russe pouvait être réexaminé et que l'Eglise orthodoxe ukrainienne n'existe plus.
"Il y a des déclarations très inquiétantes de l'archevêque Job (Getcha). Nous sommes très préoccupés par sa santé mentale et spirituelle. Si nécessaire, nous sommes prêts à aider un frère avec un traitement ou à l'envoyer étudier dans l'un des séminaires de notre Église ", a écrit sur sa page Facebook le secrétaire de presse du Patriarche Kirill, le Père Alexandre Volkov.
Comme cela a été rapporté, dans une interview à la BBC ukrainienne, l'archevêque a noté que l'état autocéphale des Eglises orthodoxes de Russie, Grèce, Serbie, Roumanie, Pologne, Albanie, Bulgarie, Géorgie et Tchécoslovaquie n'a pas été confirmé par les Conciles œcuméniques, mais c'est Constantinople qui leur a donné le statut d'indépendance.
"Il y a des déclarations très inquiétantes de l'archevêque Job (Getcha). Nous sommes très préoccupés par sa santé mentale et spirituelle. Si nécessaire, nous sommes prêts à aider un frère avec un traitement ou à l'envoyer étudier dans l'un des séminaires de notre Église ", a écrit sur sa page Facebook le secrétaire de presse du Patriarche Kirill, le Père Alexandre Volkov.
Comme cela a été rapporté, dans une interview à la BBC ukrainienne, l'archevêque a noté que l'état autocéphale des Eglises orthodoxes de Russie, Grèce, Serbie, Roumanie, Pologne, Albanie, Bulgarie, Géorgie et Tchécoslovaquie n'a pas été confirmé par les Conciles œcuméniques, mais c'est Constantinople qui leur a donné le statut d'indépendance.
Un extrait de l'interview a la Agence TASS accordée par le métropolite Hilarion:
"Le 15 octobre l'Eglise orthodoxe russe a réagi à la décision du patriarcat de Constantinople de conférer l'autocéphalie aux schismatiques d'Ukraine en interrompant la communion eucharistique avec le patriarche Bartholomé. Par son action Constantinople s'est isolé du monde orthodoxe. On dit souvent du patriarche de Constantinople qu'il est à la tête de 300 millions de fidèles dans le monde. Mais voilà que plus de la moitié de ces croyants n'est plus en communion eucharistique avec lui.
Peut-on dans ces conditions parler de premier parmi les égaux au sein de l'orthodoxie mondiale? Jusqu'à présent aucune Eglise orthodoxe n'a accordé son soutien à Constantinople. Le patriarche de Serbie a récemment dit à la presse: "Le patriarche Bartholomé a pris une décision arbitraire et cela risque d'entraîner des conséquences catastrophiques". L’ensemble des Eglises locales avaient auparavant proposé d'entamer un débat.
"Le 15 octobre l'Eglise orthodoxe russe a réagi à la décision du patriarcat de Constantinople de conférer l'autocéphalie aux schismatiques d'Ukraine en interrompant la communion eucharistique avec le patriarche Bartholomé. Par son action Constantinople s'est isolé du monde orthodoxe. On dit souvent du patriarche de Constantinople qu'il est à la tête de 300 millions de fidèles dans le monde. Mais voilà que plus de la moitié de ces croyants n'est plus en communion eucharistique avec lui.
Peut-on dans ces conditions parler de premier parmi les égaux au sein de l'orthodoxie mondiale? Jusqu'à présent aucune Eglise orthodoxe n'a accordé son soutien à Constantinople. Le patriarche de Serbie a récemment dit à la presse: "Le patriarche Bartholomé a pris une décision arbitraire et cela risque d'entraîner des conséquences catastrophiques". L’ensemble des Eglises locales avaient auparavant proposé d'entamer un débat.
L’Église Orthodoxe Ukrainienne /EOU/ affirme qu’il existe une décision de Constantinople qui écarterait de l’élection du primat de « l’Église locale unie » créée en Ukraine les deux leaders d’Églises autoproclamées récemment réhabilités par le Phanar : Philarète Denisenko et Macaire Maletitch.
Au cours d’une interview accordée à la chaîne « Pervyj kazatskij », le métropolite Antoine de Borispole et Brovari, chancelier de l’Église orthodoxe ukrainienne, a déclaré « Je dispose d’une intéressante information, provenant de plusieurs sources, selon laquelle une lettre a été adressée par le Phanar au prétendu patriarcat de Kiev et à l’Église dite autocéphale pour indiquer que ni Philarète ni Macaire ne pourront prendre part à l’élection du nouveau primat. »
C’est pourquoi, selon Mgr Antoine, les évêques de Constantinople ont déclaré que c’est à Constantinople de régler le sort du concile d’unification. « La réunion d’un concile d’unification est, à notre connaissance, l’une des conditions requises pour l’obtention du tomos. Sans ce concile on ne comprend pas à qui pourrait être remis ledit document. Et ce ne peut être qu’après que la nouvelle structure aura reçu un semblant de légitimité. »
Au cours d’une interview accordée à la chaîne « Pervyj kazatskij », le métropolite Antoine de Borispole et Brovari, chancelier de l’Église orthodoxe ukrainienne, a déclaré « Je dispose d’une intéressante information, provenant de plusieurs sources, selon laquelle une lettre a été adressée par le Phanar au prétendu patriarcat de Kiev et à l’Église dite autocéphale pour indiquer que ni Philarète ni Macaire ne pourront prendre part à l’élection du nouveau primat. »
C’est pourquoi, selon Mgr Antoine, les évêques de Constantinople ont déclaré que c’est à Constantinople de régler le sort du concile d’unification. « La réunion d’un concile d’unification est, à notre connaissance, l’une des conditions requises pour l’obtention du tomos. Sans ce concile on ne comprend pas à qui pourrait être remis ledit document. Et ce ne peut être qu’après que la nouvelle structure aura reçu un semblant de légitimité. »
L’archevêque de Telmessos Job précise le plan de Constantinople
Vladimir Golovanow
L’archevêque Job avait déclaré le 11 octobre que "le patriarcat de Moscou n'existe plus en Ukraine," ce qui est aller un peu vite en besogne en affirmant que les évêques (et les fidèles) de l'EOU, majoritaires au sein des pratiquants orthodoxes d'Ukraine, "sont devenus membres du Saint Trône œcuménique" par la décision de son synode du 11 octobre dernier "révoquant l'acte de 1648"...
D'après l"agence d'information russe "news.liga" du 2 novembre, qui se réfère aussi à une interview à la BBC, l'archevêque Job à précisé que la levée des anathèmes sur les primats des deux juridictions schismatiques ne signifiait pas la reconnaissance de leurs juridictions: "Ces évêques sont restaurés comme évêques au sein de l'Église Universelle et nous attendons maintenant le pas suivant, quand tous ces évêques s'uniront dans une nouvelle structure, l'Eglise orthodoxe en Ukraine, à qui sera donné le tomos d'autocéphalie."
Vladimir Golovanow
L’archevêque Job avait déclaré le 11 octobre que "le patriarcat de Moscou n'existe plus en Ukraine," ce qui est aller un peu vite en besogne en affirmant que les évêques (et les fidèles) de l'EOU, majoritaires au sein des pratiquants orthodoxes d'Ukraine, "sont devenus membres du Saint Trône œcuménique" par la décision de son synode du 11 octobre dernier "révoquant l'acte de 1648"...
D'après l"agence d'information russe "news.liga" du 2 novembre, qui se réfère aussi à une interview à la BBC, l'archevêque Job à précisé que la levée des anathèmes sur les primats des deux juridictions schismatiques ne signifiait pas la reconnaissance de leurs juridictions: "Ces évêques sont restaurés comme évêques au sein de l'Église Universelle et nous attendons maintenant le pas suivant, quand tous ces évêques s'uniront dans une nouvelle structure, l'Eglise orthodoxe en Ukraine, à qui sera donné le tomos d'autocéphalie."
Au début le patriarche Bartholomé envisageait d'unir en Ukraine l'ensemble des entités ecclésiales. Il serait indispensable en vue d'obtenir l'autocéphalie et le Tomos d'unir les deux entités schismatiques avec l'Eglise de Monseigneur Onuphre.
Il est évident qu'en résultat de cette unification la nouvelle entité serait tributaire de Denissenko. Evstrati Zoria, secrétaire de presse du "patriarcat de Kiev" disait: "Nos portes sont ouvertes pour tous". Or, la situation change à vue d'oeil.
Nouvelle déclaration de Zoria: "Si les 90 évêques du patriarcat de Moscou venaient à notre concile et s'y prononçaient contre l'union et l'autocéphalie les conséquences en seraient imprévisibles. Nous avons donc décidé que seuls les évêques relevant de Mgr Onuphre ayant sollicité le Tomos de Constantinople peuvent participer au concile".
Il est évident qu'en résultat de cette unification la nouvelle entité serait tributaire de Denissenko. Evstrati Zoria, secrétaire de presse du "patriarcat de Kiev" disait: "Nos portes sont ouvertes pour tous". Or, la situation change à vue d'oeil.
Nouvelle déclaration de Zoria: "Si les 90 évêques du patriarcat de Moscou venaient à notre concile et s'y prononçaient contre l'union et l'autocéphalie les conséquences en seraient imprévisibles. Nous avons donc décidé que seuls les évêques relevant de Mgr Onuphre ayant sollicité le Tomos de Constantinople peuvent participer au concile".
Le 30 octobre, journée nationale de commémoration des victimes de la répression soviétique, une prière a eu lieu à la cathédrale de la Sainte Trinité à Paris, diocèse de Chersonèse . L'office a été célébré par le père Ioan Dimitrov. Y assistaient les élèves du séminaire orthodoxe de Paris, des paroissiens de la cathédrale ainsi que des membres de la Fraternité de la Transfiguration venus de Russie.
Cette prière reflète la perception qu'ont les chrétiens de ces événements tragiques en Russie. Nous ressentons en ce jour notre contrition face à Dieu, aux hommes pour tout ce qui a été fait dans notre pays sous le pouvoir soviétique: délations, violences, fratricide.
La prière lue par le père Ioan contenait une litie ainsi que des actions de grâce élaborées pour cette journée par la Fraternité de la Transfiguration. Nicolas Nepliouev est l'un des auteurs des prières pour la Russie en période de troubles publiées dans les travaux du Concile local de 1917-1918.
Cette prière reflète la perception qu'ont les chrétiens de ces événements tragiques en Russie. Nous ressentons en ce jour notre contrition face à Dieu, aux hommes pour tout ce qui a été fait dans notre pays sous le pouvoir soviétique: délations, violences, fratricide.
La prière lue par le père Ioan contenait une litie ainsi que des actions de grâce élaborées pour cette journée par la Fraternité de la Transfiguration. Nicolas Nepliouev est l'un des auteurs des prières pour la Russie en période de troubles publiées dans les travaux du Concile local de 1917-1918.
Приветствие от Преосвященного Иринея, епископа Ричмондского и Западно-Европейского
Une lettre de l’évêque de Richmond et de l’Europe occidentale Irénée [Église russe hors frontières], recevant cette paroisse au sein de son diocèse
Église de la Nativité du Christ et de Saint Nicolas : comme on le sait cette paroisse historique était depuis longtemps dans l’hésitation.
Les dernières interventions du patriarcat de Constantinople en Ukraine ont incité les fidèles, le clergé et le recteur à prendre définitivement position et à quitter l' Archevêché des Églises Orthodoxes Russes en Europe Occidentale pour rejoindre l’Eglise Orthodoxe Russe Hors Frontières administrée par le métropolite Hilarion d’Amérique et de New-York.
Les actes juridiques adéquats sont en cours d’élaboration. L’archiprêtre Georges Blatinsky , recteur de la paroisse a dit : « A la suite des décisions anticanoniques adoptées le 11 octobre par le patriarche Bartholomé nous avons cessé de le commémorer. Par ces décisions irréfléchies Bartholomé a fait de l’Eglise orthodoxe d’Ukraine avec à sa tête le métropolite Onuphre une Eglise persécutée. Nos nombreux fidèles russes, moldaves, ukrainiens, biélorusses, serbes, italiens ont par conséquent décidé de se situer au sein de l’EORHF ».
Une lettre de l’évêque de Richmond et de l’Europe occidentale Irénée [Église russe hors frontières], recevant cette paroisse au sein de son diocèse
Église de la Nativité du Christ et de Saint Nicolas : comme on le sait cette paroisse historique était depuis longtemps dans l’hésitation.
Les dernières interventions du patriarcat de Constantinople en Ukraine ont incité les fidèles, le clergé et le recteur à prendre définitivement position et à quitter l' Archevêché des Églises Orthodoxes Russes en Europe Occidentale pour rejoindre l’Eglise Orthodoxe Russe Hors Frontières administrée par le métropolite Hilarion d’Amérique et de New-York.
Les actes juridiques adéquats sont en cours d’élaboration. L’archiprêtre Georges Blatinsky , recteur de la paroisse a dit : « A la suite des décisions anticanoniques adoptées le 11 octobre par le patriarche Bartholomé nous avons cessé de le commémorer. Par ces décisions irréfléchies Bartholomé a fait de l’Eglise orthodoxe d’Ukraine avec à sa tête le métropolite Onuphre une Eglise persécutée. Nos nombreux fidèles russes, moldaves, ukrainiens, biélorusses, serbes, italiens ont par conséquent décidé de se situer au sein de l’EORHF ».
L'Institut Saint-Philarète vient d'éditer un recueil de "Prières pour la Russie" destiné à tous ceux qui tiennent à cœur le devenir de la Russie.
Parmi les auteurs les patriarches Hermogène et Tikhon; l'évêque Athanase (Sakharov), Saint Jean de Cronstadt ainsi que des laïcs. Parmi eux Nicolas Neplouiev, fondateur de la Fraternité de l'Invention de la Sainte Croix ainsi qu'Alexandre Soljenitsyne.
Nous y trouvons également le texte de la prière de repentance qui s'élevait dans les églises russes à l’époque des "temps troubles".
Cette édition se situe dans le cadre de l'Action de repentance nationale.
Le recueil a été élaboré par Youlia Balakchine. En page de garde l'icône "Heureux ceux qui sont persécutés pour la justice" peinte par Xenia Krivochéine.
Parmi les auteurs les patriarches Hermogène et Tikhon; l'évêque Athanase (Sakharov), Saint Jean de Cronstadt ainsi que des laïcs. Parmi eux Nicolas Neplouiev, fondateur de la Fraternité de l'Invention de la Sainte Croix ainsi qu'Alexandre Soljenitsyne.
Nous y trouvons également le texte de la prière de repentance qui s'élevait dans les églises russes à l’époque des "temps troubles".
Cette édition se situe dans le cadre de l'Action de repentance nationale.
Le recueil a été élaboré par Youlia Balakchine. En page de garde l'icône "Heureux ceux qui sont persécutés pour la justice" peinte par Xenia Krivochéine.
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