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La Bible raconte que les rois mages avaient prévenu Hérode, le roi des juifs (mis en place par les romains), de la naissance d'un envoyé de Dieu, Jésus, un nouveau roi des juifs. Hérode ayant eu peur de perdre son trône ordonna le massacre de tous les enfants mâles de moins de 2 ans, espérant tuer Jésus. Marie, Joseph et Jésus auraient alors fui en Égypte. Ils seraient revenus une fois Hérode mort.
Matthieu 2 :13-23
Après le départ des mages, un ange du Seigneur apparut en songe à Joseph, et dit Lève-toi, prends le petit enfant et sa mère, fuis en Égypte et restes-y jusqu'à ce que je te parle ; car Hérode va rechercher le petit enfant pour le faire périr. Joseph se leva, prit de nuit le petit enfant et sa mère, et se retira en Égypte. Il y resta jusqu'à la mort d'Hérode, afin que s'accomplisse ce que le Seigneur avait déclaré par le prophète : J'ai appelé mon fils hors d'Égypte.
Matthieu 2 :13-23
Après le départ des mages, un ange du Seigneur apparut en songe à Joseph, et dit Lève-toi, prends le petit enfant et sa mère, fuis en Égypte et restes-y jusqu'à ce que je te parle ; car Hérode va rechercher le petit enfant pour le faire périr. Joseph se leva, prit de nuit le petit enfant et sa mère, et se retira en Égypte. Il y resta jusqu'à la mort d'Hérode, afin que s'accomplisse ce que le Seigneur avait déclaré par le prophète : J'ai appelé mon fils hors d'Égypte.
Rédigé par l'équipe de rédaction le 11 Janvier 2022 à 07:02
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Alors que l’Ancien Testament contient toute une série d’histoires dramatiques dont le point culminant sont des scènes de fuite, d’exode ou d’expulsion, le Nouveau Testament n’en propose qu’une seule mais qui s’est profondément inscrite dans la conscience historique des chrétiens et est devenue l’un des thèmes les plus populaires de l’art chrétien.
Il est paradoxal que cette histoire – la fuite de la Sainte Famille en Égypte – est rapportée de manière plutôt brève, alors qu’il s’agit de l’un des épisodes clés de la tendre enfance de Jésus-Christ.
L’évangéliste Matthieu raconte qu’à Bethléem, sous le règne du roi Hérode, Marie, femme de Joseph, mit au monde son fils Jésus, conçu de l’Esprit Saint, et que « les mages d’Orient » reconnurent en lui « le roi des Juifs ». Ils vinrent alors l’adorer et lui offrir des présents (Matthieu 1, 18-2, 12).
Il est paradoxal que cette histoire – la fuite de la Sainte Famille en Égypte – est rapportée de manière plutôt brève, alors qu’il s’agit de l’un des épisodes clés de la tendre enfance de Jésus-Christ.
L’évangéliste Matthieu raconte qu’à Bethléem, sous le règne du roi Hérode, Marie, femme de Joseph, mit au monde son fils Jésus, conçu de l’Esprit Saint, et que « les mages d’Orient » reconnurent en lui « le roi des Juifs ». Ils vinrent alors l’adorer et lui offrir des présents (Matthieu 1, 18-2, 12).
A TOUS LES LECTEURS ET CONTRIBUTEURS DE "PARLONS D'ORTHODOXIE" JOYEUSE FÊTE DE LA NATIVITÉ! ПОЗДРАВЛЯЕМ ВСЕХ С РОЖДЕСТВОМ ХРИСТОВЫМ, ЖЕЛАЕМ НАДЕЖДЫ И РАДОСТИ !
Par le père Jean Valentin Istrati (prêtre roumain)
J’allais récemment par un petit chemin, le soleil brillait de tous ses feux. Je faisais bien attention à éviter les bosses. Le lac apparu non loin était comme doré, il m’a fait penser à l’Oeil qui voit tout… Subitement, un poulain me barre la route. Agé au plus de quelques jours, très frêle. Le petit animal se tenait en plein milieu du chemin et fixait la voiture qui fonçait sur lui. Ce spectacle semblait le passionner, il se mit timidement à hennir. J’ai arrêté mon véhicule pour mieux l’observer.
Ce poulain venait seulement d’avoir été mis à bas. Aucune intelligence, pas la moindre idée des dangers qui le guettaient. Je me suis dit qu’il était dans un monde où les périls n’existaient pas. Cet être ne savait pas ce qu’est la douleur, il était à un âge où l’on ne meurt pas sur les routes. Son monde était celui d’un bébé de douze mois. Un bébé, à l’instar du poulain, se précipite des marches d’un escalier, certain que rien de mauvais ne peut lui arriver.
J’allais récemment par un petit chemin, le soleil brillait de tous ses feux. Je faisais bien attention à éviter les bosses. Le lac apparu non loin était comme doré, il m’a fait penser à l’Oeil qui voit tout… Subitement, un poulain me barre la route. Agé au plus de quelques jours, très frêle. Le petit animal se tenait en plein milieu du chemin et fixait la voiture qui fonçait sur lui. Ce spectacle semblait le passionner, il se mit timidement à hennir. J’ai arrêté mon véhicule pour mieux l’observer.
Ce poulain venait seulement d’avoir été mis à bas. Aucune intelligence, pas la moindre idée des dangers qui le guettaient. Je me suis dit qu’il était dans un monde où les périls n’existaient pas. Cet être ne savait pas ce qu’est la douleur, il était à un âge où l’on ne meurt pas sur les routes. Son monde était celui d’un bébé de douze mois. Un bébé, à l’instar du poulain, se précipite des marches d’un escalier, certain que rien de mauvais ne peut lui arriver.
La mission russe Ecclésiale en Terre Sainte et la municipalité de Kfar Kana Cana de Galilée sont parvenues à un accord de principe sur le retour de la mission et la poursuite du développement conjoint de la section russe située au centre de la ville.
"Cette décision doit ensuite être officialisée par une résolution du conseil municipal et obtenir l'approbation du ministre de l'Intérieur israélien", a déclaré à Interfax l’hégoumène Nikon (Golovko), secrétaire de la mission de Jérusalem à Jérusalem.
"Cette décision doit ensuite être officialisée par une résolution du conseil municipal et obtenir l'approbation du ministre de l'Intérieur israélien", a déclaré à Interfax l’hégoumène Nikon (Golovko), secrétaire de la mission de Jérusalem à Jérusalem.
Printemps 1918, le populaire archiprêtre Philosophe Ornatsky (1860-1918) , recteur de la cathédrale de la Mère de Dieu de Kazan à Pétrograd devient le second martyr du clergé de la capitale.
Pendant 20 ans le père Philosophe avait Saint Jean de Cronstadt pour père spirituel. En 1913 il est nommé recteur de la cathédrale de la Mère de Dieu de Kazan à Saint Pétersbourg. C’était un brillant prédicateur, un admirable orateur ainsi qu’un grand travailleur social. Généreux bienfaiteur, il avait fondé de nombreux établissements destinés aux familles pauvres.
Quand la révolution éclata, le père créa, auprès de son église, un foyer pour tous ceux qui cherchaient leur consolation dans la religion. Les bolcheviks surveillaient son activité et, le 9 août 1918, ils l’arrêtèrent avec ses deux fils, Nicolas et Boris, officiers de la Garde qui ont été fusillés plus tard. Ils ont été jetés dans la prison de la Tcheka. La veille de son arrestation l’archiprêtre avait célébré un office de requiem pour le repos des âmes des victimes de la terreur rouge. Les exécutions par fusillade étaient devenues courantes.
Pendant 20 ans le père Philosophe avait Saint Jean de Cronstadt pour père spirituel. En 1913 il est nommé recteur de la cathédrale de la Mère de Dieu de Kazan à Saint Pétersbourg. C’était un brillant prédicateur, un admirable orateur ainsi qu’un grand travailleur social. Généreux bienfaiteur, il avait fondé de nombreux établissements destinés aux familles pauvres.
Quand la révolution éclata, le père créa, auprès de son église, un foyer pour tous ceux qui cherchaient leur consolation dans la religion. Les bolcheviks surveillaient son activité et, le 9 août 1918, ils l’arrêtèrent avec ses deux fils, Nicolas et Boris, officiers de la Garde qui ont été fusillés plus tard. Ils ont été jetés dans la prison de la Tcheka. La veille de son arrestation l’archiprêtre avait célébré un office de requiem pour le repos des âmes des victimes de la terreur rouge. Les exécutions par fusillade étaient devenues courantes.
Patrice Mahieu et Alexandre Galaka, « En quête d’unité. Dialogue d’amitié entre un catholique et un orthodoxe », éditions Salvator, décembre 2021, 214 pages, 20 euros.
Voilà un livre qui répond à bien des attentes. En effet, nombreuses sont les personnes qui s’interrogent sur les différences et les concordances entre le catholicisme et l’orthodoxie.
C’est par le biais d’un dialogue, d’une grande bienveillance, mais sans éluder les questions délicates, les différences et les nuances souvent subtiles, que Patrice Mahieu, moine-prêtre de l’abbaye Saint-Pierre de Solesmes, membre du Comité mixte catholique-orthodoxe de France, et Alexandre Galaka, prêtre orthodoxe, recteur de la paroisse Saint-Alexandre-Nevsky-et-Séraphin-de-Sarov (Archevêché des églises orthodoxes de tradition russe en Europe occidentale) à Liège en Belgique, se sont attelés à cette clarification très utile. Le père Patrice Mahieu connaît bien les orthodoxes notamment pour avoir suivi des cours à l’Institut Saint-Serge, principalement des pères Boris Bobrinskoy et Nicolas Lossky ainsi que de Michel Stavrou.
Voilà un livre qui répond à bien des attentes. En effet, nombreuses sont les personnes qui s’interrogent sur les différences et les concordances entre le catholicisme et l’orthodoxie.
C’est par le biais d’un dialogue, d’une grande bienveillance, mais sans éluder les questions délicates, les différences et les nuances souvent subtiles, que Patrice Mahieu, moine-prêtre de l’abbaye Saint-Pierre de Solesmes, membre du Comité mixte catholique-orthodoxe de France, et Alexandre Galaka, prêtre orthodoxe, recteur de la paroisse Saint-Alexandre-Nevsky-et-Séraphin-de-Sarov (Archevêché des églises orthodoxes de tradition russe en Europe occidentale) à Liège en Belgique, se sont attelés à cette clarification très utile. Le père Patrice Mahieu connaît bien les orthodoxes notamment pour avoir suivi des cours à l’Institut Saint-Serge, principalement des pères Boris Bobrinskoy et Nicolas Lossky ainsi que de Michel Stavrou.
"Iirriter contre quelqu' un pour une question matérielle, c' est placer un objet matériel plus haut que ton frère. Mais quoi de plus haut que l' homme? Rien, sur la terre, n' est plus noble que l' homme".
Son père était sacristain dans un petit village des environs d'Archangelsk dans l'extrême nord de la Russie. Jean aimait les longues liturgies. Il poursuivit ses études à l'Académie théologique de Saint-Petersbourg et, malgré bien des peines, il servait Dieu joyeusement : "La tristesse, dira-t-il plus tard, est une apostasie et la mort du cœur." Attaché à la cathédrale de Cronstadt, il évangélisa ce port de guerre où se mêlaient l'injustice sociale, la misère et la dégradation morale.
Pendant 32 ans, il y mena ce ministère pastoral, y ajoutant l'éducation des enfants et puisant sa force dans la Liturgie :"Il n'y a rien de plus vivifiant que la Liturgie" écrit-il dans son journal "Ma vie en Christ". Bientôt les foules vinrent à lui. La poste même dut ouvrir un service spécial pour lui distribuer les lettres qu'il recevait. Apôtre de la communion fréquente, il voyait venir à lui tant de gens pour se confesser qu'il accepta la confession publique. A tous, il communiquait la grâce de la présence du Christ
Son père était sacristain dans un petit village des environs d'Archangelsk dans l'extrême nord de la Russie. Jean aimait les longues liturgies. Il poursuivit ses études à l'Académie théologique de Saint-Petersbourg et, malgré bien des peines, il servait Dieu joyeusement : "La tristesse, dira-t-il plus tard, est une apostasie et la mort du cœur." Attaché à la cathédrale de Cronstadt, il évangélisa ce port de guerre où se mêlaient l'injustice sociale, la misère et la dégradation morale.
Pendant 32 ans, il y mena ce ministère pastoral, y ajoutant l'éducation des enfants et puisant sa force dans la Liturgie :"Il n'y a rien de plus vivifiant que la Liturgie" écrit-il dans son journal "Ma vie en Christ". Bientôt les foules vinrent à lui. La poste même dut ouvrir un service spécial pour lui distribuer les lettres qu'il recevait. Apôtre de la communion fréquente, il voyait venir à lui tant de gens pour se confesser qu'il accepta la confession publique. A tous, il communiquait la grâce de la présence du Christ
Seigneur, en Tes mains je remets l’année qui est passée.
Je te remercie, car elle a été une pluie d’occasions où je t’ai rencontré,
Et où j’ai pu me réaliser en tant que personne.
Je sais que Tu porteras un regard plein de miséricorde
Sur mes erreurs et mes torts.
Entre Tes mains, je mets cette année qui commence.
Toi qui demeure au-delà du temps et de l’espace,
Je sais bien que Tu resteras auprès de moi, à jamais.
Aide-moi à découvrir Ta présence partout et en tout.
Augmente ma Foi.
Je te remercie, car elle a été une pluie d’occasions où je t’ai rencontré,
Et où j’ai pu me réaliser en tant que personne.
Je sais que Tu porteras un regard plein de miséricorde
Sur mes erreurs et mes torts.
Entre Tes mains, je mets cette année qui commence.
Toi qui demeure au-delà du temps et de l’espace,
Je sais bien que Tu resteras auprès de moi, à jamais.
Aide-moi à découvrir Ta présence partout et en tout.
Augmente ma Foi.
Saint Boniface souffrit en 290.
Saint Boniface, était le serviteur d'une femme riche et dépravée, Aglaïs / Aglaée/, à Rome, et avait des relations impures et adultères avec elle. Aglaée manifesta le désir d'avoir chez elle des reliques de quelque martyr, comme une sorte d'amulette domestique contre le mal, et ainsi elle envoya son serviteur en Asie, afin de trouver et d'acheter ce qu'elle désirait.
Boniface prit quelques esclaves avec lui, et une grande somme d'argent, et, au moment de partir, il dit à Aglaée : "Si je ne trouve pas le moindre martyr, et qu'ils ramènent mon corps, martyrisé pour le Christ, est-ce que tu le recevra avec honneur?"
Parvenant à la ville de Tarse, Boniface vit beaucoup de Chrétiens soumis à la torture : certains avaient leurs jambes tranchées, d'autres leurs mains, d'autres les yeux arrachés, d'autres mourraient sur la potence, et ainsi de suite. Le cœur de Boniface fut bouleversé, et il se repentit dans les larmes de sa vie pécheresse.
Il cria aux martyrs Chrétiens "Moi aussi, je suis Chrétien!' Le juge le fit arrêter pour interrogation, et ordonna de le fouetter fortement, puis de déverser du plomb fondu dans sa bouche, et comme ça ne semblait rien lui faire, de le décapiter. Les esclaves ramenèrent son corps à Rome.
Saint Boniface, était le serviteur d'une femme riche et dépravée, Aglaïs / Aglaée/, à Rome, et avait des relations impures et adultères avec elle. Aglaée manifesta le désir d'avoir chez elle des reliques de quelque martyr, comme une sorte d'amulette domestique contre le mal, et ainsi elle envoya son serviteur en Asie, afin de trouver et d'acheter ce qu'elle désirait.
Boniface prit quelques esclaves avec lui, et une grande somme d'argent, et, au moment de partir, il dit à Aglaée : "Si je ne trouve pas le moindre martyr, et qu'ils ramènent mon corps, martyrisé pour le Christ, est-ce que tu le recevra avec honneur?"
Parvenant à la ville de Tarse, Boniface vit beaucoup de Chrétiens soumis à la torture : certains avaient leurs jambes tranchées, d'autres leurs mains, d'autres les yeux arrachés, d'autres mourraient sur la potence, et ainsi de suite. Le cœur de Boniface fut bouleversé, et il se repentit dans les larmes de sa vie pécheresse.
Il cria aux martyrs Chrétiens "Moi aussi, je suis Chrétien!' Le juge le fit arrêter pour interrogation, et ordonna de le fouetter fortement, puis de déverser du plomb fondu dans sa bouche, et comme ça ne semblait rien lui faire, de le décapiter. Les esclaves ramenèrent son corps à Rome.
Caricature des premières années d’après la révolution : le Tsar Nicolas II, un Prêtre et un paysan aisé ("Koulak") unis dans la haine du peuple
En 1918 le village de Poltava du Diocèse de Voronej avait, au début de la révolution, un prêtre du nom de Yakov Vladimirov qui s’occupait, non seulement des intérêts spirituels de ses paroissiens, mais aussi de leurs intérêts temporels. Comme un vrai père, il leur avait montré comment mieux cultiver leurs jardins et leurs champs comment avoir de belles ruches, comment diriger au mieux leurs affaires.
Grâce à ses conseils, les habitants du village avaient une situation sensiblement plus aisée que leurs voisins. Ce qui ne plut pas du tout aux bolcheviks qui qualifièrent immédiatement ces paysans de koulaks. Les koulaks, d’abord un peu ménagés par les révolutionnaires, furent anéantis quelques années plus tard par une famine artificiellement organisée et par de sanglantes répressions qui firent périr des millions de personnes.
Les bolcheviks de la région de Voronej se mirent rapidement à chercher des moyens de « liquider le clergé influent ». Un des habitants de Poltava, voleur de chevaux connu, qui était devenu bolchevik, vint alors les trouver pour dénoncer le père Yakov.
En 1918 le village de Poltava du Diocèse de Voronej avait, au début de la révolution, un prêtre du nom de Yakov Vladimirov qui s’occupait, non seulement des intérêts spirituels de ses paroissiens, mais aussi de leurs intérêts temporels. Comme un vrai père, il leur avait montré comment mieux cultiver leurs jardins et leurs champs comment avoir de belles ruches, comment diriger au mieux leurs affaires.
Grâce à ses conseils, les habitants du village avaient une situation sensiblement plus aisée que leurs voisins. Ce qui ne plut pas du tout aux bolcheviks qui qualifièrent immédiatement ces paysans de koulaks. Les koulaks, d’abord un peu ménagés par les révolutionnaires, furent anéantis quelques années plus tard par une famine artificiellement organisée et par de sanglantes répressions qui firent périr des millions de personnes.
Les bolcheviks de la région de Voronej se mirent rapidement à chercher des moyens de « liquider le clergé influent ». Un des habitants de Poltava, voleur de chevaux connu, qui était devenu bolchevik, vint alors les trouver pour dénoncer le père Yakov.
Par Christian Flavigny
Madame Helena Dalli, Commissaire européenne à l'égalité, réclame de supprimer toute mention de Noël afin que ne soit privilégiée aucune tradition religieuse sur le territoire européen ; préconisant de ne plus donner les prénoms de Marie ou de Jean, elle cible les figures emblématiques du catholicisme. La tradition catholique embarrasse-t-elle vraiment les autres traditions religieuses ?
Vous utilisez les vocables « Madame » ou « Monsieur », vous parlez des « vacances de Noël », « de nom de baptême », vous employez le terme « citoyen » et vous envisagez de raconter une histoire en nommant votre héroïne « Marie » ? Alors pour la commissaire à l’égalité de l’Union européenne, Héléna Dalli vous êtes une caricature de dominant qui diffuse des « stéréotypes profondément ancrés dans les comportements individuels et collectifs ».
Non, aucune autre ; sinon la religion «progressiste» que la fête de Noël insupporte. En effet, à Noël les catholiques célèbrent la naissance d'un enfant qui a un père et une mère. La Sainte Famille que sanctifie la doctrine catholique figure l'enfantement à la croisée de deux principes complémentaires : le principe maternel illustré par Marie que la tradition catholique invoque dans ses prières et porte aux nues au sens propre et le principe paternel en ses facettes à la fois terrestre et spirituelle : Joseph que l'on dirait père adoptif puisqu'il n'est pas le géniteur, et Dieu dans l'infinie puissance du Père spirituel.
Madame Helena Dalli, Commissaire européenne à l'égalité, réclame de supprimer toute mention de Noël afin que ne soit privilégiée aucune tradition religieuse sur le territoire européen ; préconisant de ne plus donner les prénoms de Marie ou de Jean, elle cible les figures emblématiques du catholicisme. La tradition catholique embarrasse-t-elle vraiment les autres traditions religieuses ?
Vous utilisez les vocables « Madame » ou « Monsieur », vous parlez des « vacances de Noël », « de nom de baptême », vous employez le terme « citoyen » et vous envisagez de raconter une histoire en nommant votre héroïne « Marie » ? Alors pour la commissaire à l’égalité de l’Union européenne, Héléna Dalli vous êtes une caricature de dominant qui diffuse des « stéréotypes profondément ancrés dans les comportements individuels et collectifs ».
Non, aucune autre ; sinon la religion «progressiste» que la fête de Noël insupporte. En effet, à Noël les catholiques célèbrent la naissance d'un enfant qui a un père et une mère. La Sainte Famille que sanctifie la doctrine catholique figure l'enfantement à la croisée de deux principes complémentaires : le principe maternel illustré par Marie que la tradition catholique invoque dans ses prières et porte aux nues au sens propre et le principe paternel en ses facettes à la fois terrestre et spirituelle : Joseph que l'on dirait père adoptif puisqu'il n'est pas le géniteur, et Dieu dans l'infinie puissance du Père spirituel.
Le deuxième volet du documentaire du P. Jivko Panev et d’Alexey Vozniuk consacré à Maxime Kovalevsky nous présentera son héritage liturgique accepté et perpétué dans toutes les juridictions orthodoxes de France, mais aussi dans les communautés catholiques et protestantes cherchant à retrouver les racines de la tradition musicale de l’Église indivise.
Pendant un mois, dans le monde entier sur France 2 replay !
Pendant un mois, dans le monde entier sur France 2 replay !
Saint Spyridon fut évêque de Trimythonte (au Nord de Larnaka), dans l'île de Chypre, au IVe siècle. On situe la date de sa naissance vers 270, et celle de sa mort vers 348.
Sa légende veut qu'il ait d'abord été berger, ou du moins propriétaire d'un grand troupeau de brebis. En tant qu'évêque, ou probablement chorévêque, il eut à souffrir des persécutions de Galère, étant notamment forcé d'aller travailler dans les mines. On considère qu'il est intervenu au premier concile de Nicée. Il est très vénéré à Chypre, où on lui attribue de nombreux miracles. Il est aussi très vénéré à Corfou (Kerkyra), en Grèce, où est conservée la relique de son corps. Il est représenté, dans la tradition iconographique orthodoxe, coiffé, par humilité, d'une ruche en osier.
Avec l'aide de Dieu, il devient doux, sage et mesuré. II se marie et devient père de deux enfants. Sa femme quitte soudainement ce monde. Alors Spyridon se consacre davantage à servir Dieu et à la demande de tous il devient prêtre, en s'efforçant d'acquérir toutes les qualités d'un véritable prêtre de Dieu : désintéressé, sage, paisible et hospitalier, doux, indulgent, bon père de famille et sans rancune comme le démontre l'histoire qui suit.
Sa légende veut qu'il ait d'abord été berger, ou du moins propriétaire d'un grand troupeau de brebis. En tant qu'évêque, ou probablement chorévêque, il eut à souffrir des persécutions de Galère, étant notamment forcé d'aller travailler dans les mines. On considère qu'il est intervenu au premier concile de Nicée. Il est très vénéré à Chypre, où on lui attribue de nombreux miracles. Il est aussi très vénéré à Corfou (Kerkyra), en Grèce, où est conservée la relique de son corps. Il est représenté, dans la tradition iconographique orthodoxe, coiffé, par humilité, d'une ruche en osier.
Avec l'aide de Dieu, il devient doux, sage et mesuré. II se marie et devient père de deux enfants. Sa femme quitte soudainement ce monde. Alors Spyridon se consacre davantage à servir Dieu et à la demande de tous il devient prêtre, en s'efforçant d'acquérir toutes les qualités d'un véritable prêtre de Dieu : désintéressé, sage, paisible et hospitalier, doux, indulgent, bon père de famille et sans rancune comme le démontre l'histoire qui suit.
Message de Noël de Sa Sainteté Cyrille, Patriarche de Moscou et de toutes les Russies
Aux archipasteurs, aux pasteurs, aux diacres, aux moines et à tous les fidèles enfants de l’Église orthodoxe russe.
Bien-aimés dans le Seigneur archipasteurs, honorés prêtres et diacres, moines et moniales aimant Dieu, chers frères et sœurs ! A tous, je souhaite une bonne fête de la Nativité du Christ.
La création toute entière exulte en cette nuit lumineuse, car le Seigneur est proche, Il arrive maintenant, le salut du monde, l’attente des nations (canon des Complies de l’avant-fête de la Nativité du Christ). Pendant des siècles, les hommes, ont attendu la venue du Sauveur : chassés du paradis, ils avaient perdu leur lien avec le Créateur, ils avaient oublié la joie de ressentir quotidiennement la présence divine, d’entendre Sa voix toute proche, de s’adresser à Lui et d’entendre immédiatement Sa réponse ; la joie de se savoir en sécurité, car le Seigneur est là, tout près de toi.
Aux archipasteurs, aux pasteurs, aux diacres, aux moines et à tous les fidèles enfants de l’Église orthodoxe russe.
Bien-aimés dans le Seigneur archipasteurs, honorés prêtres et diacres, moines et moniales aimant Dieu, chers frères et sœurs ! A tous, je souhaite une bonne fête de la Nativité du Christ.
La création toute entière exulte en cette nuit lumineuse, car le Seigneur est proche, Il arrive maintenant, le salut du monde, l’attente des nations (canon des Complies de l’avant-fête de la Nativité du Christ). Pendant des siècles, les hommes, ont attendu la venue du Sauveur : chassés du paradis, ils avaient perdu leur lien avec le Créateur, ils avaient oublié la joie de ressentir quotidiennement la présence divine, d’entendre Sa voix toute proche, de s’adresser à Lui et d’entendre immédiatement Sa réponse ; la joie de se savoir en sécurité, car le Seigneur est là, tout près de toi.
Message de Noël de Son Éminence Antoine, métropolite de Chersonèse et d'Europe occidentale
Chers confrères archipasteurs, presbytres et diacres, moines et moniales, frères et sœurs, bien-aimés dans le Seigneur !
J’adresse à vous tous mes félicitations les plus cordiales à l’occasion de la grande et salutaire fête de la Nativité du Christ !
Les premières paroles de la Divine Liturgie, « Béni soit le règne du Père, du Fils et du Saint Esprit », nous rappellent que dès que nous franchissons le seuil de l’église et que nous commençons à participer à la vie mystique de l’Église, le Seigneur nous rend aussitôt participants à Son Royaume, là où aucune loi de la nature n’opère, là où il n’existe plus ni temps ni espace.
Par la force du Saint Esprit, le Sauveur fait que nous tous – qui participons à la Sainte Eucharistie – outrepassons les limites des siècles. Lors de la Divine Liturgie, Il ne nous aide pas uniquement à nous rappeler les grands événements de l’histoire biblique, mais Il nous donne également la possibilité d’en faire l’expérience, comme si nous-mêmes nous étions leurs contemporains et leurs témoins. « À ta Cène mystique, Fils de Dieu, reçois-moi en ce jour… », c’est-à-dire maintenant, à cet instant !
Chers confrères archipasteurs, presbytres et diacres, moines et moniales, frères et sœurs, bien-aimés dans le Seigneur !
J’adresse à vous tous mes félicitations les plus cordiales à l’occasion de la grande et salutaire fête de la Nativité du Christ !
Les premières paroles de la Divine Liturgie, « Béni soit le règne du Père, du Fils et du Saint Esprit », nous rappellent que dès que nous franchissons le seuil de l’église et que nous commençons à participer à la vie mystique de l’Église, le Seigneur nous rend aussitôt participants à Son Royaume, là où aucune loi de la nature n’opère, là où il n’existe plus ni temps ni espace.
Par la force du Saint Esprit, le Sauveur fait que nous tous – qui participons à la Sainte Eucharistie – outrepassons les limites des siècles. Lors de la Divine Liturgie, Il ne nous aide pas uniquement à nous rappeler les grands événements de l’histoire biblique, mais Il nous donne également la possibilité d’en faire l’expérience, comme si nous-mêmes nous étions leurs contemporains et leurs témoins. « À ta Cène mystique, Fils de Dieu, reçois-moi en ce jour… », c’est-à-dire maintenant, à cet instant !
Xénia Krivochéine
Attente, frissons d’impatience, pressentiments de la joie toute proche : bientôt une multitude d’invités, tant de bonnes choses sur la table, cadeaux, mystérieuses surprises : bientôt Noël ! Suspense qui commence au tout début de décembre.
Nous aplanissions le papier alu de nos chocolats à l’aide d’une cuillère à soupe et nous le mettions entre les pages d’un épais livre bien avant le début du carême. Nous emmaillotions dans ce papier noix et mandarines, nous le percions avec une aiguille, y fixions un fil pour accrocher le tout au sapin. L’odeur des mandarines se faisait chaque jour de plus en plus perceptible. Ainsi que celle des pommes.
Mon père les achetait par caisses entières où elles reposaient dans de fins copeaux dorés, telles de jeunes demoiselles présentant bien. Les caisses étaient étiquetées : N°6, « Soleil » ou « Rainettes dorées ». Variétés, dimensions et couleurs si variées.
Père commençait à apporter ces caisses bien avant Noël, maman les gardait sur des étagères entre les portes car il faisait plus frais à proximité du plafond. C’est également à cette hauteur qu’étaient stockés les pots de confiture que l’on gardait pour les ouvrir le jour de Noël.
Attente, frissons d’impatience, pressentiments de la joie toute proche : bientôt une multitude d’invités, tant de bonnes choses sur la table, cadeaux, mystérieuses surprises : bientôt Noël ! Suspense qui commence au tout début de décembre.
Nous aplanissions le papier alu de nos chocolats à l’aide d’une cuillère à soupe et nous le mettions entre les pages d’un épais livre bien avant le début du carême. Nous emmaillotions dans ce papier noix et mandarines, nous le percions avec une aiguille, y fixions un fil pour accrocher le tout au sapin. L’odeur des mandarines se faisait chaque jour de plus en plus perceptible. Ainsi que celle des pommes.
Mon père les achetait par caisses entières où elles reposaient dans de fins copeaux dorés, telles de jeunes demoiselles présentant bien. Les caisses étaient étiquetées : N°6, « Soleil » ou « Rainettes dorées ». Variétés, dimensions et couleurs si variées.
Père commençait à apporter ces caisses bien avant Noël, maman les gardait sur des étagères entre les portes car il faisait plus frais à proximité du plafond. C’est également à cette hauteur qu’étaient stockés les pots de confiture que l’on gardait pour les ouvrir le jour de Noël.
V.Golovanow
Dans le calendrier julien, chez les romains, c'était la fête de la naissance du Sol Invictus (le Soleil Invaincu) car c'était le jour du solstice d'hiver : c'est en effet à partir de cette date que les jours se rallongent : le soleil renaît... Bien entendu cette fête est très ancienne: on peut imaginer nos ancêtres inquiets de cette progressive disparition de la lumière. Le soleil va-t-il disparaître complètement? Et quelle joie en ce jour qui marque le retour à l'accroissement, la renaissance de la lumière…
Pour nous il s'agit de la lumière divine: Fiat lux! "Ta naissance, ô Christ notre Dieu, a fait resplendir dans le monde la lumière de l’intelligence." (Tropaire de Noël). La première mention de la fête de Noël au 24 Décembre se trouve dans le calendrier romain des martyrs (le Martyrologue de 354 établi à partir d’un texte qui remonte à 336)." St Jérôme et St Léon écrivent sur le Mystère de Noël: "Jusqu’à ce jour les ténèbres croissaient, à partir d’aujourd’hui elles décroissent : la lumière croit, décroissent les ténèbres : le jour croit, l’erreur décroît, la vérité s’avance. Aujourd’hui naît notre soleil de justice ..." (St Jérôme, 347-420), St Augustin vers 415 dit: "Nous fêtons en ce jour, non le soleil, mais celui qui à fait le soleil et, en 425, l'empereur Théodose II codifie officiellement les cérémonies de la fête de Noël.
Ainsi cette fête est liée au solstice d'hiver qui apparaît comme un signe cosmique: c'est là que l'univers entier célèbre la naissance de la Lumière. Cette année c'était, objectivement, le 22 décembre et on peut se demander comment justifier le décalage des dates que nous constatons.
Dans le calendrier julien, chez les romains, c'était la fête de la naissance du Sol Invictus (le Soleil Invaincu) car c'était le jour du solstice d'hiver : c'est en effet à partir de cette date que les jours se rallongent : le soleil renaît... Bien entendu cette fête est très ancienne: on peut imaginer nos ancêtres inquiets de cette progressive disparition de la lumière. Le soleil va-t-il disparaître complètement? Et quelle joie en ce jour qui marque le retour à l'accroissement, la renaissance de la lumière…
Pour nous il s'agit de la lumière divine: Fiat lux! "Ta naissance, ô Christ notre Dieu, a fait resplendir dans le monde la lumière de l’intelligence." (Tropaire de Noël). La première mention de la fête de Noël au 24 Décembre se trouve dans le calendrier romain des martyrs (le Martyrologue de 354 établi à partir d’un texte qui remonte à 336)." St Jérôme et St Léon écrivent sur le Mystère de Noël: "Jusqu’à ce jour les ténèbres croissaient, à partir d’aujourd’hui elles décroissent : la lumière croit, décroissent les ténèbres : le jour croit, l’erreur décroît, la vérité s’avance. Aujourd’hui naît notre soleil de justice ..." (St Jérôme, 347-420), St Augustin vers 415 dit: "Nous fêtons en ce jour, non le soleil, mais celui qui à fait le soleil et, en 425, l'empereur Théodose II codifie officiellement les cérémonies de la fête de Noël.
Ainsi cette fête est liée au solstice d'hiver qui apparaît comme un signe cosmique: c'est là que l'univers entier célèbre la naissance de la Lumière. Cette année c'était, objectivement, le 22 décembre et on peut se demander comment justifier le décalage des dates que nous constatons.
Une maison sur une colline datant du début du premier siècle de l’ère chrétienne dans le nord d’Israël est peut-être la maison de Nazareth où Jésus a été élevé, affirme des chercheurs.
Taillé dans un flanc de colline calcaire, la maison contient une série de pièces et d’escaliers. Une partie de sol original en craie, tout comme de l’entrée, s’est conservée.
La maison de pierre et de mortier, identifiée pour la première fois dans les années 1880, est probablement la maison dans laquelle Marie et Joseph ont élevé leur fils, prétend le Dr Ken Dark, un archéologue britannique spécialiste du premier siècle et du christianisme, qui a mené des recherches dans les ruines depuis 2006.
Puis en 2015, Ken Dark pense avoir localisé la demeure sous le convent.
Les ruines de la maison ont été incorporées dans des églises de l’époque byzantine et à nouveau lors de la période des croisades du XIIe siècle, ce qui suggère que le site avait une importance particulière.
« De grands efforts ont été faits pour inclure les vestiges de ce bâtiment. A la fois les tombes et la maison ont été décorées de mosaïques à l’époque byzantine, ce qui laisse penser qu’elles étaient d’une importance spéciale, et peut-être vénérées », écrit Dark.
Taillé dans un flanc de colline calcaire, la maison contient une série de pièces et d’escaliers. Une partie de sol original en craie, tout comme de l’entrée, s’est conservée.
La maison de pierre et de mortier, identifiée pour la première fois dans les années 1880, est probablement la maison dans laquelle Marie et Joseph ont élevé leur fils, prétend le Dr Ken Dark, un archéologue britannique spécialiste du premier siècle et du christianisme, qui a mené des recherches dans les ruines depuis 2006.
Puis en 2015, Ken Dark pense avoir localisé la demeure sous le convent.
Les ruines de la maison ont été incorporées dans des églises de l’époque byzantine et à nouveau lors de la période des croisades du XIIe siècle, ce qui suggère que le site avait une importance particulière.
« De grands efforts ont été faits pour inclure les vestiges de ce bâtiment. A la fois les tombes et la maison ont été décorées de mosaïques à l’époque byzantine, ce qui laisse penser qu’elles étaient d’une importance spéciale, et peut-être vénérées », écrit Dark.
Son attitude le prouva clairement lors de l’établissement du régime communiste qu’il regarda, dès le début, comme la préface du règne de l’Antéchrist.
Dans sa famille, on aimait étudier l’Ecriture Sainte, on lisait la Bible, du commencement jusqu’à la fin et, chaque jour, dans un ordre suivi, un passage du Nouveau Testament. On lisait aussi les prières domestiques ainsi que les prières liturgiques destinées aux laïcs. Michel, sans tenir compte de ses durs travaux, se levait régulièrement à minuit pour réciter les prières à cette heure-là qu’il accompagnait de nombreuses prosternations.
Il subissait parfois les assauts du démon. Ce chrétien observait strictement les jeûnes et les carêmes, ne prenait aucune nourriture les mercredis et vendredis avant trois heures de l’après-midi ou même avant le soir, quelque fût le travail qu’il avait à fournir. La maison de Michel était toujours ouvertes aux pèlerins, aux pauvres et aux moines ; il venait en aide aux asiles de vieillards et aux orphelins. Il dirigeait le champ modèle d’une école d’agriculture du Chersonèse, école qui fut transformée en pépinière par les communistes.
Dans sa famille, on aimait étudier l’Ecriture Sainte, on lisait la Bible, du commencement jusqu’à la fin et, chaque jour, dans un ordre suivi, un passage du Nouveau Testament. On lisait aussi les prières domestiques ainsi que les prières liturgiques destinées aux laïcs. Michel, sans tenir compte de ses durs travaux, se levait régulièrement à minuit pour réciter les prières à cette heure-là qu’il accompagnait de nombreuses prosternations.
Il subissait parfois les assauts du démon. Ce chrétien observait strictement les jeûnes et les carêmes, ne prenait aucune nourriture les mercredis et vendredis avant trois heures de l’après-midi ou même avant le soir, quelque fût le travail qu’il avait à fournir. La maison de Michel était toujours ouvertes aux pèlerins, aux pauvres et aux moines ; il venait en aide aux asiles de vieillards et aux orphelins. Il dirigeait le champ modèle d’une école d’agriculture du Chersonèse, école qui fut transformée en pépinière par les communistes.
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