Dans une lettre au patriarche Paul de Serbie, le primat de l'Église orthodoxe russe réaffirme son intention à défendre les orthodoxes du Kosovo: "Dans l'avenir, l'Église russe utilisera tous les moyens pour faire retentir sa voix à la défense de la vérité de Dieu, à la défense de nos frères et sœurs orthodoxes vivant au Kosovo, une région de la Serbie, et de ceux qui en ont été bannis, à la défense des toutes les victimes de la violence et de l'injustice".
Le patriarche Cyrille rappelle qu'au cours de ces dernières années, le patriarcat de Moscou "a exprimé à de nombreuses reprises son soutien à l'Église-sœur de Serbie dans la résolution de la crise actuelle". "Vos souffrances sont celles de l'Église orthodoxe tout entière", écrit-il au patriarche Paul.
Le primat de l'Église russe a regretté qu'en 1999 "plusieurs pays qui se croyaient investis du droit de définir l'avenir du monde, se sont unis pour imposer leur volonté à un peuple". Selon le patriarche Cyrille, "le désir de résoudre par la puissance des armes le nœud complexe composés des facteurs ethniques, religieux, psychologiques et spirituels, amena les fidèles de l'Église présidée par Votre Sainteté et tout le peuple serbe à d'atroces souffrances dont les conséquences se ressentent encore aujourd'hui".
Le patriarche Cyrille rappelle qu'au cours de ces dernières années, le patriarcat de Moscou "a exprimé à de nombreuses reprises son soutien à l'Église-sœur de Serbie dans la résolution de la crise actuelle". "Vos souffrances sont celles de l'Église orthodoxe tout entière", écrit-il au patriarche Paul.
Le primat de l'Église russe a regretté qu'en 1999 "plusieurs pays qui se croyaient investis du droit de définir l'avenir du monde, se sont unis pour imposer leur volonté à un peuple". Selon le patriarche Cyrille, "le désir de résoudre par la puissance des armes le nœud complexe composés des facteurs ethniques, religieux, psychologiques et spirituels, amena les fidèles de l'Église présidée par Votre Sainteté et tout le peuple serbe à d'atroces souffrances dont les conséquences se ressentent encore aujourd'hui".