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Dans une interview accordée au Bulletin du Fonds « Saint André le Premier Nommé » Mgr Michel, évêque de Genève et d’Europe occidentale (EORHF) a dit : « La société russe doit sortir de son indifférence à l’égard du passé. Elle est divisée en « camps » et en groupes hermétiques. Comment accepter dans le même temps la sainteté des Nouveaux martyrs et maintenir là où il est le cadavre de Lénine ? Cela vient du Malin. Les Russes doivent se sentir plus responsables de leurs choix, de l’avenir de leur pays. Quatre générations se formées sous les soviets alors que la foi chrétienne était opprimée. Lénine avait voulu faire revenir le peuple russe au paganisme et ceci par des méthodes implacables. Les Russes des générations post soviétiques se sont à nouveau tournés vers Dieu et je vois en cela un authentique miracle. Le pays s’est transfiguré au cours des deux dernières décennies. Tout y change à vue d’œil. L’essentiel est de bien percevoir la nouvelle réalité et, pour l’avenir, ne pas retomber dans le péché. Les Russes s’en sont toujours tenus à cette vérité : « Trouver les forces de vivre en Dieu et avoir la force morale de suivre la voie qui mène vers Lui ».
Rédigé par l'équipe de rédaction le 14 Juillet 2010 à 20:20
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Vladimir Legoyda, responsable du service d’information du Saint Synode a dit le 13 juillet dans un entretien avec « Interfax Religion » : Les générations russes à venir auront suffisamment de goût pour qu’il n’y ait plus de nouvelles expositions ressemblant à « Art interdit 2006 ». ( « On voit souvent dans les tableaux des choses auxquelles le peintre ne pensait pas. Le cours du temps apporte un autre éclairage, ceux qui nous viendrons après nous ne comprendrons sans doute pas l’objet de nos débats actuels », a déclaré Irina Lébedeva, Directeur de la Galerie Tretiakov) - Je lui réponds : la nature provocatrice de l’exposition, l’humiliation ressentie par les visiteurs n’ont rien à voir avec le calendrier. Il s’agit de la manière dont nous ressentons le sacré et cela n’est pas déterminé par le contexte historique et culturel ou les dernières tendances picturales mais par l’intensité de notre foi. Nous sommes pour la liberté de création. Mais précisons d’emblée qu’ "Art interdit 2006 " ne relève en rien de l’art.
L’art moderne est une recherche, ses œuvres peuvent parfaitement être de nature provocatrice aux yeux de la société. Mais ce que présente l’exposition n’est même pas sujet à critique. Les artistes ont tout
L’art moderne est une recherche, ses œuvres peuvent parfaitement être de nature provocatrice aux yeux de la société. Mais ce que présente l’exposition n’est même pas sujet à critique. Les artistes ont tout
MONASTERO DI BOSE
Le père André Louf entre dans la Vie d'éternité
Hier matin, le père André Louf est passé de ce monde au Père.
En ce moment d'émotion, nous voulons faire mémoire, bien sûr du grand « spirituel », mais surtout aussi de l'ami et du frère qui, au cours des quinze dernières années, faisait au moins une fois l'an un séjour prolongé à Bose, non seulement pour donner voix à la spiritualité du monachisme occidental à l'occasion des Colloques internationaux de spiritualité orthodoxe (c'était un « ancien », un « kalògheros », un « staretz-pneumatikòs » très aimé des frères des Églises orthodoxes en raison de sa vaste doctrine, de son humble sagesse et de sa paix profonde qui dépassait toute division), mais également - et encore plus - pour vivre simplement la fraternité avec notre pauvre vie quotidienne et pour exercer un ministère de partage de la sagesse qui vient de l'Évangile.
Le père André Louf entre dans la Vie d'éternité
Hier matin, le père André Louf est passé de ce monde au Père.
En ce moment d'émotion, nous voulons faire mémoire, bien sûr du grand « spirituel », mais surtout aussi de l'ami et du frère qui, au cours des quinze dernières années, faisait au moins une fois l'an un séjour prolongé à Bose, non seulement pour donner voix à la spiritualité du monachisme occidental à l'occasion des Colloques internationaux de spiritualité orthodoxe (c'était un « ancien », un « kalògheros », un « staretz-pneumatikòs » très aimé des frères des Églises orthodoxes en raison de sa vaste doctrine, de son humble sagesse et de sa paix profonde qui dépassait toute division), mais également - et encore plus - pour vivre simplement la fraternité avec notre pauvre vie quotidienne et pour exercer un ministère de partage de la sagesse qui vient de l'Évangile.
A la question sur l'antique tradition de la célébration du baptême pendant la liturgie de Pâques, aujourd'hui peu pratiquée dans le monde orthodoxe, nos lecteurs ont répondu:
C'est une belle tradition qu'il faudrait pratiquer plus souvent 67.42%
C'est une bonne tradition, mais difficile d'appliquer aujourd'hui 18.94%
Elle n'est plus d'actualité 4.55%
Je n'ai pas d'avis sur ce sujet 9.09%.
C'est une belle tradition qu'il faudrait pratiquer plus souvent 67.42%
C'est une bonne tradition, mais difficile d'appliquer aujourd'hui 18.94%
Elle n'est plus d'actualité 4.55%
Je n'ai pas d'avis sur ce sujet 9.09%.
Vladimir GOLOVANOW
Le 30 jun 2010 le SOP publie un communiqué sur la visite du pasteur Olav Fykse Tveit, nouveau secrétaire général du COE qui a donné lieu à une importante déclaration du patriarche Cyrille:
Une longue crise:
Le COE traverse " une longue crise " a-t-il déclaré, dont la cause était à chercher dans les "contradictions existantes entre, d'une part, les intentions déclarées d'accéder à l'unité des chrétiens et, de l'autre, l'accroissement des différences entre les confessions chrétiennes sur tout une série de questions de doctrines, notamment en matière d'éthique et d'anthropologie ", selon le communiqué. Il a affirmé que les tentatives visant à réviser les normes de la morale chrétienne qui se font jour dans certaines communautés issues de la Réforme avaient pour résultat de concourir à l'éloignement des orthodoxes du COE. Abordant les perspectives de renouveau du travail du COE, le patriarche a déclaré : " Nous vivons dans un monde où les relations entre les civilisations deviennent de plus en plus significatifs. Dans ces conditions, il est important pour tous les chrétiens d'œuvrer à la sauvegarde de la civilisation chrétienne et à la construction de bonnes relations avec les communautés des autres civilisations ", a-t-il insisté, tout en estimant que le COE pouvait contribuer à " atteindre ces deux objectifs ".
Le 30 jun 2010 le SOP publie un communiqué sur la visite du pasteur Olav Fykse Tveit, nouveau secrétaire général du COE qui a donné lieu à une importante déclaration du patriarche Cyrille:
Une longue crise:
Le COE traverse " une longue crise " a-t-il déclaré, dont la cause était à chercher dans les "contradictions existantes entre, d'une part, les intentions déclarées d'accéder à l'unité des chrétiens et, de l'autre, l'accroissement des différences entre les confessions chrétiennes sur tout une série de questions de doctrines, notamment en matière d'éthique et d'anthropologie ", selon le communiqué. Il a affirmé que les tentatives visant à réviser les normes de la morale chrétienne qui se font jour dans certaines communautés issues de la Réforme avaient pour résultat de concourir à l'éloignement des orthodoxes du COE. Abordant les perspectives de renouveau du travail du COE, le patriarche a déclaré : " Nous vivons dans un monde où les relations entre les civilisations deviennent de plus en plus significatifs. Dans ces conditions, il est important pour tous les chrétiens d'œuvrer à la sauvegarde de la civilisation chrétienne et à la construction de bonnes relations avec les communautés des autres civilisations ", a-t-il insisté, tout en estimant que le COE pouvait contribuer à " atteindre ces deux objectifs ".
Saint Pierre et saint Paul: On ne peut les séparer. Ils sont les deux piliers de l'Église et jamais la Tradition ne les a fêtés l'un sans l'autre. L'Église romaine, c'est l'Église de Pierre et de Paul, l'Église des témoins directs qui ont partagé la vie du Seigneur. Pierre était galiléen, reconnu par son accent, pêcheur installé à Capharnaüm au bord du lac de Tibériade. Paul était un juif de la diaspora, de Tarse en Asie Mineure, mais pharisien et, ce qui est le plus original, citoyen romain. Tous deux verront leur vie bouleversée par l'irruption d'un homme qui leur dit: "Suis-moi. Tu t'appelleras Pierre." ou "Saul, pourquoi me persécutes-tu? Simon devenu Pierre laisse ses filets et sa femme pour suivre le rabbi. Saul, devenu Paul se met à la disposition des apôtres. Pierre reçoit de l'Esprit-Saint la révélation du mystère caché depuis la fondation du monde: "Tu es le Christ, le Fils du Dieu vivant." Paul, ravi jusqu'au ciel, entend des paroles qu'il n'est pas possible de redire avec des paroles humaines.
Ce texte nous a été adressé par Cathortho en tant que commentaire. Nous avons préféré en faire un post.
Chère Marie Genko
Si la force du Mal s'était uniquement incarnée dans les bolcheviks (ce que vous n'avez peut-être pas voulu dire mais qui me sert de prétexte à ce commentaire) les choses seraient simples. Malheureusement les choses ne sont pas aussi simples, l'Aversaire ontologique du Christ l'a dit lui-même : "Je suis légion", c'est-à-dire "j'ai de multiples facettes" et des facettes qui peuvent même paraître s'opposer radicalement, c'est pourquoi il me semble qu'il est plus juste de dire "les" forces du Mal plutôt que "la" force du Mal.
Parmi ces "facettes", la plus redoutable est certainement la "falsification du bien" que Vladimir Soloviev avait débusquée et qu'il démontre bien dans son "Court récit sur l'Antéchrist" dont je vous cite ce passage : " En ce temps-là, il y avait parmi les rares spiritualistes croyants un homme remarquable - beaucoup le disaient surhomme - qui était tout aussi éloigné de l'enfance de l'intelligence que de celle du cœur. Il était encore jeune, mais son génie supérieur lui avait valu vers l'âge de trente-trois ans une très grande réputation de grand penseur, d'écrivain et d'homme public. Conscient de posséder en lui une haute force spirituelle, il s'était toujours montré spiritualiste convaincu, et son intelligence claire ne manquait jamais de lui montrer la vérité de ce en quoi on devait croire : le bien, Dieu, le Messie. Il y croyait mais il n'aimait que lui-même Il croyait en Dieu mais au fond de son cœur il ne pouvait s'empêcher de se préférer à Lui.
Chère Marie Genko
Si la force du Mal s'était uniquement incarnée dans les bolcheviks (ce que vous n'avez peut-être pas voulu dire mais qui me sert de prétexte à ce commentaire) les choses seraient simples. Malheureusement les choses ne sont pas aussi simples, l'Aversaire ontologique du Christ l'a dit lui-même : "Je suis légion", c'est-à-dire "j'ai de multiples facettes" et des facettes qui peuvent même paraître s'opposer radicalement, c'est pourquoi il me semble qu'il est plus juste de dire "les" forces du Mal plutôt que "la" force du Mal.
Parmi ces "facettes", la plus redoutable est certainement la "falsification du bien" que Vladimir Soloviev avait débusquée et qu'il démontre bien dans son "Court récit sur l'Antéchrist" dont je vous cite ce passage : " En ce temps-là, il y avait parmi les rares spiritualistes croyants un homme remarquable - beaucoup le disaient surhomme - qui était tout aussi éloigné de l'enfance de l'intelligence que de celle du cœur. Il était encore jeune, mais son génie supérieur lui avait valu vers l'âge de trente-trois ans une très grande réputation de grand penseur, d'écrivain et d'homme public. Conscient de posséder en lui une haute force spirituelle, il s'était toujours montré spiritualiste convaincu, et son intelligence claire ne manquait jamais de lui montrer la vérité de ce en quoi on devait croire : le bien, Dieu, le Messie. Il y croyait mais il n'aimait que lui-même Il croyait en Dieu mais au fond de son cœur il ne pouvait s'empêcher de se préférer à Lui.
L’entrepreneur Vadim Nadervell, membre de l’Assemblée de la noblesse de Saint Saint-Pétersbourg veut obtenir la restitution à l’Eglise de la cathédrale Saints Pierre et Paul.
Il déplore que lors des funérailles début juin de la Grande Duchesse Léonida il n’a même pas pu y faire brûler un cierge en la mémoire de la défunte. Il y a quelques années Boris Araktchéev, directeur du Musée de l’histoire de la religion, avait déclaré que la cathédrale ne doit pas être restituée à l’Eglise car de par le passé elle n’a jamais relevé du diocèse de Saint Saint-Pétersbourg. Elle a toujours appartenu à la famille impériale donc à l’Etat. Les offices n’y étaient pas quotidiens mais étaient dits à la demande des membres de la famille impériale.
Il déplore que lors des funérailles début juin de la Grande Duchesse Léonida il n’a même pas pu y faire brûler un cierge en la mémoire de la défunte. Il y a quelques années Boris Araktchéev, directeur du Musée de l’histoire de la religion, avait déclaré que la cathédrale ne doit pas être restituée à l’Eglise car de par le passé elle n’a jamais relevé du diocèse de Saint Saint-Pétersbourg. Elle a toujours appartenu à la famille impériale donc à l’Etat. Les offices n’y étaient pas quotidiens mais étaient dits à la demande des membres de la famille impériale.
C'est en l'an 1383 que l'icône de la Mère de Dieu nommée "TIKHVINSKAIA" fit sa première apparition miraculeuse dans les environs de Novgorod la Grande dans les eaux du lac Lagoda.
Tandis que des pêcheurs travaillaient sur le lac ils virent un rayon éclatant qui venait du ciel et brillait sur eux. Ils assistèrent alors au miracle de la venue mystérieuse de l'icône de la très Sainte Mère de Dieu qui volait au dessus des eaux. C'est alors que l'icône se déroba à leurs yeux.
Par la suite l'icône se manifestera de nouveau plusieurs fois selon le même mode et en différents endroits de la région jusqu'au moment où elle s'arrêta définitivement près de la ville de Tikhvine. Une Eglise fut rapidement construite afin d'honorer l'icône et de prier la Mère de Dieu.
Beaucoup de miracles se multiplièrent en ce saint lieu qui fut consacré le 14 Août veille de la fête de la dormition. Suite HISTOIRE DE L' ICÔNE DE LA MERE DE DIEU DITE " TIKHVINSKAÏA"
Tandis que des pêcheurs travaillaient sur le lac ils virent un rayon éclatant qui venait du ciel et brillait sur eux. Ils assistèrent alors au miracle de la venue mystérieuse de l'icône de la très Sainte Mère de Dieu qui volait au dessus des eaux. C'est alors que l'icône se déroba à leurs yeux.
Par la suite l'icône se manifestera de nouveau plusieurs fois selon le même mode et en différents endroits de la région jusqu'au moment où elle s'arrêta définitivement près de la ville de Tikhvine. Une Eglise fut rapidement construite afin d'honorer l'icône et de prier la Mère de Dieu.
Beaucoup de miracles se multiplièrent en ce saint lieu qui fut consacré le 14 Août veille de la fête de la dormition. Suite HISTOIRE DE L' ICÔNE DE LA MERE DE DIEU DITE " TIKHVINSKAÏA"
Commentaire de l’équipe de rédaction en fin d’article
Vladimir GOLOVANOW
Dans un commentaire récent, Nikita Krivocheine a mentionné l'interview du père protodiacre Germain IVANOFF-TRINADTZATY (alias "Ivanoff XIII) publiée sur le site Credo.ru L'essentiel en est consacré aux vicissitudes des "débris" ("oskolki", comme dit le p. Germain) de l'Église Orthodoxe Russe Hors-Frontières (EORHF), que nous appelons commodément "Vitalystes", et je ne vais pas m'étendre sur le dernier changement d'obédience du "diocèse" dont fait partie le p. Germain: comme il le dit, il y en a eu beaucoup et j'imagine que ce n'est pas le dernier… Ces divisions sont le triste lot des dérives de type sectaire et nous ne pouvons qu'espérer en Dieu pour les guider vers le retour en la Sainte Église. Vu ce qu'en dit le p. Germain ils n'en prennent pas le chemin…
Mais la fin de l'interview, où le p. Germain donne son analyse de l'Orthodoxie en France, m'a semblé intéressante: malgré ses parti-pris et son manque évident d'objectivité, le p. Germain livre un éclairage
Vladimir GOLOVANOW
Dans un commentaire récent, Nikita Krivocheine a mentionné l'interview du père protodiacre Germain IVANOFF-TRINADTZATY (alias "Ivanoff XIII) publiée sur le site Credo.ru L'essentiel en est consacré aux vicissitudes des "débris" ("oskolki", comme dit le p. Germain) de l'Église Orthodoxe Russe Hors-Frontières (EORHF), que nous appelons commodément "Vitalystes", et je ne vais pas m'étendre sur le dernier changement d'obédience du "diocèse" dont fait partie le p. Germain: comme il le dit, il y en a eu beaucoup et j'imagine que ce n'est pas le dernier… Ces divisions sont le triste lot des dérives de type sectaire et nous ne pouvons qu'espérer en Dieu pour les guider vers le retour en la Sainte Église. Vu ce qu'en dit le p. Germain ils n'en prennent pas le chemin…
Mais la fin de l'interview, où le p. Germain donne son analyse de l'Orthodoxie en France, m'a semblé intéressante: malgré ses parti-pris et son manque évident d'objectivité, le p. Germain livre un éclairage
Sauf erreur un dogme vatican promulgué au milieu du XX siècle (par réaction au positivisme qui sévissait à l'époque) établit que l'existence du Créateur est prouvable par les moyens de la raison.
La cosmogonie, "d'année lumière en année lumière" s'approche de la preuve de ce Théorème. En voici un nouveau signe:
Le FIGARO: "Le satellite européen Planck fournit une première image complète du ciel dans laquelle le rayonnement résiduel du Big Bang est perceptible. Il faudra toutefois attendre fin 2012 pour que les scientifiques parviennent à l'isoler parfaitement.
Le Big Bang est là, tout autour de nous. Nous baignons en effet dans un rayonnement diffus appelé rayonnement fossile, hérité de l'explosion originelle (cette première lumière est émise «seulement» 380.000 ans après le Big Bang). Mais observer ce rayonnement de micro-ondes très froid (seulement 3 degrés au-dessus du zéro absolu) et dont l'existence a été prédite en 1940 et observée pour la première fois en 1964, n'est pas chose aisée. Ce signal est en effet noyé dans l'environnement électromagnétique et il faut toute l'habileté des scientifiques pour parvenir à isoler ce que George Smoot, prix Nobel de Physique 2006, appelait «le visage de Dieu». Suite ICI
La cosmogonie, "d'année lumière en année lumière" s'approche de la preuve de ce Théorème. En voici un nouveau signe:
Le FIGARO: "Le satellite européen Planck fournit une première image complète du ciel dans laquelle le rayonnement résiduel du Big Bang est perceptible. Il faudra toutefois attendre fin 2012 pour que les scientifiques parviennent à l'isoler parfaitement.
Le Big Bang est là, tout autour de nous. Nous baignons en effet dans un rayonnement diffus appelé rayonnement fossile, hérité de l'explosion originelle (cette première lumière est émise «seulement» 380.000 ans après le Big Bang). Mais observer ce rayonnement de micro-ondes très froid (seulement 3 degrés au-dessus du zéro absolu) et dont l'existence a été prédite en 1940 et observée pour la première fois en 1964, n'est pas chose aisée. Ce signal est en effet noyé dans l'environnement électromagnétique et il faut toute l'habileté des scientifiques pour parvenir à isoler ce que George Smoot, prix Nobel de Physique 2006, appelait «le visage de Dieu». Suite ICI
L’hiéromoine Joseph ( Pavlinciuc), archevêché de Chesonèse
Durant toute cette période les relations entre l'Église et l'État ne furent pas simples.
L'Église ne pouvait pas prendre de décisions concernant sa politique intérieure et extérieure indépendamment de l'empereur. « A haut niveau (niveau du Saint Synode, direction centrale de l'Église) comme à un niveau plus moyen (niveau du diocèse), l’Eglise fut absorbée par l'État. Mais à l'échelle la plus basse, l'organisation structurelle de l'Eglise était laissée aux mains du peuple, lui-même asservi à l'Etat » . La seule chose qui la sauvait était l'attitude bienveillante de l'autocratie qui permettait à l'Église de « se blottir dans la machine étatique » .
Quelques changements sur le plan territorial et administratif du diocèse de Chisinau et de Hotine ainsi que dans les relations entre l'État et l'Église survinrent pendant la période 1918 - 1944, quand le diocèse de Chisinau fut incorporé dans l'Église Orthodoxe Roumain
Durant toute cette période les relations entre l'Église et l'État ne furent pas simples.
L'Église ne pouvait pas prendre de décisions concernant sa politique intérieure et extérieure indépendamment de l'empereur. « A haut niveau (niveau du Saint Synode, direction centrale de l'Église) comme à un niveau plus moyen (niveau du diocèse), l’Eglise fut absorbée par l'État. Mais à l'échelle la plus basse, l'organisation structurelle de l'Eglise était laissée aux mains du peuple, lui-même asservi à l'Etat » . La seule chose qui la sauvait était l'attitude bienveillante de l'autocratie qui permettait à l'Église de « se blottir dans la machine étatique » .
Quelques changements sur le plan territorial et administratif du diocèse de Chisinau et de Hotine ainsi que dans les relations entre l'État et l'Église survinrent pendant la période 1918 - 1944, quand le diocèse de Chisinau fut incorporé dans l'Église Orthodoxe Roumain
L’hiéromoine Joseph ( Pavlinciuc), archevêché de Chesonèse
Voici un quatrième extrait de :
L’URSS et la Moldavie roumaine : deux expériences de relations entre l'État et l'Église.
L’Église et l’État sont deux entités à la nature et à l’origine différentes. Cependant, elles coopèrent et sont en contact permanent, et ce depuis l’apparition de l’Église, à l’époque de Jésus. Diverses formes de relations « Église – État » ont existé à travers les époques (théocratique, démocratique, symphonique, église étatique et autre). On peut citer la « symphonie » comme modèle idéal de relations entre l’Église et l’État. Bien entendu l’idéal ne trouve jamais de réalisation pleine et entière dans la vie réelle. C’est pour cette raison que l’on ne peut parler que de l’expérience, à Byzance, en Russie ou dans les Principautés Roumaines, de construction de telles relations symphoniques entre l’Église et l’État. Dans la principauté de Moldavie, depuis sa création (1359) et jusqu’au XIX ème siècle, les relations entre l'Église et l'État se sont construites sur la base du modèle symphonique de Byzance. Il y a eu de collaboration entre le prince et le métropolite, ce qui a fonctionné pendant plusieurs siècles .
Voici un quatrième extrait de :
L’URSS et la Moldavie roumaine : deux expériences de relations entre l'État et l'Église.
L’Église et l’État sont deux entités à la nature et à l’origine différentes. Cependant, elles coopèrent et sont en contact permanent, et ce depuis l’apparition de l’Église, à l’époque de Jésus. Diverses formes de relations « Église – État » ont existé à travers les époques (théocratique, démocratique, symphonique, église étatique et autre). On peut citer la « symphonie » comme modèle idéal de relations entre l’Église et l’État. Bien entendu l’idéal ne trouve jamais de réalisation pleine et entière dans la vie réelle. C’est pour cette raison que l’on ne peut parler que de l’expérience, à Byzance, en Russie ou dans les Principautés Roumaines, de construction de telles relations symphoniques entre l’Église et l’État. Dans la principauté de Moldavie, depuis sa création (1359) et jusqu’au XIX ème siècle, les relations entre l'Église et l'État se sont construites sur la base du modèle symphonique de Byzance. Il y a eu de collaboration entre le prince et le métropolite, ce qui a fonctionné pendant plusieurs siècles .
Le 2 juillet 2010 Chaîne Direct 8: « Monde orthodoxe – Monde russe »
Nous ne donnons que rarement des références à des émissions de radio et/ou de télévision. Cependant, cet entretien avec Don Patrick de Laubier et l'hiéromoine Alexandre (Siniakov) diffusé par Direct 8 nous paraît tellement signifiant que nous faisons exception. Participation de l'archiprêtre Nicolas Lossky.
YOUTUBE ICI
ou L'EMISSION " Dieu Merci"
Nous ne donnons que rarement des références à des émissions de radio et/ou de télévision. Cependant, cet entretien avec Don Patrick de Laubier et l'hiéromoine Alexandre (Siniakov) diffusé par Direct 8 nous paraît tellement signifiant que nous faisons exception. Participation de l'archiprêtre Nicolas Lossky.
YOUTUBE ICI
ou L'EMISSION " Dieu Merci"
Gouri de Kazan ou Goury ou Gourias (Гурий) est un abbé et un saint russe. C'est le premier évêque de Kazan qui apporta l'Evangile dans cette région tatare et musulmane.
Né dans la famille de boyards désargentés des Rougotin de la ville de Radonège, au nord de Moscou vers 1500, il entre au service du prince Penkov mais, soupçonné d'adultère avec la femme de ce dernier, il est emprisonné pendant 2 ans. Il finit par s'évader et entre alors au monastère Saint-Joseph de Volokolamsk et quitte son nom civil de Gregori pour celui de Gouri. Il se conforme à la vie du fondateur (décédé à cette époque): primat de la prière sur les travaux manuels et rigueur de la vie religieuse. Elu abbé, sans doute vers 1543, il doit cependant renoncer pour sa santé; il vit 2 ans en tant que moine ordinaire, mais Ivan IV de Russie le rappelle pour être abbé du monastère de la Trinité Selijarov.
Au bout d'un an enfin, il est désigné au tirage au sort pour être évêque de Kazan qui venait d'être conquise et devait représenter la victoire du christianisme sur l'ancien occupant musulman et le début d'une période de mission.
Né dans la famille de boyards désargentés des Rougotin de la ville de Radonège, au nord de Moscou vers 1500, il entre au service du prince Penkov mais, soupçonné d'adultère avec la femme de ce dernier, il est emprisonné pendant 2 ans. Il finit par s'évader et entre alors au monastère Saint-Joseph de Volokolamsk et quitte son nom civil de Gregori pour celui de Gouri. Il se conforme à la vie du fondateur (décédé à cette époque): primat de la prière sur les travaux manuels et rigueur de la vie religieuse. Elu abbé, sans doute vers 1543, il doit cependant renoncer pour sa santé; il vit 2 ans en tant que moine ordinaire, mais Ivan IV de Russie le rappelle pour être abbé du monastère de la Trinité Selijarov.
Au bout d'un an enfin, il est désigné au tirage au sort pour être évêque de Kazan qui venait d'être conquise et devait représenter la victoire du christianisme sur l'ancien occupant musulman et le début d'une période de mission.
Nous reprenons des informations parues sur le site du diocèse de Chersonèse
Réunion du Conseil pédagogique du Séminaire russe
"....Le Conseil a ensuite débattu des résultats des séminaristes de cette année: 12 étudiants ont été accueillis pour l'année 2009-2010. Neuf d'entre eux ont passé avec succès les épreuves. Sept séminaristes de cette année sont admis pour l'année prochaine (les deux autres devraient prochainement recevoir l'ordination diaconale et, tout en poursuivant leur formation au séminaire, exercer un ministère dans une paroisse).
A partir de septembre prochain, le Séminaire accueillera une dizaine de nouveaux séminaristes, dont une partie en année propédeutique et une autre en master (pour ceux qui ont terminé un séminaire dans leur pays d'origine). Le Conseil a fixé les modalités d'admission et le calendrier de la rentrée."
Réunion du Conseil pédagogique du Séminaire russe
"....Le Conseil a ensuite débattu des résultats des séminaristes de cette année: 12 étudiants ont été accueillis pour l'année 2009-2010. Neuf d'entre eux ont passé avec succès les épreuves. Sept séminaristes de cette année sont admis pour l'année prochaine (les deux autres devraient prochainement recevoir l'ordination diaconale et, tout en poursuivant leur formation au séminaire, exercer un ministère dans une paroisse).
A partir de septembre prochain, le Séminaire accueillera une dizaine de nouveaux séminaristes, dont une partie en année propédeutique et une autre en master (pour ceux qui ont terminé un séminaire dans leur pays d'origine). Le Conseil a fixé les modalités d'admission et le calendrier de la rentrée."
LUMIÈRE DU THABOR
Bulletin des Pages Orthodoxes La Transfiguration
BULLETIN NUMERO 38 – JUIN 2010
...................................................
Le père Serge Boulgakov est le théologien orthodoxe le plus important de la première moitie du XXe siècle. Fils de prêtre devenu philosophe marxiste, il est revenu à l’Église après s’être rendu compte de la faiblesse du marxisme à fournir une réponse adéquate à la nature et la quête spirituelles de l’homme et aux problèmes de la société. Sa pensée, à la fois profonde et étendue, continue à attirer et à fasciner les chrétiens des toutes dénominations, cela même si certains aspects de sa théologie, notamment ses enseignements sur la Sophia, la Sagesse de Dieu, demeurent controversés. En consacrant ce numéro du Bulletin Lumière du Thabor au père Serge Boulgakov, nous avons voulu souligner moins sa pensée théologique que son cheminement personnel et spirituel, ainsi que son ministère pastoral....
AUPRÈS DU CERCUEIL DE MON ENFANT
Extraits d’une « lettre intime » du père Serge Boulgakov
Ivan, le fils de Serge Boulgakov né en 1906, est décédé en 1909.
« ... Je ne veux pas pardonner au ciel ses souffrances, sa crucifixion ! Comment pardonner ce que je ne puis com-prendre ? Et je ne dois pas pardonner : Dieu n’a-t-il pas condamné ses « avocats » qui entouraient Job, qui avaient tout expliqué et tranché ? Il me semblait (et il me semble encore, bien des
Bulletin des Pages Orthodoxes La Transfiguration
BULLETIN NUMERO 38 – JUIN 2010
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Le père Serge Boulgakov est le théologien orthodoxe le plus important de la première moitie du XXe siècle. Fils de prêtre devenu philosophe marxiste, il est revenu à l’Église après s’être rendu compte de la faiblesse du marxisme à fournir une réponse adéquate à la nature et la quête spirituelles de l’homme et aux problèmes de la société. Sa pensée, à la fois profonde et étendue, continue à attirer et à fasciner les chrétiens des toutes dénominations, cela même si certains aspects de sa théologie, notamment ses enseignements sur la Sophia, la Sagesse de Dieu, demeurent controversés. En consacrant ce numéro du Bulletin Lumière du Thabor au père Serge Boulgakov, nous avons voulu souligner moins sa pensée théologique que son cheminement personnel et spirituel, ainsi que son ministère pastoral....
AUPRÈS DU CERCUEIL DE MON ENFANT
Extraits d’une « lettre intime » du père Serge Boulgakov
Ivan, le fils de Serge Boulgakov né en 1906, est décédé en 1909.
« ... Je ne veux pas pardonner au ciel ses souffrances, sa crucifixion ! Comment pardonner ce que je ne puis com-prendre ? Et je ne dois pas pardonner : Dieu n’a-t-il pas condamné ses « avocats » qui entouraient Job, qui avaient tout expliqué et tranché ? Il me semblait (et il me semble encore, bien des
La tolérance envers l'Autre ne peut se traduire par une intolérance envers sa propre identité
ROME, Mercredi 30 juin 2010 -
Joseph Weiler, professeur de droit à la « University School of Law » de New York, a défendu le crucifix, ce mercredi, devant la Grande Chambre de la Cour européenne des droits de l'homme (ECHR).
Sa défense a été entendue par 17 juges dont Jean-Paul Costa, président de la Cour, lors d'une audience sur l'affaire Lautsi v. Italy, ou « l'affaire du crucifix », concernant le droit ou non de l'Italie de mettre des crucifix dans les salles de classe des écoles publiques.
Joseph Weiler, qui est également professeur honoraire de l'Université de Londres, représentait à l'audience les gouvernements de l'Arménie, de Bulgarie, de Chypre, de Grèce, de Lituanie, de Malte, de Monaco, de Roumanie, de la Fédération russe et de Saint-Marin, qui se présentaient comme des tiers intervenants.
ROME, Mercredi 30 juin 2010 -
Joseph Weiler, professeur de droit à la « University School of Law » de New York, a défendu le crucifix, ce mercredi, devant la Grande Chambre de la Cour européenne des droits de l'homme (ECHR).
Sa défense a été entendue par 17 juges dont Jean-Paul Costa, président de la Cour, lors d'une audience sur l'affaire Lautsi v. Italy, ou « l'affaire du crucifix », concernant le droit ou non de l'Italie de mettre des crucifix dans les salles de classe des écoles publiques.
Joseph Weiler, qui est également professeur honoraire de l'Université de Londres, représentait à l'audience les gouvernements de l'Arménie, de Bulgarie, de Chypre, de Grèce, de Lituanie, de Malte, de Monaco, de Roumanie, de la Fédération russe et de Saint-Marin, qui se présentaient comme des tiers intervenants.
"Le Monde" daté du 2 juillet publie un article consacré à un sujet qui a suscité beaucoup d'échos dans ls medias russes.
Le Vatican crée un conseil pontifical pour la nouvelle évangélisation
Stéphanie Le Bars
Le calendrier n'a rien à voir avec la période troublée que traverse l'Eglise catholique ; mais l'annonce de lundi 28 juin souligne à sa manière l'ampleur des difficultés auxquelles est confronté le catholicisme en Occident. Avec la création d'un conseil pontifical pour la nouvelle évangélisation, le pape Benoît XVI prend acte, solennellement, des changements majeurs intervenus dans l'histoire récente de l'Eglise catholique et met en avant la nécessité d'organiser de manière plus coordonnée la lutte contre la sécularisation. Pour Andrea Tornielli, le vaticaniste italien d'Il Giornale, cette annonce serait même, " à ce jour, la nouveauté la plus consistante du pontificat de Benoît XVI ". Ce sujet est traité par le web orthodoxe russe 1 et 2
Le Vatican crée un conseil pontifical pour la nouvelle évangélisation
Stéphanie Le Bars
Le calendrier n'a rien à voir avec la période troublée que traverse l'Eglise catholique ; mais l'annonce de lundi 28 juin souligne à sa manière l'ampleur des difficultés auxquelles est confronté le catholicisme en Occident. Avec la création d'un conseil pontifical pour la nouvelle évangélisation, le pape Benoît XVI prend acte, solennellement, des changements majeurs intervenus dans l'histoire récente de l'Eglise catholique et met en avant la nécessité d'organiser de manière plus coordonnée la lutte contre la sécularisation. Pour Andrea Tornielli, le vaticaniste italien d'Il Giornale, cette annonce serait même, " à ce jour, la nouveauté la plus consistante du pontificat de Benoît XVI ". Ce sujet est traité par le web orthodoxe russe 1 et 2
Voici de larges extraits de l’interview que Mgr Hilarion a accordée en juin à la revue « Tzerkovny Vestnik » Le métropolite Hilarion y a traité des relations inter-orthodoxes en Amérique et de la situation actuelle de l’EORHF. Il a également parlé d’une éventuelle fin du schisme existant en Ukraine.
« L’ukrainien est ma langue maternelle. C’est une langue que j’aime beaucoup mais que malheureusement je ne maîtrise pas assez. Ma mère m’a appris à le lire mais ma scolarité s’est faite en anglais. J’ai continué mes études au séminaire de Jordanville, les études s’y faisaient en russe. Je suis donc devenu bilingue russe-anglais.
A propos des fidèles de « l’église orthodoxe d’Ukraine (patriarcat de Kiev) » je dirai que quitter l’Eglise pour des raisons politiques ou des frustrations personnelles est un grand péché, cela nous sépare. Le schisme qui existe au sein de l’orthodoxie ukrainienne a des racines de nature politique. Bien des choses vont dépendre dans la recherche d’une solution de la hiérarchie de l’Eglise canonique, de la manière dont seront réintégrés les prêtres qui l’avaient quittée. Actuellement la méthode appliquée est assez stricte, c’est celle dite de l’acribie. Cependant, si de nombreux prêtres venaient à exprimer d’une manière sincère le désir d’être réintégrés l’Eglise pourrait faire preuve de compréhension. Ce sont des décisions qui incombent au Concile des évêques de l’Eglise orthodoxe d’Ukraine. Il nous faut prier et espérer que les orthodoxes d’Ukraine retrouveront l’unité.
« L’ukrainien est ma langue maternelle. C’est une langue que j’aime beaucoup mais que malheureusement je ne maîtrise pas assez. Ma mère m’a appris à le lire mais ma scolarité s’est faite en anglais. J’ai continué mes études au séminaire de Jordanville, les études s’y faisaient en russe. Je suis donc devenu bilingue russe-anglais.
A propos des fidèles de « l’église orthodoxe d’Ukraine (patriarcat de Kiev) » je dirai que quitter l’Eglise pour des raisons politiques ou des frustrations personnelles est un grand péché, cela nous sépare. Le schisme qui existe au sein de l’orthodoxie ukrainienne a des racines de nature politique. Bien des choses vont dépendre dans la recherche d’une solution de la hiérarchie de l’Eglise canonique, de la manière dont seront réintégrés les prêtres qui l’avaient quittée. Actuellement la méthode appliquée est assez stricte, c’est celle dite de l’acribie. Cependant, si de nombreux prêtres venaient à exprimer d’une manière sincère le désir d’être réintégrés l’Eglise pourrait faire preuve de compréhension. Ce sont des décisions qui incombent au Concile des évêques de l’Eglise orthodoxe d’Ukraine. Il nous faut prier et espérer que les orthodoxes d’Ukraine retrouveront l’unité.
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