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Traduction Elena Tastevin
Un jour de semaine nous nous sommes présentés à la porte du centre de l’orthodoxie russe rue Petel à Paris, un ancien garage. Après plusieurs sonneries la porte a ouvert.
Un jeune prêtre avenant nous a dit que la liturgie était terminée. Il était cependant prêt à discuter après le moleben.
Deux jeunes filles parlant roumain avec le père y ont participé Après le moleben elles posaient beaucoup de questions à l’Hiéromoine Joseph et enfin, notre tour est arrivé. Nous discutions dans le réfectoire sous les portraits d’évêques et de prêtres émigrés.
Le père Joseph a trois langues maternelles : le russe, l’ukrainien et le moldave. Il a quitté le monde pour le monastère Novo Neamt à l’âge de 20 ans.
L’Hiéromoine Joseph (Pavlinciouc) est l’un des prêtres de l’église des Trois Saints Docteurs, secrétaire du diocèse de Chersonèse et responsable de la diaspora moldave. Depuis 2012 il est le recteur de la paroisse Saint Païssios à Paris.
Un jour de semaine nous nous sommes présentés à la porte du centre de l’orthodoxie russe rue Petel à Paris, un ancien garage. Après plusieurs sonneries la porte a ouvert.
Un jeune prêtre avenant nous a dit que la liturgie était terminée. Il était cependant prêt à discuter après le moleben.
Deux jeunes filles parlant roumain avec le père y ont participé Après le moleben elles posaient beaucoup de questions à l’Hiéromoine Joseph et enfin, notre tour est arrivé. Nous discutions dans le réfectoire sous les portraits d’évêques et de prêtres émigrés.
Le père Joseph a trois langues maternelles : le russe, l’ukrainien et le moldave. Il a quitté le monde pour le monastère Novo Neamt à l’âge de 20 ans.
L’Hiéromoine Joseph (Pavlinciouc) est l’un des prêtres de l’église des Trois Saints Docteurs, secrétaire du diocèse de Chersonèse et responsable de la diaspora moldave. Depuis 2012 il est le recteur de la paroisse Saint Païssios à Paris.
Tu apprendras le français !
Après l’Académie de théologie de Moscou je faisais mes études à Genève et ensuite je voulais retourner au monastère Novo Neamt. Mais le métropolite Cyrille, futur Patriarche, m’a convoqué et m’a posé des questions sur mes études à Genève. « Je sais que tu voudrais faire le doctorat ». En effet, je voulais écrire une thèse à Cambridge ou à Oxford parce que je maîtrisais l’anglais. Soudain le métropolite Cyrille m’a dit : « Qu’est-ce que tu penses de la Sorbonne à Paris ! » J’ai répondu que je ne connaissais pas le français. « Tu apprendras, ce n’est pas un problème… ».
A Moscou j’ai fait connaissance avec Monseigneur Innocent de Chersonèse et ensuite je me suis rendu à Paris. J’ai fait la maîtrise et depuis trois ans j’écris une thèse sur le monachisme pendant la période soviétique sur l’exemple du monastère Novo Neamt.
Le monastère Novo Neamt se trouve en Moldavie.
Il a été fondé par les disciples du vénérable Païssios qui a fait renaître le monachisme au XVIIIème siècle. En 1864 le monastère a été construit grâce à l’Higoumène Théophane Kristi et l’archimandrite Andronic Popovitch. Il a été fermé en 1962 par Khrouchtchev. C’était l’un de ses derniers coups contre l’Eglise. A Moscou presque toutes les églises étaient déjà fermées. En Moldavie, en Ukraine et dans les Pays Baltes la situation était très difficile : 159 églises et 7 monastères ont été fermés en 1959. Les paroissiens résistaient et portaient plainte mais la fermeture des églises avait été scrupuleusement planifiée. Les ordres de fermeture étaient exécutés rapidement. Du jour au lendemain ils trouvaient les églises portes closes sans aucun avertissement.
Après l’Académie de théologie de Moscou je faisais mes études à Genève et ensuite je voulais retourner au monastère Novo Neamt. Mais le métropolite Cyrille, futur Patriarche, m’a convoqué et m’a posé des questions sur mes études à Genève. « Je sais que tu voudrais faire le doctorat ». En effet, je voulais écrire une thèse à Cambridge ou à Oxford parce que je maîtrisais l’anglais. Soudain le métropolite Cyrille m’a dit : « Qu’est-ce que tu penses de la Sorbonne à Paris ! » J’ai répondu que je ne connaissais pas le français. « Tu apprendras, ce n’est pas un problème… ».
A Moscou j’ai fait connaissance avec Monseigneur Innocent de Chersonèse et ensuite je me suis rendu à Paris. J’ai fait la maîtrise et depuis trois ans j’écris une thèse sur le monachisme pendant la période soviétique sur l’exemple du monastère Novo Neamt.
Le monastère Novo Neamt se trouve en Moldavie.
Il a été fondé par les disciples du vénérable Païssios qui a fait renaître le monachisme au XVIIIème siècle. En 1864 le monastère a été construit grâce à l’Higoumène Théophane Kristi et l’archimandrite Andronic Popovitch. Il a été fermé en 1962 par Khrouchtchev. C’était l’un de ses derniers coups contre l’Eglise. A Moscou presque toutes les églises étaient déjà fermées. En Moldavie, en Ukraine et dans les Pays Baltes la situation était très difficile : 159 églises et 7 monastères ont été fermés en 1959. Les paroissiens résistaient et portaient plainte mais la fermeture des églises avait été scrupuleusement planifiée. Les ordres de fermeture étaient exécutés rapidement. Du jour au lendemain ils trouvaient les églises portes closes sans aucun avertissement.
La politique de Khrouchtchev était d’une grande bassesse. Il fermait les églises et les monastères par l’intermédiaire du clergé !
Dans le milieu ecclésiastique se trouvaient des personnes qui se laissaient subjuguer par l’esprit du temps. Ils accomplissaient les ordres des autorités et fermaient les églises.
Le moine du grand habit Selaphil (Kiper) de notre monastère est né en 1908. Après l’école secondaire il est venu au monastère et y est resté jusqu’à 1945.
Ses homélies ont attiré l’attention du KGB qui les a trouvées antisoviétiques. Il était complètement étranger à la politique mais considéré comme opposant il a été arrêté en 1945. Il a passé dans les camps plus de 10 ans. En 195, après la mort de Staline, il a été libéré mais interdit de rentrer chez lui. Après avoir vécu un certain temps dans la région d’Odessa il est tout de même rentré dans son monastère mais après sa fermeture il était obligé de descendre chez des parents. Il travaillait comme gardien dans un kolkhoze.
Il priait la nuit et recevait dans la journée. Les dernières vingt ans de sa vie il était aveugle. Le 19 juin 2005 le père Selaphil est mort.
A l’époque je faisais mes études à Moscou et il mettait toujours 20-30 euros de côté pour moi disant que je devais poursuivre mes études. Il connaissait les noms des parents de tous nos moines et priait pour eux et pour tous nos frères. Il avait le don d’humilité.
Il était peu instruit et vivait comme dans un désert à l’écart du monde. C’est étonnant pour un moine de l’époque soviétique. Les moines n’étaient plus persécutés comme dans les années 30. Ceux qui étaient cependant trop pieux et prêchaient, risquaient d’être envoyé en prison. Il y a eu beaucoup d’articles dans les journaux dénigrant les prêtres et les moines. Ils présentaient les prêtres comme des personnes incultes et primitives.
Dans le monastère nous respections la règle du Mont Athos tele qu’instaurée par le vénérable Païssios Velitchkovsky (1722 – 1794).
Le monastère Novo Neamt a été fondé pour préserver la règle du Mont Athos ainsi que celle du vénérable Païssios. L’archimandrite Andronic Popovitch (1820 – 1893) l’a complétée et l’a adaptée aux nouvelles conditions de vie de l’Empire russe. Selon le vénérable Païssios, le supérieur du monastère devait maîtriser trois langues : le grec, le slavon et le roumain. Les offices devaient être célébrés en slavon et en roumain. Aujourd’hui toujours on y officie en deux langues.
Dans le milieu ecclésiastique se trouvaient des personnes qui se laissaient subjuguer par l’esprit du temps. Ils accomplissaient les ordres des autorités et fermaient les églises.
Le moine du grand habit Selaphil (Kiper) de notre monastère est né en 1908. Après l’école secondaire il est venu au monastère et y est resté jusqu’à 1945.
Ses homélies ont attiré l’attention du KGB qui les a trouvées antisoviétiques. Il était complètement étranger à la politique mais considéré comme opposant il a été arrêté en 1945. Il a passé dans les camps plus de 10 ans. En 195, après la mort de Staline, il a été libéré mais interdit de rentrer chez lui. Après avoir vécu un certain temps dans la région d’Odessa il est tout de même rentré dans son monastère mais après sa fermeture il était obligé de descendre chez des parents. Il travaillait comme gardien dans un kolkhoze.
Il priait la nuit et recevait dans la journée. Les dernières vingt ans de sa vie il était aveugle. Le 19 juin 2005 le père Selaphil est mort.
A l’époque je faisais mes études à Moscou et il mettait toujours 20-30 euros de côté pour moi disant que je devais poursuivre mes études. Il connaissait les noms des parents de tous nos moines et priait pour eux et pour tous nos frères. Il avait le don d’humilité.
Il était peu instruit et vivait comme dans un désert à l’écart du monde. C’est étonnant pour un moine de l’époque soviétique. Les moines n’étaient plus persécutés comme dans les années 30. Ceux qui étaient cependant trop pieux et prêchaient, risquaient d’être envoyé en prison. Il y a eu beaucoup d’articles dans les journaux dénigrant les prêtres et les moines. Ils présentaient les prêtres comme des personnes incultes et primitives.
Dans le monastère nous respections la règle du Mont Athos tele qu’instaurée par le vénérable Païssios Velitchkovsky (1722 – 1794).
Le monastère Novo Neamt a été fondé pour préserver la règle du Mont Athos ainsi que celle du vénérable Païssios. L’archimandrite Andronic Popovitch (1820 – 1893) l’a complétée et l’a adaptée aux nouvelles conditions de vie de l’Empire russe. Selon le vénérable Païssios, le supérieur du monastère devait maîtriser trois langues : le grec, le slavon et le roumain. Les offices devaient être célébrés en slavon et en roumain. Aujourd’hui toujours on y officie en deux langues.
Mes parents et surtout ma grand-mère m’ont initié à la foi.
Dans ma mémoire j’ai toujours eu la foi. A l’époque où je ne savais pas encore lire et écrire je récitais des psaumes par cœur pendant les offices. A 5 ans je me mettais au milieu de l’église avec le Psautier. Tout le monde pensait que je lisais alors que je récitais de mémoire. J’avais des pères spirituels de la Laure de la Trinité Saint Serge. Mes deux oncles prêtres y ont fait leurs études et j’en rêvais aussi. Quand j’arrivais dans la Laure avec mes parents, mon oncle m’emmenait avec lui chanter dans la chorale et de prier avec les étudiants.
Je suis reconnaissant à mes parents, à mon oncle et à tous ceux qui m’entouraient parce qu’ils savaient répondre à mes questions. Le père Pierre avait une clé de l’âme d’enfant. Avec mes parents j’ai toujours eu des relations d’amitié. Ils n’ordonnaient pas, ils demandaient mon avis ainsi que celui de mon frère. Nous décidions ensemble des questions de la vie courante comme par exemple, le cadeau à choisir pour mon grand-père. Même pour choisir une école ma mère m’a demandé mon avis. On ne me laissait pas cependant regarder la télévision ou faire des choses de mon chef. Il ne me venait jamais à l’esprit de dire à mes parents que je ne voulais pas aller à l’église.
Quand je suis devenu séminariste j’avais la possibilité de ne pas me rendre aux offices. Mais je ne pouvais pas rester indifférent quand j’entendais les cloches sonner aux vigiles le samedi soir. Aujourd’hui comme toujours je viens dans l’église et cherche à participer soit à chanter soit à lire ou tout simplement à changer les cierges. Je n’aime pas rester désœuvré.
La tonsure, évènement très fort ! D’abord dans le monastère il faut surmonter la tentation du novice. J’avais peur d’y penser. J’ai pris la décision de devenir novice du monastère Novo Neamt avec mon frère cadet Montgeron - Hiéromoine Nicodèm Pavlinchuk J’avais 20 ans et lui 18 ans mais il était plus résolu. Il a dit qu’il fallait prononcer nos vœux monastiques sans atermoyer. J’ai pris ma décision. On peut, en effet, temporiser jusqu’à l’infini. Une fois la décision prise j’étais inquiet et je priais Dieu. Je n’avais pas de doutes particulièrs mais j’avais peur…Quand j’ai prononcé les vœux monastiques la peur a cédé la place à la joie.
J’ai été étonné de découvrir un îlot de la culture russe dans l’église des Trois Saints Docteurs.
Chacun s’y sent comme chez soi. Je me demandais comment était l’orthodoxie française. Je cherchais et j’ai trouvé une église rue Victor où le prêtre officie en français. J’ai fait connaissance avec le père Stéphane Headley qui officie en français et en anglais et avec le régent André Malinine tragiquement décédé en 2009. Avec des amis de cette église j’ai enregistré des chants à 8 voix. C’est tellement beau ! Ensuite j’ai découvert des églises à Paris ou le prêtre officie en français mais les mélodies des chants sont roumaines. L’orthodoxie française m’a étonné suite à ma rencontre avec le père Laurent. Il officie en français et sa femme chante merveilleusement en français aussi. Au départ j’avais du mal à les comprendre mais petit à petit j’ai appris le français.
Les Français gardent une ferveur que peu de personnes élevées dans le milieu orthodoxe préservent. Ils ne manquent aucune liturgie, prient, apprennent le russe et donnent l’exemple aux Russes, aux Ukrainiens et aux Moldaves.
Le jour de mon arrivée à Paris j’ai entendu quelques moldaves parler dans le métro.
Nous nous sommes mis à discuter. Il s’est avéré que les paroissiens moldaves étaient nombreux à l’église russe. Ainsi, en 2007 nous avons reçu la bénédiction de Mr Innocent pour officier la liturgie en moldave une fois par mois à l’église des Trois Saints Docteurs.
Je pense que les paroisses doivent être multinationales surtout en France. Dans notre paroisse russe nous avons des français, des anglais, des moldaves, des biélorusses, des géorgiens et des ukrainiens. Dans la paroisse moldave on peut rencontrer des chinois et des français. Cela unit les fidèles, les encourage à suivre les commandements et à porter la lumière de Jésus à tous les peuples.
Dans ma mémoire j’ai toujours eu la foi. A l’époque où je ne savais pas encore lire et écrire je récitais des psaumes par cœur pendant les offices. A 5 ans je me mettais au milieu de l’église avec le Psautier. Tout le monde pensait que je lisais alors que je récitais de mémoire. J’avais des pères spirituels de la Laure de la Trinité Saint Serge. Mes deux oncles prêtres y ont fait leurs études et j’en rêvais aussi. Quand j’arrivais dans la Laure avec mes parents, mon oncle m’emmenait avec lui chanter dans la chorale et de prier avec les étudiants.
Je suis reconnaissant à mes parents, à mon oncle et à tous ceux qui m’entouraient parce qu’ils savaient répondre à mes questions. Le père Pierre avait une clé de l’âme d’enfant. Avec mes parents j’ai toujours eu des relations d’amitié. Ils n’ordonnaient pas, ils demandaient mon avis ainsi que celui de mon frère. Nous décidions ensemble des questions de la vie courante comme par exemple, le cadeau à choisir pour mon grand-père. Même pour choisir une école ma mère m’a demandé mon avis. On ne me laissait pas cependant regarder la télévision ou faire des choses de mon chef. Il ne me venait jamais à l’esprit de dire à mes parents que je ne voulais pas aller à l’église.
Quand je suis devenu séminariste j’avais la possibilité de ne pas me rendre aux offices. Mais je ne pouvais pas rester indifférent quand j’entendais les cloches sonner aux vigiles le samedi soir. Aujourd’hui comme toujours je viens dans l’église et cherche à participer soit à chanter soit à lire ou tout simplement à changer les cierges. Je n’aime pas rester désœuvré.
La tonsure, évènement très fort ! D’abord dans le monastère il faut surmonter la tentation du novice. J’avais peur d’y penser. J’ai pris la décision de devenir novice du monastère Novo Neamt avec mon frère cadet Montgeron - Hiéromoine Nicodèm Pavlinchuk J’avais 20 ans et lui 18 ans mais il était plus résolu. Il a dit qu’il fallait prononcer nos vœux monastiques sans atermoyer. J’ai pris ma décision. On peut, en effet, temporiser jusqu’à l’infini. Une fois la décision prise j’étais inquiet et je priais Dieu. Je n’avais pas de doutes particulièrs mais j’avais peur…Quand j’ai prononcé les vœux monastiques la peur a cédé la place à la joie.
J’ai été étonné de découvrir un îlot de la culture russe dans l’église des Trois Saints Docteurs.
Chacun s’y sent comme chez soi. Je me demandais comment était l’orthodoxie française. Je cherchais et j’ai trouvé une église rue Victor où le prêtre officie en français. J’ai fait connaissance avec le père Stéphane Headley qui officie en français et en anglais et avec le régent André Malinine tragiquement décédé en 2009. Avec des amis de cette église j’ai enregistré des chants à 8 voix. C’est tellement beau ! Ensuite j’ai découvert des églises à Paris ou le prêtre officie en français mais les mélodies des chants sont roumaines. L’orthodoxie française m’a étonné suite à ma rencontre avec le père Laurent. Il officie en français et sa femme chante merveilleusement en français aussi. Au départ j’avais du mal à les comprendre mais petit à petit j’ai appris le français.
Les Français gardent une ferveur que peu de personnes élevées dans le milieu orthodoxe préservent. Ils ne manquent aucune liturgie, prient, apprennent le russe et donnent l’exemple aux Russes, aux Ukrainiens et aux Moldaves.
Le jour de mon arrivée à Paris j’ai entendu quelques moldaves parler dans le métro.
Nous nous sommes mis à discuter. Il s’est avéré que les paroissiens moldaves étaient nombreux à l’église russe. Ainsi, en 2007 nous avons reçu la bénédiction de Mr Innocent pour officier la liturgie en moldave une fois par mois à l’église des Trois Saints Docteurs.
Je pense que les paroisses doivent être multinationales surtout en France. Dans notre paroisse russe nous avons des français, des anglais, des moldaves, des biélorusses, des géorgiens et des ukrainiens. Dans la paroisse moldave on peut rencontrer des chinois et des français. Cela unit les fidèles, les encourage à suivre les commandements et à porter la lumière de Jésus à tous les peuples.
En 2012 le père Joseph (Pavlinciuc) a officié la première Divine liturgie dans l’église Notre Dame de Liesse de la Nicolaïte dans le XVI arrondissement de Paris donnée à la paroisse moldave par l’archevêché catholique de Paris.
Le hiéromoine Joseph (Pavlinciuc), secrétaire du diocèse de Chersonèse pour la diaspora moldave et recteur de la communauté en l’honneur de Saint Païssios de Neamt, a officié une première divine liturgie dans un nouveau sanctuaire attribué à la communauté par l’archevêché de Paris. Il s’agit de la chapelle Notre Dame de Liesse de la Nicolaïte situés rue du Bouquet de Longchamp, dans le XVI arrondissement de la capitale.
Une semaine auparavant la communauté moldave a signé avec le Père François d’Antin, recteur de la paroisse saint Pierre de Chaillot, un accord lui permettant d’avoir gratuitement usage de la chapelle. Les clés en ont été remises à la communauté. Le père Joseph a concélébré cette première liturgie avec l’archiprêtre Igor Trophim appartenant au diocèse de Edenetz (Moldavie).
Une agape fraternelle a eu lieu après la fin de l’office. Adresse de la nouvelle paroisse moldave : 9bis, rue du Bouquet de Longchamp, 75016, Metro Boissière.
PRAVOSLAVIE I MIR
Le hiéromoine Joseph (Pavlinciuc), secrétaire du diocèse de Chersonèse pour la diaspora moldave et recteur de la communauté en l’honneur de Saint Païssios de Neamt, a officié une première divine liturgie dans un nouveau sanctuaire attribué à la communauté par l’archevêché de Paris. Il s’agit de la chapelle Notre Dame de Liesse de la Nicolaïte situés rue du Bouquet de Longchamp, dans le XVI arrondissement de la capitale.
Une semaine auparavant la communauté moldave a signé avec le Père François d’Antin, recteur de la paroisse saint Pierre de Chaillot, un accord lui permettant d’avoir gratuitement usage de la chapelle. Les clés en ont été remises à la communauté. Le père Joseph a concélébré cette première liturgie avec l’archiprêtre Igor Trophim appartenant au diocèse de Edenetz (Moldavie).
Une agape fraternelle a eu lieu après la fin de l’office. Adresse de la nouvelle paroisse moldave : 9bis, rue du Bouquet de Longchamp, 75016, Metro Boissière.
PRAVOSLAVIE I MIR
Rédigé par Parlons D'orthodoxie le 13 Septembre 2013 à 10:00
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