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Hyeon Soo Lim un pasteur appartenant à l’Église presbytérienne du Toronto, Canada, s'est rendu en janvier 2015 en République Populaire Démocratique de Corée. Âgé de 60 ans, il faisait partie d'une mission humanitaire. Le 31 janvier ses collègues ont perdu toute trace de lui.
Ses proches ont été informés par les autorités canadiennes du fait de l'arrestation de Hyeon Soo Lim en RPDC. Lien Interfax
Une représentante de cette église explique à CBC News Toronto que Hyeon Soo Lim a déjà effectué ce voyage "plus d'une centaine de fois ces neuf dernières années". Elle ajoute que jamais le pasteur ne ferait du prosélytisme dans cette région.
Ses proches ont été informés par les autorités canadiennes du fait de l'arrestation de Hyeon Soo Lim en RPDC. Lien Interfax
Une représentante de cette église explique à CBC News Toronto que Hyeon Soo Lim a déjà effectué ce voyage "plus d'une centaine de fois ces neuf dernières années". Elle ajoute que jamais le pasteur ne ferait du prosélytisme dans cette région.
Rédigé par Parlons D'orthodoxie le 10 Mars 2015 à 16:09
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Le patriarche Bartholomée a parlé le 26 février au Musée national de Manille lors d’un forum sur le thème: « Vers la Cop 21: La société civile mobilisée pour le climat ».
Face à la crise écologique, il ne peut y avoir deux façons de considérer le monde, l’une religieuse et l’autre laïque. On ne peut séparer la préoccupation pour la dignité humaine, les droits de l’homme, la justice sociale de celle pour la protection de l’environnement.
Ces préoccupations sont interdépendantes et s’entrecroisent dans un mouvement dans le même temps ascendant et descendant: « La façon dont nous sommes liés à la nature reflète directement celle dont nous sommes liés à Dieu et à notre prochain dans l’humanité, de la même façon que nous sommes liés à la biodiversité de la création ».
Face à la crise écologique, il ne peut y avoir deux façons de considérer le monde, l’une religieuse et l’autre laïque. On ne peut séparer la préoccupation pour la dignité humaine, les droits de l’homme, la justice sociale de celle pour la protection de l’environnement.
Ces préoccupations sont interdépendantes et s’entrecroisent dans un mouvement dans le même temps ascendant et descendant: « La façon dont nous sommes liés à la nature reflète directement celle dont nous sommes liés à Dieu et à notre prochain dans l’humanité, de la même façon que nous sommes liés à la biodiversité de la création ».
Le Conseil rédactionnel de l’Église orthodoxe russe s'est réuni le 6 mars dernier. Il y a été question de la prochaine édition des Oeuvres complètes de l'archiprêtre Alexandre Men, cela avec la bénédiction du patriarche Cyrille. La sortie de cette édition coïncide avec le 80e anniversaire de la naissance du père Alexandre et du 25e anniversaire de sa mort tragique.
Ce seront 15 volumes dont les trois premiers sortiront en 2015. Il faudra quatre ou cinq ans pour mener ce travail à bonne fin. Lien Patriarhia ru
Ce seront 15 volumes dont les trois premiers sortiront en 2015. Il faudra quatre ou cinq ans pour mener ce travail à bonne fin. Lien Patriarhia ru
Cinq des plus hauts dignitaires religieux représentant les trois monothéismes lancent dans Le Monde publié lundi un "appel pressant" à ce que la prochaine loi sur la fin de vie ne puisse pas conduire à "décider de donner la mort".
Cette tribune est cosignée par le cardinal Philippe Barbarin, archevêque de Lyon, le pasteur François Clavairoly, président de la Fédération protestante de France, Mgr Emmanuel, président de l'Assemblée des évêques orthodoxes de France, le grand rabbin de France Haïm Korsia et Mohammed Moussaoui, président d'honneur du Conseil français du culte musulman (CFCM).
Cette tribune est cosignée par le cardinal Philippe Barbarin, archevêque de Lyon, le pasteur François Clavairoly, président de la Fédération protestante de France, Mgr Emmanuel, président de l'Assemblée des évêques orthodoxes de France, le grand rabbin de France Haïm Korsia et Mohammed Moussaoui, président d'honneur du Conseil français du culte musulman (CFCM).
Le temps passe, l’Histoire et les événements marquants restent. Mais le plus important, ce sont les noms des personnalités qui ont participé à ces événements. Avec le temps, le superflu se perd et ne restent que les faits importants, que nous pouvons évaluer en prenant du recul. C’est ainsi qu’après de longues années souvent, de nouveaux détails de la vie des gens qui ont marqué leur temps surgissent et enrichissent leur portrait historique.
L’année dernière, nous avons fêté la mémoire d’un grand nombre d’ecclésiastiques, dont l’un d’entre eux est le métropolite Antoine de Souroge ( né Andrei Borissovitch Bloom ). Il était connu non seulement dans le milieu religieux, mais aussi dans l’émigration russe.
Auteur de nombreux ouvrages et articles sur l’orthodoxie, la prière, et la rencontre avec Dieu, ses écrits ont été traduits en plusieurs langues. Né le 19 Juin 1914 à Lausanne ( Suisse ) , le métropolite Antoine était fils de diplomate. À cause de la révolution russe, et après plusieurs années d’errance en Europe, sa famille s’établit en France. C’est donc dans ce pays que commença le chemin spirituel de l’un des évêques, missionnaires et ascétiques les plus éminents de l’Église Orthodoxe Russe.
L’année dernière, nous avons fêté la mémoire d’un grand nombre d’ecclésiastiques, dont l’un d’entre eux est le métropolite Antoine de Souroge ( né Andrei Borissovitch Bloom ). Il était connu non seulement dans le milieu religieux, mais aussi dans l’émigration russe.
Auteur de nombreux ouvrages et articles sur l’orthodoxie, la prière, et la rencontre avec Dieu, ses écrits ont été traduits en plusieurs langues. Né le 19 Juin 1914 à Lausanne ( Suisse ) , le métropolite Antoine était fils de diplomate. À cause de la révolution russe, et après plusieurs années d’errance en Europe, sa famille s’établit en France. C’est donc dans ce pays que commença le chemin spirituel de l’un des évêques, missionnaires et ascétiques les plus éminents de l’Église Orthodoxe Russe.
La communauté orthodoxe est la plus bigarrée du Luxembourg: elle est hellénique, Serbe, Roumaine ou encore russophone. Des traditions qui s'ancrent pourtant toutes dans une valeur commune : la transmission de la foi à travers sa pratique et la place de choix donnée au prêtre et à son épouse.
"J'avais 22 ans lorsque je me suis mariée et convertie à la religion orthodoxe et, si Dieu le veut, le 4 septembre prochain, mon mari et moi fêterons nos 60 ans de mariage", confie Emilie Poukh dans un sourire plein d'espoir.
L'épouse du père Serge, le prêtre qui a officié durant de longues années au sein de la paroisse orthodoxe russophone du pays, nous reçoit dans leur appartement de Belair.
Un lieu où la Russie côtoie le Luxembourg, où les icônes recouvrent les murs du salon à l'image d'une église orthodoxe et où les visites se succèdent et la sonnette de la porte d'entrée ne cesse de retentir.
"J'avais 22 ans lorsque je me suis mariée et convertie à la religion orthodoxe et, si Dieu le veut, le 4 septembre prochain, mon mari et moi fêterons nos 60 ans de mariage", confie Emilie Poukh dans un sourire plein d'espoir.
L'épouse du père Serge, le prêtre qui a officié durant de longues années au sein de la paroisse orthodoxe russophone du pays, nous reçoit dans leur appartement de Belair.
Un lieu où la Russie côtoie le Luxembourg, où les icônes recouvrent les murs du salon à l'image d'une église orthodoxe et où les visites se succèdent et la sonnette de la porte d'entrée ne cesse de retentir.
(Extrait)
L'idée de repentance
Pour comprendre les diverses particularités liturgiques de la période du Grand Carême, nous devons nous souvenir qu'elles expriment et véhiculent pour nous la signification spirituelle du Carême et sont reliées à l'idée centrale du Carême, à sa fonction dans la vie liturgique de l'Église.
C'est l'idée de repentance. Cependant, dans l'enseignement de l'Église Orthodoxe, la repentance signifie bien plus qu'une simple énumération de péchés et transgressions auprès d'un prêtre. La confession et l'absolution ne sont que le résultat, le fruit, "l'apogée" de la véritable repentance. Et, avant que ce résultat ne puisse être atteint, devienne vraiment valide et significatif, on doit accomplir un effort spirituel, passer par une longue période de préparation et purification.
L'idée de repentance
Pour comprendre les diverses particularités liturgiques de la période du Grand Carême, nous devons nous souvenir qu'elles expriment et véhiculent pour nous la signification spirituelle du Carême et sont reliées à l'idée centrale du Carême, à sa fonction dans la vie liturgique de l'Église.
C'est l'idée de repentance. Cependant, dans l'enseignement de l'Église Orthodoxe, la repentance signifie bien plus qu'une simple énumération de péchés et transgressions auprès d'un prêtre. La confession et l'absolution ne sont que le résultat, le fruit, "l'apogée" de la véritable repentance. Et, avant que ce résultat ne puisse être atteint, devienne vraiment valide et significatif, on doit accomplir un effort spirituel, passer par une longue période de préparation et purification.
V.G.
L'Université Neumann célébrera en partenariat avec l'église Saint Germain d'Alaska (OCA) les 50 ans de dialogue constructif entre l'Eglise catholique et l'Orthodoxie par une exposition intitulée "East Meets West: An Ecclesial Embrace" ("l'Orient rencontre l'Occident: une étreinte ecclésiale"). Cette exposition commémore le 50e anniversaire de la rencontre historique entre le Pape Paul VI et le Patriarche Athénagoras I à Jérusalem.
L'exposition, qui se déroule du 23 février au 23 Avril à la bibliothèque universitaire, montre d'exquises icônes, des vêtements, objets d'art et vases liturgiques de l'Eglise orthodoxe ainsi que de rares témoignages de cette rencontre entre Paul VI et Athénagoras I. L'entrée est libre.
Il ya cinquante ans, la rencontre a attiré l'attention des chrétiens partout dans le monde parce qu'elle a marqué un changement dans la relation entre l'Église orthodoxe et l'Église catholique, initié le dialogue qui avait été interrompu pendant des siècles. Le 6 janvier 1964, cette entrevue fut la première rencontre officielle d'un pape et d'un patriarche depuis 1438.
L'Université Neumann célébrera en partenariat avec l'église Saint Germain d'Alaska (OCA) les 50 ans de dialogue constructif entre l'Eglise catholique et l'Orthodoxie par une exposition intitulée "East Meets West: An Ecclesial Embrace" ("l'Orient rencontre l'Occident: une étreinte ecclésiale"). Cette exposition commémore le 50e anniversaire de la rencontre historique entre le Pape Paul VI et le Patriarche Athénagoras I à Jérusalem.
L'exposition, qui se déroule du 23 février au 23 Avril à la bibliothèque universitaire, montre d'exquises icônes, des vêtements, objets d'art et vases liturgiques de l'Eglise orthodoxe ainsi que de rares témoignages de cette rencontre entre Paul VI et Athénagoras I. L'entrée est libre.
Il ya cinquante ans, la rencontre a attiré l'attention des chrétiens partout dans le monde parce qu'elle a marqué un changement dans la relation entre l'Église orthodoxe et l'Église catholique, initié le dialogue qui avait été interrompu pendant des siècles. Le 6 janvier 1964, cette entrevue fut la première rencontre officielle d'un pape et d'un patriarche depuis 1438.
" En fondant l'Église durant la Cène le Christ a prié pour que les apôtres en gardent l'unité à l'exemple de l'unité qui existe entre le Père et le Fils: "Que tous soient un, comme toi, Père, tu es en moi, et moi en toi. Qu’ils soient un en nous, eux aussi, pour que le monde croie que tu m’as envoyé." (Jn. 17: 21). L''Église n'est pas simplement une association humaine: l'apôtre Paul la compare à un corps: "de même, nous qui sommes plusieurs, nous sommes un seul corps dans le Christ, et membres les uns des autres, chacun pour sa part," (Rom 12:25); l'unité des Chrétiens est ainsi d'une nature supranaturelle et demande donc des efforts exceptionnels pour être préservée." Métropolite Hilarion de Volokolamsk, février 2015.
Le métropolite Hilarion de Volokolamsk, président du Département des relations ecclésiastiques extérieures du Patriarcat de Moscou (DREE) a donné deux conférences le 5 et 6 février aux universités de Winchester et Cambridge sur le thème "la coopération interchrétienne a-t-elle un avenir?".
Le métropolite Hilarion de Volokolamsk, président du Département des relations ecclésiastiques extérieures du Patriarcat de Moscou (DREE) a donné deux conférences le 5 et 6 février aux universités de Winchester et Cambridge sur le thème "la coopération interchrétienne a-t-elle un avenir?".
Avec la bénédiction de monseigneur Nestor des clercs et des laïcs appartenant au diocèse de Chersonèse ont participé à la liturgie du Triomphe de l'orthodoxie à la cathédrale grecque Saint Étienne à Paris. Le diacre Antoine Ivachine a concélébré la divine liturgie. Trois étudiants du séminaire orthodoxe russe se sont joints à la chorale.
MICHEL ALEXANDROVITCH NOVOSSIELOV (1864-1938) Michel Novossielov était professeur de philologie classique à l’Université de Moscou.
Dans sa jeunesse, il s’était senti attiré par Léon Tolstoï qu’il admirait mais, plus tard, il rompit radicalement avec l’écrivain et s’employa dorénavant à réfuter son enseignement. Il dévoila le vrai visage de cet homme qui, non seulement avait abandonné le christianisme pour prêcher une religion socialo-humanitaire mais qui, par ses écrits et ses paroles diffamait l’Église pour mieux la démolir, ce pourquoi du reste il fut excommunié.
Après sa rupture avec L.Tolstoï, Michel Novossiélov se lia d’amitié avec l’archiprêtre Jean de Cronstadt considéré comme un véritable saint et dont il devint un disciple bien-aimé. Le professeur Novossiélov était très connu comme rédacteur et éditeur de « La bibliothèque religieuse et morale» qui fit paraître environ une centaine de petits livrets roses de lecture facile, et très lus dans toute la Russie.
Novosselov a été un adversaire farouche de Grigori Raspoutine auteur de nombreux textes dirigés contre le "starets".. Après la révolution, le professeur, qui n’avait pas quitté sa patrie, dut vivre en se cachant chez l’un ou chez l’autre de ses très nombreux amis, surtout à Moscou et à Petrograd. Après la fameuse déclaration du métropolite Serge, en 1927, il prit une part active a la protestation que lui adressèrent alors beaucoup d’évêques et de prêtres opposés à toute aliénation de la liberté de l’Église.
Dans sa jeunesse, il s’était senti attiré par Léon Tolstoï qu’il admirait mais, plus tard, il rompit radicalement avec l’écrivain et s’employa dorénavant à réfuter son enseignement. Il dévoila le vrai visage de cet homme qui, non seulement avait abandonné le christianisme pour prêcher une religion socialo-humanitaire mais qui, par ses écrits et ses paroles diffamait l’Église pour mieux la démolir, ce pourquoi du reste il fut excommunié.
Après sa rupture avec L.Tolstoï, Michel Novossiélov se lia d’amitié avec l’archiprêtre Jean de Cronstadt considéré comme un véritable saint et dont il devint un disciple bien-aimé. Le professeur Novossiélov était très connu comme rédacteur et éditeur de « La bibliothèque religieuse et morale» qui fit paraître environ une centaine de petits livrets roses de lecture facile, et très lus dans toute la Russie.
Novosselov a été un adversaire farouche de Grigori Raspoutine auteur de nombreux textes dirigés contre le "starets".. Après la révolution, le professeur, qui n’avait pas quitté sa patrie, dut vivre en se cachant chez l’un ou chez l’autre de ses très nombreux amis, surtout à Moscou et à Petrograd. Après la fameuse déclaration du métropolite Serge, en 1927, il prit une part active a la protestation que lui adressèrent alors beaucoup d’évêques et de prêtres opposés à toute aliénation de la liberté de l’Église.
La communauté orthodoxe russe installée dans la ville belge d’Anvers depuis les années 1920 a obtenu sa première église : dimanche dernier, la paroisse catholique a remis les clefs de l’église de la Nativité à la paroisse anversoise de l’Église orthodoxe de Russie.
Deux paroisses orthodoxes russes existaient à Anvers dans les années 1920 - 1960. Fin 1999, une paroisse de l’Église orthodoxe de Russie s’est installée dans la ville quand l'archevêque Mgr Simon de Bruxelles et de Belgique a commencé à servir la messe dans le local loué pour la durée de l’exposition consacrée à la Nativité.
Deux paroisses orthodoxes russes existaient à Anvers dans les années 1920 - 1960. Fin 1999, une paroisse de l’Église orthodoxe de Russie s’est installée dans la ville quand l'archevêque Mgr Simon de Bruxelles et de Belgique a commencé à servir la messe dans le local loué pour la durée de l’exposition consacrée à la Nativité.
Homélie prononcée en la Cathédrale orthodoxe grecque des Saints-Archanges, à Bruxelles (Belgique), le 1er mars 2015
Au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit!
Eminence, Excellences, Révérends Pères, chers frères et sœurs en Christ !
Le premier dimanche du grand Carême, l’Église orthodoxe commémore le rétablissement, en l’an 843, de la vénération des saintes icônes. Après un siècle de troubles, l’hérésie de l’iconoclasme était vaincue et la légitimité du culte des icônes définitivement établie, conformément au prescrit du VIIe Concile œcuménique. Tenu en 787, ce Concile (également appelé IIe Concile de Nicée, du nom de la ville où il s’est réuni) affirme en effet : « Plus on voit, grâce à leur représentation par l’image, notre Seigneur Dieu et Sauveur Jésus-Christ, notre Dame immaculée la sainte Mère de Dieu, les anges dignes de notre respect, tous les saints et les justes […], plus on est amené à se rappeler et à aimer les modèles originaux et à leur donner salutations et respectueuse vénération ; non pas l’adoration véritable propre à notre foi, qui convient à la nature divine seule, mais comme on le fait pour la représentation de la glorieuse et vivifiante croix, pour les saints Évangiles et tous les autres objets sacrés […], car l’honneur rendu à l’image s’en va au modèle original, et celui qui vénère l’image vénère en elle la personne qu’elle représente » . (1)
Au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit!
Eminence, Excellences, Révérends Pères, chers frères et sœurs en Christ !
Le premier dimanche du grand Carême, l’Église orthodoxe commémore le rétablissement, en l’an 843, de la vénération des saintes icônes. Après un siècle de troubles, l’hérésie de l’iconoclasme était vaincue et la légitimité du culte des icônes définitivement établie, conformément au prescrit du VIIe Concile œcuménique. Tenu en 787, ce Concile (également appelé IIe Concile de Nicée, du nom de la ville où il s’est réuni) affirme en effet : « Plus on voit, grâce à leur représentation par l’image, notre Seigneur Dieu et Sauveur Jésus-Christ, notre Dame immaculée la sainte Mère de Dieu, les anges dignes de notre respect, tous les saints et les justes […], plus on est amené à se rappeler et à aimer les modèles originaux et à leur donner salutations et respectueuse vénération ; non pas l’adoration véritable propre à notre foi, qui convient à la nature divine seule, mais comme on le fait pour la représentation de la glorieuse et vivifiante croix, pour les saints Évangiles et tous les autres objets sacrés […], car l’honneur rendu à l’image s’en va au modèle original, et celui qui vénère l’image vénère en elle la personne qu’elle représente » . (1)
L'Institut de théologie orthodoxe Saint-Serge organise une exposition de l’atelier de peinture d’icônes de l’Institut dirigé par Elisabeth Ozoline, du lundi 23 au samedi 28 février 2015 de 14h à 18h. Le vernissage aura lieu dimanche le 22 février à 15h.
Un colloque international « L’image chrétienne » aura lieu dimanche le 1er mars 2015 à 14h dans les locaux de l’Institut Saint-Serge. Pour consulter le programme de ces événements cliquez sur ce lien. COLLOQUE INTERNATIONAL « L’IMAGE CHRÉTIENNE» dimanche 1er mars 2015 à 14 h
Un colloque international « L’image chrétienne » aura lieu dimanche le 1er mars 2015 à 14h dans les locaux de l’Institut Saint-Serge. Pour consulter le programme de ces événements cliquez sur ce lien. COLLOQUE INTERNATIONAL « L’IMAGE CHRÉTIENNE» dimanche 1er mars 2015 à 14 h
Le lundi 23 février, première semaine du Grand carême, Monseigneur Nestor, évêque de Chersonèse, a officié à l'église-cathédrale des Trois Saints Docteurs les grandes complies comprenant la lecture du grand Canon de saint André de Crête. L'archiprêtre Nicolas Rehbinder, recteur de la paroisse, ainsi plusieurs clercs ont concélébré...Lien et Photos
V.G.
Encourager et promouvoir la réconciliation entre les Orthodoxes et les Catholiques.
Cette chaire est créée grâce à une dotation de Solon et Marianna Patterson d'Atlanta, GA, et leur famille qui ont doté la chaire et précisé que son titulaire devait être un érudit reconnu pour ses études de l'Orthodoxie et aussi un spécialiste des relations entre les traditions orthodoxes et les catholiques.
A cours de l'inauguration les Patterson ont déclaré, «Pour nous, la dotation de cette chaire fait partie intégrante de notre engagement à vie à encourager et promouvoir la réconciliation entre les Orthodoxes et les Catholiques, et nous sommes honorés qu'elle prenne le nom d'un prêtre et érudit qui était comme nous attaché au dialogue entre ces deux grandes organisations chrétiennes ".
Encourager et promouvoir la réconciliation entre les Orthodoxes et les Catholiques.
Cette chaire est créée grâce à une dotation de Solon et Marianna Patterson d'Atlanta, GA, et leur famille qui ont doté la chaire et précisé que son titulaire devait être un érudit reconnu pour ses études de l'Orthodoxie et aussi un spécialiste des relations entre les traditions orthodoxes et les catholiques.
A cours de l'inauguration les Patterson ont déclaré, «Pour nous, la dotation de cette chaire fait partie intégrante de notre engagement à vie à encourager et promouvoir la réconciliation entre les Orthodoxes et les Catholiques, et nous sommes honorés qu'elle prenne le nom d'un prêtre et érudit qui était comme nous attaché au dialogue entre ces deux grandes organisations chrétiennes ".
L’icône représente les 21 coptes tués par les djihadistes de l’Etat islamique en Libye.
Tony Rezk. Tel est le nom du jeune artiste qui a peint la première icône des 21 jeunes coptes égyptiens décapités par les djihadistes de Daesh (ou EI pour État islamique) en Libye, dimanche 15 février. Cette icône, fidèle au style des icônes coptes, montre les victimes comme des martyrs, portant l’étole rouge du martyre (portée ici également par les anges et par le Christ), et sous des couronnes portées par les anges....Suite La Croix
Remarquez les détails : la plage sur laquelle ils ont été martyrisés avec la mer derrière. Tous les visages ressemblent à Jésus, dont ils ont prononcé le nom jusqu'à leur dernier souffle. L'unique Soudanais n'est pas oublié au centre. Les tuniques oranges rappellent la combinaison orange que les terroristes islamistes mettent à leurs victimes avant de les décapiter. Ils ont par-dessus l'étole rouge du martyre, proche de l'étole des diacres coptes, portée ici également par les anges et par le Christ. Remarquez la pluie de couronnes que les anges leur remettent.
Tony Rezk. Tel est le nom du jeune artiste qui a peint la première icône des 21 jeunes coptes égyptiens décapités par les djihadistes de Daesh (ou EI pour État islamique) en Libye, dimanche 15 février. Cette icône, fidèle au style des icônes coptes, montre les victimes comme des martyrs, portant l’étole rouge du martyre (portée ici également par les anges et par le Christ), et sous des couronnes portées par les anges....Suite La Croix
Remarquez les détails : la plage sur laquelle ils ont été martyrisés avec la mer derrière. Tous les visages ressemblent à Jésus, dont ils ont prononcé le nom jusqu'à leur dernier souffle. L'unique Soudanais n'est pas oublié au centre. Les tuniques oranges rappellent la combinaison orange que les terroristes islamistes mettent à leurs victimes avant de les décapiter. Ils ont par-dessus l'étole rouge du martyre, proche de l'étole des diacres coptes, portée ici également par les anges et par le Christ. Remarquez la pluie de couronnes que les anges leur remettent.
C'est l'histoire improbable d'une église vielles de plusieurs siècles située au cœur de l'une des plus grandes villes du monde.
Fondée au début du XVIIIe siècle par un archevêque grec d'Alexandrie, en Égypte, l'église a été aidée par l'Empire russe naissant du tsar Pierre le Grand; puis des Anglais l'ont rejointe, trouvant en elle la foi apostolique.
Elle est devenue un important centre de l'Église orthodoxe en Europe occidentale et en Amérique jusqu'à la révolution bolchevique puis s'est avérée être un havre pour les nombreux réfugiés fuyant cette calamité.
Elle est ensuite devenue un foyer spirituel pour ceux qui échappèrent aux bouleversements qui suivirent la Seconde Guerre mondiale ou qui ont cherché des opportunités économiques dans l'Ouest après la chute du communisme en Russie. Pendant toute cette période, la paroisse fut au centre des relations entre anglicanes et orthodoxes et une base des efforts missionnaires orthodoxes du Japon aux Amériques.
Fondée au début du XVIIIe siècle par un archevêque grec d'Alexandrie, en Égypte, l'église a été aidée par l'Empire russe naissant du tsar Pierre le Grand; puis des Anglais l'ont rejointe, trouvant en elle la foi apostolique.
Elle est devenue un important centre de l'Église orthodoxe en Europe occidentale et en Amérique jusqu'à la révolution bolchevique puis s'est avérée être un havre pour les nombreux réfugiés fuyant cette calamité.
Elle est ensuite devenue un foyer spirituel pour ceux qui échappèrent aux bouleversements qui suivirent la Seconde Guerre mondiale ou qui ont cherché des opportunités économiques dans l'Ouest après la chute du communisme en Russie. Pendant toute cette période, la paroisse fut au centre des relations entre anglicanes et orthodoxes et une base des efforts missionnaires orthodoxes du Japon aux Amériques.
Mémoire éternelle !
L’Archiprêtre Pierre Tchesnakoff est décédé le lundi 23 février 2015. Etant l’un des plus anciens prêtres de notre archevêché, il a desservi pendant très longtemps les paroisses de l’Ouest de la France.
Ses obsèques seront célébrées le 3 mars, à 8h15, dans l’église de Plumaudan et l’inhumation aura lieu au cimetière de Ste-Geneviève-des-Bois le même jour à 15h15.
Le Hiéromoine Nicolas (Molinier) est décédé le dimanche 22 février 2015 suite à une longue maladie. Suite P.O. ne sait pas quand auront lieu les obsèques du père Nicolas (Molinier).
L’Archiprêtre Pierre Tchesnakoff est décédé le lundi 23 février 2015. Etant l’un des plus anciens prêtres de notre archevêché, il a desservi pendant très longtemps les paroisses de l’Ouest de la France.
Ses obsèques seront célébrées le 3 mars, à 8h15, dans l’église de Plumaudan et l’inhumation aura lieu au cimetière de Ste-Geneviève-des-Bois le même jour à 15h15.
Le Hiéromoine Nicolas (Molinier) est décédé le dimanche 22 février 2015 suite à une longue maladie. Suite P.O. ne sait pas quand auront lieu les obsèques du père Nicolas (Molinier).
À la question:
L'unité de l'Église orthodoxe est-elle, pour vous, suffisamment visible et clairement affirmée aujourd'hui?
nos lecteurs ont répondu:
Oui, sans aucun doute. 7.18%
Non, l'Église orthodoxe a du mal à manifester son unité. 37.44%
Non, l'unité est cachée par un autocéphalisme exacerbé. 42.56%
Pas du tout. 12.82%
195 Votant(s)
L'unité de l'Église orthodoxe est-elle, pour vous, suffisamment visible et clairement affirmée aujourd'hui?
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