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L’église Saint Jean de Cronstadt Hambourg, ( PM) a reçu en don une collection d’icônes d’un ancien soldat allemand ayant participé aux combats de la Deuxième guerre.
L’archiprêtre Serge Babourine, recteur de la paroisse, a précisé : « Il s’agît d’une personne très secrète. Le donateur a très peu parlé de soi. Ce que nous savons de son passé est très intéressant. Il a été fait prisonnier par les russes. Il a consacré les 35 ans qui ont suivi sa libération à réunir cette collection. Il acquérait ces œuvres à des ventes aux enchères, cela lui procurait le sentiment de sauver les icônes de leur captivité.
L’archiprêtre Serge Babourine, recteur de la paroisse, a précisé : « Il s’agît d’une personne très secrète. Le donateur a très peu parlé de soi. Ce que nous savons de son passé est très intéressant. Il a été fait prisonnier par les russes. Il a consacré les 35 ans qui ont suivi sa libération à réunir cette collection. Il acquérait ces œuvres à des ventes aux enchères, cela lui procurait le sentiment de sauver les icônes de leur captivité.
Rédigé par Parlons D'orthodoxie le 10 Mars 2017 à 05:00
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Vladimir Golovanow
"Le jeûne est un commandement divin (Gn 2, 16-17). Selon saint Basile, le jeûne a le même âge que l’humanité ; car il a été instauré dans le paradis (De jejunio, 1, 3. PG 31, 168 A). Il constitue un grand combat spirituel et la meilleure expression de l’idéal ascétique de l’Orthodoxie. L’Église orthodoxe, se conformant fidèlement aux dispositions apostoliques, aux canons conciliaires et à l’ensemble de la tradition patristique, a toujours proclamé la grande valeur du jeûne pour la vie spirituelle de l’homme et son salut. Tout au long de l’année liturgique, l’Église exalte la tradition et l’enseignement patristiques concernant le jeûne, nécessaire pour rendre l’homme vigilant, sans cesse et sans faille, et pour susciter chez lui l’ardeur au combat spirituel.
Le jeûne est exalté dans le Triodion comme don divin, grâce pleine de lumière, arme invincible, fondement des combats spirituels, meilleure voie vers le bien, nourriture de l’âme, aide accordée par Dieu, source de toute méditation, imitation d’une vie impérissable et semblable à celle des anges, « mère » de tous les biens et de toutes les vertus, image de la vie à venir."
"Le jeûne est un commandement divin (Gn 2, 16-17). Selon saint Basile, le jeûne a le même âge que l’humanité ; car il a été instauré dans le paradis (De jejunio, 1, 3. PG 31, 168 A). Il constitue un grand combat spirituel et la meilleure expression de l’idéal ascétique de l’Orthodoxie. L’Église orthodoxe, se conformant fidèlement aux dispositions apostoliques, aux canons conciliaires et à l’ensemble de la tradition patristique, a toujours proclamé la grande valeur du jeûne pour la vie spirituelle de l’homme et son salut. Tout au long de l’année liturgique, l’Église exalte la tradition et l’enseignement patristiques concernant le jeûne, nécessaire pour rendre l’homme vigilant, sans cesse et sans faille, et pour susciter chez lui l’ardeur au combat spirituel.
Le jeûne est exalté dans le Triodion comme don divin, grâce pleine de lumière, arme invincible, fondement des combats spirituels, meilleure voie vers le bien, nourriture de l’âme, aide accordée par Dieu, source de toute méditation, imitation d’une vie impérissable et semblable à celle des anges, « mère » de tous les biens et de toutes les vertus, image de la vie à venir."
L’Union des Descendants de Combattants russes et le Mouvement en la Mémoire des Russes Blancs vous invitent à cette rencontre dans le cadre des « Russes hors frontière ».
Cette foi-ci, notre hôte sera Monsieur Andreï Adreevitch Moussine-Pouchkine ; sa conférence portera sur le « Grand Exode à travers le souvenirs de mes proches »
Le 11 novembre 1920, le grand-père d’Andreï Moussine-Pouchkine quitta, sans savoir ou il ira, avec sa famille, la ville de Sébastopol. Son grand-père fut le Colonel Boris Nikolaevtich Gonorskiy, défenseur de Perekop, allié et ami du Général A.P. Koutepov
Grâce aux témoignages oraux de la mère de M. Andreï Moussine-Pouchkine, nous avons cette unique et si précieuse parole vivante retraçant les épreuves de la Crimée, jadis, l’exode, et le regard de cette fille qui à l’époque n’avait que 9 ans. Ces souvenirs vivaient en elle comme des peintures vivantes jusqu’à son trépas
Cette foi-ci, notre hôte sera Monsieur Andreï Adreevitch Moussine-Pouchkine ; sa conférence portera sur le « Grand Exode à travers le souvenirs de mes proches »
Le 11 novembre 1920, le grand-père d’Andreï Moussine-Pouchkine quitta, sans savoir ou il ira, avec sa famille, la ville de Sébastopol. Son grand-père fut le Colonel Boris Nikolaevtich Gonorskiy, défenseur de Perekop, allié et ami du Général A.P. Koutepov
Grâce aux témoignages oraux de la mère de M. Andreï Moussine-Pouchkine, nous avons cette unique et si précieuse parole vivante retraçant les épreuves de la Crimée, jadis, l’exode, et le regard de cette fille qui à l’époque n’avait que 9 ans. Ces souvenirs vivaient en elle comme des peintures vivantes jusqu’à son trépas
L’hégoumène Innocent (Olkhovoï), économe du monastère Saint-Daniel à Moscou, participe à une campagne de plongées au réservoir de Rybinsk dans la région de Iaroslav.
« Notre objectif est d’essayer de retrouver les lieux saints de Mologa Ont vécu là de nombreux saints, propagateurs de la foi, il y avait six monastères, c’est pourquoi cette recherche est très intéressante pour un prêtre. » — a déclaré l’hégoumène, cité ce mardi par la chaîne de télévision Canal 1.
« Notre objectif est d’essayer de retrouver les lieux saints de Mologa Ont vécu là de nombreux saints, propagateurs de la foi, il y avait six monastères, c’est pourquoi cette recherche est très intéressante pour un prêtre. » — a déclaré l’hégoumène, cité ce mardi par la chaîne de télévision Canal 1.
Trouvez-vous que la nouvelle église orthodoxe auprès du Centre culturel russe, quai Branly, à Paris, enrichit la communauté orthodoxe de France?
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Une Exposition exceptionnelle "PARIS" d'Alexandre SEREBRIAKOFF qui se tiendra au Centre Spirituel et Culturel Orthodoxe Russe, 1 Quai Branly 75007 Paris du 10 février au 9 mars 2017
C’est Anastasie Nikolaeva, héritière de Zinaïda et Alexandre Serebriakoff qui a organisé et préparé l’exposition.
Un catalogue, des calendriers et des cartes postales illustrant des oeuvres du peintre Serebriakoff sont en vente. L’exposition a été conçue à l’initiative du diocèse de Chersonèse dont Anastasie Nikolaieva est une fidèle.
Alexandre Borissovitch Serebriakoff est un artiste peintre, aquarelliste et décorateur russe, né en 1907 près de Kharkov, mort à Paris en 1994. Exilé en France après la Révolution russe, il a pratiqué la rare spécialité du portrait d'intérieur, laissant un témoignage minutieux des décors et fêtes de la haute société française. Sa mère, Zinaïda Serebriakova, est un peintre important.
C’est Anastasie Nikolaeva, héritière de Zinaïda et Alexandre Serebriakoff qui a organisé et préparé l’exposition.
Un catalogue, des calendriers et des cartes postales illustrant des oeuvres du peintre Serebriakoff sont en vente. L’exposition a été conçue à l’initiative du diocèse de Chersonèse dont Anastasie Nikolaieva est une fidèle.
Alexandre Borissovitch Serebriakoff est un artiste peintre, aquarelliste et décorateur russe, né en 1907 près de Kharkov, mort à Paris en 1994. Exilé en France après la Révolution russe, il a pratiqué la rare spécialité du portrait d'intérieur, laissant un témoignage minutieux des décors et fêtes de la haute société française. Sa mère, Zinaïda Serebriakova, est un peintre important.
Archevêque Job de Telmessos
Le premier dimanche du Grand Carême, le Triode commémore le « Triomphe de l’Orthodoxie », c’est-à-dire la victoire finale sur l’iconoclasme qui rejetait tant les icônes que leur vénération. Cette victoire sous l’impératrice byzantine Théodora en 843 marqua la fin d’une deuxième vague de persécutions qu’avaient initié les empereurs byzantins suite à sa condamnation au septième concile œcuménique réuni à Nicée en 787.
La commémoration du triomphe de l’Orthodoxie fut ainsi introduite dans le Triode au premier dimanche du Carême en mars 843 pour commémorer la victoire finale sur l’iconoclasme. L’hymnographe s’exclame : « Maintenant l’Église se réjouit en Toi qui aimes l’homme, son Epoux et son Créateur qui as voulu en Dieu la délivrer de l’erreur des idoles et l’unir à Toi par ton sang précieux. Lumineuse d’accueillir le saint rétablissement des icônes, elle Te célèbre avec joie et Te glorifie dans la foi » (matines, laudes).
Le premier dimanche du Grand Carême, le Triode commémore le « Triomphe de l’Orthodoxie », c’est-à-dire la victoire finale sur l’iconoclasme qui rejetait tant les icônes que leur vénération. Cette victoire sous l’impératrice byzantine Théodora en 843 marqua la fin d’une deuxième vague de persécutions qu’avaient initié les empereurs byzantins suite à sa condamnation au septième concile œcuménique réuni à Nicée en 787.
La commémoration du triomphe de l’Orthodoxie fut ainsi introduite dans le Triode au premier dimanche du Carême en mars 843 pour commémorer la victoire finale sur l’iconoclasme. L’hymnographe s’exclame : « Maintenant l’Église se réjouit en Toi qui aimes l’homme, son Epoux et son Créateur qui as voulu en Dieu la délivrer de l’erreur des idoles et l’unir à Toi par ton sang précieux. Lumineuse d’accueillir le saint rétablissement des icônes, elle Te célèbre avec joie et Te glorifie dans la foi » (matines, laudes).
Matouchka Sophie Rehbinder, (née Lopoukhine, 1950-2017), est décédée le 27 février à la suite d’une grave maladie.
Personnalité lumineuse, exceptionnelle de bonté... Dieu aie son âme! Condoléances les plus profondes au père Nicolas et à tous les siens! Она излучала радость и доброту, для всех кто ее знал и любил это огромная потеря... / photo Nadia Lebedeff /
Jeune, elle participe à la vie de l’Association Chrétienne des étudiants russes (ACER).
Sophie Lopoukhine chante à la chorale de l’église Saints Constantin et Hélène à Clamart. En 1970 Nicolas Rehbinder devient le chef de cette chorale. Sophie et Nicolas se marient en 1975 à l’église de l’Institut de théologie Saint Serge. En 1982 ils deviennent paroissiens de l’église de la Présentation de la Vierge au Temple. En 1994 le père Nicolas Rehbinder en est nommé recteur par l’Archevêque des églises orthodoxes russes en Europe occidentale.
Personnalité lumineuse, exceptionnelle de bonté... Dieu aie son âme! Condoléances les plus profondes au père Nicolas et à tous les siens! Она излучала радость и доброту, для всех кто ее знал и любил это огромная потеря... / photo Nadia Lebedeff /
Jeune, elle participe à la vie de l’Association Chrétienne des étudiants russes (ACER).
Sophie Lopoukhine chante à la chorale de l’église Saints Constantin et Hélène à Clamart. En 1970 Nicolas Rehbinder devient le chef de cette chorale. Sophie et Nicolas se marient en 1975 à l’église de l’Institut de théologie Saint Serge. En 1982 ils deviennent paroissiens de l’église de la Présentation de la Vierge au Temple. En 1994 le père Nicolas Rehbinder en est nommé recteur par l’Archevêque des églises orthodoxes russes en Europe occidentale.
Dans son homélie prononcée le 19 février dans la cathédrale du Christ Sauveur à Moscou le patriarche Cyrille a dit de la révolution de 1917 "qu’elle a été un terrible crime. L’autocratie est tombée en février-mars 1917. Le pouvoir est passé aux mains d’un gouvernement provisoire.
Le 25 octobre ce gouvernement est déchu, chassé par un putsch bolchevik. Les révolutionnaires mentaient au peuple, provoquaient les conflits. Leurs buts étaient tout autres que ceux qu’ils proclamaient. Ils mettaient en œuvre un programme que les gens ne pouvaient s’imaginer.
Presque tous ceux, peut s’en faut, parmi ceux qui ont fait la révolution ont été « liquidés » lors des campagnes de terreur qui se succédèrent. Les révolutionnaires, dans leur écrasante majorité, avaient fait couler le sang innocent, avaient eu recours à la torture.
Le 25 octobre ce gouvernement est déchu, chassé par un putsch bolchevik. Les révolutionnaires mentaient au peuple, provoquaient les conflits. Leurs buts étaient tout autres que ceux qu’ils proclamaient. Ils mettaient en œuvre un programme que les gens ne pouvaient s’imaginer.
Presque tous ceux, peut s’en faut, parmi ceux qui ont fait la révolution ont été « liquidés » lors des campagnes de terreur qui se succédèrent. Les révolutionnaires, dans leur écrasante majorité, avaient fait couler le sang innocent, avaient eu recours à la torture.
Le Patriarche Cyrille a souligné l’importance de la restitution des monuments religieux à l’Eglise.
« Une partie très importante des églises appartenant à l’Eglise orthodoxe russe a été confisquée par l’Etat qui en décida du destin selon sa volonté » a remarqué sa Sainteté durant l’assemblée du Haut Conseil de l’Eglise.
Selon ses propos, beaucoup d’églises furent transformées « en musée (chose rare) en lieux de pure utilité technique: des ateliers, des étables, des entrepôts, des greniers, et en d’autres choses aussi »
« Un fait historique indubitable est que les croyants ont constitué l’héritage culturel de notre pays, à travers une énorme quantité d’oeuvres artistiques, d’églises, de monastères. Restituer aux croyants le droit de jouir pleinement de leur héritage ne peut en aucun cas être une menace mais au contraire cela redonnera un souffle authentique à ces monuments; ce sera la possibilité d’une culture populaire importante » a souligné le patriarche
« Une partie très importante des églises appartenant à l’Eglise orthodoxe russe a été confisquée par l’Etat qui en décida du destin selon sa volonté » a remarqué sa Sainteté durant l’assemblée du Haut Conseil de l’Eglise.
Selon ses propos, beaucoup d’églises furent transformées « en musée (chose rare) en lieux de pure utilité technique: des ateliers, des étables, des entrepôts, des greniers, et en d’autres choses aussi »
« Un fait historique indubitable est que les croyants ont constitué l’héritage culturel de notre pays, à travers une énorme quantité d’oeuvres artistiques, d’églises, de monastères. Restituer aux croyants le droit de jouir pleinement de leur héritage ne peut en aucun cas être une menace mais au contraire cela redonnera un souffle authentique à ces monuments; ce sera la possibilité d’une culture populaire importante » a souligné le patriarche
Lors de son allocution, à l’Assemblée des relations inter-religieuses en Russie, Sa Sainteté le Patriarche Сyrille a porté une attention particulière sur la société russe dans la mesure où celle-ci tente actuellement de comprendre les secousses révolutionnaires qui se sont déroulées il y a cent ans :
- Beaucoup de gens se posent aujourd’hui la question de savoir pourquoi l’aspiration vers une société juste chez les révolutionnaires, il y a cent ans, s’est transformée en cruauté, en luttes intestines et a engendré un nombre incalculable de victimes. Je pense que la meilleure réponse se trouve dans la pensée de .Dostoïevski « Si Dieu n’existe pas, alors tout est possible ». Et le prophète David nous rappelle que si Dieu ne bâtit pas la maison, les efforts pour la construire sont vains (Ps. 126:1) a remarqué le Patriarche russe.
- Beaucoup de gens se posent aujourd’hui la question de savoir pourquoi l’aspiration vers une société juste chez les révolutionnaires, il y a cent ans, s’est transformée en cruauté, en luttes intestines et a engendré un nombre incalculable de victimes. Je pense que la meilleure réponse se trouve dans la pensée de .Dostoïevski « Si Dieu n’existe pas, alors tout est possible ». Et le prophète David nous rappelle que si Dieu ne bâtit pas la maison, les efforts pour la construire sont vains (Ps. 126:1) a remarqué le Patriarche russe.
Il naquit en 1292. Son père était le gouverneur de la ville sous le premier prince moscovite Daniel Alexandrovitch (1261-1303), le fondateur du monastère Saint-Daniel qu'on est en train de rénover. Lorsqu'on baptisa le futur saint, on lui donna le nom d'Eleuphère, et son parrain fut le futur prince Ivan Danilovitch Kalita (? - l34O). Sa haute prédestination fut révélée à Eleuphère quand il était encore adolescent. En 1320, il entra au monastère de l'Epiphanie de Moscou, où il passa plus de vingt ans en menant une vie d'ascète.
La sagesse et la vie vertueuse d'Alexis incitèrent le Métropolite d'alors de toute la Russie, Théognoste, de le prendre à son service et de lui confier la direction des affaires judiciaires de l'Eglise. Et en 1353, encore de son vivant (un cas extraordinaire!), Théognoste le fit son successeur.
«Ta vie brille de rayons multicolores, père Alexis!», s'exclame l'auteur de l'acathiste. Parmi ces rayons, il y eut et le salut miraculeux du navire qui allait faire naufrage lors d'une tempête pendant le retour de Constantinople, où saint Alexis était allé chercher la charte du Patriarche Philothée, et la fondation du monastère Saint-Andronic à Moscou et l'amitié touchante avec saint Serge de Radonège.
La sagesse et la vie vertueuse d'Alexis incitèrent le Métropolite d'alors de toute la Russie, Théognoste, de le prendre à son service et de lui confier la direction des affaires judiciaires de l'Eglise. Et en 1353, encore de son vivant (un cas extraordinaire!), Théognoste le fit son successeur.
«Ta vie brille de rayons multicolores, père Alexis!», s'exclame l'auteur de l'acathiste. Parmi ces rayons, il y eut et le salut miraculeux du navire qui allait faire naufrage lors d'une tempête pendant le retour de Constantinople, où saint Alexis était allé chercher la charte du Patriarche Philothée, et la fondation du monastère Saint-Andronic à Moscou et l'amitié touchante avec saint Serge de Radonège.
"Illitch" , patronyme de Vladimir Lénine
EL’Église Orthodoxe Russe considère en effet que le nouveau nom de la station est davantage en adéquation avec le quartier que couvre cette dernière et où est situé le musée de l’iconographe d'Andreï Roublev ...
A notre grand regret, nous constatons que la restitution des noms historiques aux villes russes exige des efforts colossaux. Dans beaucoup d’endroits, nous rencontrons encore des rues qui portent le nom de Lénine, Dzerjinski ainsi que d’autres dirigeants qui ont engendré la souffrance et le malheur de simples gens russes.
Malgré la prise de position du Patriarche Cyrille à ce sujet, la municipalité de Moscou a récemment refusé de renommer la station de métro dont le nom « Voïkovskaïa » est en l’honneur d’un des initiateurs de l’assassinat de la famille du Tsar Nicolas II. En dépit de la volonté de la communauté orthodoxe, les autorités municipales ont décidé de conserver le nom de l’assassin de la famille du Tsar.
EL’Église Orthodoxe Russe considère en effet que le nouveau nom de la station est davantage en adéquation avec le quartier que couvre cette dernière et où est situé le musée de l’iconographe d'Andreï Roublev ...
A notre grand regret, nous constatons que la restitution des noms historiques aux villes russes exige des efforts colossaux. Dans beaucoup d’endroits, nous rencontrons encore des rues qui portent le nom de Lénine, Dzerjinski ainsi que d’autres dirigeants qui ont engendré la souffrance et le malheur de simples gens russes.
Malgré la prise de position du Patriarche Cyrille à ce sujet, la municipalité de Moscou a récemment refusé de renommer la station de métro dont le nom « Voïkovskaïa » est en l’honneur d’un des initiateurs de l’assassinat de la famille du Tsar Nicolas II. En dépit de la volonté de la communauté orthodoxe, les autorités municipales ont décidé de conserver le nom de l’assassin de la famille du Tsar.
Colloque organisé par l'Université de Lorraine sous la direction de Mme Marie-Anne Vannier.
Parfois laissée pour compte, l’actualité des Pères de l’Église n’en est pas moins réelle, et revient sur le devant de la scène tant sur le plan historique (avec des analogies entre l’époque des Pères et la nôtre, avec le 500° anniversaire de la Réforme...), que sur le plan théologique.
La redécouverte de leurs textes permet de reprendre à nouveaux frais des questions actuelles : la constitution du sujet, l’expérience, le symbolisme, le progrès, le temps, l’histoire…
En lien avec l’élaboration d’un nouveau manuel de patristique, les échanges et approfondissements qui auront lieu au cours de ce colloque permettront de mieux mesurer l’actualité des Pères.
Parfois laissée pour compte, l’actualité des Pères de l’Église n’en est pas moins réelle, et revient sur le devant de la scène tant sur le plan historique (avec des analogies entre l’époque des Pères et la nôtre, avec le 500° anniversaire de la Réforme...), que sur le plan théologique.
La redécouverte de leurs textes permet de reprendre à nouveaux frais des questions actuelles : la constitution du sujet, l’expérience, le symbolisme, le progrès, le temps, l’histoire…
En lien avec l’élaboration d’un nouveau manuel de patristique, les échanges et approfondissements qui auront lieu au cours de ce colloque permettront de mieux mesurer l’actualité des Pères.
Le patriarche russe Cyrille considère le retour de la cathédrale de Saint Isaac comme un élément important dans la réconciliation du peuple
Durant l’assemblée de la Haute instance cléricale, vendredi, à Moscou, le patriarche a souligné que « la cathédrale Saint Issac, à Saint Petérsbourg qui sera rendue à l’Eglise, par ce geste, est vouée à devenir le symbole de la réconciliation du peuple. »
Selon ses propos, la destruction des églises, durant l’époque soviétique, les assassinats en masse de croyants sont devenus une des pages les plus sombres de notre histoire nationale.
Durant l’assemblée de la Haute instance cléricale, vendredi, à Moscou, le patriarche a souligné que « la cathédrale Saint Issac, à Saint Petérsbourg qui sera rendue à l’Eglise, par ce geste, est vouée à devenir le symbole de la réconciliation du peuple. »
Selon ses propos, la destruction des églises, durant l’époque soviétique, les assassinats en masse de croyants sont devenus une des pages les plus sombres de notre histoire nationale.
De lundi 20 à jeudi 23 février de 17h à 18h, vous pourrez écouter sur France Culture la série documentaire en 4 épisodes que nous avons réalisée avec Julie Beressi à l'occasion du centenaire de la révolution russe de 1917. Les émissions seront bien entendu écoutables en ligne et podcastables après diffusion sur le site de l'émission.
Lundi 20 février :
Le quotidien révolutionné
À Saint-Pétersbourg, cent ans après la révolution russe ICI
Mardi 21 février :
Bâtir, nommer, façonner les traces de 1917
À Moscou, cent ans après la révolution russe ICI
Lundi 20 février :
Le quotidien révolutionné
À Saint-Pétersbourg, cent ans après la révolution russe ICI
Mardi 21 février :
Bâtir, nommer, façonner les traces de 1917
À Moscou, cent ans après la révolution russe ICI
L'enterrement des restes, retrouvés antérieurement, de Moscovites décédés aux XVIIIe et XIX siècles, aura lieu le 5 Février sur le territoire de l'antique nécropole du monastère de la capitale Saint-Sauveur-Saint Andronik.
Dans le cadre des cérémonies aura lieu un office pour les morts, et des croix commémoratives seront installées sur les lieux de sépulture des héros de la bataille de Koulikovo, ainsi que des représentants des familles célèbres (Bakhmetiev, Baratynsky, Volkonsky, Golovine, Lopoukhine, Moussine-Pouchkine, Narychkine, Orlov, Troubetzkoy, Tretyakov et d'autres), selon les organisateurs de l'agence "Interfax-Religion".
Actuellement, des représentants de la société civile envisagent de former un groupe de travail pour faire renaître ce monastère et la vie monastique en son sein, ainsi que restaurer sa nécropole historique, ce qui comprendra le transfert des pierres tombales conservées au Musée d'Etat d'architecture Alexei Chtchoussev.
Dans le cadre des cérémonies aura lieu un office pour les morts, et des croix commémoratives seront installées sur les lieux de sépulture des héros de la bataille de Koulikovo, ainsi que des représentants des familles célèbres (Bakhmetiev, Baratynsky, Volkonsky, Golovine, Lopoukhine, Moussine-Pouchkine, Narychkine, Orlov, Troubetzkoy, Tretyakov et d'autres), selon les organisateurs de l'agence "Interfax-Religion".
Actuellement, des représentants de la société civile envisagent de former un groupe de travail pour faire renaître ce monastère et la vie monastique en son sein, ainsi que restaurer sa nécropole historique, ce qui comprendra le transfert des pierres tombales conservées au Musée d'Etat d'architecture Alexei Chtchoussev.
À Abidjan, dans le quartier d’Angré-Château, se dresse une église méconnue, à la cloche imposante : l’Église orthodoxe grecque. Plus de 1 350 personnes se réclament de cette confession qui fêtera ses 15 ans de présence en Côte d’Ivoire au mois de mai.
L’ambiance est conviviale, ce dimanche 5 février, à l’église orthodoxe d’Angré. Depuis la célébration des matines à 9 heures, les fidèles de la communauté sont réunis. Ils suivront ensuite la divine liturgie puis prendront ensemble le café. Ce sera l’occasion pour eux d’écouter un enseignement biblique.
L’ambiance est conviviale, ce dimanche 5 février, à l’église orthodoxe d’Angré. Depuis la célébration des matines à 9 heures, les fidèles de la communauté sont réunis. Ils suivront ensuite la divine liturgie puis prendront ensemble le café. Ce sera l’occasion pour eux d’écouter un enseignement biblique.
V.G.
Nombreuses sectes marginales
Nous avons l’habitude de considérer l’empire russe comme un état quasiment mono-religieux, avec une Orthodoxie omniprésente derrière l’empereur orthodoxe, un peu comme Byzance.
En y regardant de plus près, on peut aussi reconnaitre plusieurs autres "religions traditionnelles": l’Islam, confessé par près de 1/3 des sujets après les dernières conquêtes du XIXe siècle, le judaïsme et le catholicisme, largement présent en Pologne et Lithuanie annexées à la fin du XVIIIe, le protestantisme luthérien, traditionnel en Lettonie, Estonie et dans les colonies allemandes de la Volga.
Par contre bien peu de choses sont connues sur les sectes issues de l’Orthodoxie, sauf les "Vieux Croyants" et l’article de Juliette Cadiot, « Le fait religieux dans l’Empire russe et au début de l’URSS » (1) fait un point sur les études de ce domaine spécifique parues récemment. Son article permet de se faire une première idée de ce foisonnement religieux généralement mal vu par les autorités.
Photo: Un fragment du tableau "Boyarine Morozova" de Vassili Sourikov qui représente la poursuite des vieux-croyants
Nombreuses sectes marginales
Nous avons l’habitude de considérer l’empire russe comme un état quasiment mono-religieux, avec une Orthodoxie omniprésente derrière l’empereur orthodoxe, un peu comme Byzance.
En y regardant de plus près, on peut aussi reconnaitre plusieurs autres "religions traditionnelles": l’Islam, confessé par près de 1/3 des sujets après les dernières conquêtes du XIXe siècle, le judaïsme et le catholicisme, largement présent en Pologne et Lithuanie annexées à la fin du XVIIIe, le protestantisme luthérien, traditionnel en Lettonie, Estonie et dans les colonies allemandes de la Volga.
Par contre bien peu de choses sont connues sur les sectes issues de l’Orthodoxie, sauf les "Vieux Croyants" et l’article de Juliette Cadiot, « Le fait religieux dans l’Empire russe et au début de l’URSS » (1) fait un point sur les études de ce domaine spécifique parues récemment. Son article permet de se faire une première idée de ce foisonnement religieux généralement mal vu par les autorités.
Photo: Un fragment du tableau "Boyarine Morozova" de Vassili Sourikov qui représente la poursuite des vieux-croyants
L’Université de Fribourg commémore dimanche 12 février 2017 le premier anniversaire de la rencontre historique entre le pape François et le patriarche Cyrille, chef de l’Eglise orthodoxe russe, le 12 février 2016, dans la capitale cubaine La Havane.
Chers amis,
Je vous fais suivre l’information sur le colloque qui aura lieu le 12 février de 16h à 18h à l’université de Fribourg sur le thème : "La Havane : une année plus tard - dialogue entre l'Eglise orthodoxe et l'Eglise catholique ».
Chers amis,
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