Le 11 février 2009, le patriarche Cyrille de Moscou s'est rendu au département des relations extérieures qu'il a dirigé pendant plus de vingt ans, pour rencontrer tous ceux qui y travaillent. "Pendant quarante ans, j'ai eu l'honneur et la magnifique possibilité de participer à l'activité extérieure de l'Église orthodoxe russe, a affirmé le patriarche. C'est avec gratitude que je pense à mes prédécesseurs avec qui j'ai au la chance de coopérer: le regretté métropolite Nicodème, Mgr Juvénal, Mgr Philarète. Chacun d'eux a dirigé à des époques difficiles ce département de première importance dans l'Église orthodoxe russe".
Le patriarche Cyrille a énoncé les efforts du département des relations extérieures à faire sortir l'Église russe de l'isolement médiatique et social dans lequel elle se trouvait à la chute de l'Union soviétique. C'est à "l'avant-garde" que le département a servi l'Église russe, tout en disposant de moyens très modestes. Le patriarche a rappelé que le département avait toujours soutenu et mené le dialogue avec les autres chrétiens. Ces relations aidaient l'Église "dans les années 1960 et 1970 à se défendre face aux persécuteurs" soviétiques. "Nous avons acquis une expérience remarquable de collaboration avec les organisations chrétiennes internationales et l'expérience de dialogues bilatéraux".
Le patriarche a mentionné le rôle "décisif" du département dans le rétablissement de l'unité entre le patriarcat de Moscou et l'Église russe hors frontières. Il a souligné que les relations interorthodoxes sont aujourd'hui la priorité de l'activité du département.
Le patriarche a demandé d'accorder une importance particulière au ministère pastoral auprès des fidèles du patriarcat de Moscou vivant dans la diaspora. Il a attiré également l'attention sur le problème de la formation des cadres et fait part de son intention de soutenir la formation des prêtres orthodoxes russes à l'étranger.
Le patriarche a déclaré également que, jusqu'à la nomination du nouveau président, la direction du département sera assurée par intérim par l'évêque Marc d'Egoriev, un des deux vice-présidents. En conclusion, il a déclaré que l'organisation du département était un de ses principaux soucis dans l'avenir: "Je suis profondément convaincu que son efficacité ne doit en aucun cas diminuer... Je suis convaincu que le département doit continuer à jouer le rôle important dans l'Église qu'il a toujours eu au cours des 60 ans de son existence".
Le patriarche Cyrille a énoncé les efforts du département des relations extérieures à faire sortir l'Église russe de l'isolement médiatique et social dans lequel elle se trouvait à la chute de l'Union soviétique. C'est à "l'avant-garde" que le département a servi l'Église russe, tout en disposant de moyens très modestes. Le patriarche a rappelé que le département avait toujours soutenu et mené le dialogue avec les autres chrétiens. Ces relations aidaient l'Église "dans les années 1960 et 1970 à se défendre face aux persécuteurs" soviétiques. "Nous avons acquis une expérience remarquable de collaboration avec les organisations chrétiennes internationales et l'expérience de dialogues bilatéraux".
Le patriarche a mentionné le rôle "décisif" du département dans le rétablissement de l'unité entre le patriarcat de Moscou et l'Église russe hors frontières. Il a souligné que les relations interorthodoxes sont aujourd'hui la priorité de l'activité du département.
Le patriarche a demandé d'accorder une importance particulière au ministère pastoral auprès des fidèles du patriarcat de Moscou vivant dans la diaspora. Il a attiré également l'attention sur le problème de la formation des cadres et fait part de son intention de soutenir la formation des prêtres orthodoxes russes à l'étranger.
Le patriarche a déclaré également que, jusqu'à la nomination du nouveau président, la direction du département sera assurée par intérim par l'évêque Marc d'Egoriev, un des deux vice-présidents. En conclusion, il a déclaré que l'organisation du département était un de ses principaux soucis dans l'avenir: "Je suis profondément convaincu que son efficacité ne doit en aucun cas diminuer... Je suis convaincu que le département doit continuer à jouer le rôle important dans l'Église qu'il a toujours eu au cours des 60 ans de son existence".