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Des orthodoxes célèbrent le baptême du Christ sur la rive du Jourdain
Plusieurs milliers de chrétiens orthodoxes ont bravé la pluie sur les rives du Jourdain lundi pour célébrer le baptême du Christ, en s'immergeant dans des baignoires en plastique remplies d'eau boueuse de la rivière.
Des fidèles de plusieurs communautés chrétiennes d'Orient ont pris part à la cérémonie conduite par le patriarche grec-orthodoxe de Jérusalem Theophilos III, qui pour l'occasion a lancé dans la rivière une croix décorée de fleurs et lâché des colombes.
Plusieurs fidèles se sont par la suite immergées dans les baignoires ou versé des sceaux d'eau sur leurs têtes alors que les forces de sécurité israéliennes les empêchaient d'approcher la rivière, une frontière étroitement surveillée entre la Cisjordanie occupée et la Jordanie.
"C'est un jour très important pour nous chrétiens, et je suis venue avec mon fils pour le baptiser en ce lieu sacré où le Christ a été baptisé", explique Medina, 28 ans, venue avec une délégation d'Erythréens et d'Ethiopiens travaillant en Israël.
Plusieurs milliers de chrétiens orthodoxes ont bravé la pluie sur les rives du Jourdain lundi pour célébrer le baptême du Christ, en s'immergeant dans des baignoires en plastique remplies d'eau boueuse de la rivière.
Des fidèles de plusieurs communautés chrétiennes d'Orient ont pris part à la cérémonie conduite par le patriarche grec-orthodoxe de Jérusalem Theophilos III, qui pour l'occasion a lancé dans la rivière une croix décorée de fleurs et lâché des colombes.
Plusieurs fidèles se sont par la suite immergées dans les baignoires ou versé des sceaux d'eau sur leurs têtes alors que les forces de sécurité israéliennes les empêchaient d'approcher la rivière, une frontière étroitement surveillée entre la Cisjordanie occupée et la Jordanie.
"C'est un jour très important pour nous chrétiens, et je suis venue avec mon fils pour le baptiser en ce lieu sacré où le Christ a été baptisé", explique Medina, 28 ans, venue avec une délégation d'Erythréens et d'Ethiopiens travaillant en Israël.
Rédigé par Parlons d'orthodoxie le 18 Janvier 2012 à 20:00
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Le chef de l'Autorité palestinienne Mahmoud Abbas et le Patriarche Théodore II d'Alexandrie et de Toute l'Afrique recevront samedi le prix "Patriarche Alexis II" 2011 de la Fondation internationale de l'unité des peuples chrétiens orthodoxes, a annoncé mercredi le service de presse du patriarche russe.
La 12e édition de la cérémonie de remise du prix se déroulera le 21 janvier, dans la salle des Conciles de la cathédrale du Christ-Sauveur de Moscou. Le chef de l'Eglise orthodoxe russe Cyrille accueillera le Patriarche Théodore II le 20 janvier et le chef de l'Autorité palestinienne Mahmoud Abbas le 21 janvier dans sa résidence au monastère Saint-Daniel de Moscou.
La 12e édition de la cérémonie de remise du prix se déroulera le 21 janvier, dans la salle des Conciles de la cathédrale du Christ-Sauveur de Moscou. Le chef de l'Eglise orthodoxe russe Cyrille accueillera le Patriarche Théodore II le 20 janvier et le chef de l'Autorité palestinienne Mahmoud Abbas le 21 janvier dans sa résidence au monastère Saint-Daniel de Moscou.
Le lundi 16 janvier 2012, mémoire de sainte Geneviève de Paris selon le calendrier julien, le Séminaire orthodoxe russe à Epinay-sous-Sénart a célébré sa fête patronale. La divine liturgie était présidée ce jour-là par l'évêque Nestor de Chersonèse.
Elle a réuni de nombreux fidèles et amis du séminaire. L'archiprêtre Nicolas Cernokrak, doyen de l'Institut de théologie orthodoxe Saint-Serge, l'archiprêtre Jivko Panev, recteur de la paroisse Notre-Dame Souveraine à Chaville, le hiéromoine Antony Sevruk, recteur de l'église russe Sainte-Catherine à Rome, l'archiprêtre Gérard de Lagarde, recteur de la paroisse Notre-Dame-Joie-des-Affligés-Sainte-Geneviève à Paris, le hiéromoine Joseph Pavlinciuc, aumônier de la communauté moldave du diocèse de Chersonèse, ont participé à la liturgie aux côtés des responsables, des formateurs et des étudiants du séminaire.
Elle a réuni de nombreux fidèles et amis du séminaire. L'archiprêtre Nicolas Cernokrak, doyen de l'Institut de théologie orthodoxe Saint-Serge, l'archiprêtre Jivko Panev, recteur de la paroisse Notre-Dame Souveraine à Chaville, le hiéromoine Antony Sevruk, recteur de l'église russe Sainte-Catherine à Rome, l'archiprêtre Gérard de Lagarde, recteur de la paroisse Notre-Dame-Joie-des-Affligés-Sainte-Geneviève à Paris, le hiéromoine Joseph Pavlinciuc, aumônier de la communauté moldave du diocèse de Chersonèse, ont participé à la liturgie aux côtés des responsables, des formateurs et des étudiants du séminaire.
Le dimanche 22 janvier 2012, jour anniversaire du décès de l’archevêque Serge d’Eucarpie de bienheureuse mémoire, après la Divine Liturgie et la bénédiction des eaux célébrées en l’église de la Dormition de la Mère de Dieu à Sainte Geneviève-des-Bois, un office des défunts (pannychide) sera célébré sur le tombeau de Mgr Serge. La Divine Liturgie commencera à 10h00 et l’office des défunts, vers 12h30.
Le même jour, un office des défunts à la mémoire de l’archevêque Serge sera également célébré à la cathédrale Saint Alexandre Nevsky après la Divine Liturgie. Lien
Le même jour, un office des défunts à la mémoire de l’archevêque Serge sera également célébré à la cathédrale Saint Alexandre Nevsky après la Divine Liturgie. Lien
Vladimir GOLOVANOW
Une analyse ecclésiologique
Malgré l'absence d'explications officielles, les différentes déclarations des représentants autorisés de l'Archevêché au sujet de Nice nous amènent à poser la question de son statut canonique. En effet, le père Jean, recteur en titre, a dit et répété qu'il ne donnerait les clés que sur instruction de son évêque. Les clés ont été données, donc il y a eu instruction… Mgr Gabriel avait annoncé, en particulier lors de sa rencontre avec Mgr Nestor (1) , "qu’il attendait la lettre du patriarcat de Constantinople à ce sujet. Avant d'avoir reçu celle-ci, il ne peut entreprendre aucune action." Une instruction de Constantinople est donc bien arrivée et, dans son message de vœux, Mgr Gabriel (2) a qualifié cela de "passivité du Patriarcat Œcuménique". Nous pouvons donc en conclure que le Saint Trône avait donné instruction de transmettre les clés au représentant de l'Eglise russe, ce qui revient à transférer la paroisse, ce qui allait bien évidement à l'encontre des vœux de Mgr Gabriel. (3)
Comment cela se peut-il alors que les canons, souvent rappelés, précisent bien que seul l'évêque titulaire peut prendre ce genre de décision puisque aucun évêque, fut-il le premier, ne peut interférer dans les affaires d'un autre diocèse que le sien? Pour moi cela revient à poser le statut canonique de cet "Archevêché" et de son évêque.
Une analyse ecclésiologique
Malgré l'absence d'explications officielles, les différentes déclarations des représentants autorisés de l'Archevêché au sujet de Nice nous amènent à poser la question de son statut canonique. En effet, le père Jean, recteur en titre, a dit et répété qu'il ne donnerait les clés que sur instruction de son évêque. Les clés ont été données, donc il y a eu instruction… Mgr Gabriel avait annoncé, en particulier lors de sa rencontre avec Mgr Nestor (1) , "qu’il attendait la lettre du patriarcat de Constantinople à ce sujet. Avant d'avoir reçu celle-ci, il ne peut entreprendre aucune action." Une instruction de Constantinople est donc bien arrivée et, dans son message de vœux, Mgr Gabriel (2) a qualifié cela de "passivité du Patriarcat Œcuménique". Nous pouvons donc en conclure que le Saint Trône avait donné instruction de transmettre les clés au représentant de l'Eglise russe, ce qui revient à transférer la paroisse, ce qui allait bien évidement à l'encontre des vœux de Mgr Gabriel. (3)
Comment cela se peut-il alors que les canons, souvent rappelés, précisent bien que seul l'évêque titulaire peut prendre ce genre de décision puisque aucun évêque, fut-il le premier, ne peut interférer dans les affaires d'un autre diocèse que le sien? Pour moi cela revient à poser le statut canonique de cet "Archevêché" et de son évêque.
Laurence Guillon
Naissance d’une orthodoxie à la française
Lorsque dans mon jeune âge, j’entendais parler de paroisse en langue française ou de retour des Français à leur christianisme originel, je prenais un air de commisération suspicieuse : toutes ces tentatives me semblaient pitoyables, artificielles, une caricature de l’orthodoxie russe à laquelle j’appartenais. La place des Français normaux était en Russie, leur pays d’origine ayant cessé d’être normal depuis trop longtemps, c’est pourquoi j’avais choisi de partir à Moscou. Cependant, l’orthodoxie française d’inspiration athonite fonctionne très bien. Je n’y entends aucune fausse note. Tout y est rigoureusement orthodoxe et complètement organique. Le monastère rayonne, au point que les gens y affluent et que même le paysage alentour semble différent, apaisé, sanctifié. Quoi de plus triste que ces paysages français magnifiques complètement désertés par l’Esprit de Dieu ? Autour de Solan, l’Esprit souffle avec le vent qui passe. Comme dans la campagne russe, autour de cinq coupoles brillant à l’horizon.
A cela je vois deux ou trois raisons : d’abord le choix de la langue française, qui rend le contenu des textes immédiatement accessible au Français de souche venu acheter du vin et entré dans l’église par curiosité.
Naissance d’une orthodoxie à la française
Lorsque dans mon jeune âge, j’entendais parler de paroisse en langue française ou de retour des Français à leur christianisme originel, je prenais un air de commisération suspicieuse : toutes ces tentatives me semblaient pitoyables, artificielles, une caricature de l’orthodoxie russe à laquelle j’appartenais. La place des Français normaux était en Russie, leur pays d’origine ayant cessé d’être normal depuis trop longtemps, c’est pourquoi j’avais choisi de partir à Moscou. Cependant, l’orthodoxie française d’inspiration athonite fonctionne très bien. Je n’y entends aucune fausse note. Tout y est rigoureusement orthodoxe et complètement organique. Le monastère rayonne, au point que les gens y affluent et que même le paysage alentour semble différent, apaisé, sanctifié. Quoi de plus triste que ces paysages français magnifiques complètement désertés par l’Esprit de Dieu ? Autour de Solan, l’Esprit souffle avec le vent qui passe. Comme dans la campagne russe, autour de cinq coupoles brillant à l’horizon.
A cela je vois deux ou trois raisons : d’abord le choix de la langue française, qui rend le contenu des textes immédiatement accessible au Français de souche venu acheter du vin et entré dans l’église par curiosité.
Laurence Guillon
Orthodoxe depuis l’âge de dix-neuf ans, je fis la connaissance du père Placide Deseille il y a plus de vingt ans, dans le premier monastère qu’il avait fondé, Saint-Antoine-le-Grand, entre Valence et Grenoble, dans la massif montagneux du Vercors. J’étais entrée initialement dans une paroisse du Patriarcat de Moscou, mais, me trouvant fort isolée dans une région éloignée de tous centres russes, je m’étais adressée au père Placide pour savoir si mon profond désir de retourner en Russie relevait de l’exaltation, ou s’il répondait à la volonté de Dieu. Une fois en Russie, où je vécus seize ans, je fis quelques petites incursions au monastère de Solan, que le père Placide venait de fonder, et qui était plus près de la maison de ma mère, en France. Mais je ne donnai pas suite, car j’étais parfaitement intégrée en Russie et pensais y rester toute ma vie.
Mais voici que l’état de santé de ma mère m’obligea à revenir en France et, à nouveau très isolée, je me dirigeai tout naturellement vers le monastère de Solan, à une quarantaine de kilomètres de chez moi. Dès mes premières visites, je sentis que cet endroit serait la source de lumière de ma nouvelle vie, dans un pays et un environnement terriblement déchristianisé, où l’orthodoxie minoritaire fait son chemin discret.
Orthodoxe depuis l’âge de dix-neuf ans, je fis la connaissance du père Placide Deseille il y a plus de vingt ans, dans le premier monastère qu’il avait fondé, Saint-Antoine-le-Grand, entre Valence et Grenoble, dans la massif montagneux du Vercors. J’étais entrée initialement dans une paroisse du Patriarcat de Moscou, mais, me trouvant fort isolée dans une région éloignée de tous centres russes, je m’étais adressée au père Placide pour savoir si mon profond désir de retourner en Russie relevait de l’exaltation, ou s’il répondait à la volonté de Dieu. Une fois en Russie, où je vécus seize ans, je fis quelques petites incursions au monastère de Solan, que le père Placide venait de fonder, et qui était plus près de la maison de ma mère, en France. Mais je ne donnai pas suite, car j’étais parfaitement intégrée en Russie et pensais y rester toute ma vie.
Mais voici que l’état de santé de ma mère m’obligea à revenir en France et, à nouveau très isolée, je me dirigeai tout naturellement vers le monastère de Solan, à une quarantaine de kilomètres de chez moi. Dès mes premières visites, je sentis que cet endroit serait la source de lumière de ma nouvelle vie, dans un pays et un environnement terriblement déchristianisé, où l’orthodoxie minoritaire fait son chemin discret.
Une centaine de passionnés réunis à Fribourg
En mai 1971, l’Eglise catholique s’ouvrait totalement à l’ère de la communication avec la sortie de l’instruction pastorale "Communio et Progressio". Le vent du Concile, libéré 6 ans plus tôt hors des fenêtres du Vatican, soufflait enfin sur le monde des médias.
Une Eglise qui ne communique pas n’est pas l’Eglise. Sur le plan de la communication, "l’Eglise est encore souvent en retard", a lancé Mgr Claudio Maria Celli, président du Conseil pontifical pour les communications sociales à Rome. L’hôte du Vatican s’exprimait jeudi 12 janvier à l’Université de Fribourg à l’occasion de la commémoration des 40 ans du document "Communion et Progrès", devant une centaine de professionnels et passionnés des médias venant de toute la Suisse.
En mai 1971, l’Eglise catholique s’ouvrait totalement à l’ère de la communication avec la sortie de l’instruction pastorale "Communio et Progressio". Le vent du Concile, libéré 6 ans plus tôt hors des fenêtres du Vatican, soufflait enfin sur le monde des médias.
Une Eglise qui ne communique pas n’est pas l’Eglise. Sur le plan de la communication, "l’Eglise est encore souvent en retard", a lancé Mgr Claudio Maria Celli, président du Conseil pontifical pour les communications sociales à Rome. L’hôte du Vatican s’exprimait jeudi 12 janvier à l’Université de Fribourg à l’occasion de la commémoration des 40 ans du document "Communion et Progrès", devant une centaine de professionnels et passionnés des médias venant de toute la Suisse.
Vladimir GOLOVANOW
Un échange récent a montré que bon nombre de lecteurs de ce forum, et plus généralement d'Orthodoxes et de croyants s'intéressants à l'Orthodoxie, ne perçoivent pas de différence fondamentale entre la Sainte messe catholique et la Divine Liturgie orthodoxe. Mes connaissances théologiques étant trop limitées pour faire le tour de la question, je voudrais lancer quelques pistes de réflexions en comptant sur des compléments d'apports de ceux qui sont plus compétents que moi.
La “Sainte Messe” des Latins et la «Divine Liturgie» des Orthodoxes trouvent leur origine dans la "Sainte Cène", le «Repas du Seigneur» (1 Co 11, 20.33), la «Fraction du pain» (Ac 2, 42.46 ; 20, 7), «l'Eucharistie». Mais les deux concepts divergent par leur définition:
LITURGIE (1) : De l'adjectif grec lèitos : « public », et du nom commun ergon : « service », « oeuvre », « travail ». La liturgie est donc, étymologiquement, un « service public », une œuvre faite au bénéfice du peuple.
Un échange récent a montré que bon nombre de lecteurs de ce forum, et plus généralement d'Orthodoxes et de croyants s'intéressants à l'Orthodoxie, ne perçoivent pas de différence fondamentale entre la Sainte messe catholique et la Divine Liturgie orthodoxe. Mes connaissances théologiques étant trop limitées pour faire le tour de la question, je voudrais lancer quelques pistes de réflexions en comptant sur des compléments d'apports de ceux qui sont plus compétents que moi.
La “Sainte Messe” des Latins et la «Divine Liturgie» des Orthodoxes trouvent leur origine dans la "Sainte Cène", le «Repas du Seigneur» (1 Co 11, 20.33), la «Fraction du pain» (Ac 2, 42.46 ; 20, 7), «l'Eucharistie». Mais les deux concepts divergent par leur définition:
LITURGIE (1) : De l'adjectif grec lèitos : « public », et du nom commun ergon : « service », « oeuvre », « travail ». La liturgie est donc, étymologiquement, un « service public », une œuvre faite au bénéfice du peuple.
Vladimir GOLOVANOW
Nous avons déjà eu l'occasion de parler de la situation ecclésiale en Abkhazie (1).
En très bref rappelons que les relations entre Géorgiens et Abkhazes sont une longue suite de querelles et de réconciliations: après la conquête par le roi géorgien Vaghtang ( Ve siécle), l'Abkhazie fut plus ou moins autonome sous des princes géorgiens malgré la conquête du littoral par les Turcs au XVe. Elle rejoignit l'empire russe en même temps que la Géorgie à la fin du XIXe (prés de la moitié des Abkhazes, convertis à l'Islam, émigrèrent alors en Turquie avec les Tcherkesses et les Tchétchènes) et, après les soubresauts révolutionnaires, fut intégrée à la République Socialiste de Géorgie en 1921. A la dislocation de l'URSS, l'Abkhazie refusa d'être intégrée à la Géorgie et, après une guerre sanglante en 1992-93 (plus de 15 000 morts, 250 000 réfugiés en Géorgie, soit prés de la population qui était alors à majorité géorgienne) l'Abkhazie proclama son indépendance (1994) qui n'a d'abord été reconnue que par la Russie, après la guerre russo-géorgienne de 2008, et maintenant par 5 autres pays dont le Venezuela (mais aucun autre pays de l'ex-URSS).
Nous avons déjà eu l'occasion de parler de la situation ecclésiale en Abkhazie (1).
En très bref rappelons que les relations entre Géorgiens et Abkhazes sont une longue suite de querelles et de réconciliations: après la conquête par le roi géorgien Vaghtang ( Ve siécle), l'Abkhazie fut plus ou moins autonome sous des princes géorgiens malgré la conquête du littoral par les Turcs au XVe. Elle rejoignit l'empire russe en même temps que la Géorgie à la fin du XIXe (prés de la moitié des Abkhazes, convertis à l'Islam, émigrèrent alors en Turquie avec les Tcherkesses et les Tchétchènes) et, après les soubresauts révolutionnaires, fut intégrée à la République Socialiste de Géorgie en 1921. A la dislocation de l'URSS, l'Abkhazie refusa d'être intégrée à la Géorgie et, après une guerre sanglante en 1992-93 (plus de 15 000 morts, 250 000 réfugiés en Géorgie, soit prés de la population qui était alors à majorité géorgienne) l'Abkhazie proclama son indépendance (1994) qui n'a d'abord été reconnue que par la Russie, après la guerre russo-géorgienne de 2008, et maintenant par 5 autres pays dont le Venezuela (mais aucun autre pays de l'ex-URSS).
V.G.
Israël: La nuit de Noël, l’archimandrite Isidore (Minaev) a célébré la Solennité de la Nativité dans la cathédrale de la Trinité de la Mission spirituelle russe. Les employés de l’ambassade de Biélorussie à Tel-Aviv assistaient à l’office, ainsi que les pèlerins venus en Terre Sainte. A l’issue de la liturgie, un buffet festif a été servi aux paroissiens, informe le site de la Mission spirituelle russe à Jérusalem.
Syrie: Le 7 janvier, la Nativité a également été fêtée au métochion de l’Église orthodoxe russe de Damas. Les paroissiens russophones se sont recueillis au cours de la Divine liturgie célébrée à l’église Saint-Ignace-le-Théophore. Une fête pour les enfants était ensuite organisée dans les locaux de la Représentation du Patriarche de Moscou près le Patriarche d’Antioche, après quoi toutes les personnes présentes ont pris part au repas de fête tandis que les enfants recevaient leurs cadeaux de noël.
Israël: La nuit de Noël, l’archimandrite Isidore (Minaev) a célébré la Solennité de la Nativité dans la cathédrale de la Trinité de la Mission spirituelle russe. Les employés de l’ambassade de Biélorussie à Tel-Aviv assistaient à l’office, ainsi que les pèlerins venus en Terre Sainte. A l’issue de la liturgie, un buffet festif a été servi aux paroissiens, informe le site de la Mission spirituelle russe à Jérusalem.
Syrie: Le 7 janvier, la Nativité a également été fêtée au métochion de l’Église orthodoxe russe de Damas. Les paroissiens russophones se sont recueillis au cours de la Divine liturgie célébrée à l’église Saint-Ignace-le-Théophore. Une fête pour les enfants était ensuite organisée dans les locaux de la Représentation du Patriarche de Moscou près le Patriarche d’Antioche, après quoi toutes les personnes présentes ont pris part au repas de fête tandis que les enfants recevaient leurs cadeaux de noël.
Propos recueillis par Philippe Fiammetti
Nice Matin, le 13 janvier
Le père Nicolas Ozoline, nouveau recteur de la cathédrale, évoque le devenir de cet édifice, sa prochaine restauration, son rôle spirituel et culturel…
Après une bataille judiciaire de près de sept ans, la cathédrale russe est revenue dans le giron du patriarcat de Moscou. C’est en décembre dernier que l’ACOR, l’association cultuelle niçoise gestionnaire des lieux depuis plus de 80 ans, a remis les clés au nouveau recteur, le père Nicolas Ozoline. Dans l’interview qu’il nous a accordée, ce dernier évoque le devenir de cet édifice orthodoxe considéré comme l’un des plus exceptionnels hors de Russie.
Et maintenant ?
p. N. Ozoline: Une page est aujourd’hui tournée. Une nouvelle va s’écrire. Je veux rendre un hommage particulier au père Jean Gueit (ndlr : l’ancien recteur de la cathédrale qui, avec l’ACOR, s’était opposé à la Russie), pour avoir grandement contribué sur le plan à la fois spirituel et pastoral, pour que ce conflit, né de l’histoire tragique russe du XX siècle, s’achève dans la dignité.
Nice Matin, le 13 janvier
Le père Nicolas Ozoline, nouveau recteur de la cathédrale, évoque le devenir de cet édifice, sa prochaine restauration, son rôle spirituel et culturel…
Après une bataille judiciaire de près de sept ans, la cathédrale russe est revenue dans le giron du patriarcat de Moscou. C’est en décembre dernier que l’ACOR, l’association cultuelle niçoise gestionnaire des lieux depuis plus de 80 ans, a remis les clés au nouveau recteur, le père Nicolas Ozoline. Dans l’interview qu’il nous a accordée, ce dernier évoque le devenir de cet édifice orthodoxe considéré comme l’un des plus exceptionnels hors de Russie.
Et maintenant ?
p. N. Ozoline: Une page est aujourd’hui tournée. Une nouvelle va s’écrire. Je veux rendre un hommage particulier au père Jean Gueit (ndlr : l’ancien recteur de la cathédrale qui, avec l’ACOR, s’était opposé à la Russie), pour avoir grandement contribué sur le plan à la fois spirituel et pastoral, pour que ce conflit, né de l’histoire tragique russe du XX siècle, s’achève dans la dignité.
Lors du 150ème Anniversaire de la Cathédrale Saint Alexandre Nevski "P.O." avait publié des extraits du message envoyé à cette occasion par le patriarche de Constantinople Bartholomé. Sa Sainteté y appelait l’exarchat à devenir une passerelle facilitant la coopération avec l’Eglise orthodoxe russe. L’extrait qui suit de l’allocution de veux rédigée par Mgr Gabriel de Comane ( Feuillet de l’exarchat N° 41) mérite réflexion.
"Les années qui viennent s’annoncent difficiles, je ne vous le cacherai pas : du fait des intentions d’absorption affichées depuis longtemps et menées à bien par le Patriarcat de Moscou au sujet de notre Archevêché, l’épisode de Nice nous l’a douloureusement rappelé, et à cause de la passivité du Patriarcat OEcuménique. A cette occasion, je vous invite à resserrer les rangs de notre Archevêché pour que nous puissions formuler et préciser l’unicité de sa situation et de son message."
"Les années qui viennent s’annoncent difficiles, je ne vous le cacherai pas : du fait des intentions d’absorption affichées depuis longtemps et menées à bien par le Patriarcat de Moscou au sujet de notre Archevêché, l’épisode de Nice nous l’a douloureusement rappelé, et à cause de la passivité du Patriarcat OEcuménique. A cette occasion, je vous invite à resserrer les rangs de notre Archevêché pour que nous puissions formuler et préciser l’unicité de sa situation et de son message."
Dans un entretien accordé à la revue "Unité des chrétiens" (numéro 165, janvier 2012), l'archiprêtre Nicolas Cernokrak, doyen de l'Institut de théologie orthodoxe Saint-Serge de Paris, répond à la question sur les rapports entre l'Institut et notre Séminaire orthodoxe russe:
Le séminaire russe d’Épinay-sous-Sénart a pour but de faire découvrir à l’Église orthodoxe russe la culture française. Il partage d'ailleurs cela avec nous: l'ouverture à l’œcuménisme dans sa version française Paris a été choisi délibérément par le Patriarcat de Moscou, de préférence à d'autres capitales d'Europe de l'ouest. Il n'y a pas de concurrence entre les deux établissements, mais un enrichissement mutuel. J'enseigne moi-même le Nouveau Testament à Épinay. L'actuel recteur, le hiéromoine Alexandre Siniakov, est un de mes anciens élèves. Suite Séminaire Russe
PRAVOSLAVIE i MIR
Le séminaire russe d’Épinay-sous-Sénart a pour but de faire découvrir à l’Église orthodoxe russe la culture française. Il partage d'ailleurs cela avec nous: l'ouverture à l’œcuménisme dans sa version française Paris a été choisi délibérément par le Patriarcat de Moscou, de préférence à d'autres capitales d'Europe de l'ouest. Il n'y a pas de concurrence entre les deux établissements, mais un enrichissement mutuel. J'enseigne moi-même le Nouveau Testament à Épinay. L'actuel recteur, le hiéromoine Alexandre Siniakov, est un de mes anciens élèves. Suite Séminaire Russe
PRAVOSLAVIE i MIR
Le 8 janvier 2012, dimanche après la Nativité du Christ, Sa Béatitude le métropolite Vladimir de Kiev et de toute l’Ukraine a célébré la Divine liturgie au catholicon du monastère féminin de la Protection de la Mère de Dieu de Kiev. Le métropolite était assisté de l’archevêque Alexandre de Pereyaslav-Khmelnitsky et des clercs du monastère.
Après l’office, le métropolite Vladimir a félicité l’higoumène Callisthène (Chamaïlo), supérieure du monastère, et les moniales du couvent à l’occasion de la fête de la Nativité du Christ, informe le site de l’Église orthodoxe d’Ukraine.
Le métropolite Vladimir célébrait la Divine liturgie pour la première depuis deux mois et demi, durant lesquels il a été soigné dans une clinique de Kiev. LIEN Mospat
...............................
" PO" Le métropolite Vladimir de Kiev et de toute l’Ukraine est hospitalisé dans un état jugé sérieux.
"PO" Convocation du Concile local de l’Eglise orthodoxe d’Ukraine, patriarcat de Moscou
Après l’office, le métropolite Vladimir a félicité l’higoumène Callisthène (Chamaïlo), supérieure du monastère, et les moniales du couvent à l’occasion de la fête de la Nativité du Christ, informe le site de l’Église orthodoxe d’Ukraine.
Le métropolite Vladimir célébrait la Divine liturgie pour la première depuis deux mois et demi, durant lesquels il a été soigné dans une clinique de Kiev. LIEN Mospat
...............................
" PO" Le métropolite Vladimir de Kiev et de toute l’Ukraine est hospitalisé dans un état jugé sérieux.
"PO" Convocation du Concile local de l’Eglise orthodoxe d’Ukraine, patriarcat de Moscou
P.O. vient de recevoir d’Ivan Serguéevitch Kourdukoff le mail qui suit.
Modérateur et fondateur du groupe Yahoo « egliserussenice » qui existe depuis novembre 2008 , Ivan Serguéévitch a su nous informer tous d’une manière complète et objective de ce qui passait dans et autour de la cathédrale Saint Nicolas.
Maintenant que le conflit a trouvé une solution heureuse notre collègue a décidé que le blog n’a plus de raison d’être. C’est une décision qui montre une fois de plus que le modérateur de «egliserussenice » a le sens des réalités:
"Bonjour à tous et au revoir. Ce blog de discussion n'a plus lieu d’exister, aussi avant de trouver la solution pour le fermer il ne diffusera plus aucune information. Une page est tournée.Bonne année à tous ceux qui avaient consulté ce blog.N'oubliez pas de consulter : www.egliserussenice.org "
Modérateur et fondateur du groupe Yahoo « egliserussenice » qui existe depuis novembre 2008 , Ivan Serguéévitch a su nous informer tous d’une manière complète et objective de ce qui passait dans et autour de la cathédrale Saint Nicolas.
Maintenant que le conflit a trouvé une solution heureuse notre collègue a décidé que le blog n’a plus de raison d’être. C’est une décision qui montre une fois de plus que le modérateur de «egliserussenice » a le sens des réalités:
"Bonjour à tous et au revoir. Ce blog de discussion n'a plus lieu d’exister, aussi avant de trouver la solution pour le fermer il ne diffusera plus aucune information. Une page est tournée.Bonne année à tous ceux qui avaient consulté ce blog.N'oubliez pas de consulter : www.egliserussenice.org "
Archevêché des Églises Orthodoxes Russes en Europe Occidentale
Monseigneur Gabriel de Comane a été victime d’une petite hémorragie cérébrale à la fin de la semaine dernière, après la célébration des fêtes de la Nativité selon le calendrier julien. Selon les médecins, cette hémorragie est une séquelle du traitement de chimiothérapie qu’il a subi durant l’année 2011. Entré à l’hôpital Bichat le samedi 7 janvier au soir, Monseigneur Gabriel en est ressorti lundi 9 janvier. Il se sent bien, mais suivant le conseil de ses médecins il est parti aussitôt se reposer. Il annule tous ses rendez-vous du mois de janvier.
Monseigneur Gabriel remercie tous ceux qui le soutiennent par leurs prières.
Lien ICI
Adresse : 12, rue Daru - 75008 Paris - France
Monseigneur Gabriel de Comane a été victime d’une petite hémorragie cérébrale à la fin de la semaine dernière, après la célébration des fêtes de la Nativité selon le calendrier julien. Selon les médecins, cette hémorragie est une séquelle du traitement de chimiothérapie qu’il a subi durant l’année 2011. Entré à l’hôpital Bichat le samedi 7 janvier au soir, Monseigneur Gabriel en est ressorti lundi 9 janvier. Il se sent bien, mais suivant le conseil de ses médecins il est parti aussitôt se reposer. Il annule tous ses rendez-vous du mois de janvier.
Monseigneur Gabriel remercie tous ceux qui le soutiennent par leurs prières.
Lien ICI
Adresse : 12, rue Daru - 75008 Paris - France
Le patriarche de toute la Russie Cyrille, chef spirituel de l’Église orthodoxe russe, a félicité les fidèles orthodoxes de la Russie et des communautés orthodoxes à travers le monde entier à l’occasion de ce Jour radieux : « Tout chrétien a le devoir de confirmer sa foi par des actes. Il y a autour de nous beaucoup de personnes impotentes, malades et solitaires qui ont besoin de notre sollicitude. Aider ceux qui souffrent est le devoir de chaque croyant et de chaque personne humaine. Nous devons partager la chaleur et la liesse que nous procure cette fête avec tous ceux qui ont besoin de consolation chrétienne. Chacun de nous peut apporter la lumière de la Nativité à son prochain, ainsi qu’à ses collègues, amis, parents et voisins. »
En Russie, on fête les Jours Saints qui suivent Noël orthodoxe (célébré le 7 janvier).
Pendant 12 jours, "Sviatki", les jours saints entre Noël et le Baptême du Christ les chrétiens orthodoxes glorifient l'arrivée au monde du Sauveur Jésus-Christ.
En Russie, on fête les Jours Saints qui suivent Noël orthodoxe (célébré le 7 janvier).
Pendant 12 jours, "Sviatki", les jours saints entre Noël et le Baptême du Christ les chrétiens orthodoxes glorifient l'arrivée au monde du Sauveur Jésus-Christ.
Voici quelle serait cette fresque si l’église était restaurée !
Sans vous, elle risque de disparaître ! Contribuez à conserver ce trésor de l’Emigration Russe en France
Contact, père Ambroise : anicoviotis@aol.com
Envoyez vos dons sur le compte : Skite Notre Dame de Kazan, Moisenay, France.
Skite Notre Dame de Kazan
CREDIT AGRICOLE NORMANDIE
IBAN : FR76 1660 6000 4300 1555 2985 036
SWIFT : AGRIFRPP866
Site Skite Notre Dame de Kazan
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« C’est à cause de nous et pour nous que Dieu est devenu un d’entre nous ».
Dans cette belle formule, Léonce de Byzance – un des plus remarquables théologiens orientaux du VIe siècle – résume le caractère anthropocentrique du dessein salutaire de Dieu. Voilà une affirmation paradoxale : l’anthropocentrisme de l’œuvre de Dieu. Elle pourrait faire sursauter certains de nos contemporains qui ont l’anthropocentrisme en horreur, le considérant comme une impie invention du monde déchu et sécularisé.
Pourtant, c’est bien la philanthropie de Dieu qui est à l’origine de l’incarnation du Verbe. « Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils unique afin que tout homme qui croit en lui ne meure pas, mais ait la vie éternelle ». Combien grand doit être l’amour de Dieu pour le monde et l’homme qu’il a créés pour que son Verbe éternel devienne l’un d’entre nous. Aussi grand qu’il soit, cet amour de Dieu pour l’homme n’a rien d’illogique : pourquoi le Créateur n’aimerait-il pas ce qu’il a créé ? Pourquoi Dieu mépriserait l’homme qui est son propre ouvrage ? Pourquoi l’humanité ne serait-elle pas digne d’accueillir son propre Auteur, son Archétype dont elle l’image vraie et vivante ?
Dans cette belle formule, Léonce de Byzance – un des plus remarquables théologiens orientaux du VIe siècle – résume le caractère anthropocentrique du dessein salutaire de Dieu. Voilà une affirmation paradoxale : l’anthropocentrisme de l’œuvre de Dieu. Elle pourrait faire sursauter certains de nos contemporains qui ont l’anthropocentrisme en horreur, le considérant comme une impie invention du monde déchu et sécularisé.
Pourtant, c’est bien la philanthropie de Dieu qui est à l’origine de l’incarnation du Verbe. « Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils unique afin que tout homme qui croit en lui ne meure pas, mais ait la vie éternelle ». Combien grand doit être l’amour de Dieu pour le monde et l’homme qu’il a créés pour que son Verbe éternel devienne l’un d’entre nous. Aussi grand qu’il soit, cet amour de Dieu pour l’homme n’a rien d’illogique : pourquoi le Créateur n’aimerait-il pas ce qu’il a créé ? Pourquoi Dieu mépriserait l’homme qui est son propre ouvrage ? Pourquoi l’humanité ne serait-elle pas digne d’accueillir son propre Auteur, son Archétype dont elle l’image vraie et vivante ?
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