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PHOTO DU JOUR DU "HAVANA TIME": L'ÉGLISE ORTHODOXE RUSSE DE LA HAVANE
La "photo du jour" du périodique anglophone "Havana Time" le 31 mai 2019 représente l'Église orthodoxe russe dédiée à l'icône de Notre-Dame de Kazan, dont les cinq coupoles dorées se dressent au bord de la mer, dans le quartier historique de la Vieille Havane.
Elle avait été inaugurée le 19 octobre 2008 par le président cubain Raul Castro et le métropolite Cyrille, actuel patriarche de Moscou. L'ambassadeur russe à Cuba avait souligné que l'église était destinée aux "milliers de Russes vivant à La Havane et de touristes russes visitant le pays"; il y aurait de fait environ 3 000 Russes résidant à Cuba, la plupart des femmes ayant épousé des Cubains à l'époque soviétique, auxquels s'ajoutent chaque année plus de 15 000 touristes.
À proximité se trouve l'église grecque de Saint Nicolas, première église orthodoxe construite sur l'île communiste qui avait été inaugurée en 2004 par le Patriarche de Constantinople Bartholomée en présence de Fidel Castro
La "photo du jour" du périodique anglophone "Havana Time" le 31 mai 2019 représente l'Église orthodoxe russe dédiée à l'icône de Notre-Dame de Kazan, dont les cinq coupoles dorées se dressent au bord de la mer, dans le quartier historique de la Vieille Havane.
Elle avait été inaugurée le 19 octobre 2008 par le président cubain Raul Castro et le métropolite Cyrille, actuel patriarche de Moscou. L'ambassadeur russe à Cuba avait souligné que l'église était destinée aux "milliers de Russes vivant à La Havane et de touristes russes visitant le pays"; il y aurait de fait environ 3 000 Russes résidant à Cuba, la plupart des femmes ayant épousé des Cubains à l'époque soviétique, auxquels s'ajoutent chaque année plus de 15 000 touristes.
À proximité se trouve l'église grecque de Saint Nicolas, première église orthodoxe construite sur l'île communiste qui avait été inaugurée en 2004 par le Patriarche de Constantinople Bartholomée en présence de Fidel Castro
Rédigé par Parlons D'orthodoxie le 4 Juin 2019 à 14:06
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5 commentaires
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Vitaly Koissin
Traduction Hélène Bekisz-Boklevsky
Au 5ème siècle s'installa dans le Désert de Lybie l'abba Felixphile. Il vivait en solitaire, n'allant qu'une seule fois par mois à l'église qui se trouvait dans l'oasis à 50 stades* de son ermitage. Il partageait sa vie d'anachorète avec seulement un chat, venu chez lui un an plus tôt. Au début le voisinage du chat lui avait bien plu.
Mais avec le temps, le père commença à trouver sa présence pesante, parce que le chat faisait le difficile devant les racines et les croûtons que mangeait l'ermite, et au moment de la prière, le chat, le plus souvent dormait, ronronnant bien fort et le rendait distrait. D'ailleurs il dormait quasi tout le temps !
En outre, l'ermite soupçonnait que le chat rompait le jeûne monastique en chassant les gerboises. Sinon – comment se faisait-il qu'il était si bien en chair alors qu'il refusait les racines et les biscuits ? Et durant le mois de «pakhon» – que les Romains appellent «mars» – le chat avait disparu pendant au moins deux semaines, revenant le museau égratigné, mais l'air satisfait. Il était, c'est sûr, allé dans l'oasis pour se battre et s'adonner à la luxure !
Traduction Hélène Bekisz-Boklevsky
Au 5ème siècle s'installa dans le Désert de Lybie l'abba Felixphile. Il vivait en solitaire, n'allant qu'une seule fois par mois à l'église qui se trouvait dans l'oasis à 50 stades* de son ermitage. Il partageait sa vie d'anachorète avec seulement un chat, venu chez lui un an plus tôt. Au début le voisinage du chat lui avait bien plu.
Mais avec le temps, le père commença à trouver sa présence pesante, parce que le chat faisait le difficile devant les racines et les croûtons que mangeait l'ermite, et au moment de la prière, le chat, le plus souvent dormait, ronronnant bien fort et le rendait distrait. D'ailleurs il dormait quasi tout le temps !
En outre, l'ermite soupçonnait que le chat rompait le jeûne monastique en chassant les gerboises. Sinon – comment se faisait-il qu'il était si bien en chair alors qu'il refusait les racines et les biscuits ? Et durant le mois de «pakhon» – que les Romains appellent «mars» – le chat avait disparu pendant au moins deux semaines, revenant le museau égratigné, mais l'air satisfait. Il était, c'est sûr, allé dans l'oasis pour se battre et s'adonner à la luxure !
Moscou, le 31 mai 2019. RIA Novosti. Au patriarcat d’Antioche on n’exclut pas la possibilité de convoquer un concile panorthodoxe sans la participation du patriarche de Constantinople.
« Nous reconnaissons avec respect le patriarche de Constantinople, mais aujourd’hui il y a un problème : le patriarche de Constantinople commet une erreur. Si toutes les Églises orthodoxes se réunissent en concile sans lui et décident de destituer le primat de Constantinople, alors c’est possible, » a déclaré à RIA Novosti l’évêque Qais d’Erzurum, représentant du patriarcat d’Antioche.
Le représentant du patriarcat d’Antioche a précisé qu’habituellement dans le monde orthodoxe si l’on éprouve le besoin de réunir un concile de toutes les Églises orthodoxes, alors « chaque Église en son sein prend sa décision et s’efforce d’avoir une position commune » et ensuite « elle adresse au patriarche de Constantinople une demande » de convocation d’un concile. « Cependant ce n’est pas une règle immuable, il y a une autre possibilité : n’importe quelle Église orthodoxe peut obtenir l’assentiment des autres Églises et convoquer un concile. »
« Nous reconnaissons avec respect le patriarche de Constantinople, mais aujourd’hui il y a un problème : le patriarche de Constantinople commet une erreur. Si toutes les Églises orthodoxes se réunissent en concile sans lui et décident de destituer le primat de Constantinople, alors c’est possible, » a déclaré à RIA Novosti l’évêque Qais d’Erzurum, représentant du patriarcat d’Antioche.
Le représentant du patriarcat d’Antioche a précisé qu’habituellement dans le monde orthodoxe si l’on éprouve le besoin de réunir un concile de toutes les Églises orthodoxes, alors « chaque Église en son sein prend sa décision et s’efforce d’avoir une position commune » et ensuite « elle adresse au patriarche de Constantinople une demande » de convocation d’un concile. « Cependant ce n’est pas une règle immuable, il y a une autre possibilité : n’importe quelle Église orthodoxe peut obtenir l’assentiment des autres Églises et convoquer un concile. »
Le 31 mai 2019 le patriarche Cyrille a consacré la cathédrale de la Résurrection du monastère Novodevitchi, un événement attendu depuis longtemps. Dans les années trente du XX siècle la cathédrale datant de 1748 avait été entièrement détruite et il était même envisagé d’en dynamiter les ruines.
Des croquis des fresques ont été conservés. Nathalie et Nicolas Bogdanov, parmi les meilleurs iconographes de nos jours, ont travaillé pendant sept ans pour recréer cette immense beauté sur une surface de 6.000 m2.
Des croquis des fresques ont été conservés. Nathalie et Nicolas Bogdanov, parmi les meilleurs iconographes de nos jours, ont travaillé pendant sept ans pour recréer cette immense beauté sur une surface de 6.000 m2.
Le P. Alexandre Siniakov publie un nouveau livre aux Éditions Fayard
La plupart du temps, les moines murmurent des prières à l’oreille de Dieu, pendant que les chevaux écoutent bruire l’univers. La plupart du temps, les moines vont à pied à l’appel des cloches, pendant que les chevaux piétinent ou dodelinent sans nulle part où aller. La plupart du temps, les moines se retirent dans leur cellule, pendant que les chevaux regagnent leur stalle.
« Mais il arrive qu’un moine se recueille auprès des chevaux sous leur abri. Il arrive qu’il aille à cheval par les chemins à la rencontre de l’inconnu et peut-être de l’abandonné. Il arrive qu’il murmure ses prières à l’oreille des chevaux comme une hymne de louange adressée par l’homme à l’univers. »
La plupart du temps, les moines murmurent des prières à l’oreille de Dieu, pendant que les chevaux écoutent bruire l’univers. La plupart du temps, les moines vont à pied à l’appel des cloches, pendant que les chevaux piétinent ou dodelinent sans nulle part où aller. La plupart du temps, les moines se retirent dans leur cellule, pendant que les chevaux regagnent leur stalle.
« Mais il arrive qu’un moine se recueille auprès des chevaux sous leur abri. Il arrive qu’il aille à cheval par les chemins à la rencontre de l’inconnu et peut-être de l’abandonné. Il arrive qu’il murmure ses prières à l’oreille des chevaux comme une hymne de louange adressée par l’homme à l’univers. »
Le patriarche Kyrill de Moscou et de toute la Russie a adressé, ce dimanche 26 mai, un message aux Occidentaux après avoir célébré la grande consécration de l’église orthodoxe russe de Strasbourg.
En Russie où de nombreuses églises ont été détruites pendant des années, nous l’avons bien compris. Il n’y a pas de vie meilleure sans Dieu. C’est pourquoi nous construisons trois églises tous les jours », a expliqué ce dimanche matin le patriarche Kyrill de Moscou et de toute la Russie à l’issue de la grande consécration de l’Église orthodoxe russe de Strasbourg, l’Église de tous les Saints.
En Russie où de nombreuses églises ont été détruites pendant des années, nous l’avons bien compris. Il n’y a pas de vie meilleure sans Dieu. C’est pourquoi nous construisons trois églises tous les jours », a expliqué ce dimanche matin le patriarche Kyrill de Moscou et de toute la Russie à l’issue de la grande consécration de l’Église orthodoxe russe de Strasbourg, l’Église de tous les Saints.
par I.MEDIA
En Roumanie du 31 mai au 2 juin 2019, le pape François se rend de nouveau dans un pays à très large majorité orthodoxe. Ce 30e voyage apostolique du pontificat sera donc l’occasion de progresser sur le chemin œcuménique, même si des points de tension particuliers à ce pays viennent freiner le dialogue entre catholiques et orthodoxes.
Après un début d’année centré vers des pays musulmans – Maroc et Abou Dabi – le pontife semble désormais se tourner vers l’orthodoxie: après la Bulgarie et la Macédoine du Nord, il s’apprête désormais à visiter la Roumanie. Plus de 80% de la population y est orthodoxe, ce qui fait de l’Eglise orthodoxe roumaine autocéphale la seconde plus importante – en terme d’effectifs – au sein de l’orthodoxie derrière le patriarcat de Moscou.
En Roumanie du 31 mai au 2 juin 2019, le pape François se rend de nouveau dans un pays à très large majorité orthodoxe. Ce 30e voyage apostolique du pontificat sera donc l’occasion de progresser sur le chemin œcuménique, même si des points de tension particuliers à ce pays viennent freiner le dialogue entre catholiques et orthodoxes.
Après un début d’année centré vers des pays musulmans – Maroc et Abou Dabi – le pontife semble désormais se tourner vers l’orthodoxie: après la Bulgarie et la Macédoine du Nord, il s’apprête désormais à visiter la Roumanie. Plus de 80% de la population y est orthodoxe, ce qui fait de l’Eglise orthodoxe roumaine autocéphale la seconde plus importante – en terme d’effectifs – au sein de l’orthodoxie derrière le patriarcat de Moscou.
Texte par Emilie Van Taack pour le catalogue de L'EXPOSITION CONSACRÉE A L'OEUVRE DU PÈRE GREGOIRE KROUG
Le père Grégoire Kroug, un prophète de la beauté incréée. De la liberté et de sa signification dans la peinture des icônes
"Voici, je fais toutes choses nouvelles..."
Apocalypse, 21, 5
Le moine iconographe Grégoire fut dès sa vie sur cette terre unanimement reconnu comme une personnalité hors du commun. Et lorsqu'il devint moine, sa dimension spirituelle fut aux yeux de tous celle d'un grand mystique. Après les cinquante ans qui nous séparent de son rappel à Dieu, nous ne devrions jamais l'oublier. Et lorsque nous évoquons sa mémoire, nous devons garder à l'esprit que son art, et particulièrement la liberté qui est la sienne, s'enracinent dans des profondeurs spirituelles rarement atteintes.
Bien que ce soit un artiste exceptionnel, sa liberté n'est pas d'ordre artistique. C'est une liberté spirituelle qu'il a acquise à travers de grandes épreuves, par son renoncement à lui-même et aux choses de la terre, par une obéissance monastique sans faille, vivant dans une humble soumission à un père spirituel tout aussi exceptionnel, l'archimandrite Serge (Chévitch), de bienheureuse mémoire.
Le père Grégoire Kroug, un prophète de la beauté incréée. De la liberté et de sa signification dans la peinture des icônes
"Voici, je fais toutes choses nouvelles..."
Apocalypse, 21, 5
Le moine iconographe Grégoire fut dès sa vie sur cette terre unanimement reconnu comme une personnalité hors du commun. Et lorsqu'il devint moine, sa dimension spirituelle fut aux yeux de tous celle d'un grand mystique. Après les cinquante ans qui nous séparent de son rappel à Dieu, nous ne devrions jamais l'oublier. Et lorsque nous évoquons sa mémoire, nous devons garder à l'esprit que son art, et particulièrement la liberté qui est la sienne, s'enracinent dans des profondeurs spirituelles rarement atteintes.
Bien que ce soit un artiste exceptionnel, sa liberté n'est pas d'ordre artistique. C'est une liberté spirituelle qu'il a acquise à travers de grandes épreuves, par son renoncement à lui-même et aux choses de la terre, par une obéissance monastique sans faille, vivant dans une humble soumission à un père spirituel tout aussi exceptionnel, l'archimandrite Serge (Chévitch), de bienheureuse mémoire.
Samedi 11 mai à l’Institut orthodoxe Saint-Serge s’est tenue une assemblée pastorale pour décider de l’avenir de l’Archevêché des Églises orthodoxes russes en Europe occidentale.
En novembre 2018, le patriarche œcuménique Bartholomée a abrogé le statut d’exarchat accordé à titre perpétuel aux paroisses russes dans les pays d’Europe occidentale. Il n’est pas exclu que, dans ce climat de crise, l’Archevêché ne revienne dans le giron de l’Église orthodoxe russe, qui lui a déjà promis d’en sauvegarder l’autonomie en son sein. Mais tous dans l’Archevêché ne sont pas d’accord avec cette perspective.
Le problème, en bref
L’Archevêché rassemble plus de cent paroisses dans les différents pays d’Europe occidentale, mais surtout en France. Cet archidiocèse, dont le siège est à Paris, a été créé par des émigrés russes de la première vague suite à la révolution de 1917. Il s’est placé sous la juridiction du patriarcat œcuménique dans les années trente à la suite de différends avec Moscou. Son statut a été plusieurs fois modifié au cours du XXe siècle. Finalement en 1999, Constantinople a accordé aux Églises orthodoxes de tradition russe le statut d’exarchat permanent, c’est-à-dire de territoire ecclésial particulier hors du pays de résidence du patriarche.
Cependant, dans le cadre de l’accord de l’autocéphalie à l’Église en Ukraine, le patriarche œcuménique, à la surprise générale et sans concertation préalable, a dissout l’exarchat d’Europe occidentale et enjoint aux paroisses de se placer sous tutelle directe de Constantinople en intégrant les métropoles grecques locales. À Constantinople, on indique qu’il s’agit là d’un problème purement technique : éviter les doublons juridictionnels de structures ecclésiales.
En novembre 2018, le patriarche œcuménique Bartholomée a abrogé le statut d’exarchat accordé à titre perpétuel aux paroisses russes dans les pays d’Europe occidentale. Il n’est pas exclu que, dans ce climat de crise, l’Archevêché ne revienne dans le giron de l’Église orthodoxe russe, qui lui a déjà promis d’en sauvegarder l’autonomie en son sein. Mais tous dans l’Archevêché ne sont pas d’accord avec cette perspective.
Le problème, en bref
L’Archevêché rassemble plus de cent paroisses dans les différents pays d’Europe occidentale, mais surtout en France. Cet archidiocèse, dont le siège est à Paris, a été créé par des émigrés russes de la première vague suite à la révolution de 1917. Il s’est placé sous la juridiction du patriarcat œcuménique dans les années trente à la suite de différends avec Moscou. Son statut a été plusieurs fois modifié au cours du XXe siècle. Finalement en 1999, Constantinople a accordé aux Églises orthodoxes de tradition russe le statut d’exarchat permanent, c’est-à-dire de territoire ecclésial particulier hors du pays de résidence du patriarche.
Cependant, dans le cadre de l’accord de l’autocéphalie à l’Église en Ukraine, le patriarche œcuménique, à la surprise générale et sans concertation préalable, a dissout l’exarchat d’Europe occidentale et enjoint aux paroisses de se placer sous tutelle directe de Constantinople en intégrant les métropoles grecques locales. À Constantinople, on indique qu’il s’agit là d’un problème purement technique : éviter les doublons juridictionnels de structures ecclésiales.
par Jacques Berset,
Alors qu’en Russie, selon les sondages, 80% des croyants se déclarent orthodoxes, seuls 3% fréquentent régulièrement l’Eglise, relève l’archiprêtre Nicolas Emelianov, vice-recteur de l’Institut de Théologie de l’Université orthodoxe Saint-Tykhon de Moscou.
L'archiprêtre Nicolas Emelianov, collaborateur du laboratoire scientifique “Sociologie de la religion”, l’explique dans un ouvrage publié par les Editions de l’Université orthodoxe Saint-Tykhon. Son livre, intitulé « La moisson est abondante, mais les ouvriers sont peu nombreux » présente une étude scientifique, dans laquelle l’auteur émet l’hypothèse expliquant pourquoi, en Russie, le nombre des gens fréquentant effectivement l’Église n’augmente pas, étant resté pratiquement le même au cours de plus de deux décennies. Le site Pravoslavie.ru a évoqué avec l’auteur les raisons de cet état de choses et le problème des relations des prêtres et des fidèles dans la Russie actuelle
Alors qu’en Russie, selon les sondages, 80% des croyants se déclarent orthodoxes, seuls 3% fréquentent régulièrement l’Eglise, relève l’archiprêtre Nicolas Emelianov, vice-recteur de l’Institut de Théologie de l’Université orthodoxe Saint-Tykhon de Moscou.
L'archiprêtre Nicolas Emelianov, collaborateur du laboratoire scientifique “Sociologie de la religion”, l’explique dans un ouvrage publié par les Editions de l’Université orthodoxe Saint-Tykhon. Son livre, intitulé « La moisson est abondante, mais les ouvriers sont peu nombreux » présente une étude scientifique, dans laquelle l’auteur émet l’hypothèse expliquant pourquoi, en Russie, le nombre des gens fréquentant effectivement l’Église n’augmente pas, étant resté pratiquement le même au cours de plus de deux décennies. Le site Pravoslavie.ru a évoqué avec l’auteur les raisons de cet état de choses et le problème des relations des prêtres et des fidèles dans la Russie actuelle
NOUS INVITONS TOUS A LA CONSÉCRATION MAJEURE DE L'EGLISE ORTHODOXE RUSSE DE TOUS LES SAINTS A STRASBOURG
Патриарх Кирилл возглавит освящение русского православного храма Всех Святых в Страсбурге
Dimanche, le 26 mai 2019,
8h30 – début de la Consécration qui va être suivie par la Divine liturgie
Entrée libre à partir de 7h00 par les portiques de contrôle
Патриарх Кирилл возглавит освящение русского православного храма Всех Святых в Страсбурге
Dimanche, le 26 mai 2019,
8h30 – début de la Consécration qui va être suivie par la Divine liturgie
Entrée libre à partir de 7h00 par les portiques de contrôle
Selon le « patriarche honoraire », la structure ecclésiale nouvellement créée en Ukraine n’a le droit ni de préparer le saint chrême, ni d’avoir de diaspora.
Philarète Denissenko, « patriarche honoraire » de la nouvelle structure ecclésiale, a déclaré à Canal-5 que le tomos sur l’autocéphalie crée la discorde au sein de l’Église orthodoxe en Ukraine, car y est inscrite la soumission au patriarcat de Constantinople. « Au lieu d’unifier l’orthodoxie en Ukraine, on a obtenu la désunion de ce qui était uni. À partir de quoi ?
De ce que dans le tomos d’autocéphalie que nous avons reçu il est écrit que nous dépendons du patriarcat de Constantinople. Est-ce que nous avons besoin d’une telle autocéphalie ? » Et Philarète souligne que les statuts de l’Église orthodoxe en Ukraine stipulent l’indépendance de cette structure ecclésiale. « Dans les statuts, c’est une autre indépendance que celle que nous avons reçue. Nous ne pouvons, par exemple, pas préparer le saint chrême.
Nous dépendons du patriarcat de Constantinople : s’il nous donne le saint chrême, nous pouvons célébrer les saints sacrements ; s’il ne nous le donne pas, nous ne pouvons en tant qu’Église, célébrer aucun sacrement. »
Philarète Denissenko, « patriarche honoraire » de la nouvelle structure ecclésiale, a déclaré à Canal-5 que le tomos sur l’autocéphalie crée la discorde au sein de l’Église orthodoxe en Ukraine, car y est inscrite la soumission au patriarcat de Constantinople. « Au lieu d’unifier l’orthodoxie en Ukraine, on a obtenu la désunion de ce qui était uni. À partir de quoi ?
De ce que dans le tomos d’autocéphalie que nous avons reçu il est écrit que nous dépendons du patriarcat de Constantinople. Est-ce que nous avons besoin d’une telle autocéphalie ? » Et Philarète souligne que les statuts de l’Église orthodoxe en Ukraine stipulent l’indépendance de cette structure ecclésiale. « Dans les statuts, c’est une autre indépendance que celle que nous avons reçue. Nous ne pouvons, par exemple, pas préparer le saint chrême.
Nous dépendons du patriarcat de Constantinople : s’il nous donne le saint chrême, nous pouvons célébrer les saints sacrements ; s’il ne nous le donne pas, nous ne pouvons en tant qu’Église, célébrer aucun sacrement. »
La popularité immense de saint Nicolas soi-disant « saint du peuple dans l’Europe de l’Est d’aujourd'hui fait parfois de lui un « dieu russe » pour des yeux européens. Cependant, la formation de la vénération particulière de ce saint a connu une histoire spécifique, qui ne s’est cristallisée qu’à la fin du Moyen Âge pour parvenir à son état actuel aux Temps Modernes autrement dit aux XVIIIe-XIXe siècles.
En fait, on observe que le culte de saint Nicolas aux XIe-XIIe siècles était réservé avant tout aux couches aristocratiques de la société russe médiévale. En plus, le prénom de Nicolas, utilisé très rarement à l’époque dans l’ensemble de la population, se trouve fréquemment chez les représentants du clergé grec et des moines. On ne connaît qu’un seul prince de la famille de Riourikides et quelques nobles qui portaient ce prénom.
Très récemment, des spécialistes ont reconstitué le visage du saint Nicolas d’après ses reliques - PHOTOS Sur la base de recherches archéologiques, anatomiques et anthropologiques, les chercheurs russes ont décrit l’apparence du saint : sa taille, son teint et même les traits de son visage. Ils ont également défini les maladies dont il souffrait. L’étude anthropologique des reliques témoigne que saint Nicolas s'abstenait de manger de la viande, il se contentait de nourriture végétale. Saint Nicolas mesurait 1,67 m.
En fait, on observe que le culte de saint Nicolas aux XIe-XIIe siècles était réservé avant tout aux couches aristocratiques de la société russe médiévale. En plus, le prénom de Nicolas, utilisé très rarement à l’époque dans l’ensemble de la population, se trouve fréquemment chez les représentants du clergé grec et des moines. On ne connaît qu’un seul prince de la famille de Riourikides et quelques nobles qui portaient ce prénom.
Très récemment, des spécialistes ont reconstitué le visage du saint Nicolas d’après ses reliques - PHOTOS Sur la base de recherches archéologiques, anatomiques et anthropologiques, les chercheurs russes ont décrit l’apparence du saint : sa taille, son teint et même les traits de son visage. Ils ont également défini les maladies dont il souffrait. L’étude anthropologique des reliques témoigne que saint Nicolas s'abstenait de manger de la viande, il se contentait de nourriture végétale. Saint Nicolas mesurait 1,67 m.
Philarète Denisenko, le "patriarche honoraire" ou "grand-père" de l’église ukrainienne [schismatique], comme l'a surnommé Mgr Daniel (Zelinsky), archevêque phanariote, a annoncé la renaissance de l'Église orthodoxe ukrainienne du patriarcat de Kiev (schismatique). De plus, il a dit en langage clair que cela se ferait en rompant avec l’église ukrainienne autocéphale d’Epiphane.
Pour réaliser ses projets, il a convoqué l'"épiscopat" dans sa cathédrale Saint-Vladimir les 13 et 14 mai pour une "conversation amicale". Cependant, seuls 4 des 60 "évêques" ont rejoint ses bannières.
Un échec ? Oui, peut-être, mais pas pour Philarète. Au lendemain de cette "conversation amicale", le service de presse du "patriarcat de l’église ukrainienne" schismatique a publié un discours de Philarète à tout le troupeau ukrainien, puis le "grand-père" de l'OCU l'a annoncé lors d'une conférence de presse. Analysons les messages clés de ce document.
Pour réaliser ses projets, il a convoqué l'"épiscopat" dans sa cathédrale Saint-Vladimir les 13 et 14 mai pour une "conversation amicale". Cependant, seuls 4 des 60 "évêques" ont rejoint ses bannières.
Un échec ? Oui, peut-être, mais pas pour Philarète. Au lendemain de cette "conversation amicale", le service de presse du "patriarcat de l’église ukrainienne" schismatique a publié un discours de Philarète à tout le troupeau ukrainien, puis le "grand-père" de l'OCU l'a annoncé lors d'une conférence de presse. Analysons les messages clés de ce document.
En juillet 2018, le patriarche Cyrille s'est rendu en pèlerinage dans l’Oural à l’occasion du centenaire de l’assassinat de la famille de Nicolas II
Choix et rédaction des documents, avant-propos et notes de Nicolas Ross - Documents traduits du russe par Jean Christophe Peuch
Dans la nuit du 16 au 17 juillet 1918 mourraient Nicolas II et sa famille à Ekaterinbourg, dans la maison de l’ingénieur Ipatiev, où ils étaient détenus depuis le 30 avril. Contrairement à ce qu’on a pu croire, les exécutants et les complices de et assassinat ont beaucoup parlé et beaucoup écrit, mais sous le sceau d’un secret bien gardé jusqu’aux dernières années de l’existence de l’URSS.
Avant de donner la parole aux acteurs de ces événements, Nicolas Ross revient sur le massacre de la famille impériale, la disparition puis la réapparition de ses restes. Ce court récit facilite la lecture des seize témoignages qui suivent.
Choix et rédaction des documents, avant-propos et notes de Nicolas Ross - Documents traduits du russe par Jean Christophe Peuch
Dans la nuit du 16 au 17 juillet 1918 mourraient Nicolas II et sa famille à Ekaterinbourg, dans la maison de l’ingénieur Ipatiev, où ils étaient détenus depuis le 30 avril. Contrairement à ce qu’on a pu croire, les exécutants et les complices de et assassinat ont beaucoup parlé et beaucoup écrit, mais sous le sceau d’un secret bien gardé jusqu’aux dernières années de l’existence de l’URSS.
Avant de donner la parole aux acteurs de ces événements, Nicolas Ross revient sur le massacre de la famille impériale, la disparition puis la réapparition de ses restes. Ce court récit facilite la lecture des seize témoignages qui suivent.
L'archevêque Chrysostome souhaite devenir un intermédiaire dans la recherche d'une solution à la situation au sein de l'Eglise d'Ukraine. Il a l'intention de rencontrer les responsables des Eglises orthodoxes de Serbie, de Bulgarie, de Grèce ainsi que le patriarche Cyrille.
Un projet de solution du problème ukrainien sera soumis au patriarche Cyrille: nécessité de réunir un Concile des Eglises orthodoxes locales et de débattre d'une proposition consistant à conférer l'autonomie à l'Eglise orthodoxe d'Ukraine dirigée par le métropolite Onuphre. Cette décision sera difficile à prendre pour le patriarche Cyrille comme pour le patriarche Bartholomé.
Cependant, la défaite essuyée aux élections présidentielles par Piotr Porochenko est susceptible de modifier la situation.
Un projet de solution du problème ukrainien sera soumis au patriarche Cyrille: nécessité de réunir un Concile des Eglises orthodoxes locales et de débattre d'une proposition consistant à conférer l'autonomie à l'Eglise orthodoxe d'Ukraine dirigée par le métropolite Onuphre. Cette décision sera difficile à prendre pour le patriarche Cyrille comme pour le patriarche Bartholomé.
Cependant, la défaite essuyée aux élections présidentielles par Piotr Porochenko est susceptible de modifier la situation.
LE MOINE GREGOIRE KROUG: Exposition du 14 mai au 30 juin 2019, au Centre culturel et spirituel orthodoxe russe
UN COLLOQUE
- le samedi 8 juin, de 10h à 17H, commémoration du cinquantième anniversaire du rappel à Dieu du père Grégoire Kroug - Six conférences, à l'auditorium du Centre Culturel et Spirituel Orthodoxe Russe, 1 quai Branly, 75007, Paris.
DES EXCURSIONS
En complément de l'exposition consacrée à l'œuvre du père Grégoire Kroug, sont proposées des visites commentées par Mr. Grégoire Aslanoff dans les églises et chapelles qu'il a ornées d'iconostases et de peintures murales. C'est l'occasion de découvrir ou de revoir un pan essentiel de son travail. Pour chacun des sanctuaires dont il a eu la charge, le père Grégoire a conçu des programmes originaux, adaptés à la spécificité de ces différents lieux.
UN COLLOQUE
- le samedi 8 juin, de 10h à 17H, commémoration du cinquantième anniversaire du rappel à Dieu du père Grégoire Kroug - Six conférences, à l'auditorium du Centre Culturel et Spirituel Orthodoxe Russe, 1 quai Branly, 75007, Paris.
DES EXCURSIONS
En complément de l'exposition consacrée à l'œuvre du père Grégoire Kroug, sont proposées des visites commentées par Mr. Grégoire Aslanoff dans les églises et chapelles qu'il a ornées d'iconostases et de peintures murales. C'est l'occasion de découvrir ou de revoir un pan essentiel de son travail. Pour chacun des sanctuaires dont il a eu la charge, le père Grégoire a conçu des programmes originaux, adaptés à la spécificité de ces différents lieux.
V. Golovanow
"Nous savons que lorsque l'un de nous tombe, il tombe seul, mais personne n'est sauvé seul. On est sauvé dans l'Église, comme un de ses membres et en union avec tous ses autres membres."
A.S. Khomiakov, "L'Église est une" (1845).
Ceux qui prônent l'indépendance de l'Archevêché "sans autre «Mère» que l’Eglise Orthodoxe tout entière" (1) s'appuient sur un développement théologique récent, issu de "l'école de Paris", affirmant que la plénitude de l'Eglise est réalisée dans "d'Eglise locale" – en fait l'évêque et son diocèse.
Mais, poussé à ce point, il s'agit là d'une déviation purement occidentale de l'ecclésiologie orthodoxe: contrairement à un Protestant ou un Catholique ("tous papistes" écrivait Khomiakov), le fidèle Orthodoxe n'appartient pas directement à "l’Eglise Orthodoxe tout entière", mais à L'UNE DES EGLISES ORTHODOXES et c'est par l'intermédiaire des primats, qui sont en communion directe par la commémoration réciproque, que se réalise l'Unité de l'Orthodoxie.
Cette doctrine est symbolisée par la chrismation (2), et la commémoration liturgique des primats qui démontre concrètement l'appartenance à une Eglise autocéphale (d'où l'importance des RUPTURES EUCHARISTIQUES entre les primats).
"Nous savons que lorsque l'un de nous tombe, il tombe seul, mais personne n'est sauvé seul. On est sauvé dans l'Église, comme un de ses membres et en union avec tous ses autres membres."
A.S. Khomiakov, "L'Église est une" (1845).
Ceux qui prônent l'indépendance de l'Archevêché "sans autre «Mère» que l’Eglise Orthodoxe tout entière" (1) s'appuient sur un développement théologique récent, issu de "l'école de Paris", affirmant que la plénitude de l'Eglise est réalisée dans "d'Eglise locale" – en fait l'évêque et son diocèse.
Mais, poussé à ce point, il s'agit là d'une déviation purement occidentale de l'ecclésiologie orthodoxe: contrairement à un Protestant ou un Catholique ("tous papistes" écrivait Khomiakov), le fidèle Orthodoxe n'appartient pas directement à "l’Eglise Orthodoxe tout entière", mais à L'UNE DES EGLISES ORTHODOXES et c'est par l'intermédiaire des primats, qui sont en communion directe par la commémoration réciproque, que se réalise l'Unité de l'Orthodoxie.
Cette doctrine est symbolisée par la chrismation (2), et la commémoration liturgique des primats qui démontre concrètement l'appartenance à une Eglise autocéphale (d'où l'importance des RUPTURES EUCHARISTIQUES entre les primats).
Le métropolite Hilarion, responsable du Département aux affaires ecclésiales extérieures, a appelé à ne pas revenir au culte de la personnalité de Joseph Staline et à ne pas lui attribuer la victoire de 1945.
« À chaque fois que revient la question, je rappelle que non loin de Moscou il y a le Polygone de Boutovo où doivent se rendre ceux qui admirent Staline, ceux qui se prosternent devant ce personnage, là ils se rendront compte des conséquences de sa politique, » a déclaré le métropolite durant l’émission « L’Église et le monde » de la chaîne de télévision Rossia-24. Il a ajouté que Staline est responsable des répressions des années 20 et 30 du siècle dernier à propos desquelles l’Église a « très clairement exprimé sa position » lorsqu’elle a canonisé les nouveaux Martyrs et confesseurs de la foi.
« À chaque fois que revient la question, je rappelle que non loin de Moscou il y a le Polygone de Boutovo où doivent se rendre ceux qui admirent Staline, ceux qui se prosternent devant ce personnage, là ils se rendront compte des conséquences de sa politique, » a déclaré le métropolite durant l’émission « L’Église et le monde » de la chaîne de télévision Rossia-24. Il a ajouté que Staline est responsable des répressions des années 20 et 30 du siècle dernier à propos desquelles l’Église a « très clairement exprimé sa position » lorsqu’elle a canonisé les nouveaux Martyrs et confesseurs de la foi.
Le 11 mai 2019 s’est tenue dans les locaux de l’Institut de théologie Saint Serge et avec l’aide de la paroisse St Serge, l’assemblée pastorale que son Eminence l’Archevêque Jean de Charioupolis avait convoquée dans sa lettre pastorale du 22 avril 2019.
Cette initiative fait suite au désarroi suscité par la décision en date du 27 novembre 2018 prise par le Saint Synode du patriarcat de Constantinople d’abroger l’exarchat et du débat spontané qui s’est développé quand à l’avenir de notre Archevêché.
Après la célébration de la divine liturgie présidée par Monseigneur Jean, l’assemblée des prêtres, diacres et membres du conseil de l’Archeveché a entendu successivement les rapports des RP Jean Gueit (pourparlers en cours avec le patriarcat de Moscou) et Alexandre Fostiropoulos (visite effectuée au siège du patriarcat de Constantinople).
Le RP Vladimir Yagello a présenté ensuite la position des membres favorables à la proclamation d’une autonomie ; le RP Jivko Panev, qui enseigne le droit canonique à l’ITO St Serge, a exposé les raisons pour lesquelles une telle proclamation ne paraissait pas envisageable.
Cette initiative fait suite au désarroi suscité par la décision en date du 27 novembre 2018 prise par le Saint Synode du patriarcat de Constantinople d’abroger l’exarchat et du débat spontané qui s’est développé quand à l’avenir de notre Archevêché.
Après la célébration de la divine liturgie présidée par Monseigneur Jean, l’assemblée des prêtres, diacres et membres du conseil de l’Archeveché a entendu successivement les rapports des RP Jean Gueit (pourparlers en cours avec le patriarcat de Moscou) et Alexandre Fostiropoulos (visite effectuée au siège du patriarcat de Constantinople).
Le RP Vladimir Yagello a présenté ensuite la position des membres favorables à la proclamation d’une autonomie ; le RP Jivko Panev, qui enseigne le droit canonique à l’ITO St Serge, a exposé les raisons pour lesquelles une telle proclamation ne paraissait pas envisageable.
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